Le 10/11/13 22:12, Ghost-Rider a écrit :Donc, si je comprends bien, c'est la vitesse la lus élevée qui prime
pour figer le mouvement ?
Oui.
C'est celle de la durée de l'éclair du flash pour les vitesses
jusqu'a la synchro flash mais si la lumière ambiante est relativement
forte (en proportion BL) et si la durée d'obturation est lente, il y a
des risques de fantômes et de bougé sur l'image.
C'est celle de l'obturation boitier pour les vitesses plus élevées que
la vitesse synchro flash maxi si le flash comporte un mode haute vitesse
FP ( c'est une accumulation de micro-éclairs).Pour figer les ailes des mouches par exemple, mais est-ce souhaitable ?
À toi de voir.En figeant les ailes, on perd l’intérêt de leur mouvement, non ?
On peut aussi utiliser des vitesses où les antennes gigoteuses sont
nettes. D'autres personnes peuvent s’intéresser à d'autres types de
mouvement figés. La chute des gouttes, une pomme flottant au dessus du
crâne de Newton, l'explosion d'un ballon de flotte, les mouvements de
sport.
On a comme qui dirait une mouche immobile suspendue en l'air.
Ton flash ne fait pas de haute vitesse, donc figer le mouvement n'est
pas interessant :)
À ta place j'aurais certainement choisi un flash
ayant ce mode. Je suppose que tu as un mode strobo sur ton flash et ça,
ça m'épates que tu n'aie pas eu la curiosité d'essayer sur tes bestiaux,
pour montrer les petits mouvements au décollage. Batteries chargées à
fond, iso assez élévés ça peut le faire.
Je ne sais pas s'il y a des appareils photos modernes qui permettent de
faire de l'open flash automatiquement (en fermant l'obtu quand le plein
de lumière est fait). le résultat était souvent assez chouette...
Je n'ai pas pratiqué mais je suis certaine que certains ici l'ont fait.
Le 10/11/13 22:12, Ghost-Rider a écrit :
Donc, si je comprends bien, c'est la vitesse la lus élevée qui prime
pour figer le mouvement ?
Oui.
C'est celle de la durée de l'éclair du flash pour les vitesses
jusqu'a la synchro flash mais si la lumière ambiante est relativement
forte (en proportion BL) et si la durée d'obturation est lente, il y a
des risques de fantômes et de bougé sur l'image.
C'est celle de l'obturation boitier pour les vitesses plus élevées que
la vitesse synchro flash maxi si le flash comporte un mode haute vitesse
FP ( c'est une accumulation de micro-éclairs).
Pour figer les ailes des mouches par exemple, mais est-ce souhaitable ?
À toi de voir.
En figeant les ailes, on perd l’intérêt de leur mouvement, non ?
On peut aussi utiliser des vitesses où les antennes gigoteuses sont
nettes. D'autres personnes peuvent s’intéresser à d'autres types de
mouvement figés. La chute des gouttes, une pomme flottant au dessus du
crâne de Newton, l'explosion d'un ballon de flotte, les mouvements de
sport.
On a comme qui dirait une mouche immobile suspendue en l'air.
Ton flash ne fait pas de haute vitesse, donc figer le mouvement n'est
pas interessant :)
À ta place j'aurais certainement choisi un flash
ayant ce mode. Je suppose que tu as un mode strobo sur ton flash et ça,
ça m'épates que tu n'aie pas eu la curiosité d'essayer sur tes bestiaux,
pour montrer les petits mouvements au décollage. Batteries chargées à
fond, iso assez élévés ça peut le faire.
Je ne sais pas s'il y a des appareils photos modernes qui permettent de
faire de l'open flash automatiquement (en fermant l'obtu quand le plein
de lumière est fait). le résultat était souvent assez chouette...
Je n'ai pas pratiqué mais je suis certaine que certains ici l'ont fait.
Le 10/11/13 22:12, Ghost-Rider a écrit :Donc, si je comprends bien, c'est la vitesse la lus élevée qui prime
pour figer le mouvement ?
