Les profs que j'ai eu, c'était variable. En gros, je dirais qu'ils se
faisaient chier tout de même. Y'a pas à tourner autour du pot : en réunion
bien plus tard, quand ce n'était plus mes profs mais de simples collègues,
ce qui les interessaient c'était la recherche. Pas faire le pitre avec
des étudiants. Ils étaient plus directs.
Sinon, innover dans un cours, je ne suis pas trop convaincu. Il y a
maintenant tellement de documentation, et souvent très bien faite, que
se faire suer à trouver trois bricoles... Enfin, c'est pas mon truc.
Ah mais ça c'est différent. C'est ton problème d'une certaine manière, pas
celui des étudiants.
En fait, je ne supporte pas les situations qui ne sont pas des
situations professionnelles, qui sont des exigences plus ou moins
farfelues qu'on impose aux étudiants et qu'on s'impose aussi, de
manière très artificielle.
J'essaie de ne pas imposer aux étudiants ces hypocrisies ou ces rituels
pédagogiques qui ne correspondent pas à ce que fait un professionnel.
Professionnellement, c'est un truc qu'on ne fait pas. Admettons que
je vienne m'inscrire à ton cours pour y comprendre un peu mieux
l'informatique. Tu crois que je serais présent ? Certainement pas !
J'ai autre chose à faire.
Concrètement, je réagirais en professionnel : je te demanderais ta
biblio, tes fichiers. En temps, je travaillerais bien plus vite à
mon bureau. En revanche, quand je me déplacerai pour que tu me
donnes des explications sur un truc que je ne pige pas, je ne te
lacherai pas comme ça !
Les profs que j'ai eu, c'était variable. En gros, je dirais qu'ils se
faisaient chier tout de même. Y'a pas à tourner autour du pot : en réunion
bien plus tard, quand ce n'était plus mes profs mais de simples collègues,
ce qui les interessaient c'était la recherche. Pas faire le pitre avec
des étudiants. Ils étaient plus directs.
Sinon, innover dans un cours, je ne suis pas trop convaincu. Il y a
maintenant tellement de documentation, et souvent très bien faite, que
se faire suer à trouver trois bricoles... Enfin, c'est pas mon truc.
Ah mais ça c'est différent. C'est ton problème d'une certaine manière, pas
celui des étudiants.
En fait, je ne supporte pas les situations qui ne sont pas des
situations professionnelles, qui sont des exigences plus ou moins
farfelues qu'on impose aux étudiants et qu'on s'impose aussi, de
manière très artificielle.
J'essaie de ne pas imposer aux étudiants ces hypocrisies ou ces rituels
pédagogiques qui ne correspondent pas à ce que fait un professionnel.
Professionnellement, c'est un truc qu'on ne fait pas. Admettons que
je vienne m'inscrire à ton cours pour y comprendre un peu mieux
l'informatique. Tu crois que je serais présent ? Certainement pas !
J'ai autre chose à faire.
Concrètement, je réagirais en professionnel : je te demanderais ta
biblio, tes fichiers. En temps, je travaillerais bien plus vite à
mon bureau. En revanche, quand je me déplacerai pour que tu me
donnes des explications sur un truc que je ne pige pas, je ne te
lacherai pas comme ça !
Les profs que j'ai eu, c'était variable. En gros, je dirais qu'ils se
faisaient chier tout de même. Y'a pas à tourner autour du pot : en réunion
bien plus tard, quand ce n'était plus mes profs mais de simples collègues,
ce qui les interessaient c'était la recherche. Pas faire le pitre avec
des étudiants. Ils étaient plus directs.
Sinon, innover dans un cours, je ne suis pas trop convaincu. Il y a
maintenant tellement de documentation, et souvent très bien faite, que
se faire suer à trouver trois bricoles... Enfin, c'est pas mon truc.
Ah mais ça c'est différent. C'est ton problème d'une certaine manière, pas
celui des étudiants.
En fait, je ne supporte pas les situations qui ne sont pas des
situations professionnelles, qui sont des exigences plus ou moins
farfelues qu'on impose aux étudiants et qu'on s'impose aussi, de
manière très artificielle.
J'essaie de ne pas imposer aux étudiants ces hypocrisies ou ces rituels
pédagogiques qui ne correspondent pas à ce que fait un professionnel.
