Bref, les logiciels doivent-ils être pour autant gratuits, ou
recopiables en changeant une couleur pour en faire un original ?
Je suis vos échanges avec une relative attention je le confesse, mais
pour moi avec ma vision des choses ce n'est pas choquant de faire
breveter un logiciel.
Encore une fois je n'ai peut-être pas la même vision du logiciel, j e
l'ai comme utilisateur, pas "globale".
Peut-être que je confond brevet et droits d'auteur, si vous avez des
liens à me conseiller (les "pours", les "contre", en français si
possible), je suis preneur !
Bref, les logiciels doivent-ils être pour autant gratuits, ou
recopiables en changeant une couleur pour en faire un original ?
Je suis vos échanges avec une relative attention je le confesse, mais
pour moi avec ma vision des choses ce n'est pas choquant de faire
breveter un logiciel.
Encore une fois je n'ai peut-être pas la même vision du logiciel, j e
l'ai comme utilisateur, pas "globale".
Peut-être que je confond brevet et droits d'auteur, si vous avez des
liens à me conseiller (les "pours", les "contre", en français si
possible), je suis preneur !
Bref, les logiciels doivent-ils être pour autant gratuits, ou
recopiables en changeant une couleur pour en faire un original ?
Je suis vos échanges avec une relative attention je le confesse, mais
pour moi avec ma vision des choses ce n'est pas choquant de faire
breveter un logiciel.
Encore une fois je n'ai peut-être pas la même vision du logiciel, j e
l'ai comme utilisateur, pas "globale".
Peut-être que je confond brevet et droits d'auteur, si vous avez des
liens à me conseiller (les "pours", les "contre", en français si
possible), je suis preneur !
Il faudrait que vous sachiez que sur certaines listes éducatives,
des militants pro-brevets proches des cercles politiques de Robien,
commencent à dire qu'il faut interdire Linux dans les établissements
scolaires en ce qu'il violerait aux Etats-Unis : 600 brevets !
format de fichier pour qu'il rencontre de nombreux utilisateurs, puis
dans un second temps : "reclamer des royalties".
Le format Xvid qui utilise la norme Mpeg4 par exemple est breveté aux
Etats-Unis...
Les brevets logiciels peuvent également porter sur des normes.
Le pire c'est qu'il doit y en avoir des dizaines de milliers !
Google est votre ami dit-on.
Il faudrait que vous sachiez que sur certaines listes éducatives,
des militants pro-brevets proches des cercles politiques de Robien,
commencent à dire qu'il faut interdire Linux dans les établissements
scolaires en ce qu'il violerait aux Etats-Unis : 600 brevets !
format de fichier pour qu'il rencontre de nombreux utilisateurs, puis
dans un second temps : "reclamer des royalties".
Le format Xvid qui utilise la norme Mpeg4 par exemple est breveté aux
Etats-Unis...
Les brevets logiciels peuvent également porter sur des normes.
Le pire c'est qu'il doit y en avoir des dizaines de milliers !
Google est votre ami dit-on.
Il faudrait que vous sachiez que sur certaines listes éducatives,
des militants pro-brevets proches des cercles politiques de Robien,
commencent à dire qu'il faut interdire Linux dans les établissements
scolaires en ce qu'il violerait aux Etats-Unis : 600 brevets !
format de fichier pour qu'il rencontre de nombreux utilisateurs, puis
dans un second temps : "reclamer des royalties".
Le format Xvid qui utilise la norme Mpeg4 par exemple est breveté aux
Etats-Unis...
Les brevets logiciels peuvent également porter sur des normes.
Le pire c'est qu'il doit y en avoir des dizaines de milliers !
Google est votre ami dit-on.
b) Le "brevet logiciel" n'a donc pas pour intention de "protéger"
un logiciel, mais une procédure, un raisonnement, à l'intérieur
d'un dispositif informatique immatériel.
b) Le "brevet logiciel" n'a donc pas pour intention de "protéger"
un logiciel, mais une procédure, un raisonnement, à l'intérieur
d'un dispositif informatique immatériel.
b) Le "brevet logiciel" n'a donc pas pour intention de "protéger"
un logiciel, mais une procédure, un raisonnement, à l'intérieur
d'un dispositif informatique immatériel.
Charlie a écrit :b) Le "brevet logiciel" n'a donc pas pour intention de "protéger"
un logiciel, mais une procédure, un raisonnement, à l'intérieur
d'un dispositif informatique immatériel.
Charlie a écrit :
b) Le "brevet logiciel" n'a donc pas pour intention de "protéger"
un logiciel, mais une procédure, un raisonnement, à l'intérieur
d'un dispositif informatique immatériel.
