Oui, mais là n'est pas ce que je voulais souligner : juste le fait que
dans le cas du spot, on a une mesure qui donne une valeur d'exposition
correcte pour un gris 18% à l'endroit du spot.
Et que ça varie très peu d'un appareil bien étalonné à un autre, en
plus d'être très prévisible comme comportement.
Oui, mais là n'est pas ce que je voulais souligner : juste le fait que
dans le cas du spot, on a une mesure qui donne une valeur d'exposition
correcte pour un gris 18% à l'endroit du spot.
Et que ça varie très peu d'un appareil bien étalonné à un autre, en
plus d'être très prévisible comme comportement.
Oui, mais là n'est pas ce que je voulais souligner : juste le fait que
dans le cas du spot, on a une mesure qui donne une valeur d'exposition
correcte pour un gris 18% à l'endroit du spot.
Et que ça varie très peu d'un appareil bien étalonné à un autre, en
plus d'être très prévisible comme comportement.
Le 10/11/13 22:23, Claudio Bonavolta a écrit :Le dimanche 10 novembre 2013 19:52:32 UTC+1,
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :Non justement. Le mode P avec le flash n'est pas du tout modifiable.
P* = P l'effet des molettes est nul.
Noëlle Adam
Si, si, il est modifiable ...
Mais pour autant que le programme dispose d'assez de débattement
tant en lumière naturelle que pour la plage (distance)
d'action du flash qui elle-même varie en fonction du diaph.
Ben voilà, c'est ça qu'il fallait dire.
Je mets la sensibilité haute pour avoir du débattement. Il fait
moyennement clair dans la pièce mais il pleut dehors, donc je fais les
essais dans la pièce. Je met le 20-35 parce qu'il est af-D (mon 60 macro
ne l'est pas), au cas où.
Flash off, P me propose F4 1/60 et je peux faire du P* dans toutes les
limites des ouvertures disponibles sur l'optique , la vitesse suit.
Flash TTL-BL on, mode slow ou rear, P me propose F9 1/10 et je peux faire
du P* jusqu'a F22 - 1,6 mais je ne peux pas faire du P* pour ouvrir
davantage que F9. Aucun effet et donc pas moyen de grimper au dessus de
1/10 s.
Flash TTL-BL on, mode normal premier rideau, P me propose F9 1/60 et je ne
peux rien modifier : la molette fait apparaître P* mais les paramètres ne
sont pas modifiables du tout, ni dans un sens ni dans l'autre.
Je monte les iso de 2 crans, P me propose F11 1/60 (il ne fait ni plus ni
moins clair, mais ça augmente la marge de manœuvre). Pareil, pas de
modification possible en P*.
Le zoom est transmis correctement au flash et n'a pas d'incidence.
Le comportement de P est le même dans tous les autres modes du flash
lui-même. Je précise que ces essais sont faits en mode matriciel. Je ne
fait varier qu'un paramètre à la fois.
Changer de mode de calcul d'exposition ne change pas le comportement de P
et P* quand le flash est activé.
La logique sous-jacente du truc m'échappe.
Noëlle Adam
Le 10/11/13 22:23, Claudio Bonavolta a écrit :
Le dimanche 10 novembre 2013 19:52:32 UTC+1,
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Non justement. Le mode P avec le flash n'est pas du tout modifiable.
P* = P l'effet des molettes est nul.
Noëlle Adam
Si, si, il est modifiable ...
Mais pour autant que le programme dispose d'assez de débattement
tant en lumière naturelle que pour la plage (distance)
d'action du flash qui elle-même varie en fonction du diaph.
Ben voilà, c'est ça qu'il fallait dire.
Je mets la sensibilité haute pour avoir du débattement. Il fait
moyennement clair dans la pièce mais il pleut dehors, donc je fais les
essais dans la pièce. Je met le 20-35 parce qu'il est af-D (mon 60 macro
ne l'est pas), au cas où.
Flash off, P me propose F4 1/60 et je peux faire du P* dans toutes les
limites des ouvertures disponibles sur l'optique , la vitesse suit.
Flash TTL-BL on, mode slow ou rear, P me propose F9 1/10 et je peux faire
du P* jusqu'a F22 - 1,6 mais je ne peux pas faire du P* pour ouvrir
davantage que F9. Aucun effet et donc pas moyen de grimper au dessus de
1/10 s.