Professionnellement, c'est un truc qu'on ne fait pas. Admettons que
je vienne m'inscrire à ton cours pour y comprendre un peu mieux
l'informatique. Tu crois que je serais présent ? Certainement pas !
J'ai autre chose à faire.
Concrètement, je réagirais en professionnel : je te demanderais ta
biblio, tes fichiers. En temps, je travaillerais bien plus vite à
mon bureau. En revanche, quand je me déplacerai pour que tu me
donnes des explications sur un truc que je ne pige pas, je ne te
lacherai pas comme ça !
ça captait l'attention (peut être la nouveauté du procédé). En tout
cas une solution radicale pour éviter la dispersion c'est de baisser
la lumière dans la salle ; les écrans de téléphones portables se
trahissent rapidement dans l'obscurité.
Les ronflements aussi :)
ça captait l'attention (peut être la nouveauté du procédé). En tout
cas une solution radicale pour éviter la dispersion c'est de baisser
la lumière dans la salle ; les écrans de téléphones portables se
trahissent rapidement dans l'obscurité.
Les ronflements aussi :)
ça captait l'attention (peut être la nouveauté du procédé). En tout
cas une solution radicale pour éviter la dispersion c'est de baisser
la lumière dans la salle ; les écrans de téléphones portables se
trahissent rapidement dans l'obscurité.
Les ronflements aussi :)
En tant que fervant défenseur de la distrib Xandros, et suite aux
maqueries de certains qui affirmaient que Xandros était une distrib
nulle.
En tant que fervant défenseur de la distrib Xandros, et suite aux
maqueries de certains qui affirmaient que Xandros était une distrib
nulle.
En tant que fervant défenseur de la distrib Xandros, et suite aux
maqueries de certains qui affirmaient que Xandros était une distrib
nulle.
Ainsi Parlait Marc Collinque macos X innove? (quasi tout vient du libre pour cet os)
Darwin est sous licence BSD, certe, mais tout le reste (cocoa, carbon,
quicktime, etc...) sont des technos propriétaires. Avec une
méconnaissancve pareille du système, pas étonnant que tu penses que OS X
n'innove pas.
Ainsi Parlait Marc Collin <collinm@laboiteaprog.com>
que macos X innove? (quasi tout vient du libre pour cet os)
Darwin est sous licence BSD, certe, mais tout le reste (cocoa, carbon,
quicktime, etc...) sont des technos propriétaires. Avec une
méconnaissancve pareille du système, pas étonnant que tu penses que OS X
n'innove pas.
Ainsi Parlait Marc Collinque macos X innove? (quasi tout vient du libre pour cet os)
Darwin est sous licence BSD, certe, mais tout le reste (cocoa, carbon,
quicktime, etc...) sont des technos propriétaires. Avec une
méconnaissancve pareille du système, pas étonnant que tu penses que OS X
n'innove pas.
Ah, l'éternel dualité chercheur/enseignant... Moi, c'est la recherche
qui m'emmerde.
Il n'est pas question d'innover, mais de jouer sa partition. Ça se
saurait un peu si la façon de dispenser un enseignement n'avait pas
d'impact sur la compréhension des étudiants.
Ah ? Tu veux que je te présente des gus qui ne préparent pas leurs
cours en info ? Qui ne font pas un minimum de veille technologique ?
Tu veux voir ce que ça donne au final sur une brouette d'étudiants ?
Ben, une situation professionnelle, c'est un mec qui fait ce qu'on lui
dit de faire. Ça peut paraître ballot, mais ceux qui s'affranchissent
de cette contrainte ne sont pas la majorité.
Si un gus n'arrive pas à
se lever pour suivre un cours, ni s'organiser pour son travail
estudiantin, je te prie de croire que dans le joyeux monde de
l'informatique, il n'ira pas bien loin (il sort quand même plus de
développeurs que de théoricien de la preuve, hein...). Les
« professionnels » (ce terme m'a toujours fait marrer), je me les
coltine au cours des conseils de perfectionnement et ceux qui y sont
n'ont pas vraiment le même discours que toi.
On ne doit pas fréquenter les mêmes professionnels...
Eh oh, je ne t'ai pas forcé, hein, c'est toi qui a voulu venir... si
tu n'as pas besoin de moi, pourquoi t'inscrire puisque tu crois que tu
y arriveras tout seul ?
(des gus qui connaissent l'informatique mieux
que moi parce qu'ils lisent SVM dans le texte, il y en a plein les
facs : on a le temps de les connaître car ils restent plus longtemps
que les autres).
