laurent , dans le message <477ff6db$0$874$, a écrit :
Je lis les recommendationS de l'éditeur
Donc c'est loin d'être aussi simple que juste cliquer sur oui. CQFD.
Nicolas George
SL , dans le message , a écrit :
Tu sais, le but d'une discussion publique, c'est quand même de convaincre les participants et les lecteurs.
Il a largement été constaté que, toi personnellement, tu es complètement bouché, et qu'essayer de te convaincre est à peu près aussi profitable que pisser dans un violon.
SL , dans le message <slrnfnvt71.6bu.nospam@valla.limsi.fr>, a écrit :
Tu sais, le but d'une discussion publique, c'est quand même de
convaincre les participants et les lecteurs.
Il a largement été constaté que, toi personnellement, tu es complètement
bouché, et qu'essayer de te convaincre est à peu près aussi profitable que
pisser dans un violon.
Tu sais, le but d'une discussion publique, c'est quand même de convaincre les participants et les lecteurs.
Il a largement été constaté que, toi personnellement, tu es complètement bouché, et qu'essayer de te convaincre est à peu près aussi profitable que pisser dans un violon.
laurent
laurent , dans le message <477ff6db$0$874$, a
Je lis les recommendationS de l'éditeur
Donc c'est loin d'être aussi simple que juste cliquer sur oui. CQFD.
Je n'ai jamais dit que c'était simple. Comme tout ce qui est "technique" on se renseigne avant. Je m' élevais contre les personnes qui voient tout les windosiens comme des "clickoide" humain sans cervelle.
Laurent P
laurent , dans le message <477ff6db$0$874$ba4acef3@news.orange.fr>, a
Je lis les recommendationS de l'éditeur
Donc c'est loin d'être aussi simple que juste cliquer sur oui. CQFD.
Je n'ai jamais dit que c'était simple. Comme tout ce qui est "technique"
on se renseigne avant.
Je m' élevais contre les personnes qui voient tout les windosiens comme
des "clickoide" humain sans cervelle.
Donc c'est loin d'être aussi simple que juste cliquer sur oui. CQFD.
Je n'ai jamais dit que c'était simple. Comme tout ce qui est "technique" on se renseigne avant. Je m' élevais contre les personnes qui voient tout les windosiens comme des "clickoide" humain sans cervelle.
Laurent P
Nicolas S.
laurent a écrit:
Je m' élevais contre les personnes qui voient tout les windosiens comme des "clickoide" humain sans cervelle.
C'est le cas de la grande majorité de la population en question.
-- Nicolas S.
laurent <laurent.news@wanadoo.fr> a écrit:
Je m' élevais contre les personnes qui voient tout les windosiens
comme des "clickoide" humain sans cervelle.
C'est le cas de la grande majorité de la population en question.
laurent , dans le message <477ffdf4$0$839$, a écrit :
Je n'ai jamais dit que c'était simple.
Les autres, si.
SL
Le 05-01-2008, Raphaël 'SurcouF' Bordet a écrit :
J'aimerais bien que tu démontres en quoi les systèmes de paquets privilégient les logiciels « pérennes et bien choisis » et que tu nous fournisses une liste des dits logiciels en question. Il y a de nombreux logiciels libres dont les projets ne sont plus du tout maintenus dans les distributions de Linux avec système de paquets (comme les autres) et les responsables de paquets doivent parfois se substituer aux auteurs du logiciel non-maintenu, ne serait-ce que pour corriger les éventuelles failles de sécurité ultérieures.
Précisément. En voilà une source de malthusianisme logiciel.
Donc le choix d'un installeur ou d'un gestionnaire de paquet n'est pas qu'une question de technique d'administration (où d'ailleurs seul compte l'avis des intéressés : les utilisateurs), mais aussi un choix de nature de l'utilisation faite de l'informatique.
Ce n'est pas un choix qui appartient aux utilisateurs mais aux seuls auteurs de logiciels.
Il appartient bien aux utilisateurs de privilégier l'un ou l'autre système (système avec gestionnaire de paquets ou système avec installeur).
