Ce n'est pas ce que je dis. Je te dis simplement que c'est _aussi_
du boulot.
Je n'ai jamais dit que ce n'est pas du boulot. J'ai dit que c'était
moins de boulot de maintenir que d'écrire un programme.
Bon, on va arrêter là, tu es bouché. Maintenir une cohérence entre
des tas de softs que tu n'as pas écrit, c'est du _boulot_ tout aussi
difficile si ce n'est plus que d'écrire le soft en question.
Ce n'est pas ce que je dis. Je te dis simplement que c'est _aussi_
du boulot.
Je n'ai jamais dit que ce n'est pas du boulot. J'ai dit que c'était
moins de boulot de maintenir que d'écrire un programme.
Bon, on va arrêter là, tu es bouché. Maintenir une cohérence entre
des tas de softs que tu n'as pas écrit, c'est du _boulot_ tout aussi
difficile si ce n'est plus que d'écrire le soft en question.
Ce n'est pas ce que je dis. Je te dis simplement que c'est _aussi_
du boulot.
Je n'ai jamais dit que ce n'est pas du boulot. J'ai dit que c'était
moins de boulot de maintenir que d'écrire un programme.
Bon, on va arrêter là, tu es bouché. Maintenir une cohérence entre
des tas de softs que tu n'as pas écrit, c'est du _boulot_ tout aussi
difficile si ce n'est plus que d'écrire le soft en question.
Le 11/02/2010 18:37, JKB a écrit :Ce n'est pas ce que je dis. Je te dis simplement que c'est _aussi_
du boulot.
Je n'ai jamais dit que ce n'est pas du boulot. J'ai dit que c'était
moins de boulot de maintenir que d'écrire un programme.
Bon, on va arrêter là, tu es bouché. Maintenir une cohérence entre
des tas de softs que tu n'as pas écrit, c'est du _boulot_ tout aussi
difficile si ce n'est plus que d'écrire le soft en question.
Je me demande bien avec quel critère tu mesures la difficulté d'un
boulot. A te lire on a l'impression que ce que fait JKB est difficile et
ce que font les autres est facile. Drôle de critère.
Le 11/02/2010 18:37, JKB a écrit :
Ce n'est pas ce que je dis. Je te dis simplement que c'est _aussi_
du boulot.
Je n'ai jamais dit que ce n'est pas du boulot. J'ai dit que c'était
moins de boulot de maintenir que d'écrire un programme.
Bon, on va arrêter là, tu es bouché. Maintenir une cohérence entre
des tas de softs que tu n'as pas écrit, c'est du _boulot_ tout aussi
difficile si ce n'est plus que d'écrire le soft en question.
Je me demande bien avec quel critère tu mesures la difficulté d'un
boulot. A te lire on a l'impression que ce que fait JKB est difficile et
ce que font les autres est facile. Drôle de critère.
Le 11/02/2010 18:37, JKB a écrit :Ce n'est pas ce que je dis. Je te dis simplement que c'est _aussi_
du boulot.
Je n'ai jamais dit que ce n'est pas du boulot. J'ai dit que c'était
moins de boulot de maintenir que d'écrire un programme.
Bon, on va arrêter là, tu es bouché. Maintenir une cohérence entre
des tas de softs que tu n'as pas écrit, c'est du _boulot_ tout aussi
difficile si ce n'est plus que d'écrire le soft en question.
Je me demande bien avec quel critère tu mesures la difficulté d'un
boulot. A te lire on a l'impression que ce que fait JKB est difficile et
ce que font les autres est facile. Drôle de critère.
Le 11/02/2010 10:26, JKB a écrit :En quoi me donner un exemple va contredire le fait qu'ils sont très peu?
Parce que tu compares des choses qui ne sont pas comparables.
Tu compares des patches envoyés par des entreprises (Novell, Redhat)
à des patches envoyés par des particuliers ou assimilés (Debian).
En quoi ce n'est pas comparable ?
Parce que tu compares des torchons et des serviettes. Les devs de
Debian que je connais, ils proposent des patches en leur nom propre.
Donc c'est eux qui les proposent et non Debian.Quand tu proposes un patch à Novell, il apparaît au nom de Novell.
Quant on propose un patch pour le noyau, gcc ou xorg (exemples pris pour
la comparaison dont je fournissais un lien), on ne l'envoie pas à Novell
, et il n'apparaît pas au nom de Novell. Donc, s'il te plaît, ne
remplace pas un exemple convenable par un mauvais exemple pour soutenir
tes propos.