Et moi, j'agirai comme un professionnel et je te renverrai
chier... donc au final, pas la peine de t'inscrire, ça t'éviteras de
faire la queue à la rentrée :) Je te dis, nous ne fréquentons pas les
mêmes professionnels.
Ah, l'éternel dualité chercheur/enseignant... Moi, c'est la recherche
qui m'emmerde.
Il n'est pas question d'innover, mais de jouer sa partition. Ça se
saurait un peu si la façon de dispenser un enseignement n'avait pas
d'impact sur la compréhension des étudiants.
Ah ? Tu veux que je te présente des gus qui ne préparent pas leurs
cours en info ? Qui ne font pas un minimum de veille technologique ?
Tu veux voir ce que ça donne au final sur une brouette d'étudiants ?
Ben, une situation professionnelle, c'est un mec qui fait ce qu'on lui
dit de faire. Ça peut paraître ballot, mais ceux qui s'affranchissent
de cette contrainte ne sont pas la majorité.
Si un gus n'arrive pas à
se lever pour suivre un cours, ni s'organiser pour son travail
estudiantin, je te prie de croire que dans le joyeux monde de
l'informatique, il n'ira pas bien loin (il sort quand même plus de
développeurs que de théoricien de la preuve, hein...). Les
« professionnels » (ce terme m'a toujours fait marrer), je me les
coltine au cours des conseils de perfectionnement et ceux qui y sont
n'ont pas vraiment le même discours que toi.
On ne doit pas fréquenter les mêmes professionnels...
Eh oh, je ne t'ai pas forcé, hein, c'est toi qui a voulu venir... si
tu n'as pas besoin de moi, pourquoi t'inscrire puisque tu crois que tu
y arriveras tout seul ?
(des gus qui connaissent l'informatique mieux
que moi parce qu'ils lisent SVM dans le texte, il y en a plein les
facs : on a le temps de les connaître car ils restent plus longtemps
que les autres).
Et moi, j'agirai comme un professionnel et je te renverrai
chier... donc au final, pas la peine de t'inscrire, ça t'éviteras de
faire la queue à la rentrée :) Je te dis, nous ne fréquentons pas les
mêmes professionnels.
Ah, l'éternel dualité chercheur/enseignant... Moi, c'est la recherche
qui m'emmerde.
Il n'est pas question d'innover, mais de jouer sa partition. Ça se
saurait un peu si la façon de dispenser un enseignement n'avait pas
d'impact sur la compréhension des étudiants.
Ah ? Tu veux que je te présente des gus qui ne préparent pas leurs
cours en info ? Qui ne font pas un minimum de veille technologique ?
Tu veux voir ce que ça donne au final sur une brouette d'étudiants ?
Ben, une situation professionnelle, c'est un mec qui fait ce qu'on lui
dit de faire. Ça peut paraître ballot, mais ceux qui s'affranchissent
de cette contrainte ne sont pas la majorité.
Si un gus n'arrive pas à
se lever pour suivre un cours, ni s'organiser pour son travail
estudiantin, je te prie de croire que dans le joyeux monde de
l'informatique, il n'ira pas bien loin (il sort quand même plus de
développeurs que de théoricien de la preuve, hein...). Les
« professionnels » (ce terme m'a toujours fait marrer), je me les
coltine au cours des conseils de perfectionnement et ceux qui y sont
n'ont pas vraiment le même discours que toi.
On ne doit pas fréquenter les mêmes professionnels...
Eh oh, je ne t'ai pas forcé, hein, c'est toi qui a voulu venir... si
tu n'as pas besoin de moi, pourquoi t'inscrire puisque tu crois que tu
y arriveras tout seul ?
(des gus qui connaissent l'informatique mieux
que moi parce qu'ils lisent SVM dans le texte, il y en a plein les
facs : on a le temps de les connaître car ils restent plus longtemps
que les autres).
Et moi, j'agirai comme un professionnel et je te renverrai
chier... donc au final, pas la peine de t'inscrire, ça t'éviteras de
faire la queue à la rentrée :) Je te dis, nous ne fréquentons pas les
mêmes professionnels.
In article , Michel Billaud wrote:Ho, ça sent la bonne résolution de début d'année ça :-)
Et comme toutes les bonnes résolutions, ça sent l'échec :)
Aussi quelle idée que de se lancer dans la construction de supports de
cours...
