Ca me parait logique. Quand j'ai pas assez de sous pour acheter quelque
chose, je ne l'achete pas. La France n'a plus assez de sous pour
maintenir un service public a un niveau donne, alors elle diminue ce
niveau.
Ca me parait logique. Quand j'ai pas assez de sous pour acheter quelque
chose, je ne l'achete pas. La France n'a plus assez de sous pour
maintenir un service public a un niveau donne, alors elle diminue ce
niveau.
Ca me parait logique. Quand j'ai pas assez de sous pour acheter quelque
chose, je ne l'achete pas. La France n'a plus assez de sous pour
maintenir un service public a un niveau donne, alors elle diminue ce
niveau.
Pour moi, améliorer le service public, ça signifie plus
de moyen pour l'éducation,
Stop ! Les crédits sont en CONSTANTE AUGMENTATION depuis des ANNÉES
avec un résultat NUL. Il faut donc se poser la question du
fonctionnement. Maintenant, il est vrai que l'idée simpliste consiste à
toujours mettre plus de moyen. L'argent ne résoudra pas ce problème, que
tu le veuilles ou non. Oui à une éducation nationale performante, mais
cela passe par une réorganisation totale d'icelle.
Pour moi, améliorer le service public, ça signifie plus
de moyen pour l'éducation,
Stop ! Les crédits sont en CONSTANTE AUGMENTATION depuis des ANNÉES
avec un résultat NUL. Il faut donc se poser la question du
fonctionnement. Maintenant, il est vrai que l'idée simpliste consiste à
toujours mettre plus de moyen. L'argent ne résoudra pas ce problème, que
tu le veuilles ou non. Oui à une éducation nationale performante, mais
cela passe par une réorganisation totale d'icelle.
Pour moi, améliorer le service public, ça signifie plus
de moyen pour l'éducation,
Stop ! Les crédits sont en CONSTANTE AUGMENTATION depuis des ANNÉES
avec un résultat NUL. Il faut donc se poser la question du
fonctionnement. Maintenant, il est vrai que l'idée simpliste consiste à
toujours mettre plus de moyen. L'argent ne résoudra pas ce problème, que
tu le veuilles ou non. Oui à une éducation nationale performante, mais
cela passe par une réorganisation totale d'icelle.
Eh oui, jettez vous dans les bras l'un de l'autre, parce que ce discours
mielleux aujourd'hui ne sert qu'une seule politique : celle de la
destruction du service public. Bien sûr, à l'injonction d'améliorer le
service public, tout le monde est censé souscrire, un certain chef
d'État qu'il n'est plus utile de nommer commence tous ses discours comme
ça. Mais en fait quand on n'est pas d'accord sur ce que doit être le
service public, l'objectif d'"améliorer" signifie des choses
différentes.
C'est assez marrant, mais dès qu'on n'est pas d'accord avec une
certaine frange de la population, on est toujours là pour casser du
service public. Ce n'est pas parce que je suis POUR le service public
qu'il faut en faire N'IMPORTE QUOI.
Pour moi, améliorer le service public, ça signifie plus
de moyen pour l'éducation,
Stop ! Les crédits sont en CONSTANTE AUGMENTATION depuis des ANNÉES
avec un résultat NUL. Il faut donc se poser la question du
fonctionnement. Maintenant, il est vrai que l'idée simpliste consiste à
toujours mettre plus de moyen. L'argent ne résoudra pas ce problème, que
tu le veuilles ou non. Oui à une éducation nationale performante, mais
cela passe par une réorganisation totale d'icelle.
plus de moyen pour le traitement non carcéral des
pathologies mentales,
Vas-y ! Avant de mettre plus de moyens, il faut déjà trouver une
façon de les traiter. Ne met pas s'il te plaît la charrue avant les
boeufs.
plus de moyen pour le planning familial (la
dotation de l'État baisse de 42 % pour l'année qui vient = fermeture de
près d'un tiers des centres.)
