Entièrement d'accord, mais c'est justement cette convention qui
est en cause, car elle ne définit pas ce qu'est ou serait un
éventuel brevet logiciel, en fait, elle élude le problème.
Entièrement d'accord, mais c'est justement cette convention qui
est en cause, car elle ne définit pas ce qu'est ou serait un
éventuel brevet logiciel, en fait, elle élude le problème.
Entièrement d'accord, mais c'est justement cette convention qui
est en cause, car elle ne définit pas ce qu'est ou serait un
éventuel brevet logiciel, en fait, elle élude le problème.
Dwarfpower wrote:La seule existance du logiciel est dans l'experience que les
utilisateurs en ont.
L'expérience vécue des utilisateurs est une chose et je vous
l'accorde, mais rien ne vous autorise à dire qu'il s'agit là
de la *seule* existence du logiciel.
Un logiciel existe parce qu'un et/ou plusieurs êtres humains
l'ont codé. Il y a bien eu au préalable : un travail d'écriture.
Il s'agit donc bien d'une oeuvre de l'esprit, dans le sens
juridique du terme.
Les utilisateurs ne voient pas le code source, d'ailleurs comment voir
les millions de ligne de code, auxuqle ont participe des centaine de
developpeur ?
Et qu'est-ce que cela change sur le *fond* ?
La gestion du logiciel par le droit d'auteur qui protege le source qui
n'a pas de "réalité" dans l'experience logiciel n'a pas su capturer ce
phenomene qui a vraiment pris toute son empleur dans les années 90
avec la generalisation des interfaces utilisateur graphique et l'acces
pour le grand public a l'informatique.
Je ne comprends pas où vous voulez en venir.
En effet dans ce contexte la source n'ayant plus un lien directe a la
realité percue, et plusieur source different pouvant avoir une realite
percue identique, il n'y a plus de protection sauf en cas de recopie
du code source, chose ayant finallement assez peu d'interet.
Il ne faudrait pas confondre, à l'image d'un prestigitateur qui
exercerait une prestation devant un public la réalité perçue par le
public et la réalité du numéro que le prestigitateur donne à percevoir.
Pour un logiciel c'est la même chose. Pour qu'un fichier binaire puisse
d'éxécuter il a bien fallu au préalable qu'un être humain ou un groupe
d'êtres humain écrive un code source.
Sans cela, il ne peut pas y avoir d'amélioration, de déboggage, de
nouvelle version.
Il s'agit toujours d'une oeuvre de l'esprit et rien qui ne légitime
le fait de breveter des idées sous-jacentes.
Dwarfpower wrote:
La seule existance du logiciel est dans l'experience que les
utilisateurs en ont.
L'expérience vécue des utilisateurs est une chose et je vous
l'accorde, mais rien ne vous autorise à dire qu'il s'agit là
de la *seule* existence du logiciel.
Un logiciel existe parce qu'un et/ou plusieurs êtres humains
l'ont codé. Il y a bien eu au préalable : un travail d'écriture.
Il s'agit donc bien d'une oeuvre de l'esprit, dans le sens
juridique du terme.
Les utilisateurs ne voient pas le code source, d'ailleurs comment voir
les millions de ligne de code, auxuqle ont participe des centaine de
developpeur ?
Et qu'est-ce que cela change sur le *fond* ?
La gestion du logiciel par le droit d'auteur qui protege le source qui
n'a pas de "réalité" dans l'experience logiciel n'a pas su capturer ce
phenomene qui a vraiment pris toute son empleur dans les années 90
avec la generalisation des interfaces utilisateur graphique et l'acces
pour le grand public a l'informatique.
Je ne comprends pas où vous voulez en venir.
En effet dans ce contexte la source n'ayant plus un lien directe a la
realité percue, et plusieur source different pouvant avoir une realite
percue identique, il n'y a plus de protection sauf en cas de recopie
du code source, chose ayant finallement assez peu d'interet.
Il ne faudrait pas confondre, à l'image d'un prestigitateur qui
exercerait une prestation devant un public la réalité perçue par le
public et la réalité du numéro que le prestigitateur donne à percevoir.
Pour un logiciel c'est la même chose. Pour qu'un fichier binaire puisse
d'éxécuter il a bien fallu au préalable qu'un être humain ou un groupe
d'êtres humain écrive un code source.
Sans cela, il ne peut pas y avoir d'amélioration, de déboggage, de
nouvelle version.
