Le Sat, 25 Jun 2011 08:21:39 +0200, Michel Talon a écrit:
Par contre pour tout socialo-trotskyste et autre olibrius qui prétend m'imposer comment il faut vivre pour le meilleur intérêt du groupe, c'est parfait.
Apparemment tu n'es pas d'accord avec le principe bien connu "ma liberté s'arrête où commence celle des autres", si je comprends bien. Quelle est ta référence alors, l'objectivisme randien?
-- entia non sont multiplicanda praeter necessitatem. John Ponce of Cork.
Le Sat, 25 Jun 2011 08:21:39 +0200, Michel Talon a écrit:
Par contre
pour tout socialo-trotskyste et autre olibrius qui prétend m'imposer
comment il faut vivre pour le meilleur intérêt du groupe, c'est parfait.
Apparemment tu n'es pas d'accord avec le principe bien connu "ma liberté
s'arrête où commence celle des autres", si je comprends bien.
Quelle est ta référence alors, l'objectivisme randien?
--
entia non sont multiplicanda praeter necessitatem.
John Ponce of Cork.
Le Sat, 25 Jun 2011 08:21:39 +0200, Michel Talon a écrit:
Par contre pour tout socialo-trotskyste et autre olibrius qui prétend m'imposer comment il faut vivre pour le meilleur intérêt du groupe, c'est parfait.
Apparemment tu n'es pas d'accord avec le principe bien connu "ma liberté s'arrête où commence celle des autres", si je comprends bien. Quelle est ta référence alors, l'objectivisme randien?
-- entia non sont multiplicanda praeter necessitatem. John Ponce of Cork.
Nicolas George
Emmanuel Florac , dans le message <4e05b078$0$3942$, a écrit :
Apparemment tu n'es pas d'accord avec le principe bien connu "ma liberté s'arrête où commence celle des autres", si je comprends bien.
Il n'y a pas à être d'accord ou pas d'accord : cet adage n'est pas un principe, c'est une tautologie, il est vrai dans absolument toutes les circonstances. Dans une dictature policière, ma liberté s'arrête là où commence celle du commissaire politique du coin de me faire torturer.
Emmanuel Florac , dans le message
<4e05b078$0$3942$426a74cc@news.free.fr>, a écrit :
Apparemment tu n'es pas d'accord avec le principe bien connu "ma liberté
s'arrête où commence celle des autres", si je comprends bien.
Il n'y a pas à être d'accord ou pas d'accord : cet adage n'est pas un
principe, c'est une tautologie, il est vrai dans absolument toutes les
circonstances. Dans une dictature policière, ma liberté s'arrête là où
commence celle du commissaire politique du coin de me faire torturer.
Emmanuel Florac , dans le message <4e05b078$0$3942$, a écrit :
Apparemment tu n'es pas d'accord avec le principe bien connu "ma liberté s'arrête où commence celle des autres", si je comprends bien.
Il n'y a pas à être d'accord ou pas d'accord : cet adage n'est pas un principe, c'est une tautologie, il est vrai dans absolument toutes les circonstances. Dans une dictature policière, ma liberté s'arrête là où commence celle du commissaire politique du coin de me faire torturer.
PP
Le 25/06/2011 11:59, Nicolas George a écrit :
Emmanuel Florac , dans le message <4e05b078$0$3942$, a écrit :
Apparemment tu n'es pas d'accord avec le principe bien connu "ma liberté s'arrête où commence celle des autres", si je comprends bien.
Il n'y a pas à être d'accord ou pas d'accord : cet adage n'est pas un principe, c'est une tautologie, il est vrai dans absolument toutes les circonstances. Dans une dictature policière, ma liberté s'arrête là où commence celle du commissaire politique du coin de me faire torturer.
mon dieu !!! Vous avez une interprétation d'une phrase aussi simple qui dépasse l'entendement ...
Le 25/06/2011 11:59, Nicolas George a écrit :
Emmanuel Florac , dans le message
<4e05b078$0$3942$426a74cc@news.free.fr>, a écrit :
Apparemment tu n'es pas d'accord avec le principe bien connu "ma liberté
s'arrête où commence celle des autres", si je comprends bien.
Il n'y a pas à être d'accord ou pas d'accord : cet adage n'est pas un
principe, c'est une tautologie, il est vrai dans absolument toutes les
circonstances. Dans une dictature policière, ma liberté s'arrête là où
commence celle du commissaire politique du coin de me faire torturer.
mon dieu !!!
Vous avez une interprétation d'une phrase aussi simple qui dépasse
l'entendement ...
