Riquer Vincent a pensé très fort :
> clockman wrote:
> [...]
>
> On essaye de télécharger le beta de Windows 7 (un système léger et
> performant, qui ne nécessite *que* 1Go de RAM, 16Go d'espace disque, et
> un processeur cadencé à 1GHz au moins (cf.
> http://www.microsoft.com/windows/windows-7/beta-download.aspx)
>
> Manque de bol, le téléchargement semble ne pas fonctionner avec
> Firefox/Linux...
Le prérequis est le mêm pour une Ubuntu 64 bits avec KDE, surtout la 4
J'ai testé, et le système au démarrage bouffe dans les 700 MB, sans
antivirus
W7 a une interface en effet plus réactive que Vista, et la consommation
de ressources...Bon, c'est fait pour les machines qui sortiront dès
qu'il sera dipos
Metre du nouveau soft sur du vieux matos, c'est idiot, c'est plus une
perte de temps qu'autre chose
W7, après l'avoir testé, est bien le meilleur Windows jamais fait par
Microsoft
C'est même le meilleur système jamais concu
Linux est pas mal aussi, mais avec son architecture héritée, et même
piquée, aux UNIX des années 70, sera toujours grotesque
C'est la vie: Des programmeurs bien payés font du meilleur boulot que
des crèves la faim
C'est vrai pour tout d'ailleurs: Même le communisme est mort !
La preuve, même MAC OS X, un UNIX bricolé par des gens bien payés, et
de trèèèèès loin supérieur à Linux
Linux fait fausse route sur tous les plans, rien de juste. Il n'est bon
que pour une "Elite" qui impressionne les ménagères avec des lignes de
commandes incompréhensibles
C'est rigolo ou triste, suivant l'humeur, mais ca va pas très loin, et
le système reeste confiné dans cette élite, qui de toute facon n'aime
pas les gens qui ne "connaissent rien" à l'informatique, ce qui les
rends eux-même pas très cool à fréquenter
L'immaturité des Linuxiens est totale: Alors que pour eux, la seule
chose utile à faire est encore de recompiler son noyau et tester des
programmes jamais terminé, les utilsateurs de Windows ou Appple
préfèrent faire de la musique, commuqier sur les résaux sociaux, ou
créer des choses compréhensibles par les gens normalements constitués
Le Linuxien parle de process, d'ordonancment, de compilation, de SWAP,
de fichiers à modifier pour configurer un démarrage de deamon, etc.
Le Windowsien parle amitié, réseau sociale, ouverture, créativité, et
il va faire la fête
Le premier est clairmenten rupture avec la société
Tu fais plus payer les passager (ce que font les irlandais).
Ce qui dans le cas de l'Île-de-France n'aura aucune incidence, et qui en plus dans le cas général coûtera leur job aux grêvistes, vu que c'est complètement illégal contrairement à l'arrêt de travail.
et les gens comme moi vont bosser ailleurs pour arreter d'etre emmerdes par cette armee de parasites.
Et rien que pour ça, je remercie ces parasites. Amen !
-- When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.
Stephane TOUGARD nous a dit:
Tu fais plus payer les passager (ce que font les irlandais).
Ce qui dans le cas de l'Île-de-France n'aura aucune incidence, et qui
en plus dans le cas général coûtera leur job aux grêvistes, vu que
c'est complètement illégal contrairement à l'arrêt de travail.
et les gens comme moi vont bosser ailleurs pour
arreter d'etre emmerdes par cette armee de parasites.
Et rien que pour ça, je remercie ces parasites. Amen !
--
When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.
Tu fais plus payer les passager (ce que font les irlandais).
Ce qui dans le cas de l'Île-de-France n'aura aucune incidence, et qui en plus dans le cas général coûtera leur job aux grêvistes, vu que c'est complètement illégal contrairement à l'arrêt de travail.
et les gens comme moi vont bosser ailleurs pour arreter d'etre emmerdes par cette armee de parasites.
