c'est une forme de chantage
c'est une forme de chantage
c'est une forme de chantage
OK. Je vais essayer d'expliquer les choses sans m'énerver, bien que ce
raisonnement entendu partout me sorte par les yeux :
Les fonctionnaires ont une grille de salaire basée sur un indice, dont
la valeur est fixée par l'Etat. Cette grille indiciaire est fixe. Il ont
par ailleurs deux modes d'avancement dans cette grille (à l'ancienneté
et "au mérite"). Bref, une fois qu'on est sur la grille on avance son
petit bonhomme de chemin, donc effectivement le salaire progresse
individuellement.
Par ailleurs, la valeur de chaque point d'indice doit être revalorisée
périodiquement pour suivre l'inflation de sorte que chaque agent au même
grade gagne l'équivalent de la même somme que son collègue 20 ans plus
tôt. C'est du simple bon sens. C'est ce mécanisme qui est bloqué depuis
10 ans (à l'exception d'un petit % préélectoral de Hollande) et pour les
5 ans qui viennent.
En clair ça signifie qu'un agent quelconque de la fonction publique
gagne, *à avancement égal* la même chose que son collègue d'il y a 10
ans. Il a donc perdu presque 20% de pouvoir d'achat à cause de
l'inflation. C'est comme ça qu'on recrute aujourd'hui des profs pas
tellement plus haut que le smic, et qu'on se plaint du niveau minable
des candidats aux concours de recrutement.
OK. Je vais essayer d'expliquer les choses sans m'énerver, bien que ce
raisonnement entendu partout me sorte par les yeux :
Les fonctionnaires ont une grille de salaire basée sur un indice, dont
la valeur est fixée par l'Etat. Cette grille indiciaire est fixe. Il ont
par ailleurs deux modes d'avancement dans cette grille (à l'ancienneté
et "au mérite"). Bref, une fois qu'on est sur la grille on avance son
petit bonhomme de chemin, donc effectivement le salaire progresse
individuellement.
Par ailleurs, la valeur de chaque point d'indice doit être revalorisée
périodiquement pour suivre l'inflation de sorte que chaque agent au même
grade gagne l'équivalent de la même somme que son collègue 20 ans plus
tôt. C'est du simple bon sens. C'est ce mécanisme qui est bloqué depuis
10 ans (à l'exception d'un petit % préélectoral de Hollande) et pour les
5 ans qui viennent.
En clair ça signifie qu'un agent quelconque de la fonction publique
gagne, *à avancement égal* la même chose que son collègue d'il y a 10
ans. Il a donc perdu presque 20% de pouvoir d'achat à cause de
l'inflation. C'est comme ça qu'on recrute aujourd'hui des profs pas
tellement plus haut que le smic, et qu'on se plaint du niveau minable
des candidats aux concours de recrutement.
OK. Je vais essayer d'expliquer les choses sans m'énerver, bien que ce
raisonnement entendu partout me sorte par les yeux :
Les fonctionnaires ont une grille de salaire basée sur un indice, dont
la valeur est fixée par l'Etat. Cette grille indiciaire est fixe. Il ont
par ailleurs deux modes d'avancement dans cette grille (à l'ancienneté
et "au mérite"). Bref, une fois qu'on est sur la grille on avance son
petit bonhomme de chemin, donc effectivement le salaire progresse
individuellement.
Par ailleurs, la valeur de chaque point d'indice doit être revalorisée
périodiquement pour suivre l'inflation de sorte que chaque agent au même
grade gagne l'équivalent de la même somme que son collègue 20 ans plus
tôt. C'est du simple bon sens. C'est ce mécanisme qui est bloqué depuis
10 ans (à l'exception d'un petit % préélectoral de Hollande) et pour les
5 ans qui viennent.
En clair ça signifie qu'un agent quelconque de la fonction publique
gagne, *à avancement égal* la même chose que son collègue d'il y a 10
ans. Il a donc perdu presque 20% de pouvoir d'achat à cause de
l'inflation. C'est comme ça qu'on recrute aujourd'hui des profs pas
tellement plus haut que le smic, et qu'on se plaint du niveau minable
des candidats aux concours de recrutement.
Le 02/04/2018 à 18:22, GhostRaider a écrit :Je ne peux évidemment pas exposer ici les cas concrets, mais je
maintiens ce que j'ai écrit.
Moi, je pourrais. J'ai travaillé dans la sidérurgie, dans la
pharmacie, dans l'industrie alimentaire : on faisait les choses
sérieusement, sans frauder.
Et dans tous ces cas là tu as rédigé des rapports techniques CIR ? Tu
as vu ceux qui étaient rédigés ? Tu t'es assuré de leur conformité
aussi bien avec ce qui avait réellement été fait qu'avec les critères
d'attribution du crédit ?
Oui, j'ai rédigé des rapports, travaux des chercheurs, que je
connaissais, à l'appui.
Euh... Tu es dans la technique ? Parce que les personnes que je connais
qui rédigent ces rapports à la base sont tous des techniciens.
Dans la pharmacie en particulier, ça ne rigole pas du tout avec leurs
phase1, phase 2, essais cliniques etc...
Dans la pharmacie je veux bien croire que les possibilités de maquiller
la réalité soient plus limitées, compte tenu que c'est un secteur par
ailleurs très surveillé.
Ceci étant ils font de la vraie recherche, qui justifie le CIR.
Note que je ne parle pas forcément de fraude caractérisée, mais des
zones grises qui permettent de faire passer plein de choses comme de
la "recherche" si on n'y regarde pas de trop près.
