Bonjour, avec toshop je n'ai pas les même couleurs que dans les autres
applic (xnview, acdsee...), c'est très légèrement plus jaune. Serait ce due
au profil ICC ou autre ? comment puis-je avoir les meme couleurs de partout
?
merci pour l'aide :-)
Quand même, utiliser le terme tenancier, réservé à certaines activités,
Petit Robert : Tenancier : Personne qui dirige, qui gère un établissement soumi à une réglementation, où à une surveillance des pouvoirs publics.
Je peux penser que le terme de "tenancier" prend un coloration différente selon les usages locaux, ou les références des personnes qui utilisent le mot. Du côté du "gros de Vaud" (équivalent romand de la "France profonde"), sont tenanciers toutes les personnes qui tiennent une échoppe, quelle qu'elle soit. Quant à :
<< qui ressemble à un combat d'arrière garde de diplômés >> ces mots se rapportent à la classification et non pas aux diplômés. La
phrase entière me semble claire.
-- Salut, Jean-Claude www.maintenant.ch
Quand même, utiliser le terme tenancier, réservé à certaines activités,
Petit Robert : Tenancier : Personne qui dirige, qui gère un établissement
soumi à une réglementation, où à une surveillance des pouvoirs publics.
Je peux penser que le terme de "tenancier" prend un coloration différente
selon les usages locaux, ou les références des personnes qui utilisent le
mot. Du côté du "gros de Vaud" (équivalent romand de la "France profonde"),
sont tenanciers toutes les personnes qui tiennent une échoppe, quelle
qu'elle soit.
Quant à :
<< qui ressemble à un combat d'arrière garde de diplômés >>
ces mots se rapportent à la classification et non pas aux diplômés. La
Quand même, utiliser le terme tenancier, réservé à certaines activités,
Petit Robert : Tenancier : Personne qui dirige, qui gère un établissement soumi à une réglementation, où à une surveillance des pouvoirs publics.
Je peux penser que le terme de "tenancier" prend un coloration différente selon les usages locaux, ou les références des personnes qui utilisent le mot. Du côté du "gros de Vaud" (équivalent romand de la "France profonde"), sont tenanciers toutes les personnes qui tiennent une échoppe, quelle qu'elle soit. Quant à :
<< qui ressemble à un combat d'arrière garde de diplômés >> ces mots se rapportent à la classification et non pas aux diplômés. La
phrase entière me semble claire.
-- Salut, Jean-Claude www.maintenant.ch
Thierry B.
--{ Ricco a plopé ceci: }--
J'ai du mal à percevoir ton sourire, donc en résumé les professionnels sont des cons, tout jute relégués au niveau de tenancier de bar ou de bordel et les amateurs plus forts que les professionnels, ça revient à établir une autre classification.
Donc, je vais me permettre de citer un grand de l'informatique:
" But now I've taken my leave of that whole sick, navel-gazing mess we called the software industry. Now I'm in a more honest line of work: now I sell beer." http://www.jwz.org/hacks/
Bonne classification, je trouve...
-- Le linuxien est bolchévique par définition. Il mange donc les enfants. CQFD. --{ Oxxxxxx, in f.m.b.l + Faut assumer }--
--{ Ricco a plopé ceci: }--
J'ai du mal à percevoir ton sourire, donc en résumé les professionnels sont
des cons, tout jute relégués au niveau de tenancier de bar ou de bordel et
les amateurs plus forts que les professionnels, ça revient à établir une
autre classification.
Donc, je vais me permettre de citer un grand de l'informatique:
" But now I've taken my leave of that whole sick, navel-gazing mess we
called the software industry. Now I'm in a more honest line of work:
now I sell beer." http://www.jwz.org/hacks/
Bonne classification, je trouve...
--
Le linuxien est bolchévique par définition. Il mange donc les enfants.
CQFD.