Je comprends bien que Debian est une distribution faite par des
bénévoles et qu'ils n'ont pas les moyens d'une entreprise. Mais le
résultat est que ce n'est pas eux qui font avancer, techniquement, les
logiciels libres.
Compares un peu un truc comme Mono (en terme de qualité et de
nombres de bugs découverts) à un truc comparable comme toute la
famille gcc. Tu risques d'avoir des surprises. Ce ne sont pas les
entreprises qui font avancer le logiciel libre.
Ta comparaison ne tient pas. Il y a aussi plein d'entreprises derrière
gcc (Redhat, Novell, IBM, Intel, AMD, SUN, Apple, etc.). Donc tu
compares un logiciel fait par des entreprises contre un logiciel fait
par des entreprises pour montrer que les entreprises ne font pas mieux
que les entreprises.
Tout au plus
l'entreprise détache des salariés pour faire avancer le logiciel
libre, mais ce n'est pas le but premier. Le but, c'est tout
simplement de faire du pognon sur ce logiciel libre. Le
développement est alors le passage obligatoire.
Bien sûr. Pour un fabricant de CPU (IBM, Intel, AMD, etc.) , voire d'OS
(Apple) c'est pratique d'avoir un compilateur qui fonctionne sur leur
architecture et l'on comprend pourquoi ils participent à son
développement. Mais c'est aussi bénéfique pour les utilisateurs donc je
ne vois pas où est le problème.
Je reprends mon exemple : compare les développements de mono et de
gcc. gcc compile partout ou presque, mono compile juste sur i386 et
amd64. Pour les autres architectures, il faut patcher à mort et même
sur i386, les bugs se ramassent à la pelle (y compris des problèmes
de compilation, ce qui ne devraient _jamais_ arriver. Après, un
segfault, c'est déjà un autre problème).Par contre je ne comprends pas la position d'Ubuntu, qui est une
entreprise et n'envoie pas beaucoup de patch non plus.
Peut-être parce qu'Ubuntu pille les paquets debian et l'immense
majorité des bugs est déjà remontée par les développeurs Debian qui
ne fichent rien ?
De ce point de vue, je ne suis pas sûr. L'avantage d'Ubuntu est de
mettre à disposition d'un grand nombre d'utilisateur des logiciels
récents (donc souvent encore très bogués) et le nombre de bugs découvert
et remonté par Ubuntu est très grand. Mais remonter un bug n'est pas
proposer un patch, et tous les patchs ne font pas que corriger des bugs,
certains proposent des fonctionnalités supplémentaires.Visiblement tu n'as pas lu le lien que j'avais donné plus haut dans ce
fil. Donc je redonne quelques chiffres qui y sont cités :
De linux 2.6.15 à linux 2.6.27-rc6 les contributions (nombre de patchs)
sont :
Redhat : 11846
Novell : 7222
Debian : 288
Ubuntu : 100
Et l'on retrouve des chiffres comparables pour gcc, x.org, etc.
Et ?
Et Debian ou Ubuntu contribuent moins au logiciels libres que les
autres, et je trouve donc plus logique de soutenir les autres.
Je te demande à nouveau : preuves ?
11846 > 288.
Le 11/02/2010 10:26, JKB a écrit :
En quoi me donner un exemple va contredire le fait qu'ils sont très peu?
Parce que tu compares des choses qui ne sont pas comparables.
Tu compares des patches envoyés par des entreprises (Novell, Redhat)
à des patches envoyés par des particuliers ou assimilés (Debian).
En quoi ce n'est pas comparable ?
Parce que tu compares des torchons et des serviettes. Les devs de
Debian que je connais, ils proposent des patches en leur nom propre.
Donc c'est eux qui les proposent et non Debian.
Quand tu proposes un patch à Novell, il apparaît au nom de Novell.
Quant on propose un patch pour le noyau, gcc ou xorg (exemples pris pour
la comparaison dont je fournissais un lien), on ne l'envoie pas à Novell
, et il n'apparaît pas au nom de Novell. Donc, s'il te plaît, ne
remplace pas un exemple convenable par un mauvais exemple pour soutenir
tes propos.
Je comprends bien que Debian est une distribution faite par des
bénévoles et qu'ils n'ont pas les moyens d'une entreprise. Mais le
résultat est que ce n'est pas eux qui font avancer, techniquement, les
logiciels libres.
