En tant que fervant défenseur de la distrib Xandros, et suite aux
maqueries de certains qui affirmaient que Xandros était une distrib nulle.
Et bien je suis heureux de vous annoncer qu'elle est classée N°1 des
distrib les pls simples à installer et à utiliser par le très célèbre
site www.distrowatch.com !
Elle se place aussi dans le top 10 des meilleurs distribs du moment.
Encore un peu, et elle sera enfin à sa vrai place !
--
Message envoyé avec Thunderbird
Sous Linux Xandros 3.0 Deluxe
In article <1h1g284.1elkxx2vv98mdN%, Stanislas de Kertanguy wrote:
Hem. Je crois hélas que vous surestimez le niveu des élèves.
Non, hélas je sais ce que c'est.
Un prof de français sera bien content si en seconde un élève sait bien écrire le français, sans se limiter au présent et au passé composé et sans excédent de fautes. Alors Balzac et Hermann Broch... ça se passe comme ça dans les bulles des "grands" lycées, mais à part quelques (remarquables) exceptions ailleurs, hem...
Dans mon domaine (sciences physiques), je serai bien content si des élèves de seconde savent lire *correctement* un énoncé. Je n'ai pas un pressentiment particulièrement bon ... :-(
En revanche, je ne parviens pas à comprendre comment on en est arrivé là. Je mets votre message en stand-by (et celui de Michel Talon aussi), car
ce débat est passionant, et il y a vraiment de quoi dire... donc réponse dans qq temps!
-- remplacez "lesptt" par "laposte" pour me joindre substitute "laposte" for "lesptt" to reach me
costaclt <fun@numericable.fr> wrote:
In article <1h1g284.1elkxx2vv98mdN%stanislas.dekertanguy@lesptt.net>,
Stanislas de Kertanguy wrote:
Hem. Je crois hélas que vous surestimez le niveu des élèves.
Non, hélas je sais ce que c'est.
Un prof de français sera bien content si en seconde un élève sait bien
écrire le français, sans se limiter au présent et au passé composé et
sans excédent de fautes. Alors Balzac et Hermann Broch... ça se passe
comme ça dans les bulles des "grands" lycées, mais à part quelques
(remarquables) exceptions ailleurs, hem...
Dans mon domaine (sciences physiques), je serai bien content si des
élèves de seconde savent lire *correctement* un énoncé. Je n'ai pas un
pressentiment particulièrement bon ... :-(
En revanche, je ne parviens pas à comprendre comment on en est arrivé là.
Je mets votre message en stand-by (et celui de Michel Talon aussi), car
ce débat est passionant, et il y a vraiment de quoi dire... donc réponse
dans qq temps!
--
remplacez "lesptt" par "laposte" pour me joindre
substitute "laposte" for "lesptt" to reach me
In article <1h1g284.1elkxx2vv98mdN%, Stanislas de Kertanguy wrote:
Hem. Je crois hélas que vous surestimez le niveu des élèves.
Non, hélas je sais ce que c'est.
Un prof de français sera bien content si en seconde un élève sait bien écrire le français, sans se limiter au présent et au passé composé et sans excédent de fautes. Alors Balzac et Hermann Broch... ça se passe comme ça dans les bulles des "grands" lycées, mais à part quelques (remarquables) exceptions ailleurs, hem...
Dans mon domaine (sciences physiques), je serai bien content si des élèves de seconde savent lire *correctement* un énoncé. Je n'ai pas un pressentiment particulièrement bon ... :-(
En revanche, je ne parviens pas à comprendre comment on en est arrivé là. Je mets votre message en stand-by (et celui de Michel Talon aussi), car
ce débat est passionant, et il y a vraiment de quoi dire... donc réponse dans qq temps!
-- remplacez "lesptt" par "laposte" pour me joindre substitute "laposte" for "lesptt" to reach me
Stephane Zuckerman
Il faut se méfier de cette histoire de "théorique vs pratique". On en revient. Les entreprises ont fait le forcing pour obtenir qu'on forme des gens opérationnels. Maintenant, elles commencent à déchanter. On les avait prévenues pourtant que c'était loin d'être aussi simple...
