Albert ARIBAUD a couché sur son écran :
dis-nous: tu concours pour le fil le plus long du monde + le post le +
long du monde?????
faut faire le ménage derrière toi, dis donc
(de surcroît, je re-dis ce que je t'ai déjà dit à ce sujet : je t'ai
parlé de la justice, tu me réponds sur la loi : ce n'est pas la même
chose, tu t'en rends compte ?)
surtout à te lire, je m'en rends absolument compte,
belle aburdité que tu as laché là
Possible : elle est alors de toi, puisque c'est ton propos que je
discutais là.
ouhlaaa :-) 'core une attaque ad hominem à mon encontre :-)
le jurisprudence n'a pas pour vocation non plus de dicter ce que la
justice *doit* faire
Il va falloir signaler d'urgence son erreur à Serge Braudo, conseiller
honoraire à la Cour d'appel de Versailles, quii édite le fort utile
Dictionnaire du Droit privé, et qui -- bien entendu -- consacre un
article à la jurisprudence.
<http://www.dictionnaire-juridique.com/definition/jurisprudence.php>
Extraits choisis :
"plus on monte dans la hiérarchie judiciaire, plus les décision qui
sont prises par les tribunaux, ont du poids
"ont du poids" n'est pas synonyme de "dicter" pfffffffffff quelle
mauvaise foi, tes propos ne tiendraient devant aucun juge
sur les juridictions inférieures
qui ont tendance à s'aligner sur les décisions des Cour d'Appel et sur
celles de la Cour de Cassation.
"tendance", le terme est exact, puisque c'est sa raison d'exister, mais
en aucune manière "dicter" , tu es taré toi
"C'est d'ailleurs le rôle de cete dernière, d'uniformiser la
jurisprudence afin d'éviter la disparité des jugements et des arrêts
dans une matière donnée."
exactement ce que j'écrivais: indiquer la direction et le sens vers
lesquels la Loi doit s'interpéter et s'appliquer dans le temps présent
Braudo rappelle ensuite qu'un jugement cassé et renvoyé en appel peut
fort bien encourir une nouvelle décision en cassation, en cahmbres
réunies, décision qui *s'imposera à tous, sans aucun recours*.
c'est le boulot de la cass', quoi d'étonnant? rien de détonnant
Au temps, donc, pour la jurisprudence qui n'aurait pas vocation de
dicter à la justice ce qu'elle doit faire.
une fois de plus tu mélanges cass' et jurisprudence, qui sont liées bien
sûr mais pas de la façon que tu décris avec tes termes Braudo lui , est
correct 100%
bizarre que tu le déformes
elle vient juste à l'appui d'une prise de décision de juge, en
fonction de la LOi et de l"époque, et surtout en cohérence avec les
prédétns jugments afin d'avoir une Justice et non 36
Elle vient surtout à l'encontre des décisions qui méconnaîtraient la
loi, une première fois par une suggestion très appuyée, une seconde
fois par décision définitive ; c'est un rien différent, n'est-ce pas ?
c'est occulter par là même que la LOi ne doit pas être interprétée de la
même façon au 19eme siècle et au 21eme siècle: exemple: nul ne fera un
procés pour travestissment sexuel à une femme en pantalon, pourtant la
loi l'interdit encore
Mais la jurisprudence est > faillible, c'est pour cela qu'elle est en
perpétuelle évolution
Elle *peut* varier, mais elle n'est pas en perpétuelle évolution, non.
si elle *peut* varier à tout moment, c'est donc qu'elle est en
perpétuelle évolution ,
en même temps que base de stabilité de la société
les juges sont très fiers de cela, qu'une place soit laissée à leur
interprétation
on a vu ça récemment avec l'apparition des peines plancher (pas
flottant) qui ont fait bcp de peine aux juges et à leur "indépendance"
lol
La
source essentielle de variation de jurisprudence est la Cour de
Cassation, et si l'on regarde les avis et arrêts qu'elle émet, pour
beaucoup on constate qu'elle se borne à retoquer des Cours d'appel qui
ont mal appliqué des textes existants et non des Cour qui auraient mal
suivi des jurisprudences.
les cours de 1ere instance qui ignorent ou m"sestiment la/les
jurisprudences existantes, se retouvent cassées par la cass', sauf si
elles apportent ou affirment une tendance justifiée d'interpétation de
al LOi en fonction de l'époque dans des cas typiques, ou simplement dans
des cas spécifiques qui nécessitent de lever des exceptions qu feront
jurisprudence
Par contre citer une jurisprudence contraire à celle que cite la
partie adverse permet souvent de débouter la partie adverse
Juste pour le détail, je fais remarquer que contrairement au case law
américain, où les écrits du juge et des avocats des parties sont
truffés de références explicites à des affaires antérieures, souvent
sur un point de détail de droit alors que les affaires en soi n'ont
rien à voir, en revanche dans le droit français les dispositifs de
jugements font références aux textes de loi et non aux jurisprudences
en tant que telles.
en 1ere instance, tu t'appuies sur 1 , 2 ou 3 jurispreudences qui
démolissent la plainte,
la cour demande délais si elle nécéssite
d'étudier les précédents cités, ( déjà tu la mets en difficulté) ensuite
la cour ne peut aller CONTRE uen jurisprudence ou plusieurs précédents
le plaignant est soit débouté, ou alors la cour se déclare incompétente
et renvoie les 2 parties dos à dos
si la cour est "bourrin", elle persite et se fera casser plus tard
Ceci posé, voyons ce qui se passe quand les parties évoquent des points
de droits sur lesquels existent des jurisprudences opposées.
Si l'affaire
ne va pas en cassation, elle devient définitive mais ne s'impose pas au
juge, seules les décisions plénières de CC ayant ce pouvoir ; si elle
va en cassation, alors l'interprétation du point litigieux par la CC
s'impose, soit immédiatement, soit par passage en chambres réunies.
Quant aux jurisprudences contradictoires issues toutes deux d'une
cassation, la plus récente s'imposera à la plus ancienne,
sauf si le cas présent présent plus de ressemblances avec l'ancien cas
faisant jurisprudence qu'avec le dernier :-) là encore c'est jouable ,
et il ya intéret à le jouer!
formant précisément ce
revirement dont nous parlions.
Il n'y a donc pas de possibilité de "citer" des jurisprudences
contraires ; chaque partie émet des conclusions
ahem, ce n'est pas sur les conclusions des parties que la cour va juger,
mais sur leurs éléments de fonds et de forme
qui évoquent les articles
de lois et codes qu'elle considère pertinents en l'espèce,
ou qu'elle doit étudier,
sans oublier également des études scientifiques récentes reconnues
dans ce cas encore le doute doit profiter
la cour nommera un expert, ou se déclarera incompétente, si elle craint
trop de mettre en cause une jurisprudence établie
et le juge,
après avoir entendu ces conclusions, dispose de même, sur les textes de
loi.
mais pas seulement
une fois de plus, tu occultes qq chose d'important: le juge prend ses
décisions sur sa conviction profonde
bref, je viens de passer en revue toutes le s ficelles sur lesquelles il
faut jouer si on veut que justice soit faite et si tu sembles avor une
connaissance académique importante, tu me déçois énormément par toutes
les ommissions ou occultations que tu effectues
et elle aurait bien fait de faire jurisprudence!!!!
