suite au élucubrations d'un troll patenté à base de cycles par mm sur le
formidable kodachrome, j'ai retrouvé une vieillerie qui me semble clore
le débat.
A ma gauche : Leica M6 + 2/90 summicron + Tmax 400 (le film noir et
blanc au grain le plus fin jamais commercialisé). Scan sur scanner à
film Minolta à 2800 dpi sur 16 bits. Conversion jpeg + niveaux. Image
3846x2564 -> environ 10Mpx. Prise de vue : janvier 1996.
A ma droite : Panasonic GX1 (sorti en 2011) + 45-175 panasonic (pas
cher) à 45mm (soit 90 comme focale équivalente). Passage en noir et
blanc et niveaux. Pas d'accentuation. Image 4592x3448 -> 16Mpx. Prise de
vue : août 2014.
Resizés en 1000 pixels de large on obtient ça :
https://www.cjoint.com/doc/18_01/HAzr7ooBNiP_ny.jpg
On note un rendu des gris différent, en particulier sur l'immeuble étagé
à gauche, ce qui est bizarre puisqu'il est bleu-gris. On note aussi une
belle constance dans le cadrage au cours des ans. Et enfin une tour qui
a poussé entre temps (ils sont dingues).
Maintenant regardons ce que ça donne à 100%. En haut une portion du
centre, et en bas une portion du bord (en bas à gauche) :
https://www.cjoint.com/doc/18_01/HAzr7WiqWkP_crop.jpg
Je crois que ça se passe de commentaires.
Je pense que lorsqu'on dit que les full frame actuels sont l'équivalent
des MF argentiques on est encore largement en dessous de la réalité.
Bonsoir, suite au élucubrations d'un troll patenté à base de cycles par mm sur le formidable kodachrome, j'ai retrouvé une vieillerie qui me semble clore le débat. A ma gauche : Leica M6 + 2/90 summicron + Tmax 400 (le film noir et blanc au grain le plus fin jamais commercialisé). Scan sur scanner à film Minolta à 2800 dpi sur 16 bits. Conversion jpeg + niveaux. Image 3846x2564 -> environ 10Mpx. Prise de vue : janvier 1996. A ma droite : Panasonic GX1 (sorti en 2011) + 45-175 panasonic (pas cher) à 45mm (soit 90 comme focale équivalente). Passage en noir et blanc et niveaux. Pas d'accentuation. Image 4592x3448 -> 16Mpx. Prise de vue : août 2014. Resizés en 1000 pixels de large on obtient ça : https://www.cjoint.com/doc/18_01/HAzr7ooBNiP_ny.jpg On note un rendu des gris différent, en particulier sur l'immeuble étagé à gauche, ce qui est bizarre puisqu'il est bleu-gris. On note aussi une belle constance dans le cadrage au cours des ans. Et enfin une tour qui a poussé entre temps (ils sont dingues). Maintenant regardons ce que ça donne à 100%. En haut une portion du centre, et en bas une portion du bord (en bas à gauche) : https://www.cjoint.com/doc/18_01/HAzr7WiqWkP_crop.jpg Je crois que ça se passe de commentaires. Je pense que lorsqu'on dit que les full frame actuels sont l'équivalent des MF argentiques on est encore largement en dessous de la réalité. Vive le numérique.
Quelques remarques: - dans toutes les comparaisons argentique/numérique, on scanne un néga/dia et on compare les fichiers à l'écran. Si le fichier numérique est directement affiché, on impose une conversion, avec perte, à l'argentique qui est loin d'être anodine. Il ne viendrait à l'idée de personne de flasher un fichier numérique sur pellicule et comparer le résultat à la loupe, pourtant, c'est le type de transformation qu'on fait subir à l'argentique sans sourciller ... - un scanner à 2800dpi est loin de pouvoir sortir tout ce qu'à un 24x36 dans le ventre. Même mon Nikon LS-5000, à 4000dpi et multi-passes, n'y arrive pas pour les pellicules les plus fines. 4000dpi en 24x36, ça nous fait quand même plus de 20mpx. - La TMax 400 n'a *pas* un grain fin, ce sont des grains tabulaires qui se chevauchent et provoquent une (quasi) absence visuelle de grain. Le grain étant l'espace *entre* les cristaux d'argent qui apparait alors en noir une fois converti en positif. Grain ou absence de grain ne sont d'ailleurs que partiellement corrélées à la définition. Le grain n'est pas simplement un pixel, c'est un peu plus compliqué que ça.
