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W7: réponse à une andouille

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Ricolla
Riquer Vincent a pensé très fort :
> clockman wrote:
> [...]
>
> On essaye de télécharger le beta de Windows 7 (un système léger et
> performant, qui ne nécessite *que* 1Go de RAM, 16Go d'espace disque, et
> un processeur cadencé à 1GHz au moins (cf.
> http://www.microsoft.com/windows/windows-7/beta-download.aspx)
>
> Manque de bol, le téléchargement semble ne pas fonctionner avec
> Firefox/Linux...

Le prérequis est le mêm pour une Ubuntu 64 bits avec KDE, surtout la 4

J'ai testé, et le système au démarrage bouffe dans les 700 MB, sans
antivirus

W7 a une interface en effet plus réactive que Vista, et la consommation
de ressources...Bon, c'est fait pour les machines qui sortiront dès
qu'il sera dipos

Metre du nouveau soft sur du vieux matos, c'est idiot, c'est plus une
perte de temps qu'autre chose

W7, après l'avoir testé, est bien le meilleur Windows jamais fait par
Microsoft

C'est même le meilleur système jamais concu

Linux est pas mal aussi, mais avec son architecture héritée, et même
piquée, aux UNIX des années 70, sera toujours grotesque

C'est la vie: Des programmeurs bien payés font du meilleur boulot que
des crèves la faim

C'est vrai pour tout d'ailleurs: Même le communisme est mort !

La preuve, même MAC OS X, un UNIX bricolé par des gens bien payés, et
de trèèèèès loin supérieur à Linux

Linux fait fausse route sur tous les plans, rien de juste. Il n'est bon
que pour une "Elite" qui impressionne les ménagères avec des lignes de
commandes incompréhensibles

C'est rigolo ou triste, suivant l'humeur, mais ca va pas très loin, et
le système reeste confiné dans cette élite, qui de toute facon n'aime
pas les gens qui ne "connaissent rien" à l'informatique, ce qui les
rends eux-même pas très cool à fréquenter

L'immaturité des Linuxiens est totale: Alors que pour eux, la seule
chose utile à faire est encore de recompiler son noyau et tester des
programmes jamais terminé, les utilsateurs de Windows ou Appple
préfèrent faire de la musique, commuqier sur les résaux sociaux, ou
créer des choses compréhensibles par les gens normalements constitués

Le Linuxien parle de process, d'ordonancment, de compilation, de SWAP,
de fichiers à modifier pour configurer un démarrage de deamon, etc.

Le Windowsien parle amitié, réseau sociale, ouverture, créativité, et
il va faire la fête

Le premier est clairmenten rupture avec la société

10 réponses

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Ed
On Mon, 26 Jan 2009 22:45:57 +0100, Stéphane CARPENTIER wrote:

Benjamin FRANCOIS wrote:

Stéphane CARPENTIER nous a dit:
Non, non, je parle des gens qui refusent une amélioration du service,
c'est bien le personnel de la SNCF, pas les banquiers.



C'est vrai qu'avec les taux d'intérêts qui explosent pour les crédits
mais qui se ramassent pour le Livret A, les opérations gratuites qui
deviennent toutes payantes année après année et les miyiards débloqués
par notre Omniprésident pour les tirer d'une merde noire où ils se sont
eux-mêmes foutus (mais oh, et not'bonus alors ?) les banquiers sont
réellement défavorisés par rapport à ces salauds de la SNCF.

Vous me faîtes peur.



Tu crois vraiment que ça rapporte au banquier ? Au grand patron de la
banque, oui, mais au guichetier ?



Ni Jérôme K., ni Eric C. ne sont "grands patrons de banque".


Parce que si tu compares la SNCF avec les banques, soit tu compares le
haut de l'échelle de chaque côté, soit tu compares le bas de l'échelle
de chaque coté. Mais là, c'est ridicule.



Aussi ridicule que de vilipender les "employés de la SNCF" sans autre
distinction?


--
Ed
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Doug713705
Le Mon, 26 Jan 2009 21:45:14 +0000, Ed a écrit dans
news:497e2eea$0$4782$ des mots en forme de phrase
pour nous dire :

Et oui, le vacataire paye le prix pour les embauchés qui ont préféré
conserver leurs acquis au détriment du bien être général.

