Le Mon, 26 Jan 2009 22:34:07 +0000, SL a écrit dans
news: des mots en forme de phrase pour
nous dire :Mon attention n'est nullement détournée. Par contre les grévistes
(d'une manière générale, certaines grèves sont bien évidemment tout à
fait légitimes) eux ont un regard totalement détourné des réalités
économiques mais quand on en parle on se fait taxer de Sarkosyste ou de
facho.
Ce sont en effet deux synonymes.
Je le conçois bien mais je ne vois pas en quoi parler des effets pervers du
syndicalisme nous rangerait immédiatement dans cette catégorie.
Je pense sincèrement que les efforts sont à faire de chaque coté sans
que personne n'est détourné mon regard de la réalité.
C'est plein de bonne volonté cette idée des efforts des deux côtés, mais
je n'aime aps l'idée d'"effort" dans le vocabulaire politique, ça fait
tout de suite trop moral,
Il faudra bien les faire ces efforts !!!!! Réveillez-vous !!et à mon avis les deux côtés vivent déjà
suffisamment mal ; et les responsabilités sont ailleurs.
Il est trop tard pour chercher des responsables, il faut AGIR !
Le Mon, 26 Jan 2009 22:34:07 +0000, SL a écrit dans
news:slrngnsco5.nap.nospam@valla.limsi.fr des mots en forme de phrase pour
nous dire :
Mon attention n'est nullement détournée. Par contre les grévistes
(d'une manière générale, certaines grèves sont bien évidemment tout à
fait légitimes) eux ont un regard totalement détourné des réalités
économiques mais quand on en parle on se fait taxer de Sarkosyste ou de
facho.
Ce sont en effet deux synonymes.
Je le conçois bien mais je ne vois pas en quoi parler des effets pervers du
syndicalisme nous rangerait immédiatement dans cette catégorie.
Je pense sincèrement que les efforts sont à faire de chaque coté sans
que personne n'est détourné mon regard de la réalité.
C'est plein de bonne volonté cette idée des efforts des deux côtés, mais
je n'aime aps l'idée d'"effort" dans le vocabulaire politique, ça fait
tout de suite trop moral,
Il faudra bien les faire ces efforts !!!!! Réveillez-vous !!
et à mon avis les deux côtés vivent déjà
suffisamment mal ; et les responsabilités sont ailleurs.
Il est trop tard pour chercher des responsables, il faut AGIR !
Le Mon, 26 Jan 2009 22:34:07 +0000, SL a écrit dans
news: des mots en forme de phrase pour
nous dire :Mon attention n'est nullement détournée. Par contre les grévistes
(d'une manière générale, certaines grèves sont bien évidemment tout à
fait légitimes) eux ont un regard totalement détourné des réalités
économiques mais quand on en parle on se fait taxer de Sarkosyste ou de
facho.
Ce sont en effet deux synonymes.
Je le conçois bien mais je ne vois pas en quoi parler des effets pervers du
syndicalisme nous rangerait immédiatement dans cette catégorie.
Je pense sincèrement que les efforts sont à faire de chaque coté sans
que personne n'est détourné mon regard de la réalité.
C'est plein de bonne volonté cette idée des efforts des deux côtés, mais
je n'aime aps l'idée d'"effort" dans le vocabulaire politique, ça fait
tout de suite trop moral,
Il faudra bien les faire ces efforts !!!!! Réveillez-vous !!et à mon avis les deux côtés vivent déjà
suffisamment mal ; et les responsabilités sont ailleurs.
Il est trop tard pour chercher des responsables, il faut AGIR !
Le 26-01-2009, ? propos de
Re: W7: réponse à une andouille,
SL ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :Le 26-01-2009, JKB a écrit :Je ne sais pas si tu te rends compte de ce que tu écris. Si je te
fournis une preuve (la suppression d'un train est un fait objectif si tu
sais ce que cela veut dire !), tu me dis que mon interprétation est
biaisée. Si je te demande de chercher toi-même les informations, tu me
rétorques que la charge de la preuve est de mon côté. Tu es pathétique.
Le problème était plutôt des suppressions de postes et un nième
ralentissement des trains dû aux refus par RFF d'entretenir les rails.
Je n'ai jamais parlé d'entretien et l'entretien de la voie en
question est parfait jusqu'à présent. Autre question ?
L'entretien est à ce point parfait que les trains doivent ralentir ;
c'est de notoriété publique ; à part ça, ce sont les cheminots qui sont
à l'origine de la dégradation du service.
