Confronté à un problème de choix d'appareil, le me suis livré, pour
moi, à une petite comparaison entre marques et modèles de compacts
différents. Ça peut en intéresser certains et je donne les URL plus
loin.
Vous y trouverez un même sujet, photographié dans les conditions les
plus voisines possible. J'y ai rajouté l'image prise avec un gros
réflex. C'est surtout la qualité de la définition qui est en cause.
Il y a deux exceptions : le TZ 80 à un tout petit capteur. Le Canon est
un full frame. Le Sony et le Lumix TZ101 ont des capteurs de 1 pouce.
Le premier lien aboutit à une image de 2,3 Mo.
Pour les puristes, le second lien aboutit à une image en plus haute
résolution, qui fait 50 Mo. Bonne visu.
Par contre, je puis attester de ton boulot de reporter, spécialiste des nénettes... http://archaero.com/Tampon/Mme-X-Birdy.jpg
Nicole Bertin, excellente photographe inaugurant son exposition photo sur la Chine,et ex-directrice de la Haute Saintonge (groupe Sud-Ouest). Je sais que tu la connais aussi...:-)
Hum, on voit très bien à l'air hautain de la Dame que tu viens de lui faire une proposition malhonnête et à ton air gêné que tu t'es fourvoyé.
Non ma fiche "petit-blanc" façon RG, me disait qu'elle était en ménage avec un ex-avocat maire UMP d'une commune voisine, décédé l'an dernier.Pas de nom, certains ici voient de qui je veux parler.
Par contre, je puis attester de ton boulot de reporter, spécialiste
des nénettes...
http://archaero.com/Tampon/Mme-X-Birdy.jpg
Nicole Bertin, excellente photographe inaugurant son exposition photo
sur la Chine,et ex-directrice de la Haute Saintonge (groupe Sud-Ouest).
Je sais que tu la connais aussi...:-)
Hum, on voit très bien à l'air hautain de la Dame que tu viens de lui faire
une proposition malhonnête et à ton air gêné que tu t'es fourvoyé.
Non ma fiche "petit-blanc" façon RG, me disait qu'elle était en ménage
avec un ex-avocat maire UMP d'une commune voisine, décédé l'an
dernier.Pas de nom, certains ici voient de qui je veux parler.
Par contre, je puis attester de ton boulot de reporter, spécialiste des nénettes... http://archaero.com/Tampon/Mme-X-Birdy.jpg
Nicole Bertin, excellente photographe inaugurant son exposition photo sur la Chine,et ex-directrice de la Haute Saintonge (groupe Sud-Ouest). Je sais que tu la connais aussi...:-)
Hum, on voit très bien à l'air hautain de la Dame que tu viens de lui faire une proposition malhonnête et à ton air gêné que tu t'es fourvoyé.
Non ma fiche "petit-blanc" façon RG, me disait qu'elle était en ménage avec un ex-avocat maire UMP d'une commune voisine, décédé l'an dernier.Pas de nom, certains ici voient de qui je veux parler.
Jacques L'helgoualc'h
Le 10-06-2016, GhostRaider a écrit : [...]
Sans fondement technique ? Hum ! http://www.street-photo.fr/fr/technique-theorie/23/36
Pas très crédible : - la profondeur de champ « 1/3 devant, 2/3 derrière » n'est qu'un cas particulier --- le cas général est plutôt « moins devant que derrière » ; - la profondeur de champ, à focale et diaphragme constants, *n'est pas* proportionnelle à la distance de mise au point. Il suffit de considérer le cas de la mise au point à l'hyperfocale H : la profondeur de champ va de H/2 devant à l'infini derrière... -- JL
Le 10-06-2016, GhostRaider a écrit :
[...]
Sans fondement technique ?
Hum !
http://www.street-photo.fr/fr/technique-theorie/23/36
Pas très crédible :
- la profondeur de champ « 1/3 devant, 2/3 derrière » n'est qu'un cas
particulier --- le cas général est plutôt « moins devant que derrière » ;
- la profondeur de champ, à focale et diaphragme constants, *n'est
pas* proportionnelle à la distance de mise au point.
Il suffit de considérer le cas de la mise au point à l'hyperfocale H :
la profondeur de champ va de H/2 devant à l'infini derrière...