Charlie a écrit :b) Le "brevet logiciel" n'a donc pas pour intention de "protéger"
un logiciel, mais une procédure, un raisonnement, à l'intérieur
d'un dispositif informatique immatériel.
Je croyais qu'une idée ne pouvait pas se breveter.
Je croyais qu'une idée ne pouvait pas se breveter.
Je croyais qu'une idée ne pouvait pas se breveter.
Charlie a écrit :b) Le "brevet logiciel" n'a donc pas pour intention de "protéger"
un logiciel, mais une procédure, un raisonnement, à l'intérieur
d'un dispositif informatique immatériel.
ok je comprends mieux.
merci
Charlie a écrit :
b) Le "brevet logiciel" n'a donc pas pour intention de "protéger"
un logiciel, mais une procédure, un raisonnement, à l'intérieur
d'un dispositif informatique immatériel.
ok je comprends mieux.
merci
Charlie a écrit :b) Le "brevet logiciel" n'a donc pas pour intention de "protéger"
un logiciel, mais une procédure, un raisonnement, à l'intérieur
d'un dispositif informatique immatériel.
ok je comprends mieux.
merci
Voila. Les logiciels sont déja protégés par divers textes sur le droit
d'auteur et c'est amplement suffisant.
Voila. Les logiciels sont déja protégés par divers textes sur le droit
d'auteur et c'est amplement suffisant.
Voila. Les logiciels sont déja protégés par divers textes sur le droit
d'auteur et c'est amplement suffisant.
legoff a écrit :Bref, les logiciels doivent-ils être pour autant gratuits, ou
recopiables en changeant une couleur pour en faire un original ?
La recopie (appellé abusivement "piratage"), c'est de la contrefaçon, et
c'est déja sanctionné par le code de la propriété intellectuelle
("copyright"). Nul besoin de légiférer: le logiciel est déja protégé
contre la copie.
Mais s'inspirer d'un logiciel existant ne pose aucun problème. Car si
vous voulez refaire un logiciel à l'identique, il faudra dépenser - à
peu de chose près - autant de travail que pour faire l'original. Le
développement d'OpenOffice a demandé un travail titanesque, même s'il
s'est inspiré fortement de la suite MS-Office. C'est l'idée du reverse
engineering, et cela s'est toujours fait.
Le gros du travail en informatique, c'est la plupart du temps non pas
d'avoir des idées (que brevetter comme idée dans Word ? L'idée de faire
un traitement de texte ? L'idée d'afficher un bonhomme énervant qui
donne des conseils ?), mais de les mettre en oeuvre (càd la masse de
travail pour faire un produit abouti, avec moult fonctionnalités - tout
ceci ne peut pas être brevetté, mais peut être protégé par le copyright).
C'est ce que ne veulent pas voir les supporters des brevets logiciels:
les brevets couvrent des aspects anecdotiques (souvent triviaux) des
logiciels, qui sont constitués de milliers de composants élémentaires.
Le brevet "one click" de Amazon est une insulte à l'intelligence
humaine, et pourtant, ce qui constitue la valeur d'un site de vente, ce
n'est pas cette idée (triviale), mais la mise en oeuvre du site lui même
(frontend, backend avec gestion des stocks, payement, etc.). Avec l'idée
de "faire un site de e-commerce", vous n'êtes pas vraiment avancés. Avec
le code, c'est déja beaucoup plus clair.
C'est en cela que le brevet logiciel est stupide: (1) il ne protège pas
le logiciel dans son ensemble, (2) est inutile dans la mesure où le
copyright offre déja un niveau de protection idéal.
pour moi avec ma vision des choses ce n'est pas choquant de faire
breveter un logiciel.
Parce que justement vous ne voyez pas le gros du problème: le logiciel
est immatériel, et les idées sous-jacentes peuvent être en général
"inventées" par un étudiant de première année en informatique. Mais pas
forcément développées.
legoff a écrit :
Bref, les logiciels doivent-ils être pour autant gratuits, ou
recopiables en changeant une couleur pour en faire un original ?
La recopie (appellé abusivement "piratage"), c'est de la contrefaçon, et
c'est déja sanctionné par le code de la propriété intellectuelle
("copyright"). Nul besoin de légiférer: le logiciel est déja protégé
contre la copie.
Mais s'inspirer d'un logiciel existant ne pose aucun problème. Car si
vous voulez refaire un logiciel à l'identique, il faudra dépenser - à
peu de chose près - autant de travail que pour faire l'original. Le
développement d'OpenOffice a demandé un travail titanesque, même s'il
s'est inspiré fortement de la suite MS-Office. C'est l'idée du reverse
engineering, et cela s'est toujours fait.
