Les prix sont en euros, donc, c'est postérieur à 2001.
Quel intérêt de photographier en film actuellement ?
Le film joue sur la nostalgie des temps révolus : caméra de 1960, piano
mélancolique, redécouverte de la beauté de mettre un film dans un
appareil...
Et c'est Kodak, qui a fait faillite pour ne pas avoir compris
l'avènement du numérique qui nous vend cette pseudo valorisation
personnelle !
Bon, je vais atteler mon cheval pour aller chercher mon lait à la ferme.
Ça va me prendre l'après-midi, comme de développer moi-même l'Ektachrome
à 38° C au 1/10 de degré.
Ça paraît tout simple : http://www.bonavolta.ch/hobby/fr/photo/e6.htm#Hardware_temp
Merci Claudio !
Les prix sont en euros, donc, c'est postérieur à 2001.
L'annonce Kodak date de fin septembre 2018 ...
Quel intérêt de photographier en film actuellement ?
Un rendu différent, une façon de travailler différente, un h obby, etc ...
Bon, je vais atteler mon cheval pour aller chercher mon lait à la fe rme.
Bah oui, comme tu aimes aller à cheval au lieu d'utiliser un moyen de locomotion un peu moins obsolète, certains apprécient de travaill er avec de la pellicule.
De rien et ça l'est simple, si on est un minimum carré et soigneu x pour l'étalonnage du processeur.
Et comme on trouve toujours tout ce qu'il faut pour travailler, pellicules, produits, couleur comprise, et matériel de labo ...
Claudio Bonavolta
www.bonavolta.ch
Les prix sont en euros, donc, c'est postérieur à 2001.
L'annonce Kodak date de fin septembre 2018 ...
Quel intérêt de photographier en film actuellement ?
Un rendu différent, une façon de travailler différente, un hobby, etc ...
C'est un bon passe-temps pour photographe en retraite l'hiver.
Pendant que la pluie fouette les carreaux, on développe amoureusement
les photos de l'été.
Bon, je vais atteler mon cheval pour aller chercher mon lait à la ferme.
Bah oui, comme tu aimes aller à cheval au lieu d'utiliser un moyen de locomotion un peu moins obsolète, certains apprécient de travailler avec de la pellicule.
La photographie argentique et l'équitation, c'est la même chose : ce qui
compte c'est moins le but à atteindre, que le chemin pour y parvenir.
De rien et ça l'est simple, si on est un minimum carré et soigneux pour l'étalonnage du processeur.
Et comme on trouve toujours tout ce qu'il faut pour travailler, pellicules, produits, couleur comprise, et matériel de labo ...
Claudio Bonavolta
www.bonavolta.ch
Les prix sont en euros, donc, c'est postérieur à 2001.
Quel intérêt de photographier en film actuellement ?
Le film joue sur la nostalgie des temps révolus : caméra de 196 0, piano
mélancolique, redécouverte de la beauté de mettre un film dans un
appareil...
Et c'est Kodak, qui a fait faillite pour ne pas avoir compris
l'avènement du numérique qui nous vend cette pseudo valorisatio n
personnelle !
Kodak avait parfaitement compris c'est même Kodak qui a sorti le premi er APN, mais n'y croyait pas et a abandonné ce projet.
Les prix sont en euros, donc, c'est postérieur à 2001.
Quel intérêt de photographier en film actuellement ?
Le film joue sur la nostalgie des temps révolus : caméra de 1960, piano
mélancolique, redécouverte de la beauté de mettre un film dans un
appareil...
Et c'est Kodak, qui a fait faillite pour ne pas avoir compris
l'avènement du numérique qui nous vend cette pseudo valorisation
personnelle !
Kodak avait parfaitement compris c'est même Kodak qui a sorti le premier APN, mais n'y croyait pas et a abandonné ce projet.
Oui, je me souviens, et Nikon a sorti aussi un réflex en 640x480 qui
coûtait la peau du dos.
Les prix sont en euros, donc, c'est postérieur à 2001.
Quel intérêt de photographier en film actuellement ?
Le film joue sur la nostalgie des temps révolus : caméra de 196 0, piano
mélancolique, redécouverte de la beauté de mettre un film dans un
appareil...
Et c'est Kodak, qui a fait faillite pour ne pas avoir compris
l'avènement du numérique qui nous vend cette pseudo valorisatio n
personnelle !
Bon, je vais atteler mon cheval pour aller chercher mon lait à la fe rme.
Ça va me prendre l'après-midi, comme de développer moi-m ême l'Ektachrome
à 38° C au 1/10 de degré.
Ça paraît tout simple : http://www.bonavolta.ch/hobby/fr/photo/e6.htm#Hardware_temp
Merci Claudio !
