En retour d'expérience de l'argentique (Nikon FM + objectifs +
acessoires), je ne me vois plus trimballer une valise/sac lourd et
encombrante pour déplacer mon matériel de prise de vue.
Pour voyager, j'ai arrêté mon choix: Pana TZ100.
Pour faire de la photo au quotidien, la réflexion est en cours. Les
contraintes sont donc, en premier lieu le budget (retraite oblige),
ensuite la taille et le poids de l'équipement. Le tout en conservant un
haut niveau de qualité.
J'ai lu beaucoup de documents et d'avis à travers le net et ailleurs;
les orientations qui en découlent m'orientent vers des appareils à
capteur 4/3, idéalement d'au moins 20Mp. Je suis conforté dans cette
idée par le fait que certains "pros" ont fait le choix de ce type de
matériels.
Les marques qui s'imposent seraient Olympus et Pana, et en considérant
le prix plutôt Pana.
En optique, je me verrais bien avec une optique fixe à grande ouverture
(1,8 ou 1,4 idéalement) et un zoom, ceci pouvant être complété suite au
retour d'expérience.
Mon penchant, en l'état actuel des choses, irait vers le Pana GX80 si ce
n'est la définition du capteur (mais j'ai un peu de temps, je n'aurai
les fonds que l'année prochaine).
Comme je n'ai pas la prétention d'avoir un raisonnement sans faille(s),
je me tourne vers vous pour critiquer celui-ci et me faire part de vos
objections.
Ah ben voilà une intervention intéressante et ne venant pas de n'importe qui ! Quand je dis que rien ne vaut un JPG ! Les 10000 ingénieurs d'Olympus, Canon, Nikon et autre passent leur temps à créer et à entrer dans la mémoire des APN des milliers de profils de prises de vue et on voudrait que M. Michu fasse mieux en bricolant un RAW sur un coin de table ?
Regarde quand même mon tuto sur les limitations de ce JPEG et la nécessité de se confronter au RAW http://www.oitregor.com/numeric/tutos_PS/video/ouvre_tuto.html?12a Ce monde est bien compliqué... charles
GhostRaider a écrit :
Ah ben voilà une intervention intéressante et ne venant pas de
n'importe qui !
Quand je dis que rien ne vaut un JPG !
Les 10000 ingénieurs d'Olympus, Canon, Nikon et autre passent leur
temps à créer et à entrer dans la mémoire des APN des milliers de
profils de prises de vue et on voudrait que M. Michu fasse mieux
en bricolant un RAW sur un coin de table ?
Regarde quand même mon tuto sur les limitations de ce JPEG et la
nécessité de se confronter au RAW
http://www.oitregor.com/numeric/tutos_PS/video/ouvre_tuto.html?12a
Ce monde est bien compliqué...
Ah ben voilà une intervention intéressante et ne venant pas de n'importe qui ! Quand je dis que rien ne vaut un JPG ! Les 10000 ingénieurs d'Olympus, Canon, Nikon et autre passent leur temps à créer et à entrer dans la mémoire des APN des milliers de profils de prises de vue et on voudrait que M. Michu fasse mieux en bricolant un RAW sur un coin de table ?
Regarde quand même mon tuto sur les limitations de ce JPEG et la nécessité de se confronter au RAW http://www.oitregor.com/numeric/tutos_PS/video/ouvre_tuto.html?12a Ce monde est bien compliqué... charles
Thierry Houx
Le 17/07/2017 à 20:30, Charles Vassallo a écrit :
Regarde quand même mon tuto sur les limitations de ce JPEG et la nécessité de se confronter au RAW http://www.oitregor.com/numeric/tutos_PS/video/ouvre_tuto.html?12a Ce monde est bien compliqué... charles
Merci pour ce tuto. Je suis convaincu de l'utilité du RAW, d'autant que pour l'instant j'apprends à maîtriser mon appareil, et que les possibilités de corriger mes erreurs sont plus importantes. Je prends mes photos en JPG + RAW. Par contre, étant plutôt militant du logiciel libre, j'utilise: - RawTherapee au lieu de Lightroom - The Gimp au lieu de photoshop La difficulté avec les tutos, c'est qu'ils utilisent très souvent les logiciels mercantiles et qu'il y a à chaque fois à retrouver l'équivalent des commandes utilisées. Dommage car pour l'amateur, il y a une économie substantielle à faire et que le passage aux autres logiciels serait alors certainement plus motivé par un réel besoin.
