pehache-tolai a écrit :
> AV/AR. Maintenant on peut évidemment faire le même raisonnement rou e
> par roue, c'est pas compliqué.
Ben si. Appliquer à 4 roues par rapport à 2 trains, ça complique le
réajustement des coefficients.
Par exemple, dans un freinage qui a lieu
durant un virage à gauche, le blocage de la roue arrière gauche (qui
sera de toutes façons la première à décrocher, transfert de masse s
oblige) ne va pas changer grand chose à la répartition du freinage su r
les 3 autres roues.
A+
JF
pehache-tolai a écrit :
> AV/AR. Maintenant on peut évidemment faire le même raisonnement rou e
> par roue, c'est pas compliqué.
Ben si. Appliquer à 4 roues par rapport à 2 trains, ça complique le
réajustement des coefficients.
Par exemple, dans un freinage qui a lieu
durant un virage à gauche, le blocage de la roue arrière gauche (qui
sera de toutes façons la première à décrocher, transfert de masse s
oblige) ne va pas changer grand chose à la répartition du freinage su r
les 3 autres roues.
A+
JF
pehache-tolai a écrit :
> AV/AR. Maintenant on peut évidemment faire le même raisonnement rou e
> par roue, c'est pas compliqué.
Ben si. Appliquer à 4 roues par rapport à 2 trains, ça complique le
réajustement des coefficients.
Par exemple, dans un freinage qui a lieu
durant un virage à gauche, le blocage de la roue arrière gauche (qui
sera de toutes façons la première à décrocher, transfert de masse s
oblige) ne va pas changer grand chose à la répartition du freinage su r
les 3 autres roues.
A+
JF
En fait les deux contradicteurs ici présents, JKB et Doug se présentent
eux mêmes comme ayant été fonctionnaires, et ayant quitté ce havre
d'avantages indus pour aller vivre à la dure dans le privé pour des
queues de cerises. Ce propos en lui même est suffisant pour disqualifier
tout ce qu'ils disent, à moins qu'ils ne soient adeptes de Sacher-Masoch
ou complètement siphonnés, ou encore que tout simplement ils y trouvent
un avantage pécuniaire suffisant.
En fait les deux contradicteurs ici présents, JKB et Doug se présentent
eux mêmes comme ayant été fonctionnaires, et ayant quitté ce havre
d'avantages indus pour aller vivre à la dure dans le privé pour des
queues de cerises. Ce propos en lui même est suffisant pour disqualifier
tout ce qu'ils disent, à moins qu'ils ne soient adeptes de Sacher-Masoch
ou complètement siphonnés, ou encore que tout simplement ils y trouvent
un avantage pécuniaire suffisant.
En fait les deux contradicteurs ici présents, JKB et Doug se présentent
eux mêmes comme ayant été fonctionnaires, et ayant quitté ce havre
d'avantages indus pour aller vivre à la dure dans le privé pour des
queues de cerises. Ce propos en lui même est suffisant pour disqualifier
tout ce qu'ils disent, à moins qu'ils ne soient adeptes de Sacher-Masoch
ou complètement siphonnés, ou encore que tout simplement ils y trouvent
un avantage pécuniaire suffisant.
en particulier tout le monde sait que le choix
de la fonction publique signifie un salaire de misère toute ta vie.
en particulier tout le monde sait que le choix
de la fonction publique signifie un salaire de misère toute ta vie.
en particulier tout le monde sait que le choix
de la fonction publique signifie un salaire de misère toute ta vie.
Doug713705 , dans le message <glkp4a$2fb7$, a
écrit :Et alors, c'est une raison pour faire du boulot de merde ?
C'est à mon tour de te dire que tu n'as pas lu.Si tu as envie d'aller dans la fonction publique pour y être payé
pauvrement parce que tu as une image noble du service public et que tu vas
faire le maximum pour que cette image soit une réalité alors je dis bravo
et je t'encourage même. Même que ça me ferait plaisir de payer des impôts
pour ça.
Eh bien ça tombe bien, parce que ça représente une grande proportion des
fonctionnaire. Nettement plus grande que l'attitude équivalente dans le
privé.
Doug713705 , dans le message <glkp4a$2fb7$4@talisker.lacave.net>, a
écrit :
Et alors, c'est une raison pour faire du boulot de merde ?
C'est à mon tour de te dire que tu n'as pas lu.
Si tu as envie d'aller dans la fonction publique pour y être payé
pauvrement parce que tu as une image noble du service public et que tu vas
faire le maximum pour que cette image soit une réalité alors je dis bravo
et je t'encourage même. Même que ça me ferait plaisir de payer des impôts
pour ça.