merci de me faire rire par ces temps difficiles. On a bien cité du NB en 25 ASA, mais vraiment le Tmax 400 considéré comme le nec plus ultra, il faut bien des ignorants de vos générations pour oser l'écrire! Le reste, pellicules NB à 64,100,200ASA, objectifs comme l'Elmar Tessar, Summicron ont-ils disparu ?
Et en termes de définition, il y a bien mieux que la TMax 400 ... - le sujet a été photographié avec 20 ans d'écart, dans des conditions de lumière différentes et des formats, donc optiques, différents. - il faut aussi espérer que les autres paramètres ont été faits sérieusement (prise de vue sur statif, mise au point précise, absence de vibration, ...) Tout ça pour dire que la comparaison est loin d'être sans reproches ... Est-ce que le numérique a surpassé l'argentique ? A même taille de surface sensible, oui, sans aucun doute, c'est certes plus vrai pour certains paramètres que d'autres mais, après 20 ans de numérique, il est assez logique qu'on fasse mieux ! Maintenant, la question n'est pas tellement de savoir si l'un est meilleur que l'autre mais plutôt de savoir pourquoi utiliser l'un ou l'autre et la différence de rendu suffit, à mon avis, à justifier l'un ou l'autre. C'est le même type de choix qui conduit à l'utilisation d'un format, d'un process ou d'un éclairage particulier: ce sont plus des choix liés à l'esthétique que simplement techniques. Claudio Bonavolta www.bonavolta.ch --- This email has been checked for viruses by AVG. http://www.avg.com
Le 25/01/2018, Claudio Bonavolta a supposé :
Le 25.01.2018 à 19:19, efji a écrit :
Bonsoir,
suite au élucubrations d'un troll patenté à base de cycles par mm sur le
formidable kodachrome, j'ai retrouvé une vieillerie qui me semble clore le
débat.
A ma gauche : Leica M6 + 2/90 summicron + Tmax 400 (le film noir et blanc
au grain le plus fin jamais commercialisé). Scan sur scanner à film Minolta
à 2800 dpi sur 16 bits. Conversion jpeg + niveaux. Image 3846x2564 ->
environ 10Mpx. Prise de vue : janvier 1996.
A ma droite : Panasonic GX1 (sorti en 2011) + 45-175 panasonic (pas cher) à
45mm (soit 90 comme focale équivalente). Passage en noir et blanc et
niveaux. Pas d'accentuation. Image 4592x3448 -> 16Mpx. Prise de vue : août
2014.
Resizés en 1000 pixels de large on obtient ça :
https://www.cjoint.com/doc/18_01/HAzr7ooBNiP_ny.jpg
On note un rendu des gris différent, en particulier sur l'immeuble étagé à
gauche, ce qui est bizarre puisqu'il est bleu-gris. On note aussi une belle
constance dans le cadrage au cours des ans. Et enfin une tour qui a poussé
entre temps (ils sont dingues).
Maintenant regardons ce que ça donne à 100%. En haut une portion du centre,
et en bas une portion du bord (en bas à gauche) :
https://www.cjoint.com/doc/18_01/HAzr7WiqWkP_crop.jpg
Je crois que ça se passe de commentaires.
Je pense que lorsqu'on dit que les full frame actuels sont l'équivalent des
MF argentiques on est encore largement en dessous de la réalité.
Vive le numérique.
Quelques remarques:
- dans toutes les comparaisons argentique/numérique, on scanne un néga/dia et
on compare les fichiers à l'écran.
Si le fichier numérique est directement affiché, on impose une conversion,
avec perte, à l'argentique qui est loin d'être anodine.
Il ne viendrait à l'idée de personne de flasher un fichier numérique sur
pellicule et comparer le résultat à la loupe, pourtant, c'est le type de
transformation qu'on fait subir à l'argentique sans sourciller ...