Oui.
C'est celle de la durée de l'éclair du flash pour les vitesses
jusqu'a la synchro flash mais si la lumière ambiante est relativement
forte (en proportion BL) et si la durée d'obturation est lente, il y a
des risques de fantômes et de bougé sur l'image.
C'est celle de l'obturation boitier pour les vitesses plus élevées que
la vitesse synchro flash maxi si le flash comporte un mode haute vitesse
FP ( c'est une accumulation de micro-éclairs).Pour figer les ailes des mouches par exemple, mais est-ce souhaitable ?
À toi de voir.En figeant les ailes, on perd l’intérêt de leur mouvement, non ?
On peut aussi utiliser des vitesses où les antennes gigoteuses sont
nettes. D'autres personnes peuvent s’intéresser à d'autres types de
mouvement figés. La chute des gouttes, une pomme flottant au dessus du
crâne de Newton, l'explosion d'un ballon de flotte, les mouvements de
sport.
On a comme qui dirait une mouche immobile suspendue en l'air.
Ton flash ne fait pas de haute vitesse, donc figer le mouvement n'est
pas interessant :)
À ta place j'aurais certainement choisi un flash
ayant ce mode. Je suppose que tu as un mode strobo sur ton flash et ça,
ça m'épates que tu n'aie pas eu la curiosité d'essayer sur tes bestiaux,
pour montrer les petits mouvements au décollage. Batteries chargées à
fond, iso assez élévés ça peut le faire.
Je ne sais pas s'il y a des appareils photos modernes qui permettent de
faire de l'open flash automatiquement (en fermant l'obtu quand le plein
de lumière est fait). le résultat était souvent assez chouette...
Je n'ai pas pratiqué mais je suis certaine que certains ici l'ont fait.
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de groupe de discussion :Pour figer les ailes des mouches par exemple, mais est-ce souhaitable ?
Selon les plus sérieuses études scientifiques le mouvement des ailes
chez la mouche ont un effet anti gravité. Si les ailes sont figées, la
mouche tombe, mais heureusement les blessures lors d"une telle chute
sont rares et peu sévères.
En figeant les ailes, on perd l’intérêt de leur mouvement, non ?
Oui, mais si les ailes se figent alors que la mouche est dans votre
assiette, votre intérêt augmente brusquement provocant chez vous un
geste instinctif et rapide de la main qui risque de renverser votre
verre de vin et de tacher la nappe.
On a comme qui dirait une mouche immobile suspendue en l'air.
C'est la situation recherchée par les moins bons tireurs du far west;
les autres savent couper les ailes d’une mouche en vol sans la toucher
au corps.
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de groupe de discussion :
Pour figer les ailes des mouches par exemple, mais est-ce souhaitable ?
Selon les plus sérieuses études scientifiques le mouvement des ailes
chez la mouche ont un effet anti gravité. Si les ailes sont figées, la
mouche tombe, mais heureusement les blessures lors d"une telle chute
sont rares et peu sévères.
En figeant les ailes, on perd l’intérêt de leur mouvement, non ?
Oui, mais si les ailes se figent alors que la mouche est dans votre
assiette, votre intérêt augmente brusquement provocant chez vous un
geste instinctif et rapide de la main qui risque de renverser votre
verre de vin et de tacher la nappe.
On a comme qui dirait une mouche immobile suspendue en l'air.
C'est la situation recherchée par les moins bons tireurs du far west;
les autres savent couper les ailes d’une mouche en vol sans la toucher
au corps.
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de groupe de discussion :Pour figer les ailes des mouches par exemple, mais est-ce souhaitable ?
Selon les plus sérieuses études scientifiques le mouvement des ailes
chez la mouche ont un effet anti gravité. Si les ailes sont figées, la
mouche tombe, mais heureusement les blessures lors d"une telle chute
sont rares et peu sévères.
En figeant les ailes, on perd l’intérêt de leur mouvement, non ?