Je répondais à un _cas particulier_ sur une _ligne particulière_ et
sur une _grève particulière_. Sur la ligne en question, il n'y a _aucun_
défaut d'entretien.
En fait pour ne pas en rester à ces exemples navrants et donner à ta
pensée toute la généralisation qu'elle mérite, je pense qu'on peut dire
que ce n'est pas le gouvernement actuel qui détruit méthodiquement le
service public, ce sont les syndicats (de gauchistes) qui le détruisent
lui-même et volontairement en l'empêchant d'avoir la rentabilité
requise, tandis que Sarkozy, lui, veut un ambitieux service public.
Je n'ai jamais prétendu ça. Cela fait au moins vingt ans que le
service public dérape et tous les gouvernements successifs en sont
responsables. Autant ce de gauche que de droite.
Je ne peux rien faire pour ta vision du monde à hauteur d'une suspension
de voiture. Robert Castel (/Qu'est-ce qu'être protégé/) peut quelque
chose pour toi :
p. 30 [note 21] Les services publics, entendus comme des dispositifs
mettant à la disposition du plus grand nombre des biens essentiels qui
ne peuvent être pris en charge par les intérêts privés, constituent
une part importante de la propriété sociale : que des services non
marchandisés soient accessibles à tous est un facteur essentiel de
cohésion entre les différents segments d'une société moderne.
Je n'ai jamais prétendu le contraire.p. 42 Le modèle de société qui s'impose avec la modernité organisée
est celui d'un ensemble de groupes professionnels dont la dynamique
est gérée dans le cadre de l'État-nation. Ce sont ces deux piliers
sur lesquels se sont édifiés les systèmes de protection collectives -
l'État et les catégories socio-professionnelles homogènes - qui
s'effritent à partir du milieu des années 1970.
Et sais-tu pourquoi cela s'effrite ? Parce qu'il n'y a plus de
protection collective, seulement une protection de groupe. Penche-toi
cinq minutes sur le droit du travail. Depuis 1980, tous les groupes
sociaux tirent de tous les côtés et le code du travail est devenu
tellement abscons qu'il n'y a plus de modèle de société. La gauche râle
actuellement contre le travail du dimanche. Je suis personnellement
contre, mais pour d'autres raisons. Sais-tu au moins qu'il est autorisé
dans une palanquée et demi de conventions collectives ? Tout le reste du
droit du travail est du même tonneau, mais ça permet à l'opposition (de
droite ou de gauche, parce que l'opposition, c'est toujours
l'opposition...) et aux syndicats de faire des effets de manche. Après ça, tu
m'excuseras, mais j'ai un peu de mal à concevoir le côté _collectif_ de
la chose. Parle plutôt de particularismes catégoriels, tu seras plus
crédible.
p. 30 [note 21] Les services publics, entendus comme des dispositifs
mettant à la disposition du plus grand nombre des biens essentiels qui
ne peuvent être pris en charge par les intérêts privés, constituent
une part importante de la propriété sociale : que des services non
marchandisés soient accessibles à tous est un facteur essentiel de
cohésion entre les différents segments d'une société moderne.
p. 42 Le modèle de société qui s'impose avec la modernité organisée
est celui d'un ensemble de groupes professionnels dont la dynamique
est gérée dans le cadre de l'État-nation. Ce sont ces deux piliers
sur lesquels se sont édifiés les systèmes de protection collectives -
l'État et les catégories socio-professionnelles homogènes - qui
s'effritent à partir du milieu des années 1970.
Tu te répètes.
Nul doute que ça, que les trains ralentissent, les utilisateurs s'en
fichent, n'est-ce aps ? Tes opinions sur ces sujets sont strictement
délirantes. Tu as une position complètement réactionnaire et réactive et
tu ne t'en rend même pas compte.
Parce que la position consistant à vouloir mettre tout le monde au
boulot est réacionnaire. Merci de ton soutien !
Oui, l'expression "mettre tout le monde au boulot" parlant de la
fonction publique est réactionnaire, sans nul doute possible.
Je n'ai pas dit 'exploiter', j'ai dit remettre au boulot pour que
cela fonctionne normalement. Et crois-moi (ou ne me crois pas après
tout, je m'en fous), si _tous_ les fonctionnaires faisaient leur travail
(juste leur travail), le fonction publique serait largement mieux
perçue.
Et si demander à quelqu'un de faire juste le boulot pour lequel il
est payé est réactionnaire, oui, je suis réactionnaire.