--{ Oxxxxxx, in f.m.b.l + Faut assumer }--
J'ai du mal à percevoir ton sourire, donc en résumé les professionnels sont des cons, tout jute relégués au niveau de tenancier de bar ou de bordel et les amateurs plus forts que les professionnels, ça revient à établir une autre classification.
Donc, je vais me permettre de citer un grand de l'informatique:
" But now I've taken my leave of that whole sick, navel-gazing mess we called the software industry. Now I'm in a more honest line of work: now I sell beer." http://www.jwz.org/hacks/
Bonne classification, je trouve...
-- Le linuxien est bolchévique par définition. Il mange donc les enfants. CQFD. --{ Oxxxxxx, in f.m.b.l + Faut assumer }--
Bour-Brown
Charles VASSALLO a écrit ( 47a5d888$0$869$ )
Comme ça ne se passe malheureusement pas comme tu le souhaites, mieux vaut en rire, en effet, qu'apprendre à se dépatouiller dans le schmilblick.
Si on en est à parler d'apprendre à se dépatouiller d'un schmilblick, ça montre quand même bien les limites du genre, moi je trouve.
Charles VASSALLO a écrit
( 47a5d888$0$869$ba4acef3@news.orange.fr )
Comme ça ne se passe malheureusement pas comme tu le souhaites, mieux vaut
en rire, en effet, qu'apprendre à se dépatouiller dans le schmilblick.
Si on en est à parler d'apprendre à se dépatouiller d'un schmilblick, ça
montre quand même bien les limites du genre, moi je trouve.
Comme ça ne se passe malheureusement pas comme tu le souhaites, mieux vaut en rire, en effet, qu'apprendre à se dépatouiller dans le schmilblick.
Si on en est à parler d'apprendre à se dépatouiller d'un schmilblick, ça montre quand même bien les limites du genre, moi je trouve.
Bour-Brown
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit ( 47a5f32c$0$884$ )
Des, les.
Ceci est une nuance grammaticale dans l'espace de comprehension de la langue française.
Noelle Adam.
Ecrire que le systeme veut bien afficher des couleurs exactes si on le lui demande, en francais standard ca laisse entendre qu'il serait par exemple capable d'afficher correctement les photos de mon A1 qui sont en Adobe98 pour peu que je sache comment faire - ce qui bien sur est faux.
Si maintenant tu retiens de son intervention que certaines couleurs au final seront exactes par rapport au Lab, eh bien euh... comment dire... c'est vrai qu'alors on n'a pas du tout le meme espace de comprehension.
(vu ce que t'en fais j'ai prefere t'enlever les accents et les cedilles)
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit
( 47a5f32c$0$884$ba4acef3@news.orange.fr )
Des, les.
Ceci est une nuance grammaticale dans l'espace de comprehension de la
langue française.
Noelle Adam.
Ecrire que le systeme veut bien afficher des couleurs exactes si on le lui
demande, en francais standard ca laisse entendre qu'il serait par exemple
capable d'afficher correctement les photos de mon A1 qui sont en Adobe98
pour peu que je sache comment faire - ce qui bien sur est faux.
Si maintenant tu retiens de son intervention que certaines couleurs au final
seront exactes par rapport au Lab, eh bien euh... comment dire... c'est vrai
qu'alors on n'a pas du tout le meme espace de comprehension.
(vu ce que t'en fais j'ai prefere t'enlever les accents et les cedilles)
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit ( 47a5f32c$0$884$ )
Des, les.
Ceci est une nuance grammaticale dans l'espace de comprehension de la langue française.
Noelle Adam.
Ecrire que le systeme veut bien afficher des couleurs exactes si on le lui demande, en francais standard ca laisse entendre qu'il serait par exemple capable d'afficher correctement les photos de mon A1 qui sont en Adobe98 pour peu que je sache comment faire - ce qui bien sur est faux.
Si maintenant tu retiens de son intervention que certaines couleurs au final seront exactes par rapport au Lab, eh bien euh... comment dire... c'est vrai qu'alors on n'a pas du tout le meme espace de comprehension.