Oui oui, bien sûr. Mais il y a un monde entre ce que j'ai appelé le "tout théorique", et le "totalement professionnel". Je repense notemment à un long troll initié par messieurs Tom & Cool, à propos de l'état de l'informatique actuel, et en particulier sur le fait que "CAML c'est cool, C c'est pourri, et tous les informaticiens d'entreprise sont nuls, sauf ma mère". C'est cela la limite du "tout théorique" : on forme des gens qui sont peut-être très bons dans leur domaine, mais qui ont du mal à comprendre qu'en entreprise, il faut _aussi_ s'adapter à l'existant... Bref, faire des compromis. :-)
Cela dit, tant qu'on formera des chercheurs mais qu'on ne leur donnera pas d'emploi qui justifie leur doctorat, je pense que le "tout théorique" continuera de se casser la figure ...
-- "Je deteste les ordinateurs : ils font toujours ce que je dis, jamais ce que je veux !" "The obvious mathematical breakthrough would be development of an easy way to factor large prime numbers." (Bill Gates, The Road Ahead)
Il faut se méfier de cette histoire de "théorique vs pratique". On en revient.
Les entreprises ont fait le forcing pour obtenir qu'on forme des gens
opérationnels. Maintenant, elles commencent à déchanter. On les avait
prévenues pourtant que c'était loin d'être aussi simple...
Oui oui, bien sûr. Mais il y a un monde entre ce que j'ai appelé le "tout
théorique", et le "totalement professionnel". Je repense notemment à un
long troll initié par messieurs Tom & Cool, à propos de l'état de
l'informatique actuel, et en particulier sur le fait que "CAML c'est cool,
C c'est pourri, et tous les informaticiens d'entreprise sont nuls, sauf ma
mère". C'est cela la limite du "tout théorique" : on forme des gens qui
sont peut-être très bons dans leur domaine, mais qui ont du mal à
comprendre qu'en entreprise, il faut _aussi_ s'adapter à l'existant...
Bref, faire des compromis. :-)
Cela dit, tant qu'on formera des chercheurs mais qu'on ne leur donnera pas
d'emploi qui justifie leur doctorat, je pense que le "tout théorique"
continuera de se casser la figure ...
--
"Je deteste les ordinateurs : ils font toujours ce que je dis, jamais ce
que je veux !"
"The obvious mathematical breakthrough would be development of an easy
way to factor large prime numbers." (Bill Gates, The Road Ahead)
Il faut se méfier de cette histoire de "théorique vs pratique". On en revient. Les entreprises ont fait le forcing pour obtenir qu'on forme des gens opérationnels. Maintenant, elles commencent à déchanter. On les avait prévenues pourtant que c'était loin d'être aussi simple...
Oui oui, bien sûr. Mais il y a un monde entre ce que j'ai appelé le "tout théorique", et le "totalement professionnel". Je repense notemment à un long troll initié par messieurs Tom & Cool, à propos de l'état de l'informatique actuel, et en particulier sur le fait que "CAML c'est cool, C c'est pourri, et tous les informaticiens d'entreprise sont nuls, sauf ma mère". C'est cela la limite du "tout théorique" : on forme des gens qui sont peut-être très bons dans leur domaine, mais qui ont du mal à comprendre qu'en entreprise, il faut _aussi_ s'adapter à l'existant... Bref, faire des compromis. :-)
Cela dit, tant qu'on formera des chercheurs mais qu'on ne leur donnera pas d'emploi qui justifie leur doctorat, je pense que le "tout théorique" continuera de se casser la figure ...
-- "Je deteste les ordinateurs : ils font toujours ce que je dis, jamais ce que je veux !" "The obvious mathematical breakthrough would be development of an easy way to factor large prime numbers." (Bill Gates, The Road Ahead)
Nicolas George
Stephane Zuckerman , dans le message , a écrit :
sont peut-être très bons dans leur domaine
Euh, tu parles encore des deux abrutis, là, ou tu es passé à autre chose ?
Stephane Zuckerman , dans le message
<Pine.OSF.4.58.0508181151190.198163@vega.utc.fr>, a écrit :
sont peut-être très bons dans leur domaine
Euh, tu parles encore des deux abrutis, là, ou tu es passé à autre chose ?
Euh, tu parles encore des deux abrutis, là, ou tu es passé à autre chose ?
Stephane Zuckerman
sont peut-être très bons dans leur domaine
Euh, tu parles encore des deux abrutis, là, ou tu es passé à autre chose ?
Je te sens légèrement moqueur. :-) Cela dit, pourquoi ne seraient-ils pas bons dans leur domaine (à savoir : coder en Caml) ?
