Le Fri, 17 Jun 2011 07:48:32 -0700, totof01 a écrit :
On 17 juin, 15:14, Thomas Alexandre wrote:
Le Fri, 17 Jun 2011 03:20:19 -0700, totof01 a écrit :
L'intolérance commence lorsqu'il y a de la gène.
Non. Et ne me dîtes pas que ma réponse vous gêne.
Si.
Attention, c'est le début de l'intolérance.
-- "Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes, (...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité intelligente. C'est un instinct." - Céline
Le Fri, 17 Jun 2011 07:48:32 -0700, totof01 a écrit :
On 17 juin, 15:14, Thomas Alexandre <n...@no.invalid> wrote:
Le Fri, 17 Jun 2011 03:20:19 -0700, totof01 a écrit :
L'intolérance commence lorsqu'il y a de la gène.
Non.
Et ne me dîtes pas que ma réponse vous gêne.
Si.
Attention, c'est le début de l'intolérance.
--
"Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes,
(...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se
vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité
intelligente. C'est un instinct." - Céline
Le Fri, 17 Jun 2011 07:48:32 -0700, totof01 a écrit :
On 17 juin, 15:14, Thomas Alexandre wrote:
Le Fri, 17 Jun 2011 03:20:19 -0700, totof01 a écrit :
L'intolérance commence lorsqu'il y a de la gène.
Non. Et ne me dîtes pas que ma réponse vous gêne.
Si.
Attention, c'est le début de l'intolérance.
-- "Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes, (...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité intelligente. C'est un instinct." - Céline
Thomas Alexandre
Le Fri, 17 Jun 2011 05:52:23 -0700, totof01 a écrit :
On 17 juin, 14:35, Thomas Alexandre wrote:
Le Wed, 15 Jun 2011 12:32:10 -0700, totof01 a écrit :
Je ne critique pas les gens qui font du code BSD, je dis simplement qu'un aspect de la licence est problématique. Nuance.
It's not a bug, it's a feature.
Précisément, c'est bien parce que c'est voulu que c'est problématique.
Autrement dit ce que tu vois comme un problème n'en est pas un au contraire, c'est une possiblilité offerte par la licence et qui est totalement assumée par les développeurs qui ont bien réfléchi à la licence qu'ils utilisent pour leurs softs. dire que c'est un "problème" relève pour moi de la critique.
C'est une critique : sous BSD, aucun contrôle sur l'évolution du code. Et ça devient un vrai problème de fond quand cette possibilité est présentée comme du "bénévolat" (coucou Nicolas Georges).
Exemple : Wine est passé d'une licence BSD-like à une GPL-like. Pourquoi ? Parce qu'un jour la société Transgaming a fait un fork propio de Wine, que les améliorations apportées au code ne remontaient plus à la communauté de Wine (malgré une version CVS disponible mais expurgée) et que ça leur a collé les boules de faire du "bénévolat" (coucou Nicolas Georges) pour une boîte privée. [...]
Ben dans ce cas il ne s'agit pas d'un problème de licence, mais d'un problème de choix de licence par le développeur.
Je ne crois pas. C'est une hypothèse mais je pense que les gars de Wine on délibérément choisi BSD pour intéresser des boites en gardant la possibilité de faire un fork proprio. Seulement Transgaming ne leur a proposé aucune contre-partie, du coup ils ont forké Wine en GPL-like.
Quoi qu'il en soit j'ai du mal à croire qu'avec un projet aussi conséquent les devs ne se soient pas penchés sérieusement sur la question de la licence dès le départ.
Je vous rassure, on peut renverser le problème. La licence BSD permet autant un fork proprio qu'un fork GPL. Car après tout, si le dev qui publie son code sous licence BSD est dans l'optique de pouvoir se faire un peu de blé avec (pas avec des services liés au code mais avec le code lui-même) et qu'un gus fork le truc sous GPL avec une communauté conséquente derrière, adieu veau vache cochon.
