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De la différence entre bonne lumière et bonne exposition

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YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Voilà, c'est pour GR.
Quand il m'avait demandé de montrer la différence (pour lui : photo
correctement exposée = bonne lumière) je n'avais pas d'exemple sous la
main, car je jette ce qui est moche.
Je revient des Utopiales de Nantes, où j'ai promené un SB800 d'emprunt
sous les néons et autres horreurs.
J'ai à peu près 800 photos à trier, correctement exposées dans
l'ensemble (je sousexpose un peu, c'est plus facile à traiter ensuite :
pas de bouché, pas de brûlé ) et presque toutes moches. Celles qui sont
"acceptables" n'ont pas pour autant ce que j'appellerais une belle lumière.
Ni comme qualité de répartition, ni comme couleur. Pour la couleur, je
vais travailler d'arrache pied...
Of course j'ai balancé vers le plafond (quand il y en avait un
disponible), j'ai tenté différentes proportions entre lumière d'ambiance
et flash, différentes sensibilités.
J'avais prévu le déport, mais je n'ai pas reçu mes accessoires à temps.
D'ailleurs, dans la foule....

Noëlle Adam

10 réponses

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jdanield
Le 11/11/2013 19:16, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :

Oui, mais là n'est pas ce que je voulais souligner : juste le fait que
dans le cas du spot, on a une mesure qui donne une valeur d'exposition
correcte pour un gris 18% à l'endroit du spot.
Et que ça varie très peu d'un appareil bien étalonné à un autre, en
plus d'être très prévisible comme comportement.



si on peut placer le spot de façon précise, ce qui est rare, et tout
dépends de l'ouverture du spot (ca se règle sur mon appareil)

jdd
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Maréchal Nouvoilat.
"YouDontNeedToKnowButItsNoëlle" a écrit dans le
message de news:l5qts3$d36$
Le 10/11/13 22:23, Claudio Bonavolta a écrit :
Le dimanche 10 novembre 2013 19:52:32 UTC+1,
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Non justement. Le mode P avec le flash n'est pas du tout modifiable.
P* = P l'effet des molettes est nul.

Noëlle Adam



Si, si, il est modifiable ...

Mais pour autant que le programme dispose d'assez de débattement


tant en lumière naturelle que pour la plage (distance)
d'action du flash qui elle-même varie en fonction du diaph.

Ben voilà, c'est ça qu'il fallait dire.
Je mets la sensibilité haute pour avoir du débattement. Il fait
moyennement clair dans la pièce mais il pleut dehors, donc je fais les
essais dans la pièce. Je met le 20-35 parce qu'il est af-D (mon 60 macro
ne l'est pas), au cas où.

Flash off, P me propose F4 1/60 et je peux faire du P* dans toutes les
limites des ouvertures disponibles sur l'optique , la vitesse suit.
Flash TTL-BL on, mode slow ou rear, P me propose F9 1/10 et je peux faire
du P* jusqu'a F22 - 1,6 mais je ne peux pas faire du P* pour ouvrir
davantage que F9. Aucun effet et donc pas moyen de grimper au dessus de
1/10 s.
Flash TTL-BL on, mode normal premier rideau, P me propose F9 1/60 et je ne
peux rien modifier : la molette fait apparaître P* mais les paramètres ne
sont pas modifiables du tout, ni dans un sens ni dans l'autre.

Je monte les iso de 2 crans, P me propose F11 1/60 (il ne fait ni plus ni
moins clair, mais ça augmente la marge de manœuvre). Pareil, pas de
modification possible en P*.

Le zoom est transmis correctement au flash et n'a pas d'incidence.
Le comportement de P est le même dans tous les autres modes du flash
lui-même. Je précise que ces essais sont faits en mode matriciel. Je ne
fait varier qu'un paramètre à la fois.
Changer de mode de calcul d'exposition ne change pas le comportement de P
et P* quand le flash est activé.

La logique sous-jacente du truc m'échappe.

Noëlle Adam




ça devient franchement coluchien.

Je vous embrasse tous.
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YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 11/11/13 12:54, jdanield a écrit :


tu es sure?


Le modèle perfectionné, oui.
C'est le cas du SB 800, et des deux vieux Metz 54Z-3. Le SB 800 en plus
peut fonctionner en mode esclave sans accessoire, alors qu'il en faut un
pour les vieux Metz (mais pas les récents, qui sont équivalents au Nikon).