(vu ce que t'en fais j'ai prefere t'enlever les accents et les cedilles)
Charles VASSALLO
Bour-Brown wrote:
Charles VASSALLO a écrit
Mais non ! Le système veut bien afficher des couleurs exactes (Lab), mais encore faut-il le lui demander.
Mon écran capable de sortir l'espace Lab ? On ne me dit jamais rien.
Mais rassure toi, personne n'a jamais dit ça.
Reformulons : quand un logiciel graphique digne de ce nom ouvre une photo dans un espace quelconque (sRGB, Adobe-98, ProPhoto ou autres), ce sont des Lab qu'il envoie au système et que celui-ci **essaie** de transcrire en couleurs exactes sur l'écran... s'il dispose d'un profil correct pour le moniteur. Et, si le profil est bon et si ça rentre dans son gamut, on obtient bien les couleurs exactes.
Charles
Bour-Brown wrote:
Charles VASSALLO a écrit
Mais non ! Le système veut bien afficher des couleurs exactes (Lab), mais
encore faut-il le lui demander.
Mon écran capable de sortir l'espace Lab ? On ne me dit jamais rien.
Mais rassure toi, personne n'a jamais dit ça.
Reformulons : quand un logiciel graphique digne de ce nom ouvre une
photo dans un espace quelconque (sRGB, Adobe-98, ProPhoto ou autres), ce
sont des Lab qu'il envoie au système et que celui-ci **essaie** de
transcrire en couleurs exactes sur l'écran... s'il dispose d'un profil
correct pour le moniteur. Et, si le profil est bon et si ça rentre dans
son gamut, on obtient bien les couleurs exactes.
Mais non ! Le système veut bien afficher des couleurs exactes (Lab), mais encore faut-il le lui demander.
Mon écran capable de sortir l'espace Lab ? On ne me dit jamais rien.
Mais rassure toi, personne n'a jamais dit ça.
Reformulons : quand un logiciel graphique digne de ce nom ouvre une photo dans un espace quelconque (sRGB, Adobe-98, ProPhoto ou autres), ce sont des Lab qu'il envoie au système et que celui-ci **essaie** de transcrire en couleurs exactes sur l'écran... s'il dispose d'un profil correct pour le moniteur. Et, si le profil est bon et si ça rentre dans son gamut, on obtient bien les couleurs exactes.
Charles
Bour-Brown
Jean-Claude Ghislain a écrit ( )
Tu te compliques la vie...
La vie est loin d'être simple, autant l'admettre. Comme cela a été souligné il s'agit bien de se dépatouiller d'un schmilblick.
Avant l'arrivée des ordinateurs, on faisait déjà des photos sur des films couleurs tri-couches, une couche sensible au rouge, une au vert, une au bleu et on imprimait ça dans des beaux magazines couleurs en CMJN. Les ordinateurs ne font que reproduire numériquement le procédé, il n'y a là rien de très extraordinaire sur le principe.
Je ne parle pas de principe ni de théorie, je dis que l'impression sur papier est d'une complexité redoutable et que le passage d'un gamut à un autre ne l'est pas moins. Dans les faits, hein. Quand le papier boit l'encre, quand celle-ci diffuse, quand le noir fait du banding ou que certaines densités deviennent brillantes, quand le moteur de tramage fait des moirés, quand il faut choisir entre les modes de rendus en fonction des images, quand les alignements ne sont pas parfaits, tout ça. En théorie c'est toujours très simple. En pratique c'est une autre paire de manche.
Contrairement à toi, je trouve que la gestion de la couleur actuelle fonctionne plutôt bien et n'est pas particulièrement difficile à mettre en oeuvre quand on a compris les principes de base.
Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles.
Jean-Claude Ghislain a écrit
( 60m6h3F1rchk0U1@mid.individual.net )
Tu te compliques la vie...
