La clause virale n'est rien d'autre qu'une forme de
vol du travail d'autrui.
La clause virale n'est rien d'autre qu'une forme de
vol du travail d'autrui.
La clause virale n'est rien d'autre qu'une forme de
vol du travail d'autrui.
Michel Talon, dans le message <bmc3vm$e93$, a
écrit :La clause virale n'est rien d'autre qu'une forme de
vol du travail d'autrui.
C'est précisément le but ! Ça fait n fois qu'on répète, avec n grand,
que le principe même de la GPL est de combattre la propriété
intellectuelle avec les armes de la propriété intellectuelle. Et il
n'est pas plus révoltant d'avoir une clause « si tu veux utiliser mon
code, il faut que tu fournisses ton code publiquement de la même
manière » (et encore, la GPL est moins restrictive que ça) qu'une
clause « si tu veux utiliser mon code il faut me payer x millions de
dollars et t'engager à ne pas répéter ce qu'il contient ». On peut
arguer que c'est du même ordre, mais certainement pas pire.
Quant au rapport avec SCO, euh... De deux choses l'une : soit ils
disent vrai, soient ils mentent (ou se trompent). Dans le premier cas,
tant qu'on admet la protection par la propriété intellectuelle, c'est
leur droit absolu de refuser que ce qui leur « appartient » soit
distribué. Mais je ne vois pas le rapport.
Michel Talon, dans le message <bmc3vm$e93$1@asmodee.lpthe.jussieu.fr>, a
écrit :
La clause virale n'est rien d'autre qu'une forme de
vol du travail d'autrui.
C'est précisément le but ! Ça fait n fois qu'on répète, avec n grand,
que le principe même de la GPL est de combattre la propriété
intellectuelle avec les armes de la propriété intellectuelle. Et il
n'est pas plus révoltant d'avoir une clause « si tu veux utiliser mon
code, il faut que tu fournisses ton code publiquement de la même
manière » (et encore, la GPL est moins restrictive que ça) qu'une
clause « si tu veux utiliser mon code il faut me payer x millions de
dollars et t'engager à ne pas répéter ce qu'il contient ». On peut
arguer que c'est du même ordre, mais certainement pas pire.
Quant au rapport avec SCO, euh... De deux choses l'une : soit ils
disent vrai, soient ils mentent (ou se trompent). Dans le premier cas,
tant qu'on admet la protection par la propriété intellectuelle, c'est
leur droit absolu de refuser que ce qui leur « appartient » soit
distribué. Mais je ne vois pas le rapport.
Michel Talon, dans le message <bmc3vm$e93$, a
écrit :La clause virale n'est rien d'autre qu'une forme de
vol du travail d'autrui.
C'est précisément le but ! Ça fait n fois qu'on répète, avec n grand,
que le principe même de la GPL est de combattre la propriété
intellectuelle avec les armes de la propriété intellectuelle. Et il
n'est pas plus révoltant d'avoir une clause « si tu veux utiliser mon
code, il faut que tu fournisses ton code publiquement de la même
manière » (et encore, la GPL est moins restrictive que ça) qu'une
clause « si tu veux utiliser mon code il faut me payer x millions de
dollars et t'engager à ne pas répéter ce qu'il contient ». On peut
arguer que c'est du même ordre, mais certainement pas pire.
Quant au rapport avec SCO, euh... De deux choses l'une : soit ils
disent vrai, soient ils mentent (ou se trompent). Dans le premier cas,
tant qu'on admet la protection par la propriété intellectuelle, c'est
leur droit absolu de refuser que ce qui leur « appartient » soit
distribué. Mais je ne vois pas le rapport.
Je ne résiste pas au plaisir de vous citer un texte de SCO
relatif au fait qu'il peut révoquer les licences Unix de SGI et
IBM:
http://www.theregister.co.uk/content/4/33326.html
You can.t take code based on a license you signed, change it a little
and then give it away for free (as in the case of XFS from SGI). If SCO
allowed companies to contribute derivative UNIX code to Linux and give
it away for free, it would destroy the value of all other versions of
UNIX, including SCO.s own, not to mention the versions of UNIX made by
SUN, HP, IBM, SGI, Sequent, Hitachi, Fujitsu, Siemens, and every other
one of the 6,000 other licensees. Why would SCO not have such a
provision in their licenses? This line of thinking is absolutely
ludicrous.
Je pense que vous pouvez voir là clairement que SCO prétend que XFS
est dérivé de Unix et donc lui appartient purement et simplement.
