laurent , dans le message <477fd457$0$869$, aVous en avez pas marre de nous prendre tous pour des benêts patentés.
Et si nous faisions simplment ce qu'il convient de faire , c'est-à-dire,
aller chercher le programme dont on a besoin chez l'éditeur et non pas
"farfouiller" comme vous dites !!
Avec la présentation de la plupart des sites de logiciels propriétaire,
trouver le lien de téléchargement constitue déjà du « farfouillage » de haut
niveau.
Ensuite on télécharge et on installe en click-click sur un .exe et hop
ca marche.
Ou pas. Ou ça casse des choses.
et sans fracasser ou
écraser les bibliothèques du système.
Comment le sais-tu ? Tu vérifies à chaque fois ?
sans
trojans , virus ou autres saloperies.
Comment le sais-tu ? Un truc récupéré sur le site de l'éditeur de l'a dit ?
laurent , dans le message <477fd457$0$869$ba4acef3@news.orange.fr>, a
Vous en avez pas marre de nous prendre tous pour des benêts patentés.
Et si nous faisions simplment ce qu'il convient de faire , c'est-à-dire,
aller chercher le programme dont on a besoin chez l'éditeur et non pas
"farfouiller" comme vous dites !!
Avec la présentation de la plupart des sites de logiciels propriétaire,
trouver le lien de téléchargement constitue déjà du « farfouillage » de haut
niveau.
Ensuite on télécharge et on installe en click-click sur un .exe et hop
ca marche.
Ou pas. Ou ça casse des choses.
et sans fracasser ou
écraser les bibliothèques du système.
Comment le sais-tu ? Tu vérifies à chaque fois ?
sans
trojans , virus ou autres saloperies.
Comment le sais-tu ? Un truc récupéré sur le site de l'éditeur de l'a dit ?
laurent , dans le message <477fd457$0$869$, aVous en avez pas marre de nous prendre tous pour des benêts patentés.
Et si nous faisions simplment ce qu'il convient de faire , c'est-à-dire,
aller chercher le programme dont on a besoin chez l'éditeur et non pas
"farfouiller" comme vous dites !!
Avec la présentation de la plupart des sites de logiciels propriétaire,
trouver le lien de téléchargement constitue déjà du « farfouillage » de haut
niveau.
Ensuite on télécharge et on installe en click-click sur un .exe et hop
ca marche.
Ou pas. Ou ça casse des choses.
et sans fracasser ou
écraser les bibliothèques du système.
Comment le sais-tu ? Tu vérifies à chaque fois ?
sans
trojans , virus ou autres saloperies.
Comment le sais-tu ? Un truc récupéré sur le site de l'éditeur de l'a dit ?
Je lis les recommendationS de l'éditeur et s'il me dit qu'il y a une
incompatibilités avec un matériel installé sur mon ordinateur et be in
j'installe pas.
Je lis les recommendationS de l'éditeur et s'il me dit qu'il y a une
incompatibilités avec un matériel installé sur mon ordinateur et be in
j'installe pas.
Je lis les recommendationS de l'éditeur et s'il me dit qu'il y a une
incompatibilités avec un matériel installé sur mon ordinateur et be in
j'installe pas.
SL , dans le message , a écrit :Si le besoin était aussi large que prétendu, des développeurs (qui sont
aussi des utilisateurs) se seraient mis à la tâche.
Ils semblent qu'ils ne l'aient pas fait
On applique donc la contraposée : le besoin dont il est question est
marginal.
SL , dans le message <slrnfnvrgj.6bu.nospam@valla.limsi.fr>, a écrit :
Si le besoin était aussi large que prétendu, des développeurs (qui sont
aussi des utilisateurs) se seraient mis à la tâche.
Ils semblent qu'ils ne l'aient pas fait
On applique donc la contraposée : le besoin dont il est question est
marginal.
SL , dans le message , a écrit :Si le besoin était aussi large que prétendu, des développeurs (qui sont
aussi des utilisateurs) se seraient mis à la tâche.
