La liberté d'un individu de consommer de la drogue induit une perte de liberté des individus de la collectivité.
Et donc tu es d'accord pour supprimer la liberté de consommer de la drogue, on est d'accord ?
Tu juges que la liberté des non-consommateur est ici plus importante que la liberté des consommateurs, on est d'accord ?
Ca tombe assez bien, car tu es non-consommateur, j'imagine ?
Mais il est vrai, que chez lui, un individu qui ne crée aucune nuisance pour son entourage, qui produirait sa drogue (sans créer la délinquance due à l'importation et à tout genre de trafic en tout genre),
La délinquance et les trafics ne sont que le résultat de l'interdiction. Si tu autorises les drogues, il n'y a plus de trafic et plus de délinquance.
je ne vois aucun problème à ce qu'il fasse de sa vie. À condition qu'il ne demande rien à personne pour vivre.
Très bien, marquons cela sur les boîtes de drogues et laissons les en vente libre.
Je pense juste que le jour où tu verras quelqu'un, un proche, se détruire sous tes yeux avec de la drogue, tu nuanceras un peu tes propos.
-- pehache
Le 28/06/11 08:59, PP a écrit :
La liberté d'un individu de consommer de la drogue induit une perte de
liberté des individus de la collectivité.
Et donc tu es d'accord pour supprimer la liberté de consommer de la
drogue, on est d'accord ?
Tu juges que la liberté des non-consommateur est ici plus importante que
la liberté des consommateurs, on est d'accord ?
Ca tombe assez bien, car tu es non-consommateur, j'imagine ?
Mais il est vrai, que chez lui, un individu qui ne crée aucune nuisance
pour son entourage, qui produirait sa drogue (sans créer la délinquance
due à l'importation et à tout genre de trafic en tout genre),
La délinquance et les trafics ne sont que le résultat de l'interdiction.
Si tu autorises les drogues, il n'y a plus de trafic et plus de délinquance.
je ne vois
aucun problème à ce qu'il fasse de sa vie. À condition qu'il ne demande
rien à personne pour vivre.
Très bien, marquons cela sur les boîtes de drogues et laissons les en
vente libre.
Je pense juste que le jour où tu verras quelqu'un, un proche, se
détruire sous tes yeux avec de la drogue, tu nuanceras un peu tes propos.
La liberté d'un individu de consommer de la drogue induit une perte de liberté des individus de la collectivité.
Et donc tu es d'accord pour supprimer la liberté de consommer de la drogue, on est d'accord ?
Tu juges que la liberté des non-consommateur est ici plus importante que la liberté des consommateurs, on est d'accord ?
Ca tombe assez bien, car tu es non-consommateur, j'imagine ?
Mais il est vrai, que chez lui, un individu qui ne crée aucune nuisance pour son entourage, qui produirait sa drogue (sans créer la délinquance due à l'importation et à tout genre de trafic en tout genre),
La délinquance et les trafics ne sont que le résultat de l'interdiction. Si tu autorises les drogues, il n'y a plus de trafic et plus de délinquance.
je ne vois aucun problème à ce qu'il fasse de sa vie. À condition qu'il ne demande rien à personne pour vivre.
Très bien, marquons cela sur les boîtes de drogues et laissons les en vente libre.
Je pense juste que le jour où tu verras quelqu'un, un proche, se détruire sous tes yeux avec de la drogue, tu nuanceras un peu tes propos.
-- pehache
Hugolino
Le 28-06-2011, Helena a écrit :
On 2011-06-27, PP wrote:
> en quoi il peux être acceptable l'utilisation de produit qu'on sait être > responsable d'alienation de l'individu, ou bien faire payer la facture à > la collectivité les coûts des autres. > Finalement les drogues destructeurs de liberté. > Aussi sont-elle tolérable ... ?
Pourquoi tolérer l'alcool mais pas d'autres drogues ?
