Ce qui autorise à présuriser le salarié comme un porc.
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Ce qui autorise à présuriser le salarié comme un porc.
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Ce qui autorise à présuriser le salarié comme un porc.
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Oui c'et la pratique américaine d'imposer un textbook (écrit par le
prof et/ou un de ses copains, d'ailleurs) qui sert de base.
Avec quand même quelques bémols pour la mise en pratique. D'abord il
faudrait trouver un ouvrage recommandable, ce qui n'est pas gagné côté
littérature francophone en informatique "sérieuse".
Sans parler du
prix, faire acheter un bouquin à 50 euros (800 pages dont 100 utiles)
pour un cours de 20 heures, sachant qu'ils ont une formation de + de
1000 heures, ça craint quand même un peu côté bons principes
républicains de gratuité des études. Et non, la bibliothèque
universitaire n'a pas 10 copies du bouquin pour 100 étudiants.
D'où tendance à faire des polycops gratuits ajustés au petit poil au
cours prévu.
D'autre part, "conseiller" une bibliographie, c'est bien. Maintenant,
comment on fait pour que les étudiants lisent ce qu'on leur dit de
lire entre les cours, histoire de pouvoir suivre, quand ils en ont +30
heures par semaine ?
Oui c'et la pratique américaine d'imposer un textbook (écrit par le
prof et/ou un de ses copains, d'ailleurs) qui sert de base.
Avec quand même quelques bémols pour la mise en pratique. D'abord il
faudrait trouver un ouvrage recommandable, ce qui n'est pas gagné côté
littérature francophone en informatique "sérieuse".
Sans parler du
prix, faire acheter un bouquin à 50 euros (800 pages dont 100 utiles)
pour un cours de 20 heures, sachant qu'ils ont une formation de + de
1000 heures, ça craint quand même un peu côté bons principes
républicains de gratuité des études. Et non, la bibliothèque
universitaire n'a pas 10 copies du bouquin pour 100 étudiants.
D'où tendance à faire des polycops gratuits ajustés au petit poil au
cours prévu.
D'autre part, "conseiller" une bibliographie, c'est bien. Maintenant,
comment on fait pour que les étudiants lisent ce qu'on leur dit de
lire entre les cours, histoire de pouvoir suivre, quand ils en ont +30
heures par semaine ?
Oui c'et la pratique américaine d'imposer un textbook (écrit par le
prof et/ou un de ses copains, d'ailleurs) qui sert de base.
Avec quand même quelques bémols pour la mise en pratique. D'abord il
faudrait trouver un ouvrage recommandable, ce qui n'est pas gagné côté
littérature francophone en informatique "sérieuse".
Sans parler du
prix, faire acheter un bouquin à 50 euros (800 pages dont 100 utiles)
pour un cours de 20 heures, sachant qu'ils ont une formation de + de
1000 heures, ça craint quand même un peu côté bons principes
républicains de gratuité des études. Et non, la bibliothèque
universitaire n'a pas 10 copies du bouquin pour 100 étudiants.
D'où tendance à faire des polycops gratuits ajustés au petit poil au
cours prévu.
D'autre part, "conseiller" une bibliographie, c'est bien. Maintenant,
comment on fait pour que les étudiants lisent ce qu'on leur dit de
lire entre les cours, histoire de pouvoir suivre, quand ils en ont +30
heures par semaine ?
Ce qui autorise à présuriser le salarié comme un porc.
C'est certains que c'est un un
autre modèle. Celui dont tu parles est le libéralisme, qui a certes
des avantages.
Ce qui autorise à présuriser le salarié comme un porc.
C'est certains que c'est un un
autre modèle. Celui dont tu parles est le libéralisme, qui a certes
des avantages.
Ce qui autorise à présuriser le salarié comme un porc.
C'est certains que c'est un un
autre modèle. Celui dont tu parles est le libéralisme, qui a certes
des avantages.
Quand ton chirurgien t'opère, tu préfères qu'il agisse avec un objectif
ou qu'il occupe un poste ?
C'est certains que c'est un un
autre modèle. Celui dont tu parles est le libéralisme, qui a certes
des avantages.
Mais non. C'est vrai que le libéralisme utilise maintenant presque
toujours la méthode des objectifs. Mais ce n'est pas quelque chose
qui appartient au libéralisme en soi. Enfin, je ne crois pas.