Mais ce n'était pas mes termes,
Ah, si : "les autres éditeurs/producteurs peuvent s'accrocher pour le
même type de procés, ou alors la justice ne sera plus la justice", ce
sont tes termes exactement, copiés-collés de ton post, et c'est eux
dont je te demandais, et te redemande ici, quels sens ils peuvent avoir
si ce n'est qu'il y aurait là jurisprudence.
Précisément, ce jugement ne fait pas jurisprudence en ce qu'il ne
s'impose pas aux décisions à venir (1) et c'est pourquoi je conteste le
propos de toi que j'ai de nouveau copié-collé juste ci-dessus et dont
je te demande de nouveau d'en donner le sens exact, car le seul sens
que j'y voie est qu'il y aurait là jurisprudence.
mais c'est toi mon gros qui a parlé de jurisprudence le 1er, pas moi
moi j'ai juste pris bonne note de ton assertion "1ere instance ne fait
pas jurisprudence"
et je te la ressors
mais il ne faut pas oublier la notion de "précédent", qui est bcp plus
souple
donc cette affaire ne
*peut* faire jurisprudence, les suivantes pourront si elles vont à
terme
Pas davantage, non. Seule une décision de Cour de Cassation peut faire
jurisprudence (1).
faut tout t'expliquer toi: elles pourront si elles vont en cass'
mais à
mon avis, le splaignants se dégonfleront avant, augmentant le nombre des
précédents, sans pour autant qu'ils fassent jurisprudence
inciter à la réflexion de la part d'un tiers bien informé ne peut
qu'aider les futurs plaignants éventuels
Ce ne sera une incitation que si cette affaire présage des affaires
futures,
présage? pourquoi pas augures?
... permet de déterminer d'avance les issues des affaires futures.
mais tu l'as dit toi même, le domaine numérique est si mouvant, qu'il
fazut être bien malin pour "déterminer d'avance"
par contre, si je devais défendre, j'invoquerais les jugements usenet
que tu as cités
et toi aussi d'ailleurs , ce fut ton 1er réflexe
i.e. si elle constitue une jurisprudence.
nulle part vu une jurisprudence dans cette histoire
Moi non plus, c'est pourquoi je te demande, encore une fois puisque je
n'ai toujours pas de réponse, en quoi, je cite, "les autres éditeurs/
producteurs peuvent s'accrocher pour le même type de procés, ou alors
la justice ne sera plus la justice", fin de citation.
cf juste au dessus
entre une jurisprudence sur la quelle les juges s'appuient, et un
précédent qui ne créée pas de jurisprudence mais mettra en garde les
prochains il y a plus qu'un fossé
Il n'y a rien entre les deux. Soit un jugement s'impose, soit il ne
s'impose pas.
et le doute qui subisiste?
et le risque d'aller à l'encontre de précédents?
Non. Si cette affaire a une influence sur l'issue des affaires
futures (ce que, je le rappelle, je ne crois pas, du fait qu'elle
n'est "que" un jugement de première instance, fût-il définitif),
c'est une jurisprudence.
par contre le défendeur pourra toujours invoquer ujn précédent, ce qui
suffira à la cour pour se déclarer incompétent pour justeemtn ne pas
créer une jurisprudence à la légère
Sur le coup, je suis maintenant sûr d'en connaître plus en droit que
toi :
ah mais je t'arrete tout de suite, c'est évident, tu t'y connais
infiniment plus que moi,
moi je ne fais que raisonner avec ma tite jugeotte, ma tite expérience,
et ma tite formation déjà lointaine et fugacel'incompétence d'une cour n'est en rien liée à la jurisprudence,
mais aux éléments du litige à elle présenté : domaine du droit, montant
des DI, par exemple.
exact
tu oublies l'incapacité territoriale aussi
mais une cour hésitera à aller à l'inverse de précédents, à moins
qu'elle soit bourrin et peu au fait (donc en rapport avec l'époque)
si le parquet a des instructions formelles de type Hadopi, ça sera
plus dur
Fort heureusement, le parquet n'est pas décisionnaire en justice, et sa
volonté ne s'impose ni aux juges, ni à la loi.
ça c'était surtout "avant" :-))))))))
Et comme le jugement don nous parlons n'est pas une jurisprudence, il
n'étaye pas ton affirmation selon laquelle les plaignants devraient en
être découragés.
ils lisent l'actu eux aussi, et leurs conseils juridiques aussi j'espère
:-)
le nombre de jugements non cassés importe peu,
et n'a pas force de jurisprudence (1). Ce qui compte en jurisprudence,
c'est ce qui est passé par la cassation (idéalement deux fois, mais il
faut vraiment un sérieux problème de droit pour en arriver là).
sur un plan formel , tu as 1 000 fois raison
apparement ceux-ci - Dargaud - a du consulter els précédents
Sur quel fait apparent t'appuies-tu pour affirmer qu'ils ont basé leur
décision sur des précédents ?
ceux que tu as cités, sans aucun doute, y sont pas plus bêtes que toi,
si?
qui ne font pas jurisprudence puisqu'il n'y en a pas, me dis-tu,
Ce qui tue un peu ton hypothèse qu'ils en auraient consultés.
remplace "précédents" par "cas antérieurs" si tu préfères
exact, et rien ne les empeche de revenir à la charge en une forme
différente, mais dans ce cas ça ne sera plus tourné contre free qui
n'est pas éditeur
comme quoi le simple bon sens solidement appuyé par les textes plus qq
précédents, je ne connais pas meilleure recette d'Oncle Jil S pour
gagner au tribunal (un peu comme la cuisine des mousquetaures quoi)
je n'aurais jamais du me laisser entrainer et dériver dans tes propos,
le retour aux faits m'a permis de bloquer toutes tes dérives :-)
en situation réelle, je suis bcp plus rigoureux,
et mon dossier de
défense en 5 exemplaires est béton, répondant à toute attque, et
induisant le bon sens appuyé par les textes et la jusrisprudence ou de s
précédents récents
l'article
[couic une attaque personnelle] : l'article cite bien une *décision
définitive* en 1ere instance du TGI, il y a donc bien relaxe de free,
puis désistement en appel du plaignant". C'est assez clair : tu
n'avais pas lu cet aspect du jugement initial quand tu as posté, tu
le dis toi- même.
bien sûr que si, mais je me sui slaissé entrainer loin de l'article
avec tes argumants biaisés,
Mes arguments ne sont pas venus avant to post racine, or dès ce post,
tu avais déjà dérivé de l'article que tu citais.le retour à la source était nécesssaire;
Oh oui.
très écolo comme démarche, tu devrais en dicuter avec Alf :-))))
si ma 1ere lecture avait été plus fraiche, je ne me serais jamais
laissé entrainer aussi loin
Tu as donc argumenté sans rester fidèle à ta source, fût-ce selon ton
interprétation de celle-ci.
he oh! je suis pas au boulot moi, là !!!!
