Le Mon, 26 Jan 2009 14:06:47 +0000, SL a écrit dans
news: des mots en forme de phrase pour
nous dire :Non, il y a surtout des efforts à vrai du côté de ceux dont tu ne parles
tout simplement pas, qui ne sont ni particulièrement dans le privé, ni
particulièrement dans le public.
Je dois être fatigué mais je ne comprends pas cette phrase.
- Qu'est ce veut dire "des efforts à vrai" ?
- De qui parles tu précisément ?
Et le service public bashing
Ah, cool un nouveau buzzword !
est juste un jouet qu'on t'a mis devant les yeux pour détourner ton
attention.
Mon attention n'est nullement détournée.
Par contre les grévistes (d'une manière générale, certaines grèves sont
bien évidemment tout à fait légitimes) eux ont un regard totalement détourné
des réalités économiques mais quand on en parle on se fait taxer de
Sarkosyste ou de facho.
Maintenant si on pouvait parler d'un cas concret comme celui
d'Alitalia en Italie on s'apercevrait que le syndicalisme à outrance à
fait bien plus de mal que de bien et que l'offre finale de reprise est
bien en deça de ce qu'elle aurait pu être si certains avaient eu
l'intelligence de s'apercevoir que derrière les problèmes de chacun il
y a une réalité économique à laquelle est confrontée l'entreprise en
tant qu'entité (salariés et patrons inclus donc).
Ce qui n'empêche pas de trouver scandaleux les parachutes dorés, les
dé- localisation abusives et ce genre d'agissements.
Je pense sincèrement que les efforts sont à faire de chaque coté sans
que personne n'est détourné mon regard de la réalité.
Le Mon, 26 Jan 2009 14:06:47 +0000, SL a écrit dans
news:slrngnrf13.nap.nospam@valla.limsi.fr des mots en forme de phrase pour
nous dire :
Non, il y a surtout des efforts à vrai du côté de ceux dont tu ne parles
tout simplement pas, qui ne sont ni particulièrement dans le privé, ni
particulièrement dans le public.
Je dois être fatigué mais je ne comprends pas cette phrase.
- Qu'est ce veut dire "des efforts à vrai" ?
- De qui parles tu précisément ?
Et le service public bashing
Ah, cool un nouveau buzzword !
est juste un jouet qu'on t'a mis devant les yeux pour détourner ton
attention.
Mon attention n'est nullement détournée.
Par contre les grévistes (d'une manière générale, certaines grèves sont
bien évidemment tout à fait légitimes) eux ont un regard totalement détourné
des réalités économiques mais quand on en parle on se fait taxer de
Sarkosyste ou de facho.
Maintenant si on pouvait parler d'un cas concret comme celui
d'Alitalia en Italie on s'apercevrait que le syndicalisme à outrance à
fait bien plus de mal que de bien et que l'offre finale de reprise est
bien en deça de ce qu'elle aurait pu être si certains avaient eu
l'intelligence de s'apercevoir que derrière les problèmes de chacun il
y a une réalité économique à laquelle est confrontée l'entreprise en
tant qu'entité (salariés et patrons inclus donc).
Ce qui n'empêche pas de trouver scandaleux les parachutes dorés, les
dé- localisation abusives et ce genre d'agissements.
Je pense sincèrement que les efforts sont à faire de chaque coté sans
que personne n'est détourné mon regard de la réalité.
Le Mon, 26 Jan 2009 14:06:47 +0000, SL a écrit dans
news: des mots en forme de phrase pour
nous dire :Non, il y a surtout des efforts à vrai du côté de ceux dont tu ne parles
tout simplement pas, qui ne sont ni particulièrement dans le privé, ni
particulièrement dans le public.
Je dois être fatigué mais je ne comprends pas cette phrase.
- Qu'est ce veut dire "des efforts à vrai" ?
- De qui parles tu précisément ?
Et le service public bashing
Ah, cool un nouveau buzzword !
est juste un jouet qu'on t'a mis devant les yeux pour détourner ton
attention.
Mon attention n'est nullement détournée.
Par contre les grévistes (d'une manière générale, certaines grèves sont
bien évidemment tout à fait légitimes) eux ont un regard totalement détourné
des réalités économiques mais quand on en parle on se fait taxer de
Sarkosyste ou de facho.
Maintenant si on pouvait parler d'un cas concret comme celui
d'Alitalia en Italie on s'apercevrait que le syndicalisme à outrance à
fait bien plus de mal que de bien et que l'offre finale de reprise est
bien en deça de ce qu'elle aurait pu être si certains avaient eu
l'intelligence de s'apercevoir que derrière les problèmes de chacun il
y a une réalité économique à laquelle est confrontée l'entreprise en
tant qu'entité (salariés et patrons inclus donc).
Ce qui n'empêche pas de trouver scandaleux les parachutes dorés, les
dé- localisation abusives et ce genre d'agissements.
Je pense sincèrement que les efforts sont à faire de chaque coté sans
que personne n'est détourné mon regard de la réalité.
Le 26-01-2009, ? propos de Re: W7: réponse à une andouille, Doug713705
?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :Le Mon, 26 Jan 2009 11:19:43 +0000, JKB a écrit dans
news: des mots en forme
de phrase pour nous dire :L'emploi garanti (parce que dans les faits, c'est bien ça) provoque
une génération spontanée de tirs-au-flanc et d'incompétents
entravant le travail de ceux qui ont une haute idée de la fonction
publique. Résultat, plutôt que remettre au boulot _tous_ les
fonctionnaires, on en embauche en plus, qui intinct grégaire oblige,
ne font pas plus de boulot que les autres en coûtant toujorus plus
chers. Et c'est _ce_ point très précis qui fait que le service
public part en quenouille entre des fonctionnaires (dont certains
ont encore un goût pour ce qu'ils font) et les usagers de ce même
service public.