C'est *socio-culturel* qu'on te dit !!!
quelques milliards d'euros de taxes chaque année : je te laisse chercher le montant exact....
-- L'esprit est comme un parachute, s'il reste fermé on s'écrase. Hugo (né il y a 1 488 710 210 secondes)
Le 28-06-2011, Helena <lna57005@gmail.com> a écrit :
On 2011-06-27, PP <000pipantal@free.fr000> wrote:
> en quoi il peux être acceptable l'utilisation de produit qu'on sait être
> responsable d'alienation de l'individu, ou bien faire payer la facture à
> la collectivité les coûts des autres.
> Finalement les drogues destructeurs de liberté.
> Aussi sont-elle tolérable ... ?
Pourquoi tolérer l'alcool mais pas d'autres drogues ?
C'est *socio-culturel* qu'on te dit !!!
quelques milliards d'euros de taxes chaque année : je te laisse chercher
le montant exact....
--
L'esprit est comme un parachute, s'il reste fermé on s'écrase.
Hugo (né il y a 1 488 710 210 secondes)
> en quoi il peux être acceptable l'utilisation de produit qu'on sait être > responsable d'alienation de l'individu, ou bien faire payer la facture à > la collectivité les coûts des autres. > Finalement les drogues destructeurs de liberté. > Aussi sont-elle tolérable ... ?
Pourquoi tolérer l'alcool mais pas d'autres drogues ?
C'est *socio-culturel* qu'on te dit !!!
quelques milliards d'euros de taxes chaque année : je te laisse chercher le montant exact....
-- L'esprit est comme un parachute, s'il reste fermé on s'écrase. Hugo (né il y a 1 488 710 210 secondes)
Yliur
Hugolino a écrit :
Le 28-06-2011, Helena a écrit : > On 2011-06-27, PP wrote: > > > en quoi il peux être acceptable l'utilisation de produit qu'on > > sait être responsable d'alienation de l'individu, ou bien faire > > payer la facture à la collectivité les coûts des autres. > > Finalement les drogues destructeurs de liberté. > > Aussi sont-elle tolérable ... ? > > Pourquoi tolérer l'alcool mais pas d'autres drogues ?
C'est *socio-culturel* qu'on te dit !!!
En partie. La dangerosité des drogues doit aussi être prise en compte, ce qui explique qu'elles ne soient pas légalisées en vrac.
quelques milliards d'euros de taxes chaque année : je te laisse chercher le montant exact....
La question des taxes qui justifieraient les drogues légales n'est pas terribles : si d'autres drogues étaient légalisées, elles seraient taxées. Ça coûterait moins à contrôler et ça rapporterait plus d'argent.
Hugolino <hugolino@free.fr> a écrit :
Le 28-06-2011, Helena <lna57005@gmail.com> a écrit :
> On 2011-06-27, PP <000pipantal@free.fr000> wrote:
>
> > en quoi il peux être acceptable l'utilisation de produit qu'on
> > sait être responsable d'alienation de l'individu, ou bien faire
> > payer la facture à la collectivité les coûts des autres.
> > Finalement les drogues destructeurs de liberté.
> > Aussi sont-elle tolérable ... ?
>
> Pourquoi tolérer l'alcool mais pas d'autres drogues ?
C'est *socio-culturel* qu'on te dit !!!
En partie. La dangerosité des drogues doit aussi être prise en compte,
ce qui explique qu'elles ne soient pas légalisées en vrac.
quelques milliards d'euros de taxes chaque année : je te laisse
chercher le montant exact....
La question des taxes qui justifieraient les drogues légales n'est pas
terribles : si d'autres drogues étaient légalisées, elles seraient
taxées. Ça coûterait moins à contrôler et ça rapporterait plus d'argent.
