Le 23-09-2012, Yliur a écrit :
>
> Disons que c'est une collection d'intuitions et de suppositions qui
> correspondent plus ou moins aux faits observés. L'important dans un
> modèle c'est qu'il explique bien ce qu'on observe et qu'il permette
> de faire des déductions sur ce qui va se passer (pour des
> utilisations concrètes). On ne sait pas forcément s'il est la
> réalité. Peu importe que la gravitation soit une force qui
> s'exerce à distance, une déformation de l'espace ou quoi que ce
> soit qu'on n'a pas imaginé, tant qu'on a un modèle qui permet de
> lancer des satellites en orbite.
Cette vision un poil utilitariste de la science est un poil triste.
Ne me dis pas que tu fais partie de cette sorte de pénible qui a
développé son goût pour la science comme un palliatif à leur manque
d'imagination, un dérivatif froid et borné de calculs...
Le 23-09-2012, Yliur <yliur@free.fr> a écrit :
>
> Disons que c'est une collection d'intuitions et de suppositions qui
> correspondent plus ou moins aux faits observés. L'important dans un
> modèle c'est qu'il explique bien ce qu'on observe et qu'il permette
> de faire des déductions sur ce qui va se passer (pour des
> utilisations concrètes). On ne sait pas forcément s'il est la
> réalité. Peu importe que la gravitation soit une force qui
> s'exerce à distance, une déformation de l'espace ou quoi que ce
> soit qu'on n'a pas imaginé, tant qu'on a un modèle qui permet de
> lancer des satellites en orbite.
Cette vision un poil utilitariste de la science est un poil triste.
Ne me dis pas que tu fais partie de cette sorte de pénible qui a
développé son goût pour la science comme un palliatif à leur manque
d'imagination, un dérivatif froid et borné de calculs...
Le 23-09-2012, Yliur a écrit :
>
> Disons que c'est une collection d'intuitions et de suppositions qui
> correspondent plus ou moins aux faits observés. L'important dans un
> modèle c'est qu'il explique bien ce qu'on observe et qu'il permette
> de faire des déductions sur ce qui va se passer (pour des
> utilisations concrètes). On ne sait pas forcément s'il est la
> réalité. Peu importe que la gravitation soit une force qui
> s'exerce à distance, une déformation de l'espace ou quoi que ce
> soit qu'on n'a pas imaginé, tant qu'on a un modèle qui permet de
> lancer des satellites en orbite.
Cette vision un poil utilitariste de la science est un poil triste.
Ne me dis pas que tu fais partie de cette sorte de pénible qui a
développé son goût pour la science comme un palliatif à leur manque
d'imagination, un dérivatif froid et borné de calculs...
Ça voudrait dire qu'il comporte des géodésiques fermées de type espace,
sur lesquelles existe donc un référentiel privilégié (celui où leur
longueur est minimale).
Géodésique toi-même. J'ai rien compris, mais peut-être... La théorie de
l'espace fini mais sans limite n'est pas de moi. Et l'image de la sphère
c'est pour avoir une analogie dans un espace observable par les humain.
Ça voudrait dire qu'il comporte des géodésiques fermées de type espace,
sur lesquelles existe donc un référentiel privilégié (celui où leur
longueur est minimale).
Géodésique toi-même. J'ai rien compris, mais peut-être... La théorie de
l'espace fini mais sans limite n'est pas de moi. Et l'image de la sphère
c'est pour avoir une analogie dans un espace observable par les humain.
Ça voudrait dire qu'il comporte des géodésiques fermées de type espace,
sur lesquelles existe donc un référentiel privilégié (celui où leur
longueur est minimale).
Géodésique toi-même. J'ai rien compris, mais peut-être... La théorie de
l'espace fini mais sans limite n'est pas de moi. Et l'image de la sphère
c'est pour avoir une analogie dans un espace observable par les humain.
infinitude potentielle ou en acte?
Tu parles de ses connaissances ou de ses capacités intellectuelles ?
infinitude potentielle ou en acte?
Tu parles de ses connaissances ou de ses capacités intellectuelles ?
infinitude potentielle ou en acte?
