Il y a un argument intéressant sur les raison du positionnement des
gros (hors Microsoft) sur le créneau du libre : le fait qu'ils se
positionnent sur les services, outre l'argument toujours ressassé que
c'est pour faire suer Microsoft.
Je suis également assez d'accord avec :
Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles acquièrent
une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels alors
qu'elles sont bien plus dépendantes des sociétés de services.
Une fois qu'un fournisseur de services aura entièrement organisé avec
ses outils maisons les ressources informatiques d'une administration,
la dépendance pourrait bien ne pas être beaucoup moins problématique
que la dépendance à l'égard d'un éditeur quand on utilise un logiciel
propriétaire.
Sinon dommage qu'il y ait des citations sans référence.
Il y a un argument intéressant sur les raison du positionnement des gros (hors Microsoft) sur le créneau du libre :
Vous avez lu des arguments quelque part ? Cet article ne contient que des assertions. Non, des âneries proférées par un guignol qui n'y connais que pouic mais qui ne peut s'empêcher de se poser en guide providentiel.
Je suis également assez d'accord avec :
Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles acquièrent une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels alors qu'elles sont bien plus dépendantes des sociétés de services.
Ce que je trouve amusant, c'est le parcours et le fond de commerce du technocrate qui a écrit ça.
Il y a un argument intéressant sur les raison du positionnement des
gros (hors Microsoft) sur le créneau du libre :
Vous avez lu des arguments quelque part ?
Cet article ne contient que des assertions. Non, des âneries proférées par
un guignol qui n'y connais que pouic mais qui ne peut s'empêcher de se
poser en guide providentiel.
Je suis également assez d'accord avec :
Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles acquièrent
une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels alors
qu'elles sont bien plus dépendantes des sociétés de services.
Ce que je trouve amusant, c'est le parcours et le fond de commerce du
technocrate qui a écrit ça.
Il y a un argument intéressant sur les raison du positionnement des gros (hors Microsoft) sur le créneau du libre :
Vous avez lu des arguments quelque part ? Cet article ne contient que des assertions. Non, des âneries proférées par un guignol qui n'y connais que pouic mais qui ne peut s'empêcher de se poser en guide providentiel.
Je suis également assez d'accord avec :
Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles acquièrent une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels alors qu'elles sont bien plus dépendantes des sociétés de services.
Ce que je trouve amusant, c'est le parcours et le fond de commerce du technocrate qui a écrit ça.
Ce qui est pas mal aussi ce sont les commentaires des lecteurs. Un concentré de toute la panoplie de conneries usuelles, depuis les spéculations sur des raisons inavouables profondes profondes de cet article (qui ont toutes à voir avec le fait que l'auteur ou le journal est à la solde de l'ennemi) :
Monsieur J.D.Giuliani apparaît avoir été payé par Microsoft selon l'aveux même de son représentant en France : http://www.mag-securs.com/article.php3?id_article4
La redaction de liberation a accepte de publier suite pour des raisons que je ne tiens pas a connaitre...
Les enfumages classiques :
Il serait aussi intelligent de dire que les logiciels libres sont fondés sur le respect le plus total du droit d'auteur.
Premièrement, tout au long de votre article, vous maintenez dur comme fer qu'un logiciel dit libre est un logiciel gratuit. Cette déclaration est fausse, et vous le sauriez si vous aviez un jour pris quelques minutes pour lire la licence GNU/GPL 2.
Le contradicteur est nécessairement disqualifiée parce que forcément incompétent :
savez vous au moins differencier un OS d'un logiciel de gestion de clientele par exemple)
Si vous aviez pris la peine de lire le premier RFC venu sur IP, vous auriez su que rien ni personne ne pourra empêcher ce mouvement. Pardon d'employer des termes qui auraient dû vous être connus. C'est la technique qui veut ça.
La condescendance morveuses à toutes les lignes
Vous seriez journaliste, on aurait pu vous licencier pour un article pareil, mais vous etes un politicien
Enfin l'insulte suprème : être abonné à Wanadoo ! Oh, le naze !
Mais sans doute cette fine distinction a-t-elle échappé à votre comité Théodule de gérontocrates abonnés à Wanadoo.