Et rien que pour ça, je remercie ces parasites. Amen !
-- When Batman is in trouble, he turns on the Jack Bauer signal.
pehache-tolai
On 26 jan, 14:14, Cumbalero wrote:
pehache-tolai a écrit :
> Je te rappelle que l'accélération c'est par définition la dériv ée de > la vitesse. Donc en intégrant les valeurs d'accélération mésur ées en > permanence, on a la vitesse.
Si ça fonctionnait comme ça, il n'y aurait pas de freinage possible quand on roule en marche arrière alors?
> Toujours le même problème : si tu ne connais que la vitesse des rou es > et pas celle du véhicule tu ne peux pas distinguer la situation de > blocage des roues de la situation de véhicule à l'arrêt.
Bien sûr que si et comme je l'ai déjà écrit: il suffit de relâc her la pression de freinage sur au moins une roue. Si la roue se remet à tourner, c'est que le véhicule n'est pas à l'arrêt.
Ce que tu décris est un système "primaire" d'ABS, qui ne peut pas êtr e optimum effectivement. Mais aujourd'hui on fait mieux.
Et si accéléromètre il y avait,
Accéléromètre il y a.
-- pehache
On 26 jan, 14:14, Cumbalero <cumbal...@NOSPAM.yahoo.fr> wrote:
pehache-tolai a écrit :
> Je te rappelle que l'accélération c'est par définition la dériv ée de
> la vitesse. Donc en intégrant les valeurs d'accélération mésur ées en
> permanence, on a la vitesse.
Si ça fonctionnait comme ça, il n'y aurait pas de freinage possible
quand on roule en marche arrière alors?
> Toujours le même problème : si tu ne connais que la vitesse des rou es
> et pas celle du véhicule tu ne peux pas distinguer la situation de
> blocage des roues de la situation de véhicule à l'arrêt.
Bien sûr que si et comme je l'ai déjà écrit: il suffit de relâc her la
pression de freinage sur au moins une roue. Si la roue se remet à
tourner, c'est que le véhicule n'est pas à l'arrêt.
Ce que tu décris est un système "primaire" d'ABS, qui ne peut pas êtr e
optimum effectivement. Mais aujourd'hui on fait mieux.
> Je te rappelle que l'accélération c'est par définition la dériv ée de > la vitesse. Donc en intégrant les valeurs d'accélération mésur ées en > permanence, on a la vitesse.
Si ça fonctionnait comme ça, il n'y aurait pas de freinage possible quand on roule en marche arrière alors?
> Toujours le même problème : si tu ne connais que la vitesse des rou es > et pas celle du véhicule tu ne peux pas distinguer la situation de > blocage des roues de la situation de véhicule à l'arrêt.
Bien sûr que si et comme je l'ai déjà écrit: il suffit de relâc her la pression de freinage sur au moins une roue. Si la roue se remet à tourner, c'est que le véhicule n'est pas à l'arrêt.
Ce que tu décris est un système "primaire" d'ABS, qui ne peut pas êtr e optimum effectivement. Mais aujourd'hui on fait mieux.
Et si accéléromètre il y avait,
Accéléromètre il y a.
-- pehache
pehache-tolai
On 26 jan, 14:16, Cumbalero wrote:
pehache-tolai a écrit :
> Et donc si les roues avant se bloquent avant les roues AR à cause > d'une répartition de freinage inadaptée aux conditions, l'ABS va > relacher la pression sur les roues AV mais pas sur les roues AR, ce > qui revient exactement à modifier la répartition AV/AR.
Non, on va simplement interrompre le freinage sur une des 4 roues. C'est autre chose que d'adapter la puissance de freinage sur les 4 roues.