Tout ce qu'ils disaient n'était pas infondé : nous sommes bien encore à la préhistoire de l'informatique ; oui, il faudrait avoir des langages qui puissent automatiser certains comportements pour ne pas avoir à y penser de soi-même ; etc. C'est juste qu'ensuite ils osent affirmer que tous les informaticiens actuels n'ont rien compris, alors qu'eux-mêmes restent imperméables à la notion "d'existant" (et aussi du fait qu'il faudrait ensuite former correctement les informaticiens qui devront reprendre leur super code en langage ML).
-- "Je deteste les ordinateurs : ils font toujours ce que je dis, jamais ce que je veux !" "The obvious mathematical breakthrough would be development of an easy way to factor large prime numbers." (Bill Gates, The Road Ahead)
sont peut-être très bons dans leur domaine
Euh, tu parles encore des deux abrutis, là, ou tu es passé à autre chose ?
Je te sens légèrement moqueur. :-) Cela dit, pourquoi ne seraient-ils pas
bons dans leur domaine (à savoir : coder en Caml) ?
Tout ce qu'ils disaient n'était pas infondé : nous sommes bien encore à la
préhistoire de l'informatique ; oui, il faudrait avoir des langages qui
puissent automatiser certains comportements pour ne pas avoir à y penser
de soi-même ; etc. C'est juste qu'ensuite ils osent affirmer que tous les
informaticiens actuels n'ont rien compris, alors qu'eux-mêmes restent
imperméables à la notion "d'existant" (et aussi du fait qu'il faudrait
ensuite former correctement les informaticiens qui devront reprendre leur
super code en langage ML).
--
"Je deteste les ordinateurs : ils font toujours ce que je dis, jamais ce
que je veux !"
"The obvious mathematical breakthrough would be development of an easy way
to factor large prime numbers." (Bill Gates, The Road Ahead)
Euh, tu parles encore des deux abrutis, là, ou tu es passé à autre chose ?
Je te sens légèrement moqueur. :-) Cela dit, pourquoi ne seraient-ils pas bons dans leur domaine (à savoir : coder en Caml) ?
Tout ce qu'ils disaient n'était pas infondé : nous sommes bien encore à la préhistoire de l'informatique ; oui, il faudrait avoir des langages qui puissent automatiser certains comportements pour ne pas avoir à y penser de soi-même ; etc. C'est juste qu'ensuite ils osent affirmer que tous les informaticiens actuels n'ont rien compris, alors qu'eux-mêmes restent imperméables à la notion "d'existant" (et aussi du fait qu'il faudrait ensuite former correctement les informaticiens qui devront reprendre leur super code en langage ML).
-- "Je deteste les ordinateurs : ils font toujours ce que je dis, jamais ce que je veux !" "The obvious mathematical breakthrough would be development of an easy way to factor large prime numbers." (Bill Gates, The Road Ahead)
Nicolas George
Stephane Zuckerman , dans le message , a écrit :
Je te sens légèrement moqueur. :-) Cela dit, pourquoi ne seraient-ils pas bons dans leur domaine (à savoir : coder en Caml) ?
Je ne sais pas _pourquoi_ ils ne sont pas bons, mais je peux te dire qu'ils ne le sont pas.
Tout ce qu'ils disaient n'était pas infondé
Non : comme pour tout le monde, même helios, parfois ils touchent juste, souvent en répétant ce que quelqu'un de meilleur a dit. En l'occurence, leur discours montrait surtout une profonde incompréhension de l'informatique théorique, de la théorie de la calculabilité en particulier.
Stephane Zuckerman , dans le message
<Pine.OSF.4.58.0508181227230.198163@vega.utc.fr>, a écrit :
Je te sens légèrement moqueur. :-) Cela dit, pourquoi ne seraient-ils pas
bons dans leur domaine (à savoir : coder en Caml) ?
Je ne sais pas _pourquoi_ ils ne sont pas bons, mais je peux te dire qu'ils
ne le sont pas.
Tout ce qu'ils disaient n'était pas infondé
Non : comme pour tout le monde, même helios, parfois ils touchent juste,
souvent en répétant ce que quelqu'un de meilleur a dit. En l'occurence, leur
discours montrait surtout une profonde incompréhension de l'informatique
théorique, de la théorie de la calculabilité en particulier.
Je te sens légèrement moqueur. :-) Cela dit, pourquoi ne seraient-ils pas bons dans leur domaine (à savoir : coder en Caml) ?
Je ne sais pas _pourquoi_ ils ne sont pas bons, mais je peux te dire qu'ils ne le sont pas.
