Si nous voulons comparer les différents OS grand public (Windows Linux
MacOS) il faut les comparer sur les différents points qui intéressent
les gens. A savoir le système d'exploitation, la logithèque,
l'installation de ladite logithèque, le jeu, la pérénité de la machine
et la sécurité.
Système d'exploitation (gestion du hardware et IHM)
- Windows : gère un grand nombre de matériel (directement out of the box
ou avec des drivers supplémentaires). L'IHM est agréable mais faiblement
configurable. Les options avancées sont très difficiles à atteindre et
très peu documentées. Le système est monolithique et dispose d'un
héritage du passé assez lourd à porter. Aujourd'hui encore, un problème
sur un logiciel peut compromettre tout le SE.
- Linux : gère un grand nombre de matériel (out of the box). Le matériel
non supporté d'origine est assez difficile à supporter a posteriori
(sauf en ce qui concerne les cartes NVIDIA à cause du driver
propriétaire non inclus en standard). L'IHM est agréable (KDE, Gnome,
...), hautement configurable et peut être remplacé par une autre
facilement. Les fonctions avancées sont accessibles au minimum en CLI et
très bien documentées.
- MacOS : gère 100% du matériel Apple (facile évidemment) et de nombreux
périphériques soit out of the box ou via les drivers du fabricant. L'IHM
est, à mon sens, la plus aboutie mais est très peu configurable. Les
fonctions avancées sont disponibles en ligne de commande mais très peu
documentée.
Logithèque
- Windows : abondante. Certains logiciels métiers ne sont disponibles
que sur cet OS.
- Linux : abondante mais la plupart des logiciels métiers ne sont pas
portés nativement. Soit il existe un pendant open source (reprennant
l'essentiel mais pas les spécificités), soit il est possible de le faire
tourner via Wine, soit il n'y a pas de solutions.
- MacOS : abondante. Certains logiciels non disponibles sous Linux le
sont sous MacOS (exemple la suite Adobe, ...). Il est également possible
de nombreux logiciels disponibles sous Linux via Fink ou MacPorts.
Installation de la Logithèque
- Windows : de nombreux supports (CD, DVD, téléchargement, Windows
Update, ...). De nombreuses méthodes aussi. La désinstallation pose
souvent problème (vestige des logiciels installés, ...). Je dirais que
c'est assez brouillon.
- Linux : généralement tout passe par le gestionnaire de paquets. Le
système est assez souple et gère les dépendances. La désinstallation est
presque toujours parfaite. Il est également possible de se passer du
gestionnaire de paquets mais alors on en perd les avantages
(installation à partir des sources, ...).
- MacOS : pour les applications natives, généralement tout se passe en
glisser/déposer. Pour les sources, elles sont aussi nombreuses que sous
Windows. La désinstallation se fait également par glisser/déposer. Pour
les softs sous Macports/Fink le système est moins bon que sous Linux.
Le jeu
- Windows : tout les gros jeux sortent sous Windows. Sur PC, Windows est
l'OS disposant du plus de jeux.
- Linux : une partie des jeux (faibles mais reprenant quelques gros hits
quand même) sortent nativement. Une partie fonctionne avec Wine. Une
partie ne fonctionne pas sous Linux.
- MacOS : même chose que sous Linux avec un peu plus de portages directes.
Pérénité
- Windows : gros soucis sur un windows utilisé longtemps et sur lequel
de nombreuses installations/désinstallations ont eu lieu. Toutefois, un
Windows installé proprement et sur lequel on installe juste ses
logiciels une seule fois est pérène depuis Windows 2000. Toutefois cela
empêche de passer sereinement de Office 2003 à 2007 par exemple. Par
contre les mises à jour installées ne génèrent en général pas de
problème. Une mise à jour de l'OS vers une version suivante (2000 -> XP
ou XP -> Vista) ne se passe généralement pas très bien.
- Linux : aucun soucis quand on utilise des versions stables.
- MacOS : aucun soucis.
Sécurité
- Windows : le système monolithique et la gestion des droits
"particulière" de Windows le rende assez perméable out of the box.
Toutefois, un admin compétant peut le sécuriser convenablement.
