Odilon Crocq a exprimé avec précision :Le 28/12/2011 20:01, moisse a écrit :Après mûre réflexion, David a écrit :Un dentiste a-t-il le devoir d'informer son client des risques d'un
projet ?
Oui depuis mars 2002
Bien avant, car la jurisprudence n'avait pas attendu la loi Kouchner pour
dégager les contours de l'obligation d'information qui pèse sur le
praticien afin de permettre au patient de donner un consentement éclairé
à l'acte thérapeutique ou au traitement envisagé.
C'est exact car en l'absence d'obligation formelle, à la suite de quelques
arrêts le législateur a formalisé les obligations.
Car la jurisprudence n'est pas source de droit, chaque cas étant différent
et pouvant donc donner lieu à des conclusions différentes, outre le cas
échéant un revirement.
L'obligation est maintenant règlementaire.
Odilon Crocq a exprimé avec précision :
Le 28/12/2011 20:01, moisse a écrit :
Après mûre réflexion, David a écrit :
Un dentiste a-t-il le devoir d'informer son client des risques d'un
projet ?
Oui depuis mars 2002
Bien avant, car la jurisprudence n'avait pas attendu la loi Kouchner pour
dégager les contours de l'obligation d'information qui pèse sur le
praticien afin de permettre au patient de donner un consentement éclairé
à l'acte thérapeutique ou au traitement envisagé.
C'est exact car en l'absence d'obligation formelle, à la suite de quelques
arrêts le législateur a formalisé les obligations.
Car la jurisprudence n'est pas source de droit, chaque cas étant différent
et pouvant donc donner lieu à des conclusions différentes, outre le cas
échéant un revirement.
L'obligation est maintenant règlementaire.
Odilon Crocq a exprimé avec précision :Le 28/12/2011 20:01, moisse a écrit :Après mûre réflexion, David a écrit :Un dentiste a-t-il le devoir d'informer son client des risques d'un
projet ?
Oui depuis mars 2002
Bien avant, car la jurisprudence n'avait pas attendu la loi Kouchner pour
dégager les contours de l'obligation d'information qui pèse sur le
praticien afin de permettre au patient de donner un consentement éclairé
à l'acte thérapeutique ou au traitement envisagé.
C'est exact car en l'absence d'obligation formelle, à la suite de quelques
arrêts le législateur a formalisé les obligations.
Car la jurisprudence n'est pas source de droit, chaque cas étant différent
et pouvant donc donner lieu à des conclusions différentes, outre le cas
échéant un revirement.
L'obligation est maintenant règlementaire.
Le 29/12/2011 11:30, moisse a écrit :Odilon Crocq a exprimé avec précision :Un dentiste a-t-il le devoir d'informer son client des risques d'un
projet ?
Oui depuis mars 2002
Bien avant, car la jurisprudence n'avait pas attendu la loi Kouchner
pour dégager les contours de l'obligation d'information qui pèse sur
le praticien afin de permettre au patient de donner un consentement
éclairé à l'acte thérapeutique ou au traitement envisagé.
C'est exact car en l'absence d'obligation formelle, à la suite de
quelques arrêts le législateur a formalisé les obligations.
Quelques arrêts seulement ? C'est un doux euphémisme car il me semble que le
terme de consentement "éclairé" (qui a pour corollaire l'information
suffisante à même de donner lieu à un tel consentement), repris par la loi
Kouchner, est apparu au milieu du 20éme siècle en jurisprudence, et les
contours de l'obligation d'information ont donné lieu à une multitude de
décisions.Car la jurisprudence n'est pas source de droit,
Euh, voila une affirmation très discutable...
chaque cas étant
différent et pouvant donc donner lieu à des conclusions différentes,
outre le cas échéant un revirement.
Oui mais vous savez, qu'une obligation soit d'origine législative ou
jurisprudentielle, tous les cas sont différents, peuvent donner lieu à des
conclusions différentes, et faire l'objet d'un revirement de jurisprudence.