Ce n'est donc pas un "problème" comme tu le dis.
N'avoir aucun contrôle sur l'évolution du code ça me semble être légèrement problématique quand même. Ça fait se poser des questions au moment du choix de la licence.
C'est comme si tu disais qu'un tournevis a un problème parce qu'il ne permet pas d'enfoncer un clou dans une charpente, ou qu'une ferrari a un problème parce qu'elle ne permet pas de traverser un chemin de campagne.
Pas vraiment puisque comme vous le dites "it's not a bug, it's a feature".
Et pour être parfaitement clair, je ne dis pas que c'est bien ou mal, je dis que cette possibilité qu'offre la licence BSD pose des problèmes précis (comme dans le cas de Wine).
Si ça pose "problème", c'est que quelque part c'est mal.
Ah bon ? Pourquoi donc ?
La GPL peut en poser d'autres (comme le fait qu'elle soit virale) mais elle a le mérite de fixer un cadre très clair concernant *l'évolution du code*.
Ce n'est pas ce que je considèrerait comme un problème. Si c'est un problème, c'est que ce n'est pas une licence adaptée à la volonté du développeur.
L'aspect viral de la licence pose un problème conséquent quand il s'agit d'une bibliothèque. La LGPL existe précisément à cause de ça.
-- "Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes, (...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité intelligente. C'est un instinct." - Céline
Le Fri, 17 Jun 2011 05:52:23 -0700, totof01 a écrit :
On 17 juin, 14:35, Thomas Alexandre <n...@no.invalid> wrote:
Le Wed, 15 Jun 2011 12:32:10 -0700, totof01 a écrit :
Je ne critique pas les gens qui font du code BSD, je dis simplement
qu'un aspect de la licence est problématique. Nuance.
It's not a bug, it's a feature.
Précisément, c'est bien parce que c'est voulu que c'est problématique.
Autrement dit ce que tu vois comme un problème n'en est pas un au
contraire, c'est une possiblilité offerte par la licence et qui est
totalement assumée par les développeurs qui ont bien réfléchi à la
licence qu'ils utilisent pour leurs softs. dire que c'est un "problème"
relève pour moi de la critique.
C'est une critique : sous BSD, aucun contrôle sur l'évolution du code.
Et ça devient un vrai problème de fond quand cette possibilité est
présentée comme du "bénévolat" (coucou Nicolas Georges).
Exemple : Wine est passé d'une licence BSD-like à une GPL-like.
Pourquoi ? Parce qu'un jour la société Transgaming a fait un fork
propio de Wine, que les améliorations apportées au code ne remontaient
plus à la communauté de Wine (malgré une version CVS disponible mais
expurgée) et que ça leur a collé les boules de faire du "bénévolat"
(coucou Nicolas Georges) pour une boîte privée.
[...]
Ben dans ce cas il ne s'agit pas d'un problème de licence, mais d'un
problème de choix de licence par le développeur.
Je ne crois pas. C'est une hypothèse mais je pense que les gars de Wine
on délibérément choisi BSD pour intéresser des boites en gardant la
possibilité de faire un fork proprio. Seulement Transgaming ne leur a
proposé aucune contre-partie, du coup ils ont forké Wine en GPL-like.
Quoi qu'il en soit j'ai du mal à croire qu'avec un projet aussi
conséquent les devs ne se soient pas penchés sérieusement sur la question
de la licence dès le départ.
Je vous rassure, on peut renverser le problème. La licence BSD permet
autant un fork proprio qu'un fork GPL. Car après tout, si le dev qui
publie son code sous licence BSD est dans l'optique de pouvoir se faire
un peu de blé avec (pas avec des services liés au code mais avec le
code lui-même) et qu'un gus fork le truc sous GPL avec une communauté
conséquente derrière, adieu veau vache cochon.
Ce n'est donc pas un "problème" comme tu le dis.