Quand une entreprise possède un centre de recherche parfaitement
défini, avec locaux, personnel, matériel et rapports constants à la
DG, justifier le CIR n'est pas vraiment très difficile, et sans frauder.
Encore une fois je ne parle pas tant de fraude caractérisée que
d'embellissement de la réalité. Même dans un centre ou un service de
recherche, toutes les activités ne tombent pas dans les critères
théoriques du CIR. Le jeu est est d'arriver à en faire passer le plus
possible.
Le juge fiscal n'est pas du tout à la botte des pouvoirs publics, là
aussi je peux te rassurer.
Un juge fiscal, encore faut-il qu'il soit saisi par quelqu'un. Et
dans le cas du CIR qu'il nomme des experts techniques indépendants
pour une évaluation contradictoire. Étonnamment ça n'arrive à peu
près jamais.
Non, car en cas de contrôle fiscal, on ne va pas devant le juge, ou
vraiment très rarement.
C'est toi qui a parlé de juge.
Le 02/04/2018 à 18:22, GhostRaider a écrit :
Je ne peux évidemment pas exposer ici les cas concrets, mais je
maintiens ce que j'ai écrit.
Moi, je pourrais. J'ai travaillé dans la sidérurgie, dans la
pharmacie, dans l'industrie alimentaire : on faisait les choses
sérieusement, sans frauder.
Et dans tous ces cas là tu as rédigé des rapports techniques CIR ? Tu
as vu ceux qui étaient rédigés ? Tu t'es assuré de leur conformité
aussi bien avec ce qui avait réellement été fait qu'avec les critères
d'attribution du crédit ?
Oui, j'ai rédigé des rapports, travaux des chercheurs, que je
connaissais, à l'appui.
Euh... Tu es dans la technique ? Parce que les personnes que je connais
qui rédigent ces rapports à la base sont tous des techniciens.
Dans la pharmacie en particulier, ça ne rigole pas du tout avec leurs
phase1, phase 2, essais cliniques etc...
Dans la pharmacie je veux bien croire que les possibilités de maquiller
la réalité soient plus limitées, compte tenu que c'est un secteur par
ailleurs très surveillé.
Ceci étant ils font de la vraie recherche, qui justifie le CIR.
Note que je ne parle pas forcément de fraude caractérisée, mais des
zones grises qui permettent de faire passer plein de choses comme de
la "recherche" si on n'y regarde pas de trop près.
Quand une entreprise possède un centre de recherche parfaitement
défini, avec locaux, personnel, matériel et rapports constants à la
DG, justifier le CIR n'est pas vraiment très difficile, et sans frauder.
Encore une fois je ne parle pas tant de fraude caractérisée que
d'embellissement de la réalité. Même dans un centre ou un service de
recherche, toutes les activités ne tombent pas dans les critères
théoriques du CIR. Le jeu est est d'arriver à en faire passer le plus
possible.
Le juge fiscal n'est pas du tout à la botte des pouvoirs publics, là
aussi je peux te rassurer.
Un juge fiscal, encore faut-il qu'il soit saisi par quelqu'un. Et
dans le cas du CIR qu'il nomme des experts techniques indépendants
pour une évaluation contradictoire. Étonnamment ça n'arrive à peu
près jamais.
Non, car en cas de contrôle fiscal, on ne va pas devant le juge, ou
vraiment très rarement.
C'est toi qui a parlé de juge.
Le 02/04/2018 à 18:22, GhostRaider a écrit :Je ne peux évidemment pas exposer ici les cas concrets, mais je
maintiens ce que j'ai écrit.
Moi, je pourrais. J'ai travaillé dans la sidérurgie, dans la
pharmacie, dans l'industrie alimentaire : on faisait les choses
sérieusement, sans frauder.
Et dans tous ces cas là tu as rédigé des rapports techniques CIR ? Tu
as vu ceux qui étaient rédigés ? Tu t'es assuré de leur conformité
aussi bien avec ce qui avait réellement été fait qu'avec les critères
d'attribution du crédit ?
Oui, j'ai rédigé des rapports, travaux des chercheurs, que je
connaissais, à l'appui.
Euh... Tu es dans la technique ? Parce que les personnes que je connais
qui rédigent ces rapports à la base sont tous des techniciens.
Dans la pharmacie en particulier, ça ne rigole pas du tout avec leurs
phase1, phase 2, essais cliniques etc...
Dans la pharmacie je veux bien croire que les possibilités de maquiller
la réalité soient plus limitées, compte tenu que c'est un secteur par
ailleurs très surveillé.
Ceci étant ils font de la vraie recherche, qui justifie le CIR.
Note que je ne parle pas forcément de fraude caractérisée, mais des
zones grises qui permettent de faire passer plein de choses comme de
la "recherche" si on n'y regarde pas de trop près.
Quand une entreprise possède un centre de recherche parfaitement
défini, avec locaux, personnel, matériel et rapports constants à la
DG, justifier le CIR n'est pas vraiment très difficile, et sans frauder.
Encore une fois je ne parle pas tant de fraude caractérisée que
d'embellissement de la réalité. Même dans un centre ou un service de
recherche, toutes les activités ne tombent pas dans les critères
théoriques du CIR. Le jeu est est d'arriver à en faire passer le plus
possible.
Le juge fiscal n'est pas du tout à la botte des pouvoirs publics, là
aussi je peux te rassurer.
