Si elle ont une mise en oeuvre amterielle elle le sont deja aujourd'hui .
le remettez vous en cause ? dans c cas ovous etes oppose non pas au
brevet logiciel, mais au brevet
Si elle ont une mise en oeuvre amterielle elle le sont deja aujourd'hui .
le remettez vous en cause ? dans c cas ovous etes oppose non pas au
brevet logiciel, mais au brevet
Si elle ont une mise en oeuvre amterielle elle le sont deja aujourd'hui .
le remettez vous en cause ? dans c cas ovous etes oppose non pas au
brevet logiciel, mais au brevet
Dwarfpower wrote:et avant l'implementation il y a eu la conception, et avant ca la
specification et avant ca la capture du besoin ert en parallele a tout
cela la mise au point de bloc technologique permettant
l'implementation, ou la specification.
hors dans tout ceci seul le code source est protege par le droit
d'auteur de maniere opposable aux tiers.
On croirait lire un programme de technologie en collège destiné à
la réalisation/étude d'un bien industriel.
En réalité, ça ne se passe pas toujours de la manière que vous
décrivez pour les logiciels.
Vous tombez dans le piège que j'évoquais c'est-à-dire justifier une
chose par une autre en raisonnant par analogie, par métaphore.
Grand nombre de mes amis qui exercent dans des SS2i m'expliquent
à peu près la même chose. Il faut se méfier de ce que l'on raconte aux
jeunes gens dans certains IUT et/ou écoles d'ingénieurs à propos
de l'implémantation et des cahiers des charges.
L'un d'eux relatait même que lorsqu'un prospect venait le trouver
avec un cahier des charges des plus précis, l'expérience lui avait
apprise à refuser l'affaire ou s'engager dans une autre voie, comparant
la situation à quelqu'un qui viendrait voir un médecin ou un spécialiste
avec son disgnostic.
Dans un article publié sur 01 informatique il avait déclaré :
"ne pas prendre l'utilisateur en otage, respecter le principe de
l'élégance (simplicité, efficacité), penser que tout outil est
faillible, donc préparer le "mode dégradé" et ménager la souplesse en
édifiant autant que possible des solutions tenant compte du fait que nul
ne sait de quoi nous aurons besoin demain.".Quand a la nature d'oeuvre de l'esprit, le brevet ne s'adresse qu'a
l'oeuvre de l'esprit. l'ingenieur definissant un nouveau procede une
nouvelle technique n'a qu'une activite intellectuelle et son oeuvre
est immaterielle; meme ci elle doit avoir une mise en oeuvre
materielle aujourd''hui pour etre brevetable.
Et d'après vous le brevet porte sur l'oeuvre de l'esprit ou sur
l'application industrielle ?Lorsque vous dites que le professeur que vous connessiez ne regarde
que le code source produit par ses eleves, cela n'a plus de sens avec
les logiciels important actuels dont le code source ne peut
materiellement plus etre lu par un individu au cours de sa vie. Je
repondais a ce point.
Pour rester dans votre comparaison, est-ce parce que personne n'est en
mesure de lire entièrement, hormis quelques spécialistes, toute l'oeuvre
contenue dans une bibliothèque qu'il faut nécessaiement breveter les
idées sous-jacentes qu'elle contient ?Le droit d'auteur n'est pas adapte pour proteger le logiciel tel qu'il
a evolué.
A ça on l'a vu avec la DADVSI !!!!!!
Mais il n'a pas évolué dans un bon sens.Pour un logiciel c'est la même chose. Pour qu'un fichier binaire puisse
d'éxécuter il a bien fallu au préalable qu'un être humain ou un groupe
d'êtres humain écrive un code source.
Cela n'est plus necessairement vraiSans cela, il ne peut pas y avoir d'amélioration, de déboggage, de
nouvelle version.
Il s'agit toujours d'une oeuvre de l'esprit et rien qui ne légitime
le fait de breveter des idées sous-jacentes.