Oui, mais si les ailes se figent alors que la mouche est dans votre
assiette, votre intérêt augmente brusquement provocant chez vous un
geste instinctif et rapide de la main qui risque de renverser votre
verre de vin et de tacher la nappe.
On a comme qui dirait une mouche immobile suspendue en l'air.
C'est la situation recherchée par les moins bons tireurs du far west;
les autres savent couper les ailes d’une mouche en vol sans la toucher
au corps.
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de groupe de discussion :Très bien, mais que nous enseignent ces photos ?
Qu'il n'avait pas remarqué que son robinet fuit. Maintenant il veut
savoir quoi faire. ;-)Oui, mais il fuit à l'horizontale, c'est moins grave, le voisin du
dessous n'aura pas de dégâts à son plafond.
Remarque très pertinente. Je te félicite.
Afin d'être aussi pertinent (mais je pense : "plus pertinent que toi")
je m'interroge sur la vitesse du fluide qui dans ce déplacement
horizontal ne subit plus l'effet de la gravité pour s'accélérer. Sa
vitesse d'écoulement est donc moindre et ainsi la vitesse de l'éclair
pour en figer le mouvement peut aussi être moindre.
Au final rien ne s'oppose à ce que nous nous trouvions en face d'un
phénomène de gouttes statiques et de supercherie photographique. Sans
vouloir accuser personne, moi je n'y étais pas, je n'ai rien vu. Penser
en ce que vous voulez... mais ...
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de groupe de discussion :
Très bien, mais que nous enseignent ces photos ?
Qu'il n'avait pas remarqué que son robinet fuit. Maintenant il veut
savoir quoi faire. ;-)
Oui, mais il fuit à l'horizontale, c'est moins grave, le voisin du
dessous n'aura pas de dégâts à son plafond.
Remarque très pertinente. Je te félicite.
Afin d'être aussi pertinent (mais je pense : "plus pertinent que toi")
je m'interroge sur la vitesse du fluide qui dans ce déplacement
horizontal ne subit plus l'effet de la gravité pour s'accélérer. Sa
vitesse d'écoulement est donc moindre et ainsi la vitesse de l'éclair
pour en figer le mouvement peut aussi être moindre.
Au final rien ne s'oppose à ce que nous nous trouvions en face d'un
phénomène de gouttes statiques et de supercherie photographique. Sans
vouloir accuser personne, moi je n'y étais pas, je n'ai rien vu. Penser
en ce que vous voulez... mais ...
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de groupe de discussion :Très bien, mais que nous enseignent ces photos ?
Qu'il n'avait pas remarqué que son robinet fuit. Maintenant il veut
savoir quoi faire. ;-)Oui, mais il fuit à l'horizontale, c'est moins grave, le voisin du
dessous n'aura pas de dégâts à son plafond.
Remarque très pertinente. Je te félicite.
Afin d'être aussi pertinent (mais je pense : "plus pertinent que toi")
je m'interroge sur la vitesse du fluide qui dans ce déplacement
horizontal ne subit plus l'effet de la gravité pour s'accélérer. Sa
vitesse d'écoulement est donc moindre et ainsi la vitesse de l'éclair
pour en figer le mouvement peut aussi être moindre.
Au final rien ne s'oppose à ce que nous nous trouvions en face d'un
phénomène de gouttes statiques et de supercherie photographique. Sans
vouloir accuser personne, moi je n'y étais pas, je n'ai rien vu. Penser
en ce que vous voulez... mais ...
Évidemment parce qu'il n'y a pas de logique, seulement une série de
faits (mesurés et choisis?) illustrés par un abaque bien illustré page
426 du manuel du D700. En haut l'intensité lumineuse en IL, en bas la
vitesse et en ordonnée l'ouverture; dans tout cela la courbe qui
détermine les choix prévisibles que fera l'apn en mode P.