Le syndicalisme dans sa plus grande stupidité.



Tu as tout-à-fait raison.



Quand l'entreprise va mal et qu'il faudrait la restructurer pour qu'elle
puisse _continuer_ de fonctionner décemment, oui.

Une entreprise publique n'a pas vocation à faire des bénéfices mais on peut
essayer tout de même de minimiser les pertes.

Après si le but est de regarder l'entreprise couler (l'état avec et donc
soit même en tant que citoyen) en couvant ses avantages sociaux...

Le syndicalisme, c'est le mal qui oblige les grandes entreprises
publiques à sous-payer une partie de son personnel. C'est lumineux.



Non. Ce n'est vraiment pas ce que j'ai dit.

--
@+
Doug - Linux user #307925 - Slamd64 roulaize ;-)
[ Plus ou moins avec une chance de peut-être ]
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SL
Le 26-01-2009, JKB a écrit :

Juste un autre point pour terminer : les syndicats (absolument pas
représentatifs, vu le nombre de syndicalisés en France) sont _orientés_
(voire très orientés) politiquement, et c'est à mon avis mauvais. Les
syndicats du patronnats (j'ai écrit _les_) ne sont pas politisés et on
retrouve à la CGPME ou au Médef pour ne citer que ces deux-là toutes les
tendances politiques de l'échiquier politique, de la gauche à la droite.
Ça devrait faire réfléchir, non ?



Oui : sur ton cas.



Une réponse _argumentée_, stp (si tu en es capable)



Il n'y a pas d'argumentation à donner à ton ramassis de clichés
populistes et droitiers et il n'apporte même pas grand chose pour
comprendre la desctruction de nos institutions collectives tellement il
est commun.
Avatar
Stéphane CARPENTIER
Ed wrote:

Aussi ridicule que de vilipender les "employés de la SNCF" sans autre
distinction?



Je ne critique pas les employés sans distinction, je ne critique que les
grévistes, et encore, j'ai dit que quand ils avaient une bonne raison de
faire grève, nous savions tout de suite pour quelle raison ils faisaient
grève. Ce qui veut dire qu'il y a des grèves que je ne critique pas, même
si elles me font chier.

--
Stéphane

Pour me répondre, traduire gratuit en anglais et virer le .invalid.
http://stef.carpentier.free.fr/
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Doug713705
Le Mon, 26 Jan 2009 23:19:07 +0100, Stéphane CARPENTIER a écrit dans
news:497e36db$0$20430$ des mots en forme de phrase
pour nous dire :

Aussi ridicule que de vilipender les "employés de la SNCF" sans autre
distinction?



Je ne critique pas les employés sans distinction, je ne critique que les
grévistes, et encore, j'ai dit que quand ils avaient une bonne raison de
faire grève, nous savions tout de suite pour quelle raison ils faisaient
grève. Ce qui veut dire qu'il y a des grèves que je ne critique pas,
même si elles me font chier.



Mais puisqu'on te dit que le Komité a décidé que tu étais de droite !


--
@+
Doug - Linux user #307925 - Slamd64 roulaize ;-)
[ Plus ou moins avec une chance de peut-être ]
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JKB
Le 26-01-2009, ? propos de
Re: W7: réponse à une andouille,
SL ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Le 26-01-2009, JKB a écrit :
Le 26-01-2009, ? propos de
Re: W7: réponse à une andouille,
SL ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Le 26-01-2009, JKB a écrit :
Le 26-01-2009, ? propos de
Re: W7: réponse à une andouille,
SL ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Le 26-01-2009, JKB a écrit :
Il faut _arrêter_ de dire
que l'employeur est un gros con,



Qui dit ça ? La seule chose que l'on peut dire, c'est qu'il ne
représente que lui et que l'intérêt de l'employeur n'est pas l'intérêt
de son employé ni celui de la société.



Arrête, tu t'enfonces ! Dans la plupart des cas (c'est-à-dire dans
les entreprises normales, pas celles du CAC40, celles qui ne sont pas
soumises à la loi de l'actionnaire), les intérêts du salarié sont ceux
de l'employeur. L'employeur se bat pour faire tourner sa société (ou son
entreprise) donc pour filer du boulot (et payer) ses salariés. Un
salarié qui se bat _contre_ son employeur au mépris du bon sens est un
imbécile.