Un juge fiscal, encore faut-il qu'il soit saisi par quelqu'un. Et
dans le cas du CIR qu'il nomme des experts techniques indépendants
pour une évaluation contradictoire. Étonnamment ça n'arrive à peu
près jamais.
Non, car en cas de contrôle fiscal, on ne va pas devant le juge, ou
vraiment très rarement.
C'est toi qui a parlé de juge.
Le 02/04/2018 à 18:27, GhostRaider a écrit :Le 02/04/2018 à 17:36, pehache a écrit :Le 02/04/2018 à 16:46, GhostRaider a écrit :Le 02/04/2018 à 15:17, Stephane Legras-Decussy a écrit :Le 02/04/2018 15:14, GhostRaider a écrit :Le 02/04/2018 à 15:06, Stephane Legras-Decussy a écrit :Le 02/04/2018 15:00, GhostRaider a écrit :Mais on fait ses courses où ?
tu veux dire que tu imagines qu'avec 1000¤/mois garanti, plus
personne
ne fait rien et se contente de regarder question pour un champion ?
Pas la peine de verser un RU alors, si les gens veulent bien
travailler.
ah oui donc t'as vraiment RIEN compris :-)
on retourne à ce que je disais : formatage judeo-chrétien
irrationnel sur le travail et le mérite.
Dans toute ma carrière, je n'ai pratiquement jamais rencontré
d'employé qui ne cherchait pas à bien travailler, ne serait-ce que
pour sa satisfaction personnelle.
Sauf les syndicalistes qui passaient leur temps à se promener pour
"défendre les travailleurs" grâce à leurs généreuses heures de
délégation.Mais non tu ne parles pas par clichés, pas du tout.
Ah là là, si tu savais !
Deux exemples :
1 - un délégué FO prenait toujours ses heures de délégation le
mercredi après-midi, on a découvert qu'il était professeur de judo
pour les enfants.
2 - lors d'un licenciement économique collectif, les employées sont
parties avec 16 mois de salaire net. Toutes ont accepté, toutes ? Non,
les déléguées CGT voulaient le double, mais juste pour elles, pour
convaincre les copines, sans leur dire évidemment.
J'en ai des wagons comme ça.
Et donc ?
Je peux te citer aussi plein de cas croisés de branleurs/fumistes/véreux
non syndiqués.
Le 02/04/2018 à 18:27, GhostRaider a écrit :
Le 02/04/2018 à 17:36, pehache a écrit :
Le 02/04/2018 à 16:46, GhostRaider a écrit :
Le 02/04/2018 à 15:17, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 02/04/2018 15:14, GhostRaider a écrit :
Le 02/04/2018 à 15:06, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 02/04/2018 15:00, GhostRaider a écrit :
Mais on fait ses courses où ?
tu veux dire que tu imagines qu'avec 1000¤/mois garanti, plus
personne
ne fait rien et se contente de regarder question pour un champion ?
Pas la peine de verser un RU alors, si les gens veulent bien
travailler.
ah oui donc t'as vraiment RIEN compris :-)
on retourne à ce que je disais : formatage judeo-chrétien
irrationnel sur le travail et le mérite.
Dans toute ma carrière, je n'ai pratiquement jamais rencontré
d'employé qui ne cherchait pas à bien travailler, ne serait-ce que
pour sa satisfaction personnelle.
Sauf les syndicalistes qui passaient leur temps à se promener pour
"défendre les travailleurs" grâce à leurs généreuses heures de
délégation.
Mais non tu ne parles pas par clichés, pas du tout.
Ah là là, si tu savais !
Deux exemples :
1 - un délégué FO prenait toujours ses heures de délégation le
mercredi après-midi, on a découvert qu'il était professeur de judo
pour les enfants.
2 - lors d'un licenciement économique collectif, les employées sont
parties avec 16 mois de salaire net. Toutes ont accepté, toutes ? Non,
les déléguées CGT voulaient le double, mais juste pour elles, pour
convaincre les copines, sans leur dire évidemment.
J'en ai des wagons comme ça.
Et donc ?
Je peux te citer aussi plein de cas croisés de branleurs/fumistes/véreux
non syndiqués.
Le 02/04/2018 à 18:27, GhostRaider a écrit :Le 02/04/2018 à 17:36, pehache a écrit :Le 02/04/2018 à 16:46, GhostRaider a écrit :Le 02/04/2018 à 15:17, Stephane Legras-Decussy a écrit :Le 02/04/2018 15:14, GhostRaider a écrit :Le 02/04/2018 à 15:06, Stephane Legras-Decussy a écrit :Le 02/04/2018 15:00, GhostRaider a écrit :Mais on fait ses courses où ?
tu veux dire que tu imagines qu'avec 1000¤/mois garanti, plus
personne
ne fait rien et se contente de regarder question pour un champion ?
Pas la peine de verser un RU alors, si les gens veulent bien
travailler.
ah oui donc t'as vraiment RIEN compris :-)
on retourne à ce que je disais : formatage judeo-chrétien
irrationnel sur le travail et le mérite.
Dans toute ma carrière, je n'ai pratiquement jamais rencontré
d'employé qui ne cherchait pas à bien travailler, ne serait-ce que
pour sa satisfaction personnelle.
Sauf les syndicalistes qui passaient leur temps à se promener pour
"défendre les travailleurs" grâce à leurs généreuses heures de
délégation.Mais non tu ne parles pas par clichés, pas du tout.
Ah là là, si tu savais !