Si un ingenieur cree une image par une serie de manipulation originale
d'electron, il peut le breveter.? si il cree l'image par logiciel en
simulant exactement la meme chose, il ne peut pas breveter. il s'agit
exactement de la meme chose, le meme produit imateriel du meme esprit
et la loi permet de breveter si il y a une mise en oeuvre materielle
et pas si il y a une mise en oeuvre logiciel. ou est la logique ?
Je ne comprends pas ce que vous voulez dire.
Pour parler des brevets logiciels et démontrer leur absurdité il faut se
pencher sur ce qui a déjà été breveté par exemple aux Etats-Unis ;
ce n'est pas triste !
Et là démonstration est faite que leur seule finalité est de créer
des mesures ultra-protectionnistes qui bloquent la concurrence et le
libre marché.
L'analogie avec les produits industriels est non seulement un non
sens scientifique mais surtout économique.
Charlie
Dwarfpower wrote:
et avant l'implementation il y a eu la conception, et avant ca la
specification et avant ca la capture du besoin ert en parallele a tout
cela la mise au point de bloc technologique permettant
l'implementation, ou la specification.
hors dans tout ceci seul le code source est protege par le droit
d'auteur de maniere opposable aux tiers.
On croirait lire un programme de technologie en collège destiné à
la réalisation/étude d'un bien industriel.
En réalité, ça ne se passe pas toujours de la manière que vous
décrivez pour les logiciels.
Vous tombez dans le piège que j'évoquais c'est-à-dire justifier une
chose par une autre en raisonnant par analogie, par métaphore.
Grand nombre de mes amis qui exercent dans des SS2i m'expliquent
à peu près la même chose. Il faut se méfier de ce que l'on raconte aux
jeunes gens dans certains IUT et/ou écoles d'ingénieurs à propos
de l'implémantation et des cahiers des charges.
L'un d'eux relatait même que lorsqu'un prospect venait le trouver
avec un cahier des charges des plus précis, l'expérience lui avait
apprise à refuser l'affaire ou s'engager dans une autre voie, comparant
la situation à quelqu'un qui viendrait voir un médecin ou un spécialiste
avec son disgnostic.
Dans un article publié sur 01 informatique il avait déclaré :
"ne pas prendre l'utilisateur en otage, respecter le principe de
l'élégance (simplicité, efficacité), penser que tout outil est
faillible, donc préparer le "mode dégradé" et ménager la souplesse en
édifiant autant que possible des solutions tenant compte du fait que nul
ne sait de quoi nous aurons besoin demain.".
Quand a la nature d'oeuvre de l'esprit, le brevet ne s'adresse qu'a
l'oeuvre de l'esprit. l'ingenieur definissant un nouveau procede une
nouvelle technique n'a qu'une activite intellectuelle et son oeuvre
est immaterielle; meme ci elle doit avoir une mise en oeuvre
materielle aujourd''hui pour etre brevetable.
Et d'après vous le brevet porte sur l'oeuvre de l'esprit ou sur
l'application industrielle ?
Lorsque vous dites que le professeur que vous connessiez ne regarde
que le code source produit par ses eleves, cela n'a plus de sens avec
les logiciels important actuels dont le code source ne peut
materiellement plus etre lu par un individu au cours de sa vie. Je
repondais a ce point.
Pour rester dans votre comparaison, est-ce parce que personne n'est en
mesure de lire entièrement, hormis quelques spécialistes, toute l'oeuvre
contenue dans une bibliothèque qu'il faut nécessaiement breveter les
idées sous-jacentes qu'elle contient ?
Le droit d'auteur n'est pas adapte pour proteger le logiciel tel qu'il
a evolué.
A ça on l'a vu avec la DADVSI !!!!!!
Mais il n'a pas évolué dans un bon sens.
Pour un logiciel c'est la même chose. Pour qu'un fichier binaire puisse
d'éxécuter il a bien fallu au préalable qu'un être humain ou un groupe
d'êtres humain écrive un code source.