Je crains donc que votre argument n'ait donc aucune portée concrète.L'obligation est maintenant règlementaire.
Tiens, moi j'aurais plutôt dit dit qu'elle est maintenant législative.
Le 29/12/2011 11:30, moisse a écrit :
Odilon Crocq a exprimé avec précision :
Un dentiste a-t-il le devoir d'informer son client des risques d'un
projet ?
Oui depuis mars 2002
Bien avant, car la jurisprudence n'avait pas attendu la loi Kouchner
pour dégager les contours de l'obligation d'information qui pèse sur
le praticien afin de permettre au patient de donner un consentement
éclairé à l'acte thérapeutique ou au traitement envisagé.
C'est exact car en l'absence d'obligation formelle, à la suite de
quelques arrêts le législateur a formalisé les obligations.
Quelques arrêts seulement ? C'est un doux euphémisme car il me semble que le
terme de consentement "éclairé" (qui a pour corollaire l'information
suffisante à même de donner lieu à un tel consentement), repris par la loi
Kouchner, est apparu au milieu du 20éme siècle en jurisprudence, et les
contours de l'obligation d'information ont donné lieu à une multitude de
décisions.
Car la jurisprudence n'est pas source de droit,
Euh, voila une affirmation très discutable...
chaque cas étant
différent et pouvant donc donner lieu à des conclusions différentes,
outre le cas échéant un revirement.
Oui mais vous savez, qu'une obligation soit d'origine législative ou
jurisprudentielle, tous les cas sont différents, peuvent donner lieu à des
conclusions différentes, et faire l'objet d'un revirement de jurisprudence.
Je crains donc que votre argument n'ait donc aucune portée concrète.
L'obligation est maintenant règlementaire.
Tiens, moi j'aurais plutôt dit dit qu'elle est maintenant législative.
Le 29/12/2011 11:30, moisse a écrit :Odilon Crocq a exprimé avec précision :Un dentiste a-t-il le devoir d'informer son client des risques d'un
projet ?
Oui depuis mars 2002
Bien avant, car la jurisprudence n'avait pas attendu la loi Kouchner
pour dégager les contours de l'obligation d'information qui pèse sur
le praticien afin de permettre au patient de donner un consentement
éclairé à l'acte thérapeutique ou au traitement envisagé.
C'est exact car en l'absence d'obligation formelle, à la suite de
quelques arrêts le législateur a formalisé les obligations.
Quelques arrêts seulement ? C'est un doux euphémisme car il me semble que le
terme de consentement "éclairé" (qui a pour corollaire l'information
suffisante à même de donner lieu à un tel consentement), repris par la loi
Kouchner, est apparu au milieu du 20éme siècle en jurisprudence, et les
contours de l'obligation d'information ont donné lieu à une multitude de
décisions.Car la jurisprudence n'est pas source de droit,
Euh, voila une affirmation très discutable...
chaque cas étant
différent et pouvant donc donner lieu à des conclusions différentes,
outre le cas échéant un revirement.
Oui mais vous savez, qu'une obligation soit d'origine législative ou
jurisprudentielle, tous les cas sont différents, peuvent donner lieu à des
conclusions différentes, et faire l'objet d'un revirement de jurisprudence.
Je crains donc que votre argument n'ait donc aucune portée concrète.L'obligation est maintenant règlementaire.
Tiens, moi j'aurais plutôt dit dit qu'elle est maintenant législative.
Odilon Crocq a exposé le 29/12/2011 :Car la jurisprudence n'est pas source de droit,
Euh, voila une affirmation très discutable...
Il n'y a plus guere de discussion à ce sujet.
Dans la mesure où un juge ne peut pas échapper à l'application de la
loi,mais peut contredire un arrêt,
la jurisprudence n'est pas source de
droit, et en tout état de cause heureusement, car la cour pourrait se
substituer au législateur à l'occasion d'un revirement.
L'obligation est maintenant règlementaire.
Tiens, moi j'aurais plutôt dit dit qu'elle est maintenant législative.
