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De la différence entre bonne lumière et bonne exposition

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YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Voilà, c'est pour GR.
Quand il m'avait demandé de montrer la différence (pour lui : photo
correctement exposée = bonne lumière) je n'avais pas d'exemple sous la
main, car je jette ce qui est moche.
Je revient des Utopiales de Nantes, où j'ai promené un SB800 d'emprunt
sous les néons et autres horreurs.
J'ai à peu près 800 photos à trier, correctement exposées dans
l'ensemble (je sousexpose un peu, c'est plus facile à traiter ensuite :
pas de bouché, pas de brûlé ) et presque toutes moches. Celles qui sont
"acceptables" n'ont pas pour autant ce que j'appellerais une belle lumière.
Ni comme qualité de répartition, ni comme couleur. Pour la couleur, je
vais travailler d'arrache pied...
Of course j'ai balancé vers le plafond (quand il y en avait un
disponible), j'ai tenté différentes proportions entre lumière d'ambiance
et flash, différentes sensibilités.
J'avais prévu le déport, mais je n'ai pas reçu mes accessoires à temps.
D'ailleurs, dans la foule....

Noëlle Adam

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René
"Claudio Bonavolta" a écrit dans le message de groupe de discussion :


Le vendredi 8 novembre 2013 14:16:51 UTC+1, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
a écrit :
<snip>

J'espère que la doc est meilleure que celle du système de flash Nikon,
qui est super-sophistiqué mais hélas, peu et mal documenté.


Noëlle Adam



Hé bé, moi qui croyais la photo au flash simple ... :-)

Tu me crois si je te dis que je n'ai même pas ouvert le mode d'emploi de
mon SB-800 ?



Ah je ne désire pas me placer entre les 2 lanceurs de couteaux! Donc je
profite de toi pour ajouter quelques commentaires.

La première photo de Noëlle a 2 personnes à égale distance de l'objectif,
habillées de blanc, dans un contexte sombre...
La photo est faite au flash et elle est donc sortie comme telle! Ce genre
d'évènement dans des contextes peu favorables sont générateurs de photos
décevantes. Inutile de blâmer sont équipement photo. Cette photo est en
mesure pondérée centrale.

La seconde photo est meilleure mais je remarque que le flash a un ajustement
de -3 IL ce qui a aidé à un meilleur équilibre entre la lumière ambiante et
l'éclair du flash. Cette photo est en mesure spot.

Lorsque l'on monte le SB800 sur le D700 en "full auto" l'écran du flash
indique TTL BL. Cependant en sélectionnant la mesure spot le flash perd le
symbole BL. Comme l'a dit GR l'équilibre ambiance/flash est perdue.
Heureusement pour la seconde photo le -3 IL a permis un rendu semblable à ce
qu'aurait donné la mesure matricielle.

La première photo aurait aussi bénéficié du TTL BL mais les vêtement blancs
seraient resté aussi propres.

Les 3 articles suivants décrivent plus simplement - ou en condensé
suffisant - les différents modes du couple flash/boitier. Lues attentivement
les descriptions me paraissent suffisante pour comprendre les mécanismes de
mesure de la lumière et de l'exposition du système CLS Nikon et ses
avantages sur les autres méthodes moins supposées plus simples. Comme le
montre la seconde photo de Noëlle il est possible de faire la même chose "à
la mitaine". Et même avec flashmètre, posemètre, flash manuel, du temps et
moins de photos. Au temps merveilleux de l'argentique le coût de la
pellicule justifiait de prendre tout le temps nécessaire pour prendre
quelques photos dites réussies... mais pas toujours!

https://nikoneurope-fr.custhelp.com/app/answers/detail/a_id/52978/related/1
https://nikoneurope-fr.custhelp.com/app/answers/detail/a_id/2156
https://nikoneurope-fr.custhelp.com/app/answers/detail/a_id/24166/related/1

