Le 09-03-2014, Baton rouge nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.debats
() :dire qu'un patron qui fait
fortune est nécessairement un voleur démontre également une mentalité de
merde.
ça ne change rien au fait qu'ils ont une metntalitée de merde.
Et si tu devenais patron tu aurais la même.
Le 09-03-2014, Baton rouge nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.debats
(<f3sph9plao300vjqao9vl8imi4ooaq0fjg@4ax.com>) :
dire qu'un patron qui fait
fortune est nécessairement un voleur démontre également une mentalité de
merde.
ça ne change rien au fait qu'ils ont une metntalitée de merde.
Et si tu devenais patron tu aurais la même.
Le 09-03-2014, Baton rouge nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.debats
() :dire qu'un patron qui fait
fortune est nécessairement un voleur démontre également une mentalité de
merde.
ça ne change rien au fait qu'ils ont une metntalitée de merde.
Et si tu devenais patron tu aurais la même.
Si mon affaire tourne trop bien, je prendrai un associé et pas un
larbin. Et si elle marche encore mieux, d'autres associés.
Si mon affaire tourne trop bien, je prendrai un associé et pas un
larbin. Et si elle marche encore mieux, d'autres associés.
Si mon affaire tourne trop bien, je prendrai un associé et pas un
larbin. Et si elle marche encore mieux, d'autres associés.
On Mon, 10 Mar 2014 19:18:55 +1100, Doug713705
wrote:
Le jour où je deviens patron, c'est pour bosser seul et avoir de quoi
manger, nourir ma famille et ne pas engraisser un proxénètes.
Je rêve pas de ne plus travailler et avoir plein de fric puant. Et je
ne suis pas envieux de leur fortune.
Si mon affaire tourne trop bien, je prendrai un associé et pas un
larbin. Et si elle marche encore mieux, d'autres associés.
Mon rêve est qu'une grosse boite vienne pour essayer de me racheter
pour leur cracher à la gueule.
Et si je tombe, je fais comme depuis
que je suis tout petit, je me relève.
On Mon, 10 Mar 2014 19:18:55 +1100, Doug713705 <doug.letough@free.fr>
wrote:
Le jour où je deviens patron, c'est pour bosser seul et avoir de quoi
manger, nourir ma famille et ne pas engraisser un proxénètes.
Je rêve pas de ne plus travailler et avoir plein de fric puant. Et je
ne suis pas envieux de leur fortune.
Si mon affaire tourne trop bien, je prendrai un associé et pas un
larbin. Et si elle marche encore mieux, d'autres associés.
Mon rêve est qu'une grosse boite vienne pour essayer de me racheter
pour leur cracher à la gueule.
Et si je tombe, je fais comme depuis
que je suis tout petit, je me relève.
On Mon, 10 Mar 2014 19:18:55 +1100, Doug713705
wrote:
Le jour où je deviens patron, c'est pour bosser seul et avoir de quoi
manger, nourir ma famille et ne pas engraisser un proxénètes.
Je rêve pas de ne plus travailler et avoir plein de fric puant. Et je
ne suis pas envieux de leur fortune.
Si mon affaire tourne trop bien, je prendrai un associé et pas un
larbin. Et si elle marche encore mieux, d'autres associés.
Mon rêve est qu'une grosse boite vienne pour essayer de me racheter
pour leur cracher à la gueule.
Et si je tombe, je fais comme depuis
que je suis tout petit, je me relève.
On 2014-03-10, Baton rouge wrote:Si mon affaire tourne trop bien, je prendrai un associé et pas un
larbin. Et si elle marche encore mieux, d'autres associés.
C'est en effet comme ça que devrait fonctionner l'économie.
Les gens qui travaillent dans une boite en sont ou deviennent
propriétaire de cette boite.
On 2014-03-10, Baton rouge <nospam@trash.nul> wrote:
Si mon affaire tourne trop bien, je prendrai un associé et pas un
larbin. Et si elle marche encore mieux, d'autres associés.
C'est en effet comme ça que devrait fonctionner l'économie.
Les gens qui travaillent dans une boite en sont ou deviennent
propriétaire de cette boite.
On 2014-03-10, Baton rouge wrote:Si mon affaire tourne trop bien, je prendrai un associé et pas un
larbin. Et si elle marche encore mieux, d'autres associés.
C'est en effet comme ça que devrait fonctionner l'économie.
Les gens qui travaillent dans une boite en sont ou deviennent
propriétaire de cette boite.