Eh bien ça tombe bien, parce que ça représente une grande proportion des
fonctionnaire. Nettement plus grande que l'attitude équivalente dans le
privé.
Doug713705 , dans le message <glkp4a$2fb7$, a
écrit :Et alors, c'est une raison pour faire du boulot de merde ?
C'est à mon tour de te dire que tu n'as pas lu.Si tu as envie d'aller dans la fonction publique pour y être payé
pauvrement parce que tu as une image noble du service public et que tu vas
faire le maximum pour que cette image soit une réalité alors je dis bravo
et je t'encourage même. Même que ça me ferait plaisir de payer des impôts
pour ça.
Eh bien ça tombe bien, parce que ça représente une grande proportion des
fonctionnaire. Nettement plus grande que l'attitude équivalente dans le
privé.
Si tu as envie d'aller dans la fonction publique pour y être payé
pauvrement parce que tu as une image noble du service public et que tu
vas faire le maximum pour que cette image soit une réalité alors je dis
bravo et je t'encourage même. Même que ça me ferait plaisir de payer
des impôts pour ça.
Eh bien ça tombe bien, parce que ça représente une grande proportion des
fonctionnaire. Nettement plus grande que l'attitude équivalente dans le
privé.
Je peux t'assurer que je me marre presque à chaque fois car le pauvre
type est bien souvent incapable de faire autre chose que de beugler des
slogans qu'il ne comprend même pas !
La plupart des gens ont une réflexion au ras des pâquerettes, c'est une
certitude. D'ailleurs, je ne suis pas loin d'en penser autant de toi.
Si tu as envie d'aller dans la fonction publique pour y être payé
pauvrement parce que tu as une image noble du service public et que tu
vas faire le maximum pour que cette image soit une réalité alors je dis
bravo et je t'encourage même. Même que ça me ferait plaisir de payer
des impôts pour ça.
Eh bien ça tombe bien, parce que ça représente une grande proportion des
fonctionnaire. Nettement plus grande que l'attitude équivalente dans le
privé.
Je peux t'assurer que je me marre presque à chaque fois car le pauvre
type est bien souvent incapable de faire autre chose que de beugler des
slogans qu'il ne comprend même pas !
La plupart des gens ont une réflexion au ras des pâquerettes, c'est une
certitude. D'ailleurs, je ne suis pas loin d'en penser autant de toi.
Si tu as envie d'aller dans la fonction publique pour y être payé
pauvrement parce que tu as une image noble du service public et que tu
vas faire le maximum pour que cette image soit une réalité alors je dis
bravo et je t'encourage même. Même que ça me ferait plaisir de payer
des impôts pour ça.
Eh bien ça tombe bien, parce que ça représente une grande proportion des
fonctionnaire. Nettement plus grande que l'attitude équivalente dans le
privé.
Je peux t'assurer que je me marre presque à chaque fois car le pauvre
type est bien souvent incapable de faire autre chose que de beugler des
slogans qu'il ne comprend même pas !
La plupart des gens ont une réflexion au ras des pâquerettes, c'est une
certitude. D'ailleurs, je ne suis pas loin d'en penser autant de toi.
Si les 35 heures couvrent le temps de "prestation devant les élèves" et
le temps de préparation des cours (avec matériel et locaux à
disposition), je signe des 2 mains.
Si les 35 heures couvrent le temps de "prestation devant les élèves" et
le temps de préparation des cours (avec matériel et locaux à
disposition), je signe des 2 mains.
Si les 35 heures couvrent le temps de "prestation devant les élèves" et
le temps de préparation des cours (avec matériel et locaux à
disposition), je signe des 2 mains.
J'aurais pu comme mon propre frère rester dans la fonction publique et me
contenter de mon petit chèque en fin de mois. 'Faut aimer aussi.
J'aurais pu comme mon propre frère rester dans la fonction publique et me
contenter de mon petit chèque en fin de mois. 'Faut aimer aussi.
J'aurais pu comme mon propre frère rester dans la fonction publique et me
contenter de mon petit chèque en fin de mois. 'Faut aimer aussi.
Si, voilà encore un discours qui explique très bien comment le
sarkozisme est possible.
Si, voilà encore un discours qui explique très bien comment le
sarkozisme est possible.
Si, voilà encore un discours qui explique très bien comment le
sarkozisme est possible.