Le 17/07/2017 à 20:30, Charles Vassallo a écrit :
Regarde quand même mon tuto sur les limitations de ce JPEG et la
nécessité de se confronter au RAW
http://www.oitregor.com/numeric/tutos_PS/video/ouvre_tuto.html?12a
Ce monde est bien compliqué...
charles
Merci pour ce tuto.
Je suis convaincu de l'utilité du RAW, d'autant que pour l'instant
j'apprends à maîtriser mon appareil, et que les possibilités de corriger
mes erreurs sont plus importantes. Je prends mes photos en JPG + RAW.
Par contre, étant plutôt militant du logiciel libre, j'utilise:
- RawTherapee au lieu de Lightroom
- The Gimp au lieu de photoshop
La difficulté avec les tutos, c'est qu'ils utilisent très souvent les
logiciels mercantiles et qu'il y a à chaque fois à retrouver
l'équivalent des commandes utilisées. Dommage car pour l'amateur, il y a
une économie substantielle à faire et que le passage aux autres
logiciels serait alors certainement plus motivé par un réel besoin.
Regarde quand même mon tuto sur les limitations de ce JPEG et la nécessité de se confronter au RAW http://www.oitregor.com/numeric/tutos_PS/video/ouvre_tuto.html?12a Ce monde est bien compliqué... charles
Merci pour ce tuto. Je suis convaincu de l'utilité du RAW, d'autant que pour l'instant j'apprends à maîtriser mon appareil, et que les possibilités de corriger mes erreurs sont plus importantes. Je prends mes photos en JPG + RAW. Par contre, étant plutôt militant du logiciel libre, j'utilise: - RawTherapee au lieu de Lightroom - The Gimp au lieu de photoshop La difficulté avec les tutos, c'est qu'ils utilisent très souvent les logiciels mercantiles et qu'il y a à chaque fois à retrouver l'équivalent des commandes utilisées. Dommage car pour l'amateur, il y a une économie substantielle à faire et que le passage aux autres logiciels serait alors certainement plus motivé par un réel besoin.
GhostRaider
Le 17/07/2017 à 20:30, Charles Vassallo a écrit :
GhostRaider a écrit :
Ah ben voilà une intervention intéressante et ne venant pas de
n'importe qui !
Quand je dis que rien ne vaut un JPG ! Les 10000 ingénieurs d'Olympus, Canon, Nikon et autre passent leur
temps à créer et à entrer dans la mémoire des APN des milliers de profils de prises de vue et on voudrait que M. Michu fasse mieux en bricolant un RAW sur un coin de table ?
Regarde quand même mon tuto sur les limitations de ce JPEG et la nécessité de se confronter au RAW http://www.oitregor.com/numeric/tutos_PS/video/ouvre_tuto.html?12a Ce monde est bien compliqué...
Comment ne pas être convaincu par un cours aussi clair et bien conçu ? Alors, il y a quelques temps, poussé par de tels exemples, j'ai décidé de me lancer dans le RAW aussi, ce Graal des "vrais" photographes. J'ai donc pris des paysages en photo, en doublant le RAW Nikon (NEF) par un JPG. Voici un RAW Nikon (NEF), (10MO) : GGshor7Abga_D90-9062.zip Et son faux jumeau, le JPG (4 MO) : http://www.cjoint.com/doc/17_07/GGshslhmtja_D90-9062.JPG Horreur : le ciel du RAW est tout cramé, tout autant que celui du JPG. Pourtant j'étais en mode d'exposition matricielle. Pour les hautes lumières, c'est raté. Les rochers tout noirs alors ? Si j'éclaircis les rochers du RAW, il deviennent tout granuleux, une vraie mosaïque multicolore. Si j'éclaircis les rochers du JPG, ils sont éclaircis, c'est tout. Tristement, conscient de mon incorrigible incompétence, j'ai rangé le bouton du RAW parmi les commandes à jamais interdites.
Le 17/07/2017 à 20:30, Charles Vassallo a écrit :
GhostRaider a écrit :
Ah ben voilà une intervention intéressante et ne venant pas de
> n'importe qui !