La vie est loin d'être simple, autant l'admettre. Comme cela a été souligné
il s'agit bien de se dépatouiller d'un schmilblick.
Avant l'arrivée des ordinateurs, on faisait déjà des photos sur des films
couleurs tri-couches, une couche sensible au rouge, une au vert, une au
bleu et on imprimait ça dans des beaux magazines couleurs en CMJN. Les
ordinateurs ne font que reproduire numériquement le procédé, il n'y a là
rien de très extraordinaire sur le principe.
Je ne parle pas de principe ni de théorie, je dis que l'impression sur
papier est d'une complexité redoutable et que le passage d'un gamut à un
autre ne l'est pas moins. Dans les faits, hein. Quand le papier boit
l'encre, quand celle-ci diffuse, quand le noir fait du banding ou que
certaines densités deviennent brillantes, quand le moteur de tramage fait
des moirés, quand il faut choisir entre les modes de rendus en fonction des
images, quand les alignements ne sont pas parfaits, tout ça. En théorie
c'est toujours très simple. En pratique c'est une autre paire de manche.
Contrairement à toi, je trouve que la gestion de la couleur actuelle
fonctionne plutôt bien et n'est pas particulièrement difficile à mettre
en oeuvre quand on a compris les principes de base.
Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles.
La vie est loin d'être simple, autant l'admettre. Comme cela a été souligné il s'agit bien de se dépatouiller d'un schmilblick.
Avant l'arrivée des ordinateurs, on faisait déjà des photos sur des films couleurs tri-couches, une couche sensible au rouge, une au vert, une au bleu et on imprimait ça dans des beaux magazines couleurs en CMJN. Les ordinateurs ne font que reproduire numériquement le procédé, il n'y a là rien de très extraordinaire sur le principe.
Je ne parle pas de principe ni de théorie, je dis que l'impression sur papier est d'une complexité redoutable et que le passage d'un gamut à un autre ne l'est pas moins. Dans les faits, hein. Quand le papier boit l'encre, quand celle-ci diffuse, quand le noir fait du banding ou que certaines densités deviennent brillantes, quand le moteur de tramage fait des moirés, quand il faut choisir entre les modes de rendus en fonction des images, quand les alignements ne sont pas parfaits, tout ça. En théorie c'est toujours très simple. En pratique c'est une autre paire de manche.
Contrairement à toi, je trouve que la gestion de la couleur actuelle fonctionne plutôt bien et n'est pas particulièrement difficile à mettre en oeuvre quand on a compris les principes de base.
Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles.
Charles VASSALLO
Bour-Brown wrote:
Ecrire que le systeme veut bien afficher des couleurs exactes si on le lui demande, en francais standard ca laisse entendre qu'il serait par exemple capable d'afficher correctement les photos de mon A1 qui sont en Adobe98 pour peu que je sache comment faire - ce qui bien sur est faux.
Si maintenant tu retiens de son intervention que certaines couleurs au final seront exactes par rapport au Lab, eh bien euh... comment dire... c'est vrai qu'alors on n'a pas du tout le meme espace de comprehension.
Noëlle avait parfaitement compris. C'est regrettable que la nuance t'ait échappé à la première lecture, mais ce n'est pas grave, les échanges permettent de bien enfoncer les clous.
Charles
Bour-Brown wrote:
Ecrire que le systeme veut bien afficher des couleurs exactes si on le lui
demande, en francais standard ca laisse entendre qu'il serait par exemple
capable d'afficher correctement les photos de mon A1 qui sont en Adobe98
pour peu que je sache comment faire - ce qui bien sur est faux.
Si maintenant tu retiens de son intervention que certaines couleurs au final
seront exactes par rapport au Lab, eh bien euh... comment dire... c'est vrai
qu'alors on n'a pas du tout le meme espace de comprehension.
Noëlle avait parfaitement compris.
C'est regrettable que la nuance t'ait échappé à la première lecture,
mais ce n'est pas grave, les échanges permettent de bien enfoncer les
clous.