Tout ce qu'ils disaient n'était pas infondé
Non : comme pour tout le monde, même helios, parfois ils touchent juste, souvent en répétant ce que quelqu'un de meilleur a dit. En l'occurence, leur discours montrait surtout une profonde incompréhension de l'informatique théorique, de la théorie de la calculabilité en particulier.
Benjamin FRANCOIS
Nicolas George s'est exprimé en ces termes:
Non : comme pour tout le monde, même helios, parfois ils touchent juste, souvent en répétant ce que quelqu'un de meilleur a dit. En l'occurence, leur discours montrait surtout une profonde incompréhension de l'informatique théorique, de la théorie de la calculabilité en particulier.
Sans oublier l'absence totale d'un truc qui s'appelle, comment déjà... ah oui, l'humilité.
-- <Magnum3> samba c'est pas bien dur en plus <Elmira> comment tu le lance ? <Magnum3> Elmira init 6 -*- SignOff: Elmira (Ping timeout)
Nicolas George s'est exprimé en ces termes:
Non : comme pour tout le monde, même helios, parfois ils touchent juste,
souvent en répétant ce que quelqu'un de meilleur a dit. En l'occurence, leur
discours montrait surtout une profonde incompréhension de l'informatique
théorique, de la théorie de la calculabilité en particulier.
Sans oublier l'absence totale d'un truc qui s'appelle, comment déjà...
ah oui, l'humilité.
--
<Magnum3> samba c'est pas bien dur en plus
<Elmira> comment tu le lance ?
<Magnum3> Elmira init 6
-*- SignOff: Elmira (Ping timeout)
Non : comme pour tout le monde, même helios, parfois ils touchent juste, souvent en répétant ce que quelqu'un de meilleur a dit. En l'occurence, leur discours montrait surtout une profonde incompréhension de l'informatique théorique, de la théorie de la calculabilité en particulier.
Sans oublier l'absence totale d'un truc qui s'appelle, comment déjà... ah oui, l'humilité.
-- <Magnum3> samba c'est pas bien dur en plus <Elmira> comment tu le lance ? <Magnum3> Elmira init 6 -*- SignOff: Elmira (Ping timeout)
costaclt
In article , Eric Jacoboni wrote:
Faut voir... A bac + 4, en info, ce n'est plus trop l'informatique que j'aime : la formation de gestion de projets et autres trucs apparentés au commercial, ça me daille (j'ai pas de bol, c'est l'orientation de l'IUP dans lequel je bosse mais, dans IUP, le P veut dire professionnalisé, donc je doute qu'il y ait des IUP3 en théorie des jeux, par exemple...).
Tiens, comment fais-tu pour utiliser du libre dans la Gestion de Projets ?
costaclt - moi, je me farcis Ms-Project
In article <m2vf244059.fsf@titine.scrogneugneu.org>, Eric Jacoboni wrote:
Faut voir... A bac + 4, en info, ce n'est plus trop l'informatique que
j'aime : la formation de gestion de projets et autres trucs apparentés
au commercial, ça me daille (j'ai pas de bol, c'est l'orientation de
l'IUP dans lequel je bosse mais, dans IUP, le P veut dire
professionnalisé, donc je doute qu'il y ait des IUP3 en théorie des
jeux, par exemple...).
Tiens, comment fais-tu pour utiliser du libre dans la Gestion de Projets ?
Faut voir... A bac + 4, en info, ce n'est plus trop l'informatique que j'aime : la formation de gestion de projets et autres trucs apparentés au commercial, ça me daille (j'ai pas de bol, c'est l'orientation de l'IUP dans lequel je bosse mais, dans IUP, le P veut dire professionnalisé, donc je doute qu'il y ait des IUP3 en théorie des jeux, par exemple...).
Tiens, comment fais-tu pour utiliser du libre dans la Gestion de Projets ?
costaclt - moi, je me farcis Ms-Project
Eric Jacoboni
costaclt writes:
Tiens, comment fais-tu pour utiliser du libre dans la Gestion de Projets ?
Je ne fais pas, ça ne fait pas partie des matières que j'enseigne (et ça fait même partie des trucs que ça me ferait chier d'enseigner). -- Éric Jacoboni, né il y a 1427809700 secondes
costaclt <fun@numericable.fr> writes:
Tiens, comment fais-tu pour utiliser du libre dans la Gestion de Projets ?
Je ne fais pas, ça ne fait pas partie des matières que j'enseigne (et
ça fait même partie des trucs que ça me ferait chier d'enseigner).