Les prix sont en euros, donc, c'est postérieur à 2001.
Quel intérêt de photographier en film actuellement ?
Le film joue sur la nostalgie des temps révolus : caméra de 1960, piano
mélancolique, redécouverte de la beauté de mettre un film dans un
appareil...
Et c'est Kodak, qui a fait faillite pour ne pas avoir compris
l'avènement du numérique qui nous vend cette pseudo valorisation
personnelle !
Bon, je vais atteler mon cheval pour aller chercher mon lait à la ferme.
Ça va me prendre l'après-midi, comme de développer moi-même l'Ektachrome
à 38° C au 1/10 de degré.
Ça paraît tout simple : http://www.bonavolta.ch/hobby/fr/photo/e6.htm#Hardware_temp
Merci Claudio !
la ou une des petites histoires du numérique:
"Le numérique n'a pas été pris au sérieux par les responsables de Kodak"
Auteur de "La Chute de l'empire Kodak", François Sauteron a travaillé trente-trois ans au sein de l'entreprise pionnière, aujourd'hui au bord de la faillite.
Le Monde.fr | 06.01.2012 à 10h20 • Mis à jour le 09.04.2012 à 12h15 |
Par Elise Barthet
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François Sauteron a travaillé trente-trois ans chez Kodak, entre 1956 et 1990. Il est l'auteur de La Chute de l'empire Kodak, publié en 2010 aux éditions L'Harmattan.
Depuis sa création en 1880 jusque dans les années 1990, Kodak a régné sur la photographie. Pourquoi l'entreprise a-t-elle raté le tournant du numérique ?
Le cœur de métier de Kodak est longtemps resté la chimie. Tout ce qui touchait à l'électronique pure était perçu comme relevant du "gadget". Quand il a commencé à émerger, le numérique n'a pas été pris au sérieux par les responsables de l'entreprise. De grands progrès avaient été faits en matière de photographie argentique dans les années 1970-1980. Les pellicules étaient de plus en plus sensibles aux faibles lumières. Le grain, plus fin. Kodak disposait de dizaines de milliers de brevets et, pendant des décennies, la société a profité d'un statut de quasi-monopole. Aux yeux de ses dirigeants, Kodak semblait insubmersible. Ils ont sans doute péché par orgueil, persuadés que l'entreprise réussirait à imposer dans la durée sa vision de l'image.
D'autres erreurs ont-elles été commises ?
A deux reprises, au moins, Kodak a tourné le dos à des innovations, qui ont fini par lui coûter cher. D'abord, elle a éconduit en 1945 un certain Chester Carlson, qui fonda par la suite la société Xerox, à l'origine des premiers photocopieurs. Cinq ans après cet épisode, l'entreprise mit à la porte un autre inventeur, Edwin Land, venu présenter un nouveau procédé de développement photographique, le Polaroïd. Après quatorze ans de procès, en 1991, Kodak fut condamné à verser près d'un milliard de dollars à la société fondée par Edwin Land pour contrefaçon de licence.
Passer de l'argentique au numérique était un saut quantique que bien peu
de personnes ont réellement compris au départ.
Je me rappelle avoir lu un article dans lequel un critique affirmait que
la meilleure méthode pour la qualité etc.., c'était de faire ses photos
en argentique, de scanner les négatifs et de travailler dessus à
l’ordinateur.
Il disait qu'on pouvait avoir ses photos en une heure dans un magasin,
alors, où était l'avantage de la prise de vue en numérique ? Déjà la
définition du numérique avait rattrapé celle de l'argentique.
Même si ça avait été vrai en toutes circonstances, le gros inconvénient
de l'argentique en film (pour moi), c'était la nécessité de finir le
film. Combien de fois j'ai fini un film à la va-vite pour avoir les
photos ! Et ne pas pouvoir choisir la sensibilité ! Je rembobinais des
films en comptant les photos pour passer du 125 au 800 asa ! Pareil pour
passer du négatif aux diapos. Tout un poème !
Mais ces raisonnements ne sont pas morts, la preuve.
La nostalgie aveugle est un puissant moteur du comportement.
Bon, j'attelle mon cheval, le lait n'attend pas.
Même si ça avait été vrai en toutes circonstances, le gros inconvénient
de l'argentique en film (pour moi), c'était la nécessité de finir le
film. Combien de fois j'ai fini un film à la va-vite pour avoir les
photos ! Et ne pas pouvoir choisir la sensibilité ! Je rembobinais des
films en comptant les photos pour passer du 125 au 800 asa ! Pareil pour
passer du négatif aux diapos. Tout un poème !
Il suffisait de faire du 6x9 ; 8 photos/diapos par pellicule. Peu de
pertes voire aucune.