Cela n'est plus necessairement vrai
Sans cela, il ne peut pas y avoir d'amélioration, de déboggage, de
nouvelle version.
Il s'agit toujours d'une oeuvre de l'esprit et rien qui ne légitime
le fait de breveter des idées sous-jacentes.
Si un ingenieur cree une image par une serie de manipulation originale
d'electron, il peut le breveter.? si il cree l'image par logiciel en
simulant exactement la meme chose, il ne peut pas breveter. il s'agit
exactement de la meme chose, le meme produit imateriel du meme esprit
et la loi permet de breveter si il y a une mise en oeuvre materielle
et pas si il y a une mise en oeuvre logiciel. ou est la logique ?
Je ne comprends pas ce que vous voulez dire.
Pour parler des brevets logiciels et démontrer leur absurdité il faut se
pencher sur ce qui a déjà été breveté par exemple aux Etats-Unis ;
ce n'est pas triste !
Et là démonstration est faite que leur seule finalité est de créer
des mesures ultra-protectionnistes qui bloquent la concurrence et le
libre marché.
L'analogie avec les produits industriels est non seulement un non
sens scientifique mais surtout économique.
Charlie
Dwarfpower wrote:et avant l'implementation il y a eu la conception, et avant ca la
specification et avant ca la capture du besoin ert en parallele a tout
cela la mise au point de bloc technologique permettant
l'implementation, ou la specification.
hors dans tout ceci seul le code source est protege par le droit
d'auteur de maniere opposable aux tiers.
On croirait lire un programme de technologie en collège destiné à
la réalisation/étude d'un bien industriel.
En réalité, ça ne se passe pas toujours de la manière que vous
décrivez pour les logiciels.
Vous tombez dans le piège que j'évoquais c'est-à-dire justifier une
chose par une autre en raisonnant par analogie, par métaphore.
Grand nombre de mes amis qui exercent dans des SS2i m'expliquent
à peu près la même chose. Il faut se méfier de ce que l'on raconte aux
jeunes gens dans certains IUT et/ou écoles d'ingénieurs à propos
de l'implémantation et des cahiers des charges.
L'un d'eux relatait même que lorsqu'un prospect venait le trouver
avec un cahier des charges des plus précis, l'expérience lui avait
apprise à refuser l'affaire ou s'engager dans une autre voie, comparant
la situation à quelqu'un qui viendrait voir un médecin ou un spécialiste
avec son disgnostic.
Dans un article publié sur 01 informatique il avait déclaré :
"ne pas prendre l'utilisateur en otage, respecter le principe de
l'élégance (simplicité, efficacité), penser que tout outil est
faillible, donc préparer le "mode dégradé" et ménager la souplesse en
édifiant autant que possible des solutions tenant compte du fait que nul
ne sait de quoi nous aurons besoin demain.".Quand a la nature d'oeuvre de l'esprit, le brevet ne s'adresse qu'a
l'oeuvre de l'esprit. l'ingenieur definissant un nouveau procede une
nouvelle technique n'a qu'une activite intellectuelle et son oeuvre
est immaterielle; meme ci elle doit avoir une mise en oeuvre
materielle aujourd''hui pour etre brevetable.
Et d'après vous le brevet porte sur l'oeuvre de l'esprit ou sur
l'application industrielle ?Lorsque vous dites que le professeur que vous connessiez ne regarde
que le code source produit par ses eleves, cela n'a plus de sens avec
les logiciels important actuels dont le code source ne peut
materiellement plus etre lu par un individu au cours de sa vie. Je
repondais a ce point.
Pour rester dans votre comparaison, est-ce parce que personne n'est en
mesure de lire entièrement, hormis quelques spécialistes, toute l'oeuvre
contenue dans une bibliothèque qu'il faut nécessaiement breveter les
idées sous-jacentes qu'elle contient ?Le droit d'auteur n'est pas adapte pour proteger le logiciel tel qu'il
a evolué.
A ça on l'a vu avec la DADVSI !!!!!!