Emmanuel Florac , dans le message <4e05b078$0$3942$, a écrit :
Apparemment tu n'es pas d'accord avec le principe bien connu "ma liberté s'arrête où commence celle des autres", si je comprends bien.
Il n'y a pas à être d'accord ou pas d'accord : cet adage n'est pas un principe, c'est une tautologie, il est vrai dans absolument toutes les circonstances. Dans une dictature policière, ma liberté s'arrête là où commence celle du commissaire politique du coin de me faire torturer.
mon dieu !!! Vous avez une interprétation d'une phrase aussi simple qui dépasse l'entendement ...
Nicolas George
PP , dans le message <4e05c754$0$20231$, a écrit :
Vous avez une interprétation d'une phrase aussi simple qui dépasse l'entendement ...
Pourtant, ce que j'ai écrit est très simple à comprendre. Un petit effort.
PP , dans le message <4e05c754$0$20231$426a34cc@news.free.fr>, a écrit :
Vous avez une interprétation d'une phrase aussi simple qui dépasse
l'entendement ...
Pourtant, ce que j'ai écrit est très simple à comprendre. Un petit effort.
PP , dans le message <4e05c754$0$20231$, a écrit :
Vous avez une interprétation d'une phrase aussi simple qui dépasse l'entendement ...
Pourtant, ce que j'ai écrit est très simple à comprendre. Un petit effort.
Nicolas George
PP , dans le message <4e05c908$0$26870$, a écrit :
Si tu penses alors que l'adage « ma liberté s'arrête là où commence celle des autres » est valide chez eux, alors il va falloir prendre des cours de compréhension de la langue française et de la logique en général !
Si tu penses que cet adage puisse ne pas être valide quelque part, c'est toi qui as besoin de cours de français et de logique.
PP , dans le message <4e05c908$0$26870$426a74cc@news.free.fr>, a écrit :
Si tu penses alors que l'adage « ma liberté
s'arrête là où commence celle des autres » est valide chez eux, alors il
va falloir prendre des cours de compréhension de la langue française et
de la logique en général !
Si tu penses que cet adage puisse ne pas être valide quelque part, c'est toi
qui as besoin de cours de français et de logique.
PP , dans le message <4e05c908$0$26870$, a écrit :
Si tu penses alors que l'adage « ma liberté s'arrête là où commence celle des autres » est valide chez eux, alors il va falloir prendre des cours de compréhension de la langue française et de la logique en général !
Si tu penses que cet adage puisse ne pas être valide quelque part, c'est toi qui as besoin de cours de français et de logique.
PP
Le 25/06/2011 13:35, Nicolas George a écrit :
PP , dans le message<4e05c754$0$20231$, a écrit :
Vous avez une interprétation d'une phrase aussi simple qui dépasse l'entendement ...
Pourtant, ce que j'ai écrit est très simple à comprendre. Un petit effort.
c'est une plaisanterie ! En quoi, la « liberté » de la police de me torturer est une liberté !? Tu fais un détournement pur et simple du sens de la France, en en perdant le sens initial.
Le 25/06/2011 13:35, Nicolas George a écrit :
PP , dans le message<4e05c754$0$20231$426a34cc@news.free.fr>, a écrit :
Vous avez une interprétation d'une phrase aussi simple qui dépasse
l'entendement ...
Pourtant, ce que j'ai écrit est très simple à comprendre. Un petit effort.
c'est une plaisanterie !
En quoi, la « liberté » de la police de me torturer est une liberté !?
Tu fais un détournement pur et simple du sens de la France, en en
perdant le sens initial.
Vous avez une interprétation d'une phrase aussi simple qui dépasse l'entendement ...
Pourtant, ce que j'ai écrit est très simple à comprendre. Un petit effort.
c'est une plaisanterie ! En quoi, la « liberté » de la police de me torturer est une liberté !? Tu fais un détournement pur et simple du sens de la France, en en perdant le sens initial.
PP
Le 25/06/2011 13:41, Nicolas George a écrit :
PP , dans le message<4e05c908$0$26870$, a écrit :
Si tu penses alors que l'adage « ma liberté s'arrête là où commence celle des autres » est valide chez eux, alors il va falloir prendre des cours de compréhension de la langue française et de la logique en général !
Si tu penses que cet adage puisse ne pas être valide quelque part, c'est toi qui as besoin de cours de français et de logique.
Prouve-le ! Parce que les exemples précédents ne sont pas valides, et moi je dis pourquoi, au moins !
Le 25/06/2011 13:41, Nicolas George a écrit :
PP , dans le message<4e05c908$0$26870$426a74cc@news.free.fr>, a écrit :
Si tu penses alors que l'adage « ma liberté
s'arrête là où commence celle des autres » est valide chez eux, alors il
va falloir prendre des cours de compréhension de la langue française et
de la logique en général !