Flash TTL-BL on, mode normal premier rideau, P me propose F9 1/60 et je ne
peux rien modifier : la molette fait apparaître P* mais les paramètres ne
sont pas modifiables du tout, ni dans un sens ni dans l'autre.
Je monte les iso de 2 crans, P me propose F11 1/60 (il ne fait ni plus ni
moins clair, mais ça augmente la marge de manœuvre). Pareil, pas de
modification possible en P*.
Le zoom est transmis correctement au flash et n'a pas d'incidence.
Le comportement de P est le même dans tous les autres modes du flash
lui-même. Je précise que ces essais sont faits en mode matriciel. Je ne
fait varier qu'un paramètre à la fois.
Changer de mode de calcul d'exposition ne change pas le comportement de P
et P* quand le flash est activé.
La logique sous-jacente du truc m'échappe.
Noëlle Adam
Le 10/11/13 22:23, Claudio Bonavolta a écrit :Le dimanche 10 novembre 2013 19:52:32 UTC+1,
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :Non justement. Le mode P avec le flash n'est pas du tout modifiable.
P* = P l'effet des molettes est nul.
Noëlle Adam
Si, si, il est modifiable ...
Mais pour autant que le programme dispose d'assez de débattement
tant en lumière naturelle que pour la plage (distance)
d'action du flash qui elle-même varie en fonction du diaph.
Ben voilà, c'est ça qu'il fallait dire.
Je mets la sensibilité haute pour avoir du débattement. Il fait
moyennement clair dans la pièce mais il pleut dehors, donc je fais les
essais dans la pièce. Je met le 20-35 parce qu'il est af-D (mon 60 macro
ne l'est pas), au cas où.
Flash off, P me propose F4 1/60 et je peux faire du P* dans toutes les
limites des ouvertures disponibles sur l'optique , la vitesse suit.
Flash TTL-BL on, mode slow ou rear, P me propose F9 1/10 et je peux faire
du P* jusqu'a F22 - 1,6 mais je ne peux pas faire du P* pour ouvrir
davantage que F9. Aucun effet et donc pas moyen de grimper au dessus de
1/10 s.
Flash TTL-BL on, mode normal premier rideau, P me propose F9 1/60 et je ne
peux rien modifier : la molette fait apparaître P* mais les paramètres ne
sont pas modifiables du tout, ni dans un sens ni dans l'autre.
Je monte les iso de 2 crans, P me propose F11 1/60 (il ne fait ni plus ni
moins clair, mais ça augmente la marge de manœuvre). Pareil, pas de
modification possible en P*.
Le zoom est transmis correctement au flash et n'a pas d'incidence.
Le comportement de P est le même dans tous les autres modes du flash
lui-même. Je précise que ces essais sont faits en mode matriciel. Je ne
fait varier qu'un paramètre à la fois.
Changer de mode de calcul d'exposition ne change pas le comportement de P
et P* quand le flash est activé.
La logique sous-jacente du truc m'échappe.
Noëlle Adam
tu es sure?
, qui lui fournit des informations non seulementpassives comme celles de fournies par les cellules de l'appareil, mais
actives par l' émission de préflash qui permettent une évaluation de
la situation.
les cellules de l'appareil voient le préflash, non?
tu es sure?
, qui lui fournit des informations non seulement
passives comme celles de fournies par les cellules de l'appareil, mais
actives par l' émission de préflash qui permettent une évaluation de
la situation.
les cellules de l'appareil voient le préflash, non?
tu es sure?
, qui lui fournit des informations non seulementpassives comme celles de fournies par les cellules de l'appareil, mais
actives par l' émission de préflash qui permettent une évaluation de
la situation.
les cellules de l'appareil voient le préflash, non?
La première photo de Noëlle a 2 personnes à égale distance de
l'objectif, habillées de blanc, dans un contexte sombre...
La photo est faite au flash et elle est donc sortie comme telle! Ce
genre d'évènement dans des contextes peu favorables sont générateurs de
photos décevantes. Inutile de blâmer sont équipement photo. Cette photo
est en mesure pondérée centrale.