Alors là je t'arrête tout de suite ! Je me suis occupé dans ma
jeunesse de jeunes en difficultés (recherche un peu plein vent sur le
net). Le planning familial aujourd'hui est un truc qui ne sert plus à
grand chose, non pas parce qu'il est inutile, mais il est trop souvent
inaccessible. Déjà, il y a quinze ans, il fallait vouloir y amener une
gamine. Le problème du planning familial est son fonctionnement. Plutôt
que travailler en aval, il devrait travailler beaucoup plus en amont, or
là, on ne le voit quasiment jamais. Par ailleurs, l'éducation sexuelle
étant abordée de façon purement anatomique au collège, on ne peut arriver
qu'à des catastrophe. Je m'arrête là, parce que je vais m'énerver ! Par
ailleurs, ton chiffre de 42% est faux. 42%, c'est la réduction de la
subvention, mais l'état garantit 80% des crédits _consommés_ (source le Monde).
Eh oui, jettez vous dans les bras l'un de l'autre, parce que ce discours
mielleux aujourd'hui ne sert qu'une seule politique : celle de la
destruction du service public. Bien sûr, à l'injonction d'améliorer le
service public, tout le monde est censé souscrire, un certain chef
d'État qu'il n'est plus utile de nommer commence tous ses discours comme
ça. Mais en fait quand on n'est pas d'accord sur ce que doit être le
service public, l'objectif d'"améliorer" signifie des choses
différentes.
C'est assez marrant, mais dès qu'on n'est pas d'accord avec une
certaine frange de la population, on est toujours là pour casser du
service public. Ce n'est pas parce que je suis POUR le service public
qu'il faut en faire N'IMPORTE QUOI.
Pour moi, améliorer le service public, ça signifie plus
de moyen pour l'éducation,
Stop ! Les crédits sont en CONSTANTE AUGMENTATION depuis des ANNÉES
avec un résultat NUL. Il faut donc se poser la question du
fonctionnement. Maintenant, il est vrai que l'idée simpliste consiste à
toujours mettre plus de moyen. L'argent ne résoudra pas ce problème, que
tu le veuilles ou non. Oui à une éducation nationale performante, mais
cela passe par une réorganisation totale d'icelle.
plus de moyen pour le traitement non carcéral des
pathologies mentales,
Vas-y ! Avant de mettre plus de moyens, il faut déjà trouver une
façon de les traiter. Ne met pas s'il te plaît la charrue avant les
boeufs.
plus de moyen pour le planning familial (la
dotation de l'État baisse de 42 % pour l'année qui vient = fermeture de
près d'un tiers des centres.)
Alors là je t'arrête tout de suite ! Je me suis occupé dans ma
jeunesse de jeunes en difficultés (recherche un peu plein vent sur le
net). Le planning familial aujourd'hui est un truc qui ne sert plus à
grand chose, non pas parce qu'il est inutile, mais il est trop souvent
inaccessible. Déjà, il y a quinze ans, il fallait vouloir y amener une
gamine. Le problème du planning familial est son fonctionnement. Plutôt
que travailler en aval, il devrait travailler beaucoup plus en amont, or
là, on ne le voit quasiment jamais. Par ailleurs, l'éducation sexuelle
étant abordée de façon purement anatomique au collège, on ne peut arriver
qu'à des catastrophe. Je m'arrête là, parce que je vais m'énerver ! Par
ailleurs, ton chiffre de 42% est faux. 42%, c'est la réduction de la
subvention, mais l'état garantit 80% des crédits _consommés_ (source le Monde).
Eh oui, jettez vous dans les bras l'un de l'autre, parce que ce discours
mielleux aujourd'hui ne sert qu'une seule politique : celle de la
destruction du service public. Bien sûr, à l'injonction d'améliorer le
service public, tout le monde est censé souscrire, un certain chef
d'État qu'il n'est plus utile de nommer commence tous ses discours comme
ça. Mais en fait quand on n'est pas d'accord sur ce que doit être le
service public, l'objectif d'"améliorer" signifie des choses
différentes.
C'est assez marrant, mais dès qu'on n'est pas d'accord avec une
certaine frange de la population, on est toujours là pour casser du
service public. Ce n'est pas parce que je suis POUR le service public
qu'il faut en faire N'IMPORTE QUOI.