Écoute : cela fait des années que ces systèmes existent. Et comme par hasards, ce sont les distributions qui proposent un tel système de mise à jour et d'installation par paquets binaires fournis par les dépôts officiels de celles-ci qui ont connu la plus grande progression auprès des utilisateurs dits « lambda ». Que doit-on en déduire ? Que les systèmes de distributions de paquets binaires ne peuvent pas être utilisées par ce public ?
Ce public est tellement restreint qu'il ne prouve pas grand chose sur l'adéquation d'un système de paquet avec les besoins d'un vrai "lambda".
Le 05-01-2008, Raphaël 'SurcouF' Bordet <surcouf@debianfr> a écrit :
J'aimerais bien que tu démontres en quoi les systèmes de paquets
privilégient les logiciels « pérennes et bien choisis » et que tu nous
fournisses une liste des dits logiciels en question.
Il y a de nombreux logiciels libres dont les projets ne sont plus du
tout maintenus dans les distributions de Linux avec système de paquets
(comme les autres) et les responsables de paquets doivent parfois se
substituer aux auteurs du logiciel non-maintenu, ne serait-ce que pour
corriger les éventuelles failles de sécurité ultérieures.
Précisément. En voilà une source de malthusianisme logiciel.
Donc le choix d'un installeur ou d'un gestionnaire de paquet n'est
pas qu'une question de technique d'administration (où d'ailleurs seul
compte l'avis des intéressés : les utilisateurs), mais aussi un choix
de nature de l'utilisation faite de l'informatique.
Ce n'est pas un choix qui appartient aux utilisateurs mais aux seuls
auteurs de logiciels.
Il appartient bien aux utilisateurs de privilégier l'un ou l'autre
système (système avec gestionnaire de paquets ou système avec
installeur).
Écoute : cela fait des années que ces systèmes existent. Et comme par
hasards, ce sont les distributions qui proposent un tel système de
mise à jour et d'installation par paquets binaires fournis par les
dépôts officiels de celles-ci qui ont connu la plus grande progression
auprès des utilisateurs dits « lambda ». Que doit-on en déduire ? Que
les systèmes de distributions de paquets binaires ne peuvent pas être
utilisées par ce public ?
Ce public est tellement restreint qu'il ne prouve pas grand chose sur
l'adéquation d'un système de paquet avec les besoins d'un vrai "lambda".
J'aimerais bien que tu démontres en quoi les systèmes de paquets privilégient les logiciels « pérennes et bien choisis » et que tu nous fournisses une liste des dits logiciels en question. Il y a de nombreux logiciels libres dont les projets ne sont plus du tout maintenus dans les distributions de Linux avec système de paquets (comme les autres) et les responsables de paquets doivent parfois se substituer aux auteurs du logiciel non-maintenu, ne serait-ce que pour corriger les éventuelles failles de sécurité ultérieures.
Précisément. En voilà une source de malthusianisme logiciel.
Donc le choix d'un installeur ou d'un gestionnaire de paquet n'est pas qu'une question de technique d'administration (où d'ailleurs seul compte l'avis des intéressés : les utilisateurs), mais aussi un choix de nature de l'utilisation faite de l'informatique.
Ce n'est pas un choix qui appartient aux utilisateurs mais aux seuls auteurs de logiciels.
Il appartient bien aux utilisateurs de privilégier l'un ou l'autre système (système avec gestionnaire de paquets ou système avec installeur).
Écoute : cela fait des années que ces systèmes existent. Et comme par hasards, ce sont les distributions qui proposent un tel système de mise à jour et d'installation par paquets binaires fournis par les dépôts officiels de celles-ci qui ont connu la plus grande progression auprès des utilisateurs dits « lambda ». Que doit-on en déduire ? Que les systèmes de distributions de paquets binaires ne peuvent pas être utilisées par ce public ?
Ce public est tellement restreint qu'il ne prouve pas grand chose sur l'adéquation d'un système de paquet avec les besoins d'un vrai "lambda".
Raphaël 'SurcouF' Bordet
laurent , dans le message <477fd457$0$869$, a
Vous en avez pas marre de nous prendre tous pour des benêts patent és. Et si nous faisions simplment ce qu'il convient de faire , c'est-à-d ire, aller chercher le programme dont on a besoin chez l'éditeur et non p as "farfouiller" comme vous dites !!