Ce qui est pas mal aussi ce sont les commentaires des lecteurs. Un
concentré de toute la panoplie de conneries usuelles, depuis les
spéculations sur des raisons inavouables profondes profondes de cet
article (qui ont toutes à voir avec le fait que l'auteur ou le journal
est à la solde de l'ennemi) :
Monsieur J.D.Giuliani apparaît avoir été payé par Microsoft selon
l'aveux même de son représentant en France :
http://www.mag-securs.com/article.php3?id_article4
La redaction de liberation a accepte de publier suite pour des
raisons que je ne tiens pas a connaitre...
Les enfumages classiques :
Il serait aussi intelligent de dire que les logiciels libres sont
fondés sur le respect le plus total du droit d'auteur.
Premièrement, tout au long de votre article, vous maintenez dur
comme fer qu'un logiciel dit libre est un logiciel gratuit. Cette
déclaration est fausse, et vous le sauriez si vous aviez un jour
pris quelques minutes pour lire la licence GNU/GPL 2.
Le contradicteur est nécessairement disqualifiée parce que forcément
incompétent :
savez vous au moins differencier un OS d'un logiciel de gestion de
clientele par exemple)
Si vous aviez pris la peine de lire le premier RFC venu sur IP,
vous auriez su que rien ni personne ne pourra empêcher ce
mouvement. Pardon d'employer des termes qui auraient dû vous être
connus. C'est la technique qui veut ça.
La condescendance morveuses à toutes les lignes
Vous seriez journaliste, on aurait pu vous licencier pour un
article pareil, mais vous etes un politicien
Enfin l'insulte suprème : être abonné à Wanadoo ! Oh, le naze !
Mais sans doute cette fine distinction a-t-elle échappé à votre
comité Théodule de gérontocrates abonnés à Wanadoo.
Ce qui est pas mal aussi ce sont les commentaires des lecteurs. Un concentré de toute la panoplie de conneries usuelles, depuis les spéculations sur des raisons inavouables profondes profondes de cet article (qui ont toutes à voir avec le fait que l'auteur ou le journal est à la solde de l'ennemi) :
Monsieur J.D.Giuliani apparaît avoir été payé par Microsoft selon l'aveux même de son représentant en France : http://www.mag-securs.com/article.php3?id_article4
La redaction de liberation a accepte de publier suite pour des raisons que je ne tiens pas a connaitre...
Les enfumages classiques :
Il serait aussi intelligent de dire que les logiciels libres sont fondés sur le respect le plus total du droit d'auteur.
Premièrement, tout au long de votre article, vous maintenez dur comme fer qu'un logiciel dit libre est un logiciel gratuit. Cette déclaration est fausse, et vous le sauriez si vous aviez un jour pris quelques minutes pour lire la licence GNU/GPL 2.
Le contradicteur est nécessairement disqualifiée parce que forcément incompétent :
savez vous au moins differencier un OS d'un logiciel de gestion de clientele par exemple)
Si vous aviez pris la peine de lire le premier RFC venu sur IP, vous auriez su que rien ni personne ne pourra empêcher ce mouvement. Pardon d'employer des termes qui auraient dû vous être connus. C'est la technique qui veut ça.
La condescendance morveuses à toutes les lignes
Vous seriez journaliste, on aurait pu vous licencier pour un article pareil, mais vous etes un politicien
Enfin l'insulte suprème : être abonné à Wanadoo ! Oh, le naze !
Mais sans doute cette fine distinction a-t-elle échappé à votre comité Théodule de gérontocrates abonnés à Wanadoo.
Il y a un argument intéressant sur les raison du positionnement des gros (hors Microsoft) sur le créneau du libre :
Vous avez lu des arguments quelque part ? Cet article ne contient que des assertions. Non, des âneries proférées par un guignol qui n'y connais que pouic mais qui ne peut s'empêcher de se poser en guide providentiel.
Difficile de discuter avec quelqu'un qui refuse de voir des arguments dans le discours adverse...
Je suis également assez d'accord avec :
Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles acquièrent une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels alors qu'elles sont bien plus dépendantes des sociétés de services.
Ce que je trouve amusant, c'est le parcours et le fond de commerce du technocrate qui a écrit ça.
