Il faut considerer que depuis des années tout est fait
pour faire passer l'informatique comme facile.
Sans jamais apporter la moindre preuve concrète, il faut le dire.
Peut-être pas de preuves concrètes mais de belle avancées.
Exemple , il est " assez" aisé d'installer une imprimante USB.
Je mets un disque dans un lecteur CD , il se lance , je suis les
instructions à l'écran , je branche le cable USB quand on me
le demande et zou j'imprime.
Par contre je trouve plus difficile d'installer et de programmer
mon lave-linge pour qu'il lave mes couleur à 40°, mon blanc à 90°,
qu'il essore avec douceur mes vêtements delicats, etc .
D'ailleurs on parle bien d' informatique"familiale".
Et ?...
Et quoi ? Je suppose que tu as très bien compris ce que je voulais dire.
Il faut considerer que depuis des années tout est fait
pour faire passer l'informatique comme facile.
Sans jamais apporter la moindre preuve concrète, il faut le dire.
Peut-être pas de preuves concrètes mais de belle avancées.
Exemple , il est " assez" aisé d'installer une imprimante USB.
Je mets un disque dans un lecteur CD , il se lance , je suis les
instructions à l'écran , je branche le cable USB quand on me
le demande et zou j'imprime.
Par contre je trouve plus difficile d'installer et de programmer
mon lave-linge pour qu'il lave mes couleur à 40°, mon blanc à 90°,
qu'il essore avec douceur mes vêtements delicats, etc .
D'ailleurs on parle bien d' informatique"familiale".
Et ?...
Et quoi ? Je suppose que tu as très bien compris ce que je voulais dire.
Il faut considerer que depuis des années tout est fait
pour faire passer l'informatique comme facile.
Sans jamais apporter la moindre preuve concrète, il faut le dire.
Peut-être pas de preuves concrètes mais de belle avancées.
Exemple , il est " assez" aisé d'installer une imprimante USB.
Je mets un disque dans un lecteur CD , il se lance , je suis les
instructions à l'écran , je branche le cable USB quand on me
le demande et zou j'imprime.
Par contre je trouve plus difficile d'installer et de programmer
mon lave-linge pour qu'il lave mes couleur à 40°, mon blanc à 90°,
qu'il essore avec douceur mes vêtements delicats, etc .
D'ailleurs on parle bien d' informatique"familiale".
Et ?...
Et quoi ? Je suppose que tu as très bien compris ce que je voulais dire.
Apple a office, pas linux.
Apple a Adobe, pas linux.
Apple a du service et du support, pas linux.
Ca n'est pas de moi, je ne partage pas forcement l'opinion énoncée,
mais c'est un point de vue intéressant.
http://apple.slashdot.org/apple/08/01/04/1730254.shtml
Apple a office, pas linux.
Apple a Adobe, pas linux.
Apple a du service et du support, pas linux.
Ca n'est pas de moi, je ne partage pas forcement l'opinion énoncée,
mais c'est un point de vue intéressant.
http://apple.slashdot.org/apple/08/01/04/1730254.shtml
Apple a office, pas linux.
Apple a Adobe, pas linux.
Apple a du service et du support, pas linux.
Ca n'est pas de moi, je ne partage pas forcement l'opinion énoncée,
mais c'est un point de vue intéressant.
http://apple.slashdot.org/apple/08/01/04/1730254.shtml
Ca, c'est pour les deux plus connus, si tu parles d'autre chose, précise.
Ca, c'est pour les deux plus connus, si tu parles d'autre chose, précise.
Ca, c'est pour les deux plus connus, si tu parles d'autre chose, précise.
plus tard, ton pote ramène l'imprimante, tu ne la rebranches pas
sur le même port USB, et là, *paf*: "Un nouveau périphérique a
été détecté...". Dès qu'on sort du schéma général, ce n'est jamais
facile, surtout avec l'USB.
plus tard, ton pote ramène l'imprimante, tu ne la rebranches pas
sur le même port USB, et là, *paf*: "Un nouveau périphérique a
été détecté...". Dès qu'on sort du schéma général, ce n'est jamais
facile, surtout avec l'USB.
plus tard, ton pote ramène l'imprimante, tu ne la rebranches pas
sur le même port USB, et là, *paf*: "Un nouveau périphérique a
été détecté...". Dès qu'on sort du schéma général, ce n'est jamais
facile, surtout avec l'USB.