- un scanner à 2800dpi est loin de pouvoir sortir tout ce qu'à un 24x36 dans
le ventre. Même mon Nikon LS-5000, à 4000dpi et multi-passes, n'y arrive pas
pour les pellicules les plus fines.
4000dpi en 24x36, ça nous fait quand même plus de 20mpx.
- La TMax 400 n'a *pas* un grain fin, ce sont des grains tabulaires qui se
chevauchent et provoquent une (quasi) absence visuelle de grain.
Le grain étant l'espace *entre* les cristaux d'argent qui apparait alors en
noir une fois converti en positif.
Grain ou absence de grain ne sont d'ailleurs que partiellement corrélées à la
définition. Le grain n'est pas simplement un pixel, c'est un peu plus
compliqué que ça.
merci de me faire rire par ces temps difficiles. On a bien cité du NB
en 25 ASA, mais vraiment le Tmax 400 considéré comme le nec plus ultra,
il faut bien des ignorants de vos générations pour oser l'écrire!
Le reste, pellicules NB à 64,100,200ASA, objectifs comme l'Elmar
Tessar, Summicron ont-ils disparu ?
Et en termes de définition, il y a bien mieux que la TMax 400 ...
- le sujet a été photographié avec 20 ans d'écart, dans des conditions de
lumière différentes et des formats, donc optiques, différents.
- il faut aussi espérer que les autres paramètres ont été faits sérieusement
(prise de vue sur statif, mise au point précise, absence de vibration, ...)
Tout ça pour dire que la comparaison est loin d'être sans reproches ...
Est-ce que le numérique a surpassé l'argentique ?
A même taille de surface sensible, oui, sans aucun doute, c'est certes plus
vrai pour certains paramètres que d'autres mais, après 20 ans de numérique,
il est assez logique qu'on fasse mieux !
Maintenant, la question n'est pas tellement de savoir si l'un est meilleur
que l'autre mais plutôt de savoir pourquoi utiliser l'un ou l'autre et la
différence de rendu suffit, à mon avis, à justifier l'un ou l'autre.
C'est le même type de choix qui conduit à l'utilisation d'un format, d'un
process ou d'un éclairage particulier: ce sont plus des choix liés à
l'esthétique que simplement techniques.
Claudio Bonavolta
www.bonavolta.ch
---
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http://www.avg.com
Bonsoir, suite au élucubrations d'un troll patenté à base de cycles par mm sur le formidable kodachrome, j'ai retrouvé une vieillerie qui me semble clore le débat. A ma gauche : Leica M6 + 2/90 summicron + Tmax 400 (le film noir et blanc au grain le plus fin jamais commercialisé). Scan sur scanner à film Minolta à 2800 dpi sur 16 bits. Conversion jpeg + niveaux. Image 3846x2564 -> environ 10Mpx. Prise de vue : janvier 1996. A ma droite : Panasonic GX1 (sorti en 2011) + 45-175 panasonic (pas cher) à 45mm (soit 90 comme focale équivalente). Passage en noir et blanc et niveaux. Pas d'accentuation. Image 4592x3448 -> 16Mpx. Prise de vue : août 2014. Resizés en 1000 pixels de large on obtient ça : https://www.cjoint.com/doc/18_01/HAzr7ooBNiP_ny.jpg On note un rendu des gris différent, en particulier sur l'immeuble étagé à gauche, ce qui est bizarre puisqu'il est bleu-gris. On note aussi une belle constance dans le cadrage au cours des ans. Et enfin une tour qui a poussé entre temps (ils sont dingues). Maintenant regardons ce que ça donne à 100%. En haut une portion du centre, et en bas une portion du bord (en bas à gauche) : https://www.cjoint.com/doc/18_01/HAzr7WiqWkP_crop.jpg Je crois que ça se passe de commentaires. Je pense que lorsqu'on dit que les full frame actuels sont l'équivalent des MF argentiques on est encore largement en dessous de la réalité. Vive le numérique.