Le pire c'est de s'apercevoir que ceux qui restent à avoir une haute
image du service public en sont eux-même dégouttés.
D'ailleurs en général ils démissionnent et ce sont bien les seuls à
avoir le courage de le faire.
Ouaips... J'en suis d'ailleurs un bel exemple...
Il y aurait même un
bouquin a écrire sur les problèmes de l'enseignement supérieur. Si
seulement j'en avait le temps...
Le 26-01-2009, ? propos de Re: W7: réponse à une andouille, Doug713705
?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Le Mon, 26 Jan 2009 11:19:43 +0000, JKB a écrit dans
news:slrngnr72d.t00.knatschke@rayleigh.systella.fr des mots en forme
de phrase pour nous dire :
L'emploi garanti (parce que dans les faits, c'est bien ça) provoque
une génération spontanée de tirs-au-flanc et d'incompétents
entravant le travail de ceux qui ont une haute idée de la fonction
publique. Résultat, plutôt que remettre au boulot _tous_ les
fonctionnaires, on en embauche en plus, qui intinct grégaire oblige,
ne font pas plus de boulot que les autres en coûtant toujorus plus
chers. Et c'est _ce_ point très précis qui fait que le service
public part en quenouille entre des fonctionnaires (dont certains
ont encore un goût pour ce qu'ils font) et les usagers de ce même
service public.
Le pire c'est de s'apercevoir que ceux qui restent à avoir une haute
image du service public en sont eux-même dégouttés.
D'ailleurs en général ils démissionnent et ce sont bien les seuls à
avoir le courage de le faire.
Ouaips... J'en suis d'ailleurs un bel exemple...
Il y aurait même un
bouquin a écrire sur les problèmes de l'enseignement supérieur. Si
seulement j'en avait le temps...
Le 26-01-2009, ? propos de Re: W7: réponse à une andouille, Doug713705
?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :Le Mon, 26 Jan 2009 11:19:43 +0000, JKB a écrit dans
news: des mots en forme
de phrase pour nous dire :L'emploi garanti (parce que dans les faits, c'est bien ça) provoque
une génération spontanée de tirs-au-flanc et d'incompétents
entravant le travail de ceux qui ont une haute idée de la fonction
publique. Résultat, plutôt que remettre au boulot _tous_ les
fonctionnaires, on en embauche en plus, qui intinct grégaire oblige,
ne font pas plus de boulot que les autres en coûtant toujorus plus
chers. Et c'est _ce_ point très précis qui fait que le service
public part en quenouille entre des fonctionnaires (dont certains
ont encore un goût pour ce qu'ils font) et les usagers de ce même
service public.
Le pire c'est de s'apercevoir que ceux qui restent à avoir une haute
image du service public en sont eux-même dégouttés.
D'ailleurs en général ils démissionnent et ce sont bien les seuls à
avoir le courage de le faire.
Ouaips... J'en suis d'ailleurs un bel exemple...
Il y aurait même un
bouquin a écrire sur les problèmes de l'enseignement supérieur. Si
seulement j'en avait le temps...
Mon attention n'est nullement détournée. Par contre les grévistes
(d'une manière générale, certaines grèves sont bien évidemment tout à
fait légitimes) eux ont un regard totalement détourné des réalités
économiques mais quand on en parle on se fait taxer de Sarkosyste ou de
facho.
Ce sont en effet deux synonymes.
Maintenant si on pouvait parler d'un cas concret comme celui d'Alitalia
en Italie on s'apercevrait que le syndicalisme à outrance à fait bien
plus de mal que de bien et que l'offre finale de reprise est bien en
deça de ce qu'elle aurait pu être si certains avaient eu l'intelligence
de s'apercevoir que derrière les problèmes de chacun il y a une réalité
économique à laquelle est confrontée l'entreprise en tant qu'entité
(salariés et patrons inclus donc).
Je confesse que je ne connais pas la situation d'Alitalia.
Je pense sincèrement que les efforts sont à faire de chaque coté sans
que personne n'est détourné mon regard de la réalité.
C'est plein de bonne volonté cette idée des efforts des deux côtés, mais
je n'aime aps l'idée d'"effort" dans le vocabulaire politique, ça fait
tout de suite trop moral,
et à mon avis les deux côtés vivent déjà
suffisamment mal ; et les responsabilités sont ailleurs.
Mon attention n'est nullement détournée. Par contre les grévistes
(d'une manière générale, certaines grèves sont bien évidemment tout à
fait légitimes) eux ont un regard totalement détourné des réalités
économiques mais quand on en parle on se fait taxer de Sarkosyste ou de
facho.
Ce sont en effet deux synonymes.
Maintenant si on pouvait parler d'un cas concret comme celui d'Alitalia
en Italie on s'apercevrait que le syndicalisme à outrance à fait bien
plus de mal que de bien et que l'offre finale de reprise est bien en
deça de ce qu'elle aurait pu être si certains avaient eu l'intelligence
de s'apercevoir que derrière les problèmes de chacun il y a une réalité
économique à laquelle est confrontée l'entreprise en tant qu'entité
(salariés et patrons inclus donc).
Je confesse que je ne connais pas la situation d'Alitalia.
Je pense sincèrement que les efforts sont à faire de chaque coté sans
que personne n'est détourné mon regard de la réalité.