La seconde photo est meilleure mais je remarque que le flash a un
ajustement de -3 IL ce qui a aidé à un meilleur équilibre entre la
lumière ambiante et l'éclair du flash. Cette photo est en mesure spot.
Lorsque l'on monte le SB800 sur le D700 en "full auto" l'écran du flash
indique TTL BL.
le symbole BL. Comme l'a dit GR l'équilibre ambiance/flash est perdue.
Heureusement pour la seconde photo le -3 IL a permis un rendu semblable
à ce qu'aurait donné la mesure matricielle.
La première photo aurait aussi bénéficié du TTL BL mais les vêtement
blancs seraient resté aussi propres.
Les 3 articles suivants décrivent plus simplement - ou en condensé
suffisant - les différents modes du couple flash/boitier. Lues
attentivement les descriptions me paraissent suffisante pour comprendre
les mécanismes de mesure de la lumière et de l'exposition du système CLS
Nikon et ses avantages sur les autres méthodes moins supposées plus
simples. Comme le montre la seconde photo de Noëlle il est possible de
faire la même chose "à la mitaine". Et même avec flashmètre, posemètre,
flash manuel, du temps et moins de photos.
https://nikoneurope-fr.custhelp.com/app/answers/detail/a_id/52978/related/1
La première photo de Noëlle a 2 personnes à égale distance de
l'objectif, habillées de blanc, dans un contexte sombre...
La photo est faite au flash et elle est donc sortie comme telle! Ce
genre d'évènement dans des contextes peu favorables sont générateurs de
photos décevantes. Inutile de blâmer sont équipement photo. Cette photo
est en mesure pondérée centrale.
La seconde photo est meilleure mais je remarque que le flash a un
ajustement de -3 IL ce qui a aidé à un meilleur équilibre entre la
lumière ambiante et l'éclair du flash. Cette photo est en mesure spot.
Lorsque l'on monte le SB800 sur le D700 en "full auto" l'écran du flash
indique TTL BL.
le symbole BL. Comme l'a dit GR l'équilibre ambiance/flash est perdue.
Heureusement pour la seconde photo le -3 IL a permis un rendu semblable
à ce qu'aurait donné la mesure matricielle.
La première photo aurait aussi bénéficié du TTL BL mais les vêtement
blancs seraient resté aussi propres.
Les 3 articles suivants décrivent plus simplement - ou en condensé
suffisant - les différents modes du couple flash/boitier. Lues
attentivement les descriptions me paraissent suffisante pour comprendre
les mécanismes de mesure de la lumière et de l'exposition du système CLS
Nikon et ses avantages sur les autres méthodes moins supposées plus
simples. Comme le montre la seconde photo de Noëlle il est possible de
faire la même chose "à la mitaine". Et même avec flashmètre, posemètre,
flash manuel, du temps et moins de photos.
https://nikoneurope-fr.custhelp.com/app/answers/detail/a_id/52978/related/1
La première photo de Noëlle a 2 personnes à égale distance de
l'objectif, habillées de blanc, dans un contexte sombre...
La photo est faite au flash et elle est donc sortie comme telle! Ce
genre d'évènement dans des contextes peu favorables sont générateurs de
photos décevantes. Inutile de blâmer sont équipement photo. Cette photo
est en mesure pondérée centrale.
La seconde photo est meilleure mais je remarque que le flash a un
ajustement de -3 IL ce qui a aidé à un meilleur équilibre entre la
lumière ambiante et l'éclair du flash. Cette photo est en mesure spot.
Lorsque l'on monte le SB800 sur le D700 en "full auto" l'écran du flash
indique TTL BL.
le symbole BL. Comme l'a dit GR l'équilibre ambiance/flash est perdue.
Heureusement pour la seconde photo le -3 IL a permis un rendu semblable
à ce qu'aurait donné la mesure matricielle.
La première photo aurait aussi bénéficié du TTL BL mais les vêtement
blancs seraient resté aussi propres.