Quand je dis que rien ne vaut un JPG !
Les 10000 ingénieurs d'Olympus, Canon, Nikon et autre passent leur
> temps à créer et à entrer dans la mémoire des APN des milliers de
> profils de prises de vue et on voudrait que M. Michu fasse mieux
> en bricolant un RAW sur un coin de table ?
Regarde quand même mon tuto sur les limitations de ce JPEG et la
nécessité de se confronter au RAW
http://www.oitregor.com/numeric/tutos_PS/video/ouvre_tuto.html?12a
Ce monde est bien compliqué...
Comment ne pas être convaincu par un cours aussi clair et bien conçu ?
Alors, il y a quelques temps, poussé par de tels exemples, j'ai décidé
de me lancer dans le RAW aussi, ce Graal des "vrais" photographes.
J'ai donc pris des paysages en photo, en doublant le RAW Nikon (NEF) par
un JPG.
Voici un RAW Nikon (NEF), (10MO) :
GGshor7Abga_D90-9062.zip
Et son faux jumeau, le JPG (4 MO) :
http://www.cjoint.com/doc/17_07/GGshslhmtja_D90-9062.JPG
Horreur : le ciel du RAW est tout cramé, tout autant que celui du JPG.
Pourtant j'étais en mode d'exposition matricielle.
Pour les hautes lumières, c'est raté.
Les rochers tout noirs alors ?
Si j'éclaircis les rochers du RAW, il deviennent tout granuleux, une
vraie mosaïque multicolore.
Si j'éclaircis les rochers du JPG, ils sont éclaircis, c'est tout.
Tristement, conscient de mon incorrigible incompétence, j'ai rangé le
bouton du RAW parmi les commandes à jamais interdites.
Ah ben voilà une intervention intéressante et ne venant pas de
n'importe qui !
Quand je dis que rien ne vaut un JPG ! Les 10000 ingénieurs d'Olympus, Canon, Nikon et autre passent leur
temps à créer et à entrer dans la mémoire des APN des milliers de profils de prises de vue et on voudrait que M. Michu fasse mieux en bricolant un RAW sur un coin de table ?
Regarde quand même mon tuto sur les limitations de ce JPEG et la nécessité de se confronter au RAW http://www.oitregor.com/numeric/tutos_PS/video/ouvre_tuto.html?12a Ce monde est bien compliqué...
Comment ne pas être convaincu par un cours aussi clair et bien conçu ? Alors, il y a quelques temps, poussé par de tels exemples, j'ai décidé de me lancer dans le RAW aussi, ce Graal des "vrais" photographes. J'ai donc pris des paysages en photo, en doublant le RAW Nikon (NEF) par un JPG. Voici un RAW Nikon (NEF), (10MO) : GGshor7Abga_D90-9062.zip Et son faux jumeau, le JPG (4 MO) : http://www.cjoint.com/doc/17_07/GGshslhmtja_D90-9062.JPG Horreur : le ciel du RAW est tout cramé, tout autant que celui du JPG. Pourtant j'étais en mode d'exposition matricielle. Pour les hautes lumières, c'est raté. Les rochers tout noirs alors ? Si j'éclaircis les rochers du RAW, il deviennent tout granuleux, une vraie mosaïque multicolore. Si j'éclaircis les rochers du JPG, ils sont éclaircis, c'est tout. Tristement, conscient de mon incorrigible incompétence, j'ai rangé le bouton du RAW parmi les commandes à jamais interdites.
GhostRaider
Le 18/07/2017 à 09:43, GhostRaider a écrit :
Voici un RAW Nikon (NEF), (10MO) : GGshor7Abga_D90-9062.zip
Le lien : http://www.cjoint.com/c/GGsh4m30Bia Toutes mes excuses...
Le 18/07/2017 à 09:43, GhostRaider a écrit :
Voici un RAW Nikon (NEF), (10MO) :
GGshor7Abga_D90-9062.zip
Voici un RAW Nikon (NEF), (10MO) : GGshor7Abga_D90-9062.zip
Le lien : http://www.cjoint.com/c/GGsh4m30Bia Toutes mes excuses...