Deux exemples :
1 - un délégué FO prenait toujours ses heures de délégation le
mercredi après-midi, on a découvert qu'il était professeur de judo
pour les enfants.
2 - lors d'un licenciement économique collectif, les employées sont
parties avec 16 mois de salaire net. Toutes ont accepté, toutes ? Non,
les déléguées CGT voulaient le double, mais juste pour elles, pour
convaincre les copines, sans leur dire évidemment.
J'en ai des wagons comme ça.
Et donc ?
Je peux te citer aussi plein de cas croisés de branleurs/fumistes/véreux
non syndiqués.
Le 02/04/2018 à 20:51, GhostRaider a écrit :Le 02/04/2018 à 20:18, efji a écrit :De toute façon, qu'on le veuille ou non, on est à l'orée d'une
révolution technologique encore plus révolutionnaire que tout ce
qu'on a connu dans le passé (pour résumer: le feu, l'imprimerie, la
machine à vapeur, l'ordinateur), à savoir l'automatisation totale de
*presque tout*. Un exemple entre 1000 : il y a 600 millions de
personnes dans le monde dont le métier est de conduire des véhicules
divers. Ces emplois là sont morts à très court terme. Mais il n'y a
pas que les emplois peu qualifiés de ce genre. Les traders, les
radiologues, les dermatologues sont morts aussi.
D'accord sur la révolution technologique, et encore surtout sous nos
latitudes, mais pas aussi vite que ça.
Vas au Maroc, pas un pays attardé, vraiment moderne par certains
aspects : il y a encore des caravanes :
https://www.cjoint.com/doc/18_04/HDcsPkUGxE1_IMG-0085-Custom-.jpg
Et hop, retour en charte.
Pfff moi aussi je le fais fastoche le retour en charte :
https://www.cjoint.com/doc/18_04/HDctvu1Qz4P_vn1204-001-small.jpg
C'est pris en 1999 au nord du vietnam, chez les peuplades ultra-pauvres
qui ont toujours été opprimées par les vietnamiens, en particulier
parcequ'ils étaient plus ou moins alliés aux chinois. Mes potes de Hanoi
me prenaient pour un dingue d'aller là. Ces gens ne s'habillent pas
comme sur la photo pour les touristes mais vraiment comme ça (il n'y
avait pas de touristes à l'époque). Bref tu débarques dans ce village et
dans chaque hutte il y a deux choses : une machine électrique pour cuire
le riz, et une télé sony trinitron, mieux que celle que j'avais à Paris.
En 1999 Hanoi était truffé de cafés internet, plus que Paris.
Bref la techno se répand bien plus vite qu'on ne l'imagine. Concernant
les véhicules, pas que les voitures mais aussi les camions, la chose ira
très vite car tout simplement les constructeurs cesseront très vite de
fabriquer des voitures qui se conduisent.
Donc il va bien falloir trouver une solution à la réduction massive
de l'offre de travail. Le revenu universel est une piste, et j'en
veux beaucoup à Hamon, par ailleurs très sympathique, de l'avoir si
mal présenté pendant la campagne (en plus d'avoir piqué quelques % à
mon candidat...).
Tu parles de la France de M. Hamon, ou de l'Indonésie, un pays réel ?
Parce que là-bas, 80 millions de motos sans conducteur, ça va pas bien
marcher.
https://www.quora.com/How-many-motorbikes-are-there-in-Indonesia.
Et comme les routes sont étroites, les futures bagnoles sans
conducteur auront de la peine à se croiser.
Ce sont des rêves de socialos qui passent leurs vies en réunions de
cellules pour refaire un monde qui n'existe pas en dehors de Paris 20ème.
Je n'ai pas la science infuse, mais je pense que si on ne trouve pas une
solution non insurrectionnelle à la fin du travail, on aura
l'insurrection. Je n'ai confiance qu'en une chose dans le capitalisme,
c'est en sa formidable capacité à s'adapter pour préserver ses intérêts,
en tout cas les intérêts de quelques-uns. Et l'insurrection mondiale
n'est dans l'intérêt de personne.
Le 02/04/2018 à 20:51, GhostRaider a écrit :
Le 02/04/2018 à 20:18, efji a écrit :
De toute façon, qu'on le veuille ou non, on est à l'orée d'une
révolution technologique encore plus révolutionnaire que tout ce
qu'on a connu dans le passé (pour résumer: le feu, l'imprimerie, la
machine à vapeur, l'ordinateur), à savoir l'automatisation totale de
*presque tout*. Un exemple entre 1000 : il y a 600 millions de
personnes dans le monde dont le métier est de conduire des véhicules
divers. Ces emplois là sont morts à très court terme. Mais il n'y a
pas que les emplois peu qualifiés de ce genre. Les traders, les
radiologues, les dermatologues sont morts aussi.
D'accord sur la révolution technologique, et encore surtout sous nos
latitudes, mais pas aussi vite que ça.
Vas au Maroc, pas un pays attardé, vraiment moderne par certains
aspects : il y a encore des caravanes :
https://www.cjoint.com/doc/18_04/HDcsPkUGxE1_IMG-0085-Custom-.jpg
Et hop, retour en charte.
Pfff moi aussi je le fais fastoche le retour en charte :
https://www.cjoint.com/doc/18_04/HDctvu1Qz4P_vn1204-001-small.jpg
C'est pris en 1999 au nord du vietnam, chez les peuplades ultra-pauvres
qui ont toujours été opprimées par les vietnamiens, en particulier
parcequ'ils étaient plus ou moins alliés aux chinois. Mes potes de Hanoi
me prenaient pour un dingue d'aller là. Ces gens ne s'habillent pas
comme sur la photo pour les touristes mais vraiment comme ça (il n'y
avait pas de touristes à l'époque). Bref tu débarques dans ce village et
dans chaque hutte il y a deux choses : une machine électrique pour cuire
le riz, et une télé sony trinitron, mieux que celle que j'avais à Paris.