Les 3 articles suivants décrivent plus simplement - ou en condensé
suffisant - les différents modes du couple flash/boitier. Lues
attentivement les descriptions me paraissent suffisante pour comprendre
les mécanismes de mesure de la lumière et de l'exposition du système CLS
Nikon et ses avantages sur les autres méthodes moins supposées plus
simples. Comme le montre la seconde photo de Noëlle il est possible de
faire la même chose "à la mitaine". Et même avec flashmètre, posemètre,
flash manuel, du temps et moins de photos.
https://nikoneurope-fr.custhelp.com/app/answers/detail/a_id/52978/related/1
Le 11/11/13 12:54, jdanield a écrit :
tu es sure?
Le modèle perfectionné, oui.
C'est le cas du SB 800, et des deux vieux Metz 54Z-3. Le SB 800 en plus
peut fonctionner en mode esclave sans accessoire, alors qu'il en faut un
pour les vieux Metz (mais pas les récents, qui sont équivalents au Nikon).
Fait voir ton flash, s'il a un mode A, il a une cellule évaluatrice
aussi. Ça se manifeste sous forme de trou sur la face avant :)., qui lui fournit des informations non seulementpassives comme celles de fournies par les cellules de l'appareil, mais
actives par l' émission de préflash qui permettent une évaluation de
la situation.
les cellules de l'appareil voient le préflash, non?
Le retour du préflash, oui.
D'où ma remarque à GR sur les qualités physiques étonnantes du diffuseur
Picards surgelés, qui bouffe la lumière dans un sens et pas dans
l'autre...Je viens de regarder, le SB400 n'a pas de cellule évaluatrice
autonome.
Le 11/11/13 12:54, jdanield a écrit :
tu es sure?
Le modèle perfectionné, oui.
C'est le cas du SB 800, et des deux vieux Metz 54Z-3. Le SB 800 en plus
peut fonctionner en mode esclave sans accessoire, alors qu'il en faut un
pour les vieux Metz (mais pas les récents, qui sont équivalents au Nikon).
Fait voir ton flash, s'il a un mode A, il a une cellule évaluatrice
aussi. Ça se manifeste sous forme de trou sur la face avant :).
, qui lui fournit des informations non seulement
passives comme celles de fournies par les cellules de l'appareil, mais
actives par l' émission de préflash qui permettent une évaluation de
la situation.
les cellules de l'appareil voient le préflash, non?
Le retour du préflash, oui.
D'où ma remarque à GR sur les qualités physiques étonnantes du diffuseur
Picards surgelés, qui bouffe la lumière dans un sens et pas dans
l'autre...Je viens de regarder, le SB400 n'a pas de cellule évaluatrice
autonome.
Le 11/11/13 12:54, jdanield a écrit :
tu es sure?
Le modèle perfectionné, oui.
C'est le cas du SB 800, et des deux vieux Metz 54Z-3. Le SB 800 en plus
peut fonctionner en mode esclave sans accessoire, alors qu'il en faut un
pour les vieux Metz (mais pas les récents, qui sont équivalents au Nikon).
Fait voir ton flash, s'il a un mode A, il a une cellule évaluatrice
aussi. Ça se manifeste sous forme de trou sur la face avant :)., qui lui fournit des informations non seulementpassives comme celles de fournies par les cellules de l'appareil, mais
actives par l' émission de préflash qui permettent une évaluation de
la situation.
les cellules de l'appareil voient le préflash, non?
Le retour du préflash, oui.
D'où ma remarque à GR sur les qualités physiques étonnantes du diffuseur
Picards surgelés, qui bouffe la lumière dans un sens et pas dans
l'autre...Je viens de regarder, le SB400 n'a pas de cellule évaluatrice
autonome.
Pour figer les ailes des mouches par exemple, mais est-ce souhaitable ?
En figeant les ailes, on perd l’intérêt de leur mouvement, non ?
On a comme qui dirait une mouche immobile suspendue en l'air.
Pour figer les ailes des mouches par exemple, mais est-ce souhaitable ?
En figeant les ailes, on perd l’intérêt de leur mouvement, non ?
On a comme qui dirait une mouche immobile suspendue en l'air.
Pour figer les ailes des mouches par exemple, mais est-ce souhaitable ?
En figeant les ailes, on perd l’intérêt de leur mouvement, non ?
On a comme qui dirait une mouche immobile suspendue en l'air.
Très bien, mais que nous enseignent ces photos ?