Fait voir ton flash, s'il a un mode A, il a une cellule évaluatrice
aussi. Ça se manifeste sous forme de trou sur la face avant :).

, qui lui fournit des informations non seulement
passives comme celles de fournies par les cellules de l'appareil, mais
actives par l' émission de préflash qui permettent une évaluation de
la situation.



les cellules de l'appareil voient le préflash, non?


Le retour du préflash, oui.

D'où ma remarque à GR sur les qualités physiques étonnantes du diffuseur
Picards surgelés, qui bouffe la lumière dans un sens et pas dans
l'autre...Je viens de regarder, le SB400 n'a pas de cellule évaluatrice
autonome.

Noëlle Adam
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YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 09/11/13 08:50, René a écrit :

La première photo de Noëlle a 2 personnes à égale distance de
l'objectif, habillées de blanc, dans un contexte sombre...


Très sombre. Par contre, j'aurais bien aimé beneficier un peu de la
lumière chaude des lampes à incandescence dans le placard sur le coté.

La photo est faite au flash et elle est donc sortie comme telle! Ce
genre d'évènement dans des contextes peu favorables sont générateurs de
photos décevantes. Inutile de blâmer sont équipement photo. Cette photo
est en mesure pondérée centrale.


Je ne blame rien du tout : pour moi, ça ressemble à une photo avec flash
sur l'appareil. C'est vilain.

La seconde photo est meilleure mais je remarque que le flash a un
ajustement de -3 IL ce qui a aidé à un meilleur équilibre entre la
lumière ambiante et l'éclair du flash. Cette photo est en mesure spot.

Lorsque l'on monte le SB800 sur le D700 en "full auto" l'écran du flash
indique TTL BL.


Qu'appelle tu full auto ? TTL sans correction ? Il y a un certain nombre
de choses qui peuvent être "auto".

Cependant en sélectionnant la mesure spot le flash perd
le symbole BL. Comme l'a dit GR l'équilibre ambiance/flash est perdue.


Ce n'est pas ce que dit la première fiche que tu indiques plus bas...
Mais en essayant sur le flash, en effet on pert le symbole BL.

Heureusement pour la seconde photo le -3 IL a permis un rendu semblable
à ce qu'aurait donné la mesure matricielle.


La première photo aurait aussi bénéficié du TTL BL mais les vêtement
blancs seraient resté aussi propres.


Qu'aurait fait le flash ? Physiquement, je ne vois pas ce qu'il peut
faire de différent, étant donné une certaine focale, ce qui peut changer
c'est la puissance émise. L'idée que pour une même focale et une même
puissance du flash les photons puissent aller là où c'est plus chouette,
je n'y crois pas un instant. Donc soit il colle plus de puissance et la
photo est plus lumineuse vers le fond mais aussi sur les chemises plus
blanc que blanc, ou bien il fait pareil et la photo serait bêtement
pareille.
Je ne crois pas à la magie.
D'une part, en quoi la photo aurait bénéficié du TTL-BL (à position de
l'appareil égale, je n'imagine pas comment l'effet de la lumière
pourrait être moins plat) et par quelle tour de passe passe pratique
l'éclairement aurait pu réparti différement sur la scène ?
D'ailleurs, si je vois bien le TTL-BL sur le flash Nikon, je n'en voit
pas trace dans les menus de l'appareil, pas plus que des "dosage-flash
ambiance" et "dosage flash ambiance 3D" dans la première fiche.


Les 3 articles suivants décrivent plus simplement - ou en condensé
suffisant - les différents modes du couple flash/boitier. Lues
attentivement les descriptions me paraissent suffisante pour comprendre
les mécanismes de mesure de la lumière et de l'exposition du système CLS
Nikon et ses avantages sur les autres méthodes moins supposées plus
simples. Comme le montre la seconde photo de Noëlle il est possible de
faire la même chose "à la mitaine". Et même avec flashmètre, posemètre,
flash manuel, du temps et moins de photos.



Au diable le flashmètre, si j'ai le temps j'utilise un carton gris (sans
pile introuvable ) et l'histogramme. Bon, ça marche au studio, au moins.

https://nikoneurope-fr.custhelp.com/app/answers/detail/a_id/52978/related/1


Cette fiche est intéressante ; dans l'optique d'utilisation conjointe
d'un flash sur l'appareil avec un certain degré de TTL et d'un autre
flashe quelconque qui lui serait en manuel/esclave, posé quelque part
dans le décor, le système de mesure et calcul de lumière à l'avance par
des préflashes ne semble pas utilisable.
Par contre, je ne vois pas d'où ça sort les différentes options et
icônes mentionnées, je n'en voit trace ni dans les menus du boitier ni
dans les options du flash SB800. (qui n'est pas à moi : je teste ).