Même si ça avait été vrai en toutes circonstances, le gros inconvénient
de l'argentique en film (pour moi), c'était la nécessité de finir le
film. Combien de fois j'ai fini un film à la va-vite pour avoir les
photos ! Et ne pas pouvoir choisir la sensibilité ! Je rembobinais des
films en comptant les photos pour passer du 125 au 800 asa ! Pareil pour
passer du négatif aux diapos. Tout un poème !
Il suffisait de faire du 6x9 ; 8 photos/diapos par pellicule. Peu de
pertes voire aucune.
Tout-à-fait, comme avec ton Fuji 6X9
J'ai même mieux : en travaillant au plan-film, on ne perd rien et on met
le film qu'on veut.
Le plan-film c'est l'avenir !
En tout cas, pour le paysage, pourquoi pas !
Pour la rafale, c'est moins sûr.
Les prix sont en euros, donc, c'est postérieur à 2001.
Quel intérêt de photographier en film actuellement ?
Le film joue sur la nostalgie des temps révolus : caméra de 1960, piano
mélancolique, redécouverte de la beauté de mettre un film dans un
appareil...
Et c'est Kodak, qui a fait faillite pour ne pas avoir compris
l'avènement du numérique qui nous vend cette pseudo valorisation
personnelle !
Bon, je vais atteler mon cheval pour aller chercher mon lait à la ferme.
Ça va me prendre l'après-midi, comme de développer moi-même l'Ektachrome
à 38° C au 1/10 de degré.
Ça paraît tout simple :
http://www.bonavolta.ch/hobby/fr/photo/e6.htm#Hardware_temp
Merci Claudio !
pub digit sur Facebook ce matin... pour un produit qui semble
indisponible, pas très sérieux :-(
jdd
--
http://dodin.org
L'annonce Kodak date de fin septembre 2018 ...
Un rendu différent, une façon de travailler différente, un h obby, etc ...
Bah oui, comme tu aimes aller à cheval au lieu d'utiliser un moyen de locomotion un peu moins obsolète, certains apprécient de travaill er avec de la pellicule.
De rien et ça l'est simple, si on est un minimum carré et soigneu x pour l'étalonnage du processeur.
Et comme on trouve toujours tout ce qu'il faut pour travailler, pellicules, produits, couleur comprise, et matériel de labo ...
Claudio Bonavolta
www.bonavolta.ch
C'est un bon passe-temps pour photographe en retraite l'hiver.
Pendant que la pluie fouette les carreaux, on développe amoureusement
les photos de l'été.
La photographie argentique et l'équitation, c'est la même chose : ce qui
compte c'est moins le but à atteindre, que le chemin pour y parvenir.
Kodak avait parfaitement compris c'est même Kodak qui a sorti le premi er APN, mais n'y croyait pas et a abandonné ce projet.
Oui, je me souviens, et Nikon a sorti aussi un réflex en 640x480 qui
coûtait la peau du dos.
Probablement pas Kodak. Un rachat ou des anciens de Kodak?
Alaris fait dans le scanner.
https://www.alarisworld.com/en-us/about-us#section%202
René
Passer de l'argentique au numérique était un saut quantique que bien peu
de personnes ont réellement compris au départ.
Je me rappelle avoir lu un article dans lequel un critique affirmait que
la meilleure méthode pour la qualité etc.., c'était de faire ses photos
en argentique, de scanner les négatifs et de travailler dessus à
l’ordinateur.
Il disait qu'on pouvait avoir ses photos en une heure dans un magasin,
alors, où était l'avantage de la prise de vue en numérique ? Déjà la
définition du numérique avait rattrapé celle de l'argentique.
Même si ça avait été vrai en toutes circonstances, le gros inconvénient
de l'argentique en film (pour moi), c'était la nécessité de finir le
film. Combien de fois j'ai fini un film à la va-vite pour avoir les
photos ! Et ne pas pouvoir choisir la sensibilité ! Je rembobinais des
films en comptant les photos pour passer du 125 au 800 asa ! Pareil pour
passer du négatif aux diapos. Tout un poème !
Mais ces raisonnements ne sont pas morts, la preuve.
La nostalgie aveugle est un puissant moteur du comportement.
Bon, j'attelle mon cheval, le lait n'attend pas.
Il suffisait de faire du 6x9 ; 8 photos/diapos par pellicule. Peu de
pertes voire aucune.
Tout-à-fait, comme avec ton Fuji 6X9
J'ai même mieux : en travaillant au plan-film, on ne perd rien et on met
le film qu'on veut.
Le plan-film c'est l'avenir !
En tout cas, pour le paysage, pourquoi pas !
Pour la rafale, c'est moins sûr.