--
Éric Jacoboni, né il y a 1427809700 secondes
Tiens, comment fais-tu pour utiliser du libre dans la Gestion de Projets ?
Je ne fais pas, ça ne fait pas partie des matières que j'enseigne (et ça fait même partie des trucs que ça me ferait chier d'enseigner). -- Éric Jacoboni, né il y a 1427809700 secondes
Tiens, comment fais-tu pour utiliser du libre dans la Gestion de Projets ?
costaclt - moi, je me farcis Ms-Project
Il existe pourtant le projet Planner.
-- Raphaël 'SurcouF' Bordet http://debianfr.net/ | surcouf at debianfr dot net
costaclt
In article , Eric Jacoboni wrote:
Le public Sciences de l'Educ, en gros, ça veut entrer à l'IUFM
C'est pas pour ça que ça a été créé ?
Je te dirais que je ne m'en souviens même plus.
De fait, concernant le public, l'essentiel cherchait à obtenir une licence pour entrer dans une IUFM. J'avais très peu d'étudiants en maîtrise (7-8 à tout casser).
Je crois que le dispositif général est toujours mal passé. Comme toute discipline, les Sciences de l'Educ sont très complexes et fortement méthodologiques. Ce sont des protocoles expérimentaux. Ca avance à pas de fourmi.
Il y a des résultats, qu'il faut souvent prendre avec des pincettes et qui d'ailleurs heurtent souvent la pensée commune.
Il y a un merdier grave quand ça tente de passer auprès des profs sur le terrain. En général, ils n'aiment pas ! Ca a plutôt tendance à foutre le bordel, à créer des rancoeurs, à faire fantasmer les parents (ah les histoires de lecture globale !).
En soi, les Sciences de l'Educ s'en foutent un peu. Ce n'est pas leur problème. Elles font de la recherche, elles essaient de comprendre des processus et comme elles le font avec grande rigueur, ça prend beaucoup de temps. Les intermédiaires te transforment le moindre petit résultat expérimental en idéologie, vulgarisent à la Science & Vie et hop, la guerre commence dans les salles de cours des bahuts.
Amha, si déjà la réglementation, voire la loi, étaient et pouvaient réellement être appliquées dans un lieu d'enseignement, on n'aurait pas besoin de se précipiter sur les Sciences de l'Educ pour leur extirper des généralités.
Tu évoquais l'histoire des portables. Ca à l'air stupide, mais pourtant c'est oh combien chiant. Pas tellement le portable qui sonne, mais les mecs qui s'envoient des SMS, qui jouent etc.
Pourquoi simplement restent-ils en cours ? Personnellement, je les éjecte manu militari. Ils perturbent vraiment le cours. De même que le mec, ça m'est arrivé plus d'une fois, dort dès qu'il arrive. Il n'attend même pas que je le berce de ma voix ! Comme je n'ai rien à faire de la présence de sa carcasse, je le fous dehors.
Quand ce n'est pas possible, c'est là que ça devient très intéressant. Que se passe-t-il exactement pour que la réglementation ne soit pas appliquée par le prof (ou qu'elle soit éventuellement défaillante) ?
C'est connu. Un traitement chez un psy doit être payant pour qu'il ait un quelconque effet.
Oui et sans remboursement. Pourquoi ? Car le psy ne doit pas entrer dans le piège que tout patient crée sans s'en rendre compte.
costaclt
In article <m2r7cs400m.fsf@titine.scrogneugneu.org>, Eric Jacoboni wrote:
Le public Sciences de l'Educ, en gros, ça veut entrer à l'IUFM
C'est pas pour ça que ça a été créé ?
Je te dirais que je ne m'en souviens même plus.
De fait, concernant le public, l'essentiel cherchait à obtenir une licence
pour entrer dans une IUFM. J'avais très peu d'étudiants en maîtrise (7-8
à tout casser).
Je crois que le dispositif général est toujours mal passé. Comme toute
discipline, les Sciences de l'Educ sont très complexes et fortement
méthodologiques. Ce sont des protocoles expérimentaux. Ca avance à pas de
fourmi.
Il y a des résultats, qu'il faut souvent prendre avec des pincettes et qui
d'ailleurs heurtent souvent la pensée commune.
Il y a un merdier grave quand ça tente de passer auprès des profs sur le
terrain. En général, ils n'aiment pas ! Ca a plutôt tendance à foutre le
bordel, à créer des rancoeurs, à faire fantasmer les parents (ah les
histoires de lecture globale !).