Le 28-06-2011, Helena a écrit : > On 2011-06-27, PP wrote: > > > en quoi il peux être acceptable l'utilisation de produit qu'on > > sait être responsable d'alienation de l'individu, ou bien faire > > payer la facture à la collectivité les coûts des autres. > > Finalement les drogues destructeurs de liberté. > > Aussi sont-elle tolérable ... ? > > Pourquoi tolérer l'alcool mais pas d'autres drogues ?
C'est *socio-culturel* qu'on te dit !!!
En partie. La dangerosité des drogues doit aussi être prise en compte, ce qui explique qu'elles ne soient pas légalisées en vrac.
quelques milliards d'euros de taxes chaque année : je te laisse chercher le montant exact....
La question des taxes qui justifieraient les drogues légales n'est pas terribles : si d'autres drogues étaient légalisées, elles seraient taxées. Ça coûterait moins à contrôler et ça rapporterait plus d'argent.
PP
Le 28/06/2011 09:24, pehache a écrit :
Le 28/06/11 08:59, PP a écrit :
La liberté d'un individu de consommer de la drogue induit une perte de liberté des individus de la collectivité.
Et donc tu es d'accord pour supprimer la liberté de consommer de la drogue, on est d'accord ?
Tu juges que la liberté des non-consommateur est ici plus importante que la liberté des consommateurs, on est d'accord ?
Non, j'estime que ma sécurité doit réglementer l'usage des drogues. Ensuite, le problème de la drogue c'est autre chose. Car la règlementation vise à réduire les effets collatéraux réduisant la liberté des autres. Mais en tout logique, la consommation de stupéfiants n'a pas d'effet direct sur la liberté des autres. Pour ceux qui sont pour la dépénalisation des stupéfiants, il est bon de réflechir sur "prévenir ou guérir ". Sachant que la guérison, implique une atteinte à la liberté de certains.
Mais il est vrai, que chez lui, un individu qui ne crée aucune nuisance pour son entourage, qui produirait sa drogue (sans créer la délinquance due à l'importation et à tout genre de trafic en tout genre),
La délinquance et les trafics ne sont que le résultat de l'interdiction. Si tu autorises les drogues, il n'y a plus de trafic et plus de délinquance.
Et la dépendance dans tout cela ? La dépendance te rend captif, au point de tout faire pour te procurer ta dose. À moins de la rendre gratuite aux usagers, et donc de faire payer la note aux autres individus, je ne vois pas comment on peut éviter certaines choses. Sachant que de me priver de mes biens pour un usage plus que discutable, je suis spolié de ma liberté de jouir de mes biens comme bon me semble. À l'extrême, si des individus décident d'alimenter un fond pour fournir les stupéfiants aux consommateurs, je ne vois pas de problème.
je ne vois aucun problème à ce qu'il fasse de sa vie. À condition qu'il ne demande rien à personne pour vivre.
Très bien, marquons cela sur les boîtes de drogues et laissons les en vente libre.
Je pense juste que le jour où tu verras quelqu'un, un proche, se détruire sous tes yeux avec de la drogue, tu nuanceras un peu tes propos.
Mais que peux-tu y faire. Quand un type rentre dedans c'est l'enfer pour tout le monde, pour la famille et pour la société. Par ailleurs, les individus sont libres, mais comme j'ai dit au départ oui ils sont libres de choisir, mais la dépendance des stupéfiants atteint la liberté des individus (alcool, tabac, etc.) Faut-il les tolérés, ou pas. Je suis plutôt contre. Alors me la fait pas à prôner la liberté de drogue pendant de nombreux postes pour finir comme un calimero, et surtout prendre un plaisir à galvauder mes propos.
Le 28/06/2011 09:24, pehache a écrit :
Le 28/06/11 08:59, PP a écrit :
La liberté d'un individu de consommer de la drogue induit une perte de
liberté des individus de la collectivité.
Et donc tu es d'accord pour supprimer la liberté de consommer de la
drogue, on est d'accord ?
Tu juges que la liberté des non-consommateur est ici plus importante que
la liberté des consommateurs, on est d'accord ?
