Oui, réinterpréter et obtenir péniblement ce que le JPG aurait donné
puisque le JPG, C'EST la vision humaine.
Oui, réinterpréter et obtenir péniblement ce que le JPG aurait donné
puisque le JPG, C'EST la vision humaine.
Oui, réinterpréter et obtenir péniblement ce que le JPG aurait donné
puisque le JPG, C'EST la vision humaine.
GhostRaider wrote:Le 03/06/2018 à 20:18, Alf92 a écrit :Benoit :La photo qui est prise n'est pas la réalité.
C'est celle décidée par les ingénieurs de l'appareil.
+1
Mais pas du tout.
Le JPG est conçu pour transmettre l'impression de ce que l'½il a vu avec
la plus grande exactitude possible. Et ça marche.
Mais le jpeg n'a absolument rien à voir. Le jpeg est utile pour que
l'image prenne moins de place, comme du zip, mais en perdant un peu
d'information. Un peu comme si dans un texte au lieu de répéter
plusieurs fois un mot on le mettait en plus gros. Le lecteur va
comprendre la même chose, mais ce n'est pas DU TOUT (histoire de ne pas
avoir à le répéter) ce qu'a écrit l'auteur à l'origine, ça fait gagner
de la place.
Le bon ingénieur est celui qui sortira une photo indiscernable de la
réalité.
Non, il sortira celle qu'il pense être la plus « juste », mais ce n'est
plus du tout la réalité. Un exemple :
- Une qui est RAW avec évidemment les défauts du capteur, de ton écran,
de l'imprimante plus tard. Défauts qui sont corrigés avec des profils
ICC ;
- La réalité revue et corrigée par les ingénieurs ;
- Ma réalité.
<https://www.cjoint.com/doc/18_06/HFejTwDJvpQ_-DSC2094.jpg>
Laquelle est la réalité ? Ni le raw ni l'auto n'ont su récupérer le vert
de sa robe, pourtant tout le monde savait qu'elle était verte, et la
« voyait » toujours verte. Ceux qui sont arrivés un bout de temps après
le coucher du soleil l'ont vu comme les ingénieurs, jusqu'au moment où
elle s'est rapprochée du pianiste, ou d'un livret, éclairée par une
lumière bien plus blanche que le sodium. Là ils ont vu le vert et retenu
cette couleur pour le reste du spectacle.
Alors ? Laquelle est la réalité ?
En changeant d'axe sur le même sujet : la vitesse d'obturation. L'½il
fonctionne jusqu'à 85 images par secondes, donc le 85e de l'appareil si
je ne m'abuse. Si tu regardes une mouche, tu vois nettement ses ailes ou
un machin flou ? Alors, à nouveau, c'est quoi la « réalité » ? Ta photo
prise au 1000e, voire plus, ou ta photo prise au 85e ?
Comme tu le vois (c'est le cas de le dire), la réalité n'est pas facile
à définir, mais c'est le RAW qui me permet d'approcher le plus ma
réalité, de ce que moi j'ai vu et j'ai retenu, de ce que je veux avec
les autres. Pas celle des ingénieurs. Ingénieurs dont je ne me moque pas
car pour beaucoup, beaucoup, de mes photos (photos de famille, souvenirs
de voyage...) ce qu'ils font est très, très bien, parfait.
GhostRaider <ghost-raider@compuserve.com> wrote:
Le 03/06/2018 à 20:18, Alf92 a écrit :
Benoit :
La photo qui est prise n'est pas la réalité.
C'est celle décidée par les ingénieurs de l'appareil.
+1
Mais pas du tout.
Le JPG est conçu pour transmettre l'impression de ce que l'½il a vu avec
la plus grande exactitude possible. Et ça marche.
Mais le jpeg n'a absolument rien à voir. Le jpeg est utile pour que
l'image prenne moins de place, comme du zip, mais en perdant un peu
d'information. Un peu comme si dans un texte au lieu de répéter
plusieurs fois un mot on le mettait en plus gros. Le lecteur va
comprendre la même chose, mais ce n'est pas DU TOUT (histoire de ne pas
avoir à le répéter) ce qu'a écrit l'auteur à l'origine, ça fait gagner
de la place.
Le bon ingénieur est celui qui sortira une photo indiscernable de la
réalité.
Non, il sortira celle qu'il pense être la plus « juste », mais ce n'est
plus du tout la réalité. Un exemple :
- Une qui est RAW avec évidemment les défauts du capteur, de ton écran,
de l'imprimante plus tard. Défauts qui sont corrigés avec des profils
ICC ;
- La réalité revue et corrigée par les ingénieurs ;
- Ma réalité.
<https://www.cjoint.com/doc/18_06/HFejTwDJvpQ_-DSC2094.jpg>
Laquelle est la réalité ? Ni le raw ni l'auto n'ont su récupérer le vert
de sa robe, pourtant tout le monde savait qu'elle était verte, et la
« voyait » toujours verte. Ceux qui sont arrivés un bout de temps après
le coucher du soleil l'ont vu comme les ingénieurs, jusqu'au moment où
elle s'est rapprochée du pianiste, ou d'un livret, éclairée par une
lumière bien plus blanche que le sodium. Là ils ont vu le vert et retenu
cette couleur pour le reste du spectacle.
Alors ? Laquelle est la réalité ?
En changeant d'axe sur le même sujet : la vitesse d'obturation. L'½il
fonctionne jusqu'à 85 images par secondes, donc le 85e de l'appareil si
je ne m'abuse. Si tu regardes une mouche, tu vois nettement ses ailes ou
un machin flou ? Alors, à nouveau, c'est quoi la « réalité » ? Ta photo
prise au 1000e, voire plus, ou ta photo prise au 85e ?
Comme tu le vois (c'est le cas de le dire), la réalité n'est pas facile
à définir, mais c'est le RAW qui me permet d'approcher le plus ma
réalité, de ce que moi j'ai vu et j'ai retenu, de ce que je veux avec
les autres. Pas celle des ingénieurs. Ingénieurs dont je ne me moque pas
car pour beaucoup, beaucoup, de mes photos (photos de famille, souvenirs
de voyage...) ce qu'ils font est très, très bien, parfait.