En soi, les Sciences de l'Educ s'en foutent un peu. Ce n'est pas leur
problème. Elles font de la recherche, elles essaient de comprendre des
processus et comme elles le font avec grande rigueur, ça prend beaucoup
de temps. Les intermédiaires te transforment le moindre petit résultat
expérimental en idéologie, vulgarisent à la Science & Vie et hop, la guerre
commence dans les salles de cours des bahuts.
Amha, si déjà la réglementation, voire la loi, étaient et pouvaient réellement
être appliquées dans un lieu d'enseignement, on n'aurait pas besoin de se
précipiter sur les Sciences de l'Educ pour leur extirper des généralités.
Tu évoquais l'histoire des portables. Ca à l'air stupide, mais pourtant
c'est oh combien chiant. Pas tellement le portable qui sonne, mais les mecs
qui s'envoient des SMS, qui jouent etc.
Pourquoi simplement restent-ils en cours ? Personnellement, je les éjecte
manu militari. Ils perturbent vraiment le cours. De même que le mec, ça
m'est arrivé plus d'une fois, dort dès qu'il arrive. Il n'attend même pas
que je le berce de ma voix ! Comme je n'ai rien à faire de la présence de
sa carcasse, je le fous dehors.
Quand ce n'est pas possible, c'est là que ça devient très intéressant.
Que se passe-t-il exactement pour que la réglementation ne soit pas appliquée
par le prof (ou qu'elle soit éventuellement défaillante) ?
C'est connu. Un traitement chez un psy doit être payant pour qu'il ait
un quelconque effet.
Oui et sans remboursement. Pourquoi ? Car le psy ne doit pas entrer dans
le piège que tout patient crée sans s'en rendre compte.
Le public Sciences de l'Educ, en gros, ça veut entrer à l'IUFM
C'est pas pour ça que ça a été créé ?
Je te dirais que je ne m'en souviens même plus.
De fait, concernant le public, l'essentiel cherchait à obtenir une licence pour entrer dans une IUFM. J'avais très peu d'étudiants en maîtrise (7-8 à tout casser).
Je crois que le dispositif général est toujours mal passé. Comme toute discipline, les Sciences de l'Educ sont très complexes et fortement méthodologiques. Ce sont des protocoles expérimentaux. Ca avance à pas de fourmi.
Il y a des résultats, qu'il faut souvent prendre avec des pincettes et qui d'ailleurs heurtent souvent la pensée commune.
Il y a un merdier grave quand ça tente de passer auprès des profs sur le terrain. En général, ils n'aiment pas ! Ca a plutôt tendance à foutre le bordel, à créer des rancoeurs, à faire fantasmer les parents (ah les histoires de lecture globale !).
En soi, les Sciences de l'Educ s'en foutent un peu. Ce n'est pas leur problème. Elles font de la recherche, elles essaient de comprendre des processus et comme elles le font avec grande rigueur, ça prend beaucoup de temps. Les intermédiaires te transforment le moindre petit résultat expérimental en idéologie, vulgarisent à la Science & Vie et hop, la guerre commence dans les salles de cours des bahuts.
Amha, si déjà la réglementation, voire la loi, étaient et pouvaient réellement être appliquées dans un lieu d'enseignement, on n'aurait pas besoin de se précipiter sur les Sciences de l'Educ pour leur extirper des généralités.
Tu évoquais l'histoire des portables. Ca à l'air stupide, mais pourtant c'est oh combien chiant. Pas tellement le portable qui sonne, mais les mecs qui s'envoient des SMS, qui jouent etc.
Pourquoi simplement restent-ils en cours ? Personnellement, je les éjecte manu militari. Ils perturbent vraiment le cours. De même que le mec, ça m'est arrivé plus d'une fois, dort dès qu'il arrive. Il n'attend même pas que je le berce de ma voix ! Comme je n'ai rien à faire de la présence de sa carcasse, je le fous dehors.
Quand ce n'est pas possible, c'est là que ça devient très intéressant. Que se passe-t-il exactement pour que la réglementation ne soit pas appliquée par le prof (ou qu'elle soit éventuellement défaillante) ?
C'est connu. Un traitement chez un psy doit être payant pour qu'il ait un quelconque effet.
Oui et sans remboursement. Pourquoi ? Car le psy ne doit pas entrer dans le piège que tout patient crée sans s'en rendre compte.