Pour moi, améliorer le service public, ça signifie plus
de moyen pour l'éducation,
Stop ! Les crédits sont en CONSTANTE AUGMENTATION depuis des ANNÉES
avec un résultat NUL. Il faut donc se poser la question du
fonctionnement. Maintenant, il est vrai que l'idée simpliste consiste à
toujours mettre plus de moyen. L'argent ne résoudra pas ce problème, que
tu le veuilles ou non. Oui à une éducation nationale performante, mais
cela passe par une réorganisation totale d'icelle.
plus de moyen pour le traitement non carcéral des
pathologies mentales,
Vas-y ! Avant de mettre plus de moyens, il faut déjà trouver une
façon de les traiter. Ne met pas s'il te plaît la charrue avant les
boeufs.
plus de moyen pour le planning familial (la
dotation de l'État baisse de 42 % pour l'année qui vient = fermeture de
près d'un tiers des centres.)
Alors là je t'arrête tout de suite ! Je me suis occupé dans ma
jeunesse de jeunes en difficultés (recherche un peu plein vent sur le
net). Le planning familial aujourd'hui est un truc qui ne sert plus à
grand chose, non pas parce qu'il est inutile, mais il est trop souvent
inaccessible. Déjà, il y a quinze ans, il fallait vouloir y amener une
gamine. Le problème du planning familial est son fonctionnement. Plutôt
que travailler en aval, il devrait travailler beaucoup plus en amont, or
là, on ne le voit quasiment jamais. Par ailleurs, l'éducation sexuelle
étant abordée de façon purement anatomique au collège, on ne peut arriver
qu'à des catastrophe. Je m'arrête là, parce que je vais m'énerver ! Par
ailleurs, ton chiffre de 42% est faux. 42%, c'est la réduction de la
subvention, mais l'état garantit 80% des crédits _consommés_ (source le Monde).
Il faut absolument réformer le truc tant qu'on a encore une marge de
manoeuvre. Plus on attendra, plus ce sera difficile et plus ce sera
douloureux. Le pire, c'est qu'aujourd'hui, on dérembourse de temps en
temps, on rajoute des franchises, ça passe assez inaperçu finalement.
On recule, on recule, mais un jour, il faudra sauter (ou augmenter les
impôts sensiblement, et il y aura toujours des types pour dire que la
santé est gratuite).
Non, ce diagnostic est complètement idéologiquement biaisé.
Tu vas m'expliquer en quoi.
Il faut absolument réformer le truc tant qu'on a encore une marge de
manoeuvre. Plus on attendra, plus ce sera difficile et plus ce sera
douloureux. Le pire, c'est qu'aujourd'hui, on dérembourse de temps en
temps, on rajoute des franchises, ça passe assez inaperçu finalement.
On recule, on recule, mais un jour, il faudra sauter (ou augmenter les
impôts sensiblement, et il y aura toujours des types pour dire que la
santé est gratuite).
Non, ce diagnostic est complètement idéologiquement biaisé.
Tu vas m'expliquer en quoi.
Il faut absolument réformer le truc tant qu'on a encore une marge de
manoeuvre. Plus on attendra, plus ce sera difficile et plus ce sera
douloureux. Le pire, c'est qu'aujourd'hui, on dérembourse de temps en
temps, on rajoute des franchises, ça passe assez inaperçu finalement.
On recule, on recule, mais un jour, il faudra sauter (ou augmenter les
impôts sensiblement, et il y aura toujours des types pour dire que la
santé est gratuite).
Non, ce diagnostic est complètement idéologiquement biaisé.
Tu vas m'expliquer en quoi.
On trouve 15 milliards à redistribuer en cadeau fiscal, on trouve vite
des milliards pour racheter des actions d'une banque à la limite de la
banqueroute, on a comme projet la construction d'un second porte-avion
nucléaire (18 milliards environs), mais quand il s'agit de trouver des
sous pour la santé, la justice, l'éducation, on s'aperçoit que les
caisses sont vides.
On trouve 15 milliards à redistribuer en cadeau fiscal, on trouve vite
des milliards pour racheter des actions d'une banque à la limite de la
banqueroute, on a comme projet la construction d'un second porte-avion
nucléaire (18 milliards environs), mais quand il s'agit de trouver des
sous pour la santé, la justice, l'éducation, on s'aperçoit que les
caisses sont vides.
On trouve 15 milliards à redistribuer en cadeau fiscal, on trouve vite
des milliards pour racheter des actions d'une banque à la limite de la
banqueroute, on a comme projet la construction d'un second porte-avion
nucléaire (18 milliards environs), mais quand il s'agit de trouver des
sous pour la santé, la justice, l'éducation, on s'aperçoit que les
caisses sont vides.