GhostRaider wrote:Le 03/06/2018 à 20:18, Alf92 a écrit :Benoit :La photo qui est prise n'est pas la réalité.
C'est celle décidée par les ingénieurs de l'appareil.
+1
Mais pas du tout.
Le JPG est conçu pour transmettre l'impression de ce que l'½il a vu avec
la plus grande exactitude possible. Et ça marche.
Mais le jpeg n'a absolument rien à voir. Le jpeg est utile pour que
l'image prenne moins de place, comme du zip, mais en perdant un peu
d'information. Un peu comme si dans un texte au lieu de répéter
plusieurs fois un mot on le mettait en plus gros. Le lecteur va
comprendre la même chose, mais ce n'est pas DU TOUT (histoire de ne pas
avoir à le répéter) ce qu'a écrit l'auteur à l'origine, ça fait gagner
de la place.
Le bon ingénieur est celui qui sortira une photo indiscernable de la
réalité.
Non, il sortira celle qu'il pense être la plus « juste », mais ce n'est
plus du tout la réalité. Un exemple :
- Une qui est RAW avec évidemment les défauts du capteur, de ton écran,
de l'imprimante plus tard. Défauts qui sont corrigés avec des profils
ICC ;
- La réalité revue et corrigée par les ingénieurs ;
- Ma réalité.
<https://www.cjoint.com/doc/18_06/HFejTwDJvpQ_-DSC2094.jpg>
Laquelle est la réalité ? Ni le raw ni l'auto n'ont su récupérer le vert
de sa robe, pourtant tout le monde savait qu'elle était verte, et la
« voyait » toujours verte. Ceux qui sont arrivés un bout de temps après
le coucher du soleil l'ont vu comme les ingénieurs, jusqu'au moment où
elle s'est rapprochée du pianiste, ou d'un livret, éclairée par une
lumière bien plus blanche que le sodium. Là ils ont vu le vert et retenu
cette couleur pour le reste du spectacle.
Alors ? Laquelle est la réalité ?
En changeant d'axe sur le même sujet : la vitesse d'obturation. L'½il
fonctionne jusqu'à 85 images par secondes, donc le 85e de l'appareil si
je ne m'abuse. Si tu regardes une mouche, tu vois nettement ses ailes ou
un machin flou ? Alors, à nouveau, c'est quoi la « réalité » ? Ta photo
prise au 1000e, voire plus, ou ta photo prise au 85e ?
Comme tu le vois (c'est le cas de le dire), la réalité n'est pas facile
à définir, mais c'est le RAW qui me permet d'approcher le plus ma
réalité, de ce que moi j'ai vu et j'ai retenu, de ce que je veux avec
les autres. Pas celle des ingénieurs. Ingénieurs dont je ne me moque pas
car pour beaucoup, beaucoup, de mes photos (photos de famille, souvenirs
de voyage...) ce qu'ils font est très, très bien, parfait.
Le 04/06/2018 à 13:23, Benoit a écrit :GhostRaider wrote:Le 03/06/2018 à 20:18, Alf92 a écrit :Benoit :La photo qui est prise n'est pas la réalité.
C'est celle décidée par les ingénieurs de l'appareil.
+1
Mais pas du tout.
Le JPG est conçu pour transmettre l'impression de ce que l'½il a vu avec
la plus grande exactitude possible. Et ça marche.
Mais le jpeg n'a absolument rien à voir. Le jpeg est utile pour que
l'image prenne moins de place, comme du zip, mais en perdant un peu
d'information. Un peu comme si dans un texte au lieu de répéter
plusieurs fois un mot on le mettait en plus gros. Le lecteur va
comprendre la même chose, mais ce n'est pas DU TOUT (histoire de ne pas
avoir à le répéter) ce qu'a écrit l'auteur à l'origine, ça fait gagner
de la place.
Le JPG a été conçu au départ pour gagner de la place au prix d'une
petite perte des couleurs, indiscernable par un ½il normalement
constitué, oui.
Mais lorsque je parle du JPG, je parle bien sûr du format utilisé par
les constructeurs pour traduire ce qu'a vu le capteur.Le bon ingénieur est celui qui sortira une photo indiscernable de la
réalité.
Non, il sortira celle qu'il pense être la plus « juste », mais ce n'est
plus du tout la réalité. Un exemple :
- Une qui est RAW avec évidemment les défauts du capteur, de ton écran,
de l'imprimante plus tard. Défauts qui sont corrigés avec des profils
ICC ;
- La réalité revue et corrigée par les ingénieurs ;
- Ma réalité.
<https://www.cjoint.com/doc/18_06/HFejTwDJvpQ_-DSC2094.jpg>
Laquelle est la réalité ? Ni le raw ni l'auto n'ont su récupérer le vert
de sa robe, pourtant tout le monde savait qu'elle était verte, et la
« voyait » toujours verte. Ceux qui sont arrivés un bout de temps après
le coucher du soleil l'ont vu comme les ingénieurs, jusqu'au moment où
elle s'est rapprochée du pianiste, ou d'un livret, éclairée par une
lumière bien plus blanche que le sodium. Là ils ont vu le vert et retenu
cette couleur pour le reste du spectacle.
Excellent exemple qui ajoute de la lave en fusion à l'eau de mon moulin.
Que le RAW n'ait rien sorti de regardable, c'est normal, il affiche un
truc pas fini et même pas commencé.
Que l'Auto ait sorti une dominante jaune intense, c'est indubitablement
parce que son algorithme n'a pas été prévu pour traiter ces éclairages
au sodium abracadabrants.
Je ne connais aucun appareil qui prévoit, dans ses programmes, la
photographie avec des lumières au sodium.
Que tu aies été obligé de corriger cette lumière, c'était à prévoir.
Présenter cette photo comme la "preuve" que l'Auto des ingénieurs ne
fonctionne pas est pour le moins hasardeux.Alors ? Laquelle est la réalité ?