Ecrire que le systeme veut bien afficher des couleurs exactes si on le lui demande, en francais standard ca laisse entendre qu'il serait par exemple capable d'afficher correctement les photos de mon A1 qui sont en Adobe98 pour peu que je sache comment faire - ce qui bien sur est faux.
Si maintenant tu retiens de son intervention que certaines couleurs au final seront exactes par rapport au Lab, eh bien euh... comment dire... c'est vrai qu'alors on n'a pas du tout le meme espace de comprehension.
Noëlle avait parfaitement compris. C'est regrettable que la nuance t'ait échappé à la première lecture, mais ce n'est pas grave, les échanges permettent de bien enfoncer les clous.
Charles
Charles VASSALLO
Bour-Brown wrote:
Si on en est à parler d'apprendre à se dépatouiller d'un schmilblick, ça montre quand même bien les limites du genre, moi je trouve.
Non, ça, c'est un effort pour singer ton point de vue. Comme le disait JCG, ça demande peut-être un effort, mais pas si grand que ça (surtout si on va aux bonnes adresses) et ça en vaut la peine.
Charles
Bour-Brown wrote:
Si on en est à parler d'apprendre à se dépatouiller d'un schmilblick, ça
montre quand même bien les limites du genre, moi je trouve.
Non, ça, c'est un effort pour singer ton point de vue. Comme le disait
JCG, ça demande peut-être un effort, mais pas si grand que ça (surtout
si on va aux bonnes adresses) et ça en vaut la peine.
Si on en est à parler d'apprendre à se dépatouiller d'un schmilblick, ça montre quand même bien les limites du genre, moi je trouve.
Non, ça, c'est un effort pour singer ton point de vue. Comme le disait JCG, ça demande peut-être un effort, mais pas si grand que ça (surtout si on va aux bonnes adresses) et ça en vaut la peine.
Charles
Jean-Claude Ghislain
Je ne parle pas de principe ni de théorie, je dis que l'impression sur papier est d'une complexité redoutable et que le passage d'un gamut à un autre ne l'est pas moins. Dans les faits, hein.
Lorsque je tournais sur un circuit avec ma moto, je connaissais sa limite d'adhérence et je savais jusqu'où ne pas aller trop loin. En photo ou en imprimerie c'est pareil, il faut connaître son matériel et ses limites.
Quand le papier boit l'encre, quand celle-ci diffuse
C'est ce qu'on appelle l'engraissement et cela se règle.
quand le noir fait du banding ou que certaines densités deviennent brillantes, quand le moteur de tramage fait des moirés, quand il faut choisir entre les modes de rendus en fonction des images, quand les alignements ne sont pas parfaits, tout ça.
Banding, moiré, tramage, alignement... Il ne faut pas tout mélanger, si les têtes de l'imprimante ou les plaques offset sont mal alignées, ce n'est pas du domaine de la gestion de la couleur, mais du domaine de la mécanique.
En théorie c'est toujours très simple. En pratique c'est une autre paire de manche.
Après avoir participé à de nombreuses publications, réalisé un paquet d'agrandissements numériques et vérifié des rendus colorimétriques sur divers écrans calibrés, je peux dire que la gestion de la couleur fonctionne, même s'il faut garder certaines choses à l'esprit, notamment la différence entre un document transparent rétro éclairé et un document opaque ainsi que les limites inhérentes aux technologies déployées.
Contrairement à toi, je trouve que la gestion de la couleur actuelle fonctionne plutôt bien et n'est pas particulièrement difficile à mettre en oeuvre quand on a compris les principes de base.
Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles.
Tu me dis que ton percolateur ne fonctionne pas, moi je dis que j'ai le même modèle et que je n'ai pas de souci particulier avec. Je ne vais pas te dire qu'il merdouille tous les matins justes pour te faire plaisir.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Je ne parle pas de principe ni de théorie, je dis que l'impression sur
papier est d'une complexité redoutable et que le passage d'un gamut à
un autre ne l'est pas moins. Dans les faits, hein.
