Je suis à la recherche d'un APN bien adapté pour les concerts type Jazz,
Rock, pas classiques... quand ça bouge quoi :-)
Jusqu'ici j'avais un vieux Lumix DMC-FS6 mais maintenant il est mort.
Mes contraintes strictes sont les suivantes :
Comme je suis toujours situé dans le public, disons dans les 3 ou 4 premiers
rangs, qu'il est souvent interdit de photographier et que les fouilles sont
courantes avec une interdiction d'entrer avec un appareil, il me faut un
format le plus petit possible, donc impérativement un compact. Bridge /
Réflex exclus à cause de la taille.
Il me faut un truc simple à utiliser car je n'y connais pas grand chose, je
me bornais jusqu'ici à utiliser le mode iA (Auto).
Il faut que l'écran d'affichage puisse s'éteindre même lorsque je prends une
photo, pour la discrétion.
Les petits + facultatifs :
Je n'ai pas envie de dépenser trop car le risque de casse n'est pas
négligeable, des fois ça bouge *beaucoup*. Donc disons dans les 250€ maxi.
En mode film il serait bien que zoom soit possible (mon Lumix ne permet pas
de zoomer pendant qu'on filme).
Une bonne qualité d'enregistrement du son serait intéressante.
Pour le reste je n'ai pas besoin qu'il fasse le café, donc gadgets genre GPS
superflus.
Voilà donc si vous avez des modèles à me conseiller ce serait sympa.
Le 29/05/2014 13:00, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 29/05/2014 12:20, Ghost-Raider a écrit :
Mais elle est manifestement *sous-ex* de plusieurs diaphragmes, ma photo. J'étais en priorité vitesse pour figer la fille. Les isos étaient fixes. Le E20 a fait ce qu'il a pu avec le diaphragme. Alors simplement retenir les réglages et se concentrer sur les IL n'est absolument pas pertinent.
une noire sous-ex... comment dire... t'es sur ? à vue de pif la photo est à 9IL... disons sous-ex de 2, il en reste 7... !
Et dehors par grand soleil ? Allons, un peu de franchise !
Le 29/05/2014 13:00, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 29/05/2014 12:20, Ghost-Raider a écrit :
Mais elle est manifestement *sous-ex* de plusieurs diaphragmes, ma photo.
J'étais en priorité vitesse pour figer la fille. Les isos étaient fixes.
Le E20 a fait ce qu'il a pu avec le diaphragme.
Alors simplement retenir les réglages et se concentrer sur les IL n'est
absolument pas pertinent.
une noire sous-ex... comment dire... t'es sur ?
à vue de pif la photo est à 9IL...
disons sous-ex de 2, il en reste 7... !
Et dehors par grand soleil ?
Allons, un peu de franchise !
Le 29/05/2014 13:00, Stephane Legras-Decussy a écrit :
Le 29/05/2014 12:20, Ghost-Raider a écrit :
Mais elle est manifestement *sous-ex* de plusieurs diaphragmes, ma photo. J'étais en priorité vitesse pour figer la fille. Les isos étaient fixes. Le E20 a fait ce qu'il a pu avec le diaphragme. Alors simplement retenir les réglages et se concentrer sur les IL n'est absolument pas pertinent.
une noire sous-ex... comment dire... t'es sur ? à vue de pif la photo est à 9IL... disons sous-ex de 2, il en reste 7... !
Et dehors par grand soleil ? Allons, un peu de franchise !
Ghost-Raider
Le 29/05/2014 13:27, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 29/05/14 12:20, Ghost-Raider a écrit :
Le 29/05/2014 11:51, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 29/05/14 09:41, Ghost-Raider a écrit :
Le 29/05/2014 09:02, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 28/05/14 21:49, Ghost-Raider a écrit :
Tiens, une photo de spectacle presque dans l'obscurité que je viens de retrouver. http://cjoint.com/14mi/DECvQY6qM2E_p9272749-001.jpg
Les isos étaient fixes.
Le E20 a fait ce qu'il a pu avec le diaphragme. Alors simplement retenir les réglages et se concentrer sur les IL n'est absolument pas pertinent.
Bien sûr que si. Les IL utilisés te donnent les conditions de lumière. Là, tu en avais plein, photo sombre ou pas.
Bien sûr que non. Quel est le photographe, qui, en pleine séance de prise de vue, se demande : "Voyons, je suis à combien d'IL, là ?".