Je suis déjà assez sympa pour
accepter de me prendre la tête avec toi pour qu'on parvienne à se
comprendre, je trouve que c'est déjà pas mal
la prochaine fois tu iras te faire voir, non mais
j'ai donc rétabli l'article sur son terrain réel
Non. Tu as ressorti ce que tu voulais de cet article pour soutenir ton
opinion
je t'arrête tout de suite: je n'ai aucune opinion encore moins de
conviction
( les convictions n'ont pour seule espérance de vie que
jsuqu'au jour où elels sont battues en brêche) je cultive juste ma
comprenette, enfin, j'essaie mais c'est fatiguant, comme avec toi,
surtout avec toi, par contre ça oblige à se dérouiller les neurones
ankylosés
que tu tiens à ériger en propos -- et je rappelle que le point que
j'attaque ainsi, c'est le sujet de ton post.
ouaip, pas sympa ça d'ailleurs, tu devrais glisser
tu confonds titre et sujet, c'est indigne de toi
pure diffamation
Rappelle-moi la définition juridique de la diffamation, et en quoi elle
serait ici réalisée.
tu as mal quotté volontairement
l'appel ne serait donc pas suspensif?
Oui, et ?
(pas eu de réponse, tiens)
on va pas remettre ça, je t'ai eu à ton propre piège avec cette
remarque,
ce qui fait de facto que l'article est d'actualité
Mais moi j'ai démontré, et tu as reconnu, cf les propos rappelés supra,
en quoi ton titre était trompeur.
pas trompeur
il n'a pas de sens opposé au sens de l'article
il est éventuellement flatteur, tous les journalistes font ça pour
vendre
Donc pendant cette semaine tu as argumenté sans bien connaître ce dont
tu parlais.
jr ctois décidément que tu ne comprends rien à rien et que tu es un
mauvais juriste: tu j'es arrivé à conclure sur rien du touit,
et ta précosisation enla matière n'a pas été suivie par le plaignant
bref t'es nul
tu veux dirte que depuis la 1ere lecture, tu n'es jamais retourné lire
l'article au moins en 2eme lecture?
L'existence et la confirmation d'un jugement de première instance, ça
n'est pas un détail qui peut se rater en première lecture si celle-ci
est attentive.
moi je ne suis qu'un petit scarabée que tu as entriané très loin de ses
plaines, et qui juste avant de se perdre, s'est dit "screugneugneu ou
est-ce qu'il m'entraine celui-là?"
free a gagné, je n'en démordrai pas
Mais toruve des arguments plus sérieux que les précédents stp
Tes propres aveux suffiront-ils ? :)
tu insinues donc que free a perdu?
j'ai juste eu la bétise de me laisser entrriner dans ta dialectique de
merde, visant à me faire lacher peu à peu mes point d'appui
En gros, tu dis que tu aurais pu avoir raison si je n'avais pas
démontré que tu as tort, et j'ai pu le faire parce que tu n'avais pas
fait tes devoirs
...? je crois que tu es en train de perdre un interlocuteur,
définitivement!
parce qu'avec tous les efforts que j'ai déployé, tandis que tu fais
juste de la dialectique, je crois que je me suis fatigué pour rien
et travaillé la question sur laquelle tu as posté.
quand je rentre chez moi, ce n'est pas pour travailler
une 2eme lecture m'a redonné tous mes points d'appui
Je n'en ai pas vraiment l'impression... Elle ne te sert qu'à te
justifier a postérieri de ton titre. Je veux bien te concéder que, si
l'on considère que ton titre a quelques mois de retard, alors tu as
raison par accident.
l'apple étant suspensif, et que le plaignant vient de se déssiter en
appel ,
le titre est tout à fait d'actualité
il y a qq mois, il aurait
fallu parler au conditionnel, c'est obligatoire
Le jugement est devenu définitif, mais ne met Free à l'abri de rien à
l'avenir, puisque ce n'est pas une jurisprudence.
l'avenir le dira
de toute façon la Loi est en train de changer, en pire!
mais une chose jugée ne peut l'etre à nouveau , sans répondre à
certaines conditions obligatoires
t'es qu'un bourrin, franchement, inutile d'insister
Tu disais quoi, déjà, à propos d'essayer argumenter sur les propos des
gens et non leur personne ?
tu as vu le temps que tu me mobilises?
ça t'épate que ma patience bienveillante s'amenuise?
moi pas
en réalité, il y a bien dans l'article: 1 procés
Non, deux. L'un déjà ancien,
mais non définitif donc sans valeur puisque en suspend pendant l'appel
Sans valeur jurisprudentielle, oui. Et donc ?
donc voilà
moi ça m'suffit
Si la news est "un appel abandonné", pourquoi ton titre n'est-il pas
"un appel abandonné",
je fais ce que je veux
quand il n'y a pas eu de nouveau procès, et que celui que tu appelles
au secours de ton argumentation a été déjà gagné il y a plusieurs mois
?
totalement faux, tant que l'appel n'est pas abouti ou désisté
eh bien je t'invite à relire mes posts avec plus d'attention, je en
peux plus rien pour toi
Si, tu peux : il te suffit de les écrire fidèlement aux faits que tu
rapportes.
je t'ai dit: je fais ce que je veux
de plus , je préfère mon sens de la fidélité à la tienne, dont j'ai eu
un excelent aperçu ces derniers temps
Tu confonds le fait, avéré, que je te contredis avec l'hypotèse,
erronée, que je contredirais l'article ou le jugement, hypothèse dont
je ne vois pas d'où tu las sors puisque tu as certainement lu avec
attention ma toute première réponse dans ce fil. :)
******************* voilà extrait:
................
La seule conclusion qu'on peut tirer de cette info, c'est que le
jugement
de première instance devient définitif, ce qui peut lui donner un poids
légèrement supérieur s'il est évoqué dans d'autres affaires,
....................
(perso, je suis d'accord avec l'analyse du jugement de première instance
: un fournisseur Usenet n'est pas éditeur et, partant, ne dépend
pas de la loi de 1881 mais de la LCEN, qui ne lui fait pas obligation de
surveillance, et si le fournisseur est tenu de retirer promptement les
contenus contrevenants une fois notifié dans les formes, rien ne lui
impose ni ne l'autorise à supprimer des contenus non notifiés, ni a
fortiori de supprimer le vecteur de leur transmission.)