Comme quoi chacun voit midi à sa porte.
Odilon Crocq a exposé le 29/12/2011 :
Car la jurisprudence n'est pas source de droit,
Euh, voila une affirmation très discutable...
Il n'y a plus guere de discussion à ce sujet.
Dans la mesure où un juge ne peut pas échapper à l'application de la
loi,mais peut contredire un arrêt,
la jurisprudence n'est pas source de
droit, et en tout état de cause heureusement, car la cour pourrait se
substituer au législateur à l'occasion d'un revirement.
L'obligation est maintenant règlementaire.
Tiens, moi j'aurais plutôt dit dit qu'elle est maintenant législative.
Comme quoi chacun voit midi à sa porte.
Odilon Crocq a exposé le 29/12/2011 :Car la jurisprudence n'est pas source de droit,
Euh, voila une affirmation très discutable...
Il n'y a plus guere de discussion à ce sujet.
Dans la mesure où un juge ne peut pas échapper à l'application de la
loi,mais peut contredire un arrêt,
la jurisprudence n'est pas source de
droit, et en tout état de cause heureusement, car la cour pourrait se
substituer au législateur à l'occasion d'un revirement.
L'obligation est maintenant règlementaire.
Tiens, moi j'aurais plutôt dit dit qu'elle est maintenant législative.
Comme quoi chacun voit midi à sa porte.
Le 29/12/2011 16:34, moisse a écrit :Odilon Crocq a exposé le 29/12/2011 :Car la jurisprudence n'est pas source de droit,
Euh, voila une affirmation très discutable...
Il n'y a plus guere de discussion à ce sujet.
Vous plaisantez j'espère ? La discussion est toujours d'actualité, même si
l'opinion selon laquelle la jurisprudence est une source de droit est très
largement majoritaire et celle qui est généralement enseignée en première
année de droit.Dans la mesure où un juge ne peut pas échapper à l'application de la
loi,mais peut contredire un arrêt,
C'est plutôt que s'il contredit la loi, ce qui est quand même fréquent ( cf
les nombreux motifs de cassation en ce sens : violation de la loi, fausse
application, etc.) sa décision finira par être censurée par la Cour de
cassation si les recours vont jusqu'à elle, mais il se passera *strictement*
la même chose s'il ne se plie pas à la jurisprudence en vigueur. Votre
argument n'a donc aucune portée concrète.la jurisprudence n'est pas source de
droit, et en tout état de cause heureusement, car la cour pourrait se
substituer au législateur à l'occasion d'un revirement.
Et justement les revirements de jurisprudence existent à textes constants !L'obligation est maintenant règlementaire.
Tiens, moi j'aurais plutôt dit dit qu'elle est maintenant législative.
Comme quoi chacun voit midi à sa porte.
C'est à dire que comme son nom l'indique, la loi Kouchner est une loi et
émane du pouvoir législatif, contrairement aux règlements qui relèvent de
l'exécutif (distinction des art. 34 et 37 de la Constitution de 1958).
Le 29/12/2011 16:34, moisse a écrit :
Odilon Crocq a exposé le 29/12/2011 :
Car la jurisprudence n'est pas source de droit,
Euh, voila une affirmation très discutable...
Il n'y a plus guere de discussion à ce sujet.
Vous plaisantez j'espère ? La discussion est toujours d'actualité, même si
l'opinion selon laquelle la jurisprudence est une source de droit est très
largement majoritaire et celle qui est généralement enseignée en première
année de droit.
Dans la mesure où un juge ne peut pas échapper à l'application de la
loi,mais peut contredire un arrêt,
C'est plutôt que s'il contredit la loi, ce qui est quand même fréquent ( cf
les nombreux motifs de cassation en ce sens : violation de la loi, fausse
application, etc.) sa décision finira par être censurée par la Cour de
cassation si les recours vont jusqu'à elle, mais il se passera *strictement*
la même chose s'il ne se plie pas à la jurisprudence en vigueur. Votre
argument n'a donc aucune portée concrète.
la jurisprudence n'est pas source de
droit, et en tout état de cause heureusement, car la cour pourrait se
substituer au législateur à l'occasion d'un revirement.