JKB
Le 26-01-2009, ? propos de
Re: W7: réponse à une andouille,
SL ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Le 26-01-2009, JKB <knatschke@koenigsberg.fr> a écrit :
Je ne sais pas si tu te rends compte de ce que tu écris. Si je te
fournis une preuve (la suppression d'un train est un fait objectif si tu
sais ce que cela veut dire !), tu me dis que mon interprétation est
biaisée. Si je te demande de chercher toi-même les informations, tu me
rétorques que la charge de la preuve est de mon côté. Tu es pathétique.
Le problème était plutôt des suppressions de postes et un nième
ralentissement des trains dû aux refus par RFF d'entretenir les rails.
Je n'ai jamais parlé d'entretien et l'entretien de la voie en
question est parfait jusqu'à présent. Autre question ?
L'entretien est à ce point parfait que les trains doivent ralentir ;
c'est de notoriété publique ; à part ça, ce sont les cheminots qui sont
à l'origine de la dégradation du service.
Je répondais à un _cas particulier_ sur une _ligne particulière_ et
sur une _grève particulière_. Sur la ligne en question, il n'y a _aucun_
défaut d'entretien.
En fait pour ne pas en rester à ces exemples navrants et donner à ta
pensée toute la généralisation qu'elle mérite, je pense qu'on peut dire
que ce n'est pas le gouvernement actuel qui détruit méthodiquement le
service public, ce sont les syndicats (de gauchistes) qui le détruisent
lui-même et volontairement en l'empêchant d'avoir la rentabilité
requise, tandis que Sarkozy, lui, veut un ambitieux service public.
Je n'ai jamais prétendu ça. Cela fait au moins vingt ans que le
service public dérape et tous les gouvernements successifs en sont
responsables. Autant ce de gauche que de droite.
Je ne peux rien faire pour ta vision du monde à hauteur d'une suspension
de voiture. Robert Castel (/Qu'est-ce qu'être protégé/) peut quelque
chose pour toi :
p. 30 [note 21] Les services publics, entendus comme des dispositifs
mettant à la disposition du plus grand nombre des biens essentiels qui
ne peuvent être pris en charge par les intérêts privés, constituent
une part importante de la propriété sociale : que des services non
marchandisés soient accessibles à tous est un facteur essentiel de
cohésion entre les différents segments d'une société moderne.
Je n'ai jamais prétendu le contraire.
p. 42 Le modèle de société qui s'impose avec la modernité organisée
est celui d'un ensemble de groupes professionnels dont la dynamique
est gérée dans le cadre de l'État-nation. Ce sont ces deux piliers
sur lesquels se sont édifiés les systèmes de protection collectives -
l'État et les catégories socio-professionnelles homogènes - qui
s'effritent à partir du milieu des années 1970.
Et sais-tu pourquoi cela s'effrite ? Parce qu'il n'y a plus de
protection collective, seulement une protection de groupe. Penche-toi
cinq minutes sur le droit du travail. Depuis 1980, tous les groupes
sociaux tirent de tous les côtés et le code du travail est devenu
tellement abscons qu'il n'y a plus de modèle de société. La gauche râle
actuellement contre le travail du dimanche. Je suis personnellement
contre, mais pour d'autres raisons. Sais-tu au moins qu'il est autorisé
dans une palanquée et demi de conventions collectives ? Tout le reste du
droit du travail est du même tonneau, mais ça permet à l'opposition (de
droite ou de gauche, parce que l'opposition, c'est toujours
l'opposition...) et aux syndicats de faire des effets de manche. Après ça, tu
m'excuseras, mais j'ai un peu de mal à concevoir le côté _collectif_ de
la chose. Parle plutôt de particularismes catégoriels, tu seras plus
crédible.
p. 30 [note 21] Les services publics, entendus comme des dispositifs
mettant à la disposition du plus grand nombre des biens essentiels qui
ne peuvent être pris en charge par les intérêts privés, constituent
une part importante de la propriété sociale : que des services non
marchandisés soient accessibles à tous est un facteur essentiel de
cohésion entre les différents segments d'une société moderne.
p. 42 Le modèle de société qui s'impose avec la modernité organisée
est celui d'un ensemble de groupes professionnels dont la dynamique
est gérée dans le cadre de l'État-nation. Ce sont ces deux piliers
sur lesquels se sont édifiés les systèmes de protection collectives -
l'État et les catégories socio-professionnelles homogènes - qui
s'effritent à partir du milieu des années 1970.