C'est plein de bonne volonté cette idée des efforts des deux côtés, mais
je n'aime aps l'idée d'"effort" dans le vocabulaire politique, ça fait
tout de suite trop moral,
et à mon avis les deux côtés vivent déjà
suffisamment mal ; et les responsabilités sont ailleurs.
Mon attention n'est nullement détournée. Par contre les grévistes
(d'une manière générale, certaines grèves sont bien évidemment tout à
fait légitimes) eux ont un regard totalement détourné des réalités
économiques mais quand on en parle on se fait taxer de Sarkosyste ou de
facho.
Ce sont en effet deux synonymes.
Maintenant si on pouvait parler d'un cas concret comme celui d'Alitalia
en Italie on s'apercevrait que le syndicalisme à outrance à fait bien
plus de mal que de bien et que l'offre finale de reprise est bien en
deça de ce qu'elle aurait pu être si certains avaient eu l'intelligence
de s'apercevoir que derrière les problèmes de chacun il y a une réalité
économique à laquelle est confrontée l'entreprise en tant qu'entité
(salariés et patrons inclus donc).
Je confesse que je ne connais pas la situation d'Alitalia.
Je pense sincèrement que les efforts sont à faire de chaque coté sans
que personne n'est détourné mon regard de la réalité.
C'est plein de bonne volonté cette idée des efforts des deux côtés, mais
je n'aime aps l'idée d'"effort" dans le vocabulaire politique, ça fait
tout de suite trop moral,
et à mon avis les deux côtés vivent déjà
suffisamment mal ; et les responsabilités sont ailleurs.
Le 26-01-2009, JKB a écrit :Je ne sais pas si tu te rends compte de ce que tu écris. Si je te
fournis une preuve (la suppression d'un train est un fait objectif si tu
sais ce que cela veut dire !), tu me dis que mon interprétation est
biaisée. Si je te demande de chercher toi-même les informations, tu me
rétorques que la charge de la preuve est de mon côté. Tu es pathétique.
Le problème était plutôt des suppressions de postes et un nième
ralentissement des trains dû aux refus par RFF d'entretenir les rails.
Je n'ai jamais parlé d'entretien et l'entretien de la voie en
question est parfait jusqu'à présent. Autre question ?
L'entretien est à ce point parfait que les trains doivent ralentir ;
c'est de notoriété publique ; à part ça, ce sont les cheminots qui sont
à l'origine de la dégradation du service.
En fait pour ne pas en rester à ces exemples navrants et donner à ta
pensée toute la généralisation qu'elle mérite, je pense qu'on peut dire
que ce n'est pas le gouvernement actuel qui détruit méthodiquement le
service public, ce sont les syndicats (de gauchistes) qui le détruisent
lui-même et volontairement en l'empêchant d'avoir la rentabilité
requise, tandis que Sarkozy, lui, veut un ambitieux service public.
Je ne peux rien faire pour ta vision du monde à hauteur d'une suspension
de voiture. Robert Castel (/Qu'est-ce qu'être protégé/) peut quelque
chose pour toi :
p. 30 [note 21] Les services publics, entendus comme des dispositifs
mettant à la disposition du plus grand nombre des biens essentiels qui
ne peuvent être pris en charge par les intérêts privés, constituent
une part importante de la propriété sociale : que des services non
marchandisés soient accessibles à tous est un facteur essentiel de
cohésion entre les différents segments d'une société moderne.
p. 42 Le modèle de société qui s'impose avec la modernité organisée
est celui d'un ensemble de groupes professionnels dont la dynamique
est gérée dans le cadre de l'État-nation. Ce sont ces deux piliers
sur lesquels se sont édifiés les systèmes de protection collectives -
l'État et les catégories socio-professionnelles homogènes - qui
s'effritent à partir du milieu des années 1970.
p. 30 [note 21] Les services publics, entendus comme des dispositifs
mettant à la disposition du plus grand nombre des biens essentiels qui
ne peuvent être pris en charge par les intérêts privés, constituent
une part importante de la propriété sociale : que des services non
marchandisés soient accessibles à tous est un facteur essentiel de
cohésion entre les différents segments d'une société moderne.
p. 42 Le modèle de société qui s'impose avec la modernité organisée
est celui d'un ensemble de groupes professionnels dont la dynamique
est gérée dans le cadre de l'État-nation. Ce sont ces deux piliers
sur lesquels se sont édifiés les systèmes de protection collectives -
l'État et les catégories socio-professionnelles homogènes - qui
s'effritent à partir du milieu des années 1970.
Nul doute que ça, que les trains ralentissent, les utilisateurs s'en
fichent, n'est-ce aps ? Tes opinions sur ces sujets sont strictement
délirantes. Tu as une position complètement réactionnaire et réactive et
tu ne t'en rend même pas compte.
Parce que la position consistant à vouloir mettre tout le monde au
boulot est réacionnaire. Merci de ton soutien !
Oui, l'expression "mettre tout le monde au boulot" parlant de la
fonction publique est réactionnaire, sans nul doute possible.
Le 26-01-2009, JKB <knatschke@koenigsberg.fr> a écrit :
Je ne sais pas si tu te rends compte de ce que tu écris. Si je te
fournis une preuve (la suppression d'un train est un fait objectif si tu
sais ce que cela veut dire !), tu me dis que mon interprétation est
biaisée. Si je te demande de chercher toi-même les informations, tu me
rétorques que la charge de la preuve est de mon côté. Tu es pathétique.
Le problème était plutôt des suppressions de postes et un nième
ralentissement des trains dû aux refus par RFF d'entretenir les rails.