Oui, il paraît d'ailleurs qu'il est payé par Microsoft et que c'est un politicien véreux.
Il y a un argument intéressant sur les raison du positionnement des
gros (hors Microsoft) sur le créneau du libre :
Vous avez lu des arguments quelque part ? Cet article ne contient
que des assertions. Non, des âneries proférées par un guignol qui
n'y connais que pouic mais qui ne peut s'empêcher de se poser en
guide providentiel.
Difficile de discuter avec quelqu'un qui refuse de voir des arguments
dans le discours adverse...
Je suis également assez d'accord avec :
Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles acquièrent
une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels alors
qu'elles sont bien plus dépendantes des sociétés de services.
Ce que je trouve amusant, c'est le parcours et le fond de commerce
du technocrate qui a écrit ça.
Oui, il paraît d'ailleurs qu'il est payé par Microsoft et que c'est un
politicien véreux.
Il y a un argument intéressant sur les raison du positionnement des gros (hors Microsoft) sur le créneau du libre :
Vous avez lu des arguments quelque part ? Cet article ne contient que des assertions. Non, des âneries proférées par un guignol qui n'y connais que pouic mais qui ne peut s'empêcher de se poser en guide providentiel.
Difficile de discuter avec quelqu'un qui refuse de voir des arguments dans le discours adverse...
Je suis également assez d'accord avec :
Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles acquièrent une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels alors qu'elles sont bien plus dépendantes des sociétés de services.
Ce que je trouve amusant, c'est le parcours et le fond de commerce du technocrate qui a écrit ça.
Oui, il paraît d'ailleurs qu'il est payé par Microsoft et que c'est un politicien véreux.
David MAREC
D'après SL:
Difficile de discuter avec quelqu'un qui refuse de voir des arguments dans le discours adverse...
Difficile de discuter avec quelqu'un qui confond assertions et arguments.
Ce que je trouve amusant, c'est le parcours et le fond de commerce du technocrate qui a écrit ça.
Oui, il paraît d'ailleurs qu'il est payé par Microsoft et que c'est un politicien véreux.
Ce n'est pas ce que j'ai écrit; mais, vous avez déjà montré que vous ne saviez pas lire.
-- www.diablotins.org
D'après SL:
Difficile de discuter avec quelqu'un qui refuse de voir des arguments
dans le discours adverse...
Difficile de discuter avec quelqu'un qui confond assertions et arguments.
Ce que je trouve amusant, c'est le parcours et le fond de commerce
du technocrate qui a écrit ça.
Oui, il paraît d'ailleurs qu'il est payé par Microsoft et que c'est un
politicien véreux.
Ce n'est pas ce que j'ai écrit; mais, vous avez déjà montré que vous ne
saviez pas lire.
Difficile de discuter avec quelqu'un qui confond assertions et arguments.
Mais oui, votre position est inexpugnable,
Ma position sur quel sujet ?
C'est tout son intérêt.
Et les arguments, vous les avez enfin trouvés ?
Ce n'est pas ce que j'ai écrit; mais, vous avez déjà montré que vous ne saviez pas lire.
Diable !
Fichtre.
-- <.>
SL
D'après SL:
Difficile de discuter avec quelqu'un qui confond assertions et arguments.
Mais oui, votre position est inexpugnable,
Ma position sur quel sujet ?
A propos de l'article, peut être ? Je parlais de votre position de principe comme quoi de toute façon l'article ne contient pas d'"argument".
Par ailleurs les assertions peuvent être argumentées, notez bien !
C'est tout son intérêt. Et les arguments, vous les avez enfin trouvés ?
Moi ? Mais oui, je les ai trouvés ! C'est vous qui ne les voyez pas. J'en ai même cité un dans le premier mail. Notez bien que je le trouve aussi très peu nuancé, et que je n'ai pas dit que j'étais d'accord sur tout (en fait, j'aurais du mal à l'être, je n'ai aucune idée des conséquences économiques).
Ce n'est pas ce que j'ai écrit; mais, vous avez déjà montré que vous ne saviez pas lire.
Diable !
Fichtre.
:-)
On peut arrêter là ?
D'après SL:
Difficile de discuter avec quelqu'un qui confond assertions et
arguments.
Mais oui, votre position est inexpugnable,
Ma position sur quel sujet ?