René
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YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 08/11/13 21:05, jdanield a écrit :
Le 08/11/2013 16:47, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :

Ben, tu pourrais utiliser ton flash sigma s'il a un mode esclave ou
manuel et un accessoire.
Mais j'ai cru comprendre que c'était un souci de poids.



c'est un souci de poids dans mon usage courant, mais pour un usage
multiflash on fait maintenant des flash *commandés* par le flash du
boitier et pas seulement au déclenchement (pour ca j'ai une cellule).
Mon Sigma est trop vieux pour connaitre ça. bDe toute façon j'ai pas
assez de mains :-)


Yeah. Les flashes Nikon sont commandés, les flashes Metz aussi...mais
avec des protocoles différents. J'ai essayé en vain de commander des
Metz un peu anciens avec le flash de l'appareil (le technicien de Metz
pensait que c'était possible, et a priori je ne vois pas qui serait
mieux renseigné) mais nope. En revanche, ils se causent entre eux.

Mais le flash, c'est mission impossible, sauf au studio, si on veut du
modelé, faire de l'art...



Sans parler d'art je suis partie pour me faire un peu de studio mobile,
en essayant d'utiliser peu de matériel si possible (j'ai déja des
parapluies et des pieds, mais je réfléchis à des solutions encore moins
encombrantes). L'idée de mes tests c'était aussi de sentir si un flash
vachement perfectionné apporte un vrai plus en utilisation par rapport
flash manuel...Je veux bien croire que oui, mais pour le moment, c'est
peu concluant : en gros, Mr Nikon considère que son système de flash
i-ttl CLS est tellement génial qu'il se passe de documentation quand à
ce qui se produit vraiment.
L'utilisateur typique (considéré par lui-même comme utilisateur avancé)
met tout en tout auto, et c'est merveilleux. Sauf qu'en pratique il fait
quand même ses photos en prise de vue manuelle.
Le mode P, qui semble approprié à la situation de reportage, est
bizarrement handicapé par le flash : le décalage par rapport aux valeurs
proposées par le boitier ne s'affiche plus correctement pour l'utilisateur.
D'ailleurs, la programmation de ce mode P (dans le cas sans flash) n'est
pas géniale du point de vue interface utilisateur. On obtient un
décalage d'ouverture par rapport à la valeur optimale proposée par le
boitier, avec un P*, en jouant sur la molette de diaph : ceci à
exposition constante (les vitesses suivent). Logique.
Ce qui l'est moins, c'est que toujours dans ce mode P (sans flash) si on
croit pouvoir faire un décalage de vitesses toujours à expo constante,
(P*) on se gourre, la molette des vitesses est soudain affectée dans ce
seul cas, à la correction d'exposition.
Peu logique.
Et si on met un flash (Nikon, supermachin plein de jus de cerveau) alors
le mode P n'accepte même plus d'afficher un décalage d'ouverture (même
si on sait qu'on a touché la molette parce qu'il indique P*).
Encore moins logique.

Pour ce qui est de la commande par le flash de l'appareil, les IR
permettent de moduler pas mal d'information mais c'est bien dommage que
le choix n'aie pas plutôt été d'utiliser un emetteur/recepteur radio
incorporé au flash. Ça passe mieux les obstacles.
Pour ce qui est de l'autonomie du flash SB800, par contre je suis très
satisfaite. Ça recharge rapidement et ça ne bouffe pas trop les
batteries (des Nimh noires, le meilleur modèle). Ce qui fait que je ne
vais pas m'obstiner sur l'idée de batteries externe.

Je pense que les Metz -quand j'aurais reçu les commandes radio pour les
faire déclencher -devraient avoir aussi une bonne autonomie.

Noëlle Adam
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jdanield
Le 09/11/2013 09:39, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :

moins encombrantes). L'idée de mes tests c'était aussi de sentir si un
flash vachement perfectionné apporte un vrai plus en utilisation par
rapport flash manuel...



ben en tout auto peut-être, en manuel je ne vois pas où peut être la
différence?