Celle qui se rapproche le plus de ce que je vois, ou de ce que je crois
voir, lorsque mon ½il et mon cerveau auront fait les ajustements qui
leur permettent de retrouver ce qu'ils ont l'habitude de voir.En changeant d'axe sur le même sujet : la vitesse d'obturation. L'½il
fonctionne jusqu'à 85 images par secondes, donc le 85e de l'appareil si
je ne m'abuse. Si tu regardes une mouche, tu vois nettement ses ailes ou
un machin flou ? Alors, à nouveau, c'est quoi la « réalité » ? Ta photo
prise au 1000e, voire plus, ou ta photo prise au 85e ?
Comme tu le vois (c'est le cas de le dire), la réalité n'est pas facile
à définir, mais c'est le RAW qui me permet d'approcher le plus ma
réalité, de ce que moi j'ai vu et j'ai retenu, de ce que je veux avec
les autres. Pas celle des ingénieurs. Ingénieurs dont je ne me moque pas
car pour beaucoup, beaucoup, de mes photos (photos de famille, souvenirs
de voyage...) ce qu'ils font est très, très bien, parfait.
Le 04/06/2018 à 13:23, Benoit a écrit :
GhostRaider <ghost-raider@compuserve.com> wrote:
Le 03/06/2018 à 20:18, Alf92 a écrit :
Benoit :
La photo qui est prise n'est pas la réalité.
C'est celle décidée par les ingénieurs de l'appareil.
+1
Mais pas du tout.
Le JPG est conçu pour transmettre l'impression de ce que l'½il a vu avec
la plus grande exactitude possible. Et ça marche.
Mais le jpeg n'a absolument rien à voir. Le jpeg est utile pour que
l'image prenne moins de place, comme du zip, mais en perdant un peu
d'information. Un peu comme si dans un texte au lieu de répéter
plusieurs fois un mot on le mettait en plus gros. Le lecteur va
comprendre la même chose, mais ce n'est pas DU TOUT (histoire de ne pas
avoir à le répéter) ce qu'a écrit l'auteur à l'origine, ça fait gagner
de la place.
Le JPG a été conçu au départ pour gagner de la place au prix d'une
petite perte des couleurs, indiscernable par un ½il normalement
constitué, oui.
Mais lorsque je parle du JPG, je parle bien sûr du format utilisé par
les constructeurs pour traduire ce qu'a vu le capteur.
Le bon ingénieur est celui qui sortira une photo indiscernable de la
réalité.
Non, il sortira celle qu'il pense être la plus « juste », mais ce n'est
plus du tout la réalité. Un exemple :
- Une qui est RAW avec évidemment les défauts du capteur, de ton écran,
de l'imprimante plus tard. Défauts qui sont corrigés avec des profils
ICC ;
- La réalité revue et corrigée par les ingénieurs ;
- Ma réalité.
<https://www.cjoint.com/doc/18_06/HFejTwDJvpQ_-DSC2094.jpg>
Laquelle est la réalité ? Ni le raw ni l'auto n'ont su récupérer le vert
de sa robe, pourtant tout le monde savait qu'elle était verte, et la
« voyait » toujours verte. Ceux qui sont arrivés un bout de temps après
le coucher du soleil l'ont vu comme les ingénieurs, jusqu'au moment où
elle s'est rapprochée du pianiste, ou d'un livret, éclairée par une
lumière bien plus blanche que le sodium. Là ils ont vu le vert et retenu
cette couleur pour le reste du spectacle.
Excellent exemple qui ajoute de la lave en fusion à l'eau de mon moulin.
Que le RAW n'ait rien sorti de regardable, c'est normal, il affiche un
truc pas fini et même pas commencé.
Que l'Auto ait sorti une dominante jaune intense, c'est indubitablement
parce que son algorithme n'a pas été prévu pour traiter ces éclairages
au sodium abracadabrants.
Je ne connais aucun appareil qui prévoit, dans ses programmes, la
photographie avec des lumières au sodium.
Que tu aies été obligé de corriger cette lumière, c'était à prévoir.
Présenter cette photo comme la "preuve" que l'Auto des ingénieurs ne
fonctionne pas est pour le moins hasardeux.
Alors ? Laquelle est la réalité ?
Celle qui se rapproche le plus de ce que je vois, ou de ce que je crois
voir, lorsque mon ½il et mon cerveau auront fait les ajustements qui
leur permettent de retrouver ce qu'ils ont l'habitude de voir.
En changeant d'axe sur le même sujet : la vitesse d'obturation. L'½il
fonctionne jusqu'à 85 images par secondes, donc le 85e de l'appareil si
je ne m'abuse. Si tu regardes une mouche, tu vois nettement ses ailes ou
un machin flou ? Alors, à nouveau, c'est quoi la « réalité » ? Ta photo
prise au 1000e, voire plus, ou ta photo prise au 85e ?
Comme tu le vois (c'est le cas de le dire), la réalité n'est pas facile
à définir, mais c'est le RAW qui me permet d'approcher le plus ma
réalité, de ce que moi j'ai vu et j'ai retenu, de ce que je veux avec
les autres. Pas celle des ingénieurs. Ingénieurs dont je ne me moque pas
car pour beaucoup, beaucoup, de mes photos (photos de famille, souvenirs
de voyage...) ce qu'ils font est très, très bien, parfait.
Le 04/06/2018 à 13:23, Benoit a écrit :GhostRaider wrote:Le 03/06/2018 à 20:18, Alf92 a écrit :Benoit :La photo qui est prise n'est pas la réalité.
C'est celle décidée par les ingénieurs de l'appareil.
+1
Mais pas du tout.
Le JPG est conçu pour transmettre l'impression de ce que l'½il a vu avec
la plus grande exactitude possible. Et ça marche.
Mais le jpeg n'a absolument rien à voir. Le jpeg est utile pour que
l'image prenne moins de place, comme du zip, mais en perdant un peu
d'information. Un peu comme si dans un texte au lieu de répéter
plusieurs fois un mot on le mettait en plus gros. Le lecteur va
comprendre la même chose, mais ce n'est pas DU TOUT (histoire de ne pas
avoir à le répéter) ce qu'a écrit l'auteur à l'origine, ça fait gagner
de la place.