Voilà où mènent les idées absurdes de Stallmann et de la FSF, comme
je me tue à le dire. La clause virale n'est rien d'autre qu'une forme de
vol du travail d'autrui.
Je ne résiste pas au plaisir de vous citer un texte de SCO
relatif au fait qu'il peut révoquer les licences Unix de SGI et
IBM:
http://www.theregister.co.uk/content/4/33326.html
You can.t take code based on a license you signed, change it a little
and then give it away for free (as in the case of XFS from SGI). If SCO
allowed companies to contribute derivative UNIX code to Linux and give
it away for free, it would destroy the value of all other versions of
UNIX, including SCO.s own, not to mention the versions of UNIX made by
SUN, HP, IBM, SGI, Sequent, Hitachi, Fujitsu, Siemens, and every other
one of the 6,000 other licensees. Why would SCO not have such a
provision in their licenses? This line of thinking is absolutely
ludicrous.
Je pense que vous pouvez voir là clairement que SCO prétend que XFS
est dérivé de Unix et donc lui appartient purement et simplement.
Voilà où mènent les idées absurdes de Stallmann et de la FSF, comme
je me tue à le dire. La clause virale n'est rien d'autre qu'une forme de
vol du travail d'autrui.
Je ne résiste pas au plaisir de vous citer un texte de SCO
relatif au fait qu'il peut révoquer les licences Unix de SGI et
IBM:
http://www.theregister.co.uk/content/4/33326.html
You can.t take code based on a license you signed, change it a little
and then give it away for free (as in the case of XFS from SGI). If SCO
allowed companies to contribute derivative UNIX code to Linux and give
it away for free, it would destroy the value of all other versions of
UNIX, including SCO.s own, not to mention the versions of UNIX made by
SUN, HP, IBM, SGI, Sequent, Hitachi, Fujitsu, Siemens, and every other
one of the 6,000 other licensees. Why would SCO not have such a
provision in their licenses? This line of thinking is absolutely
ludicrous.
Je pense que vous pouvez voir là clairement que SCO prétend que XFS
est dérivé de Unix et donc lui appartient purement et simplement.
Voilà où mènent les idées absurdes de Stallmann et de la FSF, comme
je me tue à le dire. La clause virale n'est rien d'autre qu'une forme de
vol du travail d'autrui.
Je pense que vous pouvez voir là clairement que SCO prétend que XFS
est dérivé de Unix et donc lui appartient purement et simplement.
Voilà où mènent les idées absurdes de Stallmann et de la FSF, comme
je me tue à le dire. La clause virale n'est rien d'autre qu'une forme de
vol du travail d'autrui.
Je pense que vous pouvez voir là clairement que SCO prétend que XFS
est dérivé de Unix et donc lui appartient purement et simplement.
Voilà où mènent les idées absurdes de Stallmann et de la FSF, comme
je me tue à le dire. La clause virale n'est rien d'autre qu'une forme de
vol du travail d'autrui.
Je pense que vous pouvez voir là clairement que SCO prétend que XFS
est dérivé de Unix et donc lui appartient purement et simplement.
Voilà où mènent les idées absurdes de Stallmann et de la FSF, comme
je me tue à le dire. La clause virale n'est rien d'autre qu'une forme de
vol du travail d'autrui.
Mon avis c'est que cette conception de la propriété intellectuelle est
absolument scandaleuse, encore bien plus que la conception originale.
Mon avis c'est que cette conception de la propriété intellectuelle est
absolument scandaleuse, encore bien plus que la conception originale.
Mon avis c'est que cette conception de la propriété intellectuelle est
absolument scandaleuse, encore bien plus que la conception originale.
Le rapport, c'est que à partir du moment où on met le doigt dans la
notion de logiciel dérivé, il n'y a plus de limite
et on peut prétendre
que XFS est dérivé de Unix avec des arguments on ne peut plus ténus,
tout comme la FSF voit des cas de dérivation là où il n'y en a pas.
Le plagiat couvre normalement la recopie pure et simple de pans entiers
du travail d'autrui (plus que de courts extraits, ce qui est permis par
le "fair use").
Or la notion de dérivation va bien au delà de ça, et
pratiquement à l'infini. On peut prétendre que tout est dérivé de tout.
Le rapport, c'est que à partir du moment où on met le doigt dans la
notion de logiciel dérivé, il n'y a plus de limite
et on peut prétendre
que XFS est dérivé de Unix avec des arguments on ne peut plus ténus,
tout comme la FSF voit des cas de dérivation là où il n'y en a pas.