A mon avis, deux cas de figure: ou ta boite marche fort, et tu vas
devenir *très* riche, ce qu'aucun emploi de fonctionnaire ne t'aurait
apporté, ou elle végète et tu ne vas effectivement pas bien gagner ta
vie, tout en travaillant beaucoup. Si tu étais dans le premier cas de
figure, tu ne serais pas là en train de te plaindre. Dans le deuxième
cas, je comprends que tu te sentes lésé, mais en fait la cause de tes
problèmes n'est pas dans le fait que ces salauds de fonctionnaires ne
foutent rien, mais dans le fait que tu t'es mal démerdé - ce que je ne
te reproche pas - et en particulier qu'il ne fallait pas créer une boite
au lieu de rester fonctionnaire.
A mon avis, deux cas de figure: ou ta boite marche fort, et tu vas
devenir *très* riche, ce qu'aucun emploi de fonctionnaire ne t'aurait
apporté, ou elle végète et tu ne vas effectivement pas bien gagner ta
vie, tout en travaillant beaucoup. Si tu étais dans le premier cas de
figure, tu ne serais pas là en train de te plaindre. Dans le deuxième
cas, je comprends que tu te sentes lésé, mais en fait la cause de tes
problèmes n'est pas dans le fait que ces salauds de fonctionnaires ne
foutent rien, mais dans le fait que tu t'es mal démerdé - ce que je ne
te reproche pas - et en particulier qu'il ne fallait pas créer une boite
au lieu de rester fonctionnaire.
A mon avis, deux cas de figure: ou ta boite marche fort, et tu vas
devenir *très* riche, ce qu'aucun emploi de fonctionnaire ne t'aurait
apporté, ou elle végète et tu ne vas effectivement pas bien gagner ta
vie, tout en travaillant beaucoup. Si tu étais dans le premier cas de
figure, tu ne serais pas là en train de te plaindre. Dans le deuxième
cas, je comprends que tu te sentes lésé, mais en fait la cause de tes
problèmes n'est pas dans le fait que ces salauds de fonctionnaires ne
foutent rien, mais dans le fait que tu t'es mal démerdé - ce que je ne
te reproche pas - et en particulier qu'il ne fallait pas créer une boite
au lieu de rester fonctionnaire.
Le Mon, 26 Jan 2009 16:15:26 +0000, Michel Talon a écrit dans
news:glkniu$284g$ des mots en forme de phrase
pour nous dire :En fait les deux contradicteurs ici présents, JKB et Doug se présentent
eux mêmes comme ayant été fonctionnaires, et ayant quitté ce havre
d'avantages indus pour aller vivre à la dure dans le privé pour des
queues de cerises. Ce propos en lui même est suffisant pour disqualifier
tout ce qu'ils disent, à moins qu'ils ne soient adeptes de Sacher-Masoch
ou complètement siphonnés, ou encore que tout simplement ils y trouvent
un avantage pécuniaire suffisant.
Pour ma part j'étais jeune et j'occupais un poste sans intérêt qui ne
demandait aucune qualification.
J'ai quitté ce poste pour un job intérimaire équivalent dans le privé qui
me semblait plus en adéquation à ce que j'attendais d'un travail alors.
Il se trouve que j'ai toujours été un "bosseur" et que la fonction publique
ne me permettait pas de m'épanouir (et ne m'offrait aucune perspective). Et
pire que tout on me demandait de ralentir mon rythme de travail que je ne
trouvais déjà pas bien élevé !!!
J'ai clairement beaucoup plus galérer dans le privé (l'intérim quand on est
sans qualif dans les années 90, 'fallait avoir envie) jusqu'à ce que je
trouve ma voie. Ca m'a pris 10 ans.
J'aurais pu comme mon propre frère rester dans la fonction publique et me
contenter de mon petit chèque en fin de mois. 'Faut aimer aussi.
Je pense que c'est avant tout une histoire de caractère plutôt qu'une
histoire de conviction comme vous essayer de le faire croire et je n'ai
aucune rancoeur à l'encontre de la fonction publique.
J'essaie de rester lucide, mais en France il y a certaines choses
auxquelles il ne faut surtout pas toucher. C'est d'ailleurs une des raisons
pour laquelle ce pays se meure doucement.
Il y a 20 ans, un ami de mes parents m'avait dit "Tu verras dans 50 ans la
France sera au niveau de l'Italie." A l'apoque je ne l'avais pris pour un
fou, aujourd'hui je reconsidère ce point de vue et m'aperçois tous les
jours que porte de Montreuil on peut voir des vendeurs de cigarettes à la
sauvette. Le début de la fin...