L'adresse du patient est envoyée dans la FSE
déjà vu des papiers revenir de la sécu chez des clients avec une
inversion entre l'adresse du praticien et celle du patient. Tu
m'expliques comment c'est possible _sans_ intervention humaine ?
L'adresse du patient est envoyée dans la FSE
déjà vu des papiers revenir de la sécu chez des clients avec une
inversion entre l'adresse du praticien et celle du patient. Tu
m'expliques comment c'est possible _sans_ intervention humaine ?
L'adresse du patient est envoyée dans la FSE
déjà vu des papiers revenir de la sécu chez des clients avec une
inversion entre l'adresse du praticien et celle du patient. Tu
m'expliques comment c'est possible _sans_ intervention humaine ?
si cela se trouve tout va bien dans EN
quelques chiffres pour confirmer
j'aime bien le taux d'enfants issus d'un foyer monoparental qui
dépasse le bac ou le nombre de gosses qui sortent du système sans diplôme
si cela se trouve tout va bien dans EN
quelques chiffres pour confirmer
j'aime bien le taux d'enfants issus d'un foyer monoparental qui
dépasse le bac ou le nombre de gosses qui sortent du système sans diplôme
si cela se trouve tout va bien dans EN
quelques chiffres pour confirmer
j'aime bien le taux d'enfants issus d'un foyer monoparental qui
dépasse le bac ou le nombre de gosses qui sortent du système sans diplôme
Le 29-01-2009, JKB a écrit :Le 29-01-2009, ? propos de
Re: W7: réponse à une andouille,
SL ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :Le 29-01-2009, JKB a écrit :Le 28-01-2009, ? propos de
Re: W7: réponse à une andouille,
SL ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :Le 28-01-2009, Doug713705 a écrit :Le Wed, 28 Jan 2009 22:38:53 +0000, SL a écrit dans
news: des mots en forme de phrase pour
nous dire :Ben non, la misère progresse et je ne m'en tape pas ! Tu fais de
l'individualisme collectiviste ?
Cette antienne a toujours existé et est toujours aussi fausse.
Parce que la misère ne progresse pas ?
Les inégalités progressent, les richesses de nos nations, le niveau de
vie moyen également, en tout cas jusqu'à il y a peu.
Analyse calmement les statistiques de l'INSEE de ces, disons, trente
dernières années.
Il y a de meilleures sources pour se former sur ces questions que de
dépouiller trente années de statistiques de l'INSEE.
Lesquelles ? Les statistiques des syndicats ou des partis politiques
? Que reproches-tu aux statistiques de l'INSEE ? Elles sont trop
compliquées pour toi ? Peut-être ne vont-elles pas dans ton sens...
Elles sont trop volumineuses.
Le 29-01-2009, JKB <knatschke@koenigsberg.fr> a écrit :
Le 29-01-2009, ? propos de
Re: W7: réponse à une andouille,
SL ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Le 29-01-2009, JKB <knatschke@koenigsberg.fr> a écrit :
Le 28-01-2009, ? propos de
Re: W7: réponse à une andouille,
SL ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Le 28-01-2009, Doug713705 <doug.letough@free.fr> a écrit :
Le Wed, 28 Jan 2009 22:38:53 +0000, SL a écrit dans
news:slrngo1lo8.u6s.nospam@valla.limsi.fr des mots en forme de phrase pour
nous dire :
Ben non, la misère progresse et je ne m'en tape pas ! Tu fais de
l'individualisme collectiviste ?
Cette antienne a toujours existé et est toujours aussi fausse.
Parce que la misère ne progresse pas ?
Les inégalités progressent, les richesses de nos nations, le niveau de
vie moyen également, en tout cas jusqu'à il y a peu.
Analyse calmement les statistiques de l'INSEE de ces, disons, trente
dernières années.
Il y a de meilleures sources pour se former sur ces questions que de
dépouiller trente années de statistiques de l'INSEE.
Lesquelles ? Les statistiques des syndicats ou des partis politiques
? Que reproches-tu aux statistiques de l'INSEE ? Elles sont trop
compliquées pour toi ? Peut-être ne vont-elles pas dans ton sens...
Elles sont trop volumineuses.