Le 29/05/2014 13:27, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 29/05/14 12:20, Ghost-Raider a écrit :
Le 29/05/2014 11:51, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 29/05/14 09:41, Ghost-Raider a écrit :
Le 29/05/2014 09:02, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 28/05/14 21:49, Ghost-Raider a écrit :
Tiens, une photo de spectacle presque dans l'obscurité que je
viens de
retrouver.
http://cjoint.com/14mi/DECvQY6qM2E_p9272749-001.jpg
Les isos étaient fixes.
Le E20 a fait ce qu'il a pu avec le diaphragme.
Alors simplement retenir les réglages et se concentrer sur les IL n'est
absolument pas pertinent.
Bien sûr que si.
Les IL utilisés te donnent les conditions de lumière.
Là, tu en avais plein, photo sombre ou pas.
Bien sûr que non.
Quel est le photographe, qui, en pleine séance de prise de vue, se
demande : "Voyons, je suis à combien d'IL, là ?".
Le 29/05/2014 15:58, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 29/05/14 14:40, Ghost-Raider a écrit :
Bien sûr que non. Quel est le photographe, qui, en pleine séance de prise de vue, se demande : "Voyons, je suis à combien d'IL, là ?".
C'est pas "Je suis à combien d'IL" mais "il y a combien d'IL possibles à utiliser dans cette scène et comment je vais les répartir ? "
Tu fais vraiment ça ??? J'hallucine. Moi je prends une photo en auto. Si ça clignote trop dans les blancs, je passe en RAW.
Ghost-Raider
Le 29/05/2014 14:37, Solanar a écrit :
Les épiciers ont quand même le droit de prendre des photos le seul reproche à cette photo pour moi, c'est qu'on ne comprend pas ce que la chanteuse dit: elle articule mal
C'est pas les croisières yéyés des années 60. C'est autre chose.
Le 29/05/2014 14:37, Solanar a écrit :
Les épiciers ont quand même le droit de prendre des photos
le seul reproche à cette photo pour moi, c'est qu'on ne comprend pas ce
que la chanteuse dit: elle articule mal
Les épiciers ont quand même le droit de prendre des photos le seul reproche à cette photo pour moi, c'est qu'on ne comprend pas ce que la chanteuse dit: elle articule mal
C'est pas les croisières yéyés des années 60. C'est autre chose.
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 29/05/14 18:22, Ghost-Raider a écrit :
Le 29/05/2014 15:58, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 29/05/14 14:40, Ghost-Raider a écrit :
Bien sûr que non. Quel est le photographe, qui, en pleine séance de prise de vue, se demande : "Voyons, je suis à combien d'IL, là ?".
C'est pas "Je suis à combien d'IL" mais "il y a combien d'IL possibles à utiliser dans cette scène et comment je vais les répartir ? "
Tu fais vraiment ça ???
Ben, je fais très régulièrement des photos généralement considérées (pas par moi mais par leurs destinataires) comme allant de correctes à excellentes dans des conditions allant de difficiles à impossibles. Peu ou parfois très peu de lumière dans une salle noire, minimum de déclenchements (pas de rafales ni bracketing donc) des gens qui bougent, des différences d'éclairement entre les parties, des gélatines qui bouffent la lumière et le contraste. Avant si possible je demande : fais voir tes pleins feux (l'éclairage maximal sur toute la session) et puis fait voir le mini (l'éclairage minimal pénombre de certains passages). Je fais mes mesures, en fonction de ça je règle en manuel en essayant d'optimiser (j'ai très peu de marge habituellement, je dois choisir entre vitesse et ouverture selon la scène et les gens) et je jette un œil sur l'histogramme de temps en temps, quand je vois que ça change d'intensité. J'ai une petite marge de rattrapage avec le raw, que j'utilise parfois pour faire un assemblage de 2 developpements.
J'aimerais bien que l'on m'explique comment faire d'ailleurs pour que les détails dans les teintes sombres, que je me suis donnée le mal de préserver ou d'extraire, ne disparaissent pas lors de la conversion en jpg. Je suis en tiff, 16 bits, j'enregistre pour le web (conversion en sGRB 8 bits donc et pffff, les cheveux de la brune sur fond noir sont partis dans le néant...
J'hallucine. Moi je prends une photo en auto. Si ça clignote trop dans les blancs, je passe en RAW.