Ils semblent qu'ils ne l'aient pas fait
On applique donc la contraposée : le besoin dont il est question est
marginal.
Le 05-01-2008, Nicolas George <nicolas$ a écrit :SL , dans le message , a
écrit :Si le besoin était aussi large que prétendu, des développeurs
(qui sont aussi des utilisateurs) se seraient mis à la tâche.
Ils semblent qu'ils ne l'aient pas fait
On applique donc la contraposée : le besoin dont il est question est
marginal.
A moins que l'implication initiale soit fausse
Le 05-01-2008, Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> a écrit :
SL , dans le message <slrnfnvrgj.6bu.nospam@valla.limsi.fr>, a
écrit :
Si le besoin était aussi large que prétendu, des développeurs
(qui sont aussi des utilisateurs) se seraient mis à la tâche.
Ils semblent qu'ils ne l'aient pas fait
On applique donc la contraposée : le besoin dont il est question est
marginal.
A moins que l'implication initiale soit fausse
Le 05-01-2008, Nicolas George <nicolas$ a écrit :SL , dans le message , a
écrit :Si le besoin était aussi large que prétendu, des développeurs
(qui sont aussi des utilisateurs) se seraient mis à la tâche.
Ils semblent qu'ils ne l'aient pas fait
On applique donc la contraposée : le besoin dont il est question est
marginal.
A moins que l'implication initiale soit fausse
Jerome Lambert , dans le messagene fut-ce que si on veut des versions à jour des
logiciels...
Et ça précisément, qui est l'argument tarte-à-la-crème que le s tenants de ta
position sortent toujours, dans l'immense majorité des cas, c'est une
considérations très secondaire.
Encore une fois c'est une affirmation gratuite. A mon avis il y a
quelque chose de très exacte dans cette critique, si on prend la peine
de bien la formuler, et qui s'adresse, justement, à un argument
tarte-à-la-crème en faveur des gestionnaires de paquets : l'argument
selon lequel les contenus (les logiciels proposés) seraient le même
quand le moyen de diffusion (paquet ou installeur) change. C'est
extrêmement naïf et trivialement faux, et impliqué par toute
l'argumentation en faveur des paquets. Modulo la différence de version,
qui serait triviale, les logiciels seraient les mêmes. Or les
différences de version n'est que l'aspect le plus simple à voir de
quelque chose de beaucoup plus fort : les logiciels ne sont pas les
mêmes selon le mode de distribution.
Et les systmes de paquets, pour de
nombreuses raisons tant techniques que sociales, privilégient
nécessairement un système possédant une cohérence interne forte ; ils
privilégient des logiciels pérennes et bien choisi, il font peser une
sorte de malthusianisme, puisque le gestionnaire de paquet doit éviter
de crouler sous les choses plus maintenus et anciennes, etc.
Le modèle
installeur au contraire permet de rendre disponible des logiciels qui
ont vocation à être périmé rapidement, ce qui est totalement diff érent.
Et évidemment cela correspond beaucoup plus à une informatique
personnelle voire de loisir.
Donc le choix d'un installeur ou d'un gestionnaire de paquet n'est pas
qu'une question de technique d'administration (où d'ailleurs seul compt e
l'avis des intéressés : les utilisateurs), mais aussi un choix de nat ure
de l'utilisation faite de l'informatique.
Et naturellement toute
l'argumentation des tenants des gestionnaires de paquets ici consiste à
dire que rien n'est changé dans l'utilisation au final qu'il préconis e,
que c'est une simple question de mode d'installation, alors qu'en fait
c'est évidemment une prétention non assumée de faire changer tout
l'usage de l'informatique.
Jerome Lambert , dans le message
ne fut-ce que si on veut des versions à jour des
logiciels...
Et ça précisément, qui est l'argument tarte-à-la-crème que le s tenants de ta
position sortent toujours, dans l'immense majorité des cas, c'est une
considérations très secondaire.