Le 29-01-2009, JKB a écrit :Le 29-01-2009, ? propos de
Re: W7: réponse à une andouille,
SL ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :Le 29-01-2009, JKB a écrit :Le 28-01-2009, ? propos de
Re: W7: réponse à une andouille,
SL ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :Le 28-01-2009, Doug713705 a écrit :Le Wed, 28 Jan 2009 22:38:53 +0000, SL a écrit dans
news: des mots en forme de phrase pour
nous dire :Ben non, la misère progresse et je ne m'en tape pas ! Tu fais de
l'individualisme collectiviste ?
Cette antienne a toujours existé et est toujours aussi fausse.
Parce que la misère ne progresse pas ?
Les inégalités progressent, les richesses de nos nations, le niveau de
vie moyen également, en tout cas jusqu'à il y a peu.
Analyse calmement les statistiques de l'INSEE de ces, disons, trente
dernières années.
Il y a de meilleures sources pour se former sur ces questions que de
dépouiller trente années de statistiques de l'INSEE.
Lesquelles ? Les statistiques des syndicats ou des partis politiques
? Que reproches-tu aux statistiques de l'INSEE ? Elles sont trop
compliquées pour toi ? Peut-être ne vont-elles pas dans ton sens...
Elles sont trop volumineuses.
Stephane TOUGARD a écrit :Ca me parait logique. Quand j'ai pas assez de sous pour acheter quelque
chose, je ne l'achete pas. La France n'a plus assez de sous pour
maintenir un service public a un niveau donne, alors elle diminue ce
niveau.
Quand tu n'as pas de sous pour acheter un truc, tu ne l'achètes pas, et
c'est sage, tu ne décides pas de ne plus payer ton loyer pour l'acheter
quand même.
Bref, tu fais des arbitrages dans ton budget.
On peut raisonnablement penser que si le service public se dégrade, ce
n'est pas parce que les revenus de la France sont insuffisant, mais
parce que les arbitrages du budget vont dans une autre direction que le
maintien ou l'amélioration de ce service.
On trouve 15 milliards à redistribuer en cadeau fiscal, on trouve vite
des milliards pour racheter des actions d'une banque à la limite de la
banqueroute, on a comme projet la construction d'un second porte-avion
nucléaire (18 milliards environs), mais quand il s'agit de trouver des
sous pour la santé, la justice, l'éducation, on s'aperçoit que les
caisses sont vides.
Entre arbitrages contestables et gestion désastreuse, on en arrive à une
situation où plus personne n'est satisfait.
Le petit Nicolas souhaite faire des coupes franches dans ce qui n'est
pas rentable. OK, le budget de l'Elysée à explosé depuis son arrivée, et
sa politique n'a produit que du vent. Je lui suggère de supprimer l'Elysée.
Stephane TOUGARD a écrit :
Ca me parait logique. Quand j'ai pas assez de sous pour acheter quelque
chose, je ne l'achete pas. La France n'a plus assez de sous pour
maintenir un service public a un niveau donne, alors elle diminue ce
niveau.
Quand tu n'as pas de sous pour acheter un truc, tu ne l'achètes pas, et
c'est sage, tu ne décides pas de ne plus payer ton loyer pour l'acheter
quand même.
Bref, tu fais des arbitrages dans ton budget.
On peut raisonnablement penser que si le service public se dégrade, ce
n'est pas parce que les revenus de la France sont insuffisant, mais
parce que les arbitrages du budget vont dans une autre direction que le
maintien ou l'amélioration de ce service.
On trouve 15 milliards à redistribuer en cadeau fiscal, on trouve vite
des milliards pour racheter des actions d'une banque à la limite de la
banqueroute, on a comme projet la construction d'un second porte-avion
nucléaire (18 milliards environs), mais quand il s'agit de trouver des
sous pour la santé, la justice, l'éducation, on s'aperçoit que les
caisses sont vides.
Entre arbitrages contestables et gestion désastreuse, on en arrive à une
situation où plus personne n'est satisfait.
Le petit Nicolas souhaite faire des coupes franches dans ce qui n'est
pas rentable. OK, le budget de l'Elysée à explosé depuis son arrivée, et
sa politique n'a produit que du vent. Je lui suggère de supprimer l'Elysée.