Et justement les revirements de jurisprudence existent à textes constants !
L'obligation est maintenant règlementaire.
Tiens, moi j'aurais plutôt dit dit qu'elle est maintenant législative.
Comme quoi chacun voit midi à sa porte.
C'est à dire que comme son nom l'indique, la loi Kouchner est une loi et
émane du pouvoir législatif, contrairement aux règlements qui relèvent de
l'exécutif (distinction des art. 34 et 37 de la Constitution de 1958).
Le 29/12/2011 16:34, moisse a écrit :Odilon Crocq a exposé le 29/12/2011 :Car la jurisprudence n'est pas source de droit,
Euh, voila une affirmation très discutable...
Il n'y a plus guere de discussion à ce sujet.
Vous plaisantez j'espère ? La discussion est toujours d'actualité, même si
l'opinion selon laquelle la jurisprudence est une source de droit est très
largement majoritaire et celle qui est généralement enseignée en première
année de droit.Dans la mesure où un juge ne peut pas échapper à l'application de la
loi,mais peut contredire un arrêt,
C'est plutôt que s'il contredit la loi, ce qui est quand même fréquent ( cf
les nombreux motifs de cassation en ce sens : violation de la loi, fausse
application, etc.) sa décision finira par être censurée par la Cour de
cassation si les recours vont jusqu'à elle, mais il se passera *strictement*
la même chose s'il ne se plie pas à la jurisprudence en vigueur. Votre
argument n'a donc aucune portée concrète.la jurisprudence n'est pas source de
droit, et en tout état de cause heureusement, car la cour pourrait se
substituer au législateur à l'occasion d'un revirement.
Et justement les revirements de jurisprudence existent à textes constants !L'obligation est maintenant règlementaire.
Tiens, moi j'aurais plutôt dit dit qu'elle est maintenant législative.
Comme quoi chacun voit midi à sa porte.
C'est à dire que comme son nom l'indique, la loi Kouchner est une loi et
émane du pouvoir législatif, contrairement aux règlements qui relèvent de
l'exécutif (distinction des art. 34 et 37 de la Constitution de 1958).
Le 29/12/2011, Odilon Crocq a supposé :
On ca cesser là, comme je l'ai dot chacun voit miodi à sa porte.
Vous me ferez signe lorsqu'un arrêt cassera un jugement d'application
stricte de la loi, tandis que je ferai de même lorsqu'un petit juge
s'opposera à une jurisprudence.
Pour le reste une obligation législative n'a pas de sens pratique, pas
plus qu'ne obligation décrétée voire arrêtée.
tandis qu'une obligation règlementaire, chacun sait de quoi il s'agit.
Le 29/12/2011, Odilon Crocq a supposé :
On ca cesser là, comme je l'ai dot chacun voit miodi à sa porte.
Vous me ferez signe lorsqu'un arrêt cassera un jugement d'application
stricte de la loi, tandis que je ferai de même lorsqu'un petit juge
s'opposera à une jurisprudence.
Pour le reste une obligation législative n'a pas de sens pratique, pas
plus qu'ne obligation décrétée voire arrêtée.
tandis qu'une obligation règlementaire, chacun sait de quoi il s'agit.
Le 29/12/2011, Odilon Crocq a supposé :
On ca cesser là, comme je l'ai dot chacun voit miodi à sa porte.
Vous me ferez signe lorsqu'un arrêt cassera un jugement d'application
stricte de la loi, tandis que je ferai de même lorsqu'un petit juge
s'opposera à une jurisprudence.
Pour le reste une obligation législative n'a pas de sens pratique, pas
plus qu'ne obligation décrétée voire arrêtée.
tandis qu'une obligation règlementaire, chacun sait de quoi il s'agit.
