Le Fri, 24 Jun 2011 18:50:16 +0200, Michel Talon a écrit :
Si on a réussi à te convaincre que la liberté nécessite des règles pour l'encadrer, bravo pour l'artiste de la propagande.
man code civil man constitution man montesquieu
-- "Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes, (...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité intelligente. C'est un instinct." - Céline
Le Fri, 24 Jun 2011 18:50:16 +0200, Michel Talon a écrit :
Si on a réussi à te convaincre que la liberté nécessite des règles pour
l'encadrer, bravo pour l'artiste de la propagande.
man code civil
man constitution
man montesquieu
--
"Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes,
(...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se
vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité
intelligente. C'est un instinct." - Céline
Le Fri, 24 Jun 2011 18:50:16 +0200, Michel Talon a écrit :
Si on a réussi à te convaincre que la liberté nécessite des règles pour l'encadrer, bravo pour l'artiste de la propagande.
man code civil man constitution man montesquieu
-- "Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes, (...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité intelligente. C'est un instinct." - Céline
Nicolas George
PP , dans le message <4e05d8d8$0$27528$, a écrit :
Moi j'adore ce genre de discussion en sens unique Par d’argument, simplement des questions !
http://fr.wiktionary.org/wiki/ma%C3%AFeutique
Il n'y a aucune liberté à torturer un être humain. Pourquoi ? Parce qu'en torturant tu prives la liberté de l'individu. En torturant quelqu'un, tu le prives de sa possibilité de s'exprimer, tu l'intimide, tu le blesses l'empêchant de pouvoir utiliser son corps (en lui cassant le bras par exemple, tu le prives de sa possibilité de l'utiliser pour travailler, pour se laver, etc.)
Bon, il va falloir y aller plus doucement.
Tu as devant toi une table, avec dessus une pomme. Considères-tu que manger cette pomme est une liberté ?
PP , dans le message <4e05d8d8$0$27528$426a74cc@news.free.fr>, a écrit :
Moi j'adore ce genre de discussion en sens unique
Par d’argument, simplement des questions !
http://fr.wiktionary.org/wiki/ma%C3%AFeutique
Il n'y a aucune liberté à torturer un être humain.
Pourquoi ? Parce qu'en torturant tu prives la liberté de l'individu.
En torturant quelqu'un, tu le prives de sa possibilité de s'exprimer, tu
l'intimide, tu le blesses l'empêchant de pouvoir utiliser son corps (en
lui cassant le bras par exemple, tu le prives de sa possibilité de
l'utiliser pour travailler, pour se laver, etc.)
Bon, il va falloir y aller plus doucement.
Tu as devant toi une table, avec dessus une pomme. Considères-tu que manger
cette pomme est une liberté ?
PP , dans le message <4e05d8d8$0$27528$, a écrit :
Moi j'adore ce genre de discussion en sens unique Par d’argument, simplement des questions !
http://fr.wiktionary.org/wiki/ma%C3%AFeutique
Il n'y a aucune liberté à torturer un être humain. Pourquoi ? Parce qu'en torturant tu prives la liberté de l'individu. En torturant quelqu'un, tu le prives de sa possibilité de s'exprimer, tu l'intimide, tu le blesses l'empêchant de pouvoir utiliser son corps (en lui cassant le bras par exemple, tu le prives de sa possibilité de l'utiliser pour travailler, pour se laver, etc.)
Bon, il va falloir y aller plus doucement.
Tu as devant toi une table, avec dessus une pomme. Considères-tu que manger cette pomme est une liberté ?
Nicolas George
Emmanuel Florac , dans le message <4e05ea5b$0$27971$, a écrit :
Si on s'en tient strictement aux mots, évidemment on peut leur faire dire ce qu'on veut. Par contre si on respecte l'esprit de cette phrase, on ne peut pas ignorer la prise en compte de la volonté des sujets. Elle signifie qu'on doit trouver un compromis acceptable pour les deux partis supposés égaux en droit au point d'interaction de leurs libertés respectives.
Je ne pense pas qu'il y ait d'esprit à respecter dans cet adage. L'esprit, c'est le principe d'égalité de droits, mais il n'est pas contenu dans l'adage.