En 1999 Hanoi était truffé de cafés internet, plus que Paris.
Bref la techno se répand bien plus vite qu'on ne l'imagine. Concernant
les véhicules, pas que les voitures mais aussi les camions, la chose ira
très vite car tout simplement les constructeurs cesseront très vite de
fabriquer des voitures qui se conduisent.
Donc il va bien falloir trouver une solution à la réduction massive
de l'offre de travail. Le revenu universel est une piste, et j'en
veux beaucoup à Hamon, par ailleurs très sympathique, de l'avoir si
mal présenté pendant la campagne (en plus d'avoir piqué quelques % à
mon candidat...).
Tu parles de la France de M. Hamon, ou de l'Indonésie, un pays réel ?
Parce que là-bas, 80 millions de motos sans conducteur, ça va pas bien
marcher.
https://www.quora.com/How-many-motorbikes-are-there-in-Indonesia.
Et comme les routes sont étroites, les futures bagnoles sans
conducteur auront de la peine à se croiser.
Ce sont des rêves de socialos qui passent leurs vies en réunions de
cellules pour refaire un monde qui n'existe pas en dehors de Paris 20ème.
Je n'ai pas la science infuse, mais je pense que si on ne trouve pas une
solution non insurrectionnelle à la fin du travail, on aura
l'insurrection. Je n'ai confiance qu'en une chose dans le capitalisme,
c'est en sa formidable capacité à s'adapter pour préserver ses intérêts,
en tout cas les intérêts de quelques-uns. Et l'insurrection mondiale
n'est dans l'intérêt de personne.
Le 02/04/2018 à 20:51, GhostRaider a écrit :Le 02/04/2018 à 20:18, efji a écrit :De toute façon, qu'on le veuille ou non, on est à l'orée d'une
révolution technologique encore plus révolutionnaire que tout ce
qu'on a connu dans le passé (pour résumer: le feu, l'imprimerie, la
machine à vapeur, l'ordinateur), à savoir l'automatisation totale de
*presque tout*. Un exemple entre 1000 : il y a 600 millions de
personnes dans le monde dont le métier est de conduire des véhicules
divers. Ces emplois là sont morts à très court terme. Mais il n'y a
pas que les emplois peu qualifiés de ce genre. Les traders, les
radiologues, les dermatologues sont morts aussi.
D'accord sur la révolution technologique, et encore surtout sous nos
latitudes, mais pas aussi vite que ça.
Vas au Maroc, pas un pays attardé, vraiment moderne par certains
aspects : il y a encore des caravanes :
https://www.cjoint.com/doc/18_04/HDcsPkUGxE1_IMG-0085-Custom-.jpg
Et hop, retour en charte.
Pfff moi aussi je le fais fastoche le retour en charte :
https://www.cjoint.com/doc/18_04/HDctvu1Qz4P_vn1204-001-small.jpg
C'est pris en 1999 au nord du vietnam, chez les peuplades ultra-pauvres
qui ont toujours été opprimées par les vietnamiens, en particulier
parcequ'ils étaient plus ou moins alliés aux chinois. Mes potes de Hanoi
me prenaient pour un dingue d'aller là. Ces gens ne s'habillent pas
comme sur la photo pour les touristes mais vraiment comme ça (il n'y
avait pas de touristes à l'époque). Bref tu débarques dans ce village et
dans chaque hutte il y a deux choses : une machine électrique pour cuire
le riz, et une télé sony trinitron, mieux que celle que j'avais à Paris.
En 1999 Hanoi était truffé de cafés internet, plus que Paris.
Bref la techno se répand bien plus vite qu'on ne l'imagine. Concernant
les véhicules, pas que les voitures mais aussi les camions, la chose ira
très vite car tout simplement les constructeurs cesseront très vite de
fabriquer des voitures qui se conduisent.
Donc il va bien falloir trouver une solution à la réduction massive
de l'offre de travail. Le revenu universel est une piste, et j'en
veux beaucoup à Hamon, par ailleurs très sympathique, de l'avoir si
mal présenté pendant la campagne (en plus d'avoir piqué quelques % à
mon candidat...).
Tu parles de la France de M. Hamon, ou de l'Indonésie, un pays réel ?
Parce que là-bas, 80 millions de motos sans conducteur, ça va pas bien
marcher.
https://www.quora.com/How-many-motorbikes-are-there-in-Indonesia.
Et comme les routes sont étroites, les futures bagnoles sans
conducteur auront de la peine à se croiser.
Ce sont des rêves de socialos qui passent leurs vies en réunions de
cellules pour refaire un monde qui n'existe pas en dehors de Paris 20ème.
Je n'ai pas la science infuse, mais je pense que si on ne trouve pas une
solution non insurrectionnelle à la fin du travail, on aura
l'insurrection. Je n'ai confiance qu'en une chose dans le capitalisme,
c'est en sa formidable capacité à s'adapter pour préserver ses intérêts,
en tout cas les intérêts de quelques-uns. Et l'insurrection mondiale
n'est dans l'intérêt de personne.