Si les roues avant reçoivent un force de freinage 2F et les roues arrière un force de freinage F, la répartition AV/AR est de 2
Si les roues avant bloquent et que l'ABS relache la force de freinage à 1,5F sur ces roues, alors de fait la répartion AV/AR change et ne vaut plus que 1,5
-- pehache
On 26 jan, 14:16, Cumbalero <cumbal...@NOSPAM.yahoo.fr> wrote:
pehache-tolai a écrit :
> Et donc si les roues avant se bloquent avant les roues AR à cause
> d'une répartition de freinage inadaptée aux conditions, l'ABS va
> relacher la pression sur les roues AV mais pas sur les roues AR, ce
> qui revient exactement à modifier la répartition AV/AR.
Non, on va simplement interrompre le freinage sur une des 4 roues. C'est
autre chose que d'adapter la puissance de freinage sur les 4 roues.
Si les roues avant reçoivent un force de freinage 2F et les roues
arrière un force de freinage F, la répartition AV/AR est de 2
Si les roues avant bloquent et que l'ABS relache la force de freinage
à 1,5F sur ces roues, alors de fait la répartion AV/AR change et ne
vaut plus que 1,5
> Et donc si les roues avant se bloquent avant les roues AR à cause > d'une répartition de freinage inadaptée aux conditions, l'ABS va > relacher la pression sur les roues AV mais pas sur les roues AR, ce > qui revient exactement à modifier la répartition AV/AR.
Non, on va simplement interrompre le freinage sur une des 4 roues. C'est autre chose que d'adapter la puissance de freinage sur les 4 roues.
Si les roues avant reçoivent un force de freinage 2F et les roues arrière un force de freinage F, la répartition AV/AR est de 2
Si les roues avant bloquent et que l'ABS relache la force de freinage à 1,5F sur ces roues, alors de fait la répartion AV/AR change et ne vaut plus que 1,5
-- pehache
SL
Le 26-01-2009, Doug713705 a écrit :
Le Mon, 26 Jan 2009 10:41:38 +0000, Nicolas George a écrit dans news:glk412$u9v$ des mots en forme de phrase pour nous dire :
Doug713705 , dans le message <glk3u9$30s0$, a écrit :
Tu n'as pas lu le reste de mon post.
Je l'ai lu, et je maintiens que tu évites le fond du problème.
Non.
J'y ai écrit ceci : Il y a dans l'administration Française et dans la fonction publique en général (à l'exclusion de certains secteurs en permanence débordé comme la santé) largement de quoi pousser un peu plus la machine sans que l'effort nuise à une quelconque qualité de travail ou soit préjudiciable pour la santé morale ou physique de l'agent.
Et j'aurais souhaité que tu répondes à cela :
Quand la SNCF fait grève, MON salaire est directement impacté alors que je ne suis ni gréviste, ni salarié de la SNCF et ce alors que je travaille déjà beaucoup plus que la plupart des grévistes.
Trouves-tu ça juste ?
Oui, une société où il y a le droit de grève -- c'est-à-dire de se défendre -- même avec ses inévitables conséquences malheureuses pour X et Y, est plus juste qu'une société où il n'y a pas le droit de grève (sous prétexte de ne gêner le confort de personne), c'est-à-dire une société d'esclaves.
Après, pour ce qui est de l'augmentation ma quantité de travail (ce qui a l'air de te poser problème) ce n'est pas possible car dans le privé on nous demande DEJA le maximum !!
Mais bien sûr. J'ai travaillé dans le privé, dont plusieurs mois payé à ne pas faire grand chose, et il y a dans le privé en France (à l'exclusion de certains secteurs en permanence débordé) largement de quoi pousser un peu plus la machine sans que l'effort nuise à une quelconque qualité de travail ou soit préjudiciable pour la santé morale ou physique de l'agent. Pour Parisot, je suis sûr que l'on peut même pousser beaucoup plus la machine.
Tout ton propos est simplement de l'aigreur corporatiste.
En l'occurrence je suis le responsable de l'entreprise dans laquelle je travaille, je fais donc déjà de moi même le maximum pour que cette entreprise tourne et j'irais probablement tout à l'heure au travail alors que c'est mon jour de congé parce que c'est _nécessaire_ . Je ne toucherais pas 1 seul euro de plus pour ça. Je le fait dans l'intérêt de l'entreprise, c'est à dire dans l'intérêt de l'ensemble de ces salariés (qui eux vont profiter à juste titre de leur congé).