Charles Vassallo
GhostRaider a écrit :
http://www.cjoint.com/doc/17_07/GGshslhmtja_D90-9062.JPG Horreur : le ciel du RAW est tout cramé, tout autant que celui du JPG. Pourtant j'étais en mode d'exposition matricielle. Pour les hautes lumières, c'est raté. Les rochers tout noirs alors ? Si j'éclaircis les rochers du RAW, il deviennent tout granuleux, une vraie mosaïque multicolore. Si j'éclaircis les rochers du JPG, ils sont éclaircis, c'est tout. Tristement, conscient de mon incorrigible incompétence, j'ai rangé le bouton du RAW parmi les commandes à jamais interdites.
On va rire sur ton râble dans les arrière-salles du forum. De quelle image RAW parles-tu ? Ça n'existe pas, ou plutôt, il y en autant que l'on veut, une fois qu'on a ouvert son derawtiseur préféré. On parle souvent du RAW comme des négatifs d'antan ; on ne jugeait pas de la qualité d'une image au simple vu du négatif, on fallait passer par le labo pour en faire un tirage. Ton image est un beau cas d'école : une scène avec une dynamique énorme, impossible à faire entrer dans un JPEG sans écrêtage d'un côté ou de l'autre, sauf à régler l'appareil sur un contraste hyper doux, s'il a ça dans sa besace, et encore cela laisserait-il une image d'une grande fadeur, invendable. Il n'y a aucune solution avec un JPEG «direct», c.à.d. un contraste neutre ; il faut du tone-mapping pour faire entrer cette dynamique dans ce qu'on peut mettre dans une image. Certains boitiers permettent d'en faire à la prise de vue, comme le D-light dans ton boitier favori, ou les possibilités de HDR dans d'autres, mais les réglages seront très limités. En règle générale, il faudra recourir au post-traitement et le RAW en aura bien plus sous le capot pour le supporter que le JPEG. Dans ton exemple, le ciel du JPEG est définitivement rétamé ; il est fort possible que celui du RAW ne le soit pas (mais il faut vérifier) charles
GhostRaider a écrit :
http://www.cjoint.com/doc/17_07/GGshslhmtja_D90-9062.JPG
Horreur : le ciel du RAW est tout cramé, tout autant que celui du JPG.
Pourtant j'étais en mode d'exposition matricielle.
Pour les hautes lumières, c'est raté.
Les rochers tout noirs alors ?
Si j'éclaircis les rochers du RAW, il deviennent tout granuleux, une
vraie mosaïque multicolore.
Si j'éclaircis les rochers du JPG, ils sont éclaircis, c'est tout.
Tristement, conscient de mon incorrigible incompétence, j'ai rangé le
bouton du RAW parmi les commandes à jamais interdites.
On va rire sur ton râble dans les arrière-salles du forum. De quelle
image RAW parles-tu ? Ça n'existe pas, ou plutôt, il y en autant que
l'on veut, une fois qu'on a ouvert son derawtiseur préféré. On parle
souvent du RAW comme des négatifs d'antan ; on ne jugeait pas de la
qualité d'une image au simple vu du négatif, on fallait passer par le
labo pour en faire un tirage.
Ton image est un beau cas d'école : une scène avec une dynamique énorme,
impossible à faire entrer dans un JPEG sans écrêtage d'un côté ou de
l'autre, sauf à régler l'appareil sur un contraste hyper doux, s'il a ça
dans sa besace, et encore cela laisserait-il une image d'une grande
fadeur, invendable.
Il n'y a aucune solution avec un JPEG «direct», c.à.d. un contraste
neutre ; il faut du tone-mapping pour faire entrer cette dynamique dans
ce qu'on peut mettre dans une image. Certains boitiers permettent d'en
faire à la prise de vue, comme le D-light dans ton boitier favori, ou
les possibilités de HDR dans d'autres, mais les réglages seront très
limités. En règle générale, il faudra recourir au post-traitement et le
RAW en aura bien plus sous le capot pour le supporter que le JPEG. Dans
ton exemple, le ciel du JPEG est définitivement rétamé ; il est fort
possible que celui du RAW ne le soit pas (mais il faut vérifier)
http://www.cjoint.com/doc/17_07/GGshslhmtja_D90-9062.JPG Horreur : le ciel du RAW est tout cramé, tout autant que celui du JPG. Pourtant j'étais en mode d'exposition matricielle. Pour les hautes lumières, c'est raté. Les rochers tout noirs alors ? Si j'éclaircis les rochers du RAW, il deviennent tout granuleux, une vraie mosaïque multicolore. Si j'éclaircis les rochers du JPG, ils sont éclaircis, c'est tout. Tristement, conscient de mon incorrigible incompétence, j'ai rangé le bouton du RAW parmi les commandes à jamais interdites.