Si tu penses que cet adage puisse ne pas être valide quelque part, c'est toi
qui as besoin de cours de français et de logique.
Prouve-le !
Parce que les exemples précédents ne sont pas valides, et moi je dis
pourquoi, au moins !
Si tu penses alors que l'adage « ma liberté s'arrête là où commence celle des autres » est valide chez eux, alors il va falloir prendre des cours de compréhension de la langue française et de la logique en général !
Si tu penses que cet adage puisse ne pas être valide quelque part, c'est toi qui as besoin de cours de français et de logique.
Prouve-le ! Parce que les exemples précédents ne sont pas valides, et moi je dis pourquoi, au moins !
Nicolas George
PP , dans le message <4e05ca19$0$1703$, a écrit :
Prouve-le !
Cf. mon autre message.
PP , dans le message <4e05ca19$0$1703$426a34cc@news.free.fr>, a écrit :
En quoi, la « liberté » de la police de me torturer est une liberté !?
Considères-tu qu'il fait partie de la liberté d'un individu de torturer un morceau d'argile ? Un insecte ? Un mammifère ? Un être humain ?
Si tu réponds oui à certaines questions et non à d'autres, explique pourquoi.
PP
Le 25/06/2011 13:53, Nicolas George a écrit :
PP , dans le message<4e05c9bf$0$1703$, a écrit :
c'est une plaisanterie !
Non.
En quoi, la « liberté » de la police de me torturer est une liberté !?
Considères-tu qu'il fait partie de la liberté d'un individu de torturer un morceau d'argile ? Un insecte ? Un mammifère ? Un être humain ?
Si tu réponds oui à certaines questions et non à d'autres, explique pourquoi.
Moi j'adore ce genre de discussion en sens unique Par d’argument, simplement des questions !
Il n'y a aucune liberté à torturer un être humain. Pourquoi ? Parce qu'en torturant tu prives la liberté de l'individu. En torturant quelqu'un, tu le prives de sa possibilité de s'exprimer, tu l'intimide, tu le blesses l'empêchant de pouvoir utiliser son corps (en lui cassant le bras par exemple, tu le prives de sa possibilité de l'utiliser pour travailler, pour se laver, etc.)
Si tu veux parler des animaux ou insectes, libre à toi, mais ce ne sont pas des humains, et nous sommes des omnivores !!
Quand au morceau d'argile, no comment !
Le 25/06/2011 13:53, Nicolas George a écrit :
PP , dans le message<4e05c9bf$0$1703$426a34cc@news.free.fr>, a écrit :
c'est une plaisanterie !
Non.
En quoi, la « liberté » de la police de me torturer est une liberté !?
Considères-tu qu'il fait partie de la liberté d'un individu de torturer un
morceau d'argile ? Un insecte ? Un mammifère ? Un être humain ?
Si tu réponds oui à certaines questions et non à d'autres, explique
pourquoi.
Moi j'adore ce genre de discussion en sens unique
Par d’argument, simplement des questions !
Il n'y a aucune liberté à torturer un être humain.
Pourquoi ? Parce qu'en torturant tu prives la liberté de l'individu.
En torturant quelqu'un, tu le prives de sa possibilité de s'exprimer, tu
l'intimide, tu le blesses l'empêchant de pouvoir utiliser son corps (en
lui cassant le bras par exemple, tu le prives de sa possibilité de
l'utiliser pour travailler, pour se laver, etc.)
Si tu veux parler des animaux ou insectes, libre à toi, mais ce ne sont
pas des humains, et nous sommes des omnivores !!
En quoi, la « liberté » de la police de me torturer est une liberté !?
Considères-tu qu'il fait partie de la liberté d'un individu de torturer un morceau d'argile ? Un insecte ? Un mammifère ? Un être humain ?
Si tu réponds oui à certaines questions et non à d'autres, explique pourquoi.
Moi j'adore ce genre de discussion en sens unique Par d’argument, simplement des questions !
Il n'y a aucune liberté à torturer un être humain. Pourquoi ? Parce qu'en torturant tu prives la liberté de l'individu. En torturant quelqu'un, tu le prives de sa possibilité de s'exprimer, tu l'intimide, tu le blesses l'empêchant de pouvoir utiliser son corps (en lui cassant le bras par exemple, tu le prives de sa possibilité de l'utiliser pour travailler, pour se laver, etc.)
Si tu veux parler des animaux ou insectes, libre à toi, mais ce ne sont pas des humains, et nous sommes des omnivores !!