- Linux : pas de soucis de sécurité.
- MacOS : pas de soucis de sécurité.
Pour les 3 OS, il est évident qu'ils ne sont pas 100% secure et que des
failles peuvent être trouvées (escalation de privilèges, ...).
Aucun OS ne peut se prévaloir de satisfaire 100% des besoins de tous les
utilisateurs. Chacun doit donc choisir son OS en fonction de ses besoins.
$ show system OpenVMS V7.3 on node PAULI 16-OCT-2008 09:32:53.38 Uptime 1487 09:35:56 ... $
Et si on cherchait l'uptime inverse? Sur un qemu: 12:30:43 up 0 min, 0 users, load average: 0.29, 0.06, 0.02 cat /proc/uptime 17.10 3.03
17 secondes depuis le boot pour arriver à donner l'uptime, ça me parait tout de même long.. Je pense qu'il y a moyen d'optimiser. Ceci dit, c'est dans un qemu qui n'est pas un foudre de guerre.
Un second test avec lguest: 12:36:11 up 0 min, 0 users, load average: 0.00, 0.00, 0.00 cat /proc/uptime 1.26 0.30
Il y a du mieux. -- Kevin
Le 16-10-2008, JKB <knatschke@koenigsberg.fr> a écrit :
$ show system
OpenVMS V7.3 on node PAULI 16-OCT-2008 09:32:53.38 Uptime 1487 09:35:56
...
$
Et si on cherchait l'uptime inverse?
Sur un qemu:
12:30:43 up 0 min, 0 users, load average: 0.29, 0.06, 0.02
cat /proc/uptime
17.10 3.03
17 secondes depuis le boot pour arriver à donner l'uptime, ça me parait
tout de même long.. Je pense qu'il y a moyen d'optimiser. Ceci dit,
c'est dans un qemu qui n'est pas un foudre de guerre.
Un second test avec lguest:
12:36:11 up 0 min, 0 users, load average: 0.00, 0.00, 0.00
cat /proc/uptime
1.26 0.30
$ show system OpenVMS V7.3 on node PAULI 16-OCT-2008 09:32:53.38 Uptime 1487 09:35:56 ... $
Et si on cherchait l'uptime inverse? Sur un qemu: 12:30:43 up 0 min, 0 users, load average: 0.29, 0.06, 0.02 cat /proc/uptime 17.10 3.03
17 secondes depuis le boot pour arriver à donner l'uptime, ça me parait tout de même long.. Je pense qu'il y a moyen d'optimiser. Ceci dit, c'est dans un qemu qui n'est pas un foudre de guerre.
Un second test avec lguest: 12:36:11 up 0 min, 0 users, load average: 0.00, 0.00, 0.00 cat /proc/uptime 1.26 0.30
Il y a du mieux. -- Kevin
Laurent P
remy a écrit :
Laurent P a écrit :
Et bien avant les ordinateurs les cartes perforées servaient à faire de la musique. Allez une relation foireuse pour détendre , l'ordinateur avec cartes perforées est un dérivé de l'orgue de barbarie
si un ordinateur cela sert à faire du traitement automatique d'informations on faisait de l'informatique au moyen âge
ben merde alors l'on en apprend de ses trucs ici tu ne me jouerai pas un air de pipeau
Faut décompresser un peu,c'était une boutade et oui je te jouais un air de pipeau. J'espère que tu as apprécié.
-- Laurent P.
remy a écrit :
Laurent P a écrit :
Et bien avant les ordinateurs les cartes perforées servaient à faire
de la musique.
Allez une relation foireuse pour détendre , l'ordinateur avec cartes
perforées est un dérivé de l'orgue de barbarie
si un ordinateur cela sert à faire
du traitement automatique d'informations
on faisait de l'informatique au moyen âge
ben merde alors l'on en apprend de ses trucs ici
tu ne me jouerai pas un air de pipeau
Faut décompresser un peu,c'était une boutade et oui je te jouais un air
de pipeau.
J'espère que tu as apprécié.