Sans fondement technique ? Hum ! http://www.street-photo.fr/fr/technique-theorie/23/36
Pas très crédible : - la profondeur de champ « 1/3 devant, 2/3 derrière » n'est qu'un cas particulier --- le cas général est plutôt « moins devant que derrière » ; - la profondeur de champ, à focale et diaphragme constants, *n'est pas* proportionnelle à la distance de mise au point. Il suffit de considérer le cas de la mise au point à l'hyperfocale H : la profondeur de champ va de H/2 devant à l'infini derrière... -- JL
GhostRaider
Le 11/06/2016 à 12:11, Birdy a écrit :
Pour mémoire, à New-York en 975, comme je ne comprenais pas, on m'a expliqué que mes cousins hyper friqués se déguisaient en jeans et tee shirts pour qu'on en les braque pas dans le Northern West side, et sortaient en ville avec une vieille voiture. Cette banalisation devant la violence courante s'est progressivement imposée à tout le monde. Encore que je crois, que chez IBM le DRH vous virait si vous alliez au bureau sans cravate.
Ça, c'était avant Rudolph Giuliani. J'ai une autre histoire. J'ai un moment logé dans un appartement dans un quartier de Brooklyn qu'on appelle Bed-Stuy (abréviation de Beford-Stuyvesant), ici très exactement, 518 Macdonough street : http://tinyurl.com/hlwwg2b C'est un quartier noir. Les gens m'ont dit qu'en tant que Blancs, on ne risquait absolument rien, car les Noirs ne veulent surtout pas voir débarquer la police. J'y ai vu des filles blanches faire leur jogging matinal ou vespéral seules en mini-short et micro-débardeur sans que les mecs noirs leur accordent ne serait-ce qu'un regard. Et d'ailleurs, le quartier est bien plus propre et mieux tenu que des quartiers blancs en voie de gentrification comme Williamsburg ou que Greenpoint, quartier polonais, où j'ai logé aussi. C'est une vie de village, tout le monde connaît tout le monde, se salue, taille une bavette... Les Noirs sont bien plus sympas que les Blancs. Une petite photo du quartier polonais, pour rester en charte : http://www.cjoint.com/doc/16_06/FFllpZmmLM7_D7000-22959-001.JPG On y parle polonais partout, tout est écrit en polonais, les flics qui font la circulation parlent en polonais aux gens, certains vieux ne parlent pas anglais, c'est assez surprenant.
Le 11/06/2016 à 12:11, Birdy a écrit :
Pour mémoire, à New-York en 975, comme je ne comprenais pas, on m'a
expliqué que mes cousins hyper friqués se déguisaient en jeans et tee
shirts pour qu'on en les braque pas dans le Northern West side, et
sortaient en ville avec une vieille voiture. Cette banalisation devant
la violence courante s'est progressivement imposée à tout le monde.
Encore que je crois, que chez IBM le DRH vous virait si vous alliez au
bureau sans cravate.
Ça, c'était avant Rudolph Giuliani.
J'ai une autre histoire.
J'ai un moment logé dans un appartement dans un quartier de Brooklyn
qu'on appelle Bed-Stuy (abréviation de Beford-Stuyvesant), ici très
exactement, 518 Macdonough street :
http://tinyurl.com/hlwwg2b
C'est un quartier noir.
Les gens m'ont dit qu'en tant que Blancs, on ne risquait absolument
rien, car les Noirs ne veulent surtout pas voir débarquer la police.
J'y ai vu des filles blanches faire leur jogging matinal ou vespéral
seules en mini-short et micro-débardeur sans que les mecs noirs leur
accordent ne serait-ce qu'un regard.
Et d'ailleurs, le quartier est bien plus propre et mieux tenu que des
quartiers blancs en voie de gentrification comme Williamsburg ou que
Greenpoint, quartier polonais, où j'ai logé aussi.
C'est une vie de village, tout le monde connaît tout le monde, se salue,
taille une bavette...
Les Noirs sont bien plus sympas que les Blancs.
Une petite photo du quartier polonais, pour rester en charte :
http://www.cjoint.com/doc/16_06/FFllpZmmLM7_D7000-22959-001.JPG
On y parle polonais partout, tout est écrit en polonais, les flics qui
font la circulation parlent en polonais aux gens, certains vieux ne
parlent pas anglais, c'est assez surprenant.