Le gros du travail en informatique, c'est la plupart du temps non pas
d'avoir des idées (que brevetter comme idée dans Word ? L'idée de faire
un traitement de texte ? L'idée d'afficher un bonhomme énervant qui
donne des conseils ?), mais de les mettre en oeuvre (càd la masse de
travail pour faire un produit abouti, avec moult fonctionnalités - tout
ceci ne peut pas être brevetté, mais peut être protégé par le copyright).
C'est ce que ne veulent pas voir les supporters des brevets logiciels:
les brevets couvrent des aspects anecdotiques (souvent triviaux) des
logiciels, qui sont constitués de milliers de composants élémentaires.
Le brevet "one click" de Amazon est une insulte à l'intelligence
humaine, et pourtant, ce qui constitue la valeur d'un site de vente, ce
n'est pas cette idée (triviale), mais la mise en oeuvre du site lui même
(frontend, backend avec gestion des stocks, payement, etc.). Avec l'idée
de "faire un site de e-commerce", vous n'êtes pas vraiment avancés. Avec
le code, c'est déja beaucoup plus clair.
C'est en cela que le brevet logiciel est stupide: (1) il ne protège pas
le logiciel dans son ensemble, (2) est inutile dans la mesure où le
copyright offre déja un niveau de protection idéal.
pour moi avec ma vision des choses ce n'est pas choquant de faire
breveter un logiciel.
Parce que justement vous ne voyez pas le gros du problème: le logiciel
est immatériel, et les idées sous-jacentes peuvent être en général
"inventées" par un étudiant de première année en informatique. Mais pas
forcément développées.
legoff a écrit :Bref, les logiciels doivent-ils être pour autant gratuits, ou
recopiables en changeant une couleur pour en faire un original ?
La recopie (appellé abusivement "piratage"), c'est de la contrefaçon, et
c'est déja sanctionné par le code de la propriété intellectuelle
("copyright"). Nul besoin de légiférer: le logiciel est déja protégé
contre la copie.
Mais s'inspirer d'un logiciel existant ne pose aucun problème. Car si
vous voulez refaire un logiciel à l'identique, il faudra dépenser - à
peu de chose près - autant de travail que pour faire l'original. Le
développement d'OpenOffice a demandé un travail titanesque, même s'il
s'est inspiré fortement de la suite MS-Office. C'est l'idée du reverse
engineering, et cela s'est toujours fait.
Le gros du travail en informatique, c'est la plupart du temps non pas
d'avoir des idées (que brevetter comme idée dans Word ? L'idée de faire
un traitement de texte ? L'idée d'afficher un bonhomme énervant qui
donne des conseils ?), mais de les mettre en oeuvre (càd la masse de
travail pour faire un produit abouti, avec moult fonctionnalités - tout
ceci ne peut pas être brevetté, mais peut être protégé par le copyright).
C'est ce que ne veulent pas voir les supporters des brevets logiciels:
les brevets couvrent des aspects anecdotiques (souvent triviaux) des
logiciels, qui sont constitués de milliers de composants élémentaires.
Le brevet "one click" de Amazon est une insulte à l'intelligence
humaine, et pourtant, ce qui constitue la valeur d'un site de vente, ce
n'est pas cette idée (triviale), mais la mise en oeuvre du site lui même
(frontend, backend avec gestion des stocks, payement, etc.). Avec l'idée
de "faire un site de e-commerce", vous n'êtes pas vraiment avancés. Avec
le code, c'est déja beaucoup plus clair.
C'est en cela que le brevet logiciel est stupide: (1) il ne protège pas
le logiciel dans son ensemble, (2) est inutile dans la mesure où le
copyright offre déja un niveau de protection idéal.
pour moi avec ma vision des choses ce n'est pas choquant de faire
breveter un logiciel.
Parce que justement vous ne voyez pas le gros du problème: le logiciel
est immatériel, et les idées sous-jacentes peuvent être en général
"inventées" par un étudiant de première année en informatique. Mais pas
forcément développées.
Patrick Vuichard a écrit :
Voila. Les logiciels sont déja protégés par divers textes sur le droit
d'auteur et c'est amplement suffisant.
Protection très limitée. le sdroit d'auteur ne protege que contre la
contrefacon.
Patrick Vuichard a écrit :
Voila. Les logiciels sont déja protégés par divers textes sur le droit
d'auteur et c'est amplement suffisant.
Protection très limitée. le sdroit d'auteur ne protege que contre la
contrefacon.
Patrick Vuichard a écrit :
Voila. Les logiciels sont déja protégés par divers textes sur le droit
d'auteur et c'est amplement suffisant.
Protection très limitée. le sdroit d'auteur ne protege que contre la
contrefacon.