Non, j'estime que ma sécurité doit réglementer l'usage des drogues.
Ensuite, le problème de la drogue c'est autre chose. Car la
règlementation vise à réduire les effets collatéraux réduisant la
liberté des autres.
Mais en tout logique, la consommation de stupéfiants n'a pas d'effet
direct sur la liberté des autres.
Pour ceux qui sont pour la dépénalisation des stupéfiants, il est bon de
réflechir sur "prévenir ou guérir ". Sachant que la guérison, implique
une atteinte à la liberté de certains.
Mais il est vrai, que chez lui, un individu qui ne crée aucune nuisance
pour son entourage, qui produirait sa drogue (sans créer la délinquance
due à l'importation et à tout genre de trafic en tout genre),
La délinquance et les trafics ne sont que le résultat de l'interdiction.
Si tu autorises les drogues, il n'y a plus de trafic et plus de
délinquance.
Et la dépendance dans tout cela ?
La dépendance te rend captif, au point de tout faire pour te procurer ta
dose.
À moins de la rendre gratuite aux usagers, et donc de faire payer la
note aux autres individus, je ne vois pas comment on peut éviter
certaines choses. Sachant que de me priver de mes biens pour un usage
plus que discutable, je suis spolié de ma liberté de jouir de mes biens
comme bon me semble.
À l'extrême, si des individus décident d'alimenter un fond pour fournir
les stupéfiants aux consommateurs, je ne vois pas de problème.
je ne vois
aucun problème à ce qu'il fasse de sa vie. À condition qu'il ne demande
rien à personne pour vivre.
Très bien, marquons cela sur les boîtes de drogues et laissons les en
vente libre.
Je pense juste que le jour où tu verras quelqu'un, un proche, se
détruire sous tes yeux avec de la drogue, tu nuanceras un peu tes propos.
Mais que peux-tu y faire.
Quand un type rentre dedans c'est l'enfer pour tout le monde, pour la
famille et pour la société.
Par ailleurs, les individus sont libres, mais comme j'ai dit au départ
oui ils sont libres de choisir, mais la dépendance des stupéfiants
atteint la liberté des individus (alcool, tabac, etc.)
Faut-il les tolérés, ou pas. Je suis plutôt contre.
Alors me la fait pas à prôner la liberté de drogue pendant de nombreux
postes pour finir comme un calimero, et surtout prendre un plaisir à
galvauder mes propos.
La liberté d'un individu de consommer de la drogue induit une perte de liberté des individus de la collectivité.
Et donc tu es d'accord pour supprimer la liberté de consommer de la drogue, on est d'accord ?
Tu juges que la liberté des non-consommateur est ici plus importante que la liberté des consommateurs, on est d'accord ?
Non, j'estime que ma sécurité doit réglementer l'usage des drogues. Ensuite, le problème de la drogue c'est autre chose. Car la règlementation vise à réduire les effets collatéraux réduisant la liberté des autres. Mais en tout logique, la consommation de stupéfiants n'a pas d'effet direct sur la liberté des autres. Pour ceux qui sont pour la dépénalisation des stupéfiants, il est bon de réflechir sur "prévenir ou guérir ". Sachant que la guérison, implique une atteinte à la liberté de certains.
Mais il est vrai, que chez lui, un individu qui ne crée aucune nuisance pour son entourage, qui produirait sa drogue (sans créer la délinquance due à l'importation et à tout genre de trafic en tout genre),
La délinquance et les trafics ne sont que le résultat de l'interdiction. Si tu autorises les drogues, il n'y a plus de trafic et plus de délinquance.
Et la dépendance dans tout cela ? La dépendance te rend captif, au point de tout faire pour te procurer ta dose. À moins de la rendre gratuite aux usagers, et donc de faire payer la note aux autres individus, je ne vois pas comment on peut éviter certaines choses. Sachant que de me priver de mes biens pour un usage plus que discutable, je suis spolié de ma liberté de jouir de mes biens comme bon me semble. À l'extrême, si des individus décident d'alimenter un fond pour fournir les stupéfiants aux consommateurs, je ne vois pas de problème.
je ne vois aucun problème à ce qu'il fasse de sa vie. À condition qu'il ne demande rien à personne pour vivre.