Mais il n'a pas évolué dans un bon sens.Pour un logiciel c'est la même chose. Pour qu'un fichier binaire puisse
d'éxécuter il a bien fallu au préalable qu'un être humain ou un groupe
d'êtres humain écrive un code source.
Cela n'est plus necessairement vraiSans cela, il ne peut pas y avoir d'amélioration, de déboggage, de
nouvelle version.
Il s'agit toujours d'une oeuvre de l'esprit et rien qui ne légitime
le fait de breveter des idées sous-jacentes.
Si un ingenieur cree une image par une serie de manipulation originale
d'electron, il peut le breveter.? si il cree l'image par logiciel en
simulant exactement la meme chose, il ne peut pas breveter. il s'agit
exactement de la meme chose, le meme produit imateriel du meme esprit
et la loi permet de breveter si il y a une mise en oeuvre materielle
et pas si il y a une mise en oeuvre logiciel. ou est la logique ?
Je ne comprends pas ce que vous voulez dire.
Pour parler des brevets logiciels et démontrer leur absurdité il faut se
pencher sur ce qui a déjà été breveté par exemple aux Etats-Unis ;
ce n'est pas triste !
Et là démonstration est faite que leur seule finalité est de créer
des mesures ultra-protectionnistes qui bloquent la concurrence et le
libre marché.
L'analogie avec les produits industriels est non seulement un non
sens scientifique mais surtout économique.
Charlie
Protection de quoi ? Il n'y a rien à protéger de plus, bon sang!
c'est votre avis pas celui de tout le monde
Si elle ont une mise en oeuvre amterielle elle le sont deja aujourd'hui.
le remettez vous en cause ? dans c cas ovous etes oppose non pas au
brevet logiciel, mais au brevet
Protection de quoi ? Il n'y a rien à protéger de plus, bon sang!
c'est votre avis pas celui de tout le monde
Si elle ont une mise en oeuvre amterielle elle le sont deja aujourd'hui.
le remettez vous en cause ? dans c cas ovous etes oppose non pas au
brevet logiciel, mais au brevet
Protection de quoi ? Il n'y a rien à protéger de plus, bon sang!
c'est votre avis pas celui de tout le monde
Si elle ont une mise en oeuvre amterielle elle le sont deja aujourd'hui.
le remettez vous en cause ? dans c cas ovous etes oppose non pas au
brevet logiciel, mais au brevet
candiol a écrit :
> Entièrement d'accord, mais c'est justement cette convention qui
> est en cause, car elle ne définit pas ce qu'est ou serait un
> éventuel brevet logiciel, en fait, elle élude le problème.
Elle définit au contraire très clairement qu'un logiciel n'est pas
brevetable en tant que tel.
candiol a écrit :
> Entièrement d'accord, mais c'est justement cette convention qui
> est en cause, car elle ne définit pas ce qu'est ou serait un
> éventuel brevet logiciel, en fait, elle élude le problème.
Elle définit au contraire très clairement qu'un logiciel n'est pas
brevetable en tant que tel.
candiol a écrit :
> Entièrement d'accord, mais c'est justement cette convention qui
> est en cause, car elle ne définit pas ce qu'est ou serait un
> éventuel brevet logiciel, en fait, elle élude le problème.
Elle définit au contraire très clairement qu'un logiciel n'est pas
brevetable en tant que tel.
> Entièrement d'accord, mais c'est justement cette convention qui
> est en cause, car elle ne définit pas ce qu'est ou serait un
> éventuel brevet logiciel, en fait, elle élude le problème.
Permettez-moi de retourner votre question.
Ne serait-ce pas aux partisans des brevets logicels ou de la
Brevetabilité des inventions mises en oeuvre par ordinateur ...
" l'existence d'un brevet joue un rôle important dans la valorisation
des actifs immatériels des entreprises innovantes et dans la négociat ion
d'accords de coopération entre entreprises"
> Oui, mais l'impossibilité de brevetter les oeuvres de l'esprit en
> question a été décrétée par les hommes et non par les forces de la
> nature.