Et bien avant les ordinateurs les cartes perforées servaient à faire de la musique. Allez une relation foireuse pour détendre , l'ordinateur avec cartes perforées est un dérivé de l'orgue de barbarie
si un ordinateur cela sert à faire du traitement automatique d'informations on faisait de l'informatique au moyen âge
ben merde alors l'on en apprend de ses trucs ici tu ne me jouerai pas un air de pipeau
Faut décompresser un peu,c'était une boutade et oui je te jouais un air de pipeau. J'espère que tu as apprécié.
-- Laurent P.
Stéphane CARPENTIER
Cumbalero wrote:
On a aussi utilisé des cartes qu'on marquait avec des crayons à la place de le perforer. Un exemple courant qui vient d'être abandonné est les cartes qui servaient au traitement des dons de sang.
T'écrivais avec ton sang sur des cartes pour les donner ? C'est quoi tes pratiques occultes que tu viens étaler ici ?
-- Stéphane
Pour me répondre, traduire gratuit en anglais et virer le .invalid. http://stef.carpentier.free.fr/
Cumbalero wrote:
On a aussi utilisé des cartes qu'on marquait avec des crayons à la place
de le perforer. Un exemple courant qui vient d'être abandonné est les
cartes qui servaient au traitement des dons de sang.
T'écrivais avec ton sang sur des cartes pour les donner ? C'est quoi tes
pratiques occultes que tu viens étaler ici ?
--
Stéphane
Pour me répondre, traduire gratuit en anglais et virer le .invalid.
http://stef.carpentier.free.fr/
On a aussi utilisé des cartes qu'on marquait avec des crayons à la place de le perforer. Un exemple courant qui vient d'être abandonné est les cartes qui servaient au traitement des dons de sang.
T'écrivais avec ton sang sur des cartes pour les donner ? C'est quoi tes pratiques occultes que tu viens étaler ici ?
-- Stéphane
Pour me répondre, traduire gratuit en anglais et virer le .invalid. http://stef.carpentier.free.fr/
Toxico Nimbus
remy a écrit :
j'ai toujours pensé qu'entre Jacquard et Turing il n'y avait pas photo 1801 contre 1952 dixit wikipedia
C'est quoi le rapport entre Jacquard et Turing ?
remy a écrit :
j'ai toujours pensé qu'entre Jacquard et Turing
il n'y avait pas photo 1801 contre 1952
dixit wikipedia
j'ai toujours pensé qu'entre Jacquard et Turing il n'y avait pas photo 1801 contre 1952 dixit wikipedia
C'est quoi le rapport entre Jacquard et Turing ?
Toxico Nimbus
Laurent P a écrit :
Et bien avant les ordinateurs les cartes perforées servaient à faire de la musique. Allez une relation foireuse pour détendre , l'ordinateur avec cartes perforées est un dérivé de l'orgue de barbarie
Je peux même aller plus loin, pendant longtemps, la carte perforée a été le meilleur medium d'enregistrement du piano. J'en veux pour preuve des enregistrements sur bande perforés /restaurés/ de *très* grands pianistes qui font paraître les enregistrements sonores actuels pour du vulgaire travail de débutant. http://www.ampico.biz
Laurent P a écrit :
Et bien avant les ordinateurs les cartes perforées servaient à faire de
la musique.
Allez une relation foireuse pour détendre , l'ordinateur avec cartes
perforées est un dérivé de l'orgue de barbarie
Je peux même aller plus loin, pendant longtemps, la carte perforée a été
le meilleur medium d'enregistrement du piano. J'en veux pour preuve des
enregistrements sur bande perforés /restaurés/ de *très* grands
pianistes qui font paraître les enregistrements sonores actuels pour du
vulgaire travail de débutant.