Avec la présentation de la plupart des sites de logiciels propriéta ire, trouver le lien de téléchargement constitue déjà du « farfoui llage » de haut niveau.
Ca je te l'accorde , certains sites sont une horreur question "ergonomie" mais ce n'est pas exclusivement l'apanage des sites de logiciels propriétaires. Allez pour exemple , je viens d'aller faire le test sur deux sites : Mozilla et Nero. Ca me parait aussi simple l'un que l'autre à la seule diffrence que pou r uns des deux il faut passer par la case "acheter". Mais c'est l'essence même de NERO non ?
C'est l'essence même des logiciels commerciaux dont Nero fait partie. Cependant, je connais peu (pour pas dire aucun) utilisateurs qui aient achetés Nero Burning ROM. Cependant, il est souvent fourni avec l'achat d'un graveur (oh, serait-ce de la vente liée ?) et ils peuvent toujours « l'essayer » gratuitement pendant 15 jours... Mais s'ils peuvent le fournir avec un matériel, ils pourraient très bien le faire via un service tel que « Windows Update ». Sauf que Microsoft préfère four nir ses propres produits maisons. Ce n'est donc qu'une conséquence de la politique de Microsoft sur sa plate-forme si les utilisateurs en sont réduits à devoir parcourir les sites de chaque éditeur pour trouver chaussure à leurs pieds. Ah, les joies des logiciels commerciaux...
et sans fracasser ou
écraser les bibliothèques du système.
Comment le sais-tu ? Tu vérifies à chaque fois ?
Pourquoi veux-tu à tout prix que cela casse quelquechose?
Ca na jamais rien cassé chez moi. Peux-être que je fais un tant soit peu attention à ce que je fais. Je lis les recommendationS de l'éditeur et s'il me dit qu'il y a une incompatibilités avec un matériel installé sur mon ordinateur et be in j'installe pas. Ne serait-ce pas tout simplement la demarche à adopter pour tous systèmes ? POur les logiciels proprio , il y a aussi des buglist.
Si les dev des softs proprio suivent les specifications donné par MS pourquoi des problèmes surviendraient-ils ?
Si les développeurs des logiciels propriétaires suivaient les spécifications (ou même les standards ou RFC), ça se saurait. Il n'y aurait pas autant d'installateurs différents mais uniquement celui de Microsoft. Or, ce n'est pas du tout le cas.
-- Raphaël SurcouF
laurent , dans le message <477fd457$0$869$ba4acef3@news.orange.fr>, a
Vous en avez pas marre de nous prendre tous pour des benêts patent és.
Et si nous faisions simplment ce qu'il convient de faire , c'est-à-d ire,
aller chercher le programme dont on a besoin chez l'éditeur et non p as
"farfouiller" comme vous dites !!
Avec la présentation de la plupart des sites de logiciels propriéta ire,
trouver le lien de téléchargement constitue déjà du « farfoui llage » de haut
niveau.
Ca je te l'accorde , certains sites sont une horreur question
"ergonomie" mais ce n'est pas exclusivement l'apanage des sites de
logiciels propriétaires.
Allez pour exemple , je viens d'aller faire le test sur
deux sites : Mozilla et Nero.
Ca me parait aussi simple l'un que l'autre à la seule diffrence que pou r
uns des deux il faut passer par la case "acheter".
Mais c'est l'essence même de NERO non ?
C'est l'essence même des logiciels commerciaux dont Nero fait partie.
Cependant, je connais peu (pour pas dire aucun) utilisateurs qui aient
achetés Nero Burning ROM. Cependant, il est souvent fourni avec l'achat
d'un graveur (oh, serait-ce de la vente liée ?) et ils peuvent toujours
« l'essayer » gratuitement pendant 15 jours... Mais s'ils peuvent le
fournir avec un matériel, ils pourraient très bien le faire via un
service tel que « Windows Update ». Sauf que Microsoft préfère four nir
ses propres produits maisons. Ce n'est donc qu'une conséquence de la
politique de Microsoft sur sa plate-forme si les utilisateurs en sont
réduits à devoir parcourir les sites de chaque éditeur pour trouver
chaussure à leurs pieds. Ah, les joies des logiciels commerciaux...
et sans fracasser ou
écraser les bibliothèques du système.