Tu es un génie méconnu, moi j'essaie juste de faire un boulot correct. La seule fois où j'ai laissé le mode iso auto par erreur en passant de l'extérieur à l'intérieur c'est monté trop dans les isos, résultat caca boudin.
Noëlle Adam
Le 29/05/14 18:22, Ghost-Raider a écrit :
Le 29/05/2014 15:58, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 29/05/14 14:40, Ghost-Raider a écrit :
Bien sûr que non.
Quel est le photographe, qui, en pleine séance de prise de vue, se
demande : "Voyons, je suis à combien d'IL, là ?".
C'est pas "Je suis à combien d'IL" mais "il y a combien d'IL possibles à
utiliser dans cette scène et comment je vais les répartir ? "
Tu fais vraiment ça ???
Ben, je fais très régulièrement des photos généralement considérées (pas
par moi mais par leurs destinataires) comme allant de correctes à
excellentes dans des conditions allant de difficiles à impossibles.
Peu ou parfois très peu de lumière dans une salle noire, minimum de
déclenchements (pas de rafales ni bracketing donc) des gens qui bougent,
des différences d'éclairement entre les parties, des gélatines qui
bouffent la lumière et le contraste.
Avant si possible je demande : fais voir tes pleins feux (l'éclairage
maximal sur toute la session) et puis fait voir le mini (l'éclairage
minimal pénombre de certains passages).
Je fais mes mesures, en fonction de ça je règle en manuel en essayant
d'optimiser (j'ai très peu de marge habituellement, je dois choisir
entre vitesse et ouverture selon la scène et les gens) et je jette un
œil sur l'histogramme de temps en temps, quand je vois que ça change
d'intensité.
J'ai une petite marge de rattrapage avec le raw, que j'utilise parfois
pour faire un assemblage de 2 developpements.
J'aimerais bien que l'on m'explique comment faire d'ailleurs pour que
les détails dans les teintes sombres, que je me suis donnée le mal de
préserver ou d'extraire, ne disparaissent pas lors de la conversion en
jpg. Je suis en tiff, 16 bits, j'enregistre pour le web (conversion en
sGRB 8 bits donc et pffff, les cheveux de la brune sur fond noir sont
partis dans le néant...
J'hallucine.
Moi je prends une photo en auto. Si ça clignote trop dans les blancs, je
passe en RAW.
Tu es un génie méconnu, moi j'essaie juste de faire un boulot correct.
La seule fois où j'ai laissé le mode iso auto par erreur en passant de
l'extérieur à l'intérieur c'est monté trop dans les isos, résultat caca
boudin.
Le 29/05/2014 15:58, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 29/05/14 14:40, Ghost-Raider a écrit :
Bien sûr que non. Quel est le photographe, qui, en pleine séance de prise de vue, se demande : "Voyons, je suis à combien d'IL, là ?".
C'est pas "Je suis à combien d'IL" mais "il y a combien d'IL possibles à utiliser dans cette scène et comment je vais les répartir ? "
Tu fais vraiment ça ???
Ben, je fais très régulièrement des photos généralement considérées (pas par moi mais par leurs destinataires) comme allant de correctes à excellentes dans des conditions allant de difficiles à impossibles. Peu ou parfois très peu de lumière dans une salle noire, minimum de déclenchements (pas de rafales ni bracketing donc) des gens qui bougent, des différences d'éclairement entre les parties, des gélatines qui bouffent la lumière et le contraste. Avant si possible je demande : fais voir tes pleins feux (l'éclairage maximal sur toute la session) et puis fait voir le mini (l'éclairage minimal pénombre de certains passages). Je fais mes mesures, en fonction de ça je règle en manuel en essayant d'optimiser (j'ai très peu de marge habituellement, je dois choisir entre vitesse et ouverture selon la scène et les gens) et je jette un œil sur l'histogramme de temps en temps, quand je vois que ça change d'intensité. J'ai une petite marge de rattrapage avec le raw, que j'utilise parfois pour faire un assemblage de 2 developpements.
J'aimerais bien que l'on m'explique comment faire d'ailleurs pour que les détails dans les teintes sombres, que je me suis donnée le mal de préserver ou d'extraire, ne disparaissent pas lors de la conversion en jpg. Je suis en tiff, 16 bits, j'enregistre pour le web (conversion en sGRB 8 bits donc et pffff, les cheveux de la brune sur fond noir sont partis dans le néant...
J'hallucine. Moi je prends une photo en auto. Si ça clignote trop dans les blancs, je passe en RAW.