Certains flash ont (avaient?) deux tubes éclair, c'est sans doute pas mal

Et si on met un flash (Nikon, supermachin plein de jus de cerveau)
alors le mode P n'accepte même plus d'afficher un décalage d'ouverture
(même si on sait qu'on a touché la molette parce qu'il indique P*).
Encore moins logique.



ben si, il sait mieux que toi ce que tu veux :-))

que le choix n'aie pas plutôt été d'utiliser un emetteur/recepteur
radio incorporé au flash. Ça passe mieux les obstacles.



ca existe. de toute façon (pour mon 90ex) si on utilise le flash en
mode commande, *il ne flashe pas* - mais c'est peut-être faute de
réserves, c'est un tout petit flash

Je pense que les Metz -quand j'aurais reçu les commandes radio pour
les faire déclencher -devraient avoir aussi une bonne autonomie.



tu aime jouer à pile ou face?

jdd
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YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 08/11/13 22:40, Claudio Bonavolta a écrit :

En plein jour, photo normale avec du fill-in, genre portrait à contre-jour,


tu le laisses en mode normal.
Ce n'était pas les situations du moment, mais j'ai laissé en mode normal
la plupart du temps.
Dans ce mode flash et en mode d'expo P/A, il va éviter de descendre en-dessous


du 1/60ème pour éviter les flous de bougé.
Mais alors, pourquoi dans ces modes il m'affiche obstinément 1/6O eme et
justement, j'ai souvent du bougé ? Entre moi qui n'ai pas de VR et les
gens qui s'agitent dans tous les sens...J'ai eu l'impression qu'au lieu
d'une vitesse mini, ce 1/60 ème était devenu une vitesse maxi pour les
modes A, P et V.( La synchro flash, E1, étant en mode FP 1/320 eme)

En mode expo S/M, les D800/D90/D80 acceptent toute vitesse jusqu'à


leur synchro flash maxi, le F5 accepte n'importe quelle vitesse.
En mode S, j'avais toujours ce foutu 1/60 eme (mais une combinaison
d'allumages extinctions du boitier et du flash a remis ça d'aplomb).
Il me semble que le flah SB 800 demarre en mode M (du zoom et autres
paramètres), et se renseigne ensuite auprès de l'appareil.
Le mode M du boitier a fonctionné normalement, c'est à dire comme je
m'attendais. C'est le seul.

En basse lumière, si tu restes en mode normal,


il va se comporter comme en plein jour avec la différence que la faible
lumière ambiante
et la limitation au 1/60ème vont rendre le flash fortement prédominant,
c'est le fameux effet "fromage blanc".
J'ai sous-exposé le flash d'un IL mais ça, ça ne change pas la
répartition et le fromage blanc est moins blanc, mais aussi étalé. Moche
quoi.

En basse lumière, si tu veux mélanger lumière ambiante et flash,


il faut passer en mode "Slow" (synchro 1er rideau)
ou "Rear" (synchro 2ème rideau), dans ce cas, la vitesse d'exposition
n'a plus de limite vers le bas.
Je pensais qu'elle avait celle fixée dans le paramètre e2 ?
C'est un mode que j'utilise très fréquemment et qui permet de garder
l'ambiance
+ une certaine lisibilité du sujet.

J'ai essayé ce mode en studio, avec un effet incertain ;
le flash étant déporté et refléchi. Le bougé était bien là mais le figé
pas évident.
Je pense que dans ce cas, le flash (en ttl) devenait trop faible.

Dans ce cas, il est très facile d'obtenir un effet de bougé


dû à la lumière ambiante et de "geler" une fraction de seconde.
C'est aussi possible en plein jour (le classique sujet mobile,


genre coureur à pied ou bagnole de course)
mais plus limité du fait qu'il est plus difficile
d'obtenir des poses longues en pleine lumière.