Je n'ai jamais parlé d'entretien et l'entretien de la voie en
question est parfait jusqu'à présent. Autre question ?
L'entretien est à ce point parfait que les trains doivent ralentir ;
c'est de notoriété publique ; à part ça, ce sont les cheminots qui sont
à l'origine de la dégradation du service.
En fait pour ne pas en rester à ces exemples navrants et donner à ta
pensée toute la généralisation qu'elle mérite, je pense qu'on peut dire
que ce n'est pas le gouvernement actuel qui détruit méthodiquement le
service public, ce sont les syndicats (de gauchistes) qui le détruisent
lui-même et volontairement en l'empêchant d'avoir la rentabilité
requise, tandis que Sarkozy, lui, veut un ambitieux service public.
Je ne peux rien faire pour ta vision du monde à hauteur d'une suspension
de voiture. Robert Castel (/Qu'est-ce qu'être protégé/) peut quelque
chose pour toi :
p. 30 [note 21] Les services publics, entendus comme des dispositifs
mettant à la disposition du plus grand nombre des biens essentiels qui
ne peuvent être pris en charge par les intérêts privés, constituent
une part importante de la propriété sociale : que des services non
marchandisés soient accessibles à tous est un facteur essentiel de
cohésion entre les différents segments d'une société moderne.
p. 42 Le modèle de société qui s'impose avec la modernité organisée
est celui d'un ensemble de groupes professionnels dont la dynamique
est gérée dans le cadre de l'État-nation. Ce sont ces deux piliers
sur lesquels se sont édifiés les systèmes de protection collectives -
l'État et les catégories socio-professionnelles homogènes - qui
s'effritent à partir du milieu des années 1970.
p. 30 [note 21] Les services publics, entendus comme des dispositifs
mettant à la disposition du plus grand nombre des biens essentiels qui
ne peuvent être pris en charge par les intérêts privés, constituent
une part importante de la propriété sociale : que des services non
marchandisés soient accessibles à tous est un facteur essentiel de
cohésion entre les différents segments d'une société moderne.
p. 42 Le modèle de société qui s'impose avec la modernité organisée
est celui d'un ensemble de groupes professionnels dont la dynamique
est gérée dans le cadre de l'État-nation. Ce sont ces deux piliers
sur lesquels se sont édifiés les systèmes de protection collectives -
l'État et les catégories socio-professionnelles homogènes - qui
s'effritent à partir du milieu des années 1970.
Nul doute que ça, que les trains ralentissent, les utilisateurs s'en
fichent, n'est-ce aps ? Tes opinions sur ces sujets sont strictement
délirantes. Tu as une position complètement réactionnaire et réactive et
tu ne t'en rend même pas compte.
Parce que la position consistant à vouloir mettre tout le monde au
boulot est réacionnaire. Merci de ton soutien !
Oui, l'expression "mettre tout le monde au boulot" parlant de la
fonction publique est réactionnaire, sans nul doute possible.
Le 26-01-2009, JKB a écrit :Je ne sais pas si tu te rends compte de ce que tu écris. Si je te
fournis une preuve (la suppression d'un train est un fait objectif si tu
sais ce que cela veut dire !), tu me dis que mon interprétation est
biaisée. Si je te demande de chercher toi-même les informations, tu me
rétorques que la charge de la preuve est de mon côté. Tu es pathétique.
Le problème était plutôt des suppressions de postes et un nième
ralentissement des trains dû aux refus par RFF d'entretenir les rails.
Je n'ai jamais parlé d'entretien et l'entretien de la voie en
question est parfait jusqu'à présent. Autre question ?
L'entretien est à ce point parfait que les trains doivent ralentir ;
c'est de notoriété publique ; à part ça, ce sont les cheminots qui sont
à l'origine de la dégradation du service.
En fait pour ne pas en rester à ces exemples navrants et donner à ta
pensée toute la généralisation qu'elle mérite, je pense qu'on peut dire
que ce n'est pas le gouvernement actuel qui détruit méthodiquement le
service public, ce sont les syndicats (de gauchistes) qui le détruisent
lui-même et volontairement en l'empêchant d'avoir la rentabilité
requise, tandis que Sarkozy, lui, veut un ambitieux service public.
Je ne peux rien faire pour ta vision du monde à hauteur d'une suspension
de voiture. Robert Castel (/Qu'est-ce qu'être protégé/) peut quelque
chose pour toi :
p. 30 [note 21] Les services publics, entendus comme des dispositifs
mettant à la disposition du plus grand nombre des biens essentiels qui
ne peuvent être pris en charge par les intérêts privés, constituent
une part importante de la propriété sociale : que des services non
marchandisés soient accessibles à tous est un facteur essentiel de
cohésion entre les différents segments d'une société moderne.
p. 42 Le modèle de société qui s'impose avec la modernité organisée
est celui d'un ensemble de groupes professionnels dont la dynamique
est gérée dans le cadre de l'État-nation. Ce sont ces deux piliers
sur lesquels se sont édifiés les systèmes de protection collectives -
l'État et les catégories socio-professionnelles homogènes - qui
s'effritent à partir du milieu des années 1970.
p. 30 [note 21] Les services publics, entendus comme des dispositifs
mettant à la disposition du plus grand nombre des biens essentiels qui
ne peuvent être pris en charge par les intérêts privés, constituent
une part importante de la propriété sociale : que des services non
marchandisés soient accessibles à tous est un facteur essentiel de
cohésion entre les différents segments d'une société moderne.
p. 42 Le modèle de société qui s'impose avec la modernité organisée
est celui d'un ensemble de groupes professionnels dont la dynamique
est gérée dans le cadre de l'État-nation. Ce sont ces deux piliers
sur lesquels se sont édifiés les systèmes de protection collectives -
l'État et les catégories socio-professionnelles homogènes - qui
s'effritent à partir du milieu des années 1970.