Quelques remarques: - dans toutes les comparaisons argentique/numérique, on scanne un néga/dia et on compare les fichiers à l'écran. Si le fichier numérique est directement affiché, on impose une conversion, avec perte, à l'argentique qui est loin d'être anodine. Il ne viendrait à l'idée de personne de flasher un fichier numérique sur pellicule et comparer le résultat à la loupe, pourtant, c'est le type de transformation qu'on fait subir à l'argentique sans sourciller ... - un scanner à 2800dpi est loin de pouvoir sortir tout ce qu'à un 24x36 dans le ventre. Même mon Nikon LS-5000, à 4000dpi et multi-passes, n'y arrive pas pour les pellicules les plus fines. 4000dpi en 24x36, ça nous fait quand même plus de 20mpx. - La TMax 400 n'a *pas* un grain fin, ce sont des grains tabulaires qui se chevauchent et provoquent une (quasi) absence visuelle de grain. Le grain étant l'espace *entre* les cristaux d'argent qui apparait alors en noir une fois converti en positif. Grain ou absence de grain ne sont d'ailleurs que partiellement corrélées à la définition. Le grain n'est pas simplement un pixel, c'est un peu plus compliqué que ça.
merci de me faire rire par ces temps difficiles. On a bien cité du NB en 25 ASA, mais vraiment le Tmax 400 considéré comme le nec plus ultra, il faut bien des ignorants de vos générations pour oser l'écrire! Le reste, pellicules NB à 64,100,200ASA, objectifs comme l'Elmar Tessar, Summicron ont-ils disparu ?
Et en termes de définition, il y a bien mieux que la TMax 400 ... - le sujet a été photographié avec 20 ans d'écart, dans des conditions de lumière différentes et des formats, donc optiques, différents. - il faut aussi espérer que les autres paramètres ont été faits sérieusement (prise de vue sur statif, mise au point précise, absence de vibration, ...) Tout ça pour dire que la comparaison est loin d'être sans reproches ... Est-ce que le numérique a surpassé l'argentique ? A même taille de surface sensible, oui, sans aucun doute, c'est certes plus vrai pour certains paramètres que d'autres mais, après 20 ans de numérique, il est assez logique qu'on fasse mieux ! Maintenant, la question n'est pas tellement de savoir si l'un est meilleur que l'autre mais plutôt de savoir pourquoi utiliser l'un ou l'autre et la différence de rendu suffit, à mon avis, à justifier l'un ou l'autre. C'est le même type de choix qui conduit à l'utilisation d'un format, d'un process ou d'un éclairage particulier: ce sont plus des choix liés à l'esthétique que simplement techniques. Claudio Bonavolta www.bonavolta.ch --- This email has been checked for viruses by AVG. http://www.avg.com
René
Le vendredi 26 janvier 2018 06:24:44 UTC-5, efji a écrit :
Le 25/01/2018 à 23:42, Claudio Bonavolta a écrit :
- il faut aussi espérer que les autres paramètres ont ét é faits sérieusement (prise de vue sur statif, mise au point précise, absence de vibration, ...)
Bien sûr que non. Je ne suis pas un photographe de mires, et d'aille urs ça n'a pas grand intérêt. Ce qui compte c'est le résu ltat sur le terrain en conditions réelles d'utilisation, c'est-à-dire à l'arra che au milieu de la foule déchainée. Cela dit pour cet exemple précis, e n plein soleil, tout ceci ne joue pas : pour la numérique on est à f7.1 1/500e, pour l'argentique ça devait être un truc du genre f5.6 1/1000e, donc les conditions optimales.
Je suis en accord avec vous deux. Mon critère personnel est cependant différent. Je regarde les vieux livres photos de ma bibliothèque et je suis triste de leur qualité en comparaison des possibilités actuelles. Je sais très bien que plusieurs autres facteurs intervienn ent dans la qualité visuelle finale d'une impression sur papier, je sa is que l'odeur de la chimie n'existe plus, et l'odeur de l'encre du livre n euf n'est plus que très rarement là... Pour moi c'est le livre, ou l'affiche, ou le grand format tableau qui compt e. Et aujourd'hui c'est mieux qu'avant. René
Le vendredi 26 janvier 2018 06:24:44 UTC-5, efji a écrit :
Le 25/01/2018 à 23:42, Claudio Bonavolta a écrit :
>
> - il faut aussi espérer que les autres paramètres ont ét é faits
> sérieusement (prise de vue sur statif, mise au point précise, absence de
> vibration, ...)