Tu parles de ses connaissances ou de ses capacités intellectuelles ?
«Je n'ignore pas que l'agressivité humaine se manifeste également
sous d'autres formes et dans d'autres conditions (par exemple la
guerre civile - autrefois causée par des mobiles religieux,
aujourd'hui par des mobiles sociaux - la persécution des minorité
nationales)»
Albert Einstein
Ne pas débattre avec le premier venu, mais uniquement avec les gens que
l'on connaît et dont on sait qu'ils sont suffisamment raisonnables pour
ne pas débiter des absurdités et se couvrir de ridicule. Et dans le but
de s'appuyer sur des arguments fondés et non sur des sentences sans
appel ; et pour écouter les raisons de l'autre et s'y rendre ; des gens
dont on sait enfin qu'ils font grand cas de la vérité, qu'ils aiment
entendre de bonnes raisons, même de la bouche de leur adversaire, et
qu'ils ont suffisamment le sens de l'équité pour pouvoir supporter
d'avoir tort quand la vérité est dans l'autre camp. Il en résulte que,
sur cent personnes, il s'en trouve à peine une qui soit digne qu'on
discute avec elle. Quant aux autres, qu'on les laisse dire ce qu'elles
veulent car c'est un droit des gens que d'extravaguer, et que l'on songe
aux paroles de Voltaire : « La paix vaut encore mieux que la vérité ».
Toutefois, en tant que joute de deux esprits, la controverse est souvent
bénéfique aux deux parties car elle leur permet de rectifier leurs
propres idées et de se faire aussi de nouvelles opinions. Seulement il
faut que les deux adversaires soient à peu près du même niveau en savoir
et en intelligence. Si le savoir manque à l'un, il ne comprend pas tout
et n'est pas au niveau. Si c'est l'intelligence qui lui manque,
l'irritation qu'il en concevra l'incitera à recourir à la mauvaise foi,
à la ruse et à la grossièreté.
«Je n'ignore pas que l'agressivité humaine se manifeste également
sous d'autres formes et dans d'autres conditions (par exemple la
guerre civile - autrefois causée par des mobiles religieux,
aujourd'hui par des mobiles sociaux - la persécution des minorité
nationales)»
Albert Einstein
Ne pas débattre avec le premier venu, mais uniquement avec les gens que
l'on connaît et dont on sait qu'ils sont suffisamment raisonnables pour
ne pas débiter des absurdités et se couvrir de ridicule. Et dans le but
de s'appuyer sur des arguments fondés et non sur des sentences sans
appel ; et pour écouter les raisons de l'autre et s'y rendre ; des gens
dont on sait enfin qu'ils font grand cas de la vérité, qu'ils aiment
entendre de bonnes raisons, même de la bouche de leur adversaire, et
qu'ils ont suffisamment le sens de l'équité pour pouvoir supporter
d'avoir tort quand la vérité est dans l'autre camp. Il en résulte que,
sur cent personnes, il s'en trouve à peine une qui soit digne qu'on
discute avec elle. Quant aux autres, qu'on les laisse dire ce qu'elles
veulent car c'est un droit des gens que d'extravaguer, et que l'on songe
aux paroles de Voltaire : « La paix vaut encore mieux que la vérité ».
Toutefois, en tant que joute de deux esprits, la controverse est souvent
bénéfique aux deux parties car elle leur permet de rectifier leurs
propres idées et de se faire aussi de nouvelles opinions. Seulement il
faut que les deux adversaires soient à peu près du même niveau en savoir
et en intelligence. Si le savoir manque à l'un, il ne comprend pas tout
et n'est pas au niveau. Si c'est l'intelligence qui lui manque,
l'irritation qu'il en concevra l'incitera à recourir à la mauvaise foi,
à la ruse et à la grossièreté.