Nul doute que ça, que les trains ralentissent, les utilisateurs s'en
fichent, n'est-ce aps ? Tes opinions sur ces sujets sont strictement
délirantes. Tu as une position complètement réactionnaire et réactive et
tu ne t'en rend même pas compte.
Parce que la position consistant à vouloir mettre tout le monde au
boulot est réacionnaire. Merci de ton soutien !
Oui, l'expression "mettre tout le monde au boulot" parlant de la
fonction publique est réactionnaire, sans nul doute possible.
J'aurais pu comme mon propre frère rester dans la fonction publique et me
contenter de mon petit chèque en fin de mois. 'Faut aimer aussi.
Je pense que c'est avant tout une histoire de caractère plutôt qu'une
histoire de conviction comme vous essayer de le faire croire et je n'ai
aucune rancoeur à l'encontre de la fonction publique.
J'aurais pu comme mon propre frère rester dans la fonction publique et me
contenter de mon petit chèque en fin de mois. 'Faut aimer aussi.
Je pense que c'est avant tout une histoire de caractère plutôt qu'une
histoire de conviction comme vous essayer de le faire croire et je n'ai
aucune rancoeur à l'encontre de la fonction publique.
J'aurais pu comme mon propre frère rester dans la fonction publique et me
contenter de mon petit chèque en fin de mois. 'Faut aimer aussi.
Je pense que c'est avant tout une histoire de caractère plutôt qu'une
histoire de conviction comme vous essayer de le faire croire et je n'ai
aucune rancoeur à l'encontre de la fonction publique.
Le 26-01-2009, ? propos de
Re: W7: réponse à une andouille,
Doug713705 ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
J'ai passé plusieurs années dans des labos universitaires en tant que
chercheur (j'ai écrit quelques publications par-ci par-là pour ceux
qui veulent vérifier). J'étais même au conseil d'administration de
l'établissement en question (et je ne parlerai pas de ses finances ici
même s'il y aurait beaucoup à dire !). J'ai quitté l'université en
2002 non pour des histoires de salaire, mais parce qu'on ne pouvait
strictement rien y faire, que tout était sclérosé par un syndicalisme
foireux, et que tout était fait pour avantager les profs au détriment
de la qualité de l'enseignement dispensé. J'en ai aussi au marre
d'encadrer des étudiants qui bossaient au milieu de profs qui
passaient deux heures par semaine dans un labo à bosser sur un truc
qu'ils vendaient par ailleurs (donc pas sur leur projets de
recherche). J'en ai aussi eu marre de co-signer des papiers pour la
HDR du collègue. J'en ai aussi eu marre d'essayer de me battre pour
que les thésards et les étudiants ingénieurs passent à la cantine de
l'établissement en catégorie 1 parce qu'ils passaient en cat5, donc à
32,50 FF (à l'époque), ce qui était plus cher que ce que je payait
moi-même (alors qu'ils n'étaient pas salariés). J'en ai eu marre aussi
de pouvoir (et de devoir sous peine de ne plus avoir de crédit)
changer l'informatique du labo _tous_ les ans, alors que je ne pouvais
pas payer les stagiaires. J'en ai eu marre aussi de bosser au labo
entre 9h00 et 23h00 (oui, il y avait des cours du soir) en semaine et
de 9h00 à 13h00 le samedi alors que la grande majorité des collègues
n'en foutaient pas une. J'en ai eu marre de devoir me battre pour
acheter un PC de calcul ou une station alpha parce que le contrat
machin était exclusif avec Dell. Bref, j'en avais tellement marre que
j'ai démissionné en cours d'année. Je suis toujours en contact avec ce
labo et en dix ans, ça n'a pas changé.
Le 26-01-2009, ? propos de
Re: W7: réponse à une andouille,
Doug713705 ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
J'ai passé plusieurs années dans des labos universitaires en tant que
chercheur (j'ai écrit quelques publications par-ci par-là pour ceux
qui veulent vérifier). J'étais même au conseil d'administration de
l'établissement en question (et je ne parlerai pas de ses finances ici
même s'il y aurait beaucoup à dire !). J'ai quitté l'université en
2002 non pour des histoires de salaire, mais parce qu'on ne pouvait
strictement rien y faire, que tout était sclérosé par un syndicalisme
foireux, et que tout était fait pour avantager les profs au détriment
de la qualité de l'enseignement dispensé. J'en ai aussi au marre
d'encadrer des étudiants qui bossaient au milieu de profs qui
passaient deux heures par semaine dans un labo à bosser sur un truc
qu'ils vendaient par ailleurs (donc pas sur leur projets de
recherche). J'en ai aussi eu marre de co-signer des papiers pour la
HDR du collègue. J'en ai aussi eu marre d'essayer de me battre pour
que les thésards et les étudiants ingénieurs passent à la cantine de
l'établissement en catégorie 1 parce qu'ils passaient en cat5, donc à
32,50 FF (à l'époque), ce qui était plus cher que ce que je payait
moi-même (alors qu'ils n'étaient pas salariés). J'en ai eu marre aussi
de pouvoir (et de devoir sous peine de ne plus avoir de crédit)
changer l'informatique du labo _tous_ les ans, alors que je ne pouvais
pas payer les stagiaires. J'en ai eu marre aussi de bosser au labo
entre 9h00 et 23h00 (oui, il y avait des cours du soir) en semaine et
de 9h00 à 13h00 le samedi alors que la grande majorité des collègues
n'en foutaient pas une. J'en ai eu marre de devoir me battre pour
acheter un PC de calcul ou une station alpha parce que le contrat
machin était exclusif avec Dell. Bref, j'en avais tellement marre que
j'ai démissionné en cours d'année. Je suis toujours en contact avec ce
labo et en dix ans, ça n'a pas changé.