Qu'il n'avait pas remarqué que son robinet fuit. Maintenant il veut
savoir quoi faire. ;-)
Oui, mais il fuit à l'horizontale, c'est moins grave, le voisin du dessous
n'aura pas de dégâts à son plafond.
Très bien, mais que nous enseignent ces photos ?
Qu'il n'avait pas remarqué que son robinet fuit. Maintenant il veut
savoir quoi faire. ;-)
Oui, mais il fuit à l'horizontale, c'est moins grave, le voisin du dessous
n'aura pas de dégâts à son plafond.
Très bien, mais que nous enseignent ces photos ?
Qu'il n'avait pas remarqué que son robinet fuit. Maintenant il veut
savoir quoi faire. ;-)
Oui, mais il fuit à l'horizontale, c'est moins grave, le voisin du dessous
n'aura pas de dégâts à son plafond.
Sur les appareils historiques, la synchro flash était au 1/60 eme (et j'ai
des flashes de studio historiques aussi qui ne sont pas plus nerveux).
Sur les appareils historiques, la synchro flash était au 1/60 eme (et j'ai
des flashes de studio historiques aussi qui ne sont pas plus nerveux).
Sur les appareils historiques, la synchro flash était au 1/60 eme (et j'ai
des flashes de studio historiques aussi qui ne sont pas plus nerveux).
Le zoom est transmis correctement au flash et n'a pas d'incidence.
Le comportement de P est le même dans tous les autres modes du flash
lui-même. Je précise que ces essais sont faits en mode matriciel. Je ne
fait varier qu'un paramètre à la fois.
Changer de mode de calcul d'exposition ne change pas le comportement de P
et P* quand le flash est activé.
La logique sous-jacente du truc m'échappe.
Le zoom est transmis correctement au flash et n'a pas d'incidence.
Le comportement de P est le même dans tous les autres modes du flash
lui-même. Je précise que ces essais sont faits en mode matriciel. Je ne
fait varier qu'un paramètre à la fois.
Changer de mode de calcul d'exposition ne change pas le comportement de P
et P* quand le flash est activé.
La logique sous-jacente du truc m'échappe.
Le zoom est transmis correctement au flash et n'a pas d'incidence.
Le comportement de P est le même dans tous les autres modes du flash
lui-même. Je précise que ces essais sont faits en mode matriciel. Je ne
fait varier qu'un paramètre à la fois.
Changer de mode de calcul d'exposition ne change pas le comportement de P
et P* quand le flash est activé.
La logique sous-jacente du truc m'échappe.
La seconde photo est meilleure mais je remarque que le flash a un
ajustement de -3 IL ce qui a aidé à un meilleur équilibre entre la
lumière ambiante et l'éclair du flash. Cette photo est en mesure spot.
Lorsque l'on monte le SB800 sur le D700 en "full auto" l'écran du flash
indique TTL BL.
Qu'appelle tu full auto ? TTL sans correction ? Il y a un certain nombre
de choses qui peuvent être "auto".
Cependant en sélectionnant la mesure spot le flash perdle symbole BL. Comme l'a dit GR l'équilibre ambiance/flash est perdue.
Ce n'est pas ce que dit la première fiche que tu indiques plus bas...
Mais en essayant sur le flash, en effet on pert le symbole BL.Heureusement pour la seconde photo le -3 IL a permis un rendu semblable
à ce qu'aurait donné la mesure matricielle.
La première photo aurait aussi bénéficié du TTL BL mais les vêtement
blancs seraient resté aussi propres.
Qu'aurait fait le flash ?
Physiquement, je ne vois pas ce qu'il peut faire de différent, étant donné
une certaine focale, ce qui peut changer c'est la puissance émise. L'idée
que pour une même focale et une même puissance du flash les photons
puissent aller là où c'est plus chouette, je n'y crois pas un instant.
Donc soit il colle plus de puissance et la photo est plus lumineuse vers
le fond mais aussi sur les chemises plus blanc que blanc, ou bien il fait
pareil et la photo serait bêtement pareille.
Je ne crois pas à la magie.
D'une part, en quoi la photo aurait bénéficié du TTL-BL (à position de
l'appareil égale, je n'imagine pas comment l'effet de la lumière pourrait
être moins plat) et par quelle tour de passe passe pratique l'éclairement
aurait pu réparti différement sur la scène ?