Emmanuel Florac , dans le message
<4e05ea5b$0$27971$426a74cc@news.free.fr>, a écrit :
Si on s'en tient strictement aux mots, évidemment on peut leur faire dire
ce qu'on veut. Par contre si on respecte l'esprit de cette phrase, on ne
peut pas ignorer la prise en compte de la volonté des sujets. Elle
signifie qu'on doit trouver un compromis acceptable pour les deux partis
supposés égaux en droit au point d'interaction de leurs libertés
respectives.
Je ne pense pas qu'il y ait d'esprit à respecter dans cet adage. L'esprit,
c'est le principe d'égalité de droits, mais il n'est pas contenu dans
l'adage.
Emmanuel Florac , dans le message <4e05ea5b$0$27971$, a écrit :
Si on s'en tient strictement aux mots, évidemment on peut leur faire dire ce qu'on veut. Par contre si on respecte l'esprit de cette phrase, on ne peut pas ignorer la prise en compte de la volonté des sujets. Elle signifie qu'on doit trouver un compromis acceptable pour les deux partis supposés égaux en droit au point d'interaction de leurs libertés respectives.
Je ne pense pas qu'il y ait d'esprit à respecter dans cet adage. L'esprit, c'est le principe d'égalité de droits, mais il n'est pas contenu dans l'adage.
Thomas Alexandre
Le Sat, 25 Jun 2011 16:16:21 +0200, Michel Talon a écrit :
Emmanuel Florac wrote:
"Ma liberté s'arrête où commence celle des autres" est précisément la base de réflexion de Stallman
C'est ce que je pense aussi, ce n'est pas moi qui ai justifié la GPL sous prétexte que "toute liberté doit avoir des limites".
Euh, moi non plus hein.
Je pense bien plus simplement que Stallman sait parfaitement que la GPL n'est pas une licence libre, et donc qu'il a enfumé tout le monde en redéfinissant la notion de logiciel libre de façon complètement farfelue, car son but est tout autre que de faire du logiciel libre, son but est de détruire le logiciel propriétaire, en quoi je pense qu'il a raison, que la notion de propriété intellectuelle est une escroquerie.
Que je comprenne bien : la GPL n'est pas une licence libre, le discours de la FSF est fumiste mais vous partagez le but poursuivi ?
Un truc qui m'échappe là : la propriété intellectuelle comme escroquerie et la destruction du locigiciel proprio c'est pas *exactement* ce que prône la FSF ? J'ai bien compris la distinction entre leur discours et leur intention mais vous trouvez franchement qu'il y a un fossé si grand entre les deux ?
L'essence même du libre c'est pas précisément que la propriété intellectuelle est une arnaque ? Non parce que là on tomberait franchement d'accord. Et que, précisément, du coup, le code libre devrait le rester, GPL for the win, toussa ?
Dans ce cas, pourquoi vous me cassez les bonbons avec la licence BSD qui serait plus dans l'esprit du libre que la GPL alors que non, en fait c'est l'inverse ? Je m'y perds.
-- "Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes, (...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité intelligente. C'est un instinct." - Céline
Le Sat, 25 Jun 2011 16:16:21 +0200, Michel Talon a écrit :
Emmanuel Florac wrote:
"Ma liberté s'arrête où commence celle des autres" est précisément la
base de réflexion de Stallman
C'est ce que je pense aussi, ce n'est pas moi qui ai justifié la GPL
sous prétexte que "toute liberté doit avoir des limites".
Euh, moi non plus hein.
Je pense bien
plus simplement que Stallman sait parfaitement que la GPL n'est pas une
licence libre, et donc qu'il a enfumé tout le monde en redéfinissant la
notion de logiciel libre de façon complètement farfelue, car son but est
tout autre que de faire du logiciel libre, son but est de détruire le
logiciel propriétaire, en quoi je pense qu'il a raison, que la notion de
propriété intellectuelle est une escroquerie.
Que je comprenne bien : la GPL n'est pas une licence libre, le discours
de la FSF est fumiste mais vous partagez le but poursuivi ?
Un truc qui m'échappe là : la propriété intellectuelle comme escroquerie
et la destruction du locigiciel proprio c'est pas *exactement* ce que
prône la FSF ? J'ai bien compris la distinction entre leur discours et
leur intention mais vous trouvez franchement qu'il y a un fossé si grand
entre les deux ?