On va rire sur ton râble dans les arrière-salles du forum. De quelle image RAW parles-tu ? Ça n'existe pas, ou plutôt, il y en autant que l'on veut, une fois qu'on a ouvert son derawtiseur préféré. On parle souvent du RAW comme des négatifs d'antan ; on ne jugeait pas de la qualité d'une image au simple vu du négatif, on fallait passer par le labo pour en faire un tirage. Ton image est un beau cas d'école : une scène avec une dynamique énorme, impossible à faire entrer dans un JPEG sans écrêtage d'un côté ou de l'autre, sauf à régler l'appareil sur un contraste hyper doux, s'il a ça dans sa besace, et encore cela laisserait-il une image d'une grande fadeur, invendable. Il n'y a aucune solution avec un JPEG «direct», c.à.d. un contraste neutre ; il faut du tone-mapping pour faire entrer cette dynamique dans ce qu'on peut mettre dans une image. Certains boitiers permettent d'en faire à la prise de vue, comme le D-light dans ton boitier favori, ou les possibilités de HDR dans d'autres, mais les réglages seront très limités. En règle générale, il faudra recourir au post-traitement et le RAW en aura bien plus sous le capot pour le supporter que le JPEG. Dans ton exemple, le ciel du JPEG est définitivement rétamé ; il est fort possible que celui du RAW ne le soit pas (mais il faut vérifier) charles
DV
Charles Vassallo a écrit ceci :
Il n'y a aucune solution avec un JPEG «direct», c.à.d. un contraste neutre ; il faut du tone-mapping pour faire entrer cette dynamique dans ce qu'on peut mettre dans une image. Certains boitiers permettent d'en faire à la prise de vue, comme le D-light dans ton boitier favori, ou les possibilités de HDR dans d'autres, mais les réglages seront très limités. En règle générale, il faudra recourir au post-traitement et le RAW en aura bien plus sous le capot pour le supporter que le JPEG. Dans ton exemple, le ciel du JPEG est définitivement rétamé ; il est fort possible que celui du RAW ne le soit pas (mais il faut vérifier)
Vérifions donc : <https://framapic.org/eTdoH36GVTCw/4hDjRkYtPZ28.jpg> Dans cette interprétation, les rochers sont un peu trop clairs à mon goût, mais c'est parce que cette histoire de "vraie mosaïque multicolore" m'intriguait. -- Denis
Charles Vassallo a écrit ceci :
Il n'y a aucune solution avec un JPEG «direct», c.à.d. un contraste
neutre ; il faut du tone-mapping pour faire entrer cette dynamique dans
ce qu'on peut mettre dans une image. Certains boitiers permettent d'en
faire à la prise de vue, comme le D-light dans ton boitier favori, ou
les possibilités de HDR dans d'autres, mais les réglages seront très
limités. En règle générale, il faudra recourir au post-traitement et le
RAW en aura bien plus sous le capot pour le supporter que le JPEG. Dans
ton exemple, le ciel du JPEG est définitivement rétamé ; il est fort
possible que celui du RAW ne le soit pas (mais il faut vérifier)
Dans cette interprétation, les rochers sont un peu trop clairs à mon
goût, mais c'est parce que cette histoire de "vraie mosaïque
multicolore" m'intriguait.