Il s'agit toujours d'une oeuvre de l'esprit et rien qui ne légitime
le fait de breveter des idées sous-jacentes.
Dwarfpower wrote:La seule existance du logiciel est dans l'experience que les
utilisateurs en ont.
L'expérience vécue des utilisateurs est une chose et je vous
l'accorde, mais rien ne vous autorise à dire qu'il s'agit là
de la *seule* existence du logiciel.
Un logiciel existe parce qu'un et/ou plusieurs êtres humains
l'ont codé. Il y a bien eu au préalable : un travail d'écriture.
Il s'agit donc bien d'une oeuvre de l'esprit, dans le sens
juridique du terme.
Les utilisateurs ne voient pas le code source, d'ailleurs comment voir
les millions de ligne de code, auxuqle ont participe des centaine de
developpeur ?
Et qu'est-ce que cela change sur le *fond* ?
La gestion du logiciel par le droit d'auteur qui protege le source qui
n'a pas de "réalité" dans l'experience logiciel n'a pas su capturer ce
phenomene qui a vraiment pris toute son empleur dans les années 90
avec la generalisation des interfaces utilisateur graphique et l'acces
pour le grand public a l'informatique.
Je ne comprends pas où vous voulez en venir.
En effet dans ce contexte la source n'ayant plus un lien directe a la
realité percue, et plusieur source different pouvant avoir une realite
percue identique, il n'y a plus de protection sauf en cas de recopie
du code source, chose ayant finallement assez peu d'interet.
Il ne faudrait pas confondre, à l'image d'un prestigitateur qui
exercerait une prestation devant un public la réalité perçue par le
public et la réalité du numéro que le prestigitateur donne à percevoir.
Pour un logiciel c'est la même chose. Pour qu'un fichier binaire puisse
d'éxécuter il a bien fallu au préalable qu'un être humain ou un groupe
d'êtres humain écrive un code source.
Sans cela, il ne peut pas y avoir d'amélioration, de déboggage, de
nouvelle version.
Il s'agit toujours d'une oeuvre de l'esprit et rien qui ne légitime
le fait de breveter des idées sous-jacentes.
Le droit d'auteur n'est pas adapte pour proteger le logiciel tel qu'il a
evolué.
Le droit d'auteur n'est pas adapte pour proteger le logiciel tel qu'il a
evolué.
Le droit d'auteur n'est pas adapte pour proteger le logiciel tel qu'il a
evolué.
La Convention de Berne repris dans l'argumentaire de Michel Rocard au P arlement
Européen nécessite une intervention directe sur les forces de la na ture
Entièrement d'accord, mais c'est justement cette convention qui
est en cause, car elle ne définit pas ce qu'est ou serait un
éventuel brevet logiciel, en fait, elle élude le problème.
Oui, mais l'impossibilité de brevetter les oeuvres de l'esprit en
question a été décrétée par les hommes et non par les forces de la
nature.
Dans ce cas il faudrait également breveter la formule d'Einstein
E=MC2 ou la célèbre formule de Descartes "décomposer chaque dif ficulté
jusqu'au plus simple élément", etc...
Il faudrait définir si oui ou non cela relèverait d'un brevet
logiciel, définir vaut mieux que de ne rien faire.
Ce serait aussi absurde que l'ouvrage d'un informaticien décrivant
à ses pairs des procédures logiques permettant de résoudre par un e
suite d'opérations et/ou de calcul toute classe de problèmes spé cifiques.
Donc une succession d'étapes informatiques originales, permettant
d'optenir de nouveaux effets techiques, ne vous semble pas être une
invention ?
La Convention de Berne repris dans l'argumentaire de Michel Rocard au P arlement
Européen nécessite une intervention directe sur les forces de la na ture
Entièrement d'accord, mais c'est justement cette convention qui
est en cause, car elle ne définit pas ce qu'est ou serait un
éventuel brevet logiciel, en fait, elle élude le problème.
Oui, mais l'impossibilité de brevetter les oeuvres de l'esprit en
question a été décrétée par les hommes et non par les forces de la
nature.
Dans ce cas il faudrait également breveter la formule d'Einstein
E=MC2 ou la célèbre formule de Descartes "décomposer chaque dif ficulté
jusqu'au plus simple élément", etc...
Il faudrait définir si oui ou non cela relèverait d'un brevet
logiciel, définir vaut mieux que de ne rien faire.