A propos de l'article, peut être ? Je parlais de votre position de
principe comme quoi de toute façon l'article ne contient pas
d'"argument".
Par ailleurs les assertions peuvent être argumentées, notez bien !
C'est tout son intérêt.
Et les arguments, vous les avez enfin trouvés ?
Moi ? Mais oui, je les ai trouvés ! C'est vous qui ne les voyez
pas. J'en ai même cité un dans le premier mail. Notez bien que je le
trouve aussi très peu nuancé, et que je n'ai pas dit que j'étais
d'accord sur tout (en fait, j'aurais du mal à l'être, je n'ai aucune
idée des conséquences économiques).
Ce n'est pas ce que j'ai écrit; mais, vous avez déjà montré que vous
ne saviez pas lire.
Difficile de discuter avec quelqu'un qui confond assertions et arguments.
Mais oui, votre position est inexpugnable,
Ma position sur quel sujet ?
A propos de l'article, peut être ? Je parlais de votre position de principe comme quoi de toute façon l'article ne contient pas d'"argument".
Par ailleurs les assertions peuvent être argumentées, notez bien !
C'est tout son intérêt. Et les arguments, vous les avez enfin trouvés ?
Moi ? Mais oui, je les ai trouvés ! C'est vous qui ne les voyez pas. J'en ai même cité un dans le premier mail. Notez bien que je le trouve aussi très peu nuancé, et que je n'ai pas dit que j'étais d'accord sur tout (en fait, j'aurais du mal à l'être, je n'ai aucune idée des conséquences économiques).
Ce n'est pas ce que j'ai écrit; mais, vous avez déjà montré que vous ne saviez pas lire.
Diable !
Fichtre.
:-)
On peut arrêter là ?
Khanh-Dang
SL wrote:
Je suis également assez d'accord avec :
Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles acquièrent une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels alors qu'elles sont bien plus dépendantes des sociétés de services.
Puisque tu es d'accord, tu pourras nous expliquer en quoi il est naïf de croire que les administrations sont dépendantes des éditeurs de logiciel (c'est bien ce que signifie grammaticalement la phrase).
Tu pourras aussi nous montrer dans quelles proportions une entreprise utilisant du logiciel libre sera « bien plus » dépendantes des sociétés de services que des éditeurs de logiciel. Puisque je suppose que tu auras du mal à expliciter ces proportions, tu conviendras que la thèse de l'auteur de l'article se résume en « une entreprise dépendante d'une autre entreprise n'est pas indépendante ». Bravo.
SL <nospam@nospam.com> wrote:
Je suis également assez d'accord avec :
Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles acquièrent
une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels alors
qu'elles sont bien plus dépendantes des sociétés de services.
Puisque tu es d'accord, tu pourras nous expliquer en quoi il est naïf de
croire que les administrations sont dépendantes des éditeurs de logiciel
(c'est bien ce que signifie grammaticalement la phrase).
Tu pourras aussi nous montrer dans quelles proportions une entreprise
utilisant du logiciel libre sera « bien plus » dépendantes des sociétés
de services que des éditeurs de logiciel. Puisque je suppose que tu
auras du mal à expliciter ces proportions, tu conviendras que la thèse
de l'auteur de l'article se résume en « une entreprise dépendante d'une
autre entreprise n'est pas indépendante ». Bravo.
Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles acquièrent une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels alors qu'elles sont bien plus dépendantes des sociétés de services.
Puisque tu es d'accord, tu pourras nous expliquer en quoi il est naïf de croire que les administrations sont dépendantes des éditeurs de logiciel (c'est bien ce que signifie grammaticalement la phrase).
Tu pourras aussi nous montrer dans quelles proportions une entreprise utilisant du logiciel libre sera « bien plus » dépendantes des sociétés de services que des éditeurs de logiciel. Puisque je suppose que tu auras du mal à expliciter ces proportions, tu conviendras que la thèse de l'auteur de l'article se résume en « une entreprise dépendante d'une autre entreprise n'est pas indépendante ». Bravo.
SL
SL wrote:
Je suis également assez d'accord avec :
Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles acquièrent une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels alors qu'elles sont bien plus dépendantes des sociétés de services.