Le 10-03-2014, Baton rouge nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.debats
() :On Mon, 10 Mar 2014 19:18:55 +1100, Doug713705
wrote:
Le jour où je deviens patron, c'est pour bosser seul et avoir de quoi
manger, nourir ma famille et ne pas engraisser un proxénètes.
Je rêve pas de ne plus travailler et avoir plein de fric puant. Et je
ne suis pas envieux de leur fortune.
Si mon affaire tourne trop bien, je prendrai un associé et pas un
larbin. Et si elle marche encore mieux, d'autres associés.
Je parie que le jour où tu deviendras patron tu reconsidereras ce point.
Ne serait-ce parce qu'un associé a son mot à dire dans la gestion de la
boite et que d'un seul coup ça commence à devenir beaucoup plus
difficile. Partage des bénéfices ou réinvestissement ? À quel hauteur ?
C'est beau tous ses discours mais encore une fois ces discours oublient
un point essentiel qui fait toute la différence entre la théorie et la
pratique : Le facteur humain.
Le 10-03-2014, Baton rouge nous expliquait dans
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(<8qrrh9tk9bdposs5erca6i92hg0n5drrrd@4ax.com>) :
On Mon, 10 Mar 2014 19:18:55 +1100, Doug713705 <doug.letough@free.fr>
wrote:
Le jour où je deviens patron, c'est pour bosser seul et avoir de quoi
manger, nourir ma famille et ne pas engraisser un proxénètes.
Je rêve pas de ne plus travailler et avoir plein de fric puant. Et je
ne suis pas envieux de leur fortune.
Si mon affaire tourne trop bien, je prendrai un associé et pas un
larbin. Et si elle marche encore mieux, d'autres associés.
Je parie que le jour où tu deviendras patron tu reconsidereras ce point.
Ne serait-ce parce qu'un associé a son mot à dire dans la gestion de la
boite et que d'un seul coup ça commence à devenir beaucoup plus
difficile. Partage des bénéfices ou réinvestissement ? À quel hauteur ?
C'est beau tous ses discours mais encore une fois ces discours oublient
un point essentiel qui fait toute la différence entre la théorie et la
pratique : Le facteur humain.
Le 10-03-2014, Baton rouge nous expliquait dans
fr.comp.os.linux.debats
() :On Mon, 10 Mar 2014 19:18:55 +1100, Doug713705
wrote:
Le jour où je deviens patron, c'est pour bosser seul et avoir de quoi
manger, nourir ma famille et ne pas engraisser un proxénètes.
Je rêve pas de ne plus travailler et avoir plein de fric puant. Et je
ne suis pas envieux de leur fortune.
Si mon affaire tourne trop bien, je prendrai un associé et pas un
larbin. Et si elle marche encore mieux, d'autres associés.
Je parie que le jour où tu deviendras patron tu reconsidereras ce point.
Ne serait-ce parce qu'un associé a son mot à dire dans la gestion de la
boite et que d'un seul coup ça commence à devenir beaucoup plus
difficile. Partage des bénéfices ou réinvestissement ? À quel hauteur ?
C'est beau tous ses discours mais encore une fois ces discours oublient
un point essentiel qui fait toute la différence entre la théorie et la
pratique : Le facteur humain.
Sauf que c'est un beau discours théorique qui n'inclut pas le facteur
humain et c'est le problème de ce genre de discours et la raison
essentielle pour laquelle toutes les autres tentatives de systèmes
éconmiques alternatifs ont échoué dans le temps (en plus des différents
bâtons dans les roues bien sûr).
Sauf que c'est un beau discours théorique qui n'inclut pas le facteur
humain et c'est le problème de ce genre de discours et la raison
essentielle pour laquelle toutes les autres tentatives de systèmes
éconmiques alternatifs ont échoué dans le temps (en plus des différents
bâtons dans les roues bien sûr).
Sauf que c'est un beau discours théorique qui n'inclut pas le facteur
humain et c'est le problème de ce genre de discours et la raison
essentielle pour laquelle toutes les autres tentatives de systèmes
éconmiques alternatifs ont échoué dans le temps (en plus des différents
bâtons dans les roues bien sûr).
Il n'y a pas de révolution parce que le révolution n'est JAMAIS le fait
du peuple mais toujours le fait d'une communauté (quelle qu'elle soit)
liée à une puissance étrangère.
Il n'y a pas de révolution parce que le révolution n'est JAMAIS le fait
du peuple mais toujours le fait d'une communauté (quelle qu'elle soit)
liée à une puissance étrangère.