Le 26-01-2009, ? propos de
Re: W7: réponse à une andouille,
Doug713705 ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
J'ai passé plusieurs années dans des labos universitaires en tant que
chercheur (j'ai écrit quelques publications par-ci par-là pour ceux
qui veulent vérifier). J'étais même au conseil d'administration de
l'établissement en question (et je ne parlerai pas de ses finances ici
même s'il y aurait beaucoup à dire !). J'ai quitté l'université en
2002 non pour des histoires de salaire, mais parce qu'on ne pouvait
strictement rien y faire, que tout était sclérosé par un syndicalisme
foireux, et que tout était fait pour avantager les profs au détriment
de la qualité de l'enseignement dispensé. J'en ai aussi au marre
d'encadrer des étudiants qui bossaient au milieu de profs qui
passaient deux heures par semaine dans un labo à bosser sur un truc
qu'ils vendaient par ailleurs (donc pas sur leur projets de
recherche). J'en ai aussi eu marre de co-signer des papiers pour la
HDR du collègue. J'en ai aussi eu marre d'essayer de me battre pour
que les thésards et les étudiants ingénieurs passent à la cantine de
l'établissement en catégorie 1 parce qu'ils passaient en cat5, donc à
32,50 FF (à l'époque), ce qui était plus cher que ce que je payait
moi-même (alors qu'ils n'étaient pas salariés). J'en ai eu marre aussi
de pouvoir (et de devoir sous peine de ne plus avoir de crédit)
changer l'informatique du labo _tous_ les ans, alors que je ne pouvais
pas payer les stagiaires. J'en ai eu marre aussi de bosser au labo
entre 9h00 et 23h00 (oui, il y avait des cours du soir) en semaine et
de 9h00 à 13h00 le samedi alors que la grande majorité des collègues
n'en foutaient pas une. J'en ai eu marre de devoir me battre pour
acheter un PC de calcul ou une station alpha parce que le contrat
machin était exclusif avec Dell. Bref, j'en avais tellement marre que
j'ai démissionné en cours d'année. Je suis toujours en contact avec ce
labo et en dix ans, ça n'a pas changé.
Dans les convictions, on peut inclure les jugements de valeur que
traduit par exemple le méprisant "toucher [son] petit chèque en fin de
mois".
Dans les convictions, on peut inclure les jugements de valeur que
traduit par exemple le méprisant "toucher [son] petit chèque en fin de
mois".
Dans les convictions, on peut inclure les jugements de valeur que
traduit par exemple le méprisant "toucher [son] petit chèque en fin de
mois".
Le Mon, 26 Jan 2009 16:48:51 +0000, Michel Talon a écrit dans
news:glkphj$284g$ des mots en forme de phrase
pour nous dire :Et bien par exemple, si tu lis ton journal tu vas découvrir que Jérôme
Kerviel avait réclamé un bonus annuel de 600 000$ il y a déjà deux ou
trois ans comme récompense de ses prouesses. Imagines ce que ça peut
donner pour ses chefs puisqu'il était tout en bas de l'échelle, et vas
donc comparer ça avec ce que gagne ce salaud de cheminot ou de chercheur
qui passe sa vie à glander. Et je te parle là d'un zigue titulaire en
tout et pour tout d'un diplome universitaire de bas niveau et d'environ
5 ans d'expérience professionnelle. Tu vas me dire que ceci n'est pas
représentatif du cas général. C'est faux, c'est le cas général, et cette
corporation a fait une ponction massive sur l'économie concrète, dont on
paye le prix maintenant.
Oui, c'est vrai.
Tu vois je suis même d'accord avec toi.
Ma position n'est absolument pas dogmatique et quand je pense que des
efforts sont à faire des 2 cotés, ils sont à faire des 2 cotés !!!
Je condamne tout autant les parachutes dorés, les délocalisations abusives,
les patrons qui ferment une usine et se barrent avec la caisse, les
banquiers annonçant pendant 10 ans des bénéfices records et qu'on financent
aujourd'hui avec l'argent public, les pétroliers qui amassent des fortunes
et qui ne manqueront pas de pleurer le jour de la pénurie finale (non sans
avoir augmenté de manière exponentielle les prix de vente et par là leur
bénéfices), les gouvernements, quel que soit leur bord, qui cautionnent tout
ce bordel et ne font RIEN de sensé, Les guerres perpétrées pour satisfaire
le confort bourgeois de l'occident, etc... etc...
Le Mon, 26 Jan 2009 16:48:51 +0000, Michel Talon a écrit dans
news:glkphj$284g$5@asmodee.lpthe.jussieu.fr des mots en forme de phrase
pour nous dire :
Et bien par exemple, si tu lis ton journal tu vas découvrir que Jérôme
Kerviel avait réclamé un bonus annuel de 600 000$ il y a déjà deux ou
trois ans comme récompense de ses prouesses. Imagines ce que ça peut
donner pour ses chefs puisqu'il était tout en bas de l'échelle, et vas
donc comparer ça avec ce que gagne ce salaud de cheminot ou de chercheur
qui passe sa vie à glander. Et je te parle là d'un zigue titulaire en
tout et pour tout d'un diplome universitaire de bas niveau et d'environ
5 ans d'expérience professionnelle. Tu vas me dire que ceci n'est pas
représentatif du cas général. C'est faux, c'est le cas général, et cette
corporation a fait une ponction massive sur l'économie concrète, dont on
paye le prix maintenant.