Le JPG a été conçu au départ pour gagner de la place au prix d'une
petite perte des couleurs, indiscernable par un ½il normalement
constitué, oui.
Mais lorsque je parle du JPG, je parle bien sûr du format utilisé par
les constructeurs pour traduire ce qu'a vu le capteur.Le bon ingénieur est celui qui sortira une photo indiscernable de la
réalité.
Non, il sortira celle qu'il pense être la plus « juste », mais ce n'est
plus du tout la réalité. Un exemple :
- Une qui est RAW avec évidemment les défauts du capteur, de ton écran,
de l'imprimante plus tard. Défauts qui sont corrigés avec des profils
ICC ;
- La réalité revue et corrigée par les ingénieurs ;
- Ma réalité.
<https://www.cjoint.com/doc/18_06/HFejTwDJvpQ_-DSC2094.jpg>
Laquelle est la réalité ? Ni le raw ni l'auto n'ont su récupérer le vert
de sa robe, pourtant tout le monde savait qu'elle était verte, et la
« voyait » toujours verte. Ceux qui sont arrivés un bout de temps après
le coucher du soleil l'ont vu comme les ingénieurs, jusqu'au moment où
elle s'est rapprochée du pianiste, ou d'un livret, éclairée par une
lumière bien plus blanche que le sodium. Là ils ont vu le vert et retenu
cette couleur pour le reste du spectacle.
Excellent exemple qui ajoute de la lave en fusion à l'eau de mon moulin.
Que le RAW n'ait rien sorti de regardable, c'est normal, il affiche un
truc pas fini et même pas commencé.
Que l'Auto ait sorti une dominante jaune intense, c'est indubitablement
parce que son algorithme n'a pas été prévu pour traiter ces éclairages
au sodium abracadabrants.
Je ne connais aucun appareil qui prévoit, dans ses programmes, la
photographie avec des lumières au sodium.
Que tu aies été obligé de corriger cette lumière, c'était à prévoir.
Présenter cette photo comme la "preuve" que l'Auto des ingénieurs ne
fonctionne pas est pour le moins hasardeux.Alors ? Laquelle est la réalité ?
Celle qui se rapproche le plus de ce que je vois, ou de ce que je crois
voir, lorsque mon ½il et mon cerveau auront fait les ajustements qui
leur permettent de retrouver ce qu'ils ont l'habitude de voir.En changeant d'axe sur le même sujet : la vitesse d'obturation. L'½il
fonctionne jusqu'à 85 images par secondes, donc le 85e de l'appareil si
je ne m'abuse. Si tu regardes une mouche, tu vois nettement ses ailes ou
un machin flou ? Alors, à nouveau, c'est quoi la « réalité » ? Ta photo
prise au 1000e, voire plus, ou ta photo prise au 85e ?
Comme tu le vois (c'est le cas de le dire), la réalité n'est pas facile
à définir, mais c'est le RAW qui me permet d'approcher le plus ma
réalité, de ce que moi j'ai vu et j'ai retenu, de ce que je veux avec
les autres. Pas celle des ingénieurs. Ingénieurs dont je ne me moque pas
car pour beaucoup, beaucoup, de mes photos (photos de famille, souvenirs
de voyage...) ce qu'ils font est très, très bien, parfait.
GhostRaider :Le 04/06/2018 à 11:09, Alf92 a écrit :GhostRaider :L'enregistrement d'une pièce de théâtre ou d'un concert n'est pas limité
dans l'espace sensoriel. On peut enregistrer par accident une quinte de
toux qui n'a rien à faire dans l'enregistrement. Ça pose bien d'autres
problèmes et nécessite bien d'autres matériels et techniques. Restons-en
à la photo.
bin non, c'est le même problème : si techniquement on peut virer la
toux du vieux catarrheux au milieu du pianissimo, doit-on le faire ?
La question ne se pose pas.
Si l’enregistrement est celui de la Symphonie Fantastique avec 200
musiciens, on n'entendra pas la toux du tout.
Si c'est un récital de Lola Astanova, on éjectera tous le vieux
catarrheux d'abord, place aux jeunes :
https://www.youtube.com/watch?v=mcXUk_XPy1A
pirouette humoristique, mais pirouette quand même
GhostRaider :
Le 04/06/2018 à 11:09, Alf92 a écrit :
GhostRaider :
L'enregistrement d'une pièce de théâtre ou d'un concert n'est pas limité
dans l'espace sensoriel. On peut enregistrer par accident une quinte de
toux qui n'a rien à faire dans l'enregistrement. Ça pose bien d'autres
problèmes et nécessite bien d'autres matériels et techniques. Restons-en
à la photo.
bin non, c'est le même problème : si techniquement on peut virer la
toux du vieux catarrheux au milieu du pianissimo, doit-on le faire ?
La question ne se pose pas.
Si l’enregistrement est celui de la Symphonie Fantastique avec 200
musiciens, on n'entendra pas la toux du tout.
Si c'est un récital de Lola Astanova, on éjectera tous le vieux
catarrheux d'abord, place aux jeunes :
https://www.youtube.com/watch?v=mcXUk_XPy1A
pirouette humoristique, mais pirouette quand même
GhostRaider :Le 04/06/2018 à 11:09, Alf92 a écrit :GhostRaider :L'enregistrement d'une pièce de théâtre ou d'un concert n'est pas limité
dans l'espace sensoriel. On peut enregistrer par accident une quinte de
toux qui n'a rien à faire dans l'enregistrement. Ça pose bien d'autres
problèmes et nécessite bien d'autres matériels et techniques. Restons-en
à la photo.
bin non, c'est le même problème : si techniquement on peut virer la
toux du vieux catarrheux au milieu du pianissimo, doit-on le faire ?
La question ne se pose pas.
Si l’enregistrement est celui de la Symphonie Fantastique avec 200
musiciens, on n'entendra pas la toux du tout.