Puisque tu es d'accord, tu pourras nous expliquer en quoi il est naïf de croire que les administrations sont dépendantes des éditeurs de logiciel (c'est bien ce que signifie grammaticalement la phrase).
Il me semble que la phrase signifie qu'il est naïf de croire que les administrations acquière une indépendance en [etc.] et non pas qu'il est naïf de croire qu'elles sont dépendantes. Le fait que les entreprises soient dépendantes des éditeurs est un présupposé dans cette phrase (on ne sait pas si c'est un présupposé de ceux qui sont naïfs, ou un présupposé repris à son compte par l'auteur lui-même). Ca a même un nom dans les milieux autorisés, ça s'appelle de la "prédication seconde".
Tu pourras aussi nous montrer dans quelles proportions une entreprise utilisant du logiciel libre sera « bien plus » dépendantes des sociétés de services que des éditeurs de logiciel.
Personnellement j'ai écrit "pourrait bien ne pas être beaucoup moins problématique", juste après avoir cité la phrase. C'est une pure supposition, mais je ne vois pas pourquoi en effet la question ne se pose pas, quand on parle de marché captif.
Puisque je suppose que tu auras du mal à expliciter ces proportions, tu conviendras que la thèse de l'auteur de l'article se résume en « une entreprise dépendante d'une autre entreprise n'est pas indépendante ». Bravo.
Et bien non, je n'en convient pas du tout :-)
SL <nospam@nospam.com> wrote:
Je suis également assez d'accord avec :
Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles acquièrent
une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels alors
qu'elles sont bien plus dépendantes des sociétés de services.
Puisque tu es d'accord, tu pourras nous expliquer en quoi il est
naïf de croire que les administrations sont dépendantes des éditeurs
de logiciel (c'est bien ce que signifie grammaticalement la phrase).
Il me semble que la phrase signifie qu'il est naïf de croire que les
administrations acquière une indépendance en [etc.] et non pas qu'il
est naïf de croire qu'elles sont dépendantes. Le fait que les
entreprises soient dépendantes des éditeurs est un présupposé dans
cette phrase (on ne sait pas si c'est un présupposé de ceux qui sont
naïfs, ou un présupposé repris à son compte par l'auteur lui-même). Ca
a même un nom dans les milieux autorisés, ça s'appelle de la
"prédication seconde".
Tu pourras aussi nous montrer dans quelles proportions une
entreprise utilisant du logiciel libre sera « bien plus »
dépendantes des sociétés de services que des éditeurs de logiciel.
Personnellement j'ai écrit "pourrait bien ne pas être beaucoup moins
problématique", juste après avoir cité la phrase. C'est une pure
supposition, mais je ne vois pas pourquoi en effet la question ne se
pose pas, quand on parle de marché captif.
Puisque je suppose que tu auras du mal à expliciter ces proportions,
tu conviendras que la thèse de l'auteur de l'article se résume en «
une entreprise dépendante d'une autre entreprise n'est pas
indépendante ». Bravo.
Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles acquièrent une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels alors qu'elles sont bien plus dépendantes des sociétés de services.
Puisque tu es d'accord, tu pourras nous expliquer en quoi il est naïf de croire que les administrations sont dépendantes des éditeurs de logiciel (c'est bien ce que signifie grammaticalement la phrase).
Il me semble que la phrase signifie qu'il est naïf de croire que les administrations acquière une indépendance en [etc.] et non pas qu'il est naïf de croire qu'elles sont dépendantes. Le fait que les entreprises soient dépendantes des éditeurs est un présupposé dans cette phrase (on ne sait pas si c'est un présupposé de ceux qui sont naïfs, ou un présupposé repris à son compte par l'auteur lui-même). Ca a même un nom dans les milieux autorisés, ça s'appelle de la "prédication seconde".
Tu pourras aussi nous montrer dans quelles proportions une entreprise utilisant du logiciel libre sera « bien plus » dépendantes des sociétés de services que des éditeurs de logiciel.
Personnellement j'ai écrit "pourrait bien ne pas être beaucoup moins problématique", juste après avoir cité la phrase. C'est une pure supposition, mais je ne vois pas pourquoi en effet la question ne se pose pas, quand on parle de marché captif.