Comment le sais-tu ? Tu vérifies à chaque fois ?
Pourquoi veux-tu à tout prix que cela casse quelquechose?
Ca na jamais rien cassé chez moi. Peux-être que je fais un tant soit
peu attention à ce que je fais.
Je lis les recommendationS de l'éditeur et s'il me dit qu'il y a une
incompatibilités avec un matériel installé sur mon ordinateur et be in
j'installe pas.
Ne serait-ce pas tout simplement la demarche à adopter
pour tous systèmes ?
POur les logiciels proprio , il y a aussi des buglist.
Si les dev des softs proprio suivent les specifications donné par MS
pourquoi des problèmes surviendraient-ils ?
Si les développeurs des logiciels propriétaires suivaient les
spécifications (ou même les standards ou RFC), ça se saurait.
Il n'y aurait pas autant d'installateurs différents mais uniquement
celui de Microsoft. Or, ce n'est pas du tout le cas.
Vous en avez pas marre de nous prendre tous pour des benêts patent és. Et si nous faisions simplment ce qu'il convient de faire , c'est-à-d ire, aller chercher le programme dont on a besoin chez l'éditeur et non p as "farfouiller" comme vous dites !!
Avec la présentation de la plupart des sites de logiciels propriéta ire, trouver le lien de téléchargement constitue déjà du « farfoui llage » de haut niveau.
Ca je te l'accorde , certains sites sont une horreur question "ergonomie" mais ce n'est pas exclusivement l'apanage des sites de logiciels propriétaires. Allez pour exemple , je viens d'aller faire le test sur deux sites : Mozilla et Nero. Ca me parait aussi simple l'un que l'autre à la seule diffrence que pou r uns des deux il faut passer par la case "acheter". Mais c'est l'essence même de NERO non ?
C'est l'essence même des logiciels commerciaux dont Nero fait partie. Cependant, je connais peu (pour pas dire aucun) utilisateurs qui aient achetés Nero Burning ROM. Cependant, il est souvent fourni avec l'achat d'un graveur (oh, serait-ce de la vente liée ?) et ils peuvent toujours « l'essayer » gratuitement pendant 15 jours... Mais s'ils peuvent le fournir avec un matériel, ils pourraient très bien le faire via un service tel que « Windows Update ». Sauf que Microsoft préfère four nir ses propres produits maisons. Ce n'est donc qu'une conséquence de la politique de Microsoft sur sa plate-forme si les utilisateurs en sont réduits à devoir parcourir les sites de chaque éditeur pour trouver chaussure à leurs pieds. Ah, les joies des logiciels commerciaux...
et sans fracasser ou
écraser les bibliothèques du système.
Comment le sais-tu ? Tu vérifies à chaque fois ?
Pourquoi veux-tu à tout prix que cela casse quelquechose?
Ca na jamais rien cassé chez moi. Peux-être que je fais un tant soit peu attention à ce que je fais. Je lis les recommendationS de l'éditeur et s'il me dit qu'il y a une incompatibilités avec un matériel installé sur mon ordinateur et be in j'installe pas. Ne serait-ce pas tout simplement la demarche à adopter pour tous systèmes ? POur les logiciels proprio , il y a aussi des buglist.
Si les dev des softs proprio suivent les specifications donné par MS pourquoi des problèmes surviendraient-ils ?
Si les développeurs des logiciels propriétaires suivaient les spécifications (ou même les standards ou RFC), ça se saurait. Il n'y aurait pas autant d'installateurs différents mais uniquement celui de Microsoft. Or, ce n'est pas du tout le cas.
-- Raphaël SurcouF
Raphaël 'SurcouF' Bordet
J'aimerais bien que tu démontres en quoi les systèmes de paquets privilégient les logiciels « pérennes et bien choisis » et que tu nous fournisses une liste des dits logiciels en question. Il y a de nombreux logiciels libres dont les projets ne sont plus du tout maintenus dans les distributions de Linux avec système de paquet s (comme les autres) et les responsables de paquets doivent parfois se substituer aux auteurs du logiciel non-maintenu, ne serait-ce que pour corriger les éventuelles failles de sécurité ultérieures.