OSX est passé de 4.21% en janvier 2006 a 7.31% en decembre 2007
pendant que linux est passé de 0.29% a 0.63%. Les raisons:
Environ 87.42% des estimations de part de marché sont fausses
à plus de 28.71%, ce qui me laisse supposer que ces chiffres
sortent d'un choixpeau non homologué.
OSX est passé de 4.21% en janvier 2006 a 7.31% en decembre 2007
pendant que linux est passé de 0.29% a 0.63%. Les raisons:
Environ 87.42% des estimations de part de marché sont fausses
à plus de 28.71%, ce qui me laisse supposer que ces chiffres
sortent d'un choixpeau non homologué.
OSX est passé de 4.21% en janvier 2006 a 7.31% en decembre 2007
pendant que linux est passé de 0.29% a 0.63%. Les raisons:
Environ 87.42% des estimations de part de marché sont fausses
à plus de 28.71%, ce qui me laisse supposer que ces chiffres
sortent d'un choixpeau non homologué.
Stéphane CARPENTIER s'est exprimé en ces termes:Ca, c'est pour les deux plus connus, si tu parles d'autre chose, précise.
Les "deux plus connus" c'est discutable. Photoshop est pas mal connu
quand même,
peut-être encore plus qu'Acrobat AMHA.
Stéphane CARPENTIER s'est exprimé en ces termes:
Ca, c'est pour les deux plus connus, si tu parles d'autre chose, précise.
Les "deux plus connus" c'est discutable. Photoshop est pas mal connu
quand même,
peut-être encore plus qu'Acrobat AMHA.
Stéphane CARPENTIER s'est exprimé en ces termes:Ca, c'est pour les deux plus connus, si tu parles d'autre chose, précise.
Les "deux plus connus" c'est discutable. Photoshop est pas mal connu
quand même,
peut-être encore plus qu'Acrobat AMHA.
Tiens j'ai un bug rigolo avec ma souris. Une souris optique Microsoft,
7 ans de bons et loyaux services. Ininstallable sous Windows 98, le soft
d'install du driver enchaînait les écrans bleus, j'en avais déjà parlé
ici d'ailleurs.
Sous Windows 2000 pas de problème particulier, elle est parfaitement
reconnue et prise en charge. Idem sous Linux ou Mac OS X, d'ailleurs.
Et voilà quand quand je joue à Team Fortress 2, d'un coup d'un seul, et
c'est quasi systématique à chaque partie, je perds la souris. Hop, apu.
Seul moyen de la récupérer, passer sous le bureau, débrancher, et
rebrancher. Parfois, ça ne suffit, pas, il faut redébrancher et
rebrancher. Une fois sur trois, ça m'affiche "un nouveau périphérique a
été détecté" et quand ça fait ça, ça réduit Team Fortress 2 qui met
ensuite un temps fou à revenir et le temps que ça revienne, bin je suis
mort, normal.
Et ça n'arrive qu'une seule fois par partie. Ensuite, plus de problème.
Donc maintenant je prévois, dès que je lance le jeu, avant de rejoindre
un serveur, je débranche et je rebranche.
Quand je jouais à TF2 sous Linux via Wine, je n'ai jamais eu ce
problème. C'est vraiment très curieux ®©(tm).
Tiens j'ai un bug rigolo avec ma souris. Une souris optique Microsoft,
7 ans de bons et loyaux services. Ininstallable sous Windows 98, le soft
d'install du driver enchaînait les écrans bleus, j'en avais déjà parlé
ici d'ailleurs.
Sous Windows 2000 pas de problème particulier, elle est parfaitement
reconnue et prise en charge. Idem sous Linux ou Mac OS X, d'ailleurs.
Et voilà quand quand je joue à Team Fortress 2, d'un coup d'un seul, et
c'est quasi systématique à chaque partie, je perds la souris. Hop, apu.
Seul moyen de la récupérer, passer sous le bureau, débrancher, et
rebrancher. Parfois, ça ne suffit, pas, il faut redébrancher et
rebrancher. Une fois sur trois, ça m'affiche "un nouveau périphérique a
été détecté" et quand ça fait ça, ça réduit Team Fortress 2 qui met
ensuite un temps fou à revenir et le temps que ça revienne, bin je suis
mort, normal.
Et ça n'arrive qu'une seule fois par partie. Ensuite, plus de problème.