********************* voilà les seules choses interssanrtes que tu as
écrites dans ce fil
Pour qui ne voit ajamais que "une seule bonne stratégie", oui. Pour
ceux qui savent percevoir les stratégies possibles, chacune bonne
pour certaines raison, aucune supérieure aux autres, non.
celle qui est prise par le plaignant ne peux être que la meilleure,
au vu des infos qu'il a en main
sinon il aurait choisi "ta" stratégie que "tu" préconisais
Non. C'est une possible, et il ne sait pas, au moment où il la prend,
si c'est effectivement la meilleure, puisque l'issue n'est jamais
garantie.
Depuis quand une issue est-elle garantie en justice?
Précisément, je dis qu'elle ne l'est pas.
donc a contrario comment pourrait-elle l'étre?
Dans quel contecxte?
Prononcer des tautologies c'est:
"En rhétorique, une tautologie est surtout signe de vacuité du sens
et/ou de non pertinence des prémisses explicites ou implicites." en pur
Aribault dans le texte
Cependant, je vois que nous partageaons la même appréciation de cet
artifice rhétorique :
oh? On partage quelque chose toi et moi?
Bon, je reprends mon sérieux car la phrase suivante le mérite, qui
parle des avocats...qui font miroiter à leurs clients des résultats certains
Aucun avocat ne fait miroiter à son client des résultats certains.
C'est même un de ces domaines dans lequel l'obligation de résultat est
explicitement exclue, du fait même du domaine, où pour simplifier une
partie sur deux doit perdre par définition.
ce qui vient à l'encontre de tes affirmations que certains éléments
pourraient induire la victoire certaine
Et tu dis toujours mal, car tu classes toujours les solutions possibles
selon une relation d'ordre qui classerait toujours une solution comme
meilleure ou pire que l'autre, quand chaque solution a des avantages et
des inconvznients, qui empêche un tel classement linéaire simplste.
je suis juste réaliste, dans ce cas
si le client a pris cette décision c'est que la meilleure
libre à toi de tirer des plans sur la comète
donc pas de jurisprudence, mais 4 précédents, ça constitue un début
sérieux de tendance
Non, ça constitue un signe de la façon qu'ont les juges de première
instance d'analyser la loi, rien de plus.
2 précédents
la meilleure est celle qui résulte au final, et certainement pas celle
du début abandonnée ensuite
c'est visible, donc évident
Cf ma remarque sur l'éventail des possibles et l'absence d'échelle de
décision simple.
alors que c'est toi qui utilises le terme "déterminant"
Albert ARIBAUD a couché sur son écran :
dis-nous: tu concours pour le fil le plus long du monde + le post le +
long du monde?????
faut faire le ménage derrière toi, dis donc
(de surcroît, je re-dis ce que je t'ai déjà dit à ce sujet : je t'ai
parlé de la justice, tu me réponds sur la loi : ce n'est pas la même
chose, tu t'en rends compte ?)
surtout à te lire, je m'en rends absolument compte,
belle aburdité que tu as laché là
Possible : elle est alors de toi, puisque c'est ton propos que je
discutais là.
ouhlaaa :-) 'core une attaque ad hominem à mon encontre :-)
le jurisprudence n'a pas pour vocation non plus de dicter ce que la
justice *doit* faire
Il va falloir signaler d'urgence son erreur à Serge Braudo, conseiller
honoraire à la Cour d'appel de Versailles, quii édite le fort utile
Dictionnaire du Droit privé, et qui -- bien entendu -- consacre un
article à la jurisprudence.
<http://www.dictionnaire-juridique.com/definition/jurisprudence.php>
Extraits choisis :
"plus on monte dans la hiérarchie judiciaire, plus les décision qui
sont prises par les tribunaux, ont du poids
"ont du poids" n'est pas synonyme de "dicter" pfffffffffff quelle
mauvaise foi, tes propos ne tiendraient devant aucun juge
sur les juridictions inférieures
qui ont tendance à s'aligner sur les décisions des Cour d'Appel et sur
celles de la Cour de Cassation.
"tendance", le terme est exact, puisque c'est sa raison d'exister, mais
en aucune manière "dicter" , tu es taré toi
"C'est d'ailleurs le rôle de cete dernière, d'uniformiser la
jurisprudence afin d'éviter la disparité des jugements et des arrêts
dans une matière donnée."
exactement ce que j'écrivais: indiquer la direction et le sens vers
lesquels la Loi doit s'interpéter et s'appliquer dans le temps présent
Braudo rappelle ensuite qu'un jugement cassé et renvoyé en appel peut
fort bien encourir une nouvelle décision en cassation, en cahmbres
réunies, décision qui *s'imposera à tous, sans aucun recours*.
c'est le boulot de la cass', quoi d'étonnant? rien de détonnant
Au temps, donc, pour la jurisprudence qui n'aurait pas vocation de
dicter à la justice ce qu'elle doit faire.
une fois de plus tu mélanges cass' et jurisprudence, qui sont liées bien
sûr mais pas de la façon que tu décris avec tes termes Braudo lui , est
correct 100%
bizarre que tu le déformes
elle vient juste à l'appui d'une prise de décision de juge, en
fonction de la LOi et de l"époque, et surtout en cohérence avec les
prédétns jugments afin d'avoir une Justice et non 36
Elle vient surtout à l'encontre des décisions qui méconnaîtraient la
loi, une première fois par une suggestion très appuyée, une seconde
fois par décision définitive ; c'est un rien différent, n'est-ce pas ?
c'est occulter par là même que la LOi ne doit pas être interprétée de la
même façon au 19eme siècle et au 21eme siècle: exemple: nul ne fera un
procés pour travestissment sexuel à une femme en pantalon, pourtant la
loi l'interdit encore
Mais la jurisprudence est > faillible, c'est pour cela qu'elle est en
perpétuelle évolution
Elle *peut* varier, mais elle n'est pas en perpétuelle évolution, non.
si elle *peut* varier à tout moment, c'est donc qu'elle est en
perpétuelle évolution ,
en même temps que base de stabilité de la société
les juges sont très fiers de cela, qu'une place soit laissée à leur
interprétation
on a vu ça récemment avec l'apparition des peines plancher (pas
flottant) qui ont fait bcp de peine aux juges et à leur "indépendance"
lol
La
source essentielle de variation de jurisprudence est la Cour de
Cassation, et si l'on regarde les avis et arrêts qu'elle émet, pour
beaucoup on constate qu'elle se borne à retoquer des Cours d'appel qui
ont mal appliqué des textes existants et non des Cour qui auraient mal
suivi des jurisprudences.