Le plagiat couvre normalement la recopie pure et simple de pans entiers
du travail d'autrui (plus que de courts extraits, ce qui est permis par
le "fair use").
Or la notion de dérivation va bien au delà de ça, et
pratiquement à l'infini. On peut prétendre que tout est dérivé de tout.
Le rapport, c'est que à partir du moment où on met le doigt dans la
notion de logiciel dérivé, il n'y a plus de limite
et on peut prétendre
que XFS est dérivé de Unix avec des arguments on ne peut plus ténus,
tout comme la FSF voit des cas de dérivation là où il n'y en a pas.
Le plagiat couvre normalement la recopie pure et simple de pans entiers
du travail d'autrui (plus que de courts extraits, ce qui est permis par
le "fair use").
Or la notion de dérivation va bien au delà de ça, et
pratiquement à l'infini. On peut prétendre que tout est dérivé de tout.
Michel Talon, dans le message <bmc6ql$ecv$, a
écrit :Le rapport, c'est que à partir du moment où on met le doigt dans la
notion de logiciel dérivé, il n'y a plus de limite
et on peut prétendre
que XFS est dérivé de Unix avec des arguments on ne peut plus ténus,
Ce n'est pas ce que j'ai lu dans ta citation : j'ai lu que SCO
prétendait que c'était XFS lui-même qui leur appartenait à l'origine.
tout comme la FSF voit des cas de dérivation là où il n'y en a pas.
Tu peux donner des exemples précis ?
Le plagiat couvre normalement la recopie pure et simple de pans entiers
du travail d'autrui (plus que de courts extraits, ce qui est permis par
le "fair use").
Pas exactement : le « fair-use », au moins en droit français, ne
permet les extraits que dans un but d'illustration.Or la notion de dérivation va bien au delà de ça, et
pratiquement à l'infini. On peut prétendre que tout est dérivé de tout.
La conception de la dérivation au sens de la GPL est simplement du même
genre que la définition de la connexité en mathématiques. Mais l'idée
derrière ça n'est absolument pas différente de l'idée fondamentale de la
propriété intellectuelle.
L'idée est toute simple : si TON programme a besoin de MON programme
pour fonctionner, alors pour distribuer quelque chose qui marche, il
faut que tu distribues ensemble ton programme et le MIEN. Et pour
distribuer MON programme, tu as besoin de mon autorisation. Et ça, c'est
vrai si ton programme fait cinquante ligne et le mien un million, mais
c'est tout aussi vria si ton programme fait dix millions de lignes et le
mien seulement dix.
Michel Talon, dans le message <bmc6ql$ecv$1@asmodee.lpthe.jussieu.fr>, a
écrit :
Le rapport, c'est que à partir du moment où on met le doigt dans la
notion de logiciel dérivé, il n'y a plus de limite
et on peut prétendre
que XFS est dérivé de Unix avec des arguments on ne peut plus ténus,
Ce n'est pas ce que j'ai lu dans ta citation : j'ai lu que SCO
prétendait que c'était XFS lui-même qui leur appartenait à l'origine.
tout comme la FSF voit des cas de dérivation là où il n'y en a pas.
Tu peux donner des exemples précis ?
Le plagiat couvre normalement la recopie pure et simple de pans entiers
du travail d'autrui (plus que de courts extraits, ce qui est permis par
le "fair use").
Pas exactement : le « fair-use », au moins en droit français, ne
permet les extraits que dans un but d'illustration.
Or la notion de dérivation va bien au delà de ça, et
pratiquement à l'infini. On peut prétendre que tout est dérivé de tout.
La conception de la dérivation au sens de la GPL est simplement du même
genre que la définition de la connexité en mathématiques. Mais l'idée
derrière ça n'est absolument pas différente de l'idée fondamentale de la
propriété intellectuelle.
L'idée est toute simple : si TON programme a besoin de MON programme
pour fonctionner, alors pour distribuer quelque chose qui marche, il
faut que tu distribues ensemble ton programme et le MIEN. Et pour
distribuer MON programme, tu as besoin de mon autorisation. Et ça, c'est
vrai si ton programme fait cinquante ligne et le mien un million, mais
c'est tout aussi vria si ton programme fait dix millions de lignes et le
mien seulement dix.