Compares un peu un truc comme Mono (en terme de qualité et de
nombres de bugs découverts) à un truc comparable comme toute la
famille gcc. Tu risques d'avoir des surprises. Ce ne sont pas les
entreprises qui font avancer le logiciel libre.
Ta comparaison ne tient pas. Il y a aussi plein d'entreprises derrière
gcc (Redhat, Novell, IBM, Intel, AMD, SUN, Apple, etc.). Donc tu
compares un logiciel fait par des entreprises contre un logiciel fait
par des entreprises pour montrer que les entreprises ne font pas mieux
que les entreprises.
Tout au plus
l'entreprise détache des salariés pour faire avancer le logiciel
libre, mais ce n'est pas le but premier. Le but, c'est tout
simplement de faire du pognon sur ce logiciel libre. Le
développement est alors le passage obligatoire.
Bien sûr. Pour un fabricant de CPU (IBM, Intel, AMD, etc.) , voire d'OS
(Apple) c'est pratique d'avoir un compilateur qui fonctionne sur leur
architecture et l'on comprend pourquoi ils participent à son
développement. Mais c'est aussi bénéfique pour les utilisateurs donc je
ne vois pas où est le problème.
Je reprends mon exemple : compare les développements de mono et de
gcc. gcc compile partout ou presque, mono compile juste sur i386 et
amd64. Pour les autres architectures, il faut patcher à mort et même
sur i386, les bugs se ramassent à la pelle (y compris des problèmes
de compilation, ce qui ne devraient _jamais_ arriver. Après, un
segfault, c'est déjà un autre problème).
Par contre je ne comprends pas la position d'Ubuntu, qui est une
entreprise et n'envoie pas beaucoup de patch non plus.
Peut-être parce qu'Ubuntu pille les paquets debian et l'immense
majorité des bugs est déjà remontée par les développeurs Debian qui
ne fichent rien ?
De ce point de vue, je ne suis pas sûr. L'avantage d'Ubuntu est de
mettre à disposition d'un grand nombre d'utilisateur des logiciels
récents (donc souvent encore très bogués) et le nombre de bugs découvert
et remonté par Ubuntu est très grand. Mais remonter un bug n'est pas
proposer un patch, et tous les patchs ne font pas que corriger des bugs,
certains proposent des fonctionnalités supplémentaires.
Visiblement tu n'as pas lu le lien que j'avais donné plus haut dans ce
fil. Donc je redonne quelques chiffres qui y sont cités :
De linux 2.6.15 à linux 2.6.27-rc6 les contributions (nombre de patchs)
sont :
Redhat : 11846
Novell : 7222
Debian : 288
Ubuntu : 100
Et l'on retrouve des chiffres comparables pour gcc, x.org, etc.
Et ?
Et Debian ou Ubuntu contribuent moins au logiciels libres que les
autres, et je trouve donc plus logique de soutenir les autres.
Je te demande à nouveau : preuves ?
11846 > 288.
Le 11/02/2010 10:26, JKB a écrit :En quoi me donner un exemple va contredire le fait qu'ils sont très peu?
Parce que tu compares des choses qui ne sont pas comparables.
Tu compares des patches envoyés par des entreprises (Novell, Redhat)
à des patches envoyés par des particuliers ou assimilés (Debian).
En quoi ce n'est pas comparable ?
Parce que tu compares des torchons et des serviettes. Les devs de
Debian que je connais, ils proposent des patches en leur nom propre.
Donc c'est eux qui les proposent et non Debian.Quand tu proposes un patch à Novell, il apparaît au nom de Novell.
Quant on propose un patch pour le noyau, gcc ou xorg (exemples pris pour
la comparaison dont je fournissais un lien), on ne l'envoie pas à Novell
, et il n'apparaît pas au nom de Novell. Donc, s'il te plaît, ne
remplace pas un exemple convenable par un mauvais exemple pour soutenir
tes propos.
Je comprends bien que Debian est une distribution faite par des
bénévoles et qu'ils n'ont pas les moyens d'une entreprise. Mais le
résultat est que ce n'est pas eux qui font avancer, techniquement, les
logiciels libres.
Compares un peu un truc comme Mono (en terme de qualité et de
nombres de bugs découverts) à un truc comparable comme toute la
famille gcc. Tu risques d'avoir des surprises. Ce ne sont pas les
entreprises qui font avancer le logiciel libre.