Donc maintenant je prévois, dès que je lance le jeu, avant de rejoindre
un serveur, je débranche et je rebranche.
Quand je jouais à TF2 sous Linux via Wine, je n'ai jamais eu ce
problème. C'est vraiment très curieux ®©(tm).
Tiens j'ai un bug rigolo avec ma souris. Une souris optique Microsoft,
7 ans de bons et loyaux services. Ininstallable sous Windows 98, le soft
d'install du driver enchaînait les écrans bleus, j'en avais déjà parlé
ici d'ailleurs.
Sous Windows 2000 pas de problème particulier, elle est parfaitement
reconnue et prise en charge. Idem sous Linux ou Mac OS X, d'ailleurs.
Et voilà quand quand je joue à Team Fortress 2, d'un coup d'un seul, et
c'est quasi systématique à chaque partie, je perds la souris. Hop, apu.
Seul moyen de la récupérer, passer sous le bureau, débrancher, et
rebrancher. Parfois, ça ne suffit, pas, il faut redébrancher et
rebrancher. Une fois sur trois, ça m'affiche "un nouveau périphérique a
été détecté" et quand ça fait ça, ça réduit Team Fortress 2 qui met
ensuite un temps fou à revenir et le temps que ça revienne, bin je suis
mort, normal.
Et ça n'arrive qu'une seule fois par partie. Ensuite, plus de problème.
Donc maintenant je prévois, dès que je lance le jeu, avant de rejoindre
un serveur, je débranche et je rebranche.
Quand je jouais à TF2 sous Linux via Wine, je n'ai jamais eu ce
problème. C'est vraiment très curieux ®©(tm).
Putain les mecs !!
Sans vouloir entrer dans la polémique , ils vous arrivent
des trucs vraiment strange :-)
Putain les mecs !!
Sans vouloir entrer dans la polémique , ils vous arrivent
des trucs vraiment strange :-)
Putain les mecs !!
Sans vouloir entrer dans la polémique , ils vous arrivent
des trucs vraiment strange :-)
Je ne crois pas. Presque tout internaute a reçu un pdf une fois dans sa vie.
Par contre, le nombre de personnes qui utilise son ordinateur pour faire de
la retouche photo est plus faible.
Je ne crois pas. Presque tout internaute a reçu un pdf une fois dans sa vie.
Par contre, le nombre de personnes qui utilise son ordinateur pour faire de
la retouche photo est plus faible.
Je ne crois pas. Presque tout internaute a reçu un pdf une fois dans sa vie.
Par contre, le nombre de personnes qui utilise son ordinateur pour faire de
la retouche photo est plus faible.
SL s'est exprimé en ces termes:Précisément. En voilà une source de malthusianisme logiciel.
Oh mon Dieu. Maintenir des logiciels abandonnés par l'upstream
maintenant c'est un DÉFAUT.
Je disais rigoureusement l'inverse. Le gestionnaire tend à imposer u ne
limite sur le nombre de logiciels plus développés qui sont propos és.
Oui, c'est sans doute pour cela qu'on recense de plus en plus de
logiciels au sein de la distribution Debian :
- Debian 1.1 (« Buzz ») : 474 paquets ;
- Debian 1.2 (« Rex ») : 848 paquets ;
- Debian 1.3 (« Bo ») : 974 paquets ;
- Debian 2.0 (« hamm ») : au moins 1500 paquets ;
- Debian 2.1 (« slink ») : environ 2500 paquets ;
- Debian 2.2 (« potato ») : 3900 binaires pour 2600 sources ;
- Debian 3.0 (« woody ») : 8500 paquets binaires ;
- Debian 3.1 (« sarge ») : environ 15000 paquets ;
- Debian 4.0 (« etch ») : 18200 paquets binaires.
Le fait qu'il y ait une croissance forte du nombre de paquets debian est
sans rapport avec le fait qu'un gestionnaire de paquet impose un
ascétisme par rapport à la prolifération de gadgets, illustrée pa r
exemple sur Windows.
Par ailleurs, toutes les remarques qu'on a pu lire dernièrement sur le
« niveau » des utilisateurs sont profondément désagréable. Il y a
parmi ces utilisateurs des gens qui consacrent leur intelligence à autr e
chose que de la tuyauterie logicielle, des gens qui n'ont envie que de
s'amuser et dont les choix ne vous regardent absolument pas, tous ces
jugements de valeur et ce mépris sont riducule et déplacé.