les cours de 1ere instance qui ignorent ou m"sestiment la/les
jurisprudences existantes, se retouvent cassées par la cass', sauf si
elles apportent ou affirment une tendance justifiée d'interpétation de
al LOi en fonction de l'époque dans des cas typiques, ou simplement dans
des cas spécifiques qui nécessitent de lever des exceptions qu feront
jurisprudence
Par contre citer une jurisprudence contraire à celle que cite la
partie adverse permet souvent de débouter la partie adverse
Juste pour le détail, je fais remarquer que contrairement au case law
américain, où les écrits du juge et des avocats des parties sont
truffés de références explicites à des affaires antérieures, souvent
sur un point de détail de droit alors que les affaires en soi n'ont
rien à voir, en revanche dans le droit français les dispositifs de
jugements font références aux textes de loi et non aux jurisprudences
en tant que telles.
en 1ere instance, tu t'appuies sur 1 , 2 ou 3 jurispreudences qui
démolissent la plainte,
la cour demande délais si elle nécéssite
d'étudier les précédents cités, ( déjà tu la mets en difficulté) ensuite
la cour ne peut aller CONTRE uen jurisprudence ou plusieurs précédents
le plaignant est soit débouté, ou alors la cour se déclare incompétente
et renvoie les 2 parties dos à dos
si la cour est "bourrin", elle persite et se fera casser plus tard
Ceci posé, voyons ce qui se passe quand les parties évoquent des points
de droits sur lesquels existent des jurisprudences opposées.
Si l'affaire
ne va pas en cassation, elle devient définitive mais ne s'impose pas au
juge, seules les décisions plénières de CC ayant ce pouvoir ; si elle
va en cassation, alors l'interprétation du point litigieux par la CC
s'impose, soit immédiatement, soit par passage en chambres réunies.
Quant aux jurisprudences contradictoires issues toutes deux d'une
cassation, la plus récente s'imposera à la plus ancienne,
sauf si le cas présent présent plus de ressemblances avec l'ancien cas
faisant jurisprudence qu'avec le dernier :-) là encore c'est jouable ,
et il ya intéret à le jouer!
formant précisément ce
revirement dont nous parlions.
Il n'y a donc pas de possibilité de "citer" des jurisprudences
contraires ; chaque partie émet des conclusions
ahem, ce n'est pas sur les conclusions des parties que la cour va juger,
mais sur leurs éléments de fonds et de forme
qui évoquent les articles
de lois et codes qu'elle considère pertinents en l'espèce,
ou qu'elle doit étudier,
sans oublier également des études scientifiques récentes reconnues
dans ce cas encore le doute doit profiter
la cour nommera un expert, ou se déclarera incompétente, si elle craint
trop de mettre en cause une jurisprudence établie
et le juge,
après avoir entendu ces conclusions, dispose de même, sur les textes de
loi.
mais pas seulement
une fois de plus, tu occultes qq chose d'important: le juge prend ses
décisions sur sa conviction profonde
bref, je viens de passer en revue toutes le s ficelles sur lesquelles il
faut jouer si on veut que justice soit faite et si tu sembles avor une
connaissance académique importante, tu me déçois énormément par toutes
les ommissions ou occultations que tu effectues
et elle aurait bien fait de faire jurisprudence!!!!
Mais ce n'était pas mes termes,
Ah, si : "les autres éditeurs/producteurs peuvent s'accrocher pour le
même type de procés, ou alors la justice ne sera plus la justice", ce
sont tes termes exactement, copiés-collés de ton post, et c'est eux
dont je te demandais, et te redemande ici, quels sens ils peuvent avoir
si ce n'est qu'il y aurait là jurisprudence.
Précisément, ce jugement ne fait pas jurisprudence en ce qu'il ne
s'impose pas aux décisions à venir (1) et c'est pourquoi je conteste le
propos de toi que j'ai de nouveau copié-collé juste ci-dessus et dont
je te demande de nouveau d'en donner le sens exact, car le seul sens
que j'y voie est qu'il y aurait là jurisprudence.
mais c'est toi mon gros qui a parlé de jurisprudence le 1er, pas moi
moi j'ai juste pris bonne note de ton assertion "1ere instance ne fait
pas jurisprudence"
et je te la ressors
mais il ne faut pas oublier la notion de "précédent", qui est bcp plus
souple
donc cette affaire ne
*peut* faire jurisprudence, les suivantes pourront si elles vont à
terme
Pas davantage, non. Seule une décision de Cour de Cassation peut faire
jurisprudence (1).
faut tout t'expliquer toi: elles pourront si elles vont en cass'
mais à
mon avis, le splaignants se dégonfleront avant, augmentant le nombre des
précédents, sans pour autant qu'ils fassent jurisprudence
inciter à la réflexion de la part d'un tiers bien informé ne peut
qu'aider les futurs plaignants éventuels
Ce ne sera une incitation que si cette affaire présage des affaires
futures,
présage? pourquoi pas augures?
... permet de déterminer d'avance les issues des affaires futures.
mais tu l'as dit toi même, le domaine numérique est si mouvant, qu'il
fazut être bien malin pour "déterminer d'avance"
par contre, si je devais défendre, j'invoquerais les jugements usenet
que tu as cités
et toi aussi d'ailleurs , ce fut ton 1er réflexe
i.e. si elle constitue une jurisprudence.
nulle part vu une jurisprudence dans cette histoire
Moi non plus, c'est pourquoi je te demande, encore une fois puisque je
n'ai toujours pas de réponse, en quoi, je cite, "les autres éditeurs/
producteurs peuvent s'accrocher pour le même type de procés, ou alors
la justice ne sera plus la justice", fin de citation.
cf juste au dessus
entre une jurisprudence sur la quelle les juges s'appuient, et un
précédent qui ne créée pas de jurisprudence mais mettra en garde les
prochains il y a plus qu'un fossé
Il n'y a rien entre les deux. Soit un jugement s'impose, soit il ne
s'impose pas.
et le doute qui subisiste?
et le risque d'aller à l'encontre de précédents?
Non. Si cette affaire a une influence sur l'issue des affaires
futures (ce que, je le rappelle, je ne crois pas, du fait qu'elle
n'est "que" un jugement de première instance, fût-il définitif),
c'est une jurisprudence.
par contre le défendeur pourra toujours invoquer ujn précédent, ce qui
suffira à la cour pour se déclarer incompétent pour justeemtn ne pas
créer une jurisprudence à la légère
Sur le coup, je suis maintenant sûr d'en connaître plus en droit que
toi :
ah mais je t'arrete tout de suite, c'est évident, tu t'y connais
infiniment plus que moi,
moi je ne fais que raisonner avec ma tite jugeotte, ma tite expérience,
et ma tite formation déjà lointaine et fugace
l'incompétence d'une cour n'est en rien liée à la jurisprudence,
mais aux éléments du litige à elle présenté : domaine du droit, montant
des DI, par exemple.
exact
tu oublies l'incapacité territoriale aussi
mais une cour hésitera à aller à l'inverse de précédents, à moins
qu'elle soit bourrin et peu au fait (donc en rapport avec l'époque)
si le parquet a des instructions formelles de type Hadopi, ça sera
plus dur
Fort heureusement, le parquet n'est pas décisionnaire en justice, et sa
volonté ne s'impose ni aux juges, ni à la loi.