L'essence même du libre c'est pas précisément que la propriété
intellectuelle est une arnaque ? Non parce que là on tomberait
franchement d'accord. Et que, précisément, du coup, le code libre devrait
le rester, GPL for the win, toussa ?
Dans ce cas, pourquoi vous me cassez les bonbons avec la licence BSD qui
serait plus dans l'esprit du libre que la GPL alors que non, en fait
c'est l'inverse ? Je m'y perds.
--
"Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes,
(...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se
vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité
intelligente. C'est un instinct." - Céline
Le Sat, 25 Jun 2011 16:16:21 +0200, Michel Talon a écrit :
Emmanuel Florac wrote:
"Ma liberté s'arrête où commence celle des autres" est précisément la base de réflexion de Stallman
C'est ce que je pense aussi, ce n'est pas moi qui ai justifié la GPL sous prétexte que "toute liberté doit avoir des limites".
Euh, moi non plus hein.
Je pense bien plus simplement que Stallman sait parfaitement que la GPL n'est pas une licence libre, et donc qu'il a enfumé tout le monde en redéfinissant la notion de logiciel libre de façon complètement farfelue, car son but est tout autre que de faire du logiciel libre, son but est de détruire le logiciel propriétaire, en quoi je pense qu'il a raison, que la notion de propriété intellectuelle est une escroquerie.
Que je comprenne bien : la GPL n'est pas une licence libre, le discours de la FSF est fumiste mais vous partagez le but poursuivi ?
Un truc qui m'échappe là : la propriété intellectuelle comme escroquerie et la destruction du locigiciel proprio c'est pas *exactement* ce que prône la FSF ? J'ai bien compris la distinction entre leur discours et leur intention mais vous trouvez franchement qu'il y a un fossé si grand entre les deux ?
L'essence même du libre c'est pas précisément que la propriété intellectuelle est une arnaque ? Non parce que là on tomberait franchement d'accord. Et que, précisément, du coup, le code libre devrait le rester, GPL for the win, toussa ?
Dans ce cas, pourquoi vous me cassez les bonbons avec la licence BSD qui serait plus dans l'esprit du libre que la GPL alors que non, en fait c'est l'inverse ? Je m'y perds.
-- "Ce qu'il faut au fond pour obtenir une espèce de paix avec les hommes, (...) c'est leur permettre en toutes circonstances, de s'étaler, de se vautrer parmi les vantardises niaises. Il n'y a pas de vanité intelligente. C'est un instinct." - Céline
Nicolas George
Thomas Alexandre , dans le message <4e0654b0$0$20140$, a écrit :
L'essence même du libre c'est pas précisément que la propriété intellectuelle est une arnaque ?
Si on considère que quelque chose est une arnaque, on peut décider, au choix, de l'utiliser à fond jusqu'à l'absurde, ou bien de faire en sorte d'y avoir affaire le moins possible.
Considères-tu que l'une de ces deux possibilité est moins honorable que l'autre ?
Thomas Alexandre , dans le message
<4e0654b0$0$20140$426a74cc@news.free.fr>, a écrit :
L'essence même du libre c'est pas précisément que la propriété
intellectuelle est une arnaque ?
Si on considère que quelque chose est une arnaque, on peut décider, au
choix, de l'utiliser à fond jusqu'à l'absurde, ou bien de faire en sorte d'y
avoir affaire le moins possible.
Considères-tu que l'une de ces deux possibilité est moins honorable que
l'autre ?
Thomas Alexandre , dans le message <4e0654b0$0$20140$, a écrit :
L'essence même du libre c'est pas précisément que la propriété intellectuelle est une arnaque ?
Si on considère que quelque chose est une arnaque, on peut décider, au choix, de l'utiliser à fond jusqu'à l'absurde, ou bien de faire en sorte d'y avoir affaire le moins possible.
Considères-tu que l'une de ces deux possibilité est moins honorable que l'autre ?