Ce serait aussi absurde que l'ouvrage d'un informaticien décrivant
à ses pairs des procédures logiques permettant de résoudre par un e
suite d'opérations et/ou de calcul toute classe de problèmes spé cifiques.
Donc une succession d'étapes informatiques originales, permettant
d'optenir de nouveaux effets techiques, ne vous semble pas être une
invention ?
La Convention de Berne repris dans l'argumentaire de Michel Rocard au P arlement
Européen nécessite une intervention directe sur les forces de la na ture
Entièrement d'accord, mais c'est justement cette convention qui
est en cause, car elle ne définit pas ce qu'est ou serait un
éventuel brevet logiciel, en fait, elle élude le problème.
Oui, mais l'impossibilité de brevetter les oeuvres de l'esprit en
question a été décrétée par les hommes et non par les forces de la
nature.
Dans ce cas il faudrait également breveter la formule d'Einstein
E=MC2 ou la célèbre formule de Descartes "décomposer chaque dif ficulté
jusqu'au plus simple élément", etc...
Il faudrait définir si oui ou non cela relèverait d'un brevet
logiciel, définir vaut mieux que de ne rien faire.
Ce serait aussi absurde que l'ouvrage d'un informaticien décrivant
à ses pairs des procédures logiques permettant de résoudre par un e
suite d'opérations et/ou de calcul toute classe de problèmes spé cifiques.
Donc une succession d'étapes informatiques originales, permettant
d'optenir de nouveaux effets techiques, ne vous semble pas être une
invention ?
La Convention de Berne repris dans l'argumentaire de Michel Rocard au Par lement
Européen nécessite une intervention directe sur les forces de la nature
Comparer la brevetabilité d'une précédure technique ou d'une invent ion
qui intervient directement sur de la matière avec une oeuvre de
l'esprit ne permet pas de raisonner autrement que par analogie ou
par métaphore.
Dans ce cas il faudrait également breveter la formule d'Einstein
E=MC2 ou la célèbre formule de Descartes "décomposer chaque diffi culté
jusqu'au plus simple élément", etc...
Ce serait aussi absurde que l'ouvrage d'un informaticien décrivant
à ses pairs des procédures logiques permettant de résoudre par une
suite d'opérations et/ou de calcul toute classe de problèmes spéci fiques.
Pardonnez-moi, mais je ne comprends pas "ce régime n'a pas été rete nu
pour protéger les auteurs"... Que voulez-vous dire ?
Et si l'on considère que tout programme est, avant d'être compilé.. ....
on est bien là dans la forme d'une oeuvre de l'esprit.
Protéger les idées sous-jacentes reviendrait à accepter de les bre veter...
C'est quoi un brevet logiciel ?
Le dépôt d'une procédure comme ce fut le cas avec le célèbre on e clic
de la société Amazon ?
Dans ce cas là, à mon humble avis, ce qui est breveté
c'est le droit d'usage d'une idée
dont on n'est pas forcément, loin de là, le premier
à l'avoir exprimée et/ou utilisée, mais le premier à l'avoir d éposée.
La Convention de Berne repris dans l'argumentaire de Michel Rocard au Par lement
Européen nécessite une intervention directe sur les forces de la nature
Comparer la brevetabilité d'une précédure technique ou d'une invent ion
qui intervient directement sur de la matière avec une oeuvre de
l'esprit ne permet pas de raisonner autrement que par analogie ou
par métaphore.
Dans ce cas il faudrait également breveter la formule d'Einstein
E=MC2 ou la célèbre formule de Descartes "décomposer chaque diffi culté
jusqu'au plus simple élément", etc...
Ce serait aussi absurde que l'ouvrage d'un informaticien décrivant
à ses pairs des procédures logiques permettant de résoudre par une
suite d'opérations et/ou de calcul toute classe de problèmes spéci fiques.
Pardonnez-moi, mais je ne comprends pas "ce régime n'a pas été rete nu
pour protéger les auteurs"... Que voulez-vous dire ?
Et si l'on considère que tout programme est, avant d'être compilé.. ....
on est bien là dans la forme d'une oeuvre de l'esprit.
Protéger les idées sous-jacentes reviendrait à accepter de les bre veter...
C'est quoi un brevet logiciel ?
Le dépôt d'une procédure comme ce fut le cas avec le célèbre on e clic
de la société Amazon ?
Dans ce cas là, à mon humble avis, ce qui est breveté
c'est le droit d'usage d'une idée
dont on n'est pas forcément, loin de là, le premier
à l'avoir exprimée et/ou utilisée, mais le premier à l'avoir d éposée.