Lorsque je tournais sur un circuit avec ma moto, je connaissais sa
limite d'adhérence et je savais jusqu'où ne pas aller trop loin. En
photo ou en imprimerie c'est pareil, il faut connaître son matériel et
ses limites.
Quand le papier boit l'encre, quand celle-ci diffuse
C'est ce qu'on appelle l'engraissement et cela se règle.
quand le noir fait du banding ou que certaines densités deviennent
brillantes, quand le moteur de tramage fait des moirés, quand il faut
choisir entre les modes de rendus en fonction des images, quand les
alignements ne sont pas parfaits, tout ça.
Banding, moiré, tramage, alignement... Il ne faut pas tout mélanger, si
les têtes de l'imprimante ou les plaques offset sont mal alignées, ce
n'est pas du domaine de la gestion de la couleur, mais du domaine de la
mécanique.
En théorie c'est toujours très simple. En pratique c'est une autre
paire de manche.
Après avoir participé à de nombreuses publications, réalisé un paquet
d'agrandissements numériques et vérifié des rendus colorimétriques sur
divers écrans calibrés, je peux dire que la gestion de la couleur
fonctionne, même s'il faut garder certaines choses à l'esprit, notamment
la différence entre un document transparent rétro éclairé et un document
opaque ainsi que les limites inhérentes aux technologies déployées.
Contrairement à toi, je trouve que la gestion de la couleur actuelle
fonctionne plutôt bien et n'est pas particulièrement difficile à
mettre en oeuvre quand on a compris les principes de base.
Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles.
Tu me dis que ton percolateur ne fonctionne pas, moi je dis que j'ai le
même modèle et que je n'ai pas de souci particulier avec. Je ne vais pas
te dire qu'il merdouille tous les matins justes pour te faire plaisir.
Je ne parle pas de principe ni de théorie, je dis que l'impression sur papier est d'une complexité redoutable et que le passage d'un gamut à un autre ne l'est pas moins. Dans les faits, hein.
Lorsque je tournais sur un circuit avec ma moto, je connaissais sa limite d'adhérence et je savais jusqu'où ne pas aller trop loin. En photo ou en imprimerie c'est pareil, il faut connaître son matériel et ses limites.
Quand le papier boit l'encre, quand celle-ci diffuse
C'est ce qu'on appelle l'engraissement et cela se règle.
quand le noir fait du banding ou que certaines densités deviennent brillantes, quand le moteur de tramage fait des moirés, quand il faut choisir entre les modes de rendus en fonction des images, quand les alignements ne sont pas parfaits, tout ça.
Banding, moiré, tramage, alignement... Il ne faut pas tout mélanger, si les têtes de l'imprimante ou les plaques offset sont mal alignées, ce n'est pas du domaine de la gestion de la couleur, mais du domaine de la mécanique.
En théorie c'est toujours très simple. En pratique c'est une autre paire de manche.
Après avoir participé à de nombreuses publications, réalisé un paquet d'agrandissements numériques et vérifié des rendus colorimétriques sur divers écrans calibrés, je peux dire que la gestion de la couleur fonctionne, même s'il faut garder certaines choses à l'esprit, notamment la différence entre un document transparent rétro éclairé et un document opaque ainsi que les limites inhérentes aux technologies déployées.
Contrairement à toi, je trouve que la gestion de la couleur actuelle fonctionne plutôt bien et n'est pas particulièrement difficile à mettre en oeuvre quand on a compris les principes de base.
Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles.
Tu me dis que ton percolateur ne fonctionne pas, moi je dis que j'ai le même modèle et que je n'ai pas de souci particulier avec. Je ne vais pas te dire qu'il merdouille tous les matins justes pour te faire plaisir.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Bour-Brown
Ricco a écrit ( fo4t2a$iga$ )
au début, on croyait tous que toi sur ta machine , moi sur la mienne on allait sortir des photos correctement imprimées, résultat, on se fait chier comme des rats morts.