Précisément. En voilà une source de malthusianisme logiciel.
En quoi est-ce une source de restriction à la naissance de nouveaux logiciels (ça t'apprendra à utiliser un tel terme) ? Si les développe urs des distributions peuvent permettre à des logiciels non maintenus de continuer à vivre, quel mal cela peut-il avoir sur la création de nouveaux logiciels ?
Donc le choix d'un installeur ou d'un gestionnaire de paquet n'est pas qu'une question de technique d'administration (où d'ailleurs seu l compte l'avis des intéressés : les utilisateurs), mais aussi un ch oix de nature de l'utilisation faite de l'informatique.
Ce n'est pas un choix qui appartient aux utilisateurs mais aux seuls auteurs de logiciels.
Il appartient bien aux utilisateurs de privilégier l'un ou l'autre système (système avec gestionnaire de paquets ou système avec installeur).
Il appartient toujours aux utilisateurs de choisir les logiciels qui leurs conviennent le mieux. Les distributions Linux, s'ils veulent un système Linux, font partie des choix à faire. Quel est le rapport ? Si l'auteur d'un logiciel ne propose aucune version binaire de son logiciel pour Linux, quel choix a l'utilisateur de Linux ? Aucun : il doit compiler le dit logiciel. Est-ce la faute des systèmes de paquets binaires ? Non.
Écoute : cela fait des années que ces systèmes existent. Et comme par hasards, ce sont les distributions qui proposent un tel système de mise à jour et d'installation par paquets binaires fournis par les dépôts officiels de celles-ci qui ont connu la plus grande progress ion auprès des utilisateurs dits « lambda ». Que doit-on en déduire ? Que les systèmes de distributions de paquets binaires ne peuvent pas êt re utilisées par ce public ?
Ce public est tellement restreint qu'il ne prouve pas grand chose sur l'adéquation d'un système de paquet avec les besoins d'un vrai "lambd a".
On en revient toujours à la définition d'un utilisateur « lambda ». En gros, ça ne veut tout et rien dire.
-- Raphaël SurcouF
J'aimerais bien que tu démontres en quoi les systèmes de paquets
privilégient les logiciels « pérennes et bien choisis » et que tu nous
fournisses une liste des dits logiciels en question.
Il y a de nombreux logiciels libres dont les projets ne sont plus du
tout maintenus dans les distributions de Linux avec système de paquet s
(comme les autres) et les responsables de paquets doivent parfois se
substituer aux auteurs du logiciel non-maintenu, ne serait-ce que pour
corriger les éventuelles failles de sécurité ultérieures.
Précisément. En voilà une source de malthusianisme logiciel.
En quoi est-ce une source de restriction à la naissance de nouveaux
logiciels (ça t'apprendra à utiliser un tel terme) ? Si les développe urs
des distributions peuvent permettre à des logiciels non maintenus de
continuer à vivre, quel mal cela peut-il avoir sur la création de
nouveaux logiciels ?
Donc le choix d'un installeur ou d'un gestionnaire de paquet n'est
pas qu'une question de technique d'administration (où d'ailleurs seu l
compte l'avis des intéressés : les utilisateurs), mais aussi un ch oix
de nature de l'utilisation faite de l'informatique.
Ce n'est pas un choix qui appartient aux utilisateurs mais aux seuls
auteurs de logiciels.
Il appartient bien aux utilisateurs de privilégier l'un ou l'autre
système (système avec gestionnaire de paquets ou système avec
installeur).
Il appartient toujours aux utilisateurs de choisir les logiciels qui
leurs conviennent le mieux. Les distributions Linux, s'ils veulent un
système Linux, font partie des choix à faire. Quel est le rapport ?
Si l'auteur d'un logiciel ne propose aucune version binaire de son
logiciel pour Linux, quel choix a l'utilisateur de Linux ? Aucun : il
doit compiler le dit logiciel. Est-ce la faute des systèmes de paquets
binaires ? Non.