Et certains travaillent non pas dans l'intérêt de l'entreprise, mais dans l'intérêt général. Comme pour Sarkozy, travailler dans l'intérêt d'une entreprise est pour toi la plus valeur civique.
Ce genre de mentalité ne se trouve pas dans la fonction publique et c'est bien ça le fond du problème et non pas de savoir si le il est acceptable de travailler plus pour le même salaire.
Voilà encore du délire corporatisme qui exprime juste des haines sociales. Je suis allé bosser moi aussi, samedi, dimanche dernier et j'ai légèrement dans la tête, dans mon activité, la notion d'intérêt général, bref ton discours est insultant sans que tu t'en rends compte et ne traduit que de l'aigreur de boutiquier.
Et cette volonté au travail ne se trouve pas dans la fonction publique car le statut même d'agent ne met aucune condition au salaire perçu, ni minimum qualitatif, ni minimum quantitatif.
N'importe quoi. Elle s'y trouve, et un salaire faible n'expliquerait pas qu'elle ne s'y trouve pas. Et c'est ta petite entreprise qui va défiler jeudi prochain ?
Non, je ne suis pas sarkozyste (loin s'en faut) mais le fait est qu'il n'est pas difficile de s'apercevoir de ce problème.
Si, voilà encore un discours qui explique très bien comment le sarkozisme est possible.
Le 26-01-2009, Doug713705 <doug.letough@free.fr> a écrit :
Le Mon, 26 Jan 2009 10:41:38 +0000, Nicolas George a écrit dans
news:glk412$u9v$1@nef.ens.fr des mots en forme de phrase pour nous dire :
Doug713705 , dans le message <glk3u9$30s0$13@talisker.lacave.net>, a
écrit :
Tu n'as pas lu le reste de mon post.
Je l'ai lu, et je maintiens que tu évites le fond du problème.
Non.
J'y ai écrit ceci :
Il y a dans l'administration Française et dans la fonction publique en
général (à l'exclusion de certains secteurs en permanence débordé comme la
santé) largement de quoi pousser un peu plus la machine sans que l'effort
nuise à une quelconque qualité de travail ou soit préjudiciable pour la
santé morale ou physique de l'agent.
Et j'aurais souhaité que tu répondes à cela :
Quand la SNCF fait grève, MON salaire est directement impacté alors que je
ne suis ni gréviste, ni salarié de la SNCF et ce alors que je travaille
déjà beaucoup plus que la plupart des grévistes.
Trouves-tu ça juste ?
Oui, une société où il y a le droit de grève -- c'est-à-dire de se
défendre -- même avec ses inévitables conséquences malheureuses pour X
et Y, est plus juste qu'une société où il n'y a pas le droit de grève
(sous prétexte de ne gêner le confort de personne), c'est-à-dire une
société d'esclaves.
Après, pour ce qui est de l'augmentation ma quantité de travail (ce qui a
l'air de te poser problème) ce n'est pas possible car dans le privé on nous
demande DEJA le maximum !!
Mais bien sûr. J'ai travaillé dans le privé, dont plusieurs mois payé à
ne pas faire grand chose, et il y a dans le privé en France (à
l'exclusion de certains secteurs en permanence débordé) largement de
quoi pousser un peu plus la machine sans que l'effort nuise à une
quelconque qualité de travail ou soit préjudiciable pour la santé morale
ou physique de l'agent. Pour Parisot, je suis sûr que l'on peut même
pousser beaucoup plus la machine.
Tout ton propos est simplement de l'aigreur corporatiste.