La Convention de Berne repris dans l'argumentaire de Michel Rocard au Par lement
Européen nécessite une intervention directe sur les forces de la nature
Comparer la brevetabilité d'une précédure technique ou d'une invent ion
qui intervient directement sur de la matière avec une oeuvre de
l'esprit ne permet pas de raisonner autrement que par analogie ou
par métaphore.
Dans ce cas il faudrait également breveter la formule d'Einstein
E=MC2 ou la célèbre formule de Descartes "décomposer chaque diffi culté
jusqu'au plus simple élément", etc...
Ce serait aussi absurde que l'ouvrage d'un informaticien décrivant
à ses pairs des procédures logiques permettant de résoudre par une
suite d'opérations et/ou de calcul toute classe de problèmes spéci fiques.
Pardonnez-moi, mais je ne comprends pas "ce régime n'a pas été rete nu
pour protéger les auteurs"... Que voulez-vous dire ?
Et si l'on considère que tout programme est, avant d'être compilé.. ....
on est bien là dans la forme d'une oeuvre de l'esprit.
Protéger les idées sous-jacentes reviendrait à accepter de les bre veter...
C'est quoi un brevet logiciel ?
Le dépôt d'une procédure comme ce fut le cas avec le célèbre on e clic
de la société Amazon ?
Dans ce cas là, à mon humble avis, ce qui est breveté
c'est le droit d'usage d'une idée
dont on n'est pas forcément, loin de là, le premier
à l'avoir exprimée et/ou utilisée, mais le premier à l'avoir d éposée.
Dwarfpower a écrit :Le droit d'auteur n'est pas adapte pour proteger le logiciel tel qu'il
a evolué.
Le droit d'auteur est au contraire parfaitement adapte à protéger le
logiciel, même tel qu'il a evolué.
Dwarfpower a écrit :
Le droit d'auteur n'est pas adapte pour proteger le logiciel tel qu'il
a evolué.
Le droit d'auteur est au contraire parfaitement adapte à protéger le
logiciel, même tel qu'il a evolué.
Dwarfpower a écrit :Le droit d'auteur n'est pas adapte pour proteger le logiciel tel qu'il
a evolué.
Le droit d'auteur est au contraire parfaitement adapte à protéger le
logiciel, même tel qu'il a evolué.
le droit d'auteur protege le code source
le code source n'est pas utile pour s'approprier le resultat du travail
de recherche d'autrui, et la preuve est quasi impossible a etablir si
jamais le code source a ete detourne.
Moi j'appele ca une protection non adapte.
le droit d'auteur protege le code source
le code source n'est pas utile pour s'approprier le resultat du travail
de recherche d'autrui, et la preuve est quasi impossible a etablir si
jamais le code source a ete detourne.
Moi j'appele ca une protection non adapte.
le droit d'auteur protege le code source
le code source n'est pas utile pour s'approprier le resultat du travail
de recherche d'autrui, et la preuve est quasi impossible a etablir si
jamais le code source a ete detourne.
Moi j'appele ca une protection non adapte.
et avant l'implementation il y a eu la conception, et avant ca la
specification et avant ca la capture du besoin ert en parallele a tout
cela la mise au point de bloc technologique permettant l'implementation ,
ou la specification.
hors dans tout ceci seul le code source est protege par le droit
d'auteur de maniere opposable aux tiers.
Quand a la nature d'oeuvre de l'esprit, le brevet ne s'adresse qu'a
l'oeuvre de l'esprit. l'ingenieur definissant un nouveau procede une
nouvelle technique n'a qu'une activite intellectuelle et son oeuvre est
immaterielle; meme ci elle doit avoir une mise en oeuvre materielle
aujourd''hui pour etre brevetable.
Lorsque vous dites que le professeur que vous connessiez ne regarde que
le code source produit par ses eleves, cela n'a plus de sens avec les
logiciels important actuels dont le code source ne peut materiellement
plus etre lu par un individu au cours de sa vie. Je repondais a ce poin t.
Le droit d'auteur n'est pas adapte pour proteger le logiciel tel qu'il a
evolué.
Pour un logiciel c'est la même chose. Pour qu'un fichier binaire pui sse
d'éxécuter il a bien fallu au préalable qu'un être humain ou u n groupe
d'êtres humain écrive un code source.