Quand ton chirurgien t'opère, tu préfères qu'il agisse avec un objectif
ou qu'il occupe un poste ?
C'est certains que c'est un un
autre modèle. Celui dont tu parles est le libéralisme, qui a certes
des avantages.
Mais non. C'est vrai que le libéralisme utilise maintenant presque
toujours la méthode des objectifs. Mais ce n'est pas quelque chose
qui appartient au libéralisme en soi. Enfin, je ne crois pas.
Quand ton chirurgien t'opère, tu préfères qu'il agisse avec un objectif
ou qu'il occupe un poste ?
C'est certains que c'est un un
autre modèle. Celui dont tu parles est le libéralisme, qui a certes
des avantages.
Mais non. C'est vrai que le libéralisme utilise maintenant presque
toujours la méthode des objectifs. Mais ce n'est pas quelque chose
qui appartient au libéralisme en soi. Enfin, je ne crois pas.
Ça aussi, c'est le raisonnement "américain" où l'enseignement est un
dû (parce qu'on a payé).
Certes tu es obligé dans le cadre de ton diplôme. Mais personne ne
t'as contraints à préparer ton diplôme, et personne n'est engagé par
ton choix de le préparer. Tu peux toujours aller t'employer à vendre
des cigarettes en face.
Ça aussi, c'est le raisonnement "américain" où l'enseignement est un
dû (parce qu'on a payé).
Certes tu es obligé dans le cadre de ton diplôme. Mais personne ne
t'as contraints à préparer ton diplôme, et personne n'est engagé par
ton choix de le préparer. Tu peux toujours aller t'employer à vendre
des cigarettes en face.
Ça aussi, c'est le raisonnement "américain" où l'enseignement est un
dû (parce qu'on a payé).
Certes tu es obligé dans le cadre de ton diplôme. Mais personne ne
t'as contraints à préparer ton diplôme, et personne n'est engagé par
ton choix de le préparer. Tu peux toujours aller t'employer à vendre
des cigarettes en face.
Je tiens à ce qu'il ait subit une bonne formation et à ce qu'il ait
été recruté par voie de concours ou autre moyen neutre, impartial et
républicain (tant qu'à faire).
Le reste dépend de sa conscience
professionnelle pour laquelle je n'ai plus qu'à me recommander à dieu.
Il est plutôt utilisé dans le discours libéral il me semble. Pour ce
qu'il en est intrinsèquement, je n'en sais rien, d'ailleurs je ne sais
pas si objectif vs poste veux dire quoi que ce soit économiquement...
Je tiens à ce qu'il ait subit une bonne formation et à ce qu'il ait
été recruté par voie de concours ou autre moyen neutre, impartial et
républicain (tant qu'à faire).
Le reste dépend de sa conscience
professionnelle pour laquelle je n'ai plus qu'à me recommander à dieu.
Il est plutôt utilisé dans le discours libéral il me semble. Pour ce
qu'il en est intrinsèquement, je n'en sais rien, d'ailleurs je ne sais
pas si objectif vs poste veux dire quoi que ce soit économiquement...
Je tiens à ce qu'il ait subit une bonne formation et à ce qu'il ait
été recruté par voie de concours ou autre moyen neutre, impartial et
républicain (tant qu'à faire).
Le reste dépend de sa conscience
professionnelle pour laquelle je n'ai plus qu'à me recommander à dieu.
Il est plutôt utilisé dans le discours libéral il me semble. Pour ce
qu'il en est intrinsèquement, je n'en sais rien, d'ailleurs je ne sais
pas si objectif vs poste veux dire quoi que ce soit économiquement...
In article , SL wrote:Ça aussi, c'est le raisonnement "américain" où l'enseignement est
un dû (parce qu'on a payé).
Le paradoxe, c'est que souvent c'est quand l'étudiant a payé très
cher que les fiches de présence existent. C'est curieux : il a payé,
il devrait être libre de venir ou pas. C'est un "client".
Un cours magistral, c'est avant toute chose du théâtre.
Certes tu es obligé dans le cadre de ton diplôme. Mais personne ne
t'as contraints à préparer ton diplôme, et personne n'est engagé
par ton choix de le préparer. Tu peux toujours aller t'employer à
vendre des cigarettes en face.
Je ne suis pas certain d'avoir compris. Tu veux dire que je suis
libre de m'inscrire (ce qui est vrai) à un package pédagogique qui
comporte des contraintes ? Oui, je suis libre.