PP
Le 25/06/2011 23:32, Nicolas George a écrit :
PP , dans le message<4e05d8d8$0$27528$, a écrit :
Moi j'adore ce genre de discussion en sens unique Par d’argument, simplement des questions !
http://fr.wiktionary.org/wiki/ma%C3%AFeutique
Oui professeur, je suis tout ouïe ! Par contre pour la pédagogie, un semblant de réflexion initial serait moins prétentieux, et plus respectueux
Il n'y a aucune liberté à torturer un être humain. Pourquoi ? Parce qu'en torturant tu prives la liberté de l'individu. En torturant quelqu'un, tu le prives de sa possibilité de s'exprimer, tu l'intimide, tu le blesses l'empêchant de pouvoir utiliser son corps (en lui cassant le bras par exemple, tu le prives de sa possibilité de l'utiliser pour travailler, pour se laver, etc.)
Bon, il va falloir y aller plus doucement.
Tu as devant toi une table, avec dessus une pomme. Considères-tu que manger cette pomme est une liberté ?
OUI
Le 25/06/2011 23:32, Nicolas George a écrit :
PP , dans le message<4e05d8d8$0$27528$426a74cc@news.free.fr>, a écrit :
Moi j'adore ce genre de discussion en sens unique
Par d’argument, simplement des questions !
http://fr.wiktionary.org/wiki/ma%C3%AFeutique
Oui professeur, je suis tout ouïe !
Par contre pour la pédagogie, un semblant de réflexion initial serait
moins prétentieux, et plus respectueux
Il n'y a aucune liberté à torturer un être humain.
Pourquoi ? Parce qu'en torturant tu prives la liberté de l'individu.
En torturant quelqu'un, tu le prives de sa possibilité de s'exprimer, tu
l'intimide, tu le blesses l'empêchant de pouvoir utiliser son corps (en
lui cassant le bras par exemple, tu le prives de sa possibilité de
l'utiliser pour travailler, pour se laver, etc.)
Bon, il va falloir y aller plus doucement.
Tu as devant toi une table, avec dessus une pomme. Considères-tu que manger
cette pomme est une liberté ?
Moi j'adore ce genre de discussion en sens unique Par d’argument, simplement des questions !
http://fr.wiktionary.org/wiki/ma%C3%AFeutique
Oui professeur, je suis tout ouïe ! Par contre pour la pédagogie, un semblant de réflexion initial serait moins prétentieux, et plus respectueux
Il n'y a aucune liberté à torturer un être humain. Pourquoi ? Parce qu'en torturant tu prives la liberté de l'individu. En torturant quelqu'un, tu le prives de sa possibilité de s'exprimer, tu l'intimide, tu le blesses l'empêchant de pouvoir utiliser son corps (en lui cassant le bras par exemple, tu le prives de sa possibilité de l'utiliser pour travailler, pour se laver, etc.)
Bon, il va falloir y aller plus doucement.
Tu as devant toi une table, avec dessus une pomme. Considères-tu que manger cette pomme est une liberté ?
OUI
PP
Le 25/06/2011 16:29, pehache a écrit :
Le 25/06/11 16:03, Michel Talon a écrit :
Apparemment tu n'es pas d'accord avec le principe bien connu "ma liberté s'arrête où commence celle des autres", si je comprends bien.
Tu comprends mal, ma liberté s'arrête à l'unique limite de la liberté des autres, mais certainement pas à des limites arbitraires posées par la "société" pour le soit-disant bien commun
C'est qui "la société", sinon "les autres" ?
Mais çà change quoi ? Si la société m'empêche de faire quelque chose, elle limite ma liberté. La société n'a donc pas la liberté de m'empêcher de faire cette chose.
En quoi la limite posée par la collectivité est-elle plus arbitraire que la limite "négociée" entre deux individus ?
L'arbitraire est gommé par le respect des autres, et non dans la volonté de certains individus à nous dires comment on doit vivre pour que le monde soit meilleur.
Le 25/06/2011 16:29, pehache a écrit :
Le 25/06/11 16:03, Michel Talon a écrit :
Apparemment tu n'es pas d'accord avec le principe bien connu "ma liberté
s'arrête où commence celle des autres", si je comprends bien.
Tu comprends mal, ma liberté s'arrête à l'unique limite de la liberté des
autres, mais certainement pas à des limites arbitraires posées par la
"société" pour le soit-disant bien commun
C'est qui "la société", sinon "les autres" ?