A côté de ça, certains boîtiers permettent des modes additionnels,


genre anti-yeux rouges, etc ... dont l'intérêt peut se discuter.

Après, tu peux ajuster la balance lumière ambiante vs flash soit sur le boîtier


s'il le permet (tu le fais en général au même endroit que pour le choix
du mode flash
mais avec l'autre molette) ou directement sur le flash, sur le SB-800,
c'est simplement les touches + et - au dos du flash,
ce qui est très rapide et précis (par 1/3 de diaph).
La correction globale sur le boîtier reste dispo


en sus de la balance pour placer l'histogramme là où tu le souhaites.
Oui, j'ai vu ça ; j'ai aussi trouvé que diminuer le flash de 1 à 2 IL
avait peu d'incidence.

Enfin, tu peux jouer sur la tête et ses divers accessoires (orientation,


complément grand-angle et réflecteur blanc) qui vont jouer sur la
"qualité" de la lumière.
Le réflecteur blanc fait partie du SB800 mais il n'arrête pas de se
glisser dans son logement...Ce flash n'étant pas à moi je ne me suis pas
lancée dans le bricolage. Je suis une adepte convaincue des sources
larges ; pour un flash cobra, je ne sais pas encore quel serait le
meilleur compromis pour élargir la source sans donner un encombrement
inadapté. Le bol à soupe transformé en softbox est trop petit (en angle
relatif) sur une scène moyenne genre personne debout pour avoir une
influence intéressante. Un parapluie est généralement trop grand pour
la maniabilité. Il faudrait une sorte de bonnet à faire tenir sur le
cobra. Un éventail ? Un morceau de cône ? Comment rendre la lumière
moins bêtement symétrique ? J'ai toujours orienté la tête un peu de
biais dans cet espoir.
Orienter la tête et utiliser le plafond ou une autre surface est parfois possible


/souhaitable mais pas toujours.
J'ai cherché cette option, mais les murs étaient noirs ou lambrissés,
les plafonds gris clair avec des petits fluos, noirs, lambrissés, ou
très lointains dans le grand hall. Très peu de blanc.
Une option souvent utilisée par les reporters, genre photo politique,


est d'orienter la tête vers le haut (ou très légèrement inclinée)
et sortir le réflecteur blanc, ça donne un éclairage un peu plus doux.
Il y a aussi divers réflecteurs tiers dont certains,


bricolés, sortent du congélo avec les résultats que l'on sait ... :-)
Oui, celui là est parfaitement adapté à son but, lumière plate et douce.
J'ai chopé une tendance à regarder les objets domestiques sous l'angle
de qu'est-ce que je vais bien pouvoir en faire comme accessoire.
L'assiette en carton est dans le collimateur.

Maintenant pour les modes de mesure lumière, perso,


je préfère rester en matricielle car elle va
utiliser les informations de distance de mise au point
Mes cailloux ne sont même pas D :(.

+ les pré-éclairs dans l’algorithme de calcul de l'exposition.
Quitte à jouer de la correction d'exposition


(globale et/ou balance flash/ambiant) si je ne suis pas satisfait.
Les modes pondérés ou ponctuels demandent un sujet relativement stable


et, dans ce cas, le mode matriciel + correction ne pose pas de problème
non plus,
donc autant rester en matriciel.
Hum, pour moi si il y a un déséquilibre flagrant entre le sujet et le
fond, la matricielle ne va pas éclairer le sujet juste bien et envoyer
les photons en trop dans les coins avec ordre de bien faire. Ou en
contre jour rapatrier les excès au bon endroit.
Je crois bien qu'avec ce flash sur l'appareil c'est la première fois que
j'ai activé le mode pondéré central (depuis l'époque où on avait pas le
choix...). Mais c'est moyen moyen en rapidité praticité, alors j'aime
autant le spot que j'ai utilisé majoritairement.