ça c'était surtout "avant" :-))))))))
Et comme le jugement don nous parlons n'est pas une jurisprudence, il
n'étaye pas ton affirmation selon laquelle les plaignants devraient en
être découragés.
ils lisent l'actu eux aussi, et leurs conseils juridiques aussi j'espère
:-)
le nombre de jugements non cassés importe peu,
et n'a pas force de jurisprudence (1). Ce qui compte en jurisprudence,
c'est ce qui est passé par la cassation (idéalement deux fois, mais il
faut vraiment un sérieux problème de droit pour en arriver là).
sur un plan formel , tu as 1 000 fois raison
apparement ceux-ci - Dargaud - a du consulter els précédents
Sur quel fait apparent t'appuies-tu pour affirmer qu'ils ont basé leur
décision sur des précédents ?
ceux que tu as cités, sans aucun doute, y sont pas plus bêtes que toi,
si?
qui ne font pas jurisprudence puisqu'il n'y en a pas, me dis-tu,
Ce qui tue un peu ton hypothèse qu'ils en auraient consultés.
remplace "précédents" par "cas antérieurs" si tu préfères
exact, et rien ne les empeche de revenir à la charge en une forme
différente, mais dans ce cas ça ne sera plus tourné contre free qui
n'est pas éditeur
comme quoi le simple bon sens solidement appuyé par les textes plus qq
précédents, je ne connais pas meilleure recette d'Oncle Jil S pour
gagner au tribunal (un peu comme la cuisine des mousquetaures quoi)
je n'aurais jamais du me laisser entrainer et dériver dans tes propos,
le retour aux faits m'a permis de bloquer toutes tes dérives :-)
en situation réelle, je suis bcp plus rigoureux,
et mon dossier de
défense en 5 exemplaires est béton, répondant à toute attque, et
induisant le bon sens appuyé par les textes et la jusrisprudence ou de s
précédents récents
l'article
[couic une attaque personnelle] : l'article cite bien une *décision
définitive* en 1ere instance du TGI, il y a donc bien relaxe de free,
puis désistement en appel du plaignant". C'est assez clair : tu
n'avais pas lu cet aspect du jugement initial quand tu as posté, tu
le dis toi- même.
bien sûr que si, mais je me sui slaissé entrainer loin de l'article
avec tes argumants biaisés,
Mes arguments ne sont pas venus avant to post racine, or dès ce post,
tu avais déjà dérivé de l'article que tu citais.
le retour à la source était nécesssaire;
Oh oui.
très écolo comme démarche, tu devrais en dicuter avec Alf :-))))
si ma 1ere lecture avait été plus fraiche, je ne me serais jamais
laissé entrainer aussi loin
Tu as donc argumenté sans rester fidèle à ta source, fût-ce selon ton
interprétation de celle-ci.
he oh! je suis pas au boulot moi, là !!!!
Je suis déjà assez sympa pour
accepter de me prendre la tête avec toi pour qu'on parvienne à se
comprendre, je trouve que c'est déjà pas mal
la prochaine fois tu iras te faire voir, non mais
j'ai donc rétabli l'article sur son terrain réel
Non. Tu as ressorti ce que tu voulais de cet article pour soutenir ton
opinion
je t'arrête tout de suite: je n'ai aucune opinion encore moins de
conviction
( les convictions n'ont pour seule espérance de vie que
jsuqu'au jour où elels sont battues en brêche) je cultive juste ma
comprenette, enfin, j'essaie mais c'est fatiguant, comme avec toi,
surtout avec toi, par contre ça oblige à se dérouiller les neurones
ankylosés
que tu tiens à ériger en propos -- et je rappelle que le point que
j'attaque ainsi, c'est le sujet de ton post.
ouaip, pas sympa ça d'ailleurs, tu devrais glisser
tu confonds titre et sujet, c'est indigne de toi
pure diffamation
Rappelle-moi la définition juridique de la diffamation, et en quoi elle
serait ici réalisée.
tu as mal quotté volontairement
l'appel ne serait donc pas suspensif?
Oui, et ?
(pas eu de réponse, tiens)
on va pas remettre ça, je t'ai eu à ton propre piège avec cette
remarque,
ce qui fait de facto que l'article est d'actualité
Mais moi j'ai démontré, et tu as reconnu, cf les propos rappelés supra,
en quoi ton titre était trompeur.
pas trompeur
il n'a pas de sens opposé au sens de l'article
il est éventuellement flatteur, tous les journalistes font ça pour
vendre
Donc pendant cette semaine tu as argumenté sans bien connaître ce dont
tu parlais.
jr ctois décidément que tu ne comprends rien à rien et que tu es un
mauvais juriste: tu j'es arrivé à conclure sur rien du touit,
et ta précosisation enla matière n'a pas été suivie par le plaignant
bref t'es nul
tu veux dirte que depuis la 1ere lecture, tu n'es jamais retourné lire
l'article au moins en 2eme lecture?
L'existence et la confirmation d'un jugement de première instance, ça
n'est pas un détail qui peut se rater en première lecture si celle-ci
est attentive.
moi je ne suis qu'un petit scarabée que tu as entriané très loin de ses
plaines, et qui juste avant de se perdre, s'est dit "screugneugneu ou
est-ce qu'il m'entraine celui-là?"
free a gagné, je n'en démordrai pas
Mais toruve des arguments plus sérieux que les précédents stp
Tes propres aveux suffiront-ils ? :)
tu insinues donc que free a perdu?
j'ai juste eu la bétise de me laisser entrriner dans ta dialectique de
merde, visant à me faire lacher peu à peu mes point d'appui
En gros, tu dis que tu aurais pu avoir raison si je n'avais pas
démontré que tu as tort, et j'ai pu le faire parce que tu n'avais pas
fait tes devoirs
...? je crois que tu es en train de perdre un interlocuteur,
définitivement!
parce qu'avec tous les efforts que j'ai déployé, tandis que tu fais
juste de la dialectique, je crois que je me suis fatigué pour rien
et travaillé la question sur laquelle tu as posté.
quand je rentre chez moi, ce n'est pas pour travailler
une 2eme lecture m'a redonné tous mes points d'appui
Je n'en ai pas vraiment l'impression... Elle ne te sert qu'à te
justifier a postérieri de ton titre. Je veux bien te concéder que, si
l'on considère que ton titre a quelques mois de retard, alors tu as
raison par accident.
l'apple étant suspensif, et que le plaignant vient de se déssiter en
appel ,
le titre est tout à fait d'actualité
il y a qq mois, il aurait
fallu parler au conditionnel, c'est obligatoire
Le jugement est devenu définitif, mais ne met Free à l'abri de rien à
l'avenir, puisque ce n'est pas une jurisprudence.
l'avenir le dira
de toute façon la Loi est en train de changer, en pire!
mais une chose jugée ne peut l'etre à nouveau , sans répondre à
certaines conditions obligatoires
t'es qu'un bourrin, franchement, inutile d'insister
Tu disais quoi, déjà, à propos d'essayer argumenter sur les propos des
gens et non leur personne ?
tu as vu le temps que tu me mobilises?