Tu es un génie méconnu, moi j'essaie juste de faire un boulot correct. La seule fois où j'ai laissé le mode iso auto par erreur en passant de l'extérieur à l'intérieur c'est monté trop dans les isos, résultat caca boudin.
Noëlle Adam
Ghost-Raider
Le 29/05/2014 19:55, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 29/05/14 18:22, Ghost-Raider a écrit :
Tu fais vraiment ça ???
Ben, je fais très régulièrement des photos généralement considérées (pas par moi mais par leurs destinataires) comme allant de correctes à excellentes dans des conditions allant de difficiles à impossibles. Peu ou parfois très peu de lumière dans une salle noire, minimum de déclenchements (pas de rafales ni bracketing donc) des gens qui bougent, des différences d'éclairement entre les parties, des gélatines qui bouffent la lumière et le contraste. Avant si possible je demande : fais voir tes pleins feux (l'éclairage maximal sur toute la session) et puis fait voir le mini (l'éclairage minimal pénombre de certains passages).
Jusque là, je comprends.
Je fais mes mesures, en fonction de ça je règle en manuel en essayant d'optimiser (j'ai très peu de marge habituellement, je dois choisir entre vitesse et ouverture selon la scène et les gens) et je jette un ½il sur l'histogramme de temps en temps, quand je vois que ça change d'intensité.
Mais pourquoi en manuel alors que justement, ton appareil s'adapte ? Tu veux peut-être dire en semi-manuel : vitesse ou diaphragme choisi, l'autre en auto et iso auto limités, non ?
J'ai une petite marge de rattrapage avec le raw, que j'utilise parfois pour faire un assemblage de 2 developpements.
J'aimerais bien que l'on m'explique comment faire d'ailleurs pour que les détails dans les teintes sombres, que je me suis donnée le mal de préserver ou d'extraire, ne disparaissent pas lors de la conversion en jpg. Je suis en tiff, 16 bits, j'enregistre pour le web (conversion en sGRB 8 bits donc et pffff, les cheveux de la brune sur fond noir sont partis dans le néant...
J'hallucine. Moi je prends une photo en auto. Si ça clignote trop dans les blancs, je passe en RAW.
Tu es un génie méconnu, moi j'essaie juste de faire un boulot correct.
Non, c'est mon appareil qui est génial, je n'en suis que le serviteur borné.
Le 29/05/2014 19:55, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 29/05/14 18:22, Ghost-Raider a écrit :
Tu fais vraiment ça ???
Ben, je fais très régulièrement des photos généralement considérées (pas
par moi mais par leurs destinataires) comme allant de correctes à
excellentes dans des conditions allant de difficiles à impossibles.
Peu ou parfois très peu de lumière dans une salle noire, minimum de
déclenchements (pas de rafales ni bracketing donc) des gens qui bougent,
des différences d'éclairement entre les parties, des gélatines qui
bouffent la lumière et le contraste.
Avant si possible je demande : fais voir tes pleins feux (l'éclairage
maximal sur toute la session) et puis fait voir le mini (l'éclairage
minimal pénombre de certains passages).
Jusque là, je comprends.
Je fais mes mesures, en fonction de ça je règle en manuel en essayant
d'optimiser (j'ai très peu de marge habituellement, je dois choisir
entre vitesse et ouverture selon la scène et les gens) et je jette un
½il sur l'histogramme de temps en temps, quand je vois que ça change
d'intensité.
Mais pourquoi en manuel alors que justement, ton appareil s'adapte ?
Tu veux peut-être dire en semi-manuel : vitesse ou diaphragme choisi,
l'autre en auto et iso auto limités, non ?
J'ai une petite marge de rattrapage avec le raw, que j'utilise parfois
pour faire un assemblage de 2 developpements.
J'aimerais bien que l'on m'explique comment faire d'ailleurs pour que
les détails dans les teintes sombres, que je me suis donnée le mal de
préserver ou d'extraire, ne disparaissent pas lors de la conversion en
jpg. Je suis en tiff, 16 bits, j'enregistre pour le web (conversion en
sGRB 8 bits donc et pffff, les cheveux de la brune sur fond noir sont
partis dans le néant...
J'hallucine.
Moi je prends une photo en auto. Si ça clignote trop dans les blancs, je
passe en RAW.
Tu es un génie méconnu, moi j'essaie juste de faire un boulot correct.