N'avoir aucun contrôle sur l'évolution du code ça me semble être
légèrement problématique quand même. Ça fait se poser des questions au
moment du choix de la licence.
C'est comme si tu
disais qu'un tournevis a un problème parce qu'il ne permet pas
d'enfoncer un clou dans une charpente, ou qu'une ferrari a un problème
parce qu'elle ne permet pas de traverser un chemin de campagne.
Pas vraiment puisque comme vous le dites "it's not a bug, it's a feature".
Et pour être parfaitement clair, je ne dis pas que c'est bien ou mal,
je dis que cette possibilité qu'offre la licence BSD pose des problèmes
précis (comme dans le cas de Wine).
Si ça pose "problème", c'est que quelque part c'est mal.
Ah bon ? Pourquoi donc ?
La GPL peut en poser d'autres (comme le fait qu'elle soit virale) mais
elle a le mérite de fixer un cadre très clair concernant *l'évolution
du code*.
Ce n'est pas ce que je considèrerait comme un problème. Si c'est un
problème, c'est que ce n'est pas une licence adaptée à la volonté du
développeur.
L'aspect viral de la licence pose un problème conséquent quand il s'agit
d'une bibliothèque. La LGPL existe précisément à cause de ça.
--
"Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes,
(...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se
vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité
intelligente. C'est un instinct." - Céline
Le Fri, 17 Jun 2011 05:52:23 -0700, totof01 a écrit :
On 17 juin, 14:35, Thomas Alexandre wrote:
Le Wed, 15 Jun 2011 12:32:10 -0700, totof01 a écrit :
Je ne critique pas les gens qui font du code BSD, je dis simplement qu'un aspect de la licence est problématique. Nuance.
It's not a bug, it's a feature.
Précisément, c'est bien parce que c'est voulu que c'est problématique.
Autrement dit ce que tu vois comme un problème n'en est pas un au contraire, c'est une possiblilité offerte par la licence et qui est totalement assumée par les développeurs qui ont bien réfléchi à la licence qu'ils utilisent pour leurs softs. dire que c'est un "problème" relève pour moi de la critique.
C'est une critique : sous BSD, aucun contrôle sur l'évolution du code. Et ça devient un vrai problème de fond quand cette possibilité est présentée comme du "bénévolat" (coucou Nicolas Georges).
Exemple : Wine est passé d'une licence BSD-like à une GPL-like. Pourquoi ? Parce qu'un jour la société Transgaming a fait un fork propio de Wine, que les améliorations apportées au code ne remontaient plus à la communauté de Wine (malgré une version CVS disponible mais expurgée) et que ça leur a collé les boules de faire du "bénévolat" (coucou Nicolas Georges) pour une boîte privée. [...]
Ben dans ce cas il ne s'agit pas d'un problème de licence, mais d'un problème de choix de licence par le développeur.
Je ne crois pas. C'est une hypothèse mais je pense que les gars de Wine on délibérément choisi BSD pour intéresser des boites en gardant la possibilité de faire un fork proprio. Seulement Transgaming ne leur a proposé aucune contre-partie, du coup ils ont forké Wine en GPL-like.
Quoi qu'il en soit j'ai du mal à croire qu'avec un projet aussi conséquent les devs ne se soient pas penchés sérieusement sur la question de la licence dès le départ.
Je vous rassure, on peut renverser le problème. La licence BSD permet autant un fork proprio qu'un fork GPL. Car après tout, si le dev qui publie son code sous licence BSD est dans l'optique de pouvoir se faire un peu de blé avec (pas avec des services liés au code mais avec le code lui-même) et qu'un gus fork le truc sous GPL avec une communauté conséquente derrière, adieu veau vache cochon.
Ce n'est donc pas un "problème" comme tu le dis.
N'avoir aucun contrôle sur l'évolution du code ça me semble être légèrement problématique quand même. Ça fait se poser des questions au moment du choix de la licence.