Ta comparaison ne tient pas. Il y a aussi plein d'entreprises derrière
gcc (Redhat, Novell, IBM, Intel, AMD, SUN, Apple, etc.). Donc tu
compares un logiciel fait par des entreprises contre un logiciel fait
par des entreprises pour montrer que les entreprises ne font pas mieux
que les entreprises.
Tout au plus
l'entreprise détache des salariés pour faire avancer le logiciel
libre, mais ce n'est pas le but premier. Le but, c'est tout
simplement de faire du pognon sur ce logiciel libre. Le
développement est alors le passage obligatoire.
Bien sûr. Pour un fabricant de CPU (IBM, Intel, AMD, etc.) , voire d'OS
(Apple) c'est pratique d'avoir un compilateur qui fonctionne sur leur
architecture et l'on comprend pourquoi ils participent à son
développement. Mais c'est aussi bénéfique pour les utilisateurs donc je
ne vois pas où est le problème.
Je reprends mon exemple : compare les développements de mono et de
gcc. gcc compile partout ou presque, mono compile juste sur i386 et
amd64. Pour les autres architectures, il faut patcher à mort et même
sur i386, les bugs se ramassent à la pelle (y compris des problèmes
de compilation, ce qui ne devraient _jamais_ arriver. Après, un
segfault, c'est déjà un autre problème).Par contre je ne comprends pas la position d'Ubuntu, qui est une
entreprise et n'envoie pas beaucoup de patch non plus.
Peut-être parce qu'Ubuntu pille les paquets debian et l'immense
majorité des bugs est déjà remontée par les développeurs Debian qui
ne fichent rien ?
De ce point de vue, je ne suis pas sûr. L'avantage d'Ubuntu est de
mettre à disposition d'un grand nombre d'utilisateur des logiciels
récents (donc souvent encore très bogués) et le nombre de bugs découvert
et remonté par Ubuntu est très grand. Mais remonter un bug n'est pas
proposer un patch, et tous les patchs ne font pas que corriger des bugs,
certains proposent des fonctionnalités supplémentaires.Visiblement tu n'as pas lu le lien que j'avais donné plus haut dans ce
fil. Donc je redonne quelques chiffres qui y sont cités :
De linux 2.6.15 à linux 2.6.27-rc6 les contributions (nombre de patchs)
sont :
Redhat : 11846
Novell : 7222
Debian : 288
Ubuntu : 100
Et l'on retrouve des chiffres comparables pour gcc, x.org, etc.
Et ?
Et Debian ou Ubuntu contribuent moins au logiciels libres que les
autres, et je trouve donc plus logique de soutenir les autres.
Je te demande à nouveau : preuves ?
11846 > 288.
Si j'avais du installer iFolder, je l'aurais installe sur une OpenSuse
parce que c'est fait pour, que ca marche et que j'y aurais pas passe
deux mois.
Si j'avais du installer iFolder, je l'aurais installe sur une OpenSuse
parce que c'est fait pour, que ca marche et que j'y aurais pas passe
deux mois.
Si j'avais du installer iFolder, je l'aurais installe sur une OpenSuse
parce que c'est fait pour, que ca marche et que j'y aurais pas passe
deux mois.
Stephane TOUGARD wrote:
Si j'avais du installer iFolder, je l'aurais installe sur une OpenSuse
parce que c'est fait pour, que ca marche et que j'y aurais pas passe
deux mois.
Tu connais ses contraintes pour les balayer d'un revers de main aussi
rapide ?
Stephane TOUGARD wrote:
Si j'avais du installer iFolder, je l'aurais installe sur une OpenSuse
parce que c'est fait pour, que ca marche et que j'y aurais pas passe
deux mois.
Tu connais ses contraintes pour les balayer d'un revers de main aussi
rapide ?
Stephane TOUGARD wrote:
Si j'avais du installer iFolder, je l'aurais installe sur une OpenSuse
parce que c'est fait pour, que ca marche et que j'y aurais pas passe
deux mois.
Tu connais ses contraintes pour les balayer d'un revers de main aussi
rapide ?
Yliur wrote:
> Le Thu, 11 Feb 2010 14:30:07 +0100
> debug this fifo a écrit :
>
>> Yliur wrote:
>>>>>>> Il faudrait une ou deux distributions, mais configurables (la
>>>>>>> liberté)
>> [...]
>>
>>> Parce que Debian et Slackware c'est pour Madame Michu ?