Oui, c'est vrai.
Tu vois je suis même d'accord avec toi.
Ma position n'est absolument pas dogmatique et quand je pense que des
efforts sont à faire des 2 cotés, ils sont à faire des 2 cotés !!!
Je condamne tout autant les parachutes dorés, les délocalisations abusives,
les patrons qui ferment une usine et se barrent avec la caisse, les
banquiers annonçant pendant 10 ans des bénéfices records et qu'on financent
aujourd'hui avec l'argent public, les pétroliers qui amassent des fortunes
et qui ne manqueront pas de pleurer le jour de la pénurie finale (non sans
avoir augmenté de manière exponentielle les prix de vente et par là leur
bénéfices), les gouvernements, quel que soit leur bord, qui cautionnent tout
ce bordel et ne font RIEN de sensé, Les guerres perpétrées pour satisfaire
le confort bourgeois de l'occident, etc... etc...
Le Mon, 26 Jan 2009 16:48:51 +0000, Michel Talon a écrit dans
news:glkphj$284g$ des mots en forme de phrase
pour nous dire :Et bien par exemple, si tu lis ton journal tu vas découvrir que Jérôme
Kerviel avait réclamé un bonus annuel de 600 000$ il y a déjà deux ou
trois ans comme récompense de ses prouesses. Imagines ce que ça peut
donner pour ses chefs puisqu'il était tout en bas de l'échelle, et vas
donc comparer ça avec ce que gagne ce salaud de cheminot ou de chercheur
qui passe sa vie à glander. Et je te parle là d'un zigue titulaire en
tout et pour tout d'un diplome universitaire de bas niveau et d'environ
5 ans d'expérience professionnelle. Tu vas me dire que ceci n'est pas
représentatif du cas général. C'est faux, c'est le cas général, et cette
corporation a fait une ponction massive sur l'économie concrète, dont on
paye le prix maintenant.
Oui, c'est vrai.
Tu vois je suis même d'accord avec toi.
Ma position n'est absolument pas dogmatique et quand je pense que des
efforts sont à faire des 2 cotés, ils sont à faire des 2 cotés !!!
Je condamne tout autant les parachutes dorés, les délocalisations abusives,
les patrons qui ferment une usine et se barrent avec la caisse, les
banquiers annonçant pendant 10 ans des bénéfices records et qu'on financent
aujourd'hui avec l'argent public, les pétroliers qui amassent des fortunes
et qui ne manqueront pas de pleurer le jour de la pénurie finale (non sans
avoir augmenté de manière exponentielle les prix de vente et par là leur
bénéfices), les gouvernements, quel que soit leur bord, qui cautionnent tout
ce bordel et ne font RIEN de sensé, Les guerres perpétrées pour satisfaire
le confort bourgeois de l'occident, etc... etc...
Le Mon, 26 Jan 2009 16:48:51 +0000, Michel Talon a écrit dans
news:glkphj$284g$ des mots en forme de phrase
pour nous dire :Et bien par exemple, si tu lis ton journal tu vas découvrir que Jérôme
Kerviel avait réclamé un bonus annuel de 600 000$ il y a déjà deux ou
trois ans comme récompense de ses prouesses. Imagines ce que ça peut
donner pour ses chefs puisqu'il était tout en bas de l'échelle, et vas
donc comparer ça avec ce que gagne ce salaud de cheminot ou de chercheur
qui passe sa vie à glander. Et je te parle là d'un zigue titulaire en
tout et pour tout d'un diplome universitaire de bas niveau et d'environ
5 ans d'expérience professionnelle. Tu vas me dire que ceci n'est pas
représentatif du cas général. C'est faux, c'est le cas général, et cette
corporation a fait une ponction massive sur l'économie concrète, dont on
paye le prix maintenant.
Oui, c'est vrai.
Tu vois je suis même d'accord avec toi.
Ma position n'est absolument pas dogmatique et quand je pense que des
efforts sont à faire des 2 cotés, ils sont à faire des 2 cotés !!!
Je condamne tout autant les parachutes dorés, les délocalisations abusives,
les patrons qui ferment une usine et se barrent avec la caisse, les
banquiers annonçant pendant 10 ans des bénéfices records et qu'on financent
aujourd'hui avec l'argent public, les pétroliers qui amassent des fortunes
et qui ne manqueront pas de pleurer le jour de la pénurie finale (non sans
avoir augmenté de manière exponentielle les prix de vente et par là leur
bénéfices), les gouvernements, quel que soit leur bord, qui cautionnent tout
ce bordel et ne font RIEN de sensé, Les guerres perpétrées pour satisfaire
le confort bourgeois de l'occident, etc... etc...
Je t'assure qu'il ne faudrait vraiment pas me donner le bouton rouge parce
que je n'hésiterais probablement pas longtemps !