Non, c'est mon appareil qui est génial, je n'en suis que le serviteur borné.
Le 29/05/2014 19:55, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 29/05/14 18:22, Ghost-Raider a écrit :
Tu fais vraiment ça ???
Ben, je fais très régulièrement des photos généralement considérées (pas par moi mais par leurs destinataires) comme allant de correctes à excellentes dans des conditions allant de difficiles à impossibles. Peu ou parfois très peu de lumière dans une salle noire, minimum de déclenchements (pas de rafales ni bracketing donc) des gens qui bougent, des différences d'éclairement entre les parties, des gélatines qui bouffent la lumière et le contraste. Avant si possible je demande : fais voir tes pleins feux (l'éclairage maximal sur toute la session) et puis fait voir le mini (l'éclairage minimal pénombre de certains passages).
Jusque là, je comprends.
Je fais mes mesures, en fonction de ça je règle en manuel en essayant d'optimiser (j'ai très peu de marge habituellement, je dois choisir entre vitesse et ouverture selon la scène et les gens) et je jette un ½il sur l'histogramme de temps en temps, quand je vois que ça change d'intensité.
Mais pourquoi en manuel alors que justement, ton appareil s'adapte ? Tu veux peut-être dire en semi-manuel : vitesse ou diaphragme choisi, l'autre en auto et iso auto limités, non ?
J'ai une petite marge de rattrapage avec le raw, que j'utilise parfois pour faire un assemblage de 2 developpements.
J'aimerais bien que l'on m'explique comment faire d'ailleurs pour que les détails dans les teintes sombres, que je me suis donnée le mal de préserver ou d'extraire, ne disparaissent pas lors de la conversion en jpg. Je suis en tiff, 16 bits, j'enregistre pour le web (conversion en sGRB 8 bits donc et pffff, les cheveux de la brune sur fond noir sont partis dans le néant...
J'hallucine. Moi je prends une photo en auto. Si ça clignote trop dans les blancs, je passe en RAW.
Tu es un génie méconnu, moi j'essaie juste de faire un boulot correct.
Non, c'est mon appareil qui est génial, je n'en suis que le serviteur borné.
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 29/05/14 20:48, Ghost-Raider a écrit :
Mais pourquoi en manuel alors que justement, ton appareil s'adapte ?
Le but de l'appareil est de restituer du gris. Le mien est de restituer une scène qui est tout ce qu'on veut, sauf du gris. En évitant les zones brûlées (j'ai horreur de ça) et en déclenchant le moins possible tout en saisissant l'instant interessant.
Tu veux peut-être dire en semi-manuel : vitesse ou diaphragme choisi, l'autre en auto et iso auto limités, non ?
Non, je veux dire en manuel. M. Pas S ni A.
Je ne comprend pas ce que tu ne comprend pas.
Noëlle Adam
Le 29/05/14 20:48, Ghost-Raider a écrit :
Mais pourquoi en manuel alors que justement, ton appareil s'adapte ?
Le but de l'appareil est de restituer du gris.
Le mien est de restituer une scène qui est tout ce qu'on veut, sauf du gris.
En évitant les zones brûlées (j'ai horreur de ça) et en déclenchant le
moins possible tout en saisissant l'instant interessant.
Tu veux peut-être dire en semi-manuel : vitesse ou diaphragme choisi,
l'autre en auto et iso auto limités, non ?
Mais pourquoi en manuel alors que justement, ton appareil s'adapte ?
Le but de l'appareil est de restituer du gris. Le mien est de restituer une scène qui est tout ce qu'on veut, sauf du gris. En évitant les zones brûlées (j'ai horreur de ça) et en déclenchant le moins possible tout en saisissant l'instant interessant.
Tu veux peut-être dire en semi-manuel : vitesse ou diaphragme choisi, l'autre en auto et iso auto limités, non ?
Non, je veux dire en manuel. M. Pas S ni A.
Je ne comprend pas ce que tu ne comprend pas.
Noëlle Adam
Stephane Legras-Decussy
Le 29/05/2014 14:40, Ghost-Raider a écrit :
Quel est le photographe, qui, en pleine séance de prise de vue, se demande : "Voyons, je suis à combien d'IL, là ?".
euh moi, systématiquement ...
Le 29/05/2014 14:40, Ghost-Raider a écrit :
Quel est le photographe, qui, en pleine séance de prise de vue, se
demande : "Voyons, je suis à combien d'IL, là ?".