Si c'est un récital de Lola Astanova, on éjectera tous le vieux
catarrheux d'abord, place aux jeunes :
https://www.youtube.com/watch?v=mcXUk_XPy1A
pirouette humoristique, mais pirouette quand même
GhostRaider :Oui, réinterpréter et obtenir péniblement ce que le JPG aurait donné
puisque le JPG, C'EST la vision humaine.
oui c'est ça, et la DMLA c'est des artefacts de compression...
GhostRaider :
Oui, réinterpréter et obtenir péniblement ce que le JPG aurait donné
puisque le JPG, C'EST la vision humaine.
oui c'est ça, et la DMLA c'est des artefacts de compression...
GhostRaider :Oui, réinterpréter et obtenir péniblement ce que le JPG aurait donné
puisque le JPG, C'EST la vision humaine.
oui c'est ça, et la DMLA c'est des artefacts de compression...
Le 04/06/2018 à 11:22, Alf92 a écrit :GhostRaider :Le JPG est conçu pour restituer ce que l’œil voit et il y réussit
parfaitement.
Le RAW est conçu pour permettre de modifier après coup ce que l’œil à vu.
non
le RAW représente la donnée de base.
Mais justement non
: ce que le capteur enregistre est soigneusement
choisi pour coller, après manipulations, à ce que l’œil humain peut voir
: pas d'ultra-violets, pas d'infra-rouge, et une pondération des
couleurs adaptée à l’œil de l'homme.
Prend un capteur infra-rouge, il enregistrera un signal différent, et
pourtant, c'est la même scène.
ensuite cette donnée peut être traitée dans un APN ou dans un ordi.
quelle est la différence ? sur un ordi on peut faire un peu plus de
réglages fins. c'est tout.
La différence, c'est qu'on se donne un mal fou pour restituer à la photo
les couleurs, valeurs etc.. que le JPG aurait données, ni plus, ni moins.
Car si on manipule le RAW en dehors de ce que l’œil est fait pour voir,
le résultat ne semble pas naturel.
Je laisse de côté la profondeur du fichier : 8 bits contre 12 ou 14,
c'est autre chose.si toi tu préfères une télé avec juste un bouton on/off alors tant
mieux, mais comprends que d'autres préfèrent avoir d'autres fonctions à
dispo pour régler l'image.
Je comprends surtout très bien que les RAWistes croient dans leur
candeur naïve être plus proches de la réalité alors que cette réalité
n'existe pas
les couleurs sont une illusion restituée par les capteurs
et les traitements.
Le JPG, c'est la vérité, le RAW, c'est le mensonge.
Je viens de montrer pourquoi.
Il y a 20 ans, le JPG avait encore de nombreux défauts que le RAW
pouvait aider à corriger. Ce n'est plus le cas.
Le RAW est devenu le refuge d'une frange de photographes qui n'ont pas
évolué, alors que les capteurs et les traitements des fichiers ont
considérablement évolué.
Campés sur des positions de principe, persuadés d'avoir raison, ils ne
voient pas la terre tourner. Qu'ils s'amusent à passer des heures à
déRAWtiser leurs photos, c'est un passe-temps, ce n'est plus une nécessité.
Le 04/06/2018 à 11:22, Alf92 a écrit :
GhostRaider :
Le JPG est conçu pour restituer ce que l’œil voit et il y réussit
parfaitement.
Le RAW est conçu pour permettre de modifier après coup ce que l’œil à vu.
non
le RAW représente la donnée de base.
Mais justement non
: ce que le capteur enregistre est soigneusement
choisi pour coller, après manipulations, à ce que l’œil humain peut voir
: pas d'ultra-violets, pas d'infra-rouge, et une pondération des
couleurs adaptée à l’œil de l'homme.
Prend un capteur infra-rouge, il enregistrera un signal différent, et
pourtant, c'est la même scène.
ensuite cette donnée peut être traitée dans un APN ou dans un ordi.
quelle est la différence ? sur un ordi on peut faire un peu plus de
réglages fins. c'est tout.
La différence, c'est qu'on se donne un mal fou pour restituer à la photo
les couleurs, valeurs etc.. que le JPG aurait données, ni plus, ni moins.
Car si on manipule le RAW en dehors de ce que l’œil est fait pour voir,
le résultat ne semble pas naturel.
Je laisse de côté la profondeur du fichier : 8 bits contre 12 ou 14,
c'est autre chose.
si toi tu préfères une télé avec juste un bouton on/off alors tant
mieux, mais comprends que d'autres préfèrent avoir d'autres fonctions à
dispo pour régler l'image.
Je comprends surtout très bien que les RAWistes croient dans leur
candeur naïve être plus proches de la réalité alors que cette réalité
n'existe pas
les couleurs sont une illusion restituée par les capteurs
et les traitements.
Le JPG, c'est la vérité, le RAW, c'est le mensonge.
Je viens de montrer pourquoi.
Il y a 20 ans, le JPG avait encore de nombreux défauts que le RAW
pouvait aider à corriger. Ce n'est plus le cas.
Le RAW est devenu le refuge d'une frange de photographes qui n'ont pas
évolué, alors que les capteurs et les traitements des fichiers ont
considérablement évolué.
Campés sur des positions de principe, persuadés d'avoir raison, ils ne
voient pas la terre tourner. Qu'ils s'amusent à passer des heures à
déRAWtiser leurs photos, c'est un passe-temps, ce n'est plus une nécessité.
Le 04/06/2018 à 11:22, Alf92 a écrit :GhostRaider :Le JPG est conçu pour restituer ce que l’œil voit et il y réussit
parfaitement.
Le RAW est conçu pour permettre de modifier après coup ce que l’œil à vu.
non
le RAW représente la donnée de base.
Mais justement non
: ce que le capteur enregistre est soigneusement
choisi pour coller, après manipulations, à ce que l’œil humain peut voir
: pas d'ultra-violets, pas d'infra-rouge, et une pondération des
couleurs adaptée à l’œil de l'homme.
Prend un capteur infra-rouge, il enregistrera un signal différent, et
pourtant, c'est la même scène.
ensuite cette donnée peut être traitée dans un APN ou dans un ordi.
quelle est la différence ? sur un ordi on peut faire un peu plus de
réglages fins. c'est tout.