Tu te répètes.
Nul doute que ça, que les trains ralentissent, les utilisateurs s'en
fichent, n'est-ce aps ? Tes opinions sur ces sujets sont strictement
délirantes. Tu as une position complètement réactionnaire et réactive et
tu ne t'en rend même pas compte.
Parce que la position consistant à vouloir mettre tout le monde au
boulot est réacionnaire. Merci de ton soutien !
Oui, l'expression "mettre tout le monde au boulot" parlant de la
fonction publique est réactionnaire, sans nul doute possible.
Je n'ai pas dit 'exploiter', j'ai dit remettre au boulot pour que
cela fonctionne normalement. Et crois-moi (ou ne me crois pas après
tout, je m'en fous), si _tous_ les fonctionnaires faisaient leur travail
(juste leur travail), le fonction publique serait largement mieux
perçue.
Et si demander à quelqu'un de faire juste le boulot pour lequel il
est payé est réactionnaire, oui, je suis réactionnaire.
JKB
Le 26-01-2009, ? propos de
Re: W7: réponse à une andouille,
SL ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :Le 26-01-2009, JKB a écrit :Je ne sais pas si tu te rends compte de ce que tu écris. Si je te
fournis une preuve (la suppression d'un train est un fait objectif si tu
sais ce que cela veut dire !), tu me dis que mon interprétation est
biaisée. Si je te demande de chercher toi-même les informations, tu me
rétorques que la charge de la preuve est de mon côté. Tu es pathétique.
Le problème était plutôt des suppressions de postes et un nième
ralentissement des trains dû aux refus par RFF d'entretenir les rails.
Je n'ai jamais parlé d'entretien et l'entretien de la voie en
question est parfait jusqu'à présent. Autre question ?
L'entretien est à ce point parfait que les trains doivent ralentir ;
c'est de notoriété publique ; à part ça, ce sont les cheminots qui sont
à l'origine de la dégradation du service.
Je répondais à un _cas particulier_ sur une _ligne particulière_ et
sur une _grève particulière_. Sur la ligne en question, il n'y a _aucun_
défaut d'entretien.
En fait pour ne pas en rester à ces exemples navrants et donner à ta
pensée toute la généralisation qu'elle mérite, je pense qu'on peut dire
que ce n'est pas le gouvernement actuel qui détruit méthodiquement le
service public, ce sont les syndicats (de gauchistes) qui le détruisent
lui-même et volontairement en l'empêchant d'avoir la rentabilité
requise, tandis que Sarkozy, lui, veut un ambitieux service public.
Je n'ai jamais prétendu ça. Cela fait au moins vingt ans que le
service public dérape et tous les gouvernements successifs en sont
responsables. Autant ce de gauche que de droite.
Je ne peux rien faire pour ta vision du monde à hauteur d'une suspension
de voiture. Robert Castel (/Qu'est-ce qu'être protégé/) peut quelque
chose pour toi :
p. 30 [note 21] Les services publics, entendus comme des dispositifs
mettant à la disposition du plus grand nombre des biens essentiels qui
ne peuvent être pris en charge par les intérêts privés, constituent
une part importante de la propriété sociale : que des services non
marchandisés soient accessibles à tous est un facteur essentiel de
cohésion entre les différents segments d'une société moderne.
Je n'ai jamais prétendu le contraire.p. 42 Le modèle de société qui s'impose avec la modernité organisée
est celui d'un ensemble de groupes professionnels dont la dynamique
est gérée dans le cadre de l'État-nation. Ce sont ces deux piliers
sur lesquels se sont édifiés les systèmes de protection collectives -
l'État et les catégories socio-professionnelles homogènes - qui
s'effritent à partir du milieu des années 1970.
Et sais-tu pourquoi cela s'effrite ? Parce qu'il n'y a plus de
protection collective, seulement une protection de groupe. Penche-toi
cinq minutes sur le droit du travail. Depuis 1980, tous les groupes
sociaux tirent de tous les côtés et le code du travail est devenu
tellement abscons qu'il n'y a plus de modèle de société. La gauche râle
actuellement contre le travail du dimanche. Je suis personnellement
contre, mais pour d'autres raisons. Sais-tu au moins qu'il est autorisé
dans une palanquée et demi de conventions collectives ? Tout le reste du
droit du travail est du même tonneau, mais ça permet à l'opposition (de
droite ou de gauche, parce que l'opposition, c'est toujours
l'opposition...) et aux syndicats de faire des effets de manche. Après ça, tu
m'excuseras, mais j'ai un peu de mal à concevoir le côté _collectif_ de
la chose. Parle plutôt de particularismes catégoriels, tu seras plus
crédible.