En l'occurrence je suis le responsable de l'entreprise dans laquelle
je travaille, je fais donc déjà de moi même le maximum pour que cette
entreprise tourne et j'irais probablement tout à l'heure au travail
alors que c'est mon jour de congé parce que c'est _nécessaire_ . Je ne
toucherais pas 1 seul euro de plus pour ça. Je le fait dans l'intérêt
de l'entreprise, c'est à dire dans l'intérêt de l'ensemble de ces
salariés (qui eux vont profiter à juste titre de leur congé).
Et certains travaillent non pas dans l'intérêt de l'entreprise, mais
dans l'intérêt général. Comme pour Sarkozy, travailler dans l'intérêt
d'une entreprise est pour toi la plus valeur civique.
Ce genre de mentalité ne se trouve pas dans la fonction publique et
c'est bien ça le fond du problème et non pas de savoir si le il est
acceptable de travailler plus pour le même salaire.
Voilà encore du délire corporatisme qui exprime juste des haines
sociales. Je suis allé bosser moi aussi, samedi, dimanche dernier et
j'ai légèrement dans la tête, dans mon activité, la notion d'intérêt
général, bref ton discours est insultant sans que tu t'en rends compte
et ne traduit que de l'aigreur de boutiquier.
Et cette volonté au travail ne se trouve pas dans la fonction publique
car le statut même d'agent ne met aucune condition au salaire perçu,
ni minimum qualitatif, ni minimum quantitatif.
N'importe quoi. Elle s'y trouve, et un salaire faible n'expliquerait pas
qu'elle ne s'y trouve pas. Et c'est ta petite entreprise qui va défiler
jeudi prochain ?
Non, je ne suis pas sarkozyste (loin s'en faut) mais le fait est qu'il
n'est pas difficile de s'apercevoir de ce problème.
Si, voilà encore un discours qui explique très bien comment le
sarkozisme est possible.
Le Mon, 26 Jan 2009 10:41:38 +0000, Nicolas George a écrit dans news:glk412$u9v$ des mots en forme de phrase pour nous dire :
Doug713705 , dans le message <glk3u9$30s0$, a écrit :
Tu n'as pas lu le reste de mon post.
Je l'ai lu, et je maintiens que tu évites le fond du problème.
Non.
J'y ai écrit ceci : Il y a dans l'administration Française et dans la fonction publique en général (à l'exclusion de certains secteurs en permanence débordé comme la santé) largement de quoi pousser un peu plus la machine sans que l'effort nuise à une quelconque qualité de travail ou soit préjudiciable pour la santé morale ou physique de l'agent.
Et j'aurais souhaité que tu répondes à cela :
Quand la SNCF fait grève, MON salaire est directement impacté alors que je ne suis ni gréviste, ni salarié de la SNCF et ce alors que je travaille déjà beaucoup plus que la plupart des grévistes.
Trouves-tu ça juste ?
Oui, une société où il y a le droit de grève -- c'est-à-dire de se défendre -- même avec ses inévitables conséquences malheureuses pour X et Y, est plus juste qu'une société où il n'y a pas le droit de grève (sous prétexte de ne gêner le confort de personne), c'est-à-dire une société d'esclaves.
Après, pour ce qui est de l'augmentation ma quantité de travail (ce qui a l'air de te poser problème) ce n'est pas possible car dans le privé on nous demande DEJA le maximum !!
Mais bien sûr. J'ai travaillé dans le privé, dont plusieurs mois payé à ne pas faire grand chose, et il y a dans le privé en France (à l'exclusion de certains secteurs en permanence débordé) largement de quoi pousser un peu plus la machine sans que l'effort nuise à une quelconque qualité de travail ou soit préjudiciable pour la santé morale ou physique de l'agent. Pour Parisot, je suis sûr que l'on peut même pousser beaucoup plus la machine.
Tout ton propos est simplement de l'aigreur corporatiste.
En l'occurrence je suis le responsable de l'entreprise dans laquelle je travaille, je fais donc déjà de moi même le maximum pour que cette entreprise tourne et j'irais probablement tout à l'heure au travail alors que c'est mon jour de congé parce que c'est _nécessaire_ . Je ne toucherais pas 1 seul euro de plus pour ça. Je le fait dans l'intérêt de l'entreprise, c'est à dire dans l'intérêt de l'ensemble de ces salariés (qui eux vont profiter à juste titre de leur congé).