La différence, c'est qu'on se donne un mal fou pour restituer à la photo
les couleurs, valeurs etc.. que le JPG aurait données, ni plus, ni moins.
Car si on manipule le RAW en dehors de ce que l’œil est fait pour voir,
le résultat ne semble pas naturel.
Je laisse de côté la profondeur du fichier : 8 bits contre 12 ou 14,
c'est autre chose.si toi tu préfères une télé avec juste un bouton on/off alors tant
mieux, mais comprends que d'autres préfèrent avoir d'autres fonctions à
dispo pour régler l'image.
Je comprends surtout très bien que les RAWistes croient dans leur
candeur naïve être plus proches de la réalité alors que cette réalité
n'existe pas
les couleurs sont une illusion restituée par les capteurs
et les traitements.
Le JPG, c'est la vérité, le RAW, c'est le mensonge.
Je viens de montrer pourquoi.
Il y a 20 ans, le JPG avait encore de nombreux défauts que le RAW
pouvait aider à corriger. Ce n'est plus le cas.
Le RAW est devenu le refuge d'une frange de photographes qui n'ont pas
évolué, alors que les capteurs et les traitements des fichiers ont
considérablement évolué.
Campés sur des positions de principe, persuadés d'avoir raison, ils ne
voient pas la terre tourner. Qu'ils s'amusent à passer des heures à
déRAWtiser leurs photos, c'est un passe-temps, ce n'est plus une nécessité.
Le 04/06/2018 à 18:22, Alf92 a écrit :GhostRaider :oui c'est ça, et la DMLA c'est des artefacts de compression...
Il faut juste se faire opérer pour retrouver une vision normale.
Le 04/06/2018 à 18:22, Alf92 a écrit :
GhostRaider :
oui c'est ça, et la DMLA c'est des artefacts de compression...
Il faut juste se faire opérer pour retrouver une vision normale.
Le 04/06/2018 à 18:22, Alf92 a écrit :GhostRaider :oui c'est ça, et la DMLA c'est des artefacts de compression...
Il faut juste se faire opérer pour retrouver une vision normale.
GhostRaider wrote:Le 03/06/2018 à 20:03, Benoit a écrit :GhostRaider wrote:
Justement. Si tu fais des photos pour montrer tout et laisser celui qui
regarde faire le tri et trouver pourquoi tu as appuyé sur le bouton,
d'accord (reportage). Mais si tu fais une photo pour partager ce que toi
tu as vu, alors là non. Parce que tu n'as pas tout vu, tu t'es concentré
sur une chose, tu as cadré, tu t'es déplacé... et tu as appuyé sur le
bouton. Ensuite quand tu la regardes tranquillement à la maison, ce
n'est plus ce que tu as vu. La photo a des différences avec la mémoire
et on essaye d'accorder les deux.
Si je vois sur la photo autre chose que ce que j'aurais voulu, c'est que
ma photo est ratée. la modifier après coup est le reconnaître.
Non, elle est une correction de ce que le matériel a retenu.Dans pas mal de mes nocturnes éclairés au sodium, j'ai viré des km de
fils électrique et téléphonique. Parce qu'ils modifiaient, de façon
drastique, ce que je souhaitais partager et ce que j'avais vu, la raison
pour laquelle j'avais appuyé sur le bouton.
L'art du photographe est justement d'enregistrer exactement ce qu'il
voudrait qu'on retienne de la scène en dépit des parasites.
Eh bien justement et il vaut mieux partir de 0 que de ce qu'a fait
l'ordinateur sur l'appareil.Tiens, enlever les fils électriques, ce n'est pas de la retouche, ça ne
change rien à la signification de la photo, n'est-ce pas ?
Tout dépend du message que tu veux faire passer. Tu passes de deux à un
fils et ce n'est toujours pas la sculpture le sujet, c'est lui. Tu
photographiais quoi à ce propos ?Mais si ce ne sont pas des fils électriques, mais des fils, juste des
fils qui traversent le ciel ? Les enlever n'est pas tricher, n'est-ce
pas, c'est faire un nettoyage bienvenu.
Et bien non, enlève les fils, et ce n'est plus la même photo :
https://www.cjoint.com/doc/18_06/HFdriaCH0Wg_P6301383.JPG
Mouais, il en reste un et la sculpture est en évidence avec le fil pour
la faire tenir. Ton idée c'est quoi ? Montrer une sculpture sur un toit,
ou comment on a réussi à faire tenir une structure sur un toit ?
Le toit est au second plan. La sculpture est suspendue.Et puis tu n'appliques pas ce que tu dis. Tu fais des jpeg avec
l'appareil qui corrige la colorimétrie. Tu « bidouilles », tu retouches
ta photo à la prise de vue. La photo qui est prise n'est pas la réalité.
C'est celle décidée par les ingénieurs de l'appareil.
Travailles d'abord avec du RAW avant de râler après ceux qui
retouchent ! Non mais !
Et Toc ! ©
Et bien justement non.
Le JPG est conçu pour restituer ce que l'œil voit et il y réussit
parfaitement.
Faux. Le JPG ne restitue même pas ce que le capteur à reçu.
Le RAW est conçu pour permettre de modifier après coup ce que l'œil à vu.
Tu peux aussi le faire avec du JPG, mais sur une base déjà modifiée.
Le JPG, c'est la vérité, le RAW, c'est le mensonge.
Tout faux. cf l'image postée précédemment.
GhostRaider <ghost-raider@compuserve.com> wrote:
Le 03/06/2018 à 20:03, Benoit a écrit :
GhostRaider <ghost-raider@compuserve.com> wrote:
Justement. Si tu fais des photos pour montrer tout et laisser celui qui
regarde faire le tri et trouver pourquoi tu as appuyé sur le bouton,
d'accord (reportage). Mais si tu fais une photo pour partager ce que toi
tu as vu, alors là non. Parce que tu n'as pas tout vu, tu t'es concentré
sur une chose, tu as cadré, tu t'es déplacé... et tu as appuyé sur le
bouton. Ensuite quand tu la regardes tranquillement à la maison, ce
n'est plus ce que tu as vu. La photo a des différences avec la mémoire
et on essaye d'accorder les deux.