Il n'y a pas de révolution parce que le révolution n'est JAMAIS le fait
du peuple mais toujours le fait d'une communauté (quelle qu'elle soit)
liée à une puissance étrangère.
Il n'y a pas de révolution parce que le révolution n'est JAMAIS le fait
du peuple mais toujours le fait d'une communauté (quelle qu'elle soit)
liée à une puissance étrangère.
Prenons trois grandes révolutions (dans l'ordre chronologique)
- L'Américaine. Quels groupes liés à quelles puissances
étrangères à fait (et commencer!) la révolution?
-La Française. Même question?
-La Russe?
Que des puissances étrangères utilisent une révolution est
une chose, qu'elle l'aide en est une autre, mais qu'elle la
provoque en est une troisième. Le troisième cas est un coup
d'état pas une révolution.
Il n'y a pas de révolution parce que le révolution n'est JAMAIS le fait
du peuple mais toujours le fait d'une communauté (quelle qu'elle soit)
liée à une puissance étrangère.
Prenons trois grandes révolutions (dans l'ordre chronologique)
- L'Américaine. Quels groupes liés à quelles puissances
étrangères à fait (et commencer!) la révolution?
-La Française. Même question?
-La Russe?
Que des puissances étrangères utilisent une révolution est
une chose, qu'elle l'aide en est une autre, mais qu'elle la
provoque en est une troisième. Le troisième cas est un coup
d'état pas une révolution.
Il n'y a pas de révolution parce que le révolution n'est JAMAIS le fait
du peuple mais toujours le fait d'une communauté (quelle qu'elle soit)
liée à une puissance étrangère.
Prenons trois grandes révolutions (dans l'ordre chronologique)
- L'Américaine. Quels groupes liés à quelles puissances
étrangères à fait (et commencer!) la révolution?
-La Française. Même question?
-La Russe?
Que des puissances étrangères utilisent une révolution est
une chose, qu'elle l'aide en est une autre, mais qu'elle la
provoque en est une troisième. Le troisième cas est un coup
d'état pas une révolution.
C'est beau tous ses discours mais encore une fois ces discours oublient
un point essentiel qui fait toute la différence entre la théorie et la
pratique : Le facteur humain.
En effet. Il n'y a d'ailleurs qu'à voir comment dans une simple petite
association loi 1901 ça peut se tirer dans les pattes... Les
tiraillements commencent à partir de 2 personnes :-)
C'est beau tous ses discours mais encore une fois ces discours oublient
un point essentiel qui fait toute la différence entre la théorie et la
pratique : Le facteur humain.
En effet. Il n'y a d'ailleurs qu'à voir comment dans une simple petite
association loi 1901 ça peut se tirer dans les pattes... Les
tiraillements commencent à partir de 2 personnes :-)
C'est beau tous ses discours mais encore une fois ces discours oublient
un point essentiel qui fait toute la différence entre la théorie et la
pratique : Le facteur humain.
En effet. Il n'y a d'ailleurs qu'à voir comment dans une simple petite
association loi 1901 ça peut se tirer dans les pattes... Les
tiraillements commencent à partir de 2 personnes :-)
On 2014-03-10, Doug713705 wrote:Sauf que c'est un beau discours théorique qui n'inclut pas le facteur
humain et c'est le problème de ce genre de discours et la raison
essentielle pour laquelle toutes les autres tentatives de systèmes
éconmiques alternatifs ont échoué dans le temps (en plus des différents
bâtons dans les roues bien sûr).
Tu parles de toutes les tentatives qui ont échoués en
oubliant deux points :
- Nous ne savons pas si l'organisation actuelle de notre société est
pérenne
- L'organisation actuelle de notre société est très récente (un peu plus
de 1 siècle), elle est fort peu stable (elle change beaucoup) et
d'autres systèmes ont tenu bien plus longtemps dans l'histoire de
l'homme.
Si je prends un exemple qui n'a rien à voir mais qui montre bien mon
point. Si l'on considère que la France est née avec le baptème de Clovis
en 500 et qu'elle cesse d'être un royaume en 1830 et qu'elle est
aujourd'hui une République laïque.
Est-ce qu'on peut considérer que la Royauté, qui a survécu plus de 1300,
est un échec,
et que la Cinquième République (depuis 1958) est une
réussite pleine et entière parce que nous y vivons aujourd'hui ?