Stephane TOUGARD a écrit :Ca me parait logique. Quand j'ai pas assez de sous pour acheter quelque
chose, je ne l'achete pas. La France n'a plus assez de sous pour
maintenir un service public a un niveau donne, alors elle diminue ce
niveau.
Quand tu n'as pas de sous pour acheter un truc, tu ne l'achètes pas, et
c'est sage, tu ne décides pas de ne plus payer ton loyer pour l'acheter
quand même.
Bref, tu fais des arbitrages dans ton budget.
On peut raisonnablement penser que si le service public se dégrade, ce
n'est pas parce que les revenus de la France sont insuffisant, mais
parce que les arbitrages du budget vont dans une autre direction que le
maintien ou l'amélioration de ce service.
On trouve 15 milliards à redistribuer en cadeau fiscal, on trouve vite
des milliards pour racheter des actions d'une banque à la limite de la
banqueroute, on a comme projet la construction d'un second porte-avion
nucléaire (18 milliards environs), mais quand il s'agit de trouver des
sous pour la santé, la justice, l'éducation, on s'aperçoit que les
caisses sont vides.
Entre arbitrages contestables et gestion désastreuse, on en arrive à une
situation où plus personne n'est satisfait.
Le petit Nicolas souhaite faire des coupes franches dans ce qui n'est
pas rentable. OK, le budget de l'Elysée à explosé depuis son arrivée, et
sa politique n'a produit que du vent. Je lui suggère de supprimer l'Elysée.
Le 29-01-2009, JKB a écrit :Eh oui, jettez vous dans les bras l'un de l'autre, parce que ce discours
mielleux aujourd'hui ne sert qu'une seule politique : celle de la
destruction du service public. Bien sûr, à l'injonction d'améliorer le
service public, tout le monde est censé souscrire, un certain chef
d'État qu'il n'est plus utile de nommer commence tous ses discours comme
ça. Mais en fait quand on n'est pas d'accord sur ce que doit être le
service public, l'objectif d'"améliorer" signifie des choses
différentes.
C'est assez marrant, mais dès qu'on n'est pas d'accord avec une
certaine frange de la population, on est toujours là pour casser du
service public. Ce n'est pas parce que je suis POUR le service public
qu'il faut en faire N'IMPORTE QUOI.
En effet, je ne veux pas vivre dans la meme société que toi. Il arrive
qu'on ne souhaite pas vivre de la même façon, c'est ce que la politique
arbitre, il ne sert à rien de dire qu'on est tous au fond "pour les
services publics", ce qui ne veut rien dire.
Pour moi, améliorer le service public, ça signifie plus
de moyen pour l'éducation,
Stop ! Les crédits sont en CONSTANTE AUGMENTATION depuis des ANNÉES
avec un résultat NUL. Il faut donc se poser la question du
fonctionnement. Maintenant, il est vrai que l'idée simpliste consiste à
toujours mettre plus de moyen. L'argent ne résoudra pas ce problème, que
tu le veuilles ou non. Oui à une éducation nationale performante, mais
cela passe par une réorganisation totale d'icelle.
Comme on te l'a déjà expliqué l'augmentation des moyens est largemetn dû
à l'augmentation des effectifs.
Invoquer la "réorganisation totale" en
soit, ça ne veut rien dire, cette réorganisation peut aller dans des
directions opposées. Je ne suis pas pour une "réorganisation totale"
dans tous les cas, indépendemment de son contenu. Il peut être
préférable de ne rien changer plutôt que d'aller dans le sens de
certaines "réorganisation totale".
plus de moyen pour le traitement non carcéral des
pathologies mentales,
Vas-y ! Avant de mettre plus de moyens, il faut déjà trouver une
façon de les traiter. Ne met pas s'il te plaît la charrue avant les
boeufs.
Demande aux professionnels de la question, ils en ont des idées, et
depuis longtemps ; depuis une quarantaine d'années on régresse sur ces
sujets.
plus de moyen pour le planning familial (la
dotation de l'État baisse de 42 % pour l'année qui vient = fermeture de
près d'un tiers des centres.)