Écoute, merci d'être aussi clair.

Juste une petite question est-ce que tu es conscient d'être de droite,
ou est ce que tu refuses cette étiquette et que tu préfères une
pirouette ou d'une autre (ni gauche ni droite, en fait je suis la vraie
gauche, blabla) ?



Merci d'être aussi clair sur ta bêtise.



Je t'en prie.

Dans n'importe quel système politique, une entreprise privée dont les
salariés font grève pour n'importe quelle raison fait rapidement
faillite, que tu le veuilles ou non. Donc le patronat n'a _aucun_
intérêt de trop presser ses employés sous peine de se casser la
gueule. Si la SNCF et les autres entreprises publiques sont toujours
là, c'est parce que l'état y injecte de l'argent après chaque grève
(ou chaque trou du fait d'une gestion catastrophique). Le salarié a
aussi un intérêt à ce que son entreprise tourne. Bref, il faut vivre
avec con temps et ne pas rester à la sempiternelle lutte des classes
éculée.



Ton petit raisonnement de bistrotier ci-dessus était censé périmer la
notion de lutte des classes ?

Et ça, c'est du pragmatisme et
pas le fait d'être de gauche ou de droite



Oui, invoquer le pragmatisme dans ce genre d'affaire est strictement de
droite.

(mais c'est tellement plus 'in' d'être du côté de Besancenoti
et de cracher sur ce qui au final te fait vivre parce que
fonctionnaire ou non, tu dépends du secteur privé mêpme si c'est au
travers d'impôts et de taxes diverses...).



Voilà encore une opinion inepte de bistrotier. La société dans laquelle
on vit dépend autant de la contribution du secteur public que du secteur
privé. Dire que, au final, c'est le privé qui fait vivre, le public
n'apportant qu'un rafinement dispensable, ça n'est justifié par rien.
Les deux secteurs créent de la richesse au même titre.



C'est parfaitement faux. Libre à toi de croire le contraire. Ton
raisonnement serait vrai si _et seulement si_ les conditions de travail
(et les contrôles) sont les mêmes dans les deux secteurs, ce qui n'est
pas le cas. À partir du moment où personne ne surveille le
fonctionnement du secteur public (ne me sort surtout pas que les
inspecteurs du corps enseignant comme exemple), le système demande pour
fonctionner toujours plus de fonctionnaires alors que si tous ceux-ci
travaillaient _normalement_ (juste normalement, sans exploiter
personne), on aurait besoin de deux fois moins de fonctionnaires. Le
nombre de fonctionnaires a été doublé en France depuis 1992 (chiffres
officiels), que je sache, en 1992, la France n'était pas
sous-administrée.

Que tu le veuilles ou non, le service public, c'est un service. En
cela, c'est un service que les administrés acceptent de payer et il
coûte de l'argent au contribuable. Le contribuable est donc en droit
d'en attendre une certaine efficacité. Maintenant, puisque tu me taxes
d'être de droite, ce que je te répète je ne suis pas (en tout cas, je
suis largement moins à droite que tu n'es de gauche), je vais te donner
le fond de ma pensée. Le service public, c'est très bien. Mais ce qui
lui ferait le plus grand bien, c'est de le mettre dans un secteur
concurrentiel, mais pas n'importe comment, pas comme on a décidé
(d'ailleurs, c'est la gauche qui a commencé...) de le faire, simplement
de le mettre en concurrence avec des entreprises privées qui ont une
obligation de service public. Un concurrent à la Poste, soit, mais avec
l'obligation d'acheminer le courrier partout en France 6 jours sur 7.
Idem pour les opérateurs de téléphonie. Après, on pourra discuter de la
gestion des services publics.

Je crois qu'enferré dans
tes certitudes de gauchiste de base lobotomisé par des idée
simplissimes,



C'est amusant parce que les raisonnement de coin de rue "simpliste",
genre tu vois bien la lutte des classes n'existe pas puisque le patron
comme l'ouvrier a "intérêt" à ce que l'entreprise continue à tourner,
c'est spécialement dans tes posts qu'on les voit.