p. 30 [note 21] Les services publics, entendus comme des dispositifs
mettant à la disposition du plus grand nombre des biens essentiels qui
ne peuvent être pris en charge par les intérêts privés, constituent
une part importante de la propriété sociale : que des services non
marchandisés soient accessibles à tous est un facteur essentiel de
cohésion entre les différents segments d'une société moderne.
p. 42 Le modèle de société qui s'impose avec la modernité organisée
est celui d'un ensemble de groupes professionnels dont la dynamique
est gérée dans le cadre de l'État-nation. Ce sont ces deux piliers
sur lesquels se sont édifiés les systèmes de protection collectives -
l'État et les catégories socio-professionnelles homogènes - qui
s'effritent à partir du milieu des années 1970.
Tu te répètes.
Nul doute que ça, que les trains ralentissent, les utilisateurs s'en
fichent, n'est-ce aps ? Tes opinions sur ces sujets sont strictement
délirantes. Tu as une position complètement réactionnaire et réactive et
tu ne t'en rend même pas compte.
Parce que la position consistant à vouloir mettre tout le monde au
boulot est réacionnaire. Merci de ton soutien !
Oui, l'expression "mettre tout le monde au boulot" parlant de la
fonction publique est réactionnaire, sans nul doute possible.
Je n'ai pas dit 'exploiter', j'ai dit remettre au boulot pour que
cela fonctionne normalement. Et crois-moi (ou ne me crois pas après
tout, je m'en fous), si _tous_ les fonctionnaires faisaient leur travail
(juste leur travail), le fonction publique serait largement mieux
perçue.
Et si demander à quelqu'un de faire juste le boulot pour lequel il
est payé est réactionnaire, oui, je suis réactionnaire.
JKB
Et tu trouves que, devant ce tableau, s'en prendre aux fonctionnaires,
c'est uniquement se tromper de cible ?
Qu'à la différence des marchants
de canon ou de pétrole en tout genre, les services publics sont utiles à
leur société, quel qu'en soit le prix ?
Et tu trouves que, devant ce tableau, s'en prendre aux fonctionnaires,
c'est uniquement se tromper de cible ?
Qu'à la différence des marchants
de canon ou de pétrole en tout genre, les services publics sont utiles à
leur société, quel qu'en soit le prix ?
Et tu trouves que, devant ce tableau, s'en prendre aux fonctionnaires,
c'est uniquement se tromper de cible ?
Qu'à la différence des marchants
de canon ou de pétrole en tout genre, les services publics sont utiles à
leur société, quel qu'en soit le prix ?
Le 26-01-2009, ? propos de
Re: W7: réponse à une andouille,
SL ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :Le 26-01-2009, JKB a écrit :Juste un autre point pour terminer : les syndicats (absolument pas
représentatifs, vu le nombre de syndicalisés en France) sont _orientés_
(voire très orientés) politiquement, et c'est à mon avis mauvais. Les
syndicats du patronnats (j'ai écrit _les_) ne sont pas politisés et on
retrouve à la CGPME ou au Médef pour ne citer que ces deux-là toutes les
tendances politiques de l'échiquier politique, de la gauche à la droite.
Ça devrait faire réfléchir, non ?
Oui : sur ton cas.
Une réponse _argumentée_, stp (si tu en es capable)
Il n'y a pas d'argumentation à donner à ton ramassis de clichés
populistes et droitiers et il n'apporte même pas grand chose pour
comprendre la desctruction de nos institutions collectives tellement il
est commun.
Je te _repose_ ma question. Comment se fait-il que les syndicats des
salariés soient orientés politiquement et que les syndicats du patronat
ne le soient pas ? Le monsieur te demande d'argumenter ta réponse.
Que les syndicats des salariés soient gauchisants, je veux bien
encore le comprendre au vu de leur représentation statistique. Mais que
les syndicats du patronats regroupent toutes les orientations
politiques, c'est difficilement croyable d'après toi. D'après toi toujours,
un patron, c'est un populiste droitier.
Continue, ta bêtise m'amuse (et pour ta gouverne, je suis encore au
boulot à lancer des calculs sur des clusters, le lundi n'est pas mon
jour de congé, d'ailleurs, mon dernier jour de congé remonte à un mois
et je ne demande à personne de pleurer sur mon cas !)