Pour mémoire, à New-York en 975, comme je ne comprenais pas, on m'a expliqué que mes cousins hyper friqués se déguisaient en jeans et tee shirts pour qu'on en les braque pas dans le Northern West side, et sortaient en ville avec une vieille voiture. Cette banalisation devant la violence courante s'est progressivement imposée à tout le monde. Encore que je crois, que chez IBM le DRH vous virait si vous alliez au bureau sans cravate.
Ça, c'était avant Rudolph Giuliani. J'ai une autre histoire. J'ai un moment logé dans un appartement dans un quartier de Brooklyn qu'on appelle Bed-Stuy (abréviation de Beford-Stuyvesant), ici très exactement, 518 Macdonough street : http://tinyurl.com/hlwwg2b C'est un quartier noir. Les gens m'ont dit qu'en tant que Blancs, on ne risquait absolument rien, car les Noirs ne veulent surtout pas voir débarquer la police. J'y ai vu des filles blanches faire leur jogging matinal ou vespéral seules en mini-short et micro-débardeur sans que les mecs noirs leur accordent ne serait-ce qu'un regard. Et d'ailleurs, le quartier est bien plus propre et mieux tenu que des quartiers blancs en voie de gentrification comme Williamsburg ou que Greenpoint, quartier polonais, où j'ai logé aussi. C'est une vie de village, tout le monde connaît tout le monde, se salue, taille une bavette... Les Noirs sont bien plus sympas que les Blancs. Une petite photo du quartier polonais, pour rester en charte : http://www.cjoint.com/doc/16_06/FFllpZmmLM7_D7000-22959-001.JPG On y parle polonais partout, tout est écrit en polonais, les flics qui font la circulation parlent en polonais aux gens, certains vieux ne parlent pas anglais, c'est assez surprenant.
GhostRaider
Le 11/06/2016 à 12:51, Jacques L'helgoualc'h a écrit :
Le 10-06-2016, GhostRaider a écrit : [...]
Sans fondement technique ? Hum ! http://www.street-photo.fr/fr/technique-theorie/23/36
Pas très crédible : - la profondeur de champ « 1/3 devant, 2/3 derrière » n'est qu'un cas particulier --- le cas général est plutôt « moins devant que derrière » ;
C'est une convention pratique de langage de photographes, en effet.
- la profondeur de champ, à focale et diaphragme constants, *n'est pas* proportionnelle à la distance de mise au point. Il suffit de considérer le cas de la mise au point à l'hyperfocale H : la profondeur de champ va de H/2 devant à l'infini derrière...
Le terme de "proportionnelle" est effectivement fautif, mathématiquement parlant.
En revanche, la description des principes de MAP, par détection de contraste ou de décalage de phase montre bien leur différence fondamentale qui explique pourquoi, toutes choses égales par ailleurs, le second est plus rapide que le premier.
Le 11/06/2016 à 12:51, Jacques L'helgoualc'h a écrit :
Le 10-06-2016, GhostRaider a écrit :
[...]
Sans fondement technique ?
Hum !
http://www.street-photo.fr/fr/technique-theorie/23/36
Pas très crédible :
- la profondeur de champ « 1/3 devant, 2/3 derrière » n'est qu'un cas
particulier --- le cas général est plutôt « moins devant que derrière » ;
C'est une convention pratique de langage de photographes, en effet.
- la profondeur de champ, à focale et diaphragme constants, *n'est
pas* proportionnelle à la distance de mise au point.
Il suffit de considérer le cas de la mise au point à l'hyperfocale H :
la profondeur de champ va de H/2 devant à l'infini derrière...
Le terme de "proportionnelle" est effectivement fautif, mathématiquement
parlant.
En revanche, la description des principes de MAP, par détection de
contraste ou de décalage de phase montre bien leur différence
fondamentale qui explique pourquoi, toutes choses égales par ailleurs,
le second est plus rapide que le premier.
Le 11/06/2016 à 12:51, Jacques L'helgoualc'h a écrit :
Le 10-06-2016, GhostRaider a écrit : [...]
Sans fondement technique ? Hum ! http://www.street-photo.fr/fr/technique-theorie/23/36
Pas très crédible : - la profondeur de champ « 1/3 devant, 2/3 derrière » n'est qu'un cas particulier --- le cas général est plutôt « moins devant que derrière » ;
C'est une convention pratique de langage de photographes, en effet.
- la profondeur de champ, à focale et diaphragme constants, *n'est pas* proportionnelle à la distance de mise au point. Il suffit de considérer le cas de la mise au point à l'hyperfocale H : la profondeur de champ va de H/2 devant à l'infini derrière...