http://www.ampico.biz
Et bien avant les ordinateurs les cartes perforées servaient à faire de la musique. Allez une relation foireuse pour détendre , l'ordinateur avec cartes perforées est un dérivé de l'orgue de barbarie
Je peux même aller plus loin, pendant longtemps, la carte perforée a été le meilleur medium d'enregistrement du piano. J'en veux pour preuve des enregistrements sur bande perforés /restaurés/ de *très* grands pianistes qui font paraître les enregistrements sonores actuels pour du vulgaire travail de débutant. http://www.ampico.biz
JKB
Le 16-10-2008, ? propos de Re: Windows/Linux tout ça, Toxico Nimbus ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Laurent P a écrit :
Et bien avant les ordinateurs les cartes perforées servaient à faire de la musique. Allez une relation foireuse pour détendre , l'ordinateur avec cartes perforées est un dérivé de l'orgue de barbarie
Je peux même aller plus loin, pendant longtemps, la carte perforée a été le meilleur medium d'enregistrement du piano. J'en veux pour preuve des enregistrements sur bande perforés /restaurés/ de *très* grands pianistes qui font paraître les enregistrements sonores actuels pour du vulgaire travail de débutant. http://www.ampico.biz
Ça me rappelle que j'ai vu la Rhapsody in blue de Gershwin joué par un big band. Fabuleux et surréaliste, d'autant que le soliste était un piano mécanique. De mémoire, je me demande même si le 'roll' du piano mécanique n'était pas encore un de ces rouleau de piano sans les nuances...
JKB
-- Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous consommons tous les jours.
Le 16-10-2008, ? propos de
Re: Windows/Linux tout ça,
Toxico Nimbus ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Laurent P a écrit :
Et bien avant les ordinateurs les cartes perforées servaient à faire de
la musique.
Allez une relation foireuse pour détendre , l'ordinateur avec cartes
perforées est un dérivé de l'orgue de barbarie
Je peux même aller plus loin, pendant longtemps, la carte perforée a été
le meilleur medium d'enregistrement du piano. J'en veux pour preuve des
enregistrements sur bande perforés /restaurés/ de *très* grands
pianistes qui font paraître les enregistrements sonores actuels pour du
vulgaire travail de débutant.
http://www.ampico.biz
Ça me rappelle que j'ai vu la Rhapsody in blue de Gershwin joué par
un big band. Fabuleux et surréaliste, d'autant que le soliste était
un piano mécanique. De mémoire, je me demande même si le 'roll' du
piano mécanique n'était pas encore un de ces rouleau de piano sans
les nuances...
JKB
--
Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre
masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous
consommons tous les jours.
Le 16-10-2008, ? propos de Re: Windows/Linux tout ça, Toxico Nimbus ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Laurent P a écrit :
Et bien avant les ordinateurs les cartes perforées servaient à faire de la musique. Allez une relation foireuse pour détendre , l'ordinateur avec cartes perforées est un dérivé de l'orgue de barbarie
Je peux même aller plus loin, pendant longtemps, la carte perforée a été le meilleur medium d'enregistrement du piano. J'en veux pour preuve des enregistrements sur bande perforés /restaurés/ de *très* grands pianistes qui font paraître les enregistrements sonores actuels pour du vulgaire travail de débutant. http://www.ampico.biz
Ça me rappelle que j'ai vu la Rhapsody in blue de Gershwin joué par un big band. Fabuleux et surréaliste, d'autant que le soliste était un piano mécanique. De mémoire, je me demande même si le 'roll' du piano mécanique n'était pas encore un de ces rouleau de piano sans les nuances...
JKB
-- Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous consommons tous les jours.
Toxico Nimbus
Kevin Denis a écrit :
Et si on cherchait l'uptime inverse? Sur un qemu: 12:30:43 up 0 min, 0 users, load average: 0.29, 0.06, 0.02 cat /proc/uptime 17.10 3.03
17 secondes depuis le boot pour arriver à donner l'uptime, ça me parait tout de même long.. Je pense qu'il y a moyen d'optimiser. Ceci dit, c'est dans un qemu qui n'est pas un foudre de guerre.
Un second test avec lguest: 12:36:11 up 0 min, 0 users, load average: 0.00, 0.00, 0.00 cat /proc/uptime 1.26 0.30
Il y a du mieux.
Dans le temps mon Amiga démarrait en 4 secondes mais je vais pas le ressortir du placard pour faire l'uptime...
Kevin Denis a écrit :
Et si on cherchait l'uptime inverse?