Perso, le choix des zozos se fait comme pour une image en lumière ambiante


seule si le flash doit être peu visible, voir 1-2 diaphs plus bas
si la proportion de flash peut augmenter.
Si je ne veux que du flash, je passe en mode normal


et je baisse les isos fortement et à moi les fromages blancs ...
Je suis arrivé au compromis 800 isos parce que la lumière ambiante était
faible, je me suis dis que ça économiserait d'autant les batteries et à
800 isos, c'est propre même avant filtrage. Mais pour la lumière
interessante, c'est nope quand même.

Enfin, il y a les divers modes multi-flashes, mais là, on sort du classique cobra monté sur le boîtier.


Mon but c'est avant tout de comprendre les multiples options et ce
qu'elles font, avant de me lancer dans du studio mobile (le plus light
possible), et le moins ruineux. Je viens juste de recevoir les supports
pour poser des cobras sur un stand. J'attends des déclencheurs radio.

Noëlle Adam
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YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Le 09/11/13 10:19, jdanield a écrit :
Le 09/11/2013 09:39, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :

moins encombrantes). L'idée de mes tests c'était aussi de sentir si un
flash vachement perfectionné apporte un vrai plus en utilisation par
rapport flash manuel...



ben en tout auto peut-être, en manuel je ne vois pas où peut être la
différence?


Pour être plus clair, je voulais voir (je n'ai pas de vraie conclusion
pour le moment) si ça vaut le coup d'investir dans du vachement
perfectionné. Si en pratique le mode vraiment utilisable c'est le mode
flash manuel, autant ne pas se ruiner et prendre un manuel à 50 € plutôt
qu'un bien à 400 €.

Certains flash ont (avaient?) deux tubes éclair, c'est sans doute pas mal


Les metz que j'ai ont un petit flash sur le devant en plus de celui sur
la tête.
Sinon certains flashes annulaires sont commandables par moitiés, mais je
ne suis pas concernée par ce type de flash. Je ne connais pas de flashes
cobra avec 2 tubes dans la tête.

Et si on met un flash (Nikon, supermachin plein de jus de cerveau)
alors le mode P n'accepte même plus d'afficher un décalage d'ouverture
(même si on sait qu'on a touché la molette parce qu'il indique P*).
Encore moins logique.



ben si, il sait mieux que toi ce que tu veux :-))


Euh...

que le choix n'aie pas plutôt été d'utiliser un emetteur/recepteur
radio incorporé au flash. Ça passe mieux les obstacles.



ca existe.


Sur certains flashes, oui, à ma connaissance, pas incorporé à un
appareil photo.
de toute façon (pour mon 90ex) si on utilise le flash en mode
commande, *il ne flashe pas* - mais c'est peut-être faute de réserves,
c'est un tout petit flash


C'est pas idiot non plus, si tu commandes des flashes déportés c'est
aussi pour ne pas avoir de lumière frontale.
L'option existe sur le flash interne Nikon (commande IR mais pas
d'éclair visible).
Mon compagnon me fournit en batteries Nimh "spéciales" de couleur noire,
qui contiennent vraiment plus de charge. Pour ton flash qui n'a que 2
piles c'est à mon avis recommandable.

Je pense que les Metz -quand j'aurais reçu les commandes radio pour
les faire déclencher -devraient avoir aussi une bonne autonomie.



tu aime jouer à pile ou face?



Que veut-tu dire par là ?
Pas confiance dans les déclencheurs radio (ceux que j'utilise sont
faiblards, mais cheap et fonctionnent quand même a distance pas trop
grande, genre studio). J'ai commandé les semblables en version pour cobra.
Ou bien pas confiance dans les flashes Metz ?
Ils sont neufs, fonctionnent, mais je n'ose pas les coller sur la griffe
de l'appareil numérique pour déclencher car la tension sur le contact
n'est pas documentée (et on voit toute sorte d'avis contradictoires sur
le sujet).