Pour
s'apercevoir des changements de vitesses, qui parfois varie du 1/60, il
faut changer de luminosité. Cet abaque décrit pourtant bien l'algo de
Nikon mais personne jusqu'ici ne s'est intéressé à cette variable
fondamentale à la question. Les tests de chacun sont restés dans un
univers clos où la luminosité varie peu ou pas.
Quand j'ai fais des tests dans ma petite pièce de travail j'ai visé
parfois un coin sombre, parfois en partie l'écran de mon ordi. La
vitesse est passé de 1/60 à 1/80, ( c'est peu) l'ouverture a aussi
varié, et aussi l'intensité du flash mais je ne saurais dire de combien
(une variable dont on ne connais jamais la valeur)
Pour faire une critique plus pertinente et plus scientifique il faudrait
partir de la reproduction de cet abaque puis montrer les variations
selon des IL différents et mesurés. Je n'ai jamais vu de tels essais et
personnellement je juge inutile de s'y mettre, cet abaque me paraissant
amplement suffisant.
Évidemment parce qu'il n'y a pas de logique, seulement une série de
faits (mesurés et choisis?) illustrés par un abaque bien illustré page
426 du manuel du D700. En haut l'intensité lumineuse en IL, en bas la
vitesse et en ordonnée l'ouverture; dans tout cela la courbe qui
détermine les choix prévisibles que fera l'apn en mode P.
Pour
s'apercevoir des changements de vitesses, qui parfois varie du 1/60, il
faut changer de luminosité. Cet abaque décrit pourtant bien l'algo de
Nikon mais personne jusqu'ici ne s'est intéressé à cette variable
fondamentale à la question. Les tests de chacun sont restés dans un
univers clos où la luminosité varie peu ou pas.
Quand j'ai fais des tests dans ma petite pièce de travail j'ai visé
parfois un coin sombre, parfois en partie l'écran de mon ordi. La
vitesse est passé de 1/60 à 1/80, ( c'est peu) l'ouverture a aussi
varié, et aussi l'intensité du flash mais je ne saurais dire de combien
(une variable dont on ne connais jamais la valeur)
Pour faire une critique plus pertinente et plus scientifique il faudrait
partir de la reproduction de cet abaque puis montrer les variations
selon des IL différents et mesurés. Je n'ai jamais vu de tels essais et
personnellement je juge inutile de s'y mettre, cet abaque me paraissant
amplement suffisant.
Évidemment parce qu'il n'y a pas de logique, seulement une série de
faits (mesurés et choisis?) illustrés par un abaque bien illustré page
426 du manuel du D700. En haut l'intensité lumineuse en IL, en bas la
vitesse et en ordonnée l'ouverture; dans tout cela la courbe qui
détermine les choix prévisibles que fera l'apn en mode P.
Pour
s'apercevoir des changements de vitesses, qui parfois varie du 1/60, il
faut changer de luminosité. Cet abaque décrit pourtant bien l'algo de
Nikon mais personne jusqu'ici ne s'est intéressé à cette variable
fondamentale à la question. Les tests de chacun sont restés dans un
univers clos où la luminosité varie peu ou pas.
Quand j'ai fais des tests dans ma petite pièce de travail j'ai visé
parfois un coin sombre, parfois en partie l'écran de mon ordi. La
vitesse est passé de 1/60 à 1/80, ( c'est peu) l'ouverture a aussi
varié, et aussi l'intensité du flash mais je ne saurais dire de combien
(une variable dont on ne connais jamais la valeur)
Pour faire une critique plus pertinente et plus scientifique il faudrait
partir de la reproduction de cet abaque puis montrer les variations
selon des IL différents et mesurés. Je n'ai jamais vu de tels essais et
personnellement je juge inutile de s'y mettre, cet abaque me paraissant
amplement suffisant.
Important : ce n'est pas le flash qui contrôle, c'est le boitier!
Le boitier "sait" quelle est la lumière ambiante et donc peut décider -
par exemple - d'ouvrir le diaphragme et de diminuer l'intensité du
flash. Comme tu aurais fais manuellement afin d'avoir un arrière plus
éclairé et l'effet du flash atténué.