Le fait
d'être expert en administration système devrait faire rester modeste.
D'ailleurs les administrateurs de l'institution que je fréquente, et qu i
ne sont pas vraiment des branques (ni des zélotes de x ou y), qui
administrent des salles entières de clusters, sont immensément modest es.
Ainsi que les gens manifestement compétents qu'on voit trainer ici. On
demande à un administrateur de répondre aux besoins qui lui formulé . En
aucun cas de les définir. En fait, sa situation professionnelle le met
peut être en dernière place des gens capables de juger ce qu'il faut
pour les "gens" et quelles sont leur besoin. Toute cette discussion
donne l'impression d'un syndicat de plombier qui se serait mis en tête,
on ne sait pour quelle raison, de définir l'usage que les gens font de
l'eau. Ceci dit avec le respect que j'ai, personnellement, pour le
travail d'administration système, ingra mais pas dénué d'élégan ce.
Les remarques aussi sur le fait que l'utilisateur normal n'utilise qu'un
mail, internet, un éditeur, et deux ou trois choses de cette ordre sont
grotesques et insultantes. Chacun à ses lubies - qui fait de la
généalogie, qui des statistiques, qui de sjeux, de la compta, de la
musique, que sais-je, de l'acquisition vidéo, etc. Et dès que quelqu 'un
a un besoin précis de cet ordre, il est plus *libre* il faut bien dire
le mot, sur un système propriétaire, où on fait les choses pour lui , que
sur un système ou on décide à sa place des choix qu'il doit faire - - fut
au non de la rationalité vue par les administateurs.
Je viens encore d'installer une imprimante sur kubuntu (pixma ip 1500).
Evidemment c'était simple et bien documenté, à partir du moment o ù on
fait une recherche sur le nom du modèle, qu'on modifie
/etc/apt/source.list, update, http://localhost:631 pour l'installer via
cups puisque cette imprimante était réputée pour ne pas s'insérer dans
l'interface d'administration kde. N'empêche que tout utilisateur qui n' a
pas envie de consacrer la moindre attention à ces conneries va croire
qu'on se fout de sa gueule et qu'on ne bosse pas pour lui dès qu'il
verra qu'on lui demande de saisir apt-get quelquechose dans une console.
Et il n'aura pas tort. Être au service des usagers, c'est faire des
systèmes où il n'y a aucune technicité. Et d'ailleurs c'est là qu 'est la
vraie complexité, une complexité pour un système informatique, beau coup
plus que dans le fait de faire un système de gestion de dépendances o u
les structures maintenues en interne sont assez fidèlement reproduite a u
niveau de la logique et des alternatives de l'interface utilisateur.
Je t'accorde qu'un paquet source peut se subdiviser en plusieurs
paquets binaires mais, toutefois, la tendance semble plutôt être
l'inverse de ce que tu affirmes. Le nombre de logiciels disponibles au
travers d'un gestionnaire de paquets d'une distribution s'accroît.
Cette croissance ne dit rien sur la tendance d'un gestionnaire de paquet
à imposer une restriction à la prolifération possible de logiciel, la
disponibilité simultanée de version différente, l'indépendance à une
administration centralisée, etc.
SL s'est exprimé en ces termes:
Précisément. En voilà une source de malthusianisme logiciel.
Oh mon Dieu. Maintenir des logiciels abandonnés par l'upstream
maintenant c'est un DÉFAUT.
Je disais rigoureusement l'inverse. Le gestionnaire tend à imposer u ne
limite sur le nombre de logiciels plus développés qui sont propos és.
Oui, c'est sans doute pour cela qu'on recense de plus en plus de
logiciels au sein de la distribution Debian :
- Debian 1.1 (« Buzz ») : 474 paquets ;
- Debian 1.2 (« Rex ») : 848 paquets ;
- Debian 1.3 (« Bo ») : 974 paquets ;
- Debian 2.0 (« hamm ») : au moins 1500 paquets ;
- Debian 2.1 (« slink ») : environ 2500 paquets ;
- Debian 2.2 (« potato ») : 3900 binaires pour 2600 sources ;
- Debian 3.0 (« woody ») : 8500 paquets binaires ;
- Debian 3.1 (« sarge ») : environ 15000 paquets ;
- Debian 4.0 (« etch ») : 18200 paquets binaires.