«Je n'ignore pas que l'agressivité humaine se manifeste également
sous d'autres formes et dans d'autres conditions (par exemple la
guerre civile - autrefois causée par des mobiles religieux,
aujourd'hui par des mobiles sociaux - la persécution des minorité
nationales)»
Albert Einstein
Ne pas débattre avec le premier venu, mais uniquement avec les gens que
l'on connaît et dont on sait qu'ils sont suffisamment raisonnables pour
ne pas débiter des absurdités et se couvrir de ridicule. Et dans le but
de s'appuyer sur des arguments fondés et non sur des sentences sans
appel ; et pour écouter les raisons de l'autre et s'y rendre ; des gens
dont on sait enfin qu'ils font grand cas de la vérité, qu'ils aiment
entendre de bonnes raisons, même de la bouche de leur adversaire, et
qu'ils ont suffisamment le sens de l'équité pour pouvoir supporter
d'avoir tort quand la vérité est dans l'autre camp. Il en résulte que,
sur cent personnes, il s'en trouve à peine une qui soit digne qu'on
discute avec elle. Quant aux autres, qu'on les laisse dire ce qu'elles
veulent car c'est un droit des gens que d'extravaguer, et que l'on songe
aux paroles de Voltaire : « La paix vaut encore mieux que la vérité ».
Toutefois, en tant que joute de deux esprits, la controverse est souvent
bénéfique aux deux parties car elle leur permet de rectifier leurs
propres idées et de se faire aussi de nouvelles opinions. Seulement il
faut que les deux adversaires soient à peu près du même niveau en savoir
et en intelligence. Si le savoir manque à l'un, il ne comprend pas tout
et n'est pas au niveau. Si c'est l'intelligence qui lui manque,
l'irritation qu'il en concevra l'incitera à recourir à la mauvaise foi,
à la ruse et à la grossièreté.
On pourrait sans doute en discuter pendant des heures sans que cela ait
le moindre intérêt vu qu'ici personne n'est spécialiste de la chose,
mais quant à moi il me semble bien que la finitude est beaucoup probable
que l'infinitude en l'état actuel des connaissances.
Sur Usenet les spécialistes ne sont jamais très loin.
Ceci dit pour ma part, je ne vois pas comment l'Univers pourrait être
fini mais ce n'est qu'une intuition.
Mais je n'ai pas l'impression que la physique cosmologique ne soit autre
chose qu'une vague collection d'intuitions et de suppositions plus ou
moins farfelues. On peine déjà à interpréter ce qu'on perçoit alors en
ce qui concerne ce qu'on ne perçoit pas...
Une seule certitude reste : On ne sait _rien_ (par contre on croit
savoir mais c'est un autre débat).
XP + FU2 fr.sci.physique
On pourrait sans doute en discuter pendant des heures sans que cela ait
le moindre intérêt vu qu'ici personne n'est spécialiste de la chose,
mais quant à moi il me semble bien que la finitude est beaucoup probable
que l'infinitude en l'état actuel des connaissances.
Sur Usenet les spécialistes ne sont jamais très loin.
Ceci dit pour ma part, je ne vois pas comment l'Univers pourrait être
fini mais ce n'est qu'une intuition.
Mais je n'ai pas l'impression que la physique cosmologique ne soit autre
chose qu'une vague collection d'intuitions et de suppositions plus ou
moins farfelues. On peine déjà à interpréter ce qu'on perçoit alors en
ce qui concerne ce qu'on ne perçoit pas...
Une seule certitude reste : On ne sait _rien_ (par contre on croit
savoir mais c'est un autre débat).
XP + FU2 fr.sci.physique
On pourrait sans doute en discuter pendant des heures sans que cela ait
le moindre intérêt vu qu'ici personne n'est spécialiste de la chose,
mais quant à moi il me semble bien que la finitude est beaucoup probable
que l'infinitude en l'état actuel des connaissances.
Sur Usenet les spécialistes ne sont jamais très loin.
Ceci dit pour ma part, je ne vois pas comment l'Univers pourrait être
fini mais ce n'est qu'une intuition.
Mais je n'ai pas l'impression que la physique cosmologique ne soit autre
chose qu'une vague collection d'intuitions et de suppositions plus ou
moins farfelues. On peine déjà à interpréter ce qu'on perçoit alors en
ce qui concerne ce qu'on ne perçoit pas...
Une seule certitude reste : On ne sait _rien_ (par contre on croit
savoir mais c'est un autre débat).