Noëlle Adam
Avatar
jdanield
Le 09/11/2013 17:09, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 09/11/13 10:19, jdanield a écrit :

Certains flash ont (avaient?) deux tubes éclair, c'est sans doute
pas mal


Les metz que j'ai ont un petit flash sur le devant en plus de celui
sur la tête.



c'est ça, ca permet de varier la lumière

ben si, il sait mieux que toi ce que tu veux :-))


Euh...



forcément, vu les dizaines d'ingénieurs qui y ont mis toute leur âme...

Mon compagnon me fournit en batteries Nimh "spéciales" de couleur
noire, qui contiennent vraiment plus de charge. Pour ton flash qui n'a
que 2 piles c'est à mon avis recommandable.



non, pour un usage occasionnel, rien de mieux que les piles


Je pense que les Metz -quand j'aurais reçu les commandes radio pour
les faire déclencher -devraient avoir aussi une bonne autonomie.



tu aime jouer à pile ou face?



Que veut-tu dire par là ?



tu dis que le Nikon ne consomme pas et tu en déduis que le Metz ne
consommera pas non plus, j'appelle ca tirer à pile ou face... on peut
déjà rien garantir entre deux modèles de la même marque, alors entre
deux marques...

Ou bien pas confiance dans les flashes Metz ?
Ils sont neufs, fonctionnent, mais je n'ose pas les coller sur la
griffe de l'appareil numérique pour déclencher car la tension sur le
contact n'est pas documentée (et on voit toute sorte d'avis
contradictoires sur le sujet).



de cobra?? Jamais entendu dire qu'il y en ai en haute tension. Ca doit
se mesurer, non?

jdd
Avatar
Ghost-Rider
Le 09/11/2013 09:39, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 08/11/13 21:05, jdanield a écrit :

Yeah. Les flashes Nikon sont commandés, les flashes Metz aussi...mais
avec des protocoles différents. J'ai essayé en vain de commander des
Metz un peu anciens avec le flash de l'appareil (le technicien de Metz
pensait que c'était possible, et a priori je ne vois pas qui serait
mieux renseigné) mais nope. En revanche, ils se causent entre eux.



Toujours le même problème : compatibilité mécanique mais pas toujours
électronique, certaines fonctions inaccessibles.

Sans parler d'art je suis partie pour me faire un peu de studio mobile,
en essayant d'utiliser peu de matériel si possible (j'ai déja des
parapluies et des pieds, mais je réfléchis à des solutions encore moins
encombrantes). L'idée de mes tests c'était aussi de sentir si un flash
vachement perfectionné apporte un vrai plus en utilisation par rapport
flash manuel...Je veux bien croire que oui, mais pour le moment, c'est
peu concluant : en gros, Mr Nikon considère que son système de flash
i-ttl CLS est tellement génial qu'il se passe de documentation quand à
ce qui se produit vraiment.



Pas vraiment, non, c'est pour ça que j'ai le SB400 sans aucun réglage,
mais si on se remémore le site dont tu avais donné le lien, on voit que
pour faire de l'art, il faut être en manuel, comme pour mes mouches et
mes araignées.

L'utilisateur typique (considéré par lui-même comme utilisateur avancé)
met tout en tout auto, et c'est merveilleux. Sauf qu'en pratique il fait
quand même ses photos en prise de vue manuelle.



Sauf les isos en auto contrôlé, c'est donc de l'auto.

Le mode P, qui semble approprié à la situation de reportage, est
bizarrement handicapé par le flash : le décalage par rapport aux valeurs
proposées par le boitier ne s'affiche plus correctement pour l'utilisateur.
D'ailleurs, la programmation de ce mode P (dans le cas sans flash) n'est
pas géniale du point de vue interface utilisateur. On obtient un
décalage d'ouverture par rapport à la valeur optimale proposée par le
boitier, avec un P*, en jouant sur la molette de diaph : ceci à
exposition constante (les vitesses suivent). Logique.
Ce qui l'est moins, c'est que toujours dans ce mode P (sans flash) si on
croit pouvoir faire un décalage de vitesses toujours à expo constante,
(P*) on se gourre, la molette des vitesses est soudain affectée dans ce
seul cas, à la correction d'exposition.
Peu logique.