Si je vois sur la photo autre chose que ce que j'aurais voulu, c'est que
ma photo est ratée. la modifier après coup est le reconnaître.
Non, elle est une correction de ce que le matériel a retenu.
Dans pas mal de mes nocturnes éclairés au sodium, j'ai viré des km de
fils électrique et téléphonique. Parce qu'ils modifiaient, de façon
drastique, ce que je souhaitais partager et ce que j'avais vu, la raison
pour laquelle j'avais appuyé sur le bouton.
L'art du photographe est justement d'enregistrer exactement ce qu'il
voudrait qu'on retienne de la scène en dépit des parasites.
Eh bien justement et il vaut mieux partir de 0 que de ce qu'a fait
l'ordinateur sur l'appareil.
Tiens, enlever les fils électriques, ce n'est pas de la retouche, ça ne
change rien à la signification de la photo, n'est-ce pas ?
Tout dépend du message que tu veux faire passer. Tu passes de deux à un
fils et ce n'est toujours pas la sculpture le sujet, c'est lui. Tu
photographiais quoi à ce propos ?
Mais si ce ne sont pas des fils électriques, mais des fils, juste des
fils qui traversent le ciel ? Les enlever n'est pas tricher, n'est-ce
pas, c'est faire un nettoyage bienvenu.
Et bien non, enlève les fils, et ce n'est plus la même photo :
https://www.cjoint.com/doc/18_06/HFdriaCH0Wg_P6301383.JPG
Mouais, il en reste un et la sculpture est en évidence avec le fil pour
la faire tenir. Ton idée c'est quoi ? Montrer une sculpture sur un toit,
ou comment on a réussi à faire tenir une structure sur un toit ?
Le toit est au second plan. La sculpture est suspendue.
Et puis tu n'appliques pas ce que tu dis. Tu fais des jpeg avec
l'appareil qui corrige la colorimétrie. Tu « bidouilles », tu retouches
ta photo à la prise de vue. La photo qui est prise n'est pas la réalité.
C'est celle décidée par les ingénieurs de l'appareil.
Travailles d'abord avec du RAW avant de râler après ceux qui
retouchent ! Non mais !
Et Toc ! ©
Et bien justement non.
Le JPG est conçu pour restituer ce que l'œil voit et il y réussit
parfaitement.
Faux. Le JPG ne restitue même pas ce que le capteur à reçu.
Le RAW est conçu pour permettre de modifier après coup ce que l'œil à vu.
Tu peux aussi le faire avec du JPG, mais sur une base déjà modifiée.
Le JPG, c'est la vérité, le RAW, c'est le mensonge.
Tout faux. cf l'image postée précédemment.
GhostRaider wrote:Le 03/06/2018 à 20:03, Benoit a écrit :GhostRaider wrote:
Justement. Si tu fais des photos pour montrer tout et laisser celui qui
regarde faire le tri et trouver pourquoi tu as appuyé sur le bouton,
d'accord (reportage). Mais si tu fais une photo pour partager ce que toi
tu as vu, alors là non. Parce que tu n'as pas tout vu, tu t'es concentré
sur une chose, tu as cadré, tu t'es déplacé... et tu as appuyé sur le
bouton. Ensuite quand tu la regardes tranquillement à la maison, ce
n'est plus ce que tu as vu. La photo a des différences avec la mémoire
et on essaye d'accorder les deux.
Si je vois sur la photo autre chose que ce que j'aurais voulu, c'est que
ma photo est ratée. la modifier après coup est le reconnaître.
Non, elle est une correction de ce que le matériel a retenu.Dans pas mal de mes nocturnes éclairés au sodium, j'ai viré des km de
fils électrique et téléphonique. Parce qu'ils modifiaient, de façon
drastique, ce que je souhaitais partager et ce que j'avais vu, la raison
pour laquelle j'avais appuyé sur le bouton.
L'art du photographe est justement d'enregistrer exactement ce qu'il
voudrait qu'on retienne de la scène en dépit des parasites.
Eh bien justement et il vaut mieux partir de 0 que de ce qu'a fait
l'ordinateur sur l'appareil.Tiens, enlever les fils électriques, ce n'est pas de la retouche, ça ne
change rien à la signification de la photo, n'est-ce pas ?
Tout dépend du message que tu veux faire passer. Tu passes de deux à un
fils et ce n'est toujours pas la sculpture le sujet, c'est lui. Tu
photographiais quoi à ce propos ?Mais si ce ne sont pas des fils électriques, mais des fils, juste des
fils qui traversent le ciel ? Les enlever n'est pas tricher, n'est-ce
pas, c'est faire un nettoyage bienvenu.
Et bien non, enlève les fils, et ce n'est plus la même photo :
https://www.cjoint.com/doc/18_06/HFdriaCH0Wg_P6301383.JPG
Mouais, il en reste un et la sculpture est en évidence avec le fil pour
la faire tenir. Ton idée c'est quoi ? Montrer une sculpture sur un toit,
ou comment on a réussi à faire tenir une structure sur un toit ?
Le toit est au second plan. La sculpture est suspendue.Et puis tu n'appliques pas ce que tu dis. Tu fais des jpeg avec
l'appareil qui corrige la colorimétrie. Tu « bidouilles », tu retouches
ta photo à la prise de vue. La photo qui est prise n'est pas la réalité.
C'est celle décidée par les ingénieurs de l'appareil.
Travailles d'abord avec du RAW avant de râler après ceux qui
retouchent ! Non mais !
Et Toc ! ©
Et bien justement non.
Le JPG est conçu pour restituer ce que l'œil voit et il y réussit
parfaitement.
Faux. Le JPG ne restitue même pas ce que le capteur à reçu.
Le RAW est conçu pour permettre de modifier après coup ce que l'œil à vu.
Tu peux aussi le faire avec du JPG, mais sur une base déjà modifiée.