Bien sûr que non. Je ne suis pas un photographe de mires, et d'aille urs
ça n'a pas grand intérêt. Ce qui compte c'est le résu ltat sur le terrain
en conditions réelles d'utilisation, c'est-à-dire à l'arra che au milieu
de la foule déchainée. Cela dit pour cet exemple précis, e n plein
soleil, tout ceci ne joue pas : pour la numérique on est à f7.1 1/500e,
pour l'argentique ça devait être un truc du genre f5.6 1/1000e, donc les
conditions optimales.
Je suis en accord avec vous deux. Mon critère personnel est cependant différent. Je regarde les vieux livres photos de ma bibliothèque et je suis triste de leur qualité en comparaison des possibilités actuelles. Je sais très bien que plusieurs autres facteurs intervienn ent dans la qualité visuelle finale d'une impression sur papier, je sa is que l'odeur de la chimie n'existe plus, et l'odeur de l'encre du livre n euf n'est plus que très rarement là...
Pour moi c'est le livre, ou l'affiche, ou le grand format tableau qui compt e. Et aujourd'hui c'est mieux qu'avant.
Le vendredi 26 janvier 2018 06:24:44 UTC-5, efji a écrit :
Le 25/01/2018 à 23:42, Claudio Bonavolta a écrit :
- il faut aussi espérer que les autres paramètres ont ét é faits sérieusement (prise de vue sur statif, mise au point précise, absence de vibration, ...)
Bien sûr que non. Je ne suis pas un photographe de mires, et d'aille urs ça n'a pas grand intérêt. Ce qui compte c'est le résu ltat sur le terrain en conditions réelles d'utilisation, c'est-à-dire à l'arra che au milieu de la foule déchainée. Cela dit pour cet exemple précis, e n plein soleil, tout ceci ne joue pas : pour la numérique on est à f7.1 1/500e, pour l'argentique ça devait être un truc du genre f5.6 1/1000e, donc les conditions optimales.
Je suis en accord avec vous deux. Mon critère personnel est cependant différent. Je regarde les vieux livres photos de ma bibliothèque et je suis triste de leur qualité en comparaison des possibilités actuelles. Je sais très bien que plusieurs autres facteurs intervienn ent dans la qualité visuelle finale d'une impression sur papier, je sa is que l'odeur de la chimie n'existe plus, et l'odeur de l'encre du livre n euf n'est plus que très rarement là... Pour moi c'est le livre, ou l'affiche, ou le grand format tableau qui compt e. Et aujourd'hui c'est mieux qu'avant. René
Tigerfr
parce que toutes les manips chimique en labo, ça ne compte pas ?
Quelles manips chimiques? Révélateur fixateur, point. Tu m'aurais parlé du tirage, il ya matière à en parler.
Chacun sa perception, mais je ne dirais pas que l'un est meilleur que l'autre ça dépend des critères.
ya un seul critère de qualité : enregistrer et reproduire la scène devant l'objectif.
Non il n'y en a pas qu'un seul , voir les chefs d'oeuvre flous des grands photographes, et en quoi l'analogique n'y réussit pas? J'ajouterai en plus l'interprétation de la scène.
Moi qui aime l'objet en général, je suis assez dubitatif en comparant un boitier numérique tout en plastique avec un appareil photo du siècle dernier, lourd et fourmillant d'astuces mécaniques
le plastique n'est pas un critère de qualité, un Minox 35GT est en plastique Et de très haute qualité.
ah ah ah
parce que toutes les manips chimique en labo, ça ne compte pas ?
Tu m'aurais parlé du tirage, il ya matière à en parler.
Chacun sa perception, mais je ne dirais pas que l'un est meilleur que
l'autre ça dépend des critères.
ya un seul critère de qualité : enregistrer et reproduire la scène devant
l'objectif.
Non il n'y en a pas qu'un seul , voir les chefs d'oeuvre flous des
grands photographes, et en quoi l'analogique n'y réussit pas?
J'ajouterai en plus l'interprétation de la scène.