ça t'épate que ma patience bienveillante s'amenuise?
moi pas
en réalité, il y a bien dans l'article: 1 procés
Non, deux. L'un déjà ancien,
mais non définitif donc sans valeur puisque en suspend pendant l'appel
Sans valeur jurisprudentielle, oui. Et donc ?
donc voilà
moi ça m'suffit
Si la news est "un appel abandonné", pourquoi ton titre n'est-il pas
"un appel abandonné",
je fais ce que je veux
quand il n'y a pas eu de nouveau procès, et que celui que tu appelles
au secours de ton argumentation a été déjà gagné il y a plusieurs mois
?
totalement faux, tant que l'appel n'est pas abouti ou désisté
eh bien je t'invite à relire mes posts avec plus d'attention, je en
peux plus rien pour toi
Si, tu peux : il te suffit de les écrire fidèlement aux faits que tu
rapportes.
je t'ai dit: je fais ce que je veux
de plus , je préfère mon sens de la fidélité à la tienne, dont j'ai eu
un excelent aperçu ces derniers temps
Tu confonds le fait, avéré, que je te contredis avec l'hypotèse,
erronée, que je contredirais l'article ou le jugement, hypothèse dont
je ne vois pas d'où tu las sors puisque tu as certainement lu avec
attention ma toute première réponse dans ce fil. :)
******************* voilà extrait:
................
La seule conclusion qu'on peut tirer de cette info, c'est que le
jugement
de première instance devient définitif, ce qui peut lui donner un poids
légèrement supérieur s'il est évoqué dans d'autres affaires,
....................
(perso, je suis d'accord avec l'analyse du jugement de première instance
: un fournisseur Usenet n'est pas éditeur et, partant, ne dépend
pas de la loi de 1881 mais de la LCEN, qui ne lui fait pas obligation de
surveillance, et si le fournisseur est tenu de retirer promptement les
contenus contrevenants une fois notifié dans les formes, rien ne lui
impose ni ne l'autorise à supprimer des contenus non notifiés, ni a
fortiori de supprimer le vecteur de leur transmission.)
********************* voilà les seules choses interssanrtes que tu as
écrites dans ce fil
Pour qui ne voit ajamais que "une seule bonne stratégie", oui. Pour
ceux qui savent percevoir les stratégies possibles, chacune bonne
pour certaines raison, aucune supérieure aux autres, non.
celle qui est prise par le plaignant ne peux être que la meilleure,
au vu des infos qu'il a en main
sinon il aurait choisi "ta" stratégie que "tu" préconisais
Non. C'est une possible, et il ne sait pas, au moment où il la prend,
si c'est effectivement la meilleure, puisque l'issue n'est jamais
garantie.
Depuis quand une issue est-elle garantie en justice?
Précisément, je dis qu'elle ne l'est pas.
donc a contrario comment pourrait-elle l'étre?
Dans quel contecxte?
Prononcer des tautologies c'est:
"En rhétorique, une tautologie est surtout signe de vacuité du sens
et/ou de non pertinence des prémisses explicites ou implicites." en pur
Aribault dans le texte
Cependant, je vois que nous partageaons la même appréciation de cet
artifice rhétorique :
oh? On partage quelque chose toi et moi?
Bon, je reprends mon sérieux car la phrase suivante le mérite, qui
parle des avocats...
qui font miroiter à leurs clients des résultats certains
Aucun avocat ne fait miroiter à son client des résultats certains.
C'est même un de ces domaines dans lequel l'obligation de résultat est
explicitement exclue, du fait même du domaine, où pour simplifier une
partie sur deux doit perdre par définition.
ce qui vient à l'encontre de tes affirmations que certains éléments
pourraient induire la victoire certaine
Et tu dis toujours mal, car tu classes toujours les solutions possibles
selon une relation d'ordre qui classerait toujours une solution comme
meilleure ou pire que l'autre, quand chaque solution a des avantages et
des inconvznients, qui empêche un tel classement linéaire simplste.
je suis juste réaliste, dans ce cas
si le client a pris cette décision c'est que la meilleure
libre à toi de tirer des plans sur la comète
donc pas de jurisprudence, mais 4 précédents, ça constitue un début
sérieux de tendance
Non, ça constitue un signe de la façon qu'ont les juges de première
instance d'analyser la loi, rien de plus.
2 précédents
la meilleure est celle qui résulte au final, et certainement pas celle
du début abandonnée ensuite
c'est visible, donc évident
Cf ma remarque sur l'éventail des possibles et l'absence d'échelle de
décision simple.
alors que c'est toi qui utilises le terme "déterminant"
Albert ARIBAUD a couché sur son écran :
dis-nous: tu concours pour le fil le plus long du monde + le post le +
long du monde?????
faut faire le ménage derrière toi, dis donc
(de surcroît, je re-dis ce que je t'ai déjà dit à ce sujet : je t'ai
parlé de la justice, tu me réponds sur la loi : ce n'est pas la même
chose, tu t'en rends compte ?)
surtout à te lire, je m'en rends absolument compte,
belle aburdité que tu as laché là
Possible : elle est alors de toi, puisque c'est ton propos que je
discutais là.
ouhlaaa :-) 'core une attaque ad hominem à mon encontre :-)
le jurisprudence n'a pas pour vocation non plus de dicter ce que la
justice *doit* faire
Il va falloir signaler d'urgence son erreur à Serge Braudo, conseiller
honoraire à la Cour d'appel de Versailles, quii édite le fort utile
Dictionnaire du Droit privé, et qui -- bien entendu -- consacre un
article à la jurisprudence.
<http://www.dictionnaire-juridique.com/definition/jurisprudence.php>
Extraits choisis :
"plus on monte dans la hiérarchie judiciaire, plus les décision qui
sont prises par les tribunaux, ont du poids
"ont du poids" n'est pas synonyme de "dicter" pfffffffffff quelle
mauvaise foi, tes propos ne tiendraient devant aucun juge
sur les juridictions inférieures
qui ont tendance à s'aligner sur les décisions des Cour d'Appel et sur
celles de la Cour de Cassation.