XP + FU2 fr.sci.physique
Le Fri, 21 Sep 2012 20:58:58 +0200, Tanguy Briançon a écrit:Moi c'était l'inverse: je ne connaissais que windows (et avant les apple
2e). Puis j'ai découvert le monde unix: et là je me suis dit que je
voulais la même chose le pc que je voulais acheter! Linux a été la
solution!
Pareil pour moi... J'aimais bien windows (mais je préférais les Mac et
les Amigas), puis j'ai découvert IRIX et je me suis dit 'Saperlipopette
il me faut ça sur mon PC" et j'ai acheté un bouquin avec une Slackware
3.1 dedans... Joie!
Notons que deux ans avant j'avais eu un premier contact avec Unix sous la
forme de SCO sur un PC (pour développer un automate téléphonique) et je
n'avais pas été bien impressioné.
Le Fri, 21 Sep 2012 20:58:58 +0200, Tanguy Briançon a écrit:
Moi c'était l'inverse: je ne connaissais que windows (et avant les apple
2e). Puis j'ai découvert le monde unix: et là je me suis dit que je
voulais la même chose le pc que je voulais acheter! Linux a été la
solution!
Pareil pour moi... J'aimais bien windows (mais je préférais les Mac et
les Amigas), puis j'ai découvert IRIX et je me suis dit 'Saperlipopette
il me faut ça sur mon PC" et j'ai acheté un bouquin avec une Slackware
3.1 dedans... Joie!
Notons que deux ans avant j'avais eu un premier contact avec Unix sous la
forme de SCO sur un PC (pour développer un automate téléphonique) et je
n'avais pas été bien impressioné.
Le Fri, 21 Sep 2012 20:58:58 +0200, Tanguy Briançon a écrit:Moi c'était l'inverse: je ne connaissais que windows (et avant les apple
2e). Puis j'ai découvert le monde unix: et là je me suis dit que je
voulais la même chose le pc que je voulais acheter! Linux a été la
solution!
Pareil pour moi... J'aimais bien windows (mais je préférais les Mac et
les Amigas), puis j'ai découvert IRIX et je me suis dit 'Saperlipopette
il me faut ça sur mon PC" et j'ai acheté un bouquin avec une Slackware
3.1 dedans... Joie!
Notons que deux ans avant j'avais eu un premier contact avec Unix sous la
forme de SCO sur un PC (pour développer un automate téléphonique) et je
n'avais pas été bien impressioné.
XP + FU2 fr.sci.physique
Pour le FU2 non merci. fr.sci.physique est un groupe de psychopathes
encore pire qu'ici.
XP + FU2 fr.sci.physique
Pour le FU2 non merci. fr.sci.physique est un groupe de psychopathes
encore pire qu'ici.
XP + FU2 fr.sci.physique
Pour le FU2 non merci. fr.sci.physique est un groupe de psychopathes
encore pire qu'ici.
Le Sun, 23 Sep 2012 10:32:05 +0200
Hugolino a écrit :Le 23-09-2012, Yliur a écrit :
>
> Disons que c'est une collection d'intuitions et de suppositions qui
> correspondent plus ou moins aux faits observés. L'important dans un
> modèle c'est qu'il explique bien ce qu'on observe et qu'il permette
> de faire des déductions sur ce qui va se passer (pour des
> utilisations concrètes). On ne sait pas forcément s'il est la
> réalité. Peu importe que la gravitation soit une force qui
> s'exerce à distance, une déformation de l'espace ou quoi que ce
> soit qu'on n'a pas imaginé, tant qu'on a un modèle qui permet de
> lancer des satellites en orbite.
Cette vision un poil utilitariste de la science est un poil triste.
Ne me dis pas que tu fais partie de cette sorte de pénible qui a
développé son goût pour la science comme un palliatif à leur manque
d'imagination, un dérivatif froid et borné de calculs...
Les calculs c'est chiant.