Noëlle Adam
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Ghost-Rider
Le 11/11/2013 20:02, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 11/11/13 12:54, jdanield a écrit :


tu es sure?


Le modèle perfectionné, oui.
C'est le cas du SB 800, et des deux vieux Metz 54Z-3. Le SB 800 en plus
peut fonctionner en mode esclave sans accessoire, alors qu'il en faut un
pour les vieux Metz (mais pas les récents, qui sont équivalents au Nikon).

Fait voir ton flash, s'il a un mode A, il a une cellule évaluatrice
aussi. Ça se manifeste sous forme de trou sur la face avant :).

, qui lui fournit des informations non seulement
passives comme celles de fournies par les cellules de l'appareil, mais
actives par l' émission de préflash qui permettent une évaluation de
la situation.



les cellules de l'appareil voient le préflash, non?


Le retour du préflash, oui.

D'où ma remarque à GR sur les qualités physiques étonnantes du diffuseur
Picards surgelés, qui bouffe la lumière dans un sens et pas dans
l'autre...Je viens de regarder, le SB400 n'a pas de cellule évaluatrice
autonome.



Le i-TTL de Nikon ne fonctionne pas comme ça.
Il analyse la lumière sur les 1005 cellules dédiées et se sert de la
distance annoncée par l'objectif.

Le capteur situé sur la face avant du SB800 sert à mesurer la lumière
réfléchie par le sujet *en mode non TTL* uniquement.
Page 10 du mode d'emploi du SB800:
" 11 Fenêtre du photocapteur pour le
mode flash non TTL (p. 38)
Le photocapteur détecte la lumière réfléchie par
le sujet en mode flash à ouverture auto B
ou flash auto non TTL A."

Tant que tu ratiocineras sur ton petit nuage sans te donner la peine de
lire les manuels, tu raconteras des bêtises.
Avatar
René
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de groupe de discussion :
l5osrf$1jt$


Pour figer les ailes des mouches par exemple, mais est-ce souhaitable ?


Selon les plus sérieuses études scientifiques le mouvement des ailes chez la
mouche ont un effet anti gravité. Si les ailes sont figées, la mouche tombe,
mais heureusement les blessures lors d"une telle chute sont rares et peu
sévères.

En figeant les ailes, on perd l’intérêt de leur mouvement, non ?


Oui, mais si les ailes se figent alors que la mouche est dans votre
assiette, votre intérêt augmente brusquement provocant chez vous un geste
instinctif et rapide de la main qui risque de renverser votre verre de vin
et de tacher la nappe.

On a comme qui dirait une mouche immobile suspendue en l'air.


C'est la situation recherchée par les moins bons tireurs du far west; les
autres savent couper les ailes d’une mouche en vol sans la toucher au corps.

René
Avatar
René
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de groupe de discussion :
l5ost8$1jt$





Très bien, mais que nous enseignent ces photos ?



Qu'il n'avait pas remarqué que son robinet fuit. Maintenant il veut
savoir quoi faire. ;-)



Oui, mais il fuit à l'horizontale, c'est moins grave, le voisin du dessous
n'aura pas de dégâts à son plafond.



Remarque très pertinente. Je te félicite.
Afin d'être aussi pertinent (mais je pense : "plus pertinent que toi") je
m'interroge sur la vitesse du fluide qui dans ce déplacement horizontal ne
subit plus l'effet de la gravité pour s'accélérer. Sa vitesse d'écoulement
est donc moindre et ainsi la vitesse de l'éclair pour en figer le mouvement
peut aussi être moindre.
Au final rien ne s'oppose à ce que nous nous trouvions en face d'un
phénomène de gouttes statiques et de supercherie photographique. Sans
vouloir accuser personne, moi je n'y étais pas, je n'ai rien vu. Penser en
ce que vous voulez... mais ...

René
Avatar
René
"YouDontNeedToKnowButItsNoëlle" a écrit dans le message de groupe de
discussion : l5qvpi$jr4$


Sur les appareils historiques, la synchro flash était au 1/60 eme (et j'ai
des flashes de studio historiques aussi qui ne sont pas plus nerveux).