Alors là je t'arrête tout de suite ! Je me suis occupé dans ma
jeunesse de jeunes en difficultés (recherche un peu plein vent sur le
net). Le planning familial aujourd'hui est un truc qui ne sert plus à
grand chose, non pas parce qu'il est inutile, mais il est trop souvent
inaccessible. Déjà, il y a quinze ans, il fallait vouloir y amener une
gamine. Le problème du planning familial est son fonctionnement. Plutôt
que travailler en aval, il devrait travailler beaucoup plus en amont, or
là, on ne le voit quasiment jamais. Par ailleurs, l'éducation sexuelle
étant abordée de façon purement anatomique au collège, on ne peut arriver
qu'à des catastrophe. Je m'arrête là, parce que je vais m'énerver ! Par
ailleurs, ton chiffre de 42% est faux. 42%, c'est la réduction de la
subvention, mais l'état garantit 80% des crédits _consommés_ (source le Monde).
Donc, selon toi, c'est bien cette restriction budgétaire ?
Encore du n'importe quoi délirant de Bouvard et Pécuchet. Quel est le
rapport avec les jeunes en difficulté ou l'éducation en SVT au lycée, et
que sais-je encore ?
Le 29-01-2009, JKB <knatschke@koenigsberg.fr> a écrit :
Eh oui, jettez vous dans les bras l'un de l'autre, parce que ce discours
mielleux aujourd'hui ne sert qu'une seule politique : celle de la
destruction du service public. Bien sûr, à l'injonction d'améliorer le
service public, tout le monde est censé souscrire, un certain chef
d'État qu'il n'est plus utile de nommer commence tous ses discours comme
ça. Mais en fait quand on n'est pas d'accord sur ce que doit être le
service public, l'objectif d'"améliorer" signifie des choses
différentes.
C'est assez marrant, mais dès qu'on n'est pas d'accord avec une
certaine frange de la population, on est toujours là pour casser du
service public. Ce n'est pas parce que je suis POUR le service public
qu'il faut en faire N'IMPORTE QUOI.
En effet, je ne veux pas vivre dans la meme société que toi. Il arrive
qu'on ne souhaite pas vivre de la même façon, c'est ce que la politique
arbitre, il ne sert à rien de dire qu'on est tous au fond "pour les
services publics", ce qui ne veut rien dire.
Pour moi, améliorer le service public, ça signifie plus
de moyen pour l'éducation,
Stop ! Les crédits sont en CONSTANTE AUGMENTATION depuis des ANNÉES
avec un résultat NUL. Il faut donc se poser la question du
fonctionnement. Maintenant, il est vrai que l'idée simpliste consiste à
toujours mettre plus de moyen. L'argent ne résoudra pas ce problème, que
tu le veuilles ou non. Oui à une éducation nationale performante, mais
cela passe par une réorganisation totale d'icelle.
Comme on te l'a déjà expliqué l'augmentation des moyens est largemetn dû
à l'augmentation des effectifs.
Invoquer la "réorganisation totale" en
soit, ça ne veut rien dire, cette réorganisation peut aller dans des
directions opposées. Je ne suis pas pour une "réorganisation totale"
dans tous les cas, indépendemment de son contenu. Il peut être
préférable de ne rien changer plutôt que d'aller dans le sens de
certaines "réorganisation totale".
plus de moyen pour le traitement non carcéral des
pathologies mentales,
Vas-y ! Avant de mettre plus de moyens, il faut déjà trouver une
façon de les traiter. Ne met pas s'il te plaît la charrue avant les
boeufs.
Demande aux professionnels de la question, ils en ont des idées, et
depuis longtemps ; depuis une quarantaine d'années on régresse sur ces
sujets.
plus de moyen pour le planning familial (la
dotation de l'État baisse de 42 % pour l'année qui vient = fermeture de
près d'un tiers des centres.)
Alors là je t'arrête tout de suite ! Je me suis occupé dans ma
jeunesse de jeunes en difficultés (recherche un peu plein vent sur le
net). Le planning familial aujourd'hui est un truc qui ne sert plus à
grand chose, non pas parce qu'il est inutile, mais il est trop souvent
inaccessible. Déjà, il y a quinze ans, il fallait vouloir y amener une
gamine. Le problème du planning familial est son fonctionnement. Plutôt
que travailler en aval, il devrait travailler beaucoup plus en amont, or
là, on ne le voit quasiment jamais. Par ailleurs, l'éducation sexuelle
étant abordée de façon purement anatomique au collège, on ne peut arriver
qu'à des catastrophe. Je m'arrête là, parce que je vais m'énerver ! Par
ailleurs, ton chiffre de 42% est faux. 42%, c'est la réduction de la
subvention, mais l'état garantit 80% des crédits _consommés_ (source le Monde).