Faudra que je vois ça. Le jeu des deux molettes est en effet ambigu,
elles changent de paramètres, je crois l'avoir remarqué.

Et si on met un flash (Nikon, supermachin plein de jus de cerveau) alors
le mode P n'accepte même plus d'afficher un décalage d'ouverture (même
si on sait qu'on a touché la molette parce qu'il indique P*).
Encore moins logique.



Heu... en mode P, *auto*, tu ne devrais pouvoir agir que sur la
puissance du flash et sur la correction d'exposition, mais je n'ai pas
essayé, je verrai aussi.
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Ghost-Rider
Le 09/11/2013 10:19, jdanield a écrit :
Le 09/11/2013 09:39, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :

moins encombrantes). L'idée de mes tests c'était aussi de sentir si un
flash vachement perfectionné apporte un vrai plus en utilisation par
rapport flash manuel...



ben en tout auto peut-être, en manuel je ne vois pas où peut être la
différence?

Certains flash ont (avaient?) deux tubes éclair, c'est sans doute pas mal



J'en ai un, les essais ne sont guère concluant. Je remarque qu'aucun
modèle actuel (ou presqu, je ne sais pas) n'offre deux tubes éclair.

Et si on met un flash (Nikon, supermachin plein de jus de cerveau)
alors le mode P n'accepte même plus d'afficher un décalage d'ouverture
(même si on sait qu'on a touché la molette parce qu'il indique P*).
Encore moins logique.



ben si, il sait mieux que toi ce que tu veux :-))



Je viens de vérifier ce que je viens de répondre à Noëlle.
En mode P avec flash, on peut tourner la molette pour avoir le P*
signalant un décalage d'exposition (cad une variation en sens contraire
de la vitesse et du diaphragme), ça n'a pas l'air de changer quoi que ce
soit.
En revanche, comme je l'ai écrit, on a bien la main sur la puissance du
flash et sur la correction d'exposition.
Ça me parait plus logique que de décaler l'expo par la molette pour
passer en P* car ce changement P* concernerait alors le diaphragme ET LA
VITESSE, ce qui est incompatible avec le mode flash, sauf dans les modes
flash évolués comme le portrait de nuit (essais à faire).
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Ghost-Rider
Le 09/11/2013 17:09, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 09/11/13 10:19, jdanield a écrit :

Pour être plus clair, je voulais voir (je n'ai pas de vraie conclusion
pour le moment) si ça vaut le coup d'investir dans du vachement
perfectionné. Si en pratique le mode vraiment utilisable c'est le mode
flash manuel, autant ne pas se ruiner et prendre un manuel à 50 ¤ plutôt
qu'un bien à 400 ¤.



Pour moi, la réponse est incontestablement oui, choisir le manuel par
économie est une mauvaise décision. Le prix, on l'oublie, les
embêtements, on ne les oublie pas, ils sont là, constamment.

Et si on met un flash (Nikon, supermachin plein de jus de cerveau)
alors le mode P n'accepte même plus d'afficher un décalage d'ouverture
(même si on sait qu'on a touché la molette parce qu'il indique P*).
Encore moins logique.



ben si, il sait mieux que toi ce que tu veux :-))


Euh...



J'ai répondu : le mode P* change la vitesse, c'est contradictoire avec
le mode flash de base.
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Ghost-Rider
Le 09/11/2013 17:29, jdanield a écrit :
Le 09/11/2013 17:09, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
Le 09/11/13 10:19, jdanield a écrit :

ben si, il sait mieux que toi ce que tu veux :-))


Euh...



forcément, vu les dizaines d'ingénieurs qui y ont mis toute leur âme...



Et leur intelligence : on ne fait pas varier la vitesse en couple avec
le diaphragme si on est en flash auto sur une exposition auto.