Cela n'est plus necessairement vraiSans cela, il ne peut pas y avoir d'amélioration, de déboggage, de
nouvelle version.
Il s'agit toujours d'une oeuvre de l'esprit et rien qui ne légitime
le fait de breveter des idées sous-jacentes.
Si un ingenieur cree une image par une serie de manipulation originale
d'electron, il peut le breveter.? si il cree l'image par logiciel en
simulant exactement la meme chose, il ne peut pas breveter. il s'agit
exactement de la meme chose, le meme produit imateriel du meme esprit e t
la loi permet de breveter si il y a une mise en oeuvre materielle et pa s
si il y a une mise en oeuvre logiciel. ou est la logique ?
et avant l'implementation il y a eu la conception, et avant ca la
specification et avant ca la capture du besoin ert en parallele a tout
cela la mise au point de bloc technologique permettant l'implementation ,
ou la specification.
hors dans tout ceci seul le code source est protege par le droit
d'auteur de maniere opposable aux tiers.
Quand a la nature d'oeuvre de l'esprit, le brevet ne s'adresse qu'a
l'oeuvre de l'esprit. l'ingenieur definissant un nouveau procede une
nouvelle technique n'a qu'une activite intellectuelle et son oeuvre est
immaterielle; meme ci elle doit avoir une mise en oeuvre materielle
aujourd''hui pour etre brevetable.
Lorsque vous dites que le professeur que vous connessiez ne regarde que
le code source produit par ses eleves, cela n'a plus de sens avec les
logiciels important actuels dont le code source ne peut materiellement
plus etre lu par un individu au cours de sa vie. Je repondais a ce poin t.
Le droit d'auteur n'est pas adapte pour proteger le logiciel tel qu'il a
evolué.
Pour un logiciel c'est la même chose. Pour qu'un fichier binaire pui sse
d'éxécuter il a bien fallu au préalable qu'un être humain ou u n groupe
d'êtres humain écrive un code source.
Cela n'est plus necessairement vrai
Sans cela, il ne peut pas y avoir d'amélioration, de déboggage, de
nouvelle version.
Il s'agit toujours d'une oeuvre de l'esprit et rien qui ne légitime
le fait de breveter des idées sous-jacentes.
Si un ingenieur cree une image par une serie de manipulation originale
d'electron, il peut le breveter.? si il cree l'image par logiciel en
simulant exactement la meme chose, il ne peut pas breveter. il s'agit
exactement de la meme chose, le meme produit imateriel du meme esprit e t
la loi permet de breveter si il y a une mise en oeuvre materielle et pa s
si il y a une mise en oeuvre logiciel. ou est la logique ?
et avant l'implementation il y a eu la conception, et avant ca la
specification et avant ca la capture du besoin ert en parallele a tout
cela la mise au point de bloc technologique permettant l'implementation ,
ou la specification.
hors dans tout ceci seul le code source est protege par le droit
d'auteur de maniere opposable aux tiers.
Quand a la nature d'oeuvre de l'esprit, le brevet ne s'adresse qu'a
l'oeuvre de l'esprit. l'ingenieur definissant un nouveau procede une
nouvelle technique n'a qu'une activite intellectuelle et son oeuvre est
immaterielle; meme ci elle doit avoir une mise en oeuvre materielle
aujourd''hui pour etre brevetable.
Lorsque vous dites que le professeur que vous connessiez ne regarde que
le code source produit par ses eleves, cela n'a plus de sens avec les
logiciels important actuels dont le code source ne peut materiellement
plus etre lu par un individu au cours de sa vie. Je repondais a ce poin t.
Le droit d'auteur n'est pas adapte pour proteger le logiciel tel qu'il a
evolué.
Pour un logiciel c'est la même chose. Pour qu'un fichier binaire pui sse
d'éxécuter il a bien fallu au préalable qu'un être humain ou u n groupe
d'êtres humain écrive un code source.
Cela n'est plus necessairement vraiSans cela, il ne peut pas y avoir d'amélioration, de déboggage, de
nouvelle version.
Il s'agit toujours d'une oeuvre de l'esprit et rien qui ne légitime
le fait de breveter des idées sous-jacentes.
Si un ingenieur cree une image par une serie de manipulation originale
d'electron, il peut le breveter.? si il cree l'image par logiciel en
simulant exactement la meme chose, il ne peut pas breveter. il s'agit
exactement de la meme chose, le meme produit imateriel du meme esprit e t
la loi permet de breveter si il y a une mise en oeuvre materielle et pa s
si il y a une mise en oeuvre logiciel. ou est la logique ?