Écoute : cela fait des années que ces systèmes existent. Et comme par
hasards, ce sont les distributions qui proposent un tel système de
mise à jour et d'installation par paquets binaires fournis par les
dépôts officiels de celles-ci qui ont connu la plus grande progress ion
auprès des utilisateurs dits « lambda ». Que doit-on en déduire ? Que
les systèmes de distributions de paquets binaires ne peuvent pas êt re
utilisées par ce public ?
Ce public est tellement restreint qu'il ne prouve pas grand chose sur
l'adéquation d'un système de paquet avec les besoins d'un vrai "lambd a".
On en revient toujours à la définition d'un utilisateur « lambda ».
En gros, ça ne veut tout et rien dire.
J'aimerais bien que tu démontres en quoi les systèmes de paquets privilégient les logiciels « pérennes et bien choisis » et que tu nous fournisses une liste des dits logiciels en question. Il y a de nombreux logiciels libres dont les projets ne sont plus du tout maintenus dans les distributions de Linux avec système de paquet s (comme les autres) et les responsables de paquets doivent parfois se substituer aux auteurs du logiciel non-maintenu, ne serait-ce que pour corriger les éventuelles failles de sécurité ultérieures.
Précisément. En voilà une source de malthusianisme logiciel.
En quoi est-ce une source de restriction à la naissance de nouveaux logiciels (ça t'apprendra à utiliser un tel terme) ? Si les développe urs des distributions peuvent permettre à des logiciels non maintenus de continuer à vivre, quel mal cela peut-il avoir sur la création de nouveaux logiciels ?
Donc le choix d'un installeur ou d'un gestionnaire de paquet n'est pas qu'une question de technique d'administration (où d'ailleurs seu l compte l'avis des intéressés : les utilisateurs), mais aussi un ch oix de nature de l'utilisation faite de l'informatique.
Ce n'est pas un choix qui appartient aux utilisateurs mais aux seuls auteurs de logiciels.
Il appartient bien aux utilisateurs de privilégier l'un ou l'autre système (système avec gestionnaire de paquets ou système avec installeur).
Il appartient toujours aux utilisateurs de choisir les logiciels qui leurs conviennent le mieux. Les distributions Linux, s'ils veulent un système Linux, font partie des choix à faire. Quel est le rapport ? Si l'auteur d'un logiciel ne propose aucune version binaire de son logiciel pour Linux, quel choix a l'utilisateur de Linux ? Aucun : il doit compiler le dit logiciel. Est-ce la faute des systèmes de paquets binaires ? Non.
Écoute : cela fait des années que ces systèmes existent. Et comme par hasards, ce sont les distributions qui proposent un tel système de mise à jour et d'installation par paquets binaires fournis par les dépôts officiels de celles-ci qui ont connu la plus grande progress ion auprès des utilisateurs dits « lambda ». Que doit-on en déduire ? Que les systèmes de distributions de paquets binaires ne peuvent pas êt re utilisées par ce public ?
Ce public est tellement restreint qu'il ne prouve pas grand chose sur l'adéquation d'un système de paquet avec les besoins d'un vrai "lambd a".
On en revient toujours à la définition d'un utilisateur « lambda ». En gros, ça ne veut tout et rien dire.
-- Raphaël SurcouF
Raphaël 'SurcouF' Bordet
Le 05-01-2008, Nicolas George <nicolas$ a écrit| :
SL , dans le message , a écrit| :
Tu le répète sans aucun argument.
Le fait que tu aies été incapable de donner un exemple plus significatif qu'une version ultra-précise d'un logiciel qui ne sert qu'aux statisticiens et assimilés est déjà un argument bien assez pertinent.
J'ai donné d'autres exemples (un driver, un logiciel de chat). Mais mon cas particulier et anecdotique n'est pas un argument. J'ai effectivement des besoins qui collent bien au système de paquets, parce que je travaille autant que possible avec des unixeries. Mais le constat que ce système est mal ressenti a été confirmé par plusieurs personne ic i, et j'ai donné des arguments pour montrer que ce système est dans une mes ure peu compatible avec l'exigence d'indépendance et de liberté des utilisateurs, elles-mêmes effectivement contradictoires avec l'administration idéale d'une machine.