Puisque je suppose que tu auras du mal à expliciter ces proportions, tu conviendras que la thèse de l'auteur de l'article se résume en « une entreprise dépendante d'une autre entreprise n'est pas indépendante ». Bravo.
Et bien non, je n'en convient pas du tout :-)
David MAREC
D'après SL:
Difficile de discuter avec quelqu'un qui confond assertions et arguments.
Mais oui, votre position est inexpugnable,
Ma position sur quel sujet ?
A propos de l'article, peut être ? Je parlais de votre position de principe comme quoi de toute façon l'article ne contient pas d'"argument".
Position de principe ?
Cet article, je l'ai lu hier et il ne contient pas d'arguments. Pas le moindre. Pour une raison simple : le technocrate qui l'a écrit ne connais rien ni à l'industrie du logiciel ni à celui des services informatiques.
Par ailleurs les assertions peuvent être argumentées, notez bien !
Ce n'est pas le cas dans cet article.
Et les arguments, vous les avez enfin trouvés ?
Moi ? Mais oui, je les ai trouvés ! C'est vous qui ne les voyez pas. J'en ai même cité un dans le premier mail.
C'est une plaisanterie ? «Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles acquièrent une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels alors qu'elles sont bien plus dépendantes des sociétés de services.»
Où avez vous vu un argument qui explique pourquoi les administrations sont plus dépendentes des société de service que des éditeurs ?
Tout ce que je constate, c'est qu'elles sont trop promptes à payer les services de consultants de son espèce, qui n'a jamais foutu les pieds dans quelque industrie que ce soit.
-- <.>
D'après SL:
Difficile de discuter avec quelqu'un qui confond assertions et
arguments.
Mais oui, votre position est inexpugnable,
Ma position sur quel sujet ?
A propos de l'article, peut être ? Je parlais de votre position de
principe comme quoi de toute façon l'article ne contient pas
d'"argument".
Position de principe ?
Cet article, je l'ai lu hier et il ne contient pas d'arguments. Pas le
moindre.
Pour une raison simple : le technocrate qui l'a écrit ne connais rien ni à
l'industrie du logiciel ni à celui des services informatiques.
Par ailleurs les assertions peuvent être argumentées, notez bien !
Ce n'est pas le cas dans cet article.
Et les arguments, vous les avez enfin trouvés ?
Moi ? Mais oui, je les ai trouvés ! C'est vous qui ne les voyez
pas. J'en ai même cité un dans le premier mail.
C'est une plaisanterie ?
«Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles acquièrent
une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels alors
qu'elles sont bien plus dépendantes des sociétés de services.»
Où avez vous vu un argument qui explique pourquoi les administrations sont
plus dépendentes des société de service que des éditeurs ?
Tout ce que je constate, c'est qu'elles sont trop promptes à payer les
services de consultants de son espèce, qui n'a jamais foutu les pieds dans
quelque industrie que ce soit.
Difficile de discuter avec quelqu'un qui confond assertions et arguments.
Mais oui, votre position est inexpugnable,
Ma position sur quel sujet ?
A propos de l'article, peut être ? Je parlais de votre position de principe comme quoi de toute façon l'article ne contient pas d'"argument".
Position de principe ?
Cet article, je l'ai lu hier et il ne contient pas d'arguments. Pas le moindre. Pour une raison simple : le technocrate qui l'a écrit ne connais rien ni à l'industrie du logiciel ni à celui des services informatiques.
Par ailleurs les assertions peuvent être argumentées, notez bien !
Ce n'est pas le cas dans cet article.
Et les arguments, vous les avez enfin trouvés ?
Moi ? Mais oui, je les ai trouvés ! C'est vous qui ne les voyez pas. J'en ai même cité un dans le premier mail.
C'est une plaisanterie ? «Il serait naïf que les administrations pensent qu'elles acquièrent une indépendance à l'égard des éditeurs de logiciels alors qu'elles sont bien plus dépendantes des sociétés de services.»
Où avez vous vu un argument qui explique pourquoi les administrations sont plus dépendentes des société de service que des éditeurs ?
Tout ce que je constate, c'est qu'elles sont trop promptes à payer les services de consultants de son espèce, qui n'a jamais foutu les pieds dans quelque industrie que ce soit.