Très bien, marquons cela sur les boîtes de drogues et laissons les en vente libre.
Je pense juste que le jour où tu verras quelqu'un, un proche, se détruire sous tes yeux avec de la drogue, tu nuanceras un peu tes propos.
Mais que peux-tu y faire. Quand un type rentre dedans c'est l'enfer pour tout le monde, pour la famille et pour la société. Par ailleurs, les individus sont libres, mais comme j'ai dit au départ oui ils sont libres de choisir, mais la dépendance des stupéfiants atteint la liberté des individus (alcool, tabac, etc.) Faut-il les tolérés, ou pas. Je suis plutôt contre. Alors me la fait pas à prôner la liberté de drogue pendant de nombreux postes pour finir comme un calimero, et surtout prendre un plaisir à galvauder mes propos.
PP
Le 28/06/2011 09:23, Helena a écrit :
On 2011-06-27, PP wrote:
en quoi il peux être acceptable l'utilisation de produit qu'on sait être responsable d'alienation de l'individu, ou bien faire payer la facture à la collectivité les coûts des autres. Finalement les drogues destructeurs de liberté. Aussi sont-elle tolérable ... ?
Pourquoi tolérer l'alcool mais pas d'autres drogues ?
Qui a dit le contraire ?
Le 28/06/2011 09:23, Helena a écrit :
On 2011-06-27, PP<000pipantal@free.fr000> wrote:
en quoi il peux être acceptable l'utilisation de produit qu'on sait être
responsable d'alienation de l'individu, ou bien faire payer la facture à
la collectivité les coûts des autres.
Finalement les drogues destructeurs de liberté.
Aussi sont-elle tolérable ... ?
Pourquoi tolérer l'alcool mais pas d'autres drogues ?
en quoi il peux être acceptable l'utilisation de produit qu'on sait être responsable d'alienation de l'individu, ou bien faire payer la facture à la collectivité les coûts des autres. Finalement les drogues destructeurs de liberté. Aussi sont-elle tolérable ... ?
Pourquoi tolérer l'alcool mais pas d'autres drogues ?
Qui a dit le contraire ?
Nicolas George
PP , dans le message <4e09d1f0$0$28878$, a écrit :
Non, j'estime que ma sécurité doit réglementer l'usage des drogues.
En quoi ta sécurité personnelle est-elle concernée ? Légal ou pas, il s'agit d'un choix délibéré. Si tu es idiot au point que tu serais prêt à te précipiter sur du crack dès lors que ce serait légal, je te suggère de commencer d'urgence ton ouvrage pour une candidature à un Darwin Award.
Et la dépendance dans tout cela ?
En quoi est-ce différent de toute autre conséquence sur la santé à long terme, un cancer du poumon par exemple.
Est-il objectivement pire d'être en cure de désintoxication que d'être en chimiothérapie ? Même question pour un proche.
Et en quoi est-ce fondamentalement différent de n'importe quelle décision qui nous engage sur le long terme, comme souscrire à un emprunt auprès d'une banque par exemple.
Est-il objectivement pire d'être en cure de désintoxication que d'être en faillite personnelle ? Discuter selon les différentes législations sur la faillite personnelle.
PP , dans le message <4e09d1f0$0$28878$426a74cc@news.free.fr>, a écrit :
Non, j'estime que ma sécurité doit réglementer l'usage des drogues.
En quoi ta sécurité personnelle est-elle concernée ? Légal ou pas, il s'agit
d'un choix délibéré. Si tu es idiot au point que tu serais prêt à te
précipiter sur du crack dès lors que ce serait légal, je te suggère de
commencer d'urgence ton ouvrage pour une candidature à un Darwin Award.