Le terme de "proportionnelle" est effectivement fautif, mathématiquement parlant.
En revanche, la description des principes de MAP, par détection de contraste ou de décalage de phase montre bien leur différence fondamentale qui explique pourquoi, toutes choses égales par ailleurs, le second est plus rapide que le premier.
Stephane Legras-Decussy
Le 11/06/2016 09:42, Charles Vassallo a écrit :
Le flou est une des dimensions du langage photographique, il n'y a vraiment aucune raison de s'en priver.
c'est l'expression du silence !
Le 11/06/2016 09:42, Charles Vassallo a écrit :
Le flou est une des dimensions du langage photographique, il n'y a
vraiment aucune raison de s'en priver.
Le flou est une des dimensions du langage photographique, il n'y a vraiment aucune raison de s'en priver.
c'est l'expression du silence !
Birdy
GhostRaider a pensé très fort :
Le 11/06/2016 à 12:11, Birdy a écrit :
Pour mémoire, à New-York en 975, comme je ne comprenais pas, on m'a expliqué que mes cousins hyper friqués se déguisaient en jeans et tee shirts pour qu'on en les braque pas dans le Northern West side, et sortaient en ville avec une vieille voiture. Cette banalisation devant la violence courante s'est progressivement imposée à tout le monde. Encore que je crois, que chez IBM le DRH vous virait si vous alliez au bureau sans cravate.
Ça, c'était avant Rudolph Giuliani. J'ai une autre histoire. J'ai un moment logé dans un appartement dans un quartier de Brooklyn qu'on appelle Bed-Stuy (abréviation de Beford-Stuyvesant), ici très exactement, 518 Macdonough street : http://tinyurl.com/hlwwg2b C'est un quartier noir. Les gens m'ont dit qu'en tant que Blancs, on ne risquait absolument rien, car les Noirs ne veulent surtout pas voir débarquer la police. J'y ai vu des filles blanches faire leur jogging matinal ou vespéral seules en mini-short et micro-débardeur sans que les mecs noirs leur accordent ne serait-ce qu'un regard. Et d'ailleurs, le quartier est bien plus propre et mieux tenu que des quartiers blancs en voie de gentrification comme Williamsburg ou que Greenpoint, quartier polonais, où j'ai logé aussi. C'est une vie de village, tout le monde connaît tout le monde, se salue, taille une bavette... Les Noirs sont bien plus sympas que les Blancs. Une petite photo du quartier polonais, pour rester en charte : http://www.cjoint.com/doc/16_06/FFllpZmmLM7_D7000-22959-001.JPG On y parle polonais partout, tout est écrit en polonais, les flics qui font la circulation parlent en polonais aux gens, certains vieux ne parlent pas anglais, c'est assez surprenant.
J'ai habité un temps East Harlem et, occasionnellement avec un ami français qui y habitait, je sortais tard le soir et la nuit, ou fréquentais des bars où les clients étaient tous noirs. Jamais eu un problème.,
GhostRaider a pensé très fort :
Le 11/06/2016 à 12:11, Birdy a écrit :
Pour mémoire, à New-York en 975, comme je ne comprenais pas, on m'a
expliqué que mes cousins hyper friqués se déguisaient en jeans et tee
shirts pour qu'on en les braque pas dans le Northern West side, et
sortaient en ville avec une vieille voiture. Cette banalisation devant
la violence courante s'est progressivement imposée à tout le monde.
Encore que je crois, que chez IBM le DRH vous virait si vous alliez au
bureau sans cravate.
Ça, c'était avant Rudolph Giuliani.
J'ai une autre histoire.
J'ai un moment logé dans un appartement dans un quartier de Brooklyn qu'on
appelle Bed-Stuy (abréviation de Beford-Stuyvesant), ici très exactement, 518
Macdonough street :
http://tinyurl.com/hlwwg2b
C'est un quartier noir.
Les gens m'ont dit qu'en tant que Blancs, on ne risquait absolument rien, car
les Noirs ne veulent surtout pas voir débarquer la police.
J'y ai vu des filles blanches faire leur jogging matinal ou vespéral seules
en mini-short et micro-débardeur sans que les mecs noirs leur accordent ne
serait-ce qu'un regard.