Il n'y a pas de magie. Il faut seulement remarquer qu'il y a la lumière
existante d'une part et sur laquelle tu ne peux jouer et d'autre part la
source du flash que tu ajoutes. Ta seule possibilité est de balancer les
2 sources, existante et flash. En simplifié tu calcules pour le flash,
distance, GN, ouverture. Puis sachant que l'arrière est sombre tu
augmentes le temps d'exposition prévoyant que cela n'influencera pas
trop les zones "flashées". BL veut dire "balanced lighting" éclairage
balancée, c'est ce que permet de faire automatiquement le i-TTL BL
En somme nous avons 2 appareils qui ne parlent pas le même langage,
comme ton imprimante et ton logiciel de CAD, mais qui collaborent.
Important : ce n'est pas le flash qui contrôle, c'est le boitier!
Le boitier "sait" quelle est la lumière ambiante et donc peut décider -
par exemple - d'ouvrir le diaphragme et de diminuer l'intensité du
flash. Comme tu aurais fais manuellement afin d'avoir un arrière plus
éclairé et l'effet du flash atténué.
Il n'y a pas de magie. Il faut seulement remarquer qu'il y a la lumière
existante d'une part et sur laquelle tu ne peux jouer et d'autre part la
source du flash que tu ajoutes. Ta seule possibilité est de balancer les
2 sources, existante et flash. En simplifié tu calcules pour le flash,
distance, GN, ouverture. Puis sachant que l'arrière est sombre tu
augmentes le temps d'exposition prévoyant que cela n'influencera pas
trop les zones "flashées". BL veut dire "balanced lighting" éclairage
balancée, c'est ce que permet de faire automatiquement le i-TTL BL
En somme nous avons 2 appareils qui ne parlent pas le même langage,
comme ton imprimante et ton logiciel de CAD, mais qui collaborent.
Important : ce n'est pas le flash qui contrôle, c'est le boitier!
Le boitier "sait" quelle est la lumière ambiante et donc peut décider -
par exemple - d'ouvrir le diaphragme et de diminuer l'intensité du
flash. Comme tu aurais fais manuellement afin d'avoir un arrière plus
éclairé et l'effet du flash atténué.
Il n'y a pas de magie. Il faut seulement remarquer qu'il y a la lumière
existante d'une part et sur laquelle tu ne peux jouer et d'autre part la
source du flash que tu ajoutes. Ta seule possibilité est de balancer les
2 sources, existante et flash. En simplifié tu calcules pour le flash,
distance, GN, ouverture. Puis sachant que l'arrière est sombre tu
augmentes le temps d'exposition prévoyant que cela n'influencera pas
trop les zones "flashées". BL veut dire "balanced lighting" éclairage
balancée, c'est ce que permet de faire automatiquement le i-TTL BL
En somme nous avons 2 appareils qui ne parlent pas le même langage,
comme ton imprimante et ton logiciel de CAD, mais qui collaborent.
Et même, dans le cas du flash intégré ou du SB400, le flash est
complètement asservi à l'APN et les résultats, en i-TTL par
construction, sont impeccables (sauf mode spot, on sait pourquoi).
Et même, dans le cas du flash intégré ou du SB400, le flash est
complètement asservi à l'APN et les résultats, en i-TTL par
construction, sont impeccables (sauf mode spot, on sait pourquoi).
Et même, dans le cas du flash intégré ou du SB400, le flash est
complètement asservi à l'APN et les résultats, en i-TTL par
construction, sont impeccables (sauf mode spot, on sait pourquoi).
Explique STP. L'open flash désigne traditionnellement une méthode
consistant justement à ouvrir l'obturateur, à déclencher le flash à la
main une ou plusieurs fois, puis à fermer l'obturateur à la main ou au
terme d'une durée fixée sur l'appareil et non en fonction d'un
éclairement reçu.