Sur un flash de studio la durée de l'éclairs à plein pouvoir peut être assez
longues.

René
Avatar
René
"YouDontNeedToKnowButItsNoëlle" a écrit dans le message de groupe de
discussion : l5qts3$d36$


Le zoom est transmis correctement au flash et n'a pas d'incidence.
Le comportement de P est le même dans tous les autres modes du flash
lui-même. Je précise que ces essais sont faits en mode matriciel. Je ne
fait varier qu'un paramètre à la fois.
Changer de mode de calcul d'exposition ne change pas le comportement de P
et P* quand le flash est activé.

La logique sous-jacente du truc m'échappe.



Évidemment parce qu'il n'y a pas de logique, seulement une série de faits
(mesurés et choisis?) illustrés par un abaque bien illustré page 426 du
manuel du D700. En haut l'intensité lumineuse en IL, en bas la vitesse et en
ordonnée l'ouverture; dans tout cela la courbe qui détermine les choix
prévisibles que fera l'apn en mode P. Pour s'apercevoir des changements de
vitesses, qui parfois varie du 1/60, il faut changer de luminosité. Cet
abaque décrit pourtant bien l'algo de Nikon mais personne jusqu'ici ne s'est
intéressé à cette variable fondamentale à la question. Les tests de chacun
sont restés dans un univers clos où la luminosité varie peu ou pas.

Quand j'ai fais des tests dans ma petite pièce de travail j'ai visé parfois
un coin sombre, parfois en partie l'écran de mon ordi. La vitesse est passé
de 1/60 à 1/80, ( c'est peu) l'ouverture a aussi varié, et aussi l'intensité
du flash mais je ne saurais dire de combien (une variable dont on ne connais
jamais la valeur)

Pour faire une critique plus pertinente et plus scientifique il faudrait
partir de la reproduction de cet abaque puis montrer les variations selon
des IL différents et mesurés. Je n'ai jamais vu de tels essais et
personnellement je juge inutile de s'y mettre, cet abaque me paraissant
amplement suffisant.

René
Avatar
René
"YouDontNeedToKnowButItsNoëlle" a écrit dans le message de groupe de
discussion : l5rc2c$mc3$

La seconde photo est meilleure mais je remarque que le flash a un
ajustement de -3 IL ce qui a aidé à un meilleur équilibre entre la
lumière ambiante et l'éclair du flash. Cette photo est en mesure spot.

Lorsque l'on monte le SB800 sur le D700 en "full auto" l'écran du flash
indique TTL BL.


Qu'appelle tu full auto ? TTL sans correction ? Il y a un certain nombre
de choses qui peuvent être "auto".


Un raccourci pour dire d'utiliser toutes les possibilités du SB800
Avoir un objectif D ou G, mettre le flash en mode i-TTL, etc

Cependant en sélectionnant la mesure spot le flash perd
le symbole BL. Comme l'a dit GR l'équilibre ambiance/flash est perdue.


Ce n'est pas ce que dit la première fiche que tu indiques plus bas...


????
Mais en essayant sur le flash, en effet on pert le symbole BL.

Heureusement pour la seconde photo le -3 IL a permis un rendu semblable
à ce qu'aurait donné la mesure matricielle.


La première photo aurait aussi bénéficié du TTL BL mais les vêtement
blancs seraient resté aussi propres.


Qu'aurait fait le flash ?



Important : ce n'est pas le flash qui contrôle, c'est le boitier!
Le boitier "sait" quelle est la lumière ambiante et donc peut décider - par
exemple - d'ouvrir le diaphragme et de diminuer l'intensité du flash. Comme
tu aurais fais manuellement afin d'avoir un arrière plus éclairé et l'effet
du flash atténué.

Physiquement, je ne vois pas ce qu'il peut faire de différent, étant donné
une certaine focale, ce qui peut changer c'est la puissance émise. L'idée
que pour une même focale et une même puissance du flash les photons
puissent aller là où c'est plus chouette, je n'y crois pas un instant.



Non, là c'est toi qui sors de telles sornettes

Donc soit il colle plus de puissance et la photo est plus lumineuse vers
le fond mais aussi sur les chemises plus blanc que blanc, ou bien il fait
pareil et la photo serait bêtement pareille.
Je ne crois pas à la magie.