Et d'ailleurs, le quartier est bien plus propre et mieux tenu que des
quartiers blancs en voie de gentrification comme Williamsburg ou que
Greenpoint, quartier polonais, où j'ai logé aussi.
C'est une vie de village, tout le monde connaît tout le monde, se salue,
taille une bavette...
Les Noirs sont bien plus sympas que les Blancs.
Une petite photo du quartier polonais, pour rester en charte :
http://www.cjoint.com/doc/16_06/FFllpZmmLM7_D7000-22959-001.JPG
On y parle polonais partout, tout est écrit en polonais, les flics qui font
la circulation parlent en polonais aux gens, certains vieux ne parlent pas
anglais, c'est assez surprenant.
J'ai habité un temps East Harlem et, occasionnellement avec un ami
français qui y habitait, je sortais tard le soir et la nuit, ou
fréquentais des bars où les clients étaient tous noirs. Jamais eu un
problème.,
Pour mémoire, à New-York en 975, comme je ne comprenais pas, on m'a expliqué que mes cousins hyper friqués se déguisaient en jeans et tee shirts pour qu'on en les braque pas dans le Northern West side, et sortaient en ville avec une vieille voiture. Cette banalisation devant la violence courante s'est progressivement imposée à tout le monde. Encore que je crois, que chez IBM le DRH vous virait si vous alliez au bureau sans cravate.
Ça, c'était avant Rudolph Giuliani. J'ai une autre histoire. J'ai un moment logé dans un appartement dans un quartier de Brooklyn qu'on appelle Bed-Stuy (abréviation de Beford-Stuyvesant), ici très exactement, 518 Macdonough street : http://tinyurl.com/hlwwg2b C'est un quartier noir. Les gens m'ont dit qu'en tant que Blancs, on ne risquait absolument rien, car les Noirs ne veulent surtout pas voir débarquer la police. J'y ai vu des filles blanches faire leur jogging matinal ou vespéral seules en mini-short et micro-débardeur sans que les mecs noirs leur accordent ne serait-ce qu'un regard. Et d'ailleurs, le quartier est bien plus propre et mieux tenu que des quartiers blancs en voie de gentrification comme Williamsburg ou que Greenpoint, quartier polonais, où j'ai logé aussi. C'est une vie de village, tout le monde connaît tout le monde, se salue, taille une bavette... Les Noirs sont bien plus sympas que les Blancs. Une petite photo du quartier polonais, pour rester en charte : http://www.cjoint.com/doc/16_06/FFllpZmmLM7_D7000-22959-001.JPG On y parle polonais partout, tout est écrit en polonais, les flics qui font la circulation parlent en polonais aux gens, certains vieux ne parlent pas anglais, c'est assez surprenant.
J'ai habité un temps East Harlem et, occasionnellement avec un ami français qui y habitait, je sortais tard le soir et la nuit, ou fréquentais des bars où les clients étaient tous noirs. Jamais eu un problème.,
Stephane Legras-Decussy
Le 11/06/2016 09:42, Charles Vassallo a écrit :
: ce barbelé est unique (ça n'arrêtera personne bien longtemps) ; il est tout rouillé (encore là, mais pour combien de temps?) ; il est tout ensoleillé (espoir ?). Bref, l'image est simpliste mais elle peut encore faire causer.
quand ça veut tout dire, ça ne veut rien dire. CQFD.
Le 11/06/2016 09:42, Charles Vassallo a écrit :
: ce barbelé est unique (ça
n'arrêtera personne bien longtemps) ; il est tout rouillé (encore là,
mais pour combien de temps?) ; il est tout ensoleillé (espoir ?). Bref,
l'image est simpliste mais elle peut encore faire causer.
: ce barbelé est unique (ça n'arrêtera personne bien longtemps) ; il est tout rouillé (encore là, mais pour combien de temps?) ; il est tout ensoleillé (espoir ?). Bref, l'image est simpliste mais elle peut encore faire causer.
quand ça veut tout dire, ça ne veut rien dire. CQFD.
Stephane Legras-Decussy
Le 11/06/2016 12:00, Birdy a écrit :
Bizarre ces posts méprisants pour ce qui est "vieux", "plouc", ou "moche".
bah non, on vient de te dire que tu étais très bien sur les photos.
Le 11/06/2016 12:00, Birdy a écrit :
Bizarre ces posts méprisants pour ce qui est "vieux", "plouc", ou "moche".
bah non, on vient de te dire que tu étais très bien sur les photos.