Et certains travaillent non pas dans l'intérêt de l'entreprise, mais dans l'intérêt général. Comme pour Sarkozy, travailler dans l'intérêt d'une entreprise est pour toi la plus valeur civique.
Ce genre de mentalité ne se trouve pas dans la fonction publique et c'est bien ça le fond du problème et non pas de savoir si le il est acceptable de travailler plus pour le même salaire.
Voilà encore du délire corporatisme qui exprime juste des haines sociales. Je suis allé bosser moi aussi, samedi, dimanche dernier et j'ai légèrement dans la tête, dans mon activité, la notion d'intérêt général, bref ton discours est insultant sans que tu t'en rends compte et ne traduit que de l'aigreur de boutiquier.
Et cette volonté au travail ne se trouve pas dans la fonction publique car le statut même d'agent ne met aucune condition au salaire perçu, ni minimum qualitatif, ni minimum quantitatif.
N'importe quoi. Elle s'y trouve, et un salaire faible n'expliquerait pas qu'elle ne s'y trouve pas. Et c'est ta petite entreprise qui va défiler jeudi prochain ?
Non, je ne suis pas sarkozyste (loin s'en faut) mais le fait est qu'il n'est pas difficile de s'apercevoir de ce problème.
Si, voilà encore un discours qui explique très bien comment le sarkozisme est possible.
SL
Le 26-01-2009, Stephane TOUGARD a écrit :
Nicolas George wrote:
Sans avoir pris la peine de chercher, je suis absolument certain que les revendications de la grève n'étaient pas l'abandon du prolongement de la ligne mais plutôt l'obtention des moyens nécessaires à un service de qualité sur la ligne prolongée.
AH AH AH AH AH !!!
Et donc, pour proposer un "service de qualite", on va bloquer les trains, arreter de proposer le dit service pdt un laps de temps (quitte a provoquer des drames) ...
En effet, c'est la différence entre le cours terme et le long terme.
Le 26-01-2009, Stephane TOUGARD <stephane@unices.org> a écrit :
Nicolas George wrote:
Sans avoir pris la peine de chercher, je suis absolument certain que les
revendications de la grève n'étaient pas l'abandon du prolongement de la
ligne mais plutôt l'obtention des moyens nécessaires à un service de qualité
sur la ligne prolongée.
AH AH AH AH AH !!!
Et donc, pour proposer un "service de qualite", on va bloquer les
trains, arreter de proposer le dit service pdt un laps de temps (quitte
a provoquer des drames) ...
En effet, c'est la différence entre le cours terme et le long terme.
Sans avoir pris la peine de chercher, je suis absolument certain que les revendications de la grève n'étaient pas l'abandon du prolongement de la ligne mais plutôt l'obtention des moyens nécessaires à un service de qualité sur la ligne prolongée.
AH AH AH AH AH !!!
Et donc, pour proposer un "service de qualite", on va bloquer les trains, arreter de proposer le dit service pdt un laps de temps (quitte a provoquer des drames) ...
En effet, c'est la différence entre le cours terme et le long terme.
Cumbalero
pehache-tolai a écrit :
Ce que tu décris est un système "primaire" d'ABS, qui ne peut pas ê tre optimum effectivement. Mais aujourd'hui on fait mieux.
Chic, des preuves.
Et si accéléromètre il y avait,
Accéléromètre il y a.
Alors pourquoi on s'en sert pas?
Pourquoi il n'apparait pas sur les schemas techniques de la RTA?
A+ JF
pehache-tolai a écrit :
Ce que tu décris est un système "primaire" d'ABS, qui ne peut pas ê tre
optimum effectivement. Mais aujourd'hui on fait mieux.
Chic, des preuves.
Et si accéléromètre il y avait,
Accéléromètre il y a.