Explique STP. L'open flash désigne traditionnellement une méthode
consistant justement à ouvrir l'obturateur, à déclencher le flash à la
main une ou plusieurs fois, puis à fermer l'obturateur à la main ou au
terme d'une durée fixée sur l'appareil et non en fonction d'un
éclairement reçu.
Explique STP. L'open flash désigne traditionnellement une méthode
consistant justement à ouvrir l'obturateur, à déclencher le flash à la
main une ou plusieurs fois, puis à fermer l'obturateur à la main ou au
terme d'une durée fixée sur l'appareil et non en fonction d'un
éclairement reçu.
"YouDontNeedToKnowButItsNoëlle" a écrit dans le message de groupe de
discussion : l5qvpi$jr4$Sur les appareils historiques, la synchro flash était au 1/60 eme (et
j'ai des flashes de studio historiques aussi qui ne sont pas plus
nerveux).
Sur un flash de studio la durée de l'éclairs à plein pouvoir peut être
assez longues.
René
"YouDontNeedToKnowButItsNoëlle" a écrit dans le message de groupe de
discussion : l5qvpi$jr4$1@speranza.aioe.org...
Sur les appareils historiques, la synchro flash était au 1/60 eme (et
j'ai des flashes de studio historiques aussi qui ne sont pas plus
nerveux).
Sur un flash de studio la durée de l'éclairs à plein pouvoir peut être
assez longues.
René
"YouDontNeedToKnowButItsNoëlle" a écrit dans le message de groupe de
discussion : l5qvpi$jr4$Sur les appareils historiques, la synchro flash était au 1/60 eme (et
j'ai des flashes de studio historiques aussi qui ne sont pas plus
nerveux).
Sur un flash de studio la durée de l'éclairs à plein pouvoir peut être
assez longues.
René
Ouais.. sauf qu'il semble que tu étais dans un endroit où tu n'avais pas
vraiment le temps...
https://nikoneurope-fr.custhelp.com/app/answers/detail/a_id/52978/related/1
Cette fiche est intéressante ; dans l'optique d'utilisation conjointe
d'un flash sur l'appareil avec un certain degré de TTL
Il n'y a pas de degré de TTL, c'est ou ce n'est pas TTL.
et d'un autreflashe quelconque qui lui serait en manuel/esclave, posé quelque part
dans le décor, le système de mesure et calcul de lumière à l'avance
par des préflashes ne semble pas utilisable.
Oui et non; certains sujets sont traitables. Le flash manuel étant fixe
et considéré comme une source continue, imaginons le éclairer un fond de
scène.. Le SB 800 sur le boitier ou déporté, le flash du D700 alors
contrôleur. L'éclair du flash manuel étant constant il faudrait alors
baisser la puissance du SB800 par le contrôle approprié sur le boitier
laissant le i-ttl s'occuper du reste. Serait-ce utile dans un tel
contexte prédéfini?
Par contre, je ne vois pas d'où ça sort les différentes options et
icônes mentionnées, je n'en voit trace ni dans les menus du boitier ni
dans les options du flash SB800. (qui n'est pas à moi : je teste ).
Les gros TTL, AA, GN etc se voient sur le flash; les petites icônes
probablement dans le lot des multiples symboles affichables sur les
boitiers.
Ouais.. sauf qu'il semble que tu étais dans un endroit où tu n'avais pas
vraiment le temps...
https://nikoneurope-fr.custhelp.com/app/answers/detail/a_id/52978/related/1
Cette fiche est intéressante ; dans l'optique d'utilisation conjointe
d'un flash sur l'appareil avec un certain degré de TTL
Il n'y a pas de degré de TTL, c'est ou ce n'est pas TTL.
et d'un autre
flashe quelconque qui lui serait en manuel/esclave, posé quelque part
dans le décor, le système de mesure et calcul de lumière à l'avance
par des préflashes ne semble pas utilisable.