Les théories sur la formation ou l'organisation de l'univers sont très
intéressante (et effectivement leur appel à l'imagination fait partie
de leur attrait), mais je répondais juste à Doug qui semblait voir ça
comme un ensemble farfelu : les représentations sont peut-être
farfelues mais elles se basent sur des observations qu'elles tentent
d'expliquer. Et c'est tout ce que peut faire la science (dans le sens
: "éviter le farfelu") : proposer un modèle qui explique les choses. Le
fait que les idées soient d'apparence capillotractées n'a pas vraiment
d'importance, de toutes façons il ne s'agit que d'une représentation
imaginée par des humains de "règles" qu'on ne peut pas lire directement.
Le Sun, 23 Sep 2012 10:32:05 +0200
Hugolino <hugolino@free.fr> a écrit :
Le 23-09-2012, Yliur <yliur@free.fr> a écrit :
>
> Disons que c'est une collection d'intuitions et de suppositions qui
> correspondent plus ou moins aux faits observés. L'important dans un
> modèle c'est qu'il explique bien ce qu'on observe et qu'il permette
> de faire des déductions sur ce qui va se passer (pour des
> utilisations concrètes). On ne sait pas forcément s'il est la
> réalité. Peu importe que la gravitation soit une force qui
> s'exerce à distance, une déformation de l'espace ou quoi que ce
> soit qu'on n'a pas imaginé, tant qu'on a un modèle qui permet de
> lancer des satellites en orbite.
Cette vision un poil utilitariste de la science est un poil triste.
Ne me dis pas que tu fais partie de cette sorte de pénible qui a
développé son goût pour la science comme un palliatif à leur manque
d'imagination, un dérivatif froid et borné de calculs...
Les calculs c'est chiant.
Les théories sur la formation ou l'organisation de l'univers sont très
intéressante (et effectivement leur appel à l'imagination fait partie
de leur attrait), mais je répondais juste à Doug qui semblait voir ça
comme un ensemble farfelu : les représentations sont peut-être
farfelues mais elles se basent sur des observations qu'elles tentent
d'expliquer. Et c'est tout ce que peut faire la science (dans le sens
: "éviter le farfelu") : proposer un modèle qui explique les choses. Le
fait que les idées soient d'apparence capillotractées n'a pas vraiment
d'importance, de toutes façons il ne s'agit que d'une représentation
imaginée par des humains de "règles" qu'on ne peut pas lire directement.
Le Sun, 23 Sep 2012 10:32:05 +0200
Hugolino a écrit :Le 23-09-2012, Yliur a écrit :
>
> Disons que c'est une collection d'intuitions et de suppositions qui
> correspondent plus ou moins aux faits observés. L'important dans un
> modèle c'est qu'il explique bien ce qu'on observe et qu'il permette
> de faire des déductions sur ce qui va se passer (pour des
> utilisations concrètes). On ne sait pas forcément s'il est la
> réalité. Peu importe que la gravitation soit une force qui
> s'exerce à distance, une déformation de l'espace ou quoi que ce
> soit qu'on n'a pas imaginé, tant qu'on a un modèle qui permet de
> lancer des satellites en orbite.
Cette vision un poil utilitariste de la science est un poil triste.
Ne me dis pas que tu fais partie de cette sorte de pénible qui a
développé son goût pour la science comme un palliatif à leur manque
d'imagination, un dérivatif froid et borné de calculs...
Les calculs c'est chiant.
Les théories sur la formation ou l'organisation de l'univers sont très
intéressante (et effectivement leur appel à l'imagination fait partie
de leur attrait), mais je répondais juste à Doug qui semblait voir ça
comme un ensemble farfelu : les représentations sont peut-être
farfelues mais elles se basent sur des observations qu'elles tentent
d'expliquer. Et c'est tout ce que peut faire la science (dans le sens
: "éviter le farfelu") : proposer un modèle qui explique les choses. Le
fait que les idées soient d'apparence capillotractées n'a pas vraiment
d'importance, de toutes façons il ne s'agit que d'une représentation
imaginée par des humains de "règles" qu'on ne peut pas lire directement.