D'ailleurs, si je vois bien le TTL-BL sur le flash Nikon, je n'en voit pas
trace dans les menus de l'appareil, pas plus que des "dosage-flash
ambiance" et "dosage flash ambiance 3D" dans la première fiche.
Les 3 articles suivants décrivent plus simplement - ou en condensé
suffisant - les différents modes du couple flash/boitier. Lues
attentivement les descriptions me paraissent suffisante pour comprendre
les mécanismes de mesure de la lumière et de l'exposition du système CLS
Nikon et ses avantages sur les autres méthodes moins supposées plus
simples. Comme le montre la seconde photo de Noëlle il est possible de
faire la même chose "à la mitaine". Et même avec flashmètre, posemètre,
flash manuel, du temps et moins de photos.
Au diable le flashmètre, si j'ai le temps j'utilise un carton gris (sans
pile introuvable ) et l'histogramme. Bon, ça marche au studio, au moins.
https://nikoneurope-fr.custhelp.com/app/answers/detail/a_id/52978/related/1
Cette fiche est intéressante ; dans l'optique d'utilisation conjointe d'un
flash sur l'appareil avec un certain degré de TTL
flashe quelconque qui lui serait en manuel/esclave, posé quelque part dans
le décor, le système de mesure et calcul de lumière à l'avance par des
préflashes ne semble pas utilisable.
Par contre, je ne vois pas d'où ça sort les différentes options et icônes
mentionnées, je n'en voit trace ni dans les menus du boitier ni dans les
options du flash SB800. (qui n'est pas à moi : je teste ).
La seconde photo est meilleure mais je remarque que le flash a un
ajustement de -3 IL ce qui a aidé à un meilleur équilibre entre la
lumière ambiante et l'éclair du flash. Cette photo est en mesure spot.
Lorsque l'on monte le SB800 sur le D700 en "full auto" l'écran du flash
indique TTL BL.
Qu'appelle tu full auto ? TTL sans correction ? Il y a un certain nombre
de choses qui peuvent être "auto".
Cependant en sélectionnant la mesure spot le flash perd
le symbole BL. Comme l'a dit GR l'équilibre ambiance/flash est perdue.
Ce n'est pas ce que dit la première fiche que tu indiques plus bas...
Mais en essayant sur le flash, en effet on pert le symbole BL.
Heureusement pour la seconde photo le -3 IL a permis un rendu semblable
à ce qu'aurait donné la mesure matricielle.
La première photo aurait aussi bénéficié du TTL BL mais les vêtement
blancs seraient resté aussi propres.
Qu'aurait fait le flash ?
Physiquement, je ne vois pas ce qu'il peut faire de différent, étant donné
une certaine focale, ce qui peut changer c'est la puissance émise. L'idée
que pour une même focale et une même puissance du flash les photons
puissent aller là où c'est plus chouette, je n'y crois pas un instant.
Donc soit il colle plus de puissance et la photo est plus lumineuse vers
le fond mais aussi sur les chemises plus blanc que blanc, ou bien il fait
pareil et la photo serait bêtement pareille.
Je ne crois pas à la magie.
D'une part, en quoi la photo aurait bénéficié du TTL-BL (à position de
l'appareil égale, je n'imagine pas comment l'effet de la lumière pourrait
être moins plat) et par quelle tour de passe passe pratique l'éclairement
aurait pu réparti différement sur la scène ?
D'ailleurs, si je vois bien le TTL-BL sur le flash Nikon, je n'en voit pas
trace dans les menus de l'appareil, pas plus que des "dosage-flash
ambiance" et "dosage flash ambiance 3D" dans la première fiche.
Les 3 articles suivants décrivent plus simplement - ou en condensé
suffisant - les différents modes du couple flash/boitier. Lues
attentivement les descriptions me paraissent suffisante pour comprendre
les mécanismes de mesure de la lumière et de l'exposition du système CLS
Nikon et ses avantages sur les autres méthodes moins supposées plus
simples. Comme le montre la seconde photo de Noëlle il est possible de
faire la même chose "à la mitaine". Et même avec flashmètre, posemètre,
flash manuel, du temps et moins de photos.