C'est comme si tu disais qu'un tournevis a un problème parce qu'il ne permet pas d'enfoncer un clou dans une charpente, ou qu'une ferrari a un problème parce qu'elle ne permet pas de traverser un chemin de campagne.
Pas vraiment puisque comme vous le dites "it's not a bug, it's a feature".
Et pour être parfaitement clair, je ne dis pas que c'est bien ou mal, je dis que cette possibilité qu'offre la licence BSD pose des problèmes précis (comme dans le cas de Wine).
Si ça pose "problème", c'est que quelque part c'est mal.
Ah bon ? Pourquoi donc ?
La GPL peut en poser d'autres (comme le fait qu'elle soit virale) mais elle a le mérite de fixer un cadre très clair concernant *l'évolution du code*.
Ce n'est pas ce que je considèrerait comme un problème. Si c'est un problème, c'est que ce n'est pas une licence adaptée à la volonté du développeur.
L'aspect viral de la licence pose un problème conséquent quand il s'agit d'une bibliothèque. La LGPL existe précisément à cause de ça.
-- "Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes, (...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité intelligente. C'est un instinct." - Céline
Thomas Alexandre
Le Fri, 17 Jun 2011 13:15:43 +0000, Nicolas George a écrit :
florian , dans le message <4dfb52b6$, a écrit :
Ce que tu vois comme une possibilité, d'autres le voient comme un problème.
Et certains voient comme un problème le fait que les femmes et les Noirs aient le droit de vote.
Il fallait oser l'amalgame. Rien ne vous effraie.
La seule réaction raisonnable, c'est de se dire que ceux qui pensent ainsi sont des connards et que leur avis ne vaut rien.
Et une attaque personnelle, une.
-- "Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes, (...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité intelligente. C'est un instinct." - Céline
Le Fri, 17 Jun 2011 13:15:43 +0000, Nicolas George a écrit :
florian , dans le message <4dfb52b6$1@groumpf.org>, a écrit :
Ce que tu vois comme une possibilité, d'autres le voient comme un
problème.
Et certains voient comme un problème le fait que les femmes et les Noirs
aient le droit de vote.
Il fallait oser l'amalgame. Rien ne vous effraie.
La seule réaction raisonnable, c'est de se dire
que ceux qui pensent ainsi sont des connards et que leur avis ne vaut
rien.
Et une attaque personnelle, une.
--
"Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes,
(...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se
vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité
intelligente. C'est un instinct." - Céline
Le Fri, 17 Jun 2011 13:15:43 +0000, Nicolas George a écrit :
florian , dans le message <4dfb52b6$, a écrit :
Ce que tu vois comme une possibilité, d'autres le voient comme un problème.
Et certains voient comme un problème le fait que les femmes et les Noirs aient le droit de vote.
Il fallait oser l'amalgame. Rien ne vous effraie.
La seule réaction raisonnable, c'est de se dire que ceux qui pensent ainsi sont des connards et que leur avis ne vaut rien.
Et une attaque personnelle, une.
-- "Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes, (...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité intelligente. C'est un instinct." - Céline
Nicolas George
Thomas Alexandre , dans le message <4dff2354$0$23652$, a écrit :
Vous n'avez avancé aucun argument, vous vous êtes borné à sniper et à aligner des "c'est leur choix" et des "où est le problème ?".
La charge de la preuve est du côté de celui qui affirme qu'il y a un problème.
Thomas Alexandre , dans le message
<4dff2354$0$23652$426a74cc@news.free.fr>, a écrit :
Vous n'avez avancé aucun argument, vous vous êtes borné à sniper et à
aligner des "c'est leur choix" et des "où est le problème ?".
La charge de la preuve est du côté de celui qui affirme qu'il y a un
problème.
Thomas Alexandre , dans le message <4dff2354$0$23652$, a écrit :
Vous n'avez avancé aucun argument, vous vous êtes borné à sniper et à aligner des "c'est leur choix" et des "où est le problème ?".