Moi qui aime l'objet en général, je suis assez dubitatif en comparant un
boitier numérique tout en plastique avec un appareil photo du siècle
dernier, lourd et fourmillant d'astuces mécaniques
le plastique n'est pas un critère de qualité, un Minox 35GT est en plastique
Et de très haute qualité.
parce que toutes les manips chimique en labo, ça ne compte pas ?
Quelles manips chimiques? Révélateur fixateur, point. Tu m'aurais parlé du tirage, il ya matière à en parler.
Chacun sa perception, mais je ne dirais pas que l'un est meilleur que l'autre ça dépend des critères.
ya un seul critère de qualité : enregistrer et reproduire la scène devant l'objectif.
Non il n'y en a pas qu'un seul , voir les chefs d'oeuvre flous des grands photographes, et en quoi l'analogique n'y réussit pas? J'ajouterai en plus l'interprétation de la scène.
Moi qui aime l'objet en général, je suis assez dubitatif en comparant un boitier numérique tout en plastique avec un appareil photo du siècle dernier, lourd et fourmillant d'astuces mécaniques
le plastique n'est pas un critère de qualité, un Minox 35GT est en plastique Et de très haute qualité.
ah ah ah
Jean-Pierre Roche
Le 27/01/2018 à 10:46, Tigerfr a écrit :
parce que toutes les manips chimique en labo, ça ne compte pas ?
Je me demande si tu as vraiment fait de l'argentique... Car le révélateur suivant sa formule, sa dilution, sa température et j'en passe peut donner des résultats très différents. Ce ne serait pas une manip chimique ? -- Jean-Pierre Roche enlever sanspub pour m'écrire...
Le 27/01/2018 à 10:46, Tigerfr a écrit :
parce que toutes les manips chimique en labo, ça ne compte
pas ?
Je me demande si tu as vraiment fait de l'argentique... Car
le révélateur suivant sa formule, sa dilution, sa
température et j'en passe peut donner des résultats très
différents. Ce ne serait pas une manip chimique ?
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
enlever sanspub pour m'écrire...
Je me demande si tu as vraiment fait de l'argentique... Car le révélateur suivant sa formule, sa dilution, sa température et j'en passe peut donner des résultats très différents. Ce ne serait pas une manip chimique ? -- Jean-Pierre Roche enlever sanspub pour m'écrire...
choix de la chimie, T°, durée... ça change pas mal de choses.
Tu m'aurais parlé du tirage, il ya matière à en parler.
encore plus, oui.
Non il n'y en a pas qu'un seul , voir les chefs d'oeuvre flous des grands photographes,
c'est une postprod sur du net. comprendre postprod au sens conceptuel. le photographe a ajouté à la scène nette une "postprod" de flou de focus ou de bougé, à la prise de vue. mathématiquement, on peut retrouver par "UNDO" la scène nette.
ah ah ah
ya rien de drôle, il y a plastique et plastique. ça va de la chinoiserie friable à l'epoxy-carbone... entre les 2 deux, il y a des très bon plastiques qui valent mieux qu'un Zamak merdique. prends exemple un beau bloc de nylon usiné CNC...
choix de la chimie, T°, durée... ça change pas mal de choses.
Tu m'aurais parlé du tirage, il ya matière à en parler.
encore plus, oui.
Non il n'y en a pas qu'un seul , voir les chefs d'oeuvre flous des grands photographes,
c'est une postprod sur du net. comprendre postprod au sens conceptuel. le photographe a ajouté à la scène nette une "postprod" de flou de focus ou de bougé, à la prise de vue. mathématiquement, on peut retrouver par "UNDO" la scène nette.
ah ah ah
ya rien de drôle, il y a plastique et plastique. ça va de la chinoiserie friable à l'epoxy-carbone... entre les 2 deux, il y a des très bon plastiques qui valent mieux qu'un Zamak merdique. prends exemple un beau bloc de nylon usiné CNC...
Tigerfr
Une démonstartion de quoi?
que le numérique est d'une qualité largement supérieure à l'argentique. c'est dingue qu'on s'accroche encore à croire l'inverse... esprit de contradiction ? troll ? problème occulaire ?...
C'est quoi la qualité? Tu n'as jamais perdu de fichiers photos? Tu n'as jamais retrouvé de photos corrompues sur ton NAS? Tu n'as jamais perdu le mdp du cloud où tu mets tes photos?