Le 26-01-2009, ? propos de
Re: W7: réponse à une andouille,
SL ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Le 26-01-2009, JKB <knatschke@koenigsberg.fr> a écrit :
Juste un autre point pour terminer : les syndicats (absolument pas
représentatifs, vu le nombre de syndicalisés en France) sont _orientés_
(voire très orientés) politiquement, et c'est à mon avis mauvais. Les
syndicats du patronnats (j'ai écrit _les_) ne sont pas politisés et on
retrouve à la CGPME ou au Médef pour ne citer que ces deux-là toutes les
tendances politiques de l'échiquier politique, de la gauche à la droite.
Ça devrait faire réfléchir, non ?
Oui : sur ton cas.
Une réponse _argumentée_, stp (si tu en es capable)
Il n'y a pas d'argumentation à donner à ton ramassis de clichés
populistes et droitiers et il n'apporte même pas grand chose pour
comprendre la desctruction de nos institutions collectives tellement il
est commun.
Je te _repose_ ma question. Comment se fait-il que les syndicats des
salariés soient orientés politiquement et que les syndicats du patronat
ne le soient pas ? Le monsieur te demande d'argumenter ta réponse.
Que les syndicats des salariés soient gauchisants, je veux bien
encore le comprendre au vu de leur représentation statistique. Mais que
les syndicats du patronats regroupent toutes les orientations
politiques, c'est difficilement croyable d'après toi. D'après toi toujours,
un patron, c'est un populiste droitier.
Continue, ta bêtise m'amuse (et pour ta gouverne, je suis encore au
boulot à lancer des calculs sur des clusters, le lundi n'est pas mon
jour de congé, d'ailleurs, mon dernier jour de congé remonte à un mois
et je ne demande à personne de pleurer sur mon cas !)
Le 26-01-2009, ? propos de
Re: W7: réponse à une andouille,
SL ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :Le 26-01-2009, JKB a écrit :Juste un autre point pour terminer : les syndicats (absolument pas
représentatifs, vu le nombre de syndicalisés en France) sont _orientés_
(voire très orientés) politiquement, et c'est à mon avis mauvais. Les
syndicats du patronnats (j'ai écrit _les_) ne sont pas politisés et on
retrouve à la CGPME ou au Médef pour ne citer que ces deux-là toutes les
tendances politiques de l'échiquier politique, de la gauche à la droite.
Ça devrait faire réfléchir, non ?
Oui : sur ton cas.
Une réponse _argumentée_, stp (si tu en es capable)
Il n'y a pas d'argumentation à donner à ton ramassis de clichés
populistes et droitiers et il n'apporte même pas grand chose pour
comprendre la desctruction de nos institutions collectives tellement il
est commun.
Je te _repose_ ma question. Comment se fait-il que les syndicats des
salariés soient orientés politiquement et que les syndicats du patronat
ne le soient pas ? Le monsieur te demande d'argumenter ta réponse.
Que les syndicats des salariés soient gauchisants, je veux bien
encore le comprendre au vu de leur représentation statistique. Mais que
les syndicats du patronats regroupent toutes les orientations
politiques, c'est difficilement croyable d'après toi. D'après toi toujours,
un patron, c'est un populiste droitier.
Continue, ta bêtise m'amuse (et pour ta gouverne, je suis encore au
boulot à lancer des calculs sur des clusters, le lundi n'est pas mon
jour de congé, d'ailleurs, mon dernier jour de congé remonte à un mois
et je ne demande à personne de pleurer sur mon cas !)
Moi je n'ai jamais vu (dans le public) que des syndicats qui défendaient
leur personnel, leur institution, et l'intérêt général ; je n'ai pas
tellement vu d'effet pervers.
Faire des syndicats les causes des maux du pays
Moi je n'ai jamais vu (dans le public) que des syndicats qui défendaient
leur personnel, leur institution, et l'intérêt général ; je n'ai pas
tellement vu d'effet pervers.
Faire des syndicats les causes des maux du pays
Moi je n'ai jamais vu (dans le public) que des syndicats qui défendaient
leur personnel, leur institution, et l'intérêt général ; je n'ai pas
tellement vu d'effet pervers.
Faire des syndicats les causes des maux du pays
Le Mon, 26 Jan 2009 23:19:07 +0100, Stéphane CARPENTIER a écrit dans
news:497e36db$0$20430$ des mots en forme de phrase
pour nous dire :Aussi ridicule que de vilipender les "employés de la SNCF" sans autre
distinction?