Sur un qemu:
12:30:43 up 0 min, 0 users, load average: 0.29, 0.06, 0.02
cat /proc/uptime
17.10 3.03
17 secondes depuis le boot pour arriver à donner l'uptime, ça me parait
tout de même long.. Je pense qu'il y a moyen d'optimiser. Ceci dit,
c'est dans un qemu qui n'est pas un foudre de guerre.
Un second test avec lguest:
12:36:11 up 0 min, 0 users, load average: 0.00, 0.00, 0.00
cat /proc/uptime
1.26 0.30
Il y a du mieux.
Dans le temps mon Amiga démarrait en 4 secondes mais je vais pas le
ressortir du placard pour faire l'uptime...
Et si on cherchait l'uptime inverse? Sur un qemu: 12:30:43 up 0 min, 0 users, load average: 0.29, 0.06, 0.02 cat /proc/uptime 17.10 3.03
17 secondes depuis le boot pour arriver à donner l'uptime, ça me parait tout de même long.. Je pense qu'il y a moyen d'optimiser. Ceci dit, c'est dans un qemu qui n'est pas un foudre de guerre.
Un second test avec lguest: 12:36:11 up 0 min, 0 users, load average: 0.00, 0.00, 0.00 cat /proc/uptime 1.26 0.30
Il y a du mieux.
Dans le temps mon Amiga démarrait en 4 secondes mais je vais pas le ressortir du placard pour faire l'uptime...
JKB
Le 16-10-2008, ? propos de Re: Windows/Linux tout ça, Toxico Nimbus ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Kevin Denis a écrit :
Et si on cherchait l'uptime inverse? Sur un qemu: 12:30:43 up 0 min, 0 users, load average: 0.29, 0.06, 0.02 cat /proc/uptime 17.10 3.03
17 secondes depuis le boot pour arriver à donner l'uptime, ça me parait tout de même long.. Je pense qu'il y a moyen d'optimiser. Ceci dit, c'est dans un qemu qui n'est pas un foudre de guerre.
Un second test avec lguest: 12:36:11 up 0 min, 0 users, load average: 0.00, 0.00, 0.00 cat /proc/uptime 1.26 0.30
Il y a du mieux.
Dans le temps mon Amiga démarrait en 4 secondes mais je vais pas le ressortir du placard pour faire l'uptime...
Et mon Oric Atmos 48K encore en moins ! Au fait, quel est l'intérêt de mesurer le temps nécessaire nécessaire au boot si on ne boote qu'une fois tous les 36 du mois (contrairement à Windows...) ?
JKB
-- Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous consommons tous les jours.
Le 16-10-2008, ? propos de
Re: Windows/Linux tout ça,
Toxico Nimbus ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Kevin Denis a écrit :
Et si on cherchait l'uptime inverse?
Sur un qemu:
12:30:43 up 0 min, 0 users, load average: 0.29, 0.06, 0.02
cat /proc/uptime
17.10 3.03
17 secondes depuis le boot pour arriver à donner l'uptime, ça me parait
tout de même long.. Je pense qu'il y a moyen d'optimiser. Ceci dit,
c'est dans un qemu qui n'est pas un foudre de guerre.
Un second test avec lguest:
12:36:11 up 0 min, 0 users, load average: 0.00, 0.00, 0.00
cat /proc/uptime
1.26 0.30
Il y a du mieux.
Dans le temps mon Amiga démarrait en 4 secondes mais je vais pas le
ressortir du placard pour faire l'uptime...
Et mon Oric Atmos 48K encore en moins ! Au fait, quel est l'intérêt
de mesurer le temps nécessaire nécessaire au boot si on ne boote
qu'une fois tous les 36 du mois (contrairement à Windows...) ?
JKB
--
Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre
masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous
consommons tous les jours.
Le 16-10-2008, ? propos de Re: Windows/Linux tout ça, Toxico Nimbus ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Kevin Denis a écrit :
Et si on cherchait l'uptime inverse? Sur un qemu: 12:30:43 up 0 min, 0 users, load average: 0.29, 0.06, 0.02 cat /proc/uptime 17.10 3.03
17 secondes depuis le boot pour arriver à donner l'uptime, ça me parait tout de même long.. Je pense qu'il y a moyen d'optimiser. Ceci dit, c'est dans un qemu qui n'est pas un foudre de guerre.