Encore une fois c'est une affirmation gratuite. A mon avis il y a
quelque chose de très exacte dans cette critique, si on prend la peine
de bien la formuler, et qui s'adresse, justement, à un argument
tarte-à-la-crème en faveur des gestionnaires de paquets : l'argument
selon lequel les contenus (les logiciels proposés) seraient le même
quand le moyen de diffusion (paquet ou installeur) change. C'est
extrêmement naïf et trivialement faux, et impliqué par toute
l'argumentation en faveur des paquets. Modulo la différence de version,
qui serait triviale, les logiciels seraient les mêmes. Or les
différences de version n'est que l'aspect le plus simple à voir de
quelque chose de beaucoup plus fort : les logiciels ne sont pas les
mêmes selon le mode de distribution.
Et les systmes de paquets, pour de
nombreuses raisons tant techniques que sociales, privilégient
nécessairement un système possédant une cohérence interne forte ; ils
privilégient des logiciels pérennes et bien choisi, il font peser une
sorte de malthusianisme, puisque le gestionnaire de paquet doit éviter
de crouler sous les choses plus maintenus et anciennes, etc.
Le modèle
installeur au contraire permet de rendre disponible des logiciels qui
ont vocation à être périmé rapidement, ce qui est totalement diff érent.
Et évidemment cela correspond beaucoup plus à une informatique
personnelle voire de loisir.
Donc le choix d'un installeur ou d'un gestionnaire de paquet n'est pas
qu'une question de technique d'administration (où d'ailleurs seul compt e
l'avis des intéressés : les utilisateurs), mais aussi un choix de nat ure
de l'utilisation faite de l'informatique.
Et naturellement toute
l'argumentation des tenants des gestionnaires de paquets ici consiste à
dire que rien n'est changé dans l'utilisation au final qu'il préconis e,
que c'est une simple question de mode d'installation, alors qu'en fait
c'est évidemment une prétention non assumée de faire changer tout
l'usage de l'informatique.
Jerome Lambert , dans le messagene fut-ce que si on veut des versions à jour des
logiciels...
Et ça précisément, qui est l'argument tarte-à-la-crème que le s tenants de ta
position sortent toujours, dans l'immense majorité des cas, c'est une
considérations très secondaire.
Encore une fois c'est une affirmation gratuite. A mon avis il y a
quelque chose de très exacte dans cette critique, si on prend la peine
de bien la formuler, et qui s'adresse, justement, à un argument
tarte-à-la-crème en faveur des gestionnaires de paquets : l'argument
selon lequel les contenus (les logiciels proposés) seraient le même
quand le moyen de diffusion (paquet ou installeur) change. C'est
extrêmement naïf et trivialement faux, et impliqué par toute
l'argumentation en faveur des paquets. Modulo la différence de version,
qui serait triviale, les logiciels seraient les mêmes. Or les
différences de version n'est que l'aspect le plus simple à voir de
quelque chose de beaucoup plus fort : les logiciels ne sont pas les
mêmes selon le mode de distribution.
Et les systmes de paquets, pour de
nombreuses raisons tant techniques que sociales, privilégient
nécessairement un système possédant une cohérence interne forte ; ils
privilégient des logiciels pérennes et bien choisi, il font peser une
sorte de malthusianisme, puisque le gestionnaire de paquet doit éviter
de crouler sous les choses plus maintenus et anciennes, etc.
Le modèle
installeur au contraire permet de rendre disponible des logiciels qui
ont vocation à être périmé rapidement, ce qui est totalement diff érent.
Et évidemment cela correspond beaucoup plus à une informatique
personnelle voire de loisir.
Donc le choix d'un installeur ou d'un gestionnaire de paquet n'est pas
qu'une question de technique d'administration (où d'ailleurs seul compt e
l'avis des intéressés : les utilisateurs), mais aussi un choix de nat ure
de l'utilisation faite de l'informatique.