Et que parceque j'ai signé pour un package, je dois tout prendre ?
Non. Enfin je ne l'accèpte pas forcément. C'est finalement comme en
informatique.
Si une solution m'offre plus de liberté, je choisirai l'autre
solution.
En gros, je ressens la même chose dans deux cas dont la comparaison
peut sembler farfelue. J' achète MS (je "signe" donc), je n'accèpte
pas pour autant d'utiliser tout MS, loin de là. D'ailleurs, en fait
à part Xp, je n'utilise pratiquement rien de proprio. Je fais mon
choix comme je l'entends.
Et bien, pour un diplôme, c'est la même chose. J'ai horreur des
contraintes en général. M'imposer une présence au cours de Mr
Duchnock, c'est comme m'imposer OE !
In article <uiry5aqxg.fsf@nospam.com>, SL wrote:
Ça aussi, c'est le raisonnement "américain" où l'enseignement est
un dû (parce qu'on a payé).
Le paradoxe, c'est que souvent c'est quand l'étudiant a payé très
cher que les fiches de présence existent. C'est curieux : il a payé,
il devrait être libre de venir ou pas. C'est un "client".
Un cours magistral, c'est avant toute chose du théâtre.
Certes tu es obligé dans le cadre de ton diplôme. Mais personne ne
t'as contraints à préparer ton diplôme, et personne n'est engagé
par ton choix de le préparer. Tu peux toujours aller t'employer à
vendre des cigarettes en face.
Je ne suis pas certain d'avoir compris. Tu veux dire que je suis
libre de m'inscrire (ce qui est vrai) à un package pédagogique qui
comporte des contraintes ? Oui, je suis libre.
Et que parceque j'ai signé pour un package, je dois tout prendre ?
Non. Enfin je ne l'accèpte pas forcément. C'est finalement comme en
informatique.
Si une solution m'offre plus de liberté, je choisirai l'autre
solution.
En gros, je ressens la même chose dans deux cas dont la comparaison
peut sembler farfelue. J' achète MS (je "signe" donc), je n'accèpte
pas pour autant d'utiliser tout MS, loin de là. D'ailleurs, en fait
à part Xp, je n'utilise pratiquement rien de proprio. Je fais mon
choix comme je l'entends.
Et bien, pour un diplôme, c'est la même chose. J'ai horreur des
contraintes en général. M'imposer une présence au cours de Mr
Duchnock, c'est comme m'imposer OE !
In article , SL wrote:Ça aussi, c'est le raisonnement "américain" où l'enseignement est
un dû (parce qu'on a payé).
Le paradoxe, c'est que souvent c'est quand l'étudiant a payé très
cher que les fiches de présence existent. C'est curieux : il a payé,
il devrait être libre de venir ou pas. C'est un "client".
Un cours magistral, c'est avant toute chose du théâtre.
Certes tu es obligé dans le cadre de ton diplôme. Mais personne ne
t'as contraints à préparer ton diplôme, et personne n'est engagé
par ton choix de le préparer. Tu peux toujours aller t'employer à
vendre des cigarettes en face.
Je ne suis pas certain d'avoir compris. Tu veux dire que je suis
libre de m'inscrire (ce qui est vrai) à un package pédagogique qui
comporte des contraintes ? Oui, je suis libre.
Et que parceque j'ai signé pour un package, je dois tout prendre ?
Non. Enfin je ne l'accèpte pas forcément. C'est finalement comme en
informatique.
Si une solution m'offre plus de liberté, je choisirai l'autre
solution.
En gros, je ressens la même chose dans deux cas dont la comparaison
peut sembler farfelue. J' achète MS (je "signe" donc), je n'accèpte
pas pour autant d'utiliser tout MS, loin de là. D'ailleurs, en fait
à part Xp, je n'utilise pratiquement rien de proprio. Je fais mon
choix comme je l'entends.
Et bien, pour un diplôme, c'est la même chose. J'ai horreur des
contraintes en général. M'imposer une présence au cours de Mr
Duchnock, c'est comme m'imposer OE !
Il y a encore un gros malheur en France : on paie souvent les gens
pour occuper une fonction et non pour atteindre des objectifs.