La charge de la preuve est du côté de celui qui affirme qu'il y a un problème.
Thomas Alexandre
Le Mon, 20 Jun 2011 12:25:13 +0000, Nicolas George a écrit :
La charge de la preuve est du côté de celui qui affirme qu'il y a un problème.
Oui.
-- "Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes, (...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité intelligente. C'est un instinct." - Céline
Le Mon, 20 Jun 2011 12:25:13 +0000, Nicolas George a écrit :
La charge de la preuve est du côté de celui qui affirme qu'il y a un
problème.
Oui.
--
"Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes,
(...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se
vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité
intelligente. C'est un instinct." - Céline
Le Mon, 20 Jun 2011 12:25:13 +0000, Nicolas George a écrit :
La charge de la preuve est du côté de celui qui affirme qu'il y a un problème.
Oui.
-- "Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes, (...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité intelligente. C'est un instinct." - Céline
Le Mon, 20 Jun 2011 13:25:49 +0000, Michel Talon a écrit :
Thomas Alexandre wrote:
N'avoir aucun contrôle sur l'évolution du code
ça s'appelle avoir un logiciel libre.
J'aurai du repréciser : au niveau de sa licence. Ce serait un peu couillon de demander à du code libre de ne pas évoluer.
-- "Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes, (...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité intelligente. C'est un instinct." - Céline
Le Mon, 20 Jun 2011 13:25:49 +0000, Michel Talon a écrit :
Thomas Alexandre <none@no.invalid> wrote:
N'avoir aucun contrôle sur l'évolution du code
ça s'appelle avoir un logiciel libre.
J'aurai du repréciser : au niveau de sa licence. Ce serait un peu
couillon de demander à du code libre de ne pas évoluer.
--
"Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes,
(...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se
vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité
intelligente. C'est un instinct." - Céline
Le Mon, 20 Jun 2011 13:25:49 +0000, Michel Talon a écrit :
Thomas Alexandre wrote:
N'avoir aucun contrôle sur l'évolution du code
ça s'appelle avoir un logiciel libre.
J'aurai du repréciser : au niveau de sa licence. Ce serait un peu couillon de demander à du code libre de ne pas évoluer.
-- "Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes, (...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité intelligente. C'est un instinct." - Céline
talon
Thomas Alexandre wrote:
Le Mon, 20 Jun 2011 13:25:49 +0000, Michel Talon a écrit :
> Thomas Alexandre wrote: >>> >> N'avoir aucun contrôle sur l'évolution du code > > ça s'appelle avoir un logiciel libre.
J'aurai du repréciser : au niveau de sa licence. Ce serait un peu couillon de demander à du code libre de ne pas évoluer.
Ce que tu n'as pas compris et ne veux pas comprendre, c'est que la notion de logiciel libre est contradictoire avec le fait que l'auteur garde un contrôle sur les évolutions de son travail. Le fait de garder un contrôle c'est le business du logiciel commercial. C'est pourquoi j'ai toujours pensé que la licence GPL n'est *pas* une licence libre, contrairement à ce que chante la propagande de la FSF. La GPL est une licence de combat destinée à détruire le logiciel commercial par le propagation de son caractère viral. Je n'ai rien contre ce but, mais je ne suis pas d'accord avec l'escroquerie orwellienne qui consiste à appeler licence libre une licence qui ne l'est en rien.
--
Michel TALON
Thomas Alexandre <none@no.invalid> wrote:
Le Mon, 20 Jun 2011 13:25:49 +0000, Michel Talon a écrit :
> Thomas Alexandre <none@no.invalid> wrote:
>>>
>> N'avoir aucun contrôle sur l'évolution du code
>
> ça s'appelle avoir un logiciel libre.
J'aurai du repréciser : au niveau de sa licence. Ce serait un peu
couillon de demander à du code libre de ne pas évoluer.