Alors pourquoi on s'en sert pas?
Pourquoi il n'apparait pas sur les schemas techniques de la RTA?
Ce que tu décris est un système "primaire" d'ABS, qui ne peut pas ê tre optimum effectivement. Mais aujourd'hui on fait mieux.
Chic, des preuves.
Et si accéléromètre il y avait,
Accéléromètre il y a.
Alors pourquoi on s'en sert pas?
Pourquoi il n'apparait pas sur les schemas techniques de la RTA?
A+ JF
SL
Le 26-01-2009, JKB a écrit :
Il faut _arrêter_ de dire que l'employeur est un gros con,
Qui dit ça ? La seule chose que l'on peut dire, c'est qu'il ne représente que lui et que l'intérêt de l'employeur n'est pas l'intérêt de son employé ni celui de la société.
Le 26-01-2009, JKB <knatschke@koenigsberg.fr> a écrit :
Il faut _arrêter_ de dire
que l'employeur est un gros con,
Qui dit ça ? La seule chose que l'on peut dire, c'est qu'il ne
représente que lui et que l'intérêt de l'employeur n'est pas l'intérêt
de son employé ni celui de la société.
Il faut _arrêter_ de dire que l'employeur est un gros con,
Qui dit ça ? La seule chose que l'on peut dire, c'est qu'il ne représente que lui et que l'intérêt de l'employeur n'est pas l'intérêt de son employé ni celui de la société.
Eric Masson
Cumbalero writes:
'Re,
Pourquoi il n'apparait pas sur les schemas techniques de la RTA?
Intégré au calculateur ? Faudrait avoir accès au block diagram du calculateur.
-- OF> C'est quoi "godwin" ? un jeu ? une personne ? Une sorte de station-service : on accumule les points et on peut gagnerune gamelle. -+- PE in <http://www.le-gnu.net> - Le point sur les godwins -+-
Cumbalero <cumbalero@NOSPAM.yahoo.fr> writes:
'Re,
Pourquoi il n'apparait pas sur les schemas techniques de la RTA?
Intégré au calculateur ?
Faudrait avoir accès au block diagram du calculateur.
--
OF> C'est quoi "godwin" ? un jeu ? une personne ?
Une sorte de station-service : on accumule les points et on peut
gagnerune gamelle.
-+- PE in <http://www.le-gnu.net> - Le point sur les godwins -+-
Pourquoi il n'apparait pas sur les schemas techniques de la RTA?
Intégré au calculateur ? Faudrait avoir accès au block diagram du calculateur.
-- OF> C'est quoi "godwin" ? un jeu ? une personne ? Une sorte de station-service : on accumule les points et on peut gagnerune gamelle. -+- PE in <http://www.le-gnu.net> - Le point sur les godwins -+-
Cumbalero
pehache-tolai a écrit :
Tu penses vraiment que les ingénieurs sont des andouilles pour ne pas faire mieux que ça aujourd'hui.
Si c'était les ingénieurs qui décidaient des orientations que prend un labo R&D, ça se saurait!
Non seulement ce site ne parle que de théorie, mais en plus il dit des conneries. Exemple? L'airbag est la première application asservie par u n accéléromètre. C'est tellement faux, que ce n'est toujours pas le c as aujourd'hui.
capteur de mouvement à mercure (*accéléromètre*) situé sous l e siège arrière"
Ah ouais, un contacteur à mercure, tout de suite ça frime comme accéléromètre... Même dans un ipod il y a mieux. Comment ça mar che en montagne?
Bref, pas d'accéléromètres tu disais ???
Et je maintiens.
cf RTA de différents véhicules datant de bien après 1987.
A+ JF
pehache-tolai a écrit :
Tu penses vraiment que les ingénieurs sont des andouilles pour ne pas
faire mieux que ça aujourd'hui.
Si c'était les ingénieurs qui décidaient des orientations que prend un
labo R&D, ça se saurait!