Le Mon, 26 Jan 2009 16:15:26 +0000, Michel Talon a écrit dans
news:glkniu$284g$2@asmodee.lpthe.jussieu.fr des mots en forme de phrase
pour nous dire :
En fait les deux contradicteurs ici présents, JKB et Doug se présentent
eux mêmes comme ayant été fonctionnaires, et ayant quitté ce havre
d'avantages indus pour aller vivre à la dure dans le privé pour des
queues de cerises. Ce propos en lui même est suffisant pour disqualifier
tout ce qu'ils disent, à moins qu'ils ne soient adeptes de Sacher-Masoch
ou complètement siphonnés, ou encore que tout simplement ils y trouvent
un avantage pécuniaire suffisant.
Pour ma part j'étais jeune et j'occupais un poste sans intérêt qui ne
demandait aucune qualification.
J'ai quitté ce poste pour un job intérimaire équivalent dans le privé qui
me semblait plus en adéquation à ce que j'attendais d'un travail alors.
Il se trouve que j'ai toujours été un "bosseur" et que la fonction publique
ne me permettait pas de m'épanouir (et ne m'offrait aucune perspective). Et
pire que tout on me demandait de ralentir mon rythme de travail que je ne
trouvais déjà pas bien élevé !!!
J'ai clairement beaucoup plus galérer dans le privé (l'intérim quand on est
sans qualif dans les années 90, 'fallait avoir envie) jusqu'à ce que je
trouve ma voie. Ca m'a pris 10 ans.
J'aurais pu comme mon propre frère rester dans la fonction publique et me
contenter de mon petit chèque en fin de mois. 'Faut aimer aussi.
Je pense que c'est avant tout une histoire de caractère plutôt qu'une
histoire de conviction comme vous essayer de le faire croire et je n'ai
aucune rancoeur à l'encontre de la fonction publique.
J'essaie de rester lucide, mais en France il y a certaines choses
auxquelles il ne faut surtout pas toucher. C'est d'ailleurs une des raisons
pour laquelle ce pays se meure doucement.
Il y a 20 ans, un ami de mes parents m'avait dit "Tu verras dans 50 ans la
France sera au niveau de l'Italie." A l'apoque je ne l'avais pris pour un
fou, aujourd'hui je reconsidère ce point de vue et m'aperçois tous les
jours que porte de Montreuil on peut voir des vendeurs de cigarettes à la
sauvette. Le début de la fin...
Le Mon, 26 Jan 2009 16:15:26 +0000, Michel Talon a écrit dans
news:glkniu$284g$ des mots en forme de phrase
pour nous dire :En fait les deux contradicteurs ici présents, JKB et Doug se présentent
eux mêmes comme ayant été fonctionnaires, et ayant quitté ce havre
d'avantages indus pour aller vivre à la dure dans le privé pour des
queues de cerises. Ce propos en lui même est suffisant pour disqualifier
tout ce qu'ils disent, à moins qu'ils ne soient adeptes de Sacher-Masoch
ou complètement siphonnés, ou encore que tout simplement ils y trouvent
un avantage pécuniaire suffisant.
Pour ma part j'étais jeune et j'occupais un poste sans intérêt qui ne
demandait aucune qualification.
J'ai quitté ce poste pour un job intérimaire équivalent dans le privé qui
me semblait plus en adéquation à ce que j'attendais d'un travail alors.
Il se trouve que j'ai toujours été un "bosseur" et que la fonction publique
ne me permettait pas de m'épanouir (et ne m'offrait aucune perspective). Et
pire que tout on me demandait de ralentir mon rythme de travail que je ne
trouvais déjà pas bien élevé !!!
J'ai clairement beaucoup plus galérer dans le privé (l'intérim quand on est
sans qualif dans les années 90, 'fallait avoir envie) jusqu'à ce que je
trouve ma voie. Ca m'a pris 10 ans.
J'aurais pu comme mon propre frère rester dans la fonction publique et me
contenter de mon petit chèque en fin de mois. 'Faut aimer aussi.
Je pense que c'est avant tout une histoire de caractère plutôt qu'une
histoire de conviction comme vous essayer de le faire croire et je n'ai
aucune rancoeur à l'encontre de la fonction publique.
J'essaie de rester lucide, mais en France il y a certaines choses
auxquelles il ne faut surtout pas toucher. C'est d'ailleurs une des raisons
pour laquelle ce pays se meure doucement.
Il y a 20 ans, un ami de mes parents m'avait dit "Tu verras dans 50 ans la
France sera au niveau de l'Italie." A l'apoque je ne l'avais pris pour un
fou, aujourd'hui je reconsidère ce point de vue et m'aperçois tous les
jours que porte de Montreuil on peut voir des vendeurs de cigarettes à la
sauvette. Le début de la fin...