Et naturellement toute
l'argumentation des tenants des gestionnaires de paquets ici consiste à
dire que rien n'est changé dans l'utilisation au final qu'il préconis e,
que c'est une simple question de mode d'installation, alors qu'en fait
c'est évidemment une prétention non assumée de faire changer tout
l'usage de l'informatique.
SL , dans le message , a écrit :J'ai effectivement
des besoins qui collent bien au système de paquets,
Précisément. Et tu es loin d'être le seul : la majorité de la population est
dans ce cas.
Mais le constat que ce
système est mal ressenti a été confirmé par plusieurs personne ici
Ah, mais je n'ai pas dit le contraire. De même, il est vrai que Linux est
RÉPUTÉ moins convivial. Mais dans les deux cas, c'est un ressenti ou une
réputation qui ne colle pas à la réalité.
j'ai donné des arguments
Non, jamais.
Le fait est que tu ne donnes pas, toi même, le moindre fait de ce que
tu avances
J'énonce des généralités
sur l'utilisation des ordinateurs. Les généralités ne se prouvent pas
avec des exemples.
En revanche, elles se révoquent avec des exemples,
donc la balle est dans le camp qui prétendent que, si, si, la plupart
des utilisateurs ont des besoins qui ne sont pas couverts par les
grandes distributions usuelles.
SL , dans le message <slrnfnvrub.6bu.nospam@valla.limsi.fr>, a écrit :
J'ai effectivement
des besoins qui collent bien au système de paquets,
Précisément. Et tu es loin d'être le seul : la majorité de la population est
dans ce cas.
Mais le constat que ce
système est mal ressenti a été confirmé par plusieurs personne ici
Ah, mais je n'ai pas dit le contraire. De même, il est vrai que Linux est
RÉPUTÉ moins convivial. Mais dans les deux cas, c'est un ressenti ou une
réputation qui ne colle pas à la réalité.
j'ai donné des arguments
Non, jamais.
Le fait est que tu ne donnes pas, toi même, le moindre fait de ce que
tu avances
J'énonce des généralités
sur l'utilisation des ordinateurs. Les généralités ne se prouvent pas
avec des exemples.
En revanche, elles se révoquent avec des exemples,
donc la balle est dans le camp qui prétendent que, si, si, la plupart
des utilisateurs ont des besoins qui ne sont pas couverts par les
grandes distributions usuelles.
SL , dans le message , a écrit :J'ai effectivement
des besoins qui collent bien au système de paquets,
Précisément. Et tu es loin d'être le seul : la majorité de la population est
dans ce cas.
Mais le constat que ce
système est mal ressenti a été confirmé par plusieurs personne ici
Ah, mais je n'ai pas dit le contraire. De même, il est vrai que Linux est
RÉPUTÉ moins convivial. Mais dans les deux cas, c'est un ressenti ou une
réputation qui ne colle pas à la réalité.
j'ai donné des arguments
Non, jamais.
Le fait est que tu ne donnes pas, toi même, le moindre fait de ce que
tu avances
J'énonce des généralités
sur l'utilisation des ordinateurs. Les généralités ne se prouvent pas
avec des exemples.
En revanche, elles se révoquent avec des exemples,
donc la balle est dans le camp qui prétendent que, si, si, la plupart
des utilisateurs ont des besoins qui ne sont pas couverts par les
grandes distributions usuelles.
SL , dans le message , a
écrit :Mias il est facile de demander des exemples pour souligner après leur
côté anecdotique.
Gros malin, le fond de l'argument, c'est que les distributions
couvrent tous les besoins usuels. Donc oui, précisément, plus tu cites
des arguments anecdotiques, plus tu renforces la position que tu
cherches à contredire.
SL , dans le message <slrnfnvsbr.6bu.nospam@valla.limsi.fr>, a
écrit :
Mias il est facile de demander des exemples pour souligner après leur
côté anecdotique.
Gros malin, le fond de l'argument, c'est que les distributions
couvrent tous les besoins usuels. Donc oui, précisément, plus tu cites
des arguments anecdotiques, plus tu renforces la position que tu
cherches à contredire.