Absolument. Au même titre que l'abolition des droits et privilèges
féodaux le 4 août 1789.
> Il faudrait définir si oui ou non cela relèverait d'un brevet
> logiciel, définir vaut mieux que de ne rien faire.
Et ce serait quoi votre définition ?
> Donc une succession d'étapes informatiques originales, permettant
> d'optenir de nouveaux effets techiques, ne vous semble pas être une
> invention ?
Dans le sens propre du terme non !
Pourquoi ?
> Entièrement d'accord, mais c'est justement cette convention qui
> est en cause, car elle ne définit pas ce qu'est ou serait un
> éventuel brevet logiciel, en fait, elle élude le problème.
Permettez-moi de retourner votre question.
Ne serait-ce pas aux partisans des brevets logicels ou de la
Brevetabilité des inventions mises en oeuvre par ordinateur ...
" l'existence d'un brevet joue un rôle important dans la valorisation
des actifs immatériels des entreprises innovantes et dans la négociat ion
d'accords de coopération entre entreprises"
> Oui, mais l'impossibilité de brevetter les oeuvres de l'esprit en
> question a été décrétée par les hommes et non par les forces de la
> nature.
Absolument. Au même titre que l'abolition des droits et privilèges
féodaux le 4 août 1789.
> Il faudrait définir si oui ou non cela relèverait d'un brevet
> logiciel, définir vaut mieux que de ne rien faire.
Et ce serait quoi votre définition ?
> Donc une succession d'étapes informatiques originales, permettant
> d'optenir de nouveaux effets techiques, ne vous semble pas être une
> invention ?
Dans le sens propre du terme non !
Pourquoi ?
> Entièrement d'accord, mais c'est justement cette convention qui
> est en cause, car elle ne définit pas ce qu'est ou serait un
> éventuel brevet logiciel, en fait, elle élude le problème.
Permettez-moi de retourner votre question.
Ne serait-ce pas aux partisans des brevets logicels ou de la
Brevetabilité des inventions mises en oeuvre par ordinateur ...
" l'existence d'un brevet joue un rôle important dans la valorisation
des actifs immatériels des entreprises innovantes et dans la négociat ion
d'accords de coopération entre entreprises"
> Oui, mais l'impossibilité de brevetter les oeuvres de l'esprit en
> question a été décrétée par les hommes et non par les forces de la
> nature.
Absolument. Au même titre que l'abolition des droits et privilèges
féodaux le 4 août 1789.
> Il faudrait définir si oui ou non cela relèverait d'un brevet
> logiciel, définir vaut mieux que de ne rien faire.
Et ce serait quoi votre définition ?
> Donc une succession d'étapes informatiques originales, permettant
> d'optenir de nouveaux effets techiques, ne vous semble pas être une
> invention ?
Dans le sens propre du terme non !
Pourquoi ?
Permettez-moi de retourner votre question.
Ne serait-ce pas aux partisans des brevets logicels ou de la
Brevetabilité des inventions mises en oeuvre par ordinateur ...
Non, je pense que c'est aux deux parties de le faire.
" l'existence d'un brevet joue un rôle important dans la valorisation
des actifs immatériels des entreprises innovantes et dans la négoci ation
d'accords de coopération entre entreprises"
Cela est malheuresement une réalité.
Je veux dire par là que ce que l'homme dit et fait n'est imuable.
Le but de cette discussion est justement de chercher si une définitio n
"officiel" existe.
Donc une succession d'étapes informatiques originales, permettant
d'optenir de nouveaux effets techiques, ne vous semble pas être une
invention ?
Dans le sens propre du terme non !
Pourquoi ?
Parceque une invention appartient à celui qui l'a faite, non ?
Permettez-moi de retourner votre question.
Ne serait-ce pas aux partisans des brevets logicels ou de la
Brevetabilité des inventions mises en oeuvre par ordinateur ...
Non, je pense que c'est aux deux parties de le faire.