On verra bien.
https://www.youtube.com/watch?v=xzkWTcDZFH0
On verra bien.
https://www.youtube.com/watch?v=xzkWTcDZFH0
On verra bien.
https://www.youtube.com/watch?v=xzkWTcDZFH0
Le 02/04/2018 à 20:51, GhostRaider a écrit :Le 02/04/2018 à 20:18, efji a écrit :Le 02/04/2018 à 19:57, GhostRaider a écrit :Le 02/04/2018 à 18:44, pehache a écrit :Le 02/04/2018 à 18:30, GhostRaider a écrit :Le 02/04/2018 à 17:41, Stephane Legras-Decussy a écrit :Le 02/04/2018 17:35, GhostRaider a écrit :Du moins le croyait-elle, mais elle vient de s'apercevoir que ses
revenus seront déduits de ses indemnités. Du coup, elle bosse parce
qu'il faudra croûter, après le chômage, avoir une clientèle.
mauvais raisonnement.
dans ce cas, ça incite à arrêter et pas à travailler 2 fois plus.
avec le RU, ses revenus s'ajouteraient, c'est bon pour le moral
et elle travaillerait 2 fois plus.
Hum, j'ai bien peur que le RU ne s'ajoute pas non plus.
Dans ce cas ce n'est pas un RU.
Par définition, un RU n'est soumis à aucune condition.
Ça fait peur.
Ben non. C'est le principe.
Les congés payés et la sécu faisaient peur aussi.
Si tout le Monde faisait pareil, ça pourrait peut-être marcher, mais
si c'est la France et juste la France, alors là, c'est la cata.De toute façon, qu'on le veuille ou non, on est à l'orée d'une
révolution technologique encore plus révolutionnaire que tout ce
qu'on a connu dans le passé (pour résumer: le feu, l'imprimerie, la
machine à vapeur, l'ordinateur), à savoir l'automatisation totale de
*presque tout*. Un exemple entre 1000 : il y a 600 millions de
personnes dans le monde dont le métier est de conduire des véhicules
divers. Ces emplois là sont morts à très court terme. Mais il n'y a
pas que les emplois peu qualifiés de ce genre. Les traders, les
radiologues, les dermatologues sont morts aussi.
D'accord sur la révolution technologique, et encore surtout sous nos
latitudes, mais pas aussi vite que ça.
Vas au Maroc, pas un pays attardé, vraiment moderne par certains
aspects : il y a encore des caravanes :
https://www.cjoint.com/doc/18_04/HDcsPkUGxE1_IMG-0085-Custom-.jpg
Et hop, retour en charte.Donc il va bien falloir trouver une solution à la réduction massive
de l'offre de travail. Le revenu universel est une piste, et j'en
veux beaucoup à Hamon, par ailleurs très sympathique, de l'avoir si
mal présenté pendant la campagne (en plus d'avoir piqué quelques % à
mon candidat...).
Tu parles de la France de M. Hamon, ou de l'Indonésie, un pays réel ?
Parce que là-bas, 80 millions de motos sans conducteur, ça va pas bien
marcher.
https://www.quora.com/How-many-motorbikes-are-there-in-Indonesia.
Et comme les routes sont étroites, les futures bagnoles sans
conducteur auront de la peine à se croiser.
Ce sont des rêves de socialos qui passent leurs vies en réunions de
cellules pour refaire un monde qui n'existe pas en dehors de Paris 20ème.
Comme Madelin ? Un sacré socialo-gauchiste bien connu !
https://www.latribune.fr/opinions/20110502trib000618997/un-revenu-minimum-garanti-pour-tous-.html
Le 02/04/2018 à 20:51, GhostRaider a écrit :
Le 02/04/2018 à 20:18, efji a écrit :
Le 02/04/2018 à 19:57, GhostRaider a écrit :
Le 02/04/2018 à 18:44, pehache a écrit :
Le 02/04/2018 à 18:30, GhostRaider a écrit :
Le 02/04/2018 à 17:41, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 02/04/2018 17:35, GhostRaider a écrit :
Du moins le croyait-elle, mais elle vient de s'apercevoir que ses
revenus seront déduits de ses indemnités. Du coup, elle bosse parce
qu'il faudra croûter, après le chômage, avoir une clientèle.
mauvais raisonnement.
dans ce cas, ça incite à arrêter et pas à travailler 2 fois plus.
avec le RU, ses revenus s'ajouteraient, c'est bon pour le moral
et elle travaillerait 2 fois plus.
Hum, j'ai bien peur que le RU ne s'ajoute pas non plus.
Dans ce cas ce n'est pas un RU.
Par définition, un RU n'est soumis à aucune condition.
Ça fait peur.
Ben non. C'est le principe.
Les congés payés et la sécu faisaient peur aussi.
Si tout le Monde faisait pareil, ça pourrait peut-être marcher, mais
si c'est la France et juste la France, alors là, c'est la cata.
De toute façon, qu'on le veuille ou non, on est à l'orée d'une
révolution technologique encore plus révolutionnaire que tout ce
qu'on a connu dans le passé (pour résumer: le feu, l'imprimerie, la
machine à vapeur, l'ordinateur), à savoir l'automatisation totale de
*presque tout*. Un exemple entre 1000 : il y a 600 millions de
personnes dans le monde dont le métier est de conduire des véhicules
divers. Ces emplois là sont morts à très court terme. Mais il n'y a
pas que les emplois peu qualifiés de ce genre. Les traders, les
radiologues, les dermatologues sont morts aussi.
D'accord sur la révolution technologique, et encore surtout sous nos
latitudes, mais pas aussi vite que ça.