Et la dépendance dans tout cela ?
En quoi est-ce différent de toute autre conséquence sur la santé à long
terme, un cancer du poumon par exemple.
Est-il objectivement pire d'être en cure de désintoxication que d'être en
chimiothérapie ? Même question pour un proche.
Et en quoi est-ce fondamentalement différent de n'importe quelle décision
qui nous engage sur le long terme, comme souscrire à un emprunt auprès d'une
banque par exemple.
Est-il objectivement pire d'être en cure de désintoxication que d'être en
faillite personnelle ? Discuter selon les différentes législations sur la
faillite personnelle.
PP , dans le message <4e09d1f0$0$28878$, a écrit :
Non, j'estime que ma sécurité doit réglementer l'usage des drogues.
En quoi ta sécurité personnelle est-elle concernée ? Légal ou pas, il s'agit d'un choix délibéré. Si tu es idiot au point que tu serais prêt à te précipiter sur du crack dès lors que ce serait légal, je te suggère de commencer d'urgence ton ouvrage pour une candidature à un Darwin Award.
Et la dépendance dans tout cela ?
En quoi est-ce différent de toute autre conséquence sur la santé à long terme, un cancer du poumon par exemple.
Est-il objectivement pire d'être en cure de désintoxication que d'être en chimiothérapie ? Même question pour un proche.
Et en quoi est-ce fondamentalement différent de n'importe quelle décision qui nous engage sur le long terme, comme souscrire à un emprunt auprès d'une banque par exemple.
Est-il objectivement pire d'être en cure de désintoxication que d'être en faillite personnelle ? Discuter selon les différentes législations sur la faillite personnelle.
Hugolino
Le 28-06-2011, Yliur a écrit :
Hugolino a écrit : > Le 28-06-2011, Helena a écrit : > > > > Pourquoi tolérer l'alcool mais pas d'autres drogues ? > > C'est *socio-culturel* qu'on te dit !!!
En partie. La dangerosité des drogues doit aussi être prise en compte, ce qui explique qu'elles ne soient pas légalisées en vrac.
> quelques milliards d'euros de taxes chaque année : je te laisse > chercher le montant exact....
La question des taxes qui justifieraient les drogues légales n'est pas terribles : si d'autres drogues étaient légalisées, elles seraient taxées. Ça coûterait moins à contrôler et ça rapporterait plus d'argent.
Il y a des drogues qui sont plus utiles à l'État en restant illégales.
Par exemple, le cannabis qui évite l'explosion des cités en y apportant le revenu du son traffic : ça coûte moins cher que de rétablir l'ordre public et de réhabiliter les barres d'immeubles.
--
Y'aurait-il un moyen de transformer ma 600CBR en roadster regardable ?
Prends-toi une gamelle dans un rond-point, d'abord à l'entrée, puis dans le rond-point, tu vires les bouts de carénage, et c'est fait. Hugo (né il y a 1 488 710 460 secondes)
Le 28-06-2011, Yliur <yliur@free.fr> a écrit :
Hugolino <hugolino@free.fr> a écrit :
> Le 28-06-2011, Helena <lna57005@gmail.com> a écrit :
> >
> > Pourquoi tolérer l'alcool mais pas d'autres drogues ?
>
> C'est *socio-culturel* qu'on te dit !!!
En partie. La dangerosité des drogues doit aussi être prise en
compte, ce qui explique qu'elles ne soient pas légalisées en vrac.
> quelques milliards d'euros de taxes chaque année : je te laisse
> chercher le montant exact....
La question des taxes qui justifieraient les drogues légales n'est
pas terribles : si d'autres drogues étaient légalisées, elles
seraient taxées. Ça coûterait moins à contrôler et ça rapporterait
plus d'argent.
Il y a des drogues qui sont plus utiles à l'État en restant illégales.