" l'existence d'un brevet joue un rôle important dans la valorisation
des actifs immatériels des entreprises innovantes et dans la négoci ation
d'accords de coopération entre entreprises"
Cela est malheuresement une réalité.
Je veux dire par là que ce que l'homme dit et fait n'est imuable.
Le but de cette discussion est justement de chercher si une définitio n
"officiel" existe.
Donc une succession d'étapes informatiques originales, permettant
d'optenir de nouveaux effets techiques, ne vous semble pas être une
invention ?
Dans le sens propre du terme non !
Pourquoi ?
Parceque une invention appartient à celui qui l'a faite, non ?
Permettez-moi de retourner votre question.
Ne serait-ce pas aux partisans des brevets logicels ou de la
Brevetabilité des inventions mises en oeuvre par ordinateur ...
Non, je pense que c'est aux deux parties de le faire.
" l'existence d'un brevet joue un rôle important dans la valorisation
des actifs immatériels des entreprises innovantes et dans la négoci ation
d'accords de coopération entre entreprises"
Cela est malheuresement une réalité.
Je veux dire par là que ce que l'homme dit et fait n'est imuable.
Le but de cette discussion est justement de chercher si une définitio n
"officiel" existe.
Donc une succession d'étapes informatiques originales, permettant
d'optenir de nouveaux effets techiques, ne vous semble pas être une
invention ?
Dans le sens propre du terme non !
Pourquoi ?
Parceque une invention appartient à celui qui l'a faite, non ?
En ce sens, un brevet logiciel ne peut porter que sur le brevetage
d'une idée !!!!!!!!!!
En ce sens, un brevet logiciel ne peut porter que sur le brevetage
d'une idée !!!!!!!!!!
En ce sens, un brevet logiciel ne peut porter que sur le brevetage
d'une idée !!!!!!!!!!
Charlie wrote:En ce sens, un brevet logiciel ne peut porter que sur le brevetage
d'une idée !!!!!!!!!!
Rocard avait d'ailleurs très bien résumé le problème: il existe des
équivalences entre un logiciel et son pendant mathématique décomposé en
formules. Breveter un logiciel, c'est breveter un objet logique,
abstrait, une idée.
(<http://www.ffii.fr/brevets-logiciels-vs-connaissances>)
Charlie wrote:
En ce sens, un brevet logiciel ne peut porter que sur le brevetage
d'une idée !!!!!!!!!!
Rocard avait d'ailleurs très bien résumé le problème: il existe des
équivalences entre un logiciel et son pendant mathématique décomposé en
formules. Breveter un logiciel, c'est breveter un objet logique,
abstrait, une idée.
(<http://www.ffii.fr/brevets-logiciels-vs-connaissances>)
Charlie wrote:En ce sens, un brevet logiciel ne peut porter que sur le brevetage
d'une idée !!!!!!!!!!
Rocard avait d'ailleurs très bien résumé le problème: il existe des
équivalences entre un logiciel et son pendant mathématique décomposé en
formules. Breveter un logiciel, c'est breveter un objet logique,
abstrait, une idée.
(<http://www.ffii.fr/brevets-logiciels-vs-connaissances>)
Maintenant qu'on dispose d'outil de modelissation et de simulation
Maintenant qu'on dispose d'outil de modelissation et de simulation
Maintenant qu'on dispose d'outil de modelissation et de simulation
Dwarfpower a écrit :Maintenant qu'on dispose d'outil de modelissation et de simulation
On ne parle pas de modelissation mais d'équivalence strictement
mathématique entre un algo et une formule.
Dwarfpower a écrit :
Maintenant qu'on dispose d'outil de modelissation et de simulation
On ne parle pas de modelissation mais d'équivalence strictement
mathématique entre un algo et une formule.
Dwarfpower a écrit :Maintenant qu'on dispose d'outil de modelissation et de simulation
On ne parle pas de modelissation mais d'équivalence strictement
mathématique entre un algo et une formule.