Je ne critique pas les employés sans distinction, je ne critique que les
grévistes, et encore, j'ai dit que quand ils avaient une bonne raison de
faire grève, nous savions tout de suite pour quelle raison ils faisaient
grève. Ce qui veut dire qu'il y a des grèves que je ne critique pas,
même si elles me font chier.
Mais puisqu'on te dit que le Komité a décidé que tu étais de droite !
Le Mon, 26 Jan 2009 23:19:07 +0100, Stéphane CARPENTIER a écrit dans
news:497e36db$0$20430$426a34cc@news.free.fr des mots en forme de phrase
pour nous dire :
Aussi ridicule que de vilipender les "employés de la SNCF" sans autre
distinction?
Je ne critique pas les employés sans distinction, je ne critique que les
grévistes, et encore, j'ai dit que quand ils avaient une bonne raison de
faire grève, nous savions tout de suite pour quelle raison ils faisaient
grève. Ce qui veut dire qu'il y a des grèves que je ne critique pas,
même si elles me font chier.
Mais puisqu'on te dit que le Komité a décidé que tu étais de droite !
Le Mon, 26 Jan 2009 23:19:07 +0100, Stéphane CARPENTIER a écrit dans
news:497e36db$0$20430$ des mots en forme de phrase
pour nous dire :Aussi ridicule que de vilipender les "employés de la SNCF" sans autre
distinction?
Je ne critique pas les employés sans distinction, je ne critique que les
grévistes, et encore, j'ai dit que quand ils avaient une bonne raison de
faire grève, nous savions tout de suite pour quelle raison ils faisaient
grève. Ce qui veut dire qu'il y a des grèves que je ne critique pas,
même si elles me font chier.
Mais puisqu'on te dit que le Komité a décidé que tu étais de droite !
Le Mon, 26 Jan 2009 21:45:14 +0000, Ed a écrit dans
news:497e2eea$0$4782$ des mots en forme de phrase
pour nous dire :Et oui, le vacataire paye le prix pour les embauchés qui ont préféré
conserver leurs acquis au détriment du bien être général.
Le syndicalisme dans sa plus grande stupidité.
Tu as tout-à-fait raison.
Quand l'entreprise va mal et qu'il faudrait la restructurer pour qu'elle
puisse _continuer_ de fonctionner décemment, oui.
Une entreprise publique n'a pas vocation à faire des bénéfices mais on
peut essayer tout de même de minimiser les pertes.
Après si le but est de regarder l'entreprise couler (l'état avec et donc
soit même en tant que citoyen) en couvant ses avantages sociaux...
Le syndicalisme, c'est le mal qui oblige les grandes entreprises
publiques à sous-payer une partie de son personnel. C'est lumineux.
Non. Ce n'est vraiment pas ce que j'ai dit.
Le Mon, 26 Jan 2009 21:45:14 +0000, Ed a écrit dans
news:497e2eea$0$4782$426a74cc@news.free.fr des mots en forme de phrase
pour nous dire :
Et oui, le vacataire paye le prix pour les embauchés qui ont préféré
conserver leurs acquis au détriment du bien être général.
Le syndicalisme dans sa plus grande stupidité.
Tu as tout-à-fait raison.
Quand l'entreprise va mal et qu'il faudrait la restructurer pour qu'elle
puisse _continuer_ de fonctionner décemment, oui.
Une entreprise publique n'a pas vocation à faire des bénéfices mais on
peut essayer tout de même de minimiser les pertes.
Après si le but est de regarder l'entreprise couler (l'état avec et donc
soit même en tant que citoyen) en couvant ses avantages sociaux...
Le syndicalisme, c'est le mal qui oblige les grandes entreprises
publiques à sous-payer une partie de son personnel. C'est lumineux.
Non. Ce n'est vraiment pas ce que j'ai dit.
Le Mon, 26 Jan 2009 21:45:14 +0000, Ed a écrit dans
news:497e2eea$0$4782$ des mots en forme de phrase
pour nous dire :Et oui, le vacataire paye le prix pour les embauchés qui ont préféré
conserver leurs acquis au détriment du bien être général.
Le syndicalisme dans sa plus grande stupidité.
Tu as tout-à-fait raison.
Quand l'entreprise va mal et qu'il faudrait la restructurer pour qu'elle
puisse _continuer_ de fonctionner décemment, oui.