Par exemple, le cannabis qui évite l'explosion des cités en y apportant
le revenu du son traffic : ça coûte moins cher que de rétablir l'ordre
public et de réhabiliter les barres d'immeubles.
--
Y'aurait-il un moyen de transformer ma 600CBR en roadster regardable ?
Prends-toi une gamelle dans un rond-point, d'abord à l'entrée, puis
dans le rond-point, tu vires les bouts de carénage, et c'est fait.
Hugo (né il y a 1 488 710 460 secondes)
Hugolino a écrit : > Le 28-06-2011, Helena a écrit : > > > > Pourquoi tolérer l'alcool mais pas d'autres drogues ? > > C'est *socio-culturel* qu'on te dit !!!
En partie. La dangerosité des drogues doit aussi être prise en compte, ce qui explique qu'elles ne soient pas légalisées en vrac.
> quelques milliards d'euros de taxes chaque année : je te laisse > chercher le montant exact....
La question des taxes qui justifieraient les drogues légales n'est pas terribles : si d'autres drogues étaient légalisées, elles seraient taxées. Ça coûterait moins à contrôler et ça rapporterait plus d'argent.
Il y a des drogues qui sont plus utiles à l'État en restant illégales.
Par exemple, le cannabis qui évite l'explosion des cités en y apportant le revenu du son traffic : ça coûte moins cher que de rétablir l'ordre public et de réhabiliter les barres d'immeubles.
--
Y'aurait-il un moyen de transformer ma 600CBR en roadster regardable ?
Prends-toi une gamelle dans un rond-point, d'abord à l'entrée, puis dans le rond-point, tu vires les bouts de carénage, et c'est fait. Hugo (né il y a 1 488 710 460 secondes)
Emmanuel Florac
Le Tue, 28 Jun 2011 15:08:25 +0200, PP a écrit:
À l'extrême, si des individus décident d'alimenter un fond pour fournir les stupéfiants aux consommateurs, je ne vois pas de problème.
Pour info, dans les années 60 la Grande-Bretagne avait institué la distribution médicalisée de drogues dures, et le résultat était excellent : baisse de la consommation et surtout, baisse du nombre de consommateurs. C'est un peu ce qui se passe également en Suisse mais à une moindre échelle.
-- It is better to remain silent and be thought a fool than to open one's mouth and remove all doubt. Abraham Lincoln.
Le Tue, 28 Jun 2011 15:08:25 +0200, PP a écrit:
À l'extrême, si des individus décident d'alimenter un fond pour fournir
les stupéfiants aux consommateurs, je ne vois pas de problème.
Pour info, dans les années 60 la Grande-Bretagne avait institué la
distribution médicalisée de drogues dures, et le résultat était
excellent : baisse de la consommation et surtout, baisse du nombre de
consommateurs.
C'est un peu ce qui se passe également en Suisse mais à une moindre
échelle.
--
It is better to remain silent and be thought a fool than to open one's
mouth and remove all doubt.
Abraham Lincoln.
À l'extrême, si des individus décident d'alimenter un fond pour fournir les stupéfiants aux consommateurs, je ne vois pas de problème.
Pour info, dans les années 60 la Grande-Bretagne avait institué la distribution médicalisée de drogues dures, et le résultat était excellent : baisse de la consommation et surtout, baisse du nombre de consommateurs. C'est un peu ce qui se passe également en Suisse mais à une moindre échelle.
-- It is better to remain silent and be thought a fool than to open one's mouth and remove all doubt. Abraham Lincoln.
Emmanuel Florac
Le Tue, 28 Jun 2011 15:04:11 +0200, Yliur a écrit:
En partie. La dangerosité des drogues doit aussi être prise en compte, ce qui explique qu'elles ne soient pas légalisées en vrac.
Le cannabis n'est pas plus dangereux que l'alcool. Ça ne sert à rien d'ergoter: les drogues sont interdites uniquement à cause d'a priori moralisateurs, il n'y a guère de données objectives en faveur de la prohibition.