Au diable le flashmètre, si j'ai le temps j'utilise un carton gris (sans
pile introuvable ) et l'histogramme. Bon, ça marche au studio, au moins.
https://nikoneurope-fr.custhelp.com/app/answers/detail/a_id/52978/related/1
Cette fiche est intéressante ; dans l'optique d'utilisation conjointe d'un
flash sur l'appareil avec un certain degré de TTL
flashe quelconque qui lui serait en manuel/esclave, posé quelque part dans
le décor, le système de mesure et calcul de lumière à l'avance par des
préflashes ne semble pas utilisable.
Par contre, je ne vois pas d'où ça sort les différentes options et icônes
mentionnées, je n'en voit trace ni dans les menus du boitier ni dans les
options du flash SB800. (qui n'est pas à moi : je teste ).
La seconde photo est meilleure mais je remarque que le flash a un
ajustement de -3 IL ce qui a aidé à un meilleur équilibre entre la
lumière ambiante et l'éclair du flash. Cette photo est en mesure spot.
Lorsque l'on monte le SB800 sur le D700 en "full auto" l'écran du flash
indique TTL BL.
Qu'appelle tu full auto ? TTL sans correction ? Il y a un certain nombre
de choses qui peuvent être "auto".
Cependant en sélectionnant la mesure spot le flash perdle symbole BL. Comme l'a dit GR l'équilibre ambiance/flash est perdue.
Ce n'est pas ce que dit la première fiche que tu indiques plus bas...
Mais en essayant sur le flash, en effet on pert le symbole BL.Heureusement pour la seconde photo le -3 IL a permis un rendu semblable
à ce qu'aurait donné la mesure matricielle.
La première photo aurait aussi bénéficié du TTL BL mais les vêtement
blancs seraient resté aussi propres.
Qu'aurait fait le flash ?
Physiquement, je ne vois pas ce qu'il peut faire de différent, étant donné
une certaine focale, ce qui peut changer c'est la puissance émise. L'idée
que pour une même focale et une même puissance du flash les photons
puissent aller là où c'est plus chouette, je n'y crois pas un instant.
Donc soit il colle plus de puissance et la photo est plus lumineuse vers
le fond mais aussi sur les chemises plus blanc que blanc, ou bien il fait
pareil et la photo serait bêtement pareille.
Je ne crois pas à la magie.
D'une part, en quoi la photo aurait bénéficié du TTL-BL (à position de
l'appareil égale, je n'imagine pas comment l'effet de la lumière pourrait
être moins plat) et par quelle tour de passe passe pratique l'éclairement
aurait pu réparti différement sur la scène ?
D'ailleurs, si je vois bien le TTL-BL sur le flash Nikon, je n'en voit pas
trace dans les menus de l'appareil, pas plus que des "dosage-flash
ambiance" et "dosage flash ambiance 3D" dans la première fiche.
Les 3 articles suivants décrivent plus simplement - ou en condensé
suffisant - les différents modes du couple flash/boitier. Lues
attentivement les descriptions me paraissent suffisante pour comprendre
les mécanismes de mesure de la lumière et de l'exposition du système CLS
Nikon et ses avantages sur les autres méthodes moins supposées plus
simples. Comme le montre la seconde photo de Noëlle il est possible de
faire la même chose "à la mitaine". Et même avec flashmètre, posemètre,
flash manuel, du temps et moins de photos.
Au diable le flashmètre, si j'ai le temps j'utilise un carton gris (sans
pile introuvable ) et l'histogramme. Bon, ça marche au studio, au moins.
https://nikoneurope-fr.custhelp.com/app/answers/detail/a_id/52978/related/1
Cette fiche est intéressante ; dans l'optique d'utilisation conjointe d'un
flash sur l'appareil avec un certain degré de TTL
flashe quelconque qui lui serait en manuel/esclave, posé quelque part dans
le décor, le système de mesure et calcul de lumière à l'avance par des
préflashes ne semble pas utilisable.
Par contre, je ne vois pas d'où ça sort les différentes options et icônes
mentionnées, je n'en voit trace ni dans les menus du boitier ni dans les
options du flash SB800. (qui n'est pas à moi : je teste ).