>>>
>> bah oui, ce sont deux distributions qui juste marchent.
>
> Je croyais que ça ne gérait pas les dépendances Slackware ?
Et alors ? Il est question d'utiliser, pas d'administrer.
Yliur wrote:
> Le Thu, 11 Feb 2010 14:30:07 +0100
> debug this fifo <debug@fifo.invalid> a écrit :
>
>> Yliur wrote:
>>>>>>> Il faudrait une ou deux distributions, mais configurables (la
>>>>>>> liberté)
>> [...]
>>
>>> Parce que Debian et Slackware c'est pour Madame Michu ?
>>>
>> bah oui, ce sont deux distributions qui juste marchent.
>
> Je croyais que ça ne gérait pas les dépendances Slackware ?
Et alors ? Il est question d'utiliser, pas d'administrer.
Yliur wrote:
> Le Thu, 11 Feb 2010 14:30:07 +0100
> debug this fifo a écrit :
>
>> Yliur wrote:
>>>>>>> Il faudrait une ou deux distributions, mais configurables (la
>>>>>>> liberté)
>> [...]
>>
>>> Parce que Debian et Slackware c'est pour Madame Michu ?
>>>
>> bah oui, ce sont deux distributions qui juste marchent.
>
> Je croyais que ça ne gérait pas les dépendances Slackware ?
Et alors ? Il est question d'utiliser, pas d'administrer.
Donc si on garde Slackware pour Madame Michu, elle peut rien faire sans
demander un truc à quelqu'un.
Donc si on garde Slackware pour Madame Michu, elle peut rien faire sans
demander un truc à quelqu'un.
Donc si on garde Slackware pour Madame Michu, elle peut rien faire sans
demander un truc à quelqu'un.
Dans fr.comp.os.linux.debats Yliur nous expliquait:
> Donc si on garde Slackware pour Madame Michu, elle peut rien faire
> sans demander un truc à quelqu'un.
Madame Michu a généralement des besoins qui évoluent peu.
Bien définir avec elle le cahier des charges et ça roule nickel.
Ce qui en revanche est vrai (mais c'est valable aussi avec d'autres
distribs) est le problème de l'obsolescence inéluctable des
applications.
Mais une mise à jour n'est pas vraiment du ressort de madame Michu
(pas plus que sous Windows).
En l'occurence sous Slackware la madame Michu que je connais me laisse
gérer tout ça par ssh et bien souvent se retrouve avec des applis
mises à jour sans même sans rendre compte.
Dans fr.comp.os.linux.debats Yliur nous expliquait:
> Donc si on garde Slackware pour Madame Michu, elle peut rien faire
> sans demander un truc à quelqu'un.
Madame Michu a généralement des besoins qui évoluent peu.
Bien définir avec elle le cahier des charges et ça roule nickel.
Ce qui en revanche est vrai (mais c'est valable aussi avec d'autres
distribs) est le problème de l'obsolescence inéluctable des
applications.
Mais une mise à jour n'est pas vraiment du ressort de madame Michu
(pas plus que sous Windows).
En l'occurence sous Slackware la madame Michu que je connais me laisse
gérer tout ça par ssh et bien souvent se retrouve avec des applis
mises à jour sans même sans rendre compte.
Dans fr.comp.os.linux.debats Yliur nous expliquait:
> Donc si on garde Slackware pour Madame Michu, elle peut rien faire
> sans demander un truc à quelqu'un.
Madame Michu a généralement des besoins qui évoluent peu.
Bien définir avec elle le cahier des charges et ça roule nickel.
Ce qui en revanche est vrai (mais c'est valable aussi avec d'autres
distribs) est le problème de l'obsolescence inéluctable des
applications.
Mais une mise à jour n'est pas vraiment du ressort de madame Michu
(pas plus que sous Windows).
En l'occurence sous Slackware la madame Michu que je connais me laisse
gérer tout ça par ssh et bien souvent se retrouve avec des applis
mises à jour sans même sans rendre compte.
Yliur wrote:
> Le Thu, 11 Feb 2010 21:24:51 +0100
> Stéphane CARPENTIER a écrit :
>
>> Yliur wrote:
>>> Le Thu, 11 Feb 2010 14:30:07 +0100
>>> debug this fifo a écrit :
>>>
>>>>> Parce que Debian et Slackware c'est pour Madame Michu ?
>>>>>
>>>> bah oui, ce sont deux distributions qui juste marchent.