Ce que tu n'as pas compris et ne veux pas comprendre, c'est que la notion
de logiciel libre est contradictoire avec le fait que l'auteur garde un
contrôle sur les évolutions de son travail. Le fait de garder un contrôle
c'est le business du logiciel commercial. C'est pourquoi j'ai toujours
pensé que la licence GPL n'est *pas* une licence libre, contrairement à
ce que chante la propagande de la FSF. La GPL est une licence de combat
destinée à détruire le logiciel commercial par le propagation de son
caractère viral. Je n'ai rien contre ce but, mais je ne suis pas
d'accord avec l'escroquerie orwellienne qui consiste à appeler licence
libre une licence qui ne l'est en rien.
Le Mon, 20 Jun 2011 13:25:49 +0000, Michel Talon a écrit :
> Thomas Alexandre wrote: >>> >> N'avoir aucun contrôle sur l'évolution du code > > ça s'appelle avoir un logiciel libre.
J'aurai du repréciser : au niveau de sa licence. Ce serait un peu couillon de demander à du code libre de ne pas évoluer.
Ce que tu n'as pas compris et ne veux pas comprendre, c'est que la notion de logiciel libre est contradictoire avec le fait que l'auteur garde un contrôle sur les évolutions de son travail. Le fait de garder un contrôle c'est le business du logiciel commercial. C'est pourquoi j'ai toujours pensé que la licence GPL n'est *pas* une licence libre, contrairement à ce que chante la propagande de la FSF. La GPL est une licence de combat destinée à détruire le logiciel commercial par le propagation de son caractère viral. Je n'ai rien contre ce but, mais je ne suis pas d'accord avec l'escroquerie orwellienne qui consiste à appeler licence libre une licence qui ne l'est en rien.
--
Michel TALON
ST
On 6/20/11 8:25 PM, Nicolas George wrote:
La charge de la preuve est du côté de celui qui affirme qu'il y a un problème.
Laisse moi rephraser ton propos : la charge de la preuve n'est JAMAIS du coté de Nicolas George.
-- http://www.unices.org
On 6/20/11 8:25 PM, Nicolas George wrote:
La charge de la preuve est du côté de celui qui affirme qu'il y a un
problème.
Laisse moi rephraser ton propos : la charge de la preuve n'est JAMAIS du
coté de Nicolas George.
La charge de la preuve est du côté de celui qui affirme qu'il y a un problème.
Laisse moi rephraser ton propos : la charge de la preuve n'est JAMAIS du coté de Nicolas George.
-- http://www.unices.org
Professeur M
Le Fri, 17 Jun 2011 16:47:35 +0200, florian a écrit :
Je trouve cela moralement moins acceptable de profiter du libre que d'être un petit peu égoïste (c'est sans doute car c'est un défaut plus répandu dans les sociétés occidentales qui me la rend plus acceptable). Mais dans le fond cela reste de l'égoïsme
d'autant qu'il est relativement facile, même pour un non-geek, de participer au logiciel libre.
Le Fri, 17 Jun 2011 16:47:35 +0200, florian a écrit :
Je trouve cela moralement moins acceptable de profiter du libre que
d'être un petit peu égoïste (c'est sans doute car c'est un défaut plus
répandu dans les sociétés occidentales qui me la rend plus acceptable).
Mais dans le fond cela reste de l'égoïsme
d'autant qu'il est relativement facile, même pour un non-geek, de
participer au logiciel libre.
Le Fri, 17 Jun 2011 16:47:35 +0200, florian a écrit :
Je trouve cela moralement moins acceptable de profiter du libre que d'être un petit peu égoïste (c'est sans doute car c'est un défaut plus répandu dans les sociétés occidentales qui me la rend plus acceptable). Mais dans le fond cela reste de l'égoïsme
d'autant qu'il est relativement facile, même pour un non-geek, de participer au logiciel libre.