Le 23-09-2012, Yliur nous expliquait dans fr.comp.os.linux.debats :
> Les théories sur la formation ou l'organisation de l'univers sont
> très intéressante (et effectivement leur appel à l'imagination fait
> partie de leur attrait), mais je répondais juste à Doug qui semblait
> voir ça comme un ensemble farfelu : les représentations sont
> peut-être farfelues mais elles se basent sur des observations
> qu'elles tentent d'expliquer. Et c'est tout ce que peut faire la
> science (dans le sens: "éviter le farfelu") : proposer un modèle qui
> explique les choses. Le fait que les idées soient d'apparence
> capillotractées n'a pas vraiment d'importance, de toutes façons il
> ne s'agit que d'une représentation imaginée par des humains de
> "règles" qu'on ne peut pas lire directement.
Voilà, tout est dans l'expression "elles tentent d'expliquer".
De là à dire qu'elles y arrivent...
Ceci dit, je concède volontiers que, comme pour beaucoup, ma vision
de la science s'arrête à la science vulgarisée, celle qui omêt bien
souvent de se rédiger au conditionnel.
Néanmoins, force est de constater qu'il existe presque autant de
théories contradictoire que de scientifiques ;-).
Le 23-09-2012, Yliur nous expliquait dans fr.comp.os.linux.debats :
> Les théories sur la formation ou l'organisation de l'univers sont
> très intéressante (et effectivement leur appel à l'imagination fait
> partie de leur attrait), mais je répondais juste à Doug qui semblait
> voir ça comme un ensemble farfelu : les représentations sont
> peut-être farfelues mais elles se basent sur des observations
> qu'elles tentent d'expliquer. Et c'est tout ce que peut faire la
> science (dans le sens: "éviter le farfelu") : proposer un modèle qui
> explique les choses. Le fait que les idées soient d'apparence
> capillotractées n'a pas vraiment d'importance, de toutes façons il
> ne s'agit que d'une représentation imaginée par des humains de
> "règles" qu'on ne peut pas lire directement.
Voilà, tout est dans l'expression "elles tentent d'expliquer".
De là à dire qu'elles y arrivent...
Ceci dit, je concède volontiers que, comme pour beaucoup, ma vision
de la science s'arrête à la science vulgarisée, celle qui omêt bien
souvent de se rédiger au conditionnel.
Néanmoins, force est de constater qu'il existe presque autant de
théories contradictoire que de scientifiques ;-).
Le 23-09-2012, Yliur nous expliquait dans fr.comp.os.linux.debats :
> Les théories sur la formation ou l'organisation de l'univers sont
> très intéressante (et effectivement leur appel à l'imagination fait
> partie de leur attrait), mais je répondais juste à Doug qui semblait
> voir ça comme un ensemble farfelu : les représentations sont
> peut-être farfelues mais elles se basent sur des observations
> qu'elles tentent d'expliquer. Et c'est tout ce que peut faire la
> science (dans le sens: "éviter le farfelu") : proposer un modèle qui
> explique les choses. Le fait que les idées soient d'apparence
> capillotractées n'a pas vraiment d'importance, de toutes façons il
> ne s'agit que d'une représentation imaginée par des humains de
> "règles" qu'on ne peut pas lire directement.
Voilà, tout est dans l'expression "elles tentent d'expliquer".
De là à dire qu'elles y arrivent...
Ceci dit, je concède volontiers que, comme pour beaucoup, ma vision
de la science s'arrête à la science vulgarisée, celle qui omêt bien
souvent de se rédiger au conditionnel.
Néanmoins, force est de constater qu'il existe presque autant de
théories contradictoire que de scientifiques ;-).
C'est à dire qu'une théorie ne sert qu'à donner une direction de
recherche, pas à présenter une vérité qui serait un point terminal du
questionnement.
C'est la réfutabilité d'une science qui lui donne confère tout son
intérêt.
C'est à dire qu'une théorie ne sert qu'à donner une direction de
recherche, pas à présenter une vérité qui serait un point terminal du
questionnement.
C'est la réfutabilité d'une science qui lui donne confère tout son
intérêt.
C'est à dire qu'une théorie ne sert qu'à donner une direction de
recherche, pas à présenter une vérité qui serait un point terminal du
questionnement.
C'est la réfutabilité d'une science qui lui donne confère tout son
intérêt.