SL , dans le message , a
écrit :Mias il est facile de demander des exemples pour souligner après leur
côté anecdotique.
Gros malin, le fond de l'argument, c'est que les distributions
couvrent tous les besoins usuels. Donc oui, précisément, plus tu cites
des arguments anecdotiques, plus tu renforces la position que tu
cherches à contredire.
Le fait est qu'une fois informé, les utilisateurs comprennent
l'intérêt du gestionnaire de paquets et quittent leurs mauvaises
habitudes à télécharger/exécuter tout et n'importe quoi, et à leur
grande surprise, pour le plus grand bien de leur système.
CQFD : c'est l'utilisateur qu'il faut changer.
Donc il ne faut pas
prendre en compte son besoin.
Le fait est qu'une fois informé, les utilisateurs comprennent
l'intérêt du gestionnaire de paquets et quittent leurs mauvaises
habitudes à télécharger/exécuter tout et n'importe quoi, et à leur
grande surprise, pour le plus grand bien de leur système.
CQFD : c'est l'utilisateur qu'il faut changer.
Donc il ne faut pas
prendre en compte son besoin.
Le fait est qu'une fois informé, les utilisateurs comprennent
l'intérêt du gestionnaire de paquets et quittent leurs mauvaises
habitudes à télécharger/exécuter tout et n'importe quoi, et à leur
grande surprise, pour le plus grand bien de leur système.
CQFD : c'est l'utilisateur qu'il faut changer.
Donc il ne faut pas
prendre en compte son besoin.
laurent a écrit:Je lis les recommendationS de l'éditeur et s'il me dit qu'il y a
une incompatibilités avec un matériel installé sur mon ordinateur
et bein j'installe pas.
Tu n'es donc pas représentatif de l'utilisateur lambda,
particulièrement le windowsien de base...
Et pourquoi ne le serais-je pas ?
Mon entourage est composé de Windowsiens , de Macqueux , de Linuxiens
( même moi mais c'est très loin je l'avoue RH 7.2) et bien, nous , la
majorité des Windosiens pratiquons de la sorte. Alors nous sommes
répresentatifs de quoi ? D'une espèce en voie de disparition.
laurent <laurent.news@wanadoo.fr> a écrit:
Je lis les recommendationS de l'éditeur et s'il me dit qu'il y a
une incompatibilités avec un matériel installé sur mon ordinateur
et bein j'installe pas.
Tu n'es donc pas représentatif de l'utilisateur lambda,
particulièrement le windowsien de base...
Et pourquoi ne le serais-je pas ?
Mon entourage est composé de Windowsiens , de Macqueux , de Linuxiens
( même moi mais c'est très loin je l'avoue RH 7.2) et bien, nous , la
majorité des Windosiens pratiquons de la sorte. Alors nous sommes
répresentatifs de quoi ? D'une espèce en voie de disparition.
laurent a écrit:Je lis les recommendationS de l'éditeur et s'il me dit qu'il y a
une incompatibilités avec un matériel installé sur mon ordinateur
et bein j'installe pas.
Tu n'es donc pas représentatif de l'utilisateur lambda,
particulièrement le windowsien de base...
Et pourquoi ne le serais-je pas ?
Mon entourage est composé de Windowsiens , de Macqueux , de Linuxiens
( même moi mais c'est très loin je l'avoue RH 7.2) et bien, nous , la
majorité des Windosiens pratiquons de la sorte. Alors nous sommes
répresentatifs de quoi ? D'une espèce en voie de disparition.
Effectivement, on y apprend que le monde libre a été créé par, po ur
et avec les administrateurs,
et certainement pas orienté vers les
utilisateurs.
Effectivement, on y apprend que le monde libre a été créé par, po ur
et avec les administrateurs,
et certainement pas orienté vers les
utilisateurs.
Effectivement, on y apprend que le monde libre a été créé par, po ur
et avec les administrateurs,
et certainement pas orienté vers les
utilisateurs.