Mais çà change quoi ?
Si la société m'empêche de faire quelque chose, elle limite ma liberté.
La société n'a donc pas la liberté de m'empêcher de faire cette chose.
En quoi la limite posée par la collectivité est-elle plus arbitraire que
la limite "négociée" entre deux individus ?
L'arbitraire est gommé par le respect des autres, et non dans la volonté
de certains individus à nous dires comment on doit vivre pour que le
monde soit meilleur.
Apparemment tu n'es pas d'accord avec le principe bien connu "ma liberté s'arrête où commence celle des autres", si je comprends bien.
Tu comprends mal, ma liberté s'arrête à l'unique limite de la liberté des autres, mais certainement pas à des limites arbitraires posées par la "société" pour le soit-disant bien commun
C'est qui "la société", sinon "les autres" ?
Mais çà change quoi ? Si la société m'empêche de faire quelque chose, elle limite ma liberté. La société n'a donc pas la liberté de m'empêcher de faire cette chose.
En quoi la limite posée par la collectivité est-elle plus arbitraire que la limite "négociée" entre deux individus ?
L'arbitraire est gommé par le respect des autres, et non dans la volonté de certains individus à nous dires comment on doit vivre pour que le monde soit meilleur.
PP
Le 25/06/2011 16:03, Michel Talon a écrit :
Emmanuel Florac wrote:
Le Sat, 25 Jun 2011 08:21:39 +0200, Michel Talon a écrit:
Par contre pour tout socialo-trotskyste et autre olibrius qui prétend m'imposer comment il faut vivre pour le meilleur intérêt du groupe, c'est parfait.
Apparemment tu n'es pas d'accord avec le principe bien connu "ma liberté s'arrête où commence celle des autres", si je comprends bien.
Tu comprends mal, ma liberté s'arrête à l'unique limite de la liberté des autres, mais certainement pas à des limites arbitraires posées par la "société" pour le soit-disant bien commun - limites arbitraires qui abondent en France, exemple consommation de drogue, suicide, confiscation arbitraire des biens individuels, sous prétexte de "redistribution", etc.
Consommation de drogue ... S'il n'y a pas de dépendance au produit, en effet, l'individu reste libre. Mais par exemple, pour le tabac, je ne suis pas convaincu que tous les fumeurs soient si libres que cela, car en voyant a queue au bureau de tabac les jours fériés, j'observe une grande liberté ;) ! Ensuite en terme de consommation de stupéfiant (mais c'est valable aussi pour l'alcool), il y a les conséquences sur la liberté des autres, par la violence engendrée par exemple pour les consommateurs.
Pour ce qui est du suicide, et de l'atteinte à la propriété privée, les choix sociétaux sont contraires aux libertés.
Le 25/06/2011 16:03, Michel Talon a écrit :
Emmanuel Florac wrote:
Le Sat, 25 Jun 2011 08:21:39 +0200, Michel Talon a écrit:
Par contre
pour tout socialo-trotskyste et autre olibrius qui prétend m'imposer
comment il faut vivre pour le meilleur intérêt du groupe, c'est parfait.
Apparemment tu n'es pas d'accord avec le principe bien connu "ma liberté
s'arrête où commence celle des autres", si je comprends bien.
Tu comprends mal, ma liberté s'arrête à l'unique limite de la liberté des
autres, mais certainement pas à des limites arbitraires posées par la
"société" pour le soit-disant bien commun - limites arbitraires qui abondent
en France, exemple consommation de drogue, suicide, confiscation arbitraire
des biens individuels, sous prétexte de "redistribution", etc.
Consommation de drogue ... S'il n'y a pas de dépendance au produit, en
effet, l'individu reste libre.
Mais par exemple, pour le tabac, je ne suis pas convaincu que tous les
fumeurs soient si libres que cela, car en voyant a queue au bureau de
tabac les jours fériés, j'observe une grande liberté ;) !
Ensuite en terme de consommation de stupéfiant (mais c'est valable aussi
pour l'alcool), il y a les conséquences sur la liberté des autres, par
la violence engendrée par exemple pour les consommateurs.