Le 29/12/2011 16:34, moisse a judicieusement écrit : la jurisprudence
n'est pas source de droit
Le 29/12/2011 17:30, Odilon Crocq a écrit : La discussion est
toujours d'actualité, même si l'opinion selon laquelle la
jurisprudence est une source de droit est très largement majoritaire
et celle qui est généralement enseignée en première année de droit.
/.../
les revirements de jurisprudence existent à textes constants !
Le 29/12/2011 16:34, moisse a judicieusement écrit : la jurisprudence
n'est pas source de droit
Le 29/12/2011 17:30, Odilon Crocq a écrit : La discussion est
toujours d'actualité, même si l'opinion selon laquelle la
jurisprudence est une source de droit est très largement majoritaire
et celle qui est généralement enseignée en première année de droit.
/.../
les revirements de jurisprudence existent à textes constants !
Le 29/12/2011 16:34, moisse a judicieusement écrit : la jurisprudence
n'est pas source de droit
Le 29/12/2011 17:30, Odilon Crocq a écrit : La discussion est
toujours d'actualité, même si l'opinion selon laquelle la
jurisprudence est une source de droit est très largement majoritaire
et celle qui est généralement enseignée en première année de droit.
/.../
les revirements de jurisprudence existent à textes constants !
Le 29/12/2011 16:34, moisse a judicieusement écrit : la jurisprudence
n'est pas source de droitLe 29/12/2011 17:30, Odilon Crocq a écrit : La discussion est toujours
d'actualité, même si l'opinion selon laquelle la jurisprudence est une
source de droit est très largement majoritaire et celle qui est
généralement enseignée en première année de droit.
/.../les revirements de jurisprudence existent à textes constants !
l'art de dire une chose et son contraire !
aux USA, la jurisprudence est affirmée source de droit : dès lors qu'il
existe un précédent, le nouveau juge doit appliquer la jurisprudence
en France ceci est interdit depuis 1803 : "le juge ne peut se prononcer
par 'arrêt de règlement' (article 5 du code civil)
en résumé :
toute référence à "la jurisprudence" est exclusivement un moyen de
plaidoirie = un argument pour influencer le juge...
"regardez, dans tel cas il a été décidé que... donc vous devez ici faire
de même"
c'est par abus de langage que certains commentateurs en sont venus à se
plagier, les uns, les autres, en serinant "la jurisprudence est source
de droit" ;
de fait, elle est source de "doctrine" (généralement suivie), mais cela
n'est pas une "source de droit"
les sources sont : les dispositions législatives et règlementaires, les
protocoles collectifs (CCN, usages, accords d'entreprises), les contrats
et pas les simples références de bibliothécaires compilateurs
d'arrêts... soumis à revirements potentiels, épisodiques voire
coutumiers ;o}
Le 29/12/2011 16:34, moisse a judicieusement écrit : la jurisprudence
n'est pas source de droit
Le 29/12/2011 17:30, Odilon Crocq a écrit : La discussion est toujours
d'actualité, même si l'opinion selon laquelle la jurisprudence est une
source de droit est très largement majoritaire et celle qui est
généralement enseignée en première année de droit.
/.../
les revirements de jurisprudence existent à textes constants !
l'art de dire une chose et son contraire !
aux USA, la jurisprudence est affirmée source de droit : dès lors qu'il
existe un précédent, le nouveau juge doit appliquer la jurisprudence
en France ceci est interdit depuis 1803 : "le juge ne peut se prononcer
par 'arrêt de règlement' (article 5 du code civil)
en résumé :
toute référence à "la jurisprudence" est exclusivement un moyen de
plaidoirie = un argument pour influencer le juge...