Le Mon, 26 Jan 2009 16:48:51 +0000, Michel Talon a écrit dans
news:glkphj$284g$5@asmodee.lpthe.jussieu.fr des mots en forme de phrase
pour nous dire :
Et bien par exemple, si tu lis ton journal tu vas découvrir que Jérôme
Kerviel avait réclamé un bonus annuel de 600 000$ il y a déjà deux ou
trois ans comme récompense de ses prouesses. Imagines ce que ça peut
donner pour ses chefs puisqu'il était tout en bas de l'échelle, et vas
donc comparer ça avec ce que gagne ce salaud de cheminot ou de chercheur
qui passe sa vie à glander. Et je te parle là d'un zigue titulaire en
tout et pour tout d'un diplome universitaire de bas niveau et d'environ
5 ans d'expérience professionnelle. Tu vas me dire que ceci n'est pas
représentatif du cas général. C'est faux, c'est le cas général, et cette
corporation a fait une ponction massive sur l'économie concrète, dont on
paye le prix maintenant.
Oui, c'est vrai.
Tu vois je suis même d'accord avec toi.
Ma position n'est absolument pas dogmatique et quand je pense que des
efforts sont à faire des 2 cotés, ils sont à faire des 2 cotés !!!
Je condamne tout autant les parachutes dorés, les délocalisations abusives,
les patrons qui ferment une usine et se barrent avec la caisse, les
banquiers annonçant pendant 10 ans des bénéfices records et qu'on financent
aujourd'hui avec l'argent public, les pétroliers qui amassent des fortunes
et qui ne manqueront pas de pleurer le jour de la pénurie finale (non sans
avoir augmenté de manière exponentielle les prix de vente et par là leur
bénéfices), les gouvernements, quel que soit leur bord, qui cautionnent tout
ce bordel et ne font RIEN de sensé, Les guerres perpétrées pour satisfaire
le confort bourgeois de l'occident, etc... etc...
Je t'assure qu'il ne faudrait vraiment pas me donner le bouton rouge parce
que je n'hésiterais probablement pas longtemps !
Le Mon, 26 Jan 2009 16:48:51 +0000, Michel Talon a écrit dans
news:glkphj$284g$ des mots en forme de phrase
pour nous dire :Et bien par exemple, si tu lis ton journal tu vas découvrir que Jérôme
Kerviel avait réclamé un bonus annuel de 600 000$ il y a déjà deux ou
trois ans comme récompense de ses prouesses. Imagines ce que ça peut
donner pour ses chefs puisqu'il était tout en bas de l'échelle, et vas
donc comparer ça avec ce que gagne ce salaud de cheminot ou de chercheur
qui passe sa vie à glander. Et je te parle là d'un zigue titulaire en
tout et pour tout d'un diplome universitaire de bas niveau et d'environ
5 ans d'expérience professionnelle. Tu vas me dire que ceci n'est pas
représentatif du cas général. C'est faux, c'est le cas général, et cette
corporation a fait une ponction massive sur l'économie concrète, dont on
paye le prix maintenant.
Oui, c'est vrai.
Tu vois je suis même d'accord avec toi.
Ma position n'est absolument pas dogmatique et quand je pense que des
efforts sont à faire des 2 cotés, ils sont à faire des 2 cotés !!!
Je condamne tout autant les parachutes dorés, les délocalisations abusives,
les patrons qui ferment une usine et se barrent avec la caisse, les
banquiers annonçant pendant 10 ans des bénéfices records et qu'on financent
aujourd'hui avec l'argent public, les pétroliers qui amassent des fortunes
et qui ne manqueront pas de pleurer le jour de la pénurie finale (non sans
avoir augmenté de manière exponentielle les prix de vente et par là leur
bénéfices), les gouvernements, quel que soit leur bord, qui cautionnent tout
ce bordel et ne font RIEN de sensé, Les guerres perpétrées pour satisfaire
le confort bourgeois de l'occident, etc... etc...
Je t'assure qu'il ne faudrait vraiment pas me donner le bouton rouge parce
que je n'hésiterais probablement pas longtemps !
Le Mon, 26 Jan 2009 22:46:24 +0000, SL a écrit dans
news: des mots en forme de phrase pour
nous dire :Dans les convictions, on peut inclure les jugements de valeur que
traduit par exemple le méprisant "toucher [son] petit chèque en fin de
mois".
Je touche le mien de la même manière. Je cavale un peu plus pour le mien et
il n'est pas plus gros que le sien.
Il n'y avait pas de jugement de valeur ou de mépris et contrairement à ce
que tu pourrais croire je ne suis pas un nanti, ce bourgeois, ennemi par
nature, que tu aimerais que je sois. (et je n'aspire pas à l'être)
Le Mon, 26 Jan 2009 22:46:24 +0000, SL a écrit dans
news:slrngnsdf6.nap.nospam@valla.limsi.fr des mots en forme de phrase pour
nous dire :
Dans les convictions, on peut inclure les jugements de valeur que
traduit par exemple le méprisant "toucher [son] petit chèque en fin de
mois".
Je touche le mien de la même manière. Je cavale un peu plus pour le mien et
il n'est pas plus gros que le sien.
Il n'y avait pas de jugement de valeur ou de mépris et contrairement à ce
que tu pourrais croire je ne suis pas un nanti, ce bourgeois, ennemi par
nature, que tu aimerais que je sois. (et je n'aspire pas à l'être)
Le Mon, 26 Jan 2009 22:46:24 +0000, SL a écrit dans
news: des mots en forme de phrase pour
nous dire :Dans les convictions, on peut inclure les jugements de valeur que
traduit par exemple le méprisant "toucher [son] petit chèque en fin de
mois".
Je touche le mien de la même manière. Je cavale un peu plus pour le mien et
il n'est pas plus gros que le sien.
Il n'y avait pas de jugement de valeur ou de mépris et contrairement à ce
que tu pourrais croire je ne suis pas un nanti, ce bourgeois, ennemi par
nature, que tu aimerais que je sois. (et je n'aspire pas à l'être)