Pour ce qui est du suicide, et de l'atteinte à la propriété privée, les
choix sociétaux sont contraires aux libertés.
Le Sat, 25 Jun 2011 08:21:39 +0200, Michel Talon a écrit:
Par contre pour tout socialo-trotskyste et autre olibrius qui prétend m'imposer comment il faut vivre pour le meilleur intérêt du groupe, c'est parfait.
Apparemment tu n'es pas d'accord avec le principe bien connu "ma liberté s'arrête où commence celle des autres", si je comprends bien.
Tu comprends mal, ma liberté s'arrête à l'unique limite de la liberté des autres, mais certainement pas à des limites arbitraires posées par la "société" pour le soit-disant bien commun - limites arbitraires qui abondent en France, exemple consommation de drogue, suicide, confiscation arbitraire des biens individuels, sous prétexte de "redistribution", etc.
Consommation de drogue ... S'il n'y a pas de dépendance au produit, en effet, l'individu reste libre. Mais par exemple, pour le tabac, je ne suis pas convaincu que tous les fumeurs soient si libres que cela, car en voyant a queue au bureau de tabac les jours fériés, j'observe une grande liberté ;) ! Ensuite en terme de consommation de stupéfiant (mais c'est valable aussi pour l'alcool), il y a les conséquences sur la liberté des autres, par la violence engendrée par exemple pour les consommateurs.
Pour ce qui est du suicide, et de l'atteinte à la propriété privée, les choix sociétaux sont contraires aux libertés.
pehache
Le 27/06/11 18:29, PP a écrit :
C'est qui "la société", sinon "les autres" ?
Mais çà change quoi ? Si la société m'empêche de faire quelque chose, elle limite ma liberté. La société n'a donc pas la liberté de m'empêcher de faire cette chose.
En quoi la limite posée par la collectivité est-elle plus arbitraire que la limite "négociée" entre deux individus ?
L'arbitraire est gommé par le respect des autres, et non dans la volonté de certains individus à nous dires comment on doit vivre pour que le monde soit meilleur.
Loin de moi l'idée de faire mon Nicolas George, mais tu n'as pas répondu à la question : "en quoi la limite négociée par la collectivité est-elle plus arbitraire que la limite négociée entre deux individus ?"
Ce que tu appelles "certains individus" c'est la société, dont tu fais partie. J'aimerais bien savoir par quel miracle le respect disparaitrait au profit de l'arbitraire en passant de l'individu à la société, ou dit autrement par quel miracle l'arbitraire disparaitrait au profit du respect en passant de la société à l'individu.
-- pehache
Le 27/06/11 18:29, PP a écrit :
C'est qui "la société", sinon "les autres" ?
Mais çà change quoi ?
Si la société m'empêche de faire quelque chose, elle limite ma liberté.
La société n'a donc pas la liberté de m'empêcher de faire cette chose.
En quoi la limite posée par la collectivité est-elle plus arbitraire que
la limite "négociée" entre deux individus ?
L'arbitraire est gommé par le respect des autres, et non dans la volonté
de certains individus à nous dires comment on doit vivre pour que le
monde soit meilleur.
Loin de moi l'idée de faire mon Nicolas George, mais tu n'as pas répondu
à la question : "en quoi la limite négociée par la collectivité est-elle
plus arbitraire que la limite négociée entre deux individus ?"
Ce que tu appelles "certains individus" c'est la société, dont tu fais
partie. J'aimerais bien savoir par quel miracle le respect disparaitrait
au profit de l'arbitraire en passant de l'individu à la société, ou dit
autrement par quel miracle l'arbitraire disparaitrait au profit du
respect en passant de la société à l'individu.
Mais çà change quoi ? Si la société m'empêche de faire quelque chose, elle limite ma liberté. La société n'a donc pas la liberté de m'empêcher de faire cette chose.
En quoi la limite posée par la collectivité est-elle plus arbitraire que la limite "négociée" entre deux individus ?
L'arbitraire est gommé par le respect des autres, et non dans la volonté de certains individus à nous dires comment on doit vivre pour que le monde soit meilleur.
Loin de moi l'idée de faire mon Nicolas George, mais tu n'as pas répondu à la question : "en quoi la limite négociée par la collectivité est-elle plus arbitraire que la limite négociée entre deux individus ?"