Sauf que tu as coupé la moitié de mon post. J'ai dit que dans le cas
de PME qui constitue la majorité des emplois du secteur privé... Je suis
contre les rémunérations à la noix des grands dirigeants et de tout ce
qui touche au capitalisme _financier_, je suis pour une certaine
régulation (à l'intention des gauchistes du coin, ce n'est pas incompatible
avec le capitalisme mais avec le libéralisme) mais je maintiens que les
intérêts des salariés et des patrons des PME sont à peu près les mêmes.
Après, qu'ils se fassent bourrer le mou par les dernières conneries
comme le SMIC à 1500 euros, c'est autre chose, mais il ne faudra pas
qu'il viennent pleurer. Les plus anciens ici se rappelleront les
promesses de 1981 et les deux ou trois dévaluations qui ont suivi...

tu n'as même pas idée du pourcentage de salariés du
privé dépendant de petites et moyennes entreprises dont les patrons
sont généralement assez paternalistes parce qu'ils connaissent
personnellement _tous_ les employés.



Quel est le rapport ? Aucun.



Si. Il y a un rapport. Virer 1000 personnes que tu ne connais pas,
c'est une chose. C'est facile, les mille personnes ne représentent
strictement rien pour toi, tout au plus un trait de plume sur une note
de service. Virer une personne lorsque tu es patron d'une
boîte de 15 personnes, c'est _beaucoup_ plus difficile. Même un CDD qui
n'est pas reconduit pour un salarié de 50 ans, c'est une épreuve parce
que tu as conscience de foutre la personne dans la merde, mais tu ne
peux pas faire autrement. Tant que tu n'as pas vécu ce genre de
situation, tu peux déblatérer sur le patronat, tu sonnes creux et faux.
Les types de ton style ont surtout le don de m'énerver parce qu'ils
sont d'une part persuadés que le patronat est _toujours_ un vilain
méchant (je parle _toujours_ des PME, pas des grands groupes), et
d'autre part parce qu'ils n'imaginent même pas les problèmes humains
rencontrés.

En fait, je crois que tu me fais pitié.



Je suis désolé pour toi que tu navigues dans ce genre de sentiment.



Et toi, tu es mur pour le syndicalisme bas de plafond. Tu as de la
chance, en France, tu n'as que l'embarras du choix.

JKB

--
Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre
masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous
consommons tous les jours.
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SL
Le 26-01-2009, JKB a écrit :

Je ne sais pas si tu te rends compte de ce que tu écris. Si je te
fournis une preuve (la suppression d'un train est un fait objectif si tu
sais ce que cela veut dire !), tu me dis que mon interprétation est
biaisée. Si je te demande de chercher toi-même les informations, tu me
rétorques que la charge de la preuve est de mon côté. Tu es pathétique.



Le problème était plutôt des suppressions de postes et un nième
ralentissement des trains dû aux refus par RFF d'entretenir les rails.



Je n'ai jamais parlé d'entretien et l'entretien de la voie en
question est parfait jusqu'à présent. Autre question ?



L'entretien est à ce point parfait que les trains doivent ralentir ;
c'est de notoriété publique ; à part ça, ce sont les cheminots qui sont
à l'origine de la dégradation du service.

En fait pour ne pas en rester à ces exemples navrants et donner à ta
pensée toute la généralisation qu'elle mérite, je pense qu'on peut dire
que ce n'est pas le gouvernement actuel qui détruit méthodiquement le
service public, ce sont les syndicats (de gauchistes) qui le détruisent
lui-même et volontairement en l'empêchant d'avoir la rentabilité
requise, tandis que Sarkozy, lui, veut un ambitieux service public.

Je ne peux rien faire pour ta vision du monde à hauteur d'une suspension
de voiture. Robert Castel (/Qu'est-ce qu'être protégé/) peut quelque
chose pour toi :

p. 30 [note 21] Les services publics, entendus comme des dispositifs
mettant à la disposition du plus grand nombre des biens essentiels qui
ne peuvent être pris en charge par les intérêts privés, constituent
une part importante de la propriété sociale : que des services non
marchandisés soient accessibles à tous est un facteur essentiel de
cohésion entre les différents segments d'une société moderne.

p. 42 Le modèle de société qui s'impose avec la modernité organisée
est celui d'un ensemble de groupes professionnels dont la dynamique
est gérée dans le cadre de l'État-nation. Ce sont ces deux piliers
sur lesquels se sont édifiés les systèmes de protection collectives -
l'État et les catégories socio-professionnelles homogènes - qui
s'effritent à partir du milieu des années 1970.