Une bibliographie et basta !
Je me souviens d'une prof de chimie organique. La première fois qu'elle
est entrée dans l'amphi, elle nous a dit "mon cours se basera sur
l'ouvrage suivant" et hop, fini !
Tout le monde s'est procuré le bouquin en question et ça s'est bien passé.
Elle ne s'emmerdait pas à faire des paperasses à la noix, des transparents
ou des âneries de ce genre.
In article <7zhddp6dfk.fsf@serveur5.labri.fr>, Michel Billaud wrote:
Ho, ça sent la bonne résolution de début d'année ça :-)
Et comme toutes les bonnes résolutions, ça sent l'échec :)
Aussi quelle idée que de se lancer dans la construction de supports de
cours...
Une bibliographie et basta !
Je me souviens d'une prof de chimie organique. La première fois qu'elle
est entrée dans l'amphi, elle nous a dit "mon cours se basera sur
l'ouvrage suivant" et hop, fini !
Tout le monde s'est procuré le bouquin en question et ça s'est bien passé.
Elle ne s'emmerdait pas à faire des paperasses à la noix, des transparents
ou des âneries de ce genre.
In article , Michel Billaud wrote:Ho, ça sent la bonne résolution de début d'année ça :-)
Et comme toutes les bonnes résolutions, ça sent l'échec :)
Aussi quelle idée que de se lancer dans la construction de supports de
cours...
Une bibliographie et basta !
Je me souviens d'une prof de chimie organique. La première fois qu'elle
est entrée dans l'amphi, elle nous a dit "mon cours se basera sur
l'ouvrage suivant" et hop, fini !
Tout le monde s'est procuré le bouquin en question et ça s'est bien passé.
Elle ne s'emmerdait pas à faire des paperasses à la noix, des transparents
ou des âneries de ce genre.
Tiens, on faisait ça en Sup et en Spé. Pour tout: les cours, les
devoirs, les DS, mêmes les colles... En fait, on travaillait par petit
groupes, mais jamais tous ensemble.
C'était vachement efficace: on avait plein de temps libre et, mine de
rien, on assimilait vachement bien...
Bon, ça faisait hurler les profs à la mort, pour qui ces années là
doivent être dédiées au bachotage, ça n'en était que plus rigolo !
Le problème est que les étudiants ont le sentiment qu'on leur impose la
connaissance, bien souvent, plutôt que de la proposer...
D'ou un certain rejet instinctif...
Tu ne peux pas demander ça à tout le monde... Il y a des gens qui ne
sont jamais aussi bons que quand tout en dépend et d'autres pour qui
c'est la panique et donc la catastrophe assurée...
Tiens, on faisait ça en Sup et en Spé. Pour tout: les cours, les
devoirs, les DS, mêmes les colles... En fait, on travaillait par petit
groupes, mais jamais tous ensemble.
C'était vachement efficace: on avait plein de temps libre et, mine de
rien, on assimilait vachement bien...
Bon, ça faisait hurler les profs à la mort, pour qui ces années là
doivent être dédiées au bachotage, ça n'en était que plus rigolo !
Le problème est que les étudiants ont le sentiment qu'on leur impose la
connaissance, bien souvent, plutôt que de la proposer...
D'ou un certain rejet instinctif...
Tu ne peux pas demander ça à tout le monde... Il y a des gens qui ne
sont jamais aussi bons que quand tout en dépend et d'autres pour qui
c'est la panique et donc la catastrophe assurée...
Tiens, on faisait ça en Sup et en Spé. Pour tout: les cours, les
devoirs, les DS, mêmes les colles... En fait, on travaillait par petit
groupes, mais jamais tous ensemble.
C'était vachement efficace: on avait plein de temps libre et, mine de
rien, on assimilait vachement bien...
Bon, ça faisait hurler les profs à la mort, pour qui ces années là
doivent être dédiées au bachotage, ça n'en était que plus rigolo !
Le problème est que les étudiants ont le sentiment qu'on leur impose la
connaissance, bien souvent, plutôt que de la proposer...
D'ou un certain rejet instinctif...
Tu ne peux pas demander ça à tout le monde... Il y a des gens qui ne
sont jamais aussi bons que quand tout en dépend et d'autres pour qui
c'est la panique et donc la catastrophe assurée...