Il n'y a pas de magie. Il faut seulement remarquer qu'il y a la lumière
existante d'une part et sur laquelle tu ne peux jouer et d'autre part la
source du flash que tu ajoutes. Ta seule possibilité est de balancer les 2
sources, existante et flash. En simplifié tu calcules pour le flash,
distance, GN, ouverture. Puis sachant que l'arrière est sombre tu augmentes
le temps d'exposition prévoyant que cela n'influencera pas trop les zones
"flashées". BL veut dire "balanced lighting" éclairage balancée, c'est ce
que permet de faire automatiquement le i-TTL BL

D'une part, en quoi la photo aurait bénéficié du TTL-BL (à position de
l'appareil égale, je n'imagine pas comment l'effet de la lumière pourrait
être moins plat) et par quelle tour de passe passe pratique l'éclairement
aurait pu réparti différement sur la scène ?



Moi non plus. C'est là le coté esthétique qui t'appartenait. Changer de
position, attendre que les personnages soient placés sous des éclairages
ambiants plus avantageux, ne pas faire la photo, se contenter de ce qui est
possible.

D'ailleurs, si je vois bien le TTL-BL sur le flash Nikon, je n'en voit pas
trace dans les menus de l'appareil, pas plus que des "dosage-flash
ambiance" et "dosage flash ambiance 3D" dans la première fiche.



Pas nécessaire. Mais vrai que cela peut porter à confusion.
Le "dosage flash ambiance 3D" concerne la manière dont le D700 fait ses
lectures de lumière "en mieux" que les APN plus anciens. Le résultat des
calculs demeure une suite de commandes en langage flash, ce langage pouvant
s'adresser à des flash de différentes générations.
Donc le D700 fait des lectures de lumières et des calculs "3D" plus raffinés
que mon D70. Le D700 sait quel objectif est monté. Sait-il si le flash est
le SB800 ou le SB600 ou un autre? Je ne peux le dire. De son coté le SB800
comprends différents niveaux de langage: manuel, TTL, i-TTL, i-TTL BL,
contrôleur ... Il peut aussi ne pas écouter le D700 pour autre chose que le
déclenchement et faire sa propre lecture de lumière.
En somme nous avons 2 appareils qui ne parlent pas le même langage, comme
ton imprimante et ton logiciel de CAD, mais qui collaborent.


Les 3 articles suivants décrivent plus simplement - ou en condensé
suffisant - les différents modes du couple flash/boitier. Lues
attentivement les descriptions me paraissent suffisante pour comprendre
les mécanismes de mesure de la lumière et de l'exposition du système CLS
Nikon et ses avantages sur les autres méthodes moins supposées plus
simples. Comme le montre la seconde photo de Noëlle il est possible de
faire la même chose "à la mitaine". Et même avec flashmètre, posemètre,
flash manuel, du temps et moins de photos.



Au diable le flashmètre, si j'ai le temps j'utilise un carton gris (sans
pile introuvable ) et l'histogramme. Bon, ça marche au studio, au moins.



Ouais.. sauf qu'il semble que tu étais dans un endroit où tu n'avais pas
vraiment le temps...

https://nikoneurope-fr.custhelp.com/app/answers/detail/a_id/52978/related/1


Cette fiche est intéressante ; dans l'optique d'utilisation conjointe d'un
flash sur l'appareil avec un certain degré de TTL



Il n'y a pas de degré de TTL, c'est ou ce n'est pas TTL.

et d'un autre
flashe quelconque qui lui serait en manuel/esclave, posé quelque part dans
le décor, le système de mesure et calcul de lumière à l'avance par des
préflashes ne semble pas utilisable.



Oui et non; certains sujets sont traitables. Le flash manuel étant fixe et
considéré comme une source continue, imaginons le éclairer un fond de
scène.. Le SB 800 sur le boitier ou déporté, le flash du D700 alors
contrôleur. L'éclair du flash manuel étant constant il faudrait alors
baisser la puissance du SB800 par le contrôle approprié sur le boitier
laissant le i-ttl s'occuper du reste. Serait-ce utile dans un tel contexte
prédéfini?

Par contre, je ne vois pas d'où ça sort les différentes options et icônes
mentionnées, je n'en voit trace ni dans les menus du boitier ni dans les
options du flash SB800. (qui n'est pas à moi : je teste ).



Les gros TTL, AA, GN etc se voient sur le flash; les petites icônes
probablement dans le lot des multiples symboles affichables sur les
boitiers. C'est toujours du TTL vue au travers de l'objectif du boitier mais
lu et calculé selon chaque boitier, donnant au final un éclair de telle
durée et telle intensité.

René