Donc une succession d'étapes informatiques originales, permettant
d'optenir de nouveaux effets techiques, ne vous semble pas être une
invention ?
Que les juristes et députés ont choisi la facilité il est plus
simple de dire « la protection des logiciels relève du droit
d'auteur » que de mettre sur pied un nouveau droit.
Et si l'on considère que tout programme est, avant d'être compilé ......
on est bien là dans la forme d'une oeuvre de l'esprit.
Et après ladite transformation ?
Protéger les idées sous-jacentes reviendrait à accepter de les b reveter...
C'est justement ce que je cherche à clarifier
C'est quoi un brevet logiciel ?
Le dépôt d'une procédure comme ce fut le cas avec le célèbre one clic
de la société Amazon ?
Q'y avait-il avant le "one clic" ?
réponse: que des procédures laborieuses.
Donc une succession d'étapes informatiques originales, permettant
d'optenir de nouveaux effets techiques, ne vous semble pas être une
invention ?
Que les juristes et députés ont choisi la facilité il est plus
simple de dire « la protection des logiciels relève du droit
d'auteur » que de mettre sur pied un nouveau droit.
Et si l'on considère que tout programme est, avant d'être compilé ......
on est bien là dans la forme d'une oeuvre de l'esprit.
Et après ladite transformation ?
Protéger les idées sous-jacentes reviendrait à accepter de les b reveter...
C'est justement ce que je cherche à clarifier
C'est quoi un brevet logiciel ?
Le dépôt d'une procédure comme ce fut le cas avec le célèbre one clic
de la société Amazon ?
Q'y avait-il avant le "one clic" ?
réponse: que des procédures laborieuses.
Donc une succession d'étapes informatiques originales, permettant
d'optenir de nouveaux effets techiques, ne vous semble pas être une
invention ?
Que les juristes et députés ont choisi la facilité il est plus
simple de dire « la protection des logiciels relève du droit
d'auteur » que de mettre sur pied un nouveau droit.
Et si l'on considère que tout programme est, avant d'être compilé ......
on est bien là dans la forme d'une oeuvre de l'esprit.
Et après ladite transformation ?
Protéger les idées sous-jacentes reviendrait à accepter de les b reveter...
C'est justement ce que je cherche à clarifier
C'est quoi un brevet logiciel ?
Le dépôt d'une procédure comme ce fut le cas avec le célèbre one clic
de la société Amazon ?
Q'y avait-il avant le "one clic" ?
réponse: que des procédures laborieuses.
Dwarfpower wrote:le droit d'auteur protege le code source
C'est suffisant.le code source n'est pas utile pour s'approprier le resultat du
travail de recherche d'autrui, et la preuve est quasi impossible a
etablir si jamais le code source a ete detourne.
Vous parlez du détournement de logiciels libres ? Sinon, le code source
n'est quasiment jamais public, donc cette hypothèse est totalement
fantaisiste.Moi j'appele ca une protection non adapte.
Protection de quoi ? Il n'y a rien à protéger de plus, bon sang!
Les idées triviales ou abstraites ne devraient pas être brevettables,
point à la ligne.
Dwarfpower wrote:
le droit d'auteur protege le code source
C'est suffisant.
le code source n'est pas utile pour s'approprier le resultat du
travail de recherche d'autrui, et la preuve est quasi impossible a
etablir si jamais le code source a ete detourne.
Vous parlez du détournement de logiciels libres ? Sinon, le code source
n'est quasiment jamais public, donc cette hypothèse est totalement
fantaisiste.
Moi j'appele ca une protection non adapte.
Protection de quoi ? Il n'y a rien à protéger de plus, bon sang!
Les idées triviales ou abstraites ne devraient pas être brevettables,
point à la ligne.
Dwarfpower wrote:le droit d'auteur protege le code source
C'est suffisant.le code source n'est pas utile pour s'approprier le resultat du
travail de recherche d'autrui, et la preuve est quasi impossible a
etablir si jamais le code source a ete detourne.
Vous parlez du détournement de logiciels libres ? Sinon, le code source
n'est quasiment jamais public, donc cette hypothèse est totalement
fantaisiste.Moi j'appele ca une protection non adapte.
Protection de quoi ? Il n'y a rien à protéger de plus, bon sang!
Les idées triviales ou abstraites ne devraient pas être brevettables,
point à la ligne.