"regardez, dans tel cas il a été décidé que... donc vous devez ici faire
de même"
c'est par abus de langage que certains commentateurs en sont venus à se
plagier, les uns, les autres, en serinant "la jurisprudence est source
de droit" ;
de fait, elle est source de "doctrine" (généralement suivie), mais cela
n'est pas une "source de droit"
les sources sont : les dispositions législatives et règlementaires, les
protocoles collectifs (CCN, usages, accords d'entreprises), les contrats
et pas les simples références de bibliothécaires compilateurs
d'arrêts... soumis à revirements potentiels, épisodiques voire
coutumiers ;o}
Le 29/12/2011 16:34, moisse a judicieusement écrit : la jurisprudence
n'est pas source de droitLe 29/12/2011 17:30, Odilon Crocq a écrit : La discussion est toujours
d'actualité, même si l'opinion selon laquelle la jurisprudence est une
source de droit est très largement majoritaire et celle qui est
généralement enseignée en première année de droit.
/.../les revirements de jurisprudence existent à textes constants !
l'art de dire une chose et son contraire !
aux USA, la jurisprudence est affirmée source de droit : dès lors qu'il
existe un précédent, le nouveau juge doit appliquer la jurisprudence
en France ceci est interdit depuis 1803 : "le juge ne peut se prononcer
par 'arrêt de règlement' (article 5 du code civil)
en résumé :
toute référence à "la jurisprudence" est exclusivement un moyen de
plaidoirie = un argument pour influencer le juge...
"regardez, dans tel cas il a été décidé que... donc vous devez ici faire
de même"
c'est par abus de langage que certains commentateurs en sont venus à se
plagier, les uns, les autres, en serinant "la jurisprudence est source
de droit" ;
de fait, elle est source de "doctrine" (généralement suivie), mais cela
n'est pas une "source de droit"
les sources sont : les dispositions législatives et règlementaires, les
protocoles collectifs (CCN, usages, accords d'entreprises), les contrats
et pas les simples références de bibliothécaires compilateurs
d'arrêts... soumis à revirements potentiels, épisodiques voire
coutumiers ;o}
Le 29/12/2011 20:37, www.juristprudence.c.la a te,nté de faire
comprendre :/.../
les sources sont : les dispositions législatives et règlementaires, les
protocoles collectifs (CCN, usages, accords d'entreprises), les contrats
et pas les simples références de bibliothécaires compilateurs
d'arrêts... soumis à revirements potentiels, épisodiques voire
coutumiers ;o}
http://www.fda.ccip.fr/documents/melopee/sources-du-droit.pdf
http://www.cerpeg.ac-versailles.fr/ressdiscipl/droit/sources.htm
Le 29/12/2011 20:37, www.juristprudence.c.la a te,nté de faire
comprendre :
/.../
les sources sont : les dispositions législatives et règlementaires, les
protocoles collectifs (CCN, usages, accords d'entreprises), les contrats
et pas les simples références de bibliothécaires compilateurs
d'arrêts... soumis à revirements potentiels, épisodiques voire
coutumiers ;o}
http://www.fda.ccip.fr/documents/melopee/sources-du-droit.pdf
http://www.cerpeg.ac-versailles.fr/ressdiscipl/droit/sources.htm
Le 29/12/2011 20:37, www.juristprudence.c.la a te,nté de faire
comprendre :/.../
les sources sont : les dispositions législatives et règlementaires, les
protocoles collectifs (CCN, usages, accords d'entreprises), les contrats
et pas les simples références de bibliothécaires compilateurs
d'arrêts... soumis à revirements potentiels, épisodiques voire
coutumiers ;o}
http://www.fda.ccip.fr/documents/melopee/sources-du-droit.pdf
http://www.cerpeg.ac-versailles.fr/ressdiscipl/droit/sources.htm
http://www.smeno.com/lyceens/2602_les-sources-du-droit.html
http://www.smeno.com/lyceens/2602_les-sources-du-droit.html
http://www.smeno.com/lyceens/2602_les-sources-du-droit.html
http://www.enpc.fr/fr/formations/ecole_virt/cours/alonso/cours/intro.pdf
http://www.enpc.fr/fr/formations/ecole_virt/cours/alonso/cours/intro.pdf
http://www.enpc.fr/fr/formations/ecole_virt/cours/alonso/cours/intro.pdf