Vas au Maroc, pas un pays attardé, vraiment moderne par certains
aspects : il y a encore des caravanes :
https://www.cjoint.com/doc/18_04/HDcsPkUGxE1_IMG-0085-Custom-.jpg
Et hop, retour en charte.
Donc il va bien falloir trouver une solution à la réduction massive
de l'offre de travail. Le revenu universel est une piste, et j'en
veux beaucoup à Hamon, par ailleurs très sympathique, de l'avoir si
mal présenté pendant la campagne (en plus d'avoir piqué quelques % à
mon candidat...).
Tu parles de la France de M. Hamon, ou de l'Indonésie, un pays réel ?
Parce que là-bas, 80 millions de motos sans conducteur, ça va pas bien
marcher.
https://www.quora.com/How-many-motorbikes-are-there-in-Indonesia.
Et comme les routes sont étroites, les futures bagnoles sans
conducteur auront de la peine à se croiser.
Ce sont des rêves de socialos qui passent leurs vies en réunions de
cellules pour refaire un monde qui n'existe pas en dehors de Paris 20ème.
Comme Madelin ? Un sacré socialo-gauchiste bien connu !
https://www.latribune.fr/opinions/20110502trib000618997/un-revenu-minimum-garanti-pour-tous-.html
Le 02/04/2018 à 20:51, GhostRaider a écrit :Le 02/04/2018 à 20:18, efji a écrit :Le 02/04/2018 à 19:57, GhostRaider a écrit :Le 02/04/2018 à 18:44, pehache a écrit :Le 02/04/2018 à 18:30, GhostRaider a écrit :Le 02/04/2018 à 17:41, Stephane Legras-Decussy a écrit :Le 02/04/2018 17:35, GhostRaider a écrit :Du moins le croyait-elle, mais elle vient de s'apercevoir que ses
revenus seront déduits de ses indemnités. Du coup, elle bosse parce
qu'il faudra croûter, après le chômage, avoir une clientèle.
mauvais raisonnement.
dans ce cas, ça incite à arrêter et pas à travailler 2 fois plus.
avec le RU, ses revenus s'ajouteraient, c'est bon pour le moral
et elle travaillerait 2 fois plus.
Hum, j'ai bien peur que le RU ne s'ajoute pas non plus.
Dans ce cas ce n'est pas un RU.
Par définition, un RU n'est soumis à aucune condition.
Ça fait peur.
Ben non. C'est le principe.
Les congés payés et la sécu faisaient peur aussi.
Si tout le Monde faisait pareil, ça pourrait peut-être marcher, mais
si c'est la France et juste la France, alors là, c'est la cata.De toute façon, qu'on le veuille ou non, on est à l'orée d'une
révolution technologique encore plus révolutionnaire que tout ce
qu'on a connu dans le passé (pour résumer: le feu, l'imprimerie, la
machine à vapeur, l'ordinateur), à savoir l'automatisation totale de
*presque tout*. Un exemple entre 1000 : il y a 600 millions de
personnes dans le monde dont le métier est de conduire des véhicules
divers. Ces emplois là sont morts à très court terme. Mais il n'y a
pas que les emplois peu qualifiés de ce genre. Les traders, les
radiologues, les dermatologues sont morts aussi.
D'accord sur la révolution technologique, et encore surtout sous nos
latitudes, mais pas aussi vite que ça.
Vas au Maroc, pas un pays attardé, vraiment moderne par certains
aspects : il y a encore des caravanes :
https://www.cjoint.com/doc/18_04/HDcsPkUGxE1_IMG-0085-Custom-.jpg
Et hop, retour en charte.Donc il va bien falloir trouver une solution à la réduction massive
de l'offre de travail. Le revenu universel est une piste, et j'en
veux beaucoup à Hamon, par ailleurs très sympathique, de l'avoir si
mal présenté pendant la campagne (en plus d'avoir piqué quelques % à
mon candidat...).
Tu parles de la France de M. Hamon, ou de l'Indonésie, un pays réel ?
Parce que là-bas, 80 millions de motos sans conducteur, ça va pas bien
marcher.
https://www.quora.com/How-many-motorbikes-are-there-in-Indonesia.
Et comme les routes sont étroites, les futures bagnoles sans
conducteur auront de la peine à se croiser.
Ce sont des rêves de socialos qui passent leurs vies en réunions de
cellules pour refaire un monde qui n'existe pas en dehors de Paris 20ème.
Comme Madelin ? Un sacré socialo-gauchiste bien connu !
https://www.latribune.fr/opinions/20110502trib000618997/un-revenu-minimum-garanti-pour-tous-.html
On 04/03/18 12:31, GhostRaider wrote:On verra bien.
https://www.youtube.com/watch?v=xzkWTcDZFH0
Héhé, tu vas dans mon sens. Jamais un camion autonome ne fera ça :)
On 04/03/18 12:31, GhostRaider wrote:
On verra bien.
https://www.youtube.com/watch?v=xzkWTcDZFH0
Héhé, tu vas dans mon sens. Jamais un camion autonome ne fera ça :)
On 04/03/18 12:31, GhostRaider wrote:On verra bien.
https://www.youtube.com/watch?v=xzkWTcDZFH0
Héhé, tu vas dans mon sens. Jamais un camion autonome ne fera ça :)
Le 02/04/2018 à 20:01, GhostRaider a écrit :On connait tous des exemples de femmes divorcées qui refusent la
pension alimentaire, de personnes qui refusent l'aumône du chômage
ou du RSA et qui en sont fiers.