Il n'y a aucune solution avec un JPEG «direct», c.à.d. un contraste neutre ; il faut du tone-mapping pour faire entrer cette dynamique dans ce qu'on peut mettre dans une image. Certains boitiers permettent d'en faire à la prise de vue, comme le D-light dans ton boitier favori, ou les possibilités de HDR dans d'autres, mais les réglages seront très limités. En règle générale, il faudra recourir au post-traitement et le RAW en aura bien plus sous le capot pour le supporter que le JPEG. Dans ton exemple, le ciel du JPEG est définitivement rétamé ; il est fort possible que celui du RAW ne le soit pas (mais il faut vérifier)
Vérifions donc : <https://framapic.org/eTdoH36GVTCw/4hDjRkYtPZ28.jpg> Dans cette interprétation, les rochers sont un peu trop clairs à mon goût, mais c'est parce que cette histoire de "vraie mosaïque multicolore" m'intriguait. -- Denis
Charles Vassallo
GhostRaider a écrit :
Le 18/07/2017 à 09:43, GhostRaider a écrit :
Voici un RAW Nikon (NEF), (10MO) : GGshor7Abga_D90-9062.zip
Le lien : http://www.cjoint.com/c/GGsh4m30Bia Toutes mes excuses...
Qui n'a jamais oublié son lien ? Ce que ça peut donner en sortie de Camera Raw : http://www.cjoint.com/doc/17_07/GGsjn3oDi8D_D90-9062-depuisRAW.jpg Maintenant, il ne faut pas pleurer que ça ne redonne pas l'impact de la scène initiale : c'est impossible, sauf peut-être à régler son moniteur comme un projecteur de DCA, dix ou cent fois plus lumineux que prescrit par les normes... charles
GhostRaider a écrit :
Le 18/07/2017 à 09:43, GhostRaider a écrit :
Voici un RAW Nikon (NEF), (10MO) :
GGshor7Abga_D90-9062.zip
Le lien :
http://www.cjoint.com/c/GGsh4m30Bia
Toutes mes excuses...
Qui n'a jamais oublié son lien ?
Ce que ça peut donner en sortie de Camera Raw :
Maintenant, il ne faut pas pleurer que ça ne redonne pas l'impact de la
scène initiale : c'est impossible, sauf peut-être à régler son moniteur
comme un projecteur de DCA, dix ou cent fois plus lumineux que prescrit
par les normes...
Voici un RAW Nikon (NEF), (10MO) : GGshor7Abga_D90-9062.zip
Le lien : http://www.cjoint.com/c/GGsh4m30Bia Toutes mes excuses...
Qui n'a jamais oublié son lien ? Ce que ça peut donner en sortie de Camera Raw : http://www.cjoint.com/doc/17_07/GGsjn3oDi8D_D90-9062-depuisRAW.jpg Maintenant, il ne faut pas pleurer que ça ne redonne pas l'impact de la scène initiale : c'est impossible, sauf peut-être à régler son moniteur comme un projecteur de DCA, dix ou cent fois plus lumineux que prescrit par les normes... charles
GhostRaider
Le 18/07/2017 à 10:23, Nul a écrit :
Un paysage ne se prend pas en mode matriciel, ce mode fait une moyenne des lumières en laissant tombé les deux extrêmes. En regardant ton paysage avec tes yeux, tu peux évaluer la dynamique de la vue. [AE/AF] qu'il faut configurer dans le menu par AE memory only. Revenons au paysage, là tu prends une lumière intermédiaire en poussant le déclencheur à mi distance comme tu sais le faire. Tu mémorise cette mesure de lumière en poussant sur ce bouton [AE/AF] puis tu fais ta photo en prenant une mesure focale là où il te semble avoir un maximum de netteté sur l'ensemble de la vue. Il est évident que tout ceci ne peut se faire qu'en mode spot (maxi les neuf collimateurs en cercle). Retourne s'y et recommence ;-)
Mais là, mon paysage crève toutes les limites de la dynamique que peut accepter l'appareil. Alors comment je gère les écarts de luminosité que mon appareil ne peut pas tolérer sur une seule et même prise ? Je serai obligé de privilégier les hautes lumière OU les basses lumières, non ?
Le 18/07/2017 à 10:23, Nul a écrit :
Un paysage ne se prend pas en mode matriciel, ce mode fait une moyenne des lumières en laissant tombé les deux extrêmes.
En regardant ton paysage avec tes yeux, tu peux évaluer la dynamique de la vue.
[AE/AF] qu'il faut configurer dans le menu par AE memory only.
Revenons au paysage, là tu prends une lumière intermédiaire en poussant le déclencheur à mi distance comme tu sais le faire.