Une démonstartion de quoi?
que le numérique est d'une qualité largement supérieure à l'argentique.
c'est dingue qu'on s'accroche encore à croire l'inverse...
esprit de contradiction ? troll ? problème occulaire ?...
C'est quoi la qualité?
Tu n'as jamais perdu de fichiers photos?
Tu n'as jamais retrouvé de photos corrompues sur ton NAS?
Tu n'as jamais perdu le mdp du cloud où tu mets tes photos?
que le numérique est d'une qualité largement supérieure à l'argentique. c'est dingue qu'on s'accroche encore à croire l'inverse... esprit de contradiction ? troll ? problème occulaire ?...
C'est quoi la qualité? Tu n'as jamais perdu de fichiers photos? Tu n'as jamais retrouvé de photos corrompues sur ton NAS? Tu n'as jamais perdu le mdp du cloud où tu mets tes photos?
Tigerfr
Dans son message précédent, Jean-Pierre Roche a écrit :
Le 27/01/2018 à 10:46, Tigerfr a écrit :
parce que toutes les manips chimique en labo, ça ne compte pas ?
Je me demande si tu as vraiment fait de l'argentique... Car le révélateur suivant sa formule, sa dilution, sa température et j'en passe peut donner des résultats très différents. Ce ne serait pas une manip chimique ?
Oui depuis une bonne quarantaine d'année. Tu peux effectivement jouer avec les dilutions, les temps, la température, voire la chimie. Mais sinon tu peux aussi suivre les précos des fabricants ce qui permet une constance dans les résultats. L'idée c'est d'avoir un film, de garder le même révélateur (rodinal dans mon cas) et la même méthodo (3 retournements/min dans mon cas).
Dans son message précédent, Jean-Pierre Roche a écrit :
Le 27/01/2018 à 10:46, Tigerfr a écrit :
parce que toutes les manips chimique en labo, ça ne compte pas ?
Je me demande si tu as vraiment fait de l'argentique... Car le révélateur
suivant sa formule, sa dilution, sa température et j'en passe peut donner des
résultats très différents. Ce ne serait pas une manip chimique ?
Oui depuis une bonne quarantaine d'année.
Tu peux effectivement jouer avec les dilutions, les temps, la
température, voire la chimie.
Mais sinon tu peux aussi suivre les précos des fabricants ce qui permet
une constance dans les résultats.
L'idée c'est d'avoir un film, de garder le même révélateur (rodinal
dans mon cas) et la même méthodo (3 retournements/min dans mon cas).
Je me demande si tu as vraiment fait de l'argentique... Car le révélateur suivant sa formule, sa dilution, sa température et j'en passe peut donner des résultats très différents. Ce ne serait pas une manip chimique ?
Oui depuis une bonne quarantaine d'année. Tu peux effectivement jouer avec les dilutions, les temps, la température, voire la chimie. Mais sinon tu peux aussi suivre les précos des fabricants ce qui permet une constance dans les résultats. L'idée c'est d'avoir un film, de garder le même révélateur (rodinal dans mon cas) et la même méthodo (3 retournements/min dans mon cas).
efji
Le 27/01/2018 à 16:38, Tigerfr a écrit :
Une démonstartion de quoi?
que le numérique est d'une qualité largement supérieure à l'argentique. c'est dingue qu'on s'accroche encore à croire l'inverse... esprit de contradiction ? troll ? problème occulaire ?...
C'est quoi la qualité? Tu n'as jamais perdu de fichiers photos? Tu n'as jamais retrouvé de photos corrompues sur ton NAS? Tu n'as jamais perdu le mdp du cloud où tu mets tes photos?
Quel rapport ? -- F.J.
Le 27/01/2018 à 16:38, Tigerfr a écrit :
Une démonstartion de quoi?
que le numérique est d'une qualité largement supérieure à l'argentique.
c'est dingue qu'on s'accroche encore à croire l'inverse...
esprit de contradiction ? troll ? problème occulaire ?...
C'est quoi la qualité?
Tu n'as jamais perdu de fichiers photos?