Michel Talon, dans le message <bmc6ql$ecv$, a
écrit :Le rapport, c'est que à partir du moment où on met le doigt dans la
notion de logiciel dérivé, il n'y a plus de limite
et on peut prétendre
que XFS est dérivé de Unix avec des arguments on ne peut plus ténus,
Ce n'est pas ce que j'ai lu dans ta citation : j'ai lu que SCO
prétendait que c'était XFS lui-même qui leur appartenait à l'origine.
tout comme la FSF voit des cas de dérivation là où il n'y en a pas.
Tu peux donner des exemples précis ?
Le plagiat couvre normalement la recopie pure et simple de pans entiers
du travail d'autrui (plus que de courts extraits, ce qui est permis par
le "fair use").
Pas exactement : le « fair-use », au moins en droit français, ne
permet les extraits que dans un but d'illustration.Or la notion de dérivation va bien au delà de ça, et
pratiquement à l'infini. On peut prétendre que tout est dérivé de tout.
La conception de la dérivation au sens de la GPL est simplement du même
genre que la définition de la connexité en mathématiques. Mais l'idée
derrière ça n'est absolument pas différente de l'idée fondamentale de la
propriété intellectuelle.
L'idée est toute simple : si TON programme a besoin de MON programme
pour fonctionner, alors pour distribuer quelque chose qui marche, il
faut que tu distribues ensemble ton programme et le MIEN. Et pour
distribuer MON programme, tu as besoin de mon autorisation. Et ça, c'est
vrai si ton programme fait cinquante ligne et le mien un million, mais
c'est tout aussi vria si ton programme fait dix millions de lignes et le
mien seulement dix.
En fait
il a été développé à 100% par SGI et SCO ne possède pas une ligne de
code dedans. SCO ne nie pas ce fait.
et s'appuyer dessus pour définir la GPL est
suicidaire.
Ou bien un tribunal tranchera qu'il n'y a pas de dérivation
dans ce cas là, et alors nombre d'applications virtuelles de la GPL
partiront en fumée
Typiquement le cas d'école de la librairie readline et des discussions à
l'infini sur ce sujet.
Si l'idée est absolument différente.
Justement cette idée est toute simple, et a mon avis parfaitement
scandaleuse. Rien ne m'empêche de distribuer ma contribution toute seule
qu'elle marche ou pas, libre à l'utilisateur final de la faire marcher
de la façon qui lui plait.
En fait
il a été développé à 100% par SGI et SCO ne possède pas une ligne de
code dedans. SCO ne nie pas ce fait.
et s'appuyer dessus pour définir la GPL est
suicidaire.
Ou bien un tribunal tranchera qu'il n'y a pas de dérivation
dans ce cas là, et alors nombre d'applications virtuelles de la GPL
partiront en fumée
Typiquement le cas d'école de la librairie readline et des discussions à
l'infini sur ce sujet.
Si l'idée est absolument différente.
Justement cette idée est toute simple, et a mon avis parfaitement
scandaleuse. Rien ne m'empêche de distribuer ma contribution toute seule
qu'elle marche ou pas, libre à l'utilisateur final de la faire marcher
de la façon qui lui plait.
En fait
il a été développé à 100% par SGI et SCO ne possède pas une ligne de
code dedans. SCO ne nie pas ce fait.
et s'appuyer dessus pour définir la GPL est
suicidaire.
Ou bien un tribunal tranchera qu'il n'y a pas de dérivation
dans ce cas là, et alors nombre d'applications virtuelles de la GPL
partiront en fumée
Typiquement le cas d'école de la librairie readline et des discussions à
l'infini sur ce sujet.
Si l'idée est absolument différente.
Justement cette idée est toute simple, et a mon avis parfaitement
scandaleuse. Rien ne m'empêche de distribuer ma contribution toute seule
qu'elle marche ou pas, libre à l'utilisateur final de la faire marcher
de la façon qui lui plait.
On Sun, 12 Oct 2003 17:45:26 +0000, Michel Talon wrote:
[..]
1:Je pense que vous pouvez voir là clairement que SCO prétend que XFS
est dérivé de Unix et donc lui appartient purement et simplement.
2:Voilà où mènent les idées absurdes de Stallmann et de la FSF, comme
je me tue à le dire. La clause virale n'est rien d'autre qu'une forme de
vol du travail d'autrui.
Quel rapport entre le 1 et le 2 ?
On Sun, 12 Oct 2003 17:45:26 +0000, Michel Talon wrote:
[..]
1:
Je pense que vous pouvez voir là clairement que SCO prétend que XFS
est dérivé de Unix et donc lui appartient purement et simplement.