Ce que tu appelles "certains individus" c'est la société, dont tu fais partie. J'aimerais bien savoir par quel miracle le respect disparaitrait au profit de l'arbitraire en passant de l'individu à la société, ou dit autrement par quel miracle l'arbitraire disparaitrait au profit du respect en passant de la société à l'individu.
-- pehache
pehache
Le 27/06/11 19:21, PP a écrit :
Tu comprends mal, ma liberté s'arrête à l'unique limite de la liberté des autres, mais certainement pas à des limites arbitraires posées par la "société" pour le soit-disant bien commun - limites arbitraires qui abondent en France, exemple consommation de drogue, suicide, confiscation arbitraire des biens individuels, sous prétexte de "redistribution", etc.
Consommation de drogue ... S'il n'y a pas de dépendance au produit, en effet, l'individu reste libre. Mais par exemple, pour le tabac, je ne suis pas convaincu que tous les fumeurs soient si libres que cela, car en voyant a queue au bureau de tabac les jours fériés, j'observe une grande liberté ;) ! Ensuite en terme de consommation de stupéfiant (mais c'est valable aussi pour l'alcool), il y a les conséquences sur la liberté des autres, par la violence engendrée par exemple pour les consommateurs.
Pour ce qui est du suicide, et de l'atteinte à la propriété privée, les choix sociétaux sont contraires aux libertés.
En gros il y a donc les choix sociétaux qui te conviennent, et les choix sociétaux qui ne te conviennent pas. Ceux qui te conviennent sont respectueux des libertés, et ceux qui ne te conviennent pas sont contraires aux libertés.
Bref...
-- pehache
Le 27/06/11 19:21, PP a écrit :
Tu comprends mal, ma liberté s'arrête à l'unique limite de la liberté des
autres, mais certainement pas à des limites arbitraires posées par la
"société" pour le soit-disant bien commun - limites arbitraires qui
abondent
en France, exemple consommation de drogue, suicide, confiscation
arbitraire
des biens individuels, sous prétexte de "redistribution", etc.
Consommation de drogue ... S'il n'y a pas de dépendance au produit, en
effet, l'individu reste libre.
Mais par exemple, pour le tabac, je ne suis pas convaincu que tous les
fumeurs soient si libres que cela, car en voyant a queue au bureau de
tabac les jours fériés, j'observe une grande liberté ;) !
Ensuite en terme de consommation de stupéfiant (mais c'est valable aussi
pour l'alcool), il y a les conséquences sur la liberté des autres, par
la violence engendrée par exemple pour les consommateurs.
Pour ce qui est du suicide, et de l'atteinte à la propriété privée, les
choix sociétaux sont contraires aux libertés.
En gros il y a donc les choix sociétaux qui te conviennent, et les choix
sociétaux qui ne te conviennent pas. Ceux qui te conviennent sont
respectueux des libertés, et ceux qui ne te conviennent pas sont
contraires aux libertés.
Tu comprends mal, ma liberté s'arrête à l'unique limite de la liberté des autres, mais certainement pas à des limites arbitraires posées par la "société" pour le soit-disant bien commun - limites arbitraires qui abondent en France, exemple consommation de drogue, suicide, confiscation arbitraire des biens individuels, sous prétexte de "redistribution", etc.
Consommation de drogue ... S'il n'y a pas de dépendance au produit, en effet, l'individu reste libre. Mais par exemple, pour le tabac, je ne suis pas convaincu que tous les fumeurs soient si libres que cela, car en voyant a queue au bureau de tabac les jours fériés, j'observe une grande liberté ;) ! Ensuite en terme de consommation de stupéfiant (mais c'est valable aussi pour l'alcool), il y a les conséquences sur la liberté des autres, par la violence engendrée par exemple pour les consommateurs.
Pour ce qui est du suicide, et de l'atteinte à la propriété privée, les choix sociétaux sont contraires aux libertés.
En gros il y a donc les choix sociétaux qui te conviennent, et les choix sociétaux qui ne te conviennent pas. Ceux qui te conviennent sont respectueux des libertés, et ceux qui ne te conviennent pas sont contraires aux libertés.