>>> Je croyais que ça ne gérait pas les dépendances Slackware ?
>> Et alors ? Il est question d'utiliser, pas d'administrer.
>
> Ben non, il est question e choisir juste deux distribution, parce
> que Jo Kerr l'a décrété.
Non, la question est de savoir si madame Miuchu peut utiliser
slackware.
> Donc si on garde Slackware pour Madame Michu, elle peut rien faire
> sans demander un truc à quelqu'un.
Avec une autre distribution non plus madame Michu n'est pas capable
d'administrer quoique ce soit sans demander à quelqu'un. Et avec
Windows non plus elle ne peut rien faire sans demander à quelqu'un.
La gestion informatique par madame Michu, c'est un mensonge.
L'utilisation d'un outil informatique, c'est tout à fait possible.
Yliur wrote:
> Le Thu, 11 Feb 2010 21:24:51 +0100
> Stéphane CARPENTIER <stef.carpentier@gratuit.fr.invalid> a écrit :
>
>> Yliur wrote:
>>> Le Thu, 11 Feb 2010 14:30:07 +0100
>>> debug this fifo <debug@fifo.invalid> a écrit :
>>>
>>>>> Parce que Debian et Slackware c'est pour Madame Michu ?
>>>>>
>>>> bah oui, ce sont deux distributions qui juste marchent.
>>> Je croyais que ça ne gérait pas les dépendances Slackware ?
>> Et alors ? Il est question d'utiliser, pas d'administrer.
>
> Ben non, il est question e choisir juste deux distribution, parce
> que Jo Kerr l'a décrété.
Non, la question est de savoir si madame Miuchu peut utiliser
slackware.
> Donc si on garde Slackware pour Madame Michu, elle peut rien faire
> sans demander un truc à quelqu'un.
Avec une autre distribution non plus madame Michu n'est pas capable
d'administrer quoique ce soit sans demander à quelqu'un. Et avec
Windows non plus elle ne peut rien faire sans demander à quelqu'un.
La gestion informatique par madame Michu, c'est un mensonge.
L'utilisation d'un outil informatique, c'est tout à fait possible.
Yliur wrote:
> Le Thu, 11 Feb 2010 21:24:51 +0100
> Stéphane CARPENTIER a écrit :
>
>> Yliur wrote:
>>> Le Thu, 11 Feb 2010 14:30:07 +0100
>>> debug this fifo a écrit :
>>>
>>>>> Parce que Debian et Slackware c'est pour Madame Michu ?
>>>>>
>>>> bah oui, ce sont deux distributions qui juste marchent.
>>> Je croyais que ça ne gérait pas les dépendances Slackware ?
>> Et alors ? Il est question d'utiliser, pas d'administrer.
>
> Ben non, il est question e choisir juste deux distribution, parce
> que Jo Kerr l'a décrété.
Non, la question est de savoir si madame Miuchu peut utiliser
slackware.
> Donc si on garde Slackware pour Madame Michu, elle peut rien faire
> sans demander un truc à quelqu'un.
Avec une autre distribution non plus madame Michu n'est pas capable
d'administrer quoique ce soit sans demander à quelqu'un. Et avec
Windows non plus elle ne peut rien faire sans demander à quelqu'un.
La gestion informatique par madame Michu, c'est un mensonge.
L'utilisation d'un outil informatique, c'est tout à fait possible.
Je pensais au problème des mises-à-jour (ne serait-ce que pour la
sécurité). Avec une distribution stable et un gestionnaire de paquets
qui fait pas trop peur, Madame Michu peut faire ça elle-même. Et si
elle est un peu curieuse elle peut même se mettre à installer
elle-même des logiciels. C'est une porte ouverte à la découverte.
Je pensais au problème des mises-à-jour (ne serait-ce que pour la
sécurité). Avec une distribution stable et un gestionnaire de paquets
qui fait pas trop peur, Madame Michu peut faire ça elle-même. Et si
elle est un peu curieuse elle peut même se mettre à installer
elle-même des logiciels. C'est une porte ouverte à la découverte.
Je pensais au problème des mises-à-jour (ne serait-ce que pour la
sécurité). Avec une distribution stable et un gestionnaire de paquets
qui fait pas trop peur, Madame Michu peut faire ça elle-même. Et si
elle est un peu curieuse elle peut même se mettre à installer
elle-même des logiciels. C'est une porte ouverte à la découverte.