Tu mémorise cette mesure de lumière en poussant sur ce bouton [AE/AF] puis tu fais ta photo en prenant une mesure focale là où il te semble avoir un maximum de netteté sur l'ensemble de la vue.
Il est évident que tout ceci ne peut se faire qu'en mode spot (maxi les neuf collimateurs en cercle).
Retourne s'y et recommence ;-)
Mais là, mon paysage crève toutes les limites de la dynamique que peut
accepter l'appareil.
Alors comment je gère les écarts de luminosité que mon appareil ne peut
pas tolérer sur une seule et même prise ? Je serai obligé de privilégier
les hautes lumière OU les basses lumières, non ?
Un paysage ne se prend pas en mode matriciel, ce mode fait une moyenne des lumières en laissant tombé les deux extrêmes. En regardant ton paysage avec tes yeux, tu peux évaluer la dynamique de la vue. [AE/AF] qu'il faut configurer dans le menu par AE memory only. Revenons au paysage, là tu prends une lumière intermédiaire en poussant le déclencheur à mi distance comme tu sais le faire. Tu mémorise cette mesure de lumière en poussant sur ce bouton [AE/AF] puis tu fais ta photo en prenant une mesure focale là où il te semble avoir un maximum de netteté sur l'ensemble de la vue. Il est évident que tout ceci ne peut se faire qu'en mode spot (maxi les neuf collimateurs en cercle). Retourne s'y et recommence ;-)
Mais là, mon paysage crève toutes les limites de la dynamique que peut accepter l'appareil. Alors comment je gère les écarts de luminosité que mon appareil ne peut pas tolérer sur une seule et même prise ? Je serai obligé de privilégier les hautes lumière OU les basses lumières, non ?
GhostRaider
Le 18/07/2017 à 10:31, Charles Vassallo a écrit :
On va rire sur ton râble dans les arrière-salles du forum. De quelle image RAW parles-tu ? Ça n'existe pas, ou plutôt, il y en autant que l'on veut, une fois qu'on a ouvert son derawtiseur préféré. On parle souvent du RAW comme des négatifs d'antan ; on ne jugeait pas de la qualité d'une image au simple vu du négatif, on fallait passer par le labo pour en faire un tirage.
Ne jouons pas sur les mots, le RAW, enceint de son "image" en devenir est là : http://www.cjoint.com/c/GGsh4m30Bia
Ton image est un beau cas d'école : une scène avec une dynamique énorme, impossible à faire entrer dans un JPEG sans écrêtage d'un côté ou de l'autre, sauf à régler l'appareil sur un contraste hyper doux, s'il a ça dans sa besace, et encore cela laisserait-il une image d'une grande fadeur, invendable.
C'est bien pourquoi, conscient que le JPG aurait un peu de mal, j'ai pris en RAW, le résultat me paraît bien médiocre.
Il n'y a aucune solution avec un JPEG «direct», c.à.d. un contraste neutre ; il faut du tone-mapping pour faire entrer cette dynamique dans ce qu'on peut mettre dans une image. Certains boitiers permettent d'en faire à la prise de vue, comme le D-light dans ton boitier favori, ou les possibilités de HDR dans d'autres, mais les réglages seront très limités. En règle générale, il faudra recourir au post-traitement et le RAW en aura bien plus sous le capot pour le supporter que le JPEG. Dans ton exemple, le ciel du JPEG est définitivement rétamé ; il est fort possible que celui du RAW ne le soit pas (mais il faut vérifier).
Apparemment, le milieu du ciel est bien cramé aussi dans l"image" du RAW, voir le message de DV après passage dans DxO. https://framapic.org/eTdoH36GVTCw/4hDjRkYtPZ28.jpg Mais j'ai des doutes, ce sont les dimensions du JPG, pas du RAW. Mais le but de la manoeuvre, pour moi, reste clair : si le JPG est à la rue, le RAW ne permettra pas vraiment de le sauver.
Le 18/07/2017 à 10:31, Charles Vassallo a écrit :
On va rire sur ton râble dans les arrière-salles du forum. De quelle
image RAW parles-tu ? Ça n'existe pas, ou plutôt, il y en autant que
l'on veut, une fois qu'on a ouvert son derawtiseur préféré. On parle
souvent du RAW comme des négatifs d'antan ; on ne jugeait pas de la
qualité d'une image au simple vu du négatif, on fallait passer par le
labo pour en faire un tirage.