-- "If you're not paying for it, you're not the customer; you are the product being sold."
Le Tue, 28 Jun 2011 15:04:11 +0200, Yliur a écrit:
En partie. La dangerosité des drogues doit aussi être prise en compte,
ce qui explique qu'elles ne soient pas légalisées en vrac.
Le cannabis n'est pas plus dangereux que l'alcool. Ça ne sert à rien
d'ergoter: les drogues sont interdites uniquement à cause d'a priori
moralisateurs, il n'y a guère de données objectives en faveur de la
prohibition.
--
"If you're not paying for it, you're not the customer; you are
the product being sold."
Le Tue, 28 Jun 2011 15:04:11 +0200, Yliur a écrit:
En partie. La dangerosité des drogues doit aussi être prise en compte, ce qui explique qu'elles ne soient pas légalisées en vrac.
Le cannabis n'est pas plus dangereux que l'alcool. Ça ne sert à rien d'ergoter: les drogues sont interdites uniquement à cause d'a priori moralisateurs, il n'y a guère de données objectives en faveur de la prohibition.
-- "If you're not paying for it, you're not the customer; you are the product being sold."
leeed
Le 28-06-2011, Emmanuel Florac a écrit :
Le Tue, 28 Jun 2011 15:08:25 +0200, PP a écrit:
À l'extrême, si des individus décident d'alimenter un fond pour fournir les stupéfiants aux consommateurs, je ne vois pas de problème.
Pour info, dans les années 60 la Grande-Bretagne avait institué la distribution médicalisée de drogues dures, et le résultat était excellent : baisse de la consommation et surtout, baisse du nombre de consommateurs. C'est un peu ce qui se passe également en Suisse mais à une moindre échelle.
Ou aux Pays-Bas, où la consommation de drogues dites "dures" est plus faible que dans les autres pays de l'UE, et où la consommation régulière de cannabis est, là aussi, plus faible que dans le reste de la communauté. Bon, faut dire que deux grammes d'Amnesia Haze dureront toujours plus longtemps que deux grammes de pneu enrobé dans du héné…
Le 28-06-2011, Emmanuel Florac <eflorac@imaginet.fr> a écrit :
Le Tue, 28 Jun 2011 15:08:25 +0200, PP a écrit:
À l'extrême, si des individus décident d'alimenter un fond pour fournir
les stupéfiants aux consommateurs, je ne vois pas de problème.
Pour info, dans les années 60 la Grande-Bretagne avait institué la
distribution médicalisée de drogues dures, et le résultat était
excellent : baisse de la consommation et surtout, baisse du nombre de
consommateurs.
C'est un peu ce qui se passe également en Suisse mais à une moindre
échelle.
Ou aux Pays-Bas, où la consommation de drogues dites "dures" est plus
faible que dans les autres pays de l'UE, et où la consommation régulière
de cannabis est, là aussi, plus faible que dans le reste de la
communauté. Bon, faut dire que deux grammes d'Amnesia Haze dureront
toujours plus longtemps que deux grammes de pneu enrobé dans du héné…
À l'extrême, si des individus décident d'alimenter un fond pour fournir les stupéfiants aux consommateurs, je ne vois pas de problème.
Pour info, dans les années 60 la Grande-Bretagne avait institué la distribution médicalisée de drogues dures, et le résultat était excellent : baisse de la consommation et surtout, baisse du nombre de consommateurs. C'est un peu ce qui se passe également en Suisse mais à une moindre échelle.
Ou aux Pays-Bas, où la consommation de drogues dites "dures" est plus faible que dans les autres pays de l'UE, et où la consommation régulière de cannabis est, là aussi, plus faible que dans le reste de la communauté. Bon, faut dire que deux grammes d'Amnesia Haze dureront toujours plus longtemps que deux grammes de pneu enrobé dans du héné…