Donc, selon toi, c'est bien cette restriction budgétaire ?
Encore du n'importe quoi délirant de Bouvard et Pécuchet. Quel est le
rapport avec les jeunes en difficulté ou l'éducation en SVT au lycée, et
que sais-je encore ?
Le 29-01-2009, JKB a écrit :Eh oui, jettez vous dans les bras l'un de l'autre, parce que ce discours
mielleux aujourd'hui ne sert qu'une seule politique : celle de la
destruction du service public. Bien sûr, à l'injonction d'améliorer le
service public, tout le monde est censé souscrire, un certain chef
d'État qu'il n'est plus utile de nommer commence tous ses discours comme
ça. Mais en fait quand on n'est pas d'accord sur ce que doit être le
service public, l'objectif d'"améliorer" signifie des choses
différentes.
C'est assez marrant, mais dès qu'on n'est pas d'accord avec une
certaine frange de la population, on est toujours là pour casser du
service public. Ce n'est pas parce que je suis POUR le service public
qu'il faut en faire N'IMPORTE QUOI.
En effet, je ne veux pas vivre dans la meme société que toi. Il arrive
qu'on ne souhaite pas vivre de la même façon, c'est ce que la politique
arbitre, il ne sert à rien de dire qu'on est tous au fond "pour les
services publics", ce qui ne veut rien dire.
Pour moi, améliorer le service public, ça signifie plus
de moyen pour l'éducation,
Stop ! Les crédits sont en CONSTANTE AUGMENTATION depuis des ANNÉES
avec un résultat NUL. Il faut donc se poser la question du
fonctionnement. Maintenant, il est vrai que l'idée simpliste consiste à
toujours mettre plus de moyen. L'argent ne résoudra pas ce problème, que
tu le veuilles ou non. Oui à une éducation nationale performante, mais
cela passe par une réorganisation totale d'icelle.
Comme on te l'a déjà expliqué l'augmentation des moyens est largemetn dû
à l'augmentation des effectifs.
Invoquer la "réorganisation totale" en
soit, ça ne veut rien dire, cette réorganisation peut aller dans des
directions opposées. Je ne suis pas pour une "réorganisation totale"
dans tous les cas, indépendemment de son contenu. Il peut être
préférable de ne rien changer plutôt que d'aller dans le sens de
certaines "réorganisation totale".
plus de moyen pour le traitement non carcéral des
pathologies mentales,
Vas-y ! Avant de mettre plus de moyens, il faut déjà trouver une
façon de les traiter. Ne met pas s'il te plaît la charrue avant les
boeufs.
Demande aux professionnels de la question, ils en ont des idées, et
depuis longtemps ; depuis une quarantaine d'années on régresse sur ces
sujets.
plus de moyen pour le planning familial (la
dotation de l'État baisse de 42 % pour l'année qui vient = fermeture de
près d'un tiers des centres.)
Alors là je t'arrête tout de suite ! Je me suis occupé dans ma
jeunesse de jeunes en difficultés (recherche un peu plein vent sur le
net). Le planning familial aujourd'hui est un truc qui ne sert plus à
grand chose, non pas parce qu'il est inutile, mais il est trop souvent
inaccessible. Déjà, il y a quinze ans, il fallait vouloir y amener une
gamine. Le problème du planning familial est son fonctionnement. Plutôt
que travailler en aval, il devrait travailler beaucoup plus en amont, or
là, on ne le voit quasiment jamais. Par ailleurs, l'éducation sexuelle
étant abordée de façon purement anatomique au collège, on ne peut arriver
qu'à des catastrophe. Je m'arrête là, parce que je vais m'énerver ! Par
ailleurs, ton chiffre de 42% est faux. 42%, c'est la réduction de la
subvention, mais l'état garantit 80% des crédits _consommés_ (source le Monde).
Donc, selon toi, c'est bien cette restriction budgétaire ?
Encore du n'importe quoi délirant de Bouvard et Pécuchet. Quel est le
rapport avec les jeunes en difficulté ou l'éducation en SVT au lycée, et
que sais-je encore ?