L'indépendance et la liberté ne s'acquièrent pas sans un minimum de réflexion et de volonté. Les utilisateurs qui préfèrent la facilit é ne courent pas après l'indépendance. Les logiciels propriétaires, fussent-ils « facilement » installables en apparence grâce à des fichiers qu'on télécharge et qu'un « simple » double-clic suffit à l'installer ne fournissent aucune liberté à l'utilisateur sinon de s'en servir exactement comme l'éditeur l'a décidé. En outre, l'utilisateur devient dépendant de l'éditeur. Résultat : aucune indépendance et encore moins de libertés. Oui, être capable de modifier des logiciels demandent des connaissances et des compétences en la matière. Mais c'est ainsi qu'on devient libre et indépendant.
-- Raphaël SurcouF
Le 05-01-2008, Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> a écrit| :
SL , dans le message <slrnfnvigh.5ld.nospam@valla.limsi.fr>, a
écrit| :
Tu le répète sans aucun argument.
Le fait que tu aies été incapable de donner un exemple plus
significatif qu'une version ultra-précise d'un logiciel qui ne sert
qu'aux statisticiens et assimilés est déjà un argument bien assez
pertinent.
J'ai donné d'autres exemples (un driver, un logiciel de chat). Mais mon
cas particulier et anecdotique n'est pas un argument. J'ai effectivement
des besoins qui collent bien au système de paquets, parce que je
travaille autant que possible avec des unixeries. Mais le constat que ce
système est mal ressenti a été confirmé par plusieurs personne ic i, et
j'ai donné des arguments pour montrer que ce système est dans une mes ure
peu compatible avec l'exigence d'indépendance et de liberté des
utilisateurs, elles-mêmes effectivement contradictoires avec
l'administration idéale d'une machine.
L'indépendance et la liberté ne s'acquièrent pas sans un minimum de
réflexion et de volonté. Les utilisateurs qui préfèrent la facilit é ne
courent pas après l'indépendance.
Les logiciels propriétaires, fussent-ils « facilement » installables en
apparence grâce à des fichiers qu'on télécharge et qu'un « simple »
double-clic suffit à l'installer ne fournissent aucune liberté à
l'utilisateur sinon de s'en servir exactement comme l'éditeur l'a
décidé. En outre, l'utilisateur devient dépendant de l'éditeur.
Résultat : aucune indépendance et encore moins de libertés.
Oui, être capable de modifier des logiciels demandent des connaissances
et des compétences en la matière. Mais c'est ainsi qu'on devient libre
et indépendant.
Le 05-01-2008, Nicolas George <nicolas$ a écrit| :
SL , dans le message , a écrit| :
Tu le répète sans aucun argument.
Le fait que tu aies été incapable de donner un exemple plus significatif qu'une version ultra-précise d'un logiciel qui ne sert qu'aux statisticiens et assimilés est déjà un argument bien assez pertinent.
J'ai donné d'autres exemples (un driver, un logiciel de chat). Mais mon cas particulier et anecdotique n'est pas un argument. J'ai effectivement des besoins qui collent bien au système de paquets, parce que je travaille autant que possible avec des unixeries. Mais le constat que ce système est mal ressenti a été confirmé par plusieurs personne ic i, et j'ai donné des arguments pour montrer que ce système est dans une mes ure peu compatible avec l'exigence d'indépendance et de liberté des utilisateurs, elles-mêmes effectivement contradictoires avec l'administration idéale d'une machine.
L'indépendance et la liberté ne s'acquièrent pas sans un minimum de réflexion et de volonté. Les utilisateurs qui préfèrent la facilit é ne courent pas après l'indépendance. Les logiciels propriétaires, fussent-ils « facilement » installables en apparence grâce à des fichiers qu'on télécharge et qu'un « simple » double-clic suffit à l'installer ne fournissent aucune liberté à l'utilisateur sinon de s'en servir exactement comme l'éditeur l'a décidé. En outre, l'utilisateur devient dépendant de l'éditeur. Résultat : aucune indépendance et encore moins de libertés. Oui, être capable de modifier des logiciels demandent des connaissances et des compétences en la matière. Mais c'est ainsi qu'on devient libre et indépendant.