D'autre part, "conseiller" une bibliographie, c'est bien. Maintenant,
comment on fait pour que les étudiants lisent ce qu'on leur dit de
lire entre les cours, histoire de pouvoir suivre, quand ils en ont +30
heures par semaine ?
D'autre part, "conseiller" une bibliographie, c'est bien. Maintenant,
comment on fait pour que les étudiants lisent ce qu'on leur dit de
lire entre les cours, histoire de pouvoir suivre, quand ils en ont +30
heures par semaine ?
D'autre part, "conseiller" une bibliographie, c'est bien. Maintenant,
comment on fait pour que les étudiants lisent ce qu'on leur dit de
lire entre les cours, histoire de pouvoir suivre, quand ils en ont +30
heures par semaine ?
Il y a encore un gros malheur en France : on paie souvent les gens
pour occuper une fonction et non pour atteindre des objectifs.
Pas mal d'entreprises donnent à fond dans le modèle "objectifs". Que
tu sois physiquement présent dans l'entreprise, chez un client, ou
en train de baiser dans un motel, tout le monde s'en fout : tu
atteins les objectifs, cad que tu rapportes du pognon comme nul
autre.
Et tu as aussi l'autre modèle. La caricature du prof de lycée. Il
faut qu'il occupe un poste. Qu'il massacre des générations de
lycéens est anecdotique du moment qu'il est là !
Il y a encore un gros malheur en France : on paie souvent les gens
pour occuper une fonction et non pour atteindre des objectifs.
Pas mal d'entreprises donnent à fond dans le modèle "objectifs". Que
tu sois physiquement présent dans l'entreprise, chez un client, ou
en train de baiser dans un motel, tout le monde s'en fout : tu
atteins les objectifs, cad que tu rapportes du pognon comme nul
autre.
Et tu as aussi l'autre modèle. La caricature du prof de lycée. Il
faut qu'il occupe un poste. Qu'il massacre des générations de
lycéens est anecdotique du moment qu'il est là !
Il y a encore un gros malheur en France : on paie souvent les gens
pour occuper une fonction et non pour atteindre des objectifs.
Pas mal d'entreprises donnent à fond dans le modèle "objectifs". Que
tu sois physiquement présent dans l'entreprise, chez un client, ou
en train de baiser dans un motel, tout le monde s'en fout : tu
atteins les objectifs, cad que tu rapportes du pognon comme nul
autre.
Et tu as aussi l'autre modèle. La caricature du prof de lycée. Il
faut qu'il occupe un poste. Qu'il massacre des générations de
lycéens est anecdotique du moment qu'il est là !
In article , Eric Jacoboni wrote:Eh oh, je ne t'ai pas forcé, hein, c'est toi qui a voulu venir... si
tu n'as pas besoin de moi, pourquoi t'inscrire puisque tu crois que tu
y arriveras tout seul ?
Mais pour une raison simple : je suis, admettons, obligé d'avoir réussi
ton enseignement dans le cadre d'un diplôme. C'est aussi simple que ça.
On ne peut pas dire "l'étudiant a voulu venir". C'est faux. Il est obligé
de venir (ou alors c'est une matière à option), ou en tout cas de réussir
une unité de valeur.
In article <m2hddp7awl.fsf@titine.scrogneugneu.org>, Eric Jacoboni wrote:
Eh oh, je ne t'ai pas forcé, hein, c'est toi qui a voulu venir... si
tu n'as pas besoin de moi, pourquoi t'inscrire puisque tu crois que tu
y arriveras tout seul ?
Mais pour une raison simple : je suis, admettons, obligé d'avoir réussi
ton enseignement dans le cadre d'un diplôme. C'est aussi simple que ça.
On ne peut pas dire "l'étudiant a voulu venir". C'est faux. Il est obligé
de venir (ou alors c'est une matière à option), ou en tout cas de réussir
une unité de valeur.
In article , Eric Jacoboni wrote:Eh oh, je ne t'ai pas forcé, hein, c'est toi qui a voulu venir... si
tu n'as pas besoin de moi, pourquoi t'inscrire puisque tu crois que tu
y arriveras tout seul ?
Mais pour une raison simple : je suis, admettons, obligé d'avoir réussi
ton enseignement dans le cadre d'un diplôme. C'est aussi simple que ça.
On ne peut pas dire "l'étudiant a voulu venir". C'est faux. Il est obligé
de venir (ou alors c'est une matière à option), ou en tout cas de réussir
une unité de valeur.