Ne jouons pas sur les mots, le RAW, enceint de son "image" en devenir
est là :
http://www.cjoint.com/c/GGsh4m30Bia
Ton image est un beau cas d'école : une scène avec une dynamique énorme,
impossible à faire entrer dans un JPEG sans écrêtage d'un côté ou de
l'autre, sauf à régler l'appareil sur un contraste hyper doux, s'il a ça
dans sa besace, et encore cela laisserait-il une image d'une grande
fadeur, invendable.
C'est bien pourquoi, conscient que le JPG aurait un peu de mal, j'ai
pris en RAW, le résultat me paraît bien médiocre.
Il n'y a aucune solution avec un JPEG «direct», c.à.d. un contraste
neutre ; il faut du tone-mapping pour faire entrer cette dynamique dans
ce qu'on peut mettre dans une image. Certains boitiers permettent d'en
faire à la prise de vue, comme le D-light dans ton boitier favori, ou
les possibilités de HDR dans d'autres, mais les réglages seront très
limités. En règle générale, il faudra recourir au post-traitement et le
RAW en aura bien plus sous le capot pour le supporter que le JPEG. Dans
ton exemple, le ciel du JPEG est définitivement rétamé ; il est fort
possible que celui du RAW ne le soit pas (mais il faut vérifier).
Apparemment, le milieu du ciel est bien cramé aussi dans l"image" du
RAW, voir le message de DV après passage dans DxO.
https://framapic.org/eTdoH36GVTCw/4hDjRkYtPZ28.jpg
Mais j'ai des doutes, ce sont les dimensions du JPG, pas du RAW.
Mais le but de la manoeuvre, pour moi, reste clair : si le JPG est à la
rue, le RAW ne permettra pas vraiment de le sauver.
On va rire sur ton râble dans les arrière-salles du forum. De quelle image RAW parles-tu ? Ça n'existe pas, ou plutôt, il y en autant que l'on veut, une fois qu'on a ouvert son derawtiseur préféré. On parle souvent du RAW comme des négatifs d'antan ; on ne jugeait pas de la qualité d'une image au simple vu du négatif, on fallait passer par le labo pour en faire un tirage.
Ne jouons pas sur les mots, le RAW, enceint de son "image" en devenir est là : http://www.cjoint.com/c/GGsh4m30Bia
Ton image est un beau cas d'école : une scène avec une dynamique énorme, impossible à faire entrer dans un JPEG sans écrêtage d'un côté ou de l'autre, sauf à régler l'appareil sur un contraste hyper doux, s'il a ça dans sa besace, et encore cela laisserait-il une image d'une grande fadeur, invendable.
C'est bien pourquoi, conscient que le JPG aurait un peu de mal, j'ai pris en RAW, le résultat me paraît bien médiocre.
Il n'y a aucune solution avec un JPEG «direct», c.à.d. un contraste neutre ; il faut du tone-mapping pour faire entrer cette dynamique dans ce qu'on peut mettre dans une image. Certains boitiers permettent d'en faire à la prise de vue, comme le D-light dans ton boitier favori, ou les possibilités de HDR dans d'autres, mais les réglages seront très limités. En règle générale, il faudra recourir au post-traitement et le RAW en aura bien plus sous le capot pour le supporter que le JPEG. Dans ton exemple, le ciel du JPEG est définitivement rétamé ; il est fort possible que celui du RAW ne le soit pas (mais il faut vérifier).
Apparemment, le milieu du ciel est bien cramé aussi dans l"image" du RAW, voir le message de DV après passage dans DxO. https://framapic.org/eTdoH36GVTCw/4hDjRkYtPZ28.jpg Mais j'ai des doutes, ce sont les dimensions du JPG, pas du RAW. Mais le but de la manoeuvre, pour moi, reste clair : si le JPG est à la rue, le RAW ne permettra pas vraiment de le sauver.
GhostRaider
Le 18/07/2017 à 11:07, Nul a écrit :
Ceci se rapproche t'il de ton souvenir ? http://www.cjoint.com/data3/GGsjgyrZoIN_D90-9062.jpg