p. 30 [note 21] Les services publics, entendus comme des dispositifs
mettant à la disposition du plus grand nombre des biens essentiels qui
ne peuvent être pris en charge par les intérêts privés, constituent
une part importante de la propriété sociale : que des services non
marchandisés soient accessibles à tous est un facteur essentiel de
cohésion entre les différents segments d'une société moderne.

p. 42 Le modèle de société qui s'impose avec la modernité organisée
est celui d'un ensemble de groupes professionnels dont la dynamique
est gérée dans le cadre de l'État-nation. Ce sont ces deux piliers
sur lesquels se sont édifiés les systèmes de protection collectives -
l'État et les catégories socio-professionnelles homogènes - qui
s'effritent à partir du milieu des années 1970.

Nul doute que ça, que les trains ralentissent, les utilisateurs s'en
fichent, n'est-ce aps ? Tes opinions sur ces sujets sont strictement
délirantes. Tu as une position complètement réactionnaire et réactive et
tu ne t'en rend même pas compte.



Parce que la position consistant à vouloir mettre tout le monde au
boulot est réacionnaire. Merci de ton soutien !



Oui, l'expression "mettre tout le monde au boulot" parlant de la
fonction publique est réactionnaire, sans nul doute possible.
Avatar
Professeur M
Le Mon, 26 Jan 2009 21:52:10 +0000, JKB a écrit :

c'est quoi qui « marche » ? L'efficacité pédagogique du soutien ou le
succès commercial ?



L'efficacité pédagogique.



j'ai toujours un petit doute sur la qualité de ce genre de mesure
d'efficacité. D'abord parce que c'est *très* difficile à évaluer et
ensuite encore un peu plus quand cela émane d'un établissement
commercial...
Avatar
Professeur M
Le Mon, 26 Jan 2009 16:04:13 +0000, Michel Talon a écrit :

tout le monde sait que le choix
de la fonction publique signifie un salaire de misère toute ta vie.



n'exagérons rien...
Avatar
JKB
Le 26-01-2009, ? propos de
Re: W7: réponse à une andouille,
SL ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Le 26-01-2009, JKB a écrit :

Juste un autre point pour terminer : les syndicats (absolument pas
représentatifs, vu le nombre de syndicalisés en France) sont _orientés_
(voire très orientés) politiquement, et c'est à mon avis mauvais. Les
syndicats du patronnats (j'ai écrit _les_) ne sont pas politisés et on
retrouve à la CGPME ou au Médef pour ne citer que ces deux-là toutes les
tendances politiques de l'échiquier politique, de la gauche à la droite.
Ça devrait faire réfléchir, non ?



Oui : sur ton cas.



Une réponse _argumentée_, stp (si tu en es capable)



Il n'y a pas d'argumentation à donner à ton ramassis de clichés
populistes et droitiers et il n'apporte même pas grand chose pour
comprendre la desctruction de nos institutions collectives tellement il
est commun.



Je te _repose_ ma question. Comment se fait-il que les syndicats des
salariés soient orientés politiquement et que les syndicats du patronat
ne le soient pas ? Le monsieur te demande d'argumenter ta réponse.

Que les syndicats des salariés soient gauchisants, je veux bien
encore le comprendre au vu de leur représentation statistique. Mais que
les syndicats du patronats regroupent toutes les orientations
politiques, c'est difficilement croyable d'après toi. D'après toi toujours,
un patron, c'est un populiste droitier. C'est totalement faux, mais c'est
tellement simple et confortable de le croire parce que cela transforme une
lutte syndicale en lutte politique, ce qui est assez différent (mais je
ne vais pas faire ton éducation, il y a beaucoup de boulot et je n'en
aurais ni la patience ni le temps).

Continue, ta bêtise m'amuse (et pour ta gouverne, je suis encore au
boulot à lancer des calculs sur des clusters, le lundi n'est pas mon
jour de congé, d'ailleurs, mon dernier jour de congé remonte à un mois
et je ne demande à personne de pleurer sur mon cas !)

JKB

--
Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre
masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous
consommons tous les jours.