Le fait qu'il y ait une croissance forte du nombre de paquets debian est
sans rapport avec le fait qu'un gestionnaire de paquet impose un
ascétisme par rapport à la prolifération de gadgets, illustrée pa r
exemple sur Windows.
Par ailleurs, toutes les remarques qu'on a pu lire dernièrement sur le
« niveau » des utilisateurs sont profondément désagréable. Il y a
parmi ces utilisateurs des gens qui consacrent leur intelligence à autr e
chose que de la tuyauterie logicielle, des gens qui n'ont envie que de
s'amuser et dont les choix ne vous regardent absolument pas, tous ces
jugements de valeur et ce mépris sont riducule et déplacé.
Le fait
d'être expert en administration système devrait faire rester modeste.
D'ailleurs les administrateurs de l'institution que je fréquente, et qu i
ne sont pas vraiment des branques (ni des zélotes de x ou y), qui
administrent des salles entières de clusters, sont immensément modest es.
Ainsi que les gens manifestement compétents qu'on voit trainer ici. On
demande à un administrateur de répondre aux besoins qui lui formulé . En
aucun cas de les définir. En fait, sa situation professionnelle le met
peut être en dernière place des gens capables de juger ce qu'il faut
pour les "gens" et quelles sont leur besoin. Toute cette discussion
donne l'impression d'un syndicat de plombier qui se serait mis en tête,
on ne sait pour quelle raison, de définir l'usage que les gens font de
l'eau. Ceci dit avec le respect que j'ai, personnellement, pour le
travail d'administration système, ingra mais pas dénué d'élégan ce.
Les remarques aussi sur le fait que l'utilisateur normal n'utilise qu'un
mail, internet, un éditeur, et deux ou trois choses de cette ordre sont
grotesques et insultantes. Chacun à ses lubies - qui fait de la
généalogie, qui des statistiques, qui de sjeux, de la compta, de la
musique, que sais-je, de l'acquisition vidéo, etc. Et dès que quelqu 'un
a un besoin précis de cet ordre, il est plus *libre* il faut bien dire
le mot, sur un système propriétaire, où on fait les choses pour lui , que
sur un système ou on décide à sa place des choix qu'il doit faire - - fut
au non de la rationalité vue par les administateurs.
Je viens encore d'installer une imprimante sur kubuntu (pixma ip 1500).
Evidemment c'était simple et bien documenté, à partir du moment o ù on
fait une recherche sur le nom du modèle, qu'on modifie
/etc/apt/source.list, update, http://localhost:631 pour l'installer via
cups puisque cette imprimante était réputée pour ne pas s'insérer dans
l'interface d'administration kde. N'empêche que tout utilisateur qui n' a
pas envie de consacrer la moindre attention à ces conneries va croire
qu'on se fout de sa gueule et qu'on ne bosse pas pour lui dès qu'il
verra qu'on lui demande de saisir apt-get quelquechose dans une console.
Et il n'aura pas tort. Être au service des usagers, c'est faire des
systèmes où il n'y a aucune technicité. Et d'ailleurs c'est là qu 'est la
vraie complexité, une complexité pour un système informatique, beau coup
plus que dans le fait de faire un système de gestion de dépendances o u
les structures maintenues en interne sont assez fidèlement reproduite a u
niveau de la logique et des alternatives de l'interface utilisateur.
Je t'accorde qu'un paquet source peut se subdiviser en plusieurs
paquets binaires mais, toutefois, la tendance semble plutôt être
l'inverse de ce que tu affirmes. Le nombre de logiciels disponibles au
travers d'un gestionnaire de paquets d'une distribution s'accroît.
Cette croissance ne dit rien sur la tendance d'un gestionnaire de paquet
à imposer une restriction à la prolifération possible de logiciel, la
disponibilité simultanée de version différente, l'indépendance à une
administration centralisée, etc.
SL s'est exprimé en ces termes:Précisément. En voilà une source de malthusianisme logiciel.
Oh mon Dieu. Maintenir des logiciels abandonnés par l'upstream
maintenant c'est un DÉFAUT.
Je disais rigoureusement l'inverse. Le gestionnaire tend à imposer u ne
limite sur le nombre de logiciels plus développés qui sont propos és.