Le JPG, c'est la vérité, le RAW, c'est le mensonge.
Tout faux. cf l'image postée précédemment.
Le 04/06/2018 à 18:46, GhostRaider a écrit :Le 04/06/2018 à 18:22, Alf92 a écrit :GhostRaider :oui c'est ça, et la DMLA c'est des artefacts de compression...
Il faut juste se faire opérer pour retrouver une vision normale.
Heu, pas vraiment. On n'opère pas la DMLA. C'est irréversible et
incurable. On peut juste éventuellement en limiter la propagation avec
une molécule qui coûte un bras, sans garantie de succès. Je ne vous le
souhaite pas.
Le 04/06/2018 à 18:46, GhostRaider a écrit :
Le 04/06/2018 à 18:22, Alf92 a écrit :
GhostRaider :
oui c'est ça, et la DMLA c'est des artefacts de compression...
Il faut juste se faire opérer pour retrouver une vision normale.
Heu, pas vraiment. On n'opère pas la DMLA. C'est irréversible et
incurable. On peut juste éventuellement en limiter la propagation avec
une molécule qui coûte un bras, sans garantie de succès. Je ne vous le
souhaite pas.
Le 04/06/2018 à 18:46, GhostRaider a écrit :Le 04/06/2018 à 18:22, Alf92 a écrit :GhostRaider :oui c'est ça, et la DMLA c'est des artefacts de compression...
Il faut juste se faire opérer pour retrouver une vision normale.
Heu, pas vraiment. On n'opère pas la DMLA. C'est irréversible et
incurable. On peut juste éventuellement en limiter la propagation avec
une molécule qui coûte un bras, sans garantie de succès. Je ne vous le
souhaite pas.
Le 04/06/2018 à 18:20, Alf92 a écrit :GhostRaider :Le 04/06/2018 à 11:09, Alf92 a écrit :GhostRaider :L'enregistrement d'une pièce de théâtre ou d'un concert n'est pas limité
dans l'espace sensoriel. On peut enregistrer par accident une quinte de
toux qui n'a rien à faire dans l'enregistrement. Ça pose bien d'autres
problèmes et nécessite bien d'autres matériels et techniques. Restons-en
à la photo.
bin non, c'est le même problème : si techniquement on peut virer la
toux du vieux catarrheux au milieu du pianissimo, doit-on le faire ?
La question ne se pose pas.
Si l’enregistrement est celui de la Symphonie Fantastique avec 200
musiciens, on n'entendra pas la toux du tout.
Si c'est un récital de Lola Astanova, on éjectera tous le vieux
catarrheux d'abord, place aux jeunes :
https://www.youtube.com/watch?v=mcXUk_XPy1A
pirouette humoristique, mais pirouette quand même
Humoristique, soit, mais tu n'aimerais pas prendre des cours de piano
avec Lola Astanova ?
Moi, j'aimerais bien.
Ceci dit, l'enregistrement d'un concert n'a rien à voir avec la photo
RAW ou JPG.
Comparaison n'est pas raison.
Restons-en à la photo avant de déraper vers le fait de savoir s'il vaut
mieux débrancher l'ASP sur une traction avant sur la neige...
Le 04/06/2018 à 18:20, Alf92 a écrit :
GhostRaider :
Le 04/06/2018 à 11:09, Alf92 a écrit :
GhostRaider :
L'enregistrement d'une pièce de théâtre ou d'un concert n'est pas limité
dans l'espace sensoriel. On peut enregistrer par accident une quinte de
toux qui n'a rien à faire dans l'enregistrement. Ça pose bien d'autres
problèmes et nécessite bien d'autres matériels et techniques. Restons-en
à la photo.
bin non, c'est le même problème : si techniquement on peut virer la
toux du vieux catarrheux au milieu du pianissimo, doit-on le faire ?
La question ne se pose pas.
Si l’enregistrement est celui de la Symphonie Fantastique avec 200
musiciens, on n'entendra pas la toux du tout.
Si c'est un récital de Lola Astanova, on éjectera tous le vieux
catarrheux d'abord, place aux jeunes :
https://www.youtube.com/watch?v=mcXUk_XPy1A
pirouette humoristique, mais pirouette quand même
Humoristique, soit, mais tu n'aimerais pas prendre des cours de piano
avec Lola Astanova ?
Moi, j'aimerais bien.
Ceci dit, l'enregistrement d'un concert n'a rien à voir avec la photo
RAW ou JPG.
Comparaison n'est pas raison.
Restons-en à la photo avant de déraper vers le fait de savoir s'il vaut
mieux débrancher l'ASP sur une traction avant sur la neige...
Le 04/06/2018 à 18:20, Alf92 a écrit :GhostRaider :Le 04/06/2018 à 11:09, Alf92 a écrit :GhostRaider :L'enregistrement d'une pièce de théâtre ou d'un concert n'est pas limité
dans l'espace sensoriel. On peut enregistrer par accident une quinte de
toux qui n'a rien à faire dans l'enregistrement. Ça pose bien d'autres
problèmes et nécessite bien d'autres matériels et techniques. Restons-en
à la photo.
bin non, c'est le même problème : si techniquement on peut virer la
toux du vieux catarrheux au milieu du pianissimo, doit-on le faire ?
La question ne se pose pas.
Si l’enregistrement est celui de la Symphonie Fantastique avec 200
musiciens, on n'entendra pas la toux du tout.
Si c'est un récital de Lola Astanova, on éjectera tous le vieux
catarrheux d'abord, place aux jeunes :
https://www.youtube.com/watch?v=mcXUk_XPy1A
pirouette humoristique, mais pirouette quand même
Humoristique, soit, mais tu n'aimerais pas prendre des cours de piano
avec Lola Astanova ?
Moi, j'aimerais bien.
Ceci dit, l'enregistrement d'un concert n'a rien à voir avec la photo
RAW ou JPG.
Comparaison n'est pas raison.
Restons-en à la photo avant de déraper vers le fait de savoir s'il vaut
mieux débrancher l'ASP sur une traction avant sur la neige...