Une entreprise publique n'a pas vocation à faire des bénéfices mais on
peut essayer tout de même de minimiser les pertes.
Après si le but est de regarder l'entreprise couler (l'état avec et donc
soit même en tant que citoyen) en couvant ses avantages sociaux...
Le syndicalisme, c'est le mal qui oblige les grandes entreprises
publiques à sous-payer une partie de son personnel. C'est lumineux.
Non. Ce n'est vraiment pas ce que j'ai dit.
Le Mon, 26 Jan 2009 16:04:13 +0000, Michel Talon a écrit :tout le monde sait que le choix
de la fonction publique signifie un salaire de misère toute ta vie.
n'exagérons rien...
Le Mon, 26 Jan 2009 16:04:13 +0000, Michel Talon a écrit :
tout le monde sait que le choix
de la fonction publique signifie un salaire de misère toute ta vie.
n'exagérons rien...
Le Mon, 26 Jan 2009 16:04:13 +0000, Michel Talon a écrit :tout le monde sait que le choix
de la fonction publique signifie un salaire de misère toute ta vie.
n'exagérons rien...
Le Mon, 26 Jan 2009 23:19:07 +0100, Stéphane CARPENTIER a écrit dans
news:497e36db$0$20430$ des mots en forme de phrase
pour nous dire :Aussi ridicule que de vilipender les "employés de la SNCF" sans autre
distinction?
Je ne critique pas les employés sans distinction, je ne critique que
les grévistes, et encore, j'ai dit que quand ils avaient une bonne
raison de faire grève, nous savions tout de suite pour quelle raison
ils faisaient grève. Ce qui veut dire qu'il y a des grèves que je ne
critique pas, même si elles me font chier.
Mais puisqu'on te dit que le Komité a décidé que tu étais de droite !
Le Mon, 26 Jan 2009 23:19:07 +0100, Stéphane CARPENTIER a écrit dans
news:497e36db$0$20430$426a34cc@news.free.fr des mots en forme de phrase
pour nous dire :
Aussi ridicule que de vilipender les "employés de la SNCF" sans autre
distinction?
Je ne critique pas les employés sans distinction, je ne critique que
les grévistes, et encore, j'ai dit que quand ils avaient une bonne
raison de faire grève, nous savions tout de suite pour quelle raison
ils faisaient grève. Ce qui veut dire qu'il y a des grèves que je ne
critique pas, même si elles me font chier.
Mais puisqu'on te dit que le Komité a décidé que tu étais de droite !
Le Mon, 26 Jan 2009 23:19:07 +0100, Stéphane CARPENTIER a écrit dans
news:497e36db$0$20430$ des mots en forme de phrase
pour nous dire :Aussi ridicule que de vilipender les "employés de la SNCF" sans autre
distinction?
Je ne critique pas les employés sans distinction, je ne critique que
les grévistes, et encore, j'ai dit que quand ils avaient une bonne
raison de faire grève, nous savions tout de suite pour quelle raison
ils faisaient grève. Ce qui veut dire qu'il y a des grèves que je ne
critique pas, même si elles me font chier.
Mais puisqu'on te dit que le Komité a décidé que tu étais de droite !
Ed wrote:Aussi ridicule que de vilipender les "employés de la SNCF" sans autre
distinction?
Je ne critique pas les employés sans distinction, je ne critique que les
grévistes, et encore, j'ai dit que quand ils avaient une bonne raison de
faire grève, nous savions tout de suite pour quelle raison ils faisaient
grève. Ce qui veut dire qu'il y a des grèves que je ne critique pas,
même si elles me font chier.
Ed wrote:
Aussi ridicule que de vilipender les "employés de la SNCF" sans autre
distinction?
Je ne critique pas les employés sans distinction, je ne critique que les
grévistes, et encore, j'ai dit que quand ils avaient une bonne raison de
faire grève, nous savions tout de suite pour quelle raison ils faisaient
grève. Ce qui veut dire qu'il y a des grèves que je ne critique pas,
même si elles me font chier.
Ed wrote:Aussi ridicule que de vilipender les "employés de la SNCF" sans autre
distinction?
Je ne critique pas les employés sans distinction, je ne critique que les
grévistes, et encore, j'ai dit que quand ils avaient une bonne raison de
faire grève, nous savions tout de suite pour quelle raison ils faisaient
grève. Ce qui veut dire qu'il y a des grèves que je ne critique pas,
même si elles me font chier.