Pas mal d'entreprises donnent à fond dans le modèle "objectifs". Que
tu sois physiquement présent dans l'entreprise, chez un client, ou
en train de baiser dans un motel, tout le monde s'en fout : tu
atteins les objectifs, cad que tu rapportes du pognon comme nul
autre.
Ce qui autorise à présuriser le salarié comme un porc.
Il y a encore un gros malheur en France : on paie souvent les gens
pour occuper une fonction et non pour atteindre des objectifs.
Pas mal d'entreprises donnent à fond dans le modèle "objectifs". Que
tu sois physiquement présent dans l'entreprise, chez un client, ou
en train de baiser dans un motel, tout le monde s'en fout : tu
atteins les objectifs, cad que tu rapportes du pognon comme nul
autre.
Ce qui autorise à présuriser le salarié comme un porc.
Il y a encore un gros malheur en France : on paie souvent les gens
pour occuper une fonction et non pour atteindre des objectifs.
Pas mal d'entreprises donnent à fond dans le modèle "objectifs". Que
tu sois physiquement présent dans l'entreprise, chez un client, ou
en train de baiser dans un motel, tout le monde s'en fout : tu
atteins les objectifs, cad que tu rapportes du pognon comme nul
autre.
Ce qui autorise à présuriser le salarié comme un porc.
Il y a de plus en plus contrainte d'atteindre des résultats. Pas de
"faire de son mieux". Et c'est heureux.
En terme d'étudiant, je dirais : tu files un exo. Si machin le résous en
10 mn, il fait ce qu'il veut du reste de son temps. Eventuellement, il
se casse, va préparer quelque chose, jouer au flipper, que sais-je.
Si l'autre n'y parvient pas, il reste éventuellement jusqu'à 10h du soir
pour y parvenir !
Le système français, c'est plutôt : il faut faire en sorte qu'il soit là
de telle heure à telle heure. Ce qui se passe pendant, c'est un peu à la
discrétion de tout le monde.
La collégialité qui règne chez les gens d'intervention fait aussi qu'une
personne, sans que rien ne l'y oblige, reste jusqu'à des heures indues
uniquement pour aider les copains.
Oui. D'un autre côté, je n'en connais pas énormément qui consacrent un
Il y a de plus en plus contrainte d'atteindre des résultats. Pas de
"faire de son mieux". Et c'est heureux.
En terme d'étudiant, je dirais : tu files un exo. Si machin le résous en
10 mn, il fait ce qu'il veut du reste de son temps. Eventuellement, il
se casse, va préparer quelque chose, jouer au flipper, que sais-je.
Si l'autre n'y parvient pas, il reste éventuellement jusqu'à 10h du soir
pour y parvenir !
Le système français, c'est plutôt : il faut faire en sorte qu'il soit là
de telle heure à telle heure. Ce qui se passe pendant, c'est un peu à la
discrétion de tout le monde.
La collégialité qui règne chez les gens d'intervention fait aussi qu'une
personne, sans que rien ne l'y oblige, reste jusqu'à des heures indues
uniquement pour aider les copains.
Oui. D'un autre côté, je n'en connais pas énormément qui consacrent un
Il y a de plus en plus contrainte d'atteindre des résultats. Pas de
"faire de son mieux". Et c'est heureux.
En terme d'étudiant, je dirais : tu files un exo. Si machin le résous en
10 mn, il fait ce qu'il veut du reste de son temps. Eventuellement, il
se casse, va préparer quelque chose, jouer au flipper, que sais-je.
Si l'autre n'y parvient pas, il reste éventuellement jusqu'à 10h du soir
pour y parvenir !
Le système français, c'est plutôt : il faut faire en sorte qu'il soit là
de telle heure à telle heure. Ce qui se passe pendant, c'est un peu à la
discrétion de tout le monde.
La collégialité qui règne chez les gens d'intervention fait aussi qu'une
personne, sans que rien ne l'y oblige, reste jusqu'à des heures indues
uniquement pour aider les copains.
Oui. D'un autre côté, je n'en connais pas énormément qui consacrent un
Ce qui autorise à présuriser le salarié comme un porc.
Comme dirait l'autre c'est pas gentil pour les porcs
Ce qui autorise à présuriser le salarié comme un porc.
Comme dirait l'autre c'est pas gentil pour les porcs
Ce qui autorise à présuriser le salarié comme un porc.
Comme dirait l'autre c'est pas gentil pour les porcs