Non seulement ce site ne parle que de théorie, mais en plus il dit des
conneries. Exemple? L'airbag est la première application asservie par u n
accéléromètre. C'est tellement faux, que ce n'est toujours pas le c as
aujourd'hui.
capteur de mouvement à mercure (*accéléromètre*) situé sous l e siège
arrière"
Ah ouais, un contacteur à mercure, tout de suite ça frime comme
accéléromètre... Même dans un ipod il y a mieux. Comment ça mar che en
montagne?
Bref, pas d'accéléromètres tu disais ???
Et je maintiens.
cf RTA de différents véhicules datant de bien après 1987.
Non seulement ce site ne parle que de théorie, mais en plus il dit des conneries. Exemple? L'airbag est la première application asservie par u n accéléromètre. C'est tellement faux, que ce n'est toujours pas le c as aujourd'hui.
capteur de mouvement à mercure (*accéléromètre*) situé sous l e siège arrière"
Ah ouais, un contacteur à mercure, tout de suite ça frime comme accéléromètre... Même dans un ipod il y a mieux. Comment ça mar che en montagne?
Bref, pas d'accéléromètres tu disais ???
Et je maintiens.
cf RTA de différents véhicules datant de bien après 1987.
A+ JF
SL
Le 26-01-2009, Doug713705 a écrit :
Le Mon, 26 Jan 2009 08:52:35 +0000, Michel Talon a écrit dans news:gljtkj$202u$ des mots en forme de phrase pour nous dire :
Moi ce que j'entends dire, c'est que les facteurs sont de plus en plus des vacataires, qui sont tellement dégoutés par la quantité de boulot qu'on leur donne pour un salaire de misère, qu'ils finissent par abandonner le sac de courrier en pleine rue et se tirent sans demander leur compte. Ce qui fait qu'il y a un taux de rotation phénoménal.
Et oui, le vacataire paye le prix pour les embauchés qui ont préféré conserver leurs acquis au détriment du bien être général.
Naturellement la précarisation de l'emploi est la faute du syndicalisme...
Pourquoi tu ne votes pas UMP en fait ? En quoi tu trouves que ça ne réprésente pas tes opinions finalement ?
Le 26-01-2009, Doug713705 <doug.letough@free.fr> a écrit :
Le Mon, 26 Jan 2009 08:52:35 +0000, Michel Talon a écrit dans
news:gljtkj$202u$1@asmodee.lpthe.jussieu.fr des mots en forme de phrase
pour nous dire :
Moi ce que j'entends dire, c'est que les facteurs sont de plus en plus
des vacataires, qui sont tellement dégoutés par la quantité de boulot
qu'on leur donne pour un salaire de misère, qu'ils finissent par
abandonner le sac de courrier en pleine rue et se tirent sans demander
leur compte. Ce qui fait qu'il y a un taux de rotation phénoménal.
Et oui, le vacataire paye le prix pour les embauchés qui ont préféré
conserver leurs acquis au détriment du bien être général.
Naturellement la précarisation de l'emploi est la faute du
syndicalisme...
Pourquoi tu ne votes pas UMP en fait ? En quoi tu trouves que ça ne
réprésente pas tes opinions finalement ?
Le Mon, 26 Jan 2009 08:52:35 +0000, Michel Talon a écrit dans news:gljtkj$202u$ des mots en forme de phrase pour nous dire :
Moi ce que j'entends dire, c'est que les facteurs sont de plus en plus des vacataires, qui sont tellement dégoutés par la quantité de boulot qu'on leur donne pour un salaire de misère, qu'ils finissent par abandonner le sac de courrier en pleine rue et se tirent sans demander leur compte. Ce qui fait qu'il y a un taux de rotation phénoménal.
Et oui, le vacataire paye le prix pour les embauchés qui ont préféré conserver leurs acquis au détriment du bien être général.
Naturellement la précarisation de l'emploi est la faute du syndicalisme...
Pourquoi tu ne votes pas UMP en fait ? En quoi tu trouves que ça ne réprésente pas tes opinions finalement ?