Un second test avec lguest: 12:36:11 up 0 min, 0 users, load average: 0.00, 0.00, 0.00 cat /proc/uptime 1.26 0.30
Il y a du mieux.
Dans le temps mon Amiga démarrait en 4 secondes mais je vais pas le ressortir du placard pour faire l'uptime...
Et mon Oric Atmos 48K encore en moins ! Au fait, quel est l'intérêt de mesurer le temps nécessaire nécessaire au boot si on ne boote qu'une fois tous les 36 du mois (contrairement à Windows...) ?
JKB
-- Le cerveau, c'est un véritable scandale écologique. Il représente 2% de notre masse corporelle, mais disperse à lui seul 25% de l'énergie que nous consommons tous les jours.
Toxico Nimbus
JKB a écrit :
Le 16-10-2008, ? propos de Re: Windows/Linux tout ça, Toxico Nimbus ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Laurent P a écrit :
Et bien avant les ordinateurs les cartes perforées servaient à faire de la musique. Allez une relation foireuse pour détendre , l'ordinateur avec cartes perforées est un dérivé de l'orgue de barbarie
Je peux même aller plus loin, pendant longtemps, la carte perforée a été le meilleur medium d'enregistrement du piano. J'en veux pour preuve des enregistrements sur bande perforés /restaurés/ de *très* grands pianistes qui font paraître les enregistrements sonores actuels pour du vulgaire travail de débutant. http://www.ampico.biz
Ça me rappelle que j'ai vu la Rhapsody in blue de Gershwin joué par un big band. Fabuleux et surréaliste, d'autant que le soliste était un piano mécanique. De mémoire, je me demande même si le 'roll' du piano mécanique n'était pas encore un de ces rouleau de piano sans les nuances...
C'est possible, AmPiCo n'a commencé à enregistrer les vélocités que vers les années 40 il me semble.
JKB a écrit :
Le 16-10-2008, ? propos de
Re: Windows/Linux tout ça,
Toxico Nimbus ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Laurent P a écrit :
Et bien avant les ordinateurs les cartes perforées servaient à faire de
la musique.
Allez une relation foireuse pour détendre , l'ordinateur avec cartes
perforées est un dérivé de l'orgue de barbarie
Je peux même aller plus loin, pendant longtemps, la carte perforée a été
le meilleur medium d'enregistrement du piano. J'en veux pour preuve des
enregistrements sur bande perforés /restaurés/ de *très* grands
pianistes qui font paraître les enregistrements sonores actuels pour du
vulgaire travail de débutant.
http://www.ampico.biz
Ça me rappelle que j'ai vu la Rhapsody in blue de Gershwin joué par
un big band. Fabuleux et surréaliste, d'autant que le soliste était
un piano mécanique. De mémoire, je me demande même si le 'roll' du
piano mécanique n'était pas encore un de ces rouleau de piano sans
les nuances...
C'est possible, AmPiCo n'a commencé à enregistrer les vélocités que vers
les années 40 il me semble.
Le 16-10-2008, ? propos de Re: Windows/Linux tout ça, Toxico Nimbus ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Laurent P a écrit :
Et bien avant les ordinateurs les cartes perforées servaient à faire de la musique. Allez une relation foireuse pour détendre , l'ordinateur avec cartes perforées est un dérivé de l'orgue de barbarie
Je peux même aller plus loin, pendant longtemps, la carte perforée a été le meilleur medium d'enregistrement du piano. J'en veux pour preuve des enregistrements sur bande perforés /restaurés/ de *très* grands pianistes qui font paraître les enregistrements sonores actuels pour du vulgaire travail de débutant. http://www.ampico.biz
Ça me rappelle que j'ai vu la Rhapsody in blue de Gershwin joué par un big band. Fabuleux et surréaliste, d'autant que le soliste était un piano mécanique. De mémoire, je me demande même si le 'roll' du piano mécanique n'était pas encore un de ces rouleau de piano sans les nuances...
C'est possible, AmPiCo n'a commencé à enregistrer les vélocités que vers les années 40 il me semble.