Tu n'as jamais retrouvé de photos corrompues sur ton NAS?
Tu n'as jamais perdu le mdp du cloud où tu mets tes photos?
que le numérique est d'une qualité largement supérieure à l'argentique. c'est dingue qu'on s'accroche encore à croire l'inverse... esprit de contradiction ? troll ? problème occulaire ?...
C'est quoi la qualité? Tu n'as jamais perdu de fichiers photos? Tu n'as jamais retrouvé de photos corrompues sur ton NAS? Tu n'as jamais perdu le mdp du cloud où tu mets tes photos?
Quel rapport ? -- F.J.
Jean-Pierre Roche
Le 27/01/2018 à 16:38, Tigerfr a écrit :
Tu peux effectivement jouer avec les dilutions, les temps, la température, voire la chimie. Mais sinon tu peux aussi suivre les précos des fabricants ce qui permet une constance dans les résultats. L'idée c'est d'avoir un film, de garder le même révélateur (rodinal dans mon cas) et la même méthodo (3 retournements/min dans mon cas).
C'est valable si tu ne fais qu'un seul type de prise vue. Car entre le film à grain fin dans les 50 ASA (les zizos n'existaient pas) et le film rapide poussé à 3200 ASA il y a un monde... Possible seulement en jouant à la fois sur le type de film et le traitement. Gros avantage du numérique : juste une molette à tourner... -- Jean-Pierre Roche enlever sanspub pour m'écrire...
Le 27/01/2018 à 16:38, Tigerfr a écrit :
Tu peux effectivement jouer avec les dilutions, les temps,
la température, voire la chimie.
Mais sinon tu peux aussi suivre les précos des fabricants ce
qui permet une constance dans les résultats.
L'idée c'est d'avoir un film, de garder le même révélateur
(rodinal dans mon cas) et la même méthodo (3
retournements/min dans mon cas).
C'est valable si tu ne fais qu'un seul type de prise vue.
Car entre le film à grain fin dans les 50 ASA (les zizos
n'existaient pas) et le film rapide poussé à 3200 ASA il y a
un monde... Possible seulement en jouant à la fois sur le
type de film et le traitement. Gros avantage du numérique :
juste une molette à tourner...
--
Jean-Pierre Roche
jproche@sanspubnumericable.com
enlever sanspub pour m'écrire...
Tu peux effectivement jouer avec les dilutions, les temps, la température, voire la chimie. Mais sinon tu peux aussi suivre les précos des fabricants ce qui permet une constance dans les résultats. L'idée c'est d'avoir un film, de garder le même révélateur (rodinal dans mon cas) et la même méthodo (3 retournements/min dans mon cas).
C'est valable si tu ne fais qu'un seul type de prise vue. Car entre le film à grain fin dans les 50 ASA (les zizos n'existaient pas) et le film rapide poussé à 3200 ASA il y a un monde... Possible seulement en jouant à la fois sur le type de film et le traitement. Gros avantage du numérique : juste une molette à tourner... -- Jean-Pierre Roche enlever sanspub pour m'écrire...
Claudio Bonavolta
Le 27.01.2018 à 17:47, Jean-Pierre Roche a écrit :
... dans les 50 ASA (les zizos n'existaient pas) ...
Heu, sans rire, les zizos ne datent pas d'hier ... https://fr.wikipedia.org/wiki/Sensibilit%C3%A9_ISO Claudio Bonavolta www.bonavolta.ch --- This email has been checked for viruses by AVG. http://www.avg.com
Le 27.01.2018 à 17:47, Jean-Pierre Roche a écrit :
... dans les 50 ASA (les zizos n'existaient pas) ...
Heu, sans rire, les zizos ne datent pas d'hier ...
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sensibilit%C3%A9_ISO
Claudio Bonavolta
www.bonavolta.ch
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Le 27.01.2018 à 17:47, Jean-Pierre Roche a écrit :
... dans les 50 ASA (les zizos n'existaient pas) ...
Heu, sans rire, les zizos ne datent pas d'hier ... https://fr.wikipedia.org/wiki/Sensibilit%C3%A9_ISO Claudio Bonavolta www.bonavolta.ch --- This email has been checked for viruses by AVG. http://www.avg.com