Oui, c'est sans doute pour cela qu'on recense de plus en plus de
logiciels au sein de la distribution Debian :
- Debian 1.1 (« Buzz ») : 474 paquets ;
- Debian 1.2 (« Rex ») : 848 paquets ;
- Debian 1.3 (« Bo ») : 974 paquets ;
- Debian 2.0 (« hamm ») : au moins 1500 paquets ;
- Debian 2.1 (« slink ») : environ 2500 paquets ;
- Debian 2.2 (« potato ») : 3900 binaires pour 2600 sources ;
- Debian 3.0 (« woody ») : 8500 paquets binaires ;
- Debian 3.1 (« sarge ») : environ 15000 paquets ;
- Debian 4.0 (« etch ») : 18200 paquets binaires.
Le fait qu'il y ait une croissance forte du nombre de paquets debian est
sans rapport avec le fait qu'un gestionnaire de paquet impose un
ascétisme par rapport à la prolifération de gadgets, illustrée pa r
exemple sur Windows.
Par ailleurs, toutes les remarques qu'on a pu lire dernièrement sur le
« niveau » des utilisateurs sont profondément désagréable. Il y a
parmi ces utilisateurs des gens qui consacrent leur intelligence à autr e
chose que de la tuyauterie logicielle, des gens qui n'ont envie que de
s'amuser et dont les choix ne vous regardent absolument pas, tous ces
jugements de valeur et ce mépris sont riducule et déplacé.
Le fait
d'être expert en administration système devrait faire rester modeste.
D'ailleurs les administrateurs de l'institution que je fréquente, et qu i
ne sont pas vraiment des branques (ni des zélotes de x ou y), qui
administrent des salles entières de clusters, sont immensément modest es.
Ainsi que les gens manifestement compétents qu'on voit trainer ici. On
demande à un administrateur de répondre aux besoins qui lui formulé . En
aucun cas de les définir. En fait, sa situation professionnelle le met
peut être en dernière place des gens capables de juger ce qu'il faut
pour les "gens" et quelles sont leur besoin. Toute cette discussion
donne l'impression d'un syndicat de plombier qui se serait mis en tête,
on ne sait pour quelle raison, de définir l'usage que les gens font de
l'eau. Ceci dit avec le respect que j'ai, personnellement, pour le
travail d'administration système, ingra mais pas dénué d'élégan ce.
Les remarques aussi sur le fait que l'utilisateur normal n'utilise qu'un
mail, internet, un éditeur, et deux ou trois choses de cette ordre sont
grotesques et insultantes. Chacun à ses lubies - qui fait de la
généalogie, qui des statistiques, qui de sjeux, de la compta, de la
musique, que sais-je, de l'acquisition vidéo, etc. Et dès que quelqu 'un
a un besoin précis de cet ordre, il est plus *libre* il faut bien dire
le mot, sur un système propriétaire, où on fait les choses pour lui , que
sur un système ou on décide à sa place des choix qu'il doit faire - - fut
au non de la rationalité vue par les administateurs.
Je viens encore d'installer une imprimante sur kubuntu (pixma ip 1500).
Evidemment c'était simple et bien documenté, à partir du moment o ù on
fait une recherche sur le nom du modèle, qu'on modifie
/etc/apt/source.list, update, http://localhost:631 pour l'installer via
cups puisque cette imprimante était réputée pour ne pas s'insérer dans
l'interface d'administration kde. N'empêche que tout utilisateur qui n' a
pas envie de consacrer la moindre attention à ces conneries va croire
qu'on se fout de sa gueule et qu'on ne bosse pas pour lui dès qu'il
verra qu'on lui demande de saisir apt-get quelquechose dans une console.
Et il n'aura pas tort. Être au service des usagers, c'est faire des
systèmes où il n'y a aucune technicité. Et d'ailleurs c'est là qu 'est la
vraie complexité, une complexité pour un système informatique, beau coup
plus que dans le fait de faire un système de gestion de dépendances o u
les structures maintenues en interne sont assez fidèlement reproduite a u
niveau de la logique et des alternatives de l'interface utilisateur.
Je t'accorde qu'un paquet source peut se subdiviser en plusieurs
paquets binaires mais, toutefois, la tendance semble plutôt être
l'inverse de ce que tu affirmes. Le nombre de logiciels disponibles au
travers d'un gestionnaire de paquets d'une distribution s'accroît.
Cette croissance ne dit rien sur la tendance d'un gestionnaire de paquet
à imposer une restriction à la prolifération possible de logiciel, la
disponibilité simultanée de version différente, l'indépendance à une
administration centralisée, etc.