Il faut être idiot. Le chômage n'est pas une aumône, c'est une
assurance pour laquelle on cotise. Par fierté il faut aussi refuser
d'être remboursé par l'assurance si ta maison brûle ?
Pas être idiot, ne pas vouloir être une charge, c'est judéo-chrétien
va nous dire SLD.
Tu n'as pas répondu : si ta maison brûle tu refuses d'être remboursé par
l'assurance, histoire de ne pas être une charge ?
Et je connais quelqu'un de très bien, cadre supérieur commercial avec
une belle carrière dans une grosse PME, qui s'est retrouvé le bec
dans l'eau à plus de 50 ans quand sa boîte a fait faillite.
Impossible de se recaser. Plusieurs tentatives de monter une activité
indépendante. Bref, le genre qui se bouge, pas le genre à se
morfondre. Mais quand il a eu épuisé ses droits au chômage, il s'est
assis sur sa fierté et a pris le RSA. Je vais lui dire qu'il est
déresponsabilisé, ça va lui faire plaisir et ça va le motiver à enfin
les doigts du cul, non mais...
Il n'a pas tort, il faut manger, je n'ai pas dit le contraire,
Tu as dit que l'aide déresponsabilisait ceux qui la recevaient. C'est le
cas ici ?
mais d'autres ne le font pas et ils n'ont pas tort non plus.
Le 02/04/2018 à 20:01, GhostRaider a écrit :
On connait tous des exemples de femmes divorcées qui refusent la
pension alimentaire, de personnes qui refusent l'aumône du chômage
ou du RSA et qui en sont fiers.
Il faut être idiot. Le chômage n'est pas une aumône, c'est une
assurance pour laquelle on cotise. Par fierté il faut aussi refuser
d'être remboursé par l'assurance si ta maison brûle ?
Pas être idiot, ne pas vouloir être une charge, c'est judéo-chrétien
va nous dire SLD.
Tu n'as pas répondu : si ta maison brûle tu refuses d'être remboursé par
l'assurance, histoire de ne pas être une charge ?
Et je connais quelqu'un de très bien, cadre supérieur commercial avec
une belle carrière dans une grosse PME, qui s'est retrouvé le bec
dans l'eau à plus de 50 ans quand sa boîte a fait faillite.
Impossible de se recaser. Plusieurs tentatives de monter une activité
indépendante. Bref, le genre qui se bouge, pas le genre à se
morfondre. Mais quand il a eu épuisé ses droits au chômage, il s'est
assis sur sa fierté et a pris le RSA. Je vais lui dire qu'il est
déresponsabilisé, ça va lui faire plaisir et ça va le motiver à enfin
les doigts du cul, non mais...
Il n'a pas tort, il faut manger, je n'ai pas dit le contraire,
Tu as dit que l'aide déresponsabilisait ceux qui la recevaient. C'est le
cas ici ?
mais d'autres ne le font pas et ils n'ont pas tort non plus.
Le 02/04/2018 à 20:01, GhostRaider a écrit :On connait tous des exemples de femmes divorcées qui refusent la
pension alimentaire, de personnes qui refusent l'aumône du chômage
ou du RSA et qui en sont fiers.
Il faut être idiot. Le chômage n'est pas une aumône, c'est une
assurance pour laquelle on cotise. Par fierté il faut aussi refuser
d'être remboursé par l'assurance si ta maison brûle ?
Pas être idiot, ne pas vouloir être une charge, c'est judéo-chrétien
va nous dire SLD.
Tu n'as pas répondu : si ta maison brûle tu refuses d'être remboursé par
l'assurance, histoire de ne pas être une charge ?
Et je connais quelqu'un de très bien, cadre supérieur commercial avec
une belle carrière dans une grosse PME, qui s'est retrouvé le bec
dans l'eau à plus de 50 ans quand sa boîte a fait faillite.
Impossible de se recaser. Plusieurs tentatives de monter une activité
indépendante. Bref, le genre qui se bouge, pas le genre à se
morfondre. Mais quand il a eu épuisé ses droits au chômage, il s'est
assis sur sa fierté et a pris le RSA. Je vais lui dire qu'il est
déresponsabilisé, ça va lui faire plaisir et ça va le motiver à enfin
les doigts du cul, non mais...
Il n'a pas tort, il faut manger, je n'ai pas dit le contraire,
Tu as dit que l'aide déresponsabilisait ceux qui la recevaient. C'est le
cas ici ?
mais d'autres ne le font pas et ils n'ont pas tort non plus.
Le 02/04/2018 23:32, pehache a écrit :Tu n'as pas répondu : si ta maison brûle tu refuses d'être remboursé par
l'assurance, histoire de ne pas être une charge ?
ou bien le Nikon en panne sous garantie.... achat d'un neuf à ses frais
pour pas demander l'aumone ?
Le 02/04/2018 23:32, pehache a écrit :
Tu n'as pas répondu : si ta maison brûle tu refuses d'être remboursé par
l'assurance, histoire de ne pas être une charge ?
ou bien le Nikon en panne sous garantie.... achat d'un neuf à ses frais
pour pas demander l'aumone ?
Le 02/04/2018 23:32, pehache a écrit :Tu n'as pas répondu : si ta maison brûle tu refuses d'être remboursé par
l'assurance, histoire de ne pas être une charge ?
ou bien le Nikon en panne sous garantie.... achat d'un neuf à ses frais
pour pas demander l'aumone ?