Oui et non; certains sujets sont traitables. Le flash manuel étant fixe
et considéré comme une source continue, imaginons le éclairer un fond de
scène.. Le SB 800 sur le boitier ou déporté, le flash du D700 alors
contrôleur. L'éclair du flash manuel étant constant il faudrait alors
baisser la puissance du SB800 par le contrôle approprié sur le boitier
laissant le i-ttl s'occuper du reste. Serait-ce utile dans un tel
contexte prédéfini?
Par contre, je ne vois pas d'où ça sort les différentes options et
icônes mentionnées, je n'en voit trace ni dans les menus du boitier ni
dans les options du flash SB800. (qui n'est pas à moi : je teste ).
Les gros TTL, AA, GN etc se voient sur le flash; les petites icônes
probablement dans le lot des multiples symboles affichables sur les
boitiers.
Ouais.. sauf qu'il semble que tu étais dans un endroit où tu n'avais pas
vraiment le temps...
https://nikoneurope-fr.custhelp.com/app/answers/detail/a_id/52978/related/1
Cette fiche est intéressante ; dans l'optique d'utilisation conjointe
d'un flash sur l'appareil avec un certain degré de TTL
Il n'y a pas de degré de TTL, c'est ou ce n'est pas TTL.
et d'un autreflashe quelconque qui lui serait en manuel/esclave, posé quelque part
dans le décor, le système de mesure et calcul de lumière à l'avance
par des préflashes ne semble pas utilisable.
Oui et non; certains sujets sont traitables. Le flash manuel étant fixe
et considéré comme une source continue, imaginons le éclairer un fond de
scène.. Le SB 800 sur le boitier ou déporté, le flash du D700 alors
contrôleur. L'éclair du flash manuel étant constant il faudrait alors
baisser la puissance du SB800 par le contrôle approprié sur le boitier
laissant le i-ttl s'occuper du reste. Serait-ce utile dans un tel
contexte prédéfini?
Par contre, je ne vois pas d'où ça sort les différentes options et
icônes mentionnées, je n'en voit trace ni dans les menus du boitier ni
dans les options du flash SB800. (qui n'est pas à moi : je teste ).
Les gros TTL, AA, GN etc se voient sur le flash; les petites icônes
probablement dans le lot des multiples symboles affichables sur les
boitiers.
Le 12/11/2013 07:45, René a écrit :Important : ce n'est pas le flash qui contrôle, c'est le boitier!
Le boitier "sait" quelle est la lumière ambiante et donc peut décider -
par exemple - d'ouvrir le diaphragme et de diminuer l'intensité du
flash. Comme tu aurais fais manuellement afin d'avoir un arrière plus
éclairé et l'effet du flash atténué.
Bon à rappeler car dans un autre message, Noëlle semble croire que la
cellule du flash influence la lumière qu'il émet. Ceci n'est pas vrai en
mode i-TTL ou TTL (TTL = through the lens).
Le 12/11/2013 07:45, René a écrit :
Important : ce n'est pas le flash qui contrôle, c'est le boitier!
Le boitier "sait" quelle est la lumière ambiante et donc peut décider -
par exemple - d'ouvrir le diaphragme et de diminuer l'intensité du
flash. Comme tu aurais fais manuellement afin d'avoir un arrière plus
éclairé et l'effet du flash atténué.
Bon à rappeler car dans un autre message, Noëlle semble croire que la
cellule du flash influence la lumière qu'il émet. Ceci n'est pas vrai en
mode i-TTL ou TTL (TTL = through the lens).
Le 12/11/2013 07:45, René a écrit :Important : ce n'est pas le flash qui contrôle, c'est le boitier!
Le boitier "sait" quelle est la lumière ambiante et donc peut décider -
par exemple - d'ouvrir le diaphragme et de diminuer l'intensité du
flash. Comme tu aurais fais manuellement afin d'avoir un arrière plus
éclairé et l'effet du flash atténué.
Bon à rappeler car dans un autre message, Noëlle semble croire que la
cellule du flash influence la lumière qu'il émet. Ceci n'est pas vrai en
mode i-TTL ou TTL (TTL = through the lens).