Si la France redevient un Royaume Catholique demain matin, nous ne
considérerons la République laïque que comme un passage et surtout une
erreur de l'histoire.
La relation entre le travail et l'argent n'a pas toujours été ce qu'elle
est aujourd'hui. Nous n'aurions jamais construit les Cathédrales si tel
avait été le cas.
Nous sommes d'ailleurs absolument incapables d'en
construire aujourd'hui parce que nous faisons ce lien entre temps de
travail et argent. Relation qui permet à des gens d'en piller une partie
parce qu'ils ne revendent pas le travail en se basant sur l'effort qu'il
a fallu pour le réaliser, mais en fonction du gain que le client va en
tirer.
On 2014-03-10, Doug713705 <doug.letough@free.fr> wrote:
Sauf que c'est un beau discours théorique qui n'inclut pas le facteur
humain et c'est le problème de ce genre de discours et la raison
essentielle pour laquelle toutes les autres tentatives de systèmes
éconmiques alternatifs ont échoué dans le temps (en plus des différents
bâtons dans les roues bien sûr).
Tu parles de toutes les tentatives qui ont échoués en
oubliant deux points :
- Nous ne savons pas si l'organisation actuelle de notre société est
pérenne
- L'organisation actuelle de notre société est très récente (un peu plus
de 1 siècle), elle est fort peu stable (elle change beaucoup) et
d'autres systèmes ont tenu bien plus longtemps dans l'histoire de
l'homme.
Si je prends un exemple qui n'a rien à voir mais qui montre bien mon
point. Si l'on considère que la France est née avec le baptème de Clovis
en 500 et qu'elle cesse d'être un royaume en 1830 et qu'elle est
aujourd'hui une République laïque.
Est-ce qu'on peut considérer que la Royauté, qui a survécu plus de 1300,
est un échec,
et que la Cinquième République (depuis 1958) est une
réussite pleine et entière parce que nous y vivons aujourd'hui ?
Si la France redevient un Royaume Catholique demain matin, nous ne
considérerons la République laïque que comme un passage et surtout une
erreur de l'histoire.
La relation entre le travail et l'argent n'a pas toujours été ce qu'elle
est aujourd'hui. Nous n'aurions jamais construit les Cathédrales si tel
avait été le cas.
Nous sommes d'ailleurs absolument incapables d'en
construire aujourd'hui parce que nous faisons ce lien entre temps de
travail et argent. Relation qui permet à des gens d'en piller une partie
parce qu'ils ne revendent pas le travail en se basant sur l'effort qu'il
a fallu pour le réaliser, mais en fonction du gain que le client va en
tirer.
On 2014-03-10, Doug713705 wrote:Sauf que c'est un beau discours théorique qui n'inclut pas le facteur
humain et c'est le problème de ce genre de discours et la raison
essentielle pour laquelle toutes les autres tentatives de systèmes
éconmiques alternatifs ont échoué dans le temps (en plus des différents
bâtons dans les roues bien sûr).
Tu parles de toutes les tentatives qui ont échoués en
oubliant deux points :
- Nous ne savons pas si l'organisation actuelle de notre société est
pérenne
- L'organisation actuelle de notre société est très récente (un peu plus
de 1 siècle), elle est fort peu stable (elle change beaucoup) et
d'autres systèmes ont tenu bien plus longtemps dans l'histoire de
l'homme.
Si je prends un exemple qui n'a rien à voir mais qui montre bien mon
point. Si l'on considère que la France est née avec le baptème de Clovis
en 500 et qu'elle cesse d'être un royaume en 1830 et qu'elle est
aujourd'hui une République laïque.
Est-ce qu'on peut considérer que la Royauté, qui a survécu plus de 1300,
est un échec,
et que la Cinquième République (depuis 1958) est une
réussite pleine et entière parce que nous y vivons aujourd'hui ?
Si la France redevient un Royaume Catholique demain matin, nous ne
considérerons la République laïque que comme un passage et surtout une
erreur de l'histoire.
La relation entre le travail et l'argent n'a pas toujours été ce qu'elle
est aujourd'hui. Nous n'aurions jamais construit les Cathédrales si tel
avait été le cas.
Nous sommes d'ailleurs absolument incapables d'en
construire aujourd'hui parce que nous faisons ce lien entre temps de
travail et argent. Relation qui permet à des gens d'en piller une partie
parce qu'ils ne revendent pas le travail en se basant sur l'effort qu'il
a fallu pour le réaliser, mais en fonction du gain que le client va en
tirer.