Je confirme.
J'aimerais bien mettre la main sur un de ces aficionados de la gestion couleur actuelle. Je le ramènerais devant mon imprimante couleur sur un système fraîchement installé, je lui filerais une feuille de papier sortie d'une ramette et je lui demanderai de m'imprimer correctement un cercle chromatique sous Photoshop, on va dire les trois primaires qu'on veut pures et qu'on ira vérifier au compte-fil, les trois secondaires vert orange violet (sortir du premier coup un violet correct rien que là je l'attends) et enfin les intermédiaires, soit douze secteurs en tout.
Sans rien connaître du papier, sans rien connaître de mon écran (mais là on n'en a pas vraiment besoin), sans rien connaître de mon imprimante qui manque cruellement de progressivité, armé de ses seules connaissances et de la conviction que tout ça n'est pas sorcier, top chrono.
Et puis une rampe de gris aussi, avec une progression par coup de 4% ça fait vingt cinq cases c'est pas la mort. Puis quelques bleus bien saturés que perso je n'ai jamais réussi à obtenir de cette imprimante, mais bon moi c'est parce que je suis une quiche.
Ricco a écrit
( fo4t2a$iga$1@news.tiscali.fr )
au début, on croyait tous que toi sur ta machine , moi sur la mienne on
allait sortir des photos correctement imprimées, résultat, on se fait
chier comme des rats morts.
Je confirme.
J'aimerais bien mettre la main sur un de ces aficionados de la gestion
couleur actuelle. Je le ramènerais devant mon imprimante couleur sur un
système fraîchement installé, je lui filerais une feuille de papier sortie
d'une ramette et je lui demanderai de m'imprimer correctement un cercle
chromatique sous Photoshop, on va dire les trois primaires qu'on veut pures
et qu'on ira vérifier au compte-fil, les trois secondaires vert orange
violet (sortir du premier coup un violet correct rien que là je l'attends)
et enfin les intermédiaires, soit douze secteurs en tout.
Sans rien connaître du papier, sans rien connaître de mon écran (mais là on
n'en a pas vraiment besoin), sans rien connaître de mon imprimante qui
manque cruellement de progressivité, armé de ses seules connaissances et de
la conviction que tout
ça n'est pas sorcier, top chrono.
Et puis une rampe de gris aussi, avec une progression par coup de 4% ça fait
vingt cinq cases c'est pas la mort. Puis quelques bleus bien saturés que
perso je n'ai jamais réussi à obtenir de cette imprimante, mais bon moi
c'est parce que je suis une quiche.
au début, on croyait tous que toi sur ta machine , moi sur la mienne on allait sortir des photos correctement imprimées, résultat, on se fait chier comme des rats morts.
Je confirme.
J'aimerais bien mettre la main sur un de ces aficionados de la gestion couleur actuelle. Je le ramènerais devant mon imprimante couleur sur un système fraîchement installé, je lui filerais une feuille de papier sortie d'une ramette et je lui demanderai de m'imprimer correctement un cercle chromatique sous Photoshop, on va dire les trois primaires qu'on veut pures et qu'on ira vérifier au compte-fil, les trois secondaires vert orange violet (sortir du premier coup un violet correct rien que là je l'attends) et enfin les intermédiaires, soit douze secteurs en tout.
Sans rien connaître du papier, sans rien connaître de mon écran (mais là on n'en a pas vraiment besoin), sans rien connaître de mon imprimante qui manque cruellement de progressivité, armé de ses seules connaissances et de la conviction que tout ça n'est pas sorcier, top chrono.
Et puis une rampe de gris aussi, avec une progression par coup de 4% ça fait vingt cinq cases c'est pas la mort. Puis quelques bleus bien saturés que perso je n'ai jamais réussi à obtenir de cette imprimante, mais bon moi c'est parce que je suis une quiche.