2:
Voilà où mènent les idées absurdes de Stallmann et de la FSF, comme
je me tue à le dire. La clause virale n'est rien d'autre qu'une forme de
vol du travail d'autrui.
Quel rapport entre le 1 et le 2 ?
On Sun, 12 Oct 2003 17:45:26 +0000, Michel Talon wrote:
[..]
1:Je pense que vous pouvez voir là clairement que SCO prétend que XFS
est dérivé de Unix et donc lui appartient purement et simplement.
2:Voilà où mènent les idées absurdes de Stallmann et de la FSF, comme
je me tue à le dire. La clause virale n'est rien d'autre qu'une forme de
vol du travail d'autrui.
Quel rapport entre le 1 et le 2 ?
Je m'étonne que des informaticiens comme vous cherchent sans arrêt à
tourner autour du pot, la notion de dérivation est en elle même
immensément dangereuse, et s'appuyer dessus pour définir la GPL est
suicidaire. Ou bien un tribunal tranchera qu'il n'y a pas de dérivation
dans ce cas là, et alors nombre d'applications virtuelles de la GPL
partiront en fumée, ou bien il dira qu'il y a dérivation, et c'est la
Typiquement le cas d'école de la librairie readline et des discussions à
l'infini sur ce sujet.
Justement cette idée est toute simple, et a mon avis parfaitement
scandaleuse. Rien ne m'empêche de distribuer ma contribution toute seule
qu'elle marche ou pas, libre à l'utilisateur final de la faire marcher
de la façon qui lui plait. En déduire que c'est un produit dérivé, c'est
aussi stupide que de dire que tout programmeur écrivant un programme qui
tourne sous Windows fait un produit dérivé qui appartient ipso facto
à Microsoft. De fait sans Windows le programme ne marche pas, donc
Microsoft n'a plus qu'à demander des comptes à l'auteur.
Ce n'est pas parceque la FSF a martelé cette idée pendant des années
qu'elle est juste. C'est une grossière stupidité, et une tentative
d'escroquerie.
Je m'étonne que des informaticiens comme vous cherchent sans arrêt à
tourner autour du pot, la notion de dérivation est en elle même
immensément dangereuse, et s'appuyer dessus pour définir la GPL est
suicidaire. Ou bien un tribunal tranchera qu'il n'y a pas de dérivation
dans ce cas là, et alors nombre d'applications virtuelles de la GPL
partiront en fumée, ou bien il dira qu'il y a dérivation, et c'est la
Typiquement le cas d'école de la librairie readline et des discussions à
l'infini sur ce sujet.
Justement cette idée est toute simple, et a mon avis parfaitement
scandaleuse. Rien ne m'empêche de distribuer ma contribution toute seule
qu'elle marche ou pas, libre à l'utilisateur final de la faire marcher
de la façon qui lui plait. En déduire que c'est un produit dérivé, c'est
aussi stupide que de dire que tout programmeur écrivant un programme qui
tourne sous Windows fait un produit dérivé qui appartient ipso facto
à Microsoft. De fait sans Windows le programme ne marche pas, donc
Microsoft n'a plus qu'à demander des comptes à l'auteur.
Ce n'est pas parceque la FSF a martelé cette idée pendant des années
qu'elle est juste. C'est une grossière stupidité, et une tentative
d'escroquerie.
Je m'étonne que des informaticiens comme vous cherchent sans arrêt à
tourner autour du pot, la notion de dérivation est en elle même
immensément dangereuse, et s'appuyer dessus pour définir la GPL est
suicidaire. Ou bien un tribunal tranchera qu'il n'y a pas de dérivation
dans ce cas là, et alors nombre d'applications virtuelles de la GPL
partiront en fumée, ou bien il dira qu'il y a dérivation, et c'est la
Typiquement le cas d'école de la librairie readline et des discussions à
l'infini sur ce sujet.
Justement cette idée est toute simple, et a mon avis parfaitement
scandaleuse. Rien ne m'empêche de distribuer ma contribution toute seule
qu'elle marche ou pas, libre à l'utilisateur final de la faire marcher
de la façon qui lui plait. En déduire que c'est un produit dérivé, c'est
aussi stupide que de dire que tout programmeur écrivant un programme qui
tourne sous Windows fait un produit dérivé qui appartient ipso facto
à Microsoft. De fait sans Windows le programme ne marche pas, donc
Microsoft n'a plus qu'à demander des comptes à l'auteur.
Ce n'est pas parceque la FSF a martelé cette idée pendant des années
qu'elle est juste. C'est une grossière stupidité, et une tentative
d'escroquerie.