"tendance", le terme est exact, puisque c'est sa raison d'exister, mais
en aucune manière "dicter" , tu es taré toi
"C'est d'ailleurs le rôle de cete dernière, d'uniformiser la
jurisprudence afin d'éviter la disparité des jugements et des arrêts
dans une matière donnée."
exactement ce que j'écrivais: indiquer la direction et le sens vers
lesquels la Loi doit s'interpéter et s'appliquer dans le temps présent
Braudo rappelle ensuite qu'un jugement cassé et renvoyé en appel peut
fort bien encourir une nouvelle décision en cassation, en cahmbres
réunies, décision qui *s'imposera à tous, sans aucun recours*.
c'est le boulot de la cass', quoi d'étonnant? rien de détonnant
Au temps, donc, pour la jurisprudence qui n'aurait pas vocation de
dicter à la justice ce qu'elle doit faire.
une fois de plus tu mélanges cass' et jurisprudence, qui sont liées bien
sûr mais pas de la façon que tu décris avec tes termes Braudo lui , est
correct 100%
bizarre que tu le déformes
elle vient juste à l'appui d'une prise de décision de juge, en
fonction de la LOi et de l"époque, et surtout en cohérence avec les
prédétns jugments afin d'avoir une Justice et non 36
Elle vient surtout à l'encontre des décisions qui méconnaîtraient la
loi, une première fois par une suggestion très appuyée, une seconde
fois par décision définitive ; c'est un rien différent, n'est-ce pas ?
c'est occulter par là même que la LOi ne doit pas être interprétée de la
même façon au 19eme siècle et au 21eme siècle: exemple: nul ne fera un
procés pour travestissment sexuel à une femme en pantalon, pourtant la
loi l'interdit encore
Mais la jurisprudence est > faillible, c'est pour cela qu'elle est en
perpétuelle évolution
Elle *peut* varier, mais elle n'est pas en perpétuelle évolution, non.
si elle *peut* varier à tout moment, c'est donc qu'elle est en
perpétuelle évolution ,
en même temps que base de stabilité de la société
les juges sont très fiers de cela, qu'une place soit laissée à leur
interprétation
on a vu ça récemment avec l'apparition des peines plancher (pas
flottant) qui ont fait bcp de peine aux juges et à leur "indépendance"
lol
La
source essentielle de variation de jurisprudence est la Cour de
Cassation, et si l'on regarde les avis et arrêts qu'elle émet, pour
beaucoup on constate qu'elle se borne à retoquer des Cours d'appel qui
ont mal appliqué des textes existants et non des Cour qui auraient mal
suivi des jurisprudences.
les cours de 1ere instance qui ignorent ou m"sestiment la/les
jurisprudences existantes, se retouvent cassées par la cass', sauf si
elles apportent ou affirment une tendance justifiée d'interpétation de
al LOi en fonction de l'époque dans des cas typiques, ou simplement dans
des cas spécifiques qui nécessitent de lever des exceptions qu feront
jurisprudence
Par contre citer une jurisprudence contraire à celle que cite la
partie adverse permet souvent de débouter la partie adverse
Juste pour le détail, je fais remarquer que contrairement au case law
américain, où les écrits du juge et des avocats des parties sont
truffés de références explicites à des affaires antérieures, souvent
sur un point de détail de droit alors que les affaires en soi n'ont
rien à voir, en revanche dans le droit français les dispositifs de
jugements font références aux textes de loi et non aux jurisprudences
en tant que telles.
en 1ere instance, tu t'appuies sur 1 , 2 ou 3 jurispreudences qui
démolissent la plainte,
la cour demande délais si elle nécéssite
d'étudier les précédents cités, ( déjà tu la mets en difficulté) ensuite
la cour ne peut aller CONTRE uen jurisprudence ou plusieurs précédents
le plaignant est soit débouté, ou alors la cour se déclare incompétente
et renvoie les 2 parties dos à dos
si la cour est "bourrin", elle persite et se fera casser plus tard
Ceci posé, voyons ce qui se passe quand les parties évoquent des points
de droits sur lesquels existent des jurisprudences opposées.
Si l'affaire
ne va pas en cassation, elle devient définitive mais ne s'impose pas au
juge, seules les décisions plénières de CC ayant ce pouvoir ; si elle
va en cassation, alors l'interprétation du point litigieux par la CC
s'impose, soit immédiatement, soit par passage en chambres réunies.
Quant aux jurisprudences contradictoires issues toutes deux d'une
cassation, la plus récente s'imposera à la plus ancienne,
sauf si le cas présent présent plus de ressemblances avec l'ancien cas
faisant jurisprudence qu'avec le dernier :-) là encore c'est jouable ,
et il ya intéret à le jouer!
formant précisément ce
revirement dont nous parlions.
Il n'y a donc pas de possibilité de "citer" des jurisprudences
contraires ; chaque partie émet des conclusions
ahem, ce n'est pas sur les conclusions des parties que la cour va juger,
mais sur leurs éléments de fonds et de forme
qui évoquent les articles
de lois et codes qu'elle considère pertinents en l'espèce,
ou qu'elle doit étudier,
sans oublier également des études scientifiques récentes reconnues
dans ce cas encore le doute doit profiter
la cour nommera un expert, ou se déclarera incompétente, si elle craint
trop de mettre en cause une jurisprudence établie
et le juge,
après avoir entendu ces conclusions, dispose de même, sur les textes de
loi.
mais pas seulement
une fois de plus, tu occultes qq chose d'important: le juge prend ses
décisions sur sa conviction profonde
bref, je viens de passer en revue toutes le s ficelles sur lesquelles il
faut jouer si on veut que justice soit faite et si tu sembles avor une
connaissance académique importante, tu me déçois énormément par toutes
les ommissions ou occultations que tu effectues
et elle aurait bien fait de faire jurisprudence!!!!
Mais ce n'était pas mes termes,
Ah, si : "les autres éditeurs/producteurs peuvent s'accrocher pour le
même type de procés, ou alors la justice ne sera plus la justice", ce
sont tes termes exactement, copiés-collés de ton post, et c'est eux
dont je te demandais, et te redemande ici, quels sens ils peuvent avoir
si ce n'est qu'il y aurait là jurisprudence.
Précisément, ce jugement ne fait pas jurisprudence en ce qu'il ne
s'impose pas aux décisions à venir (1) et c'est pourquoi je conteste le
propos de toi que j'ai de nouveau copié-collé juste ci-dessus et dont
je te demande de nouveau d'en donner le sens exact, car le seul sens
que j'y voie est qu'il y aurait là jurisprudence.
mais c'est toi mon gros qui a parlé de jurisprudence le 1er, pas moi
moi j'ai juste pris bonne note de ton assertion "1ere instance ne fait
pas jurisprudence"
et je te la ressors
mais il ne faut pas oublier la notion de "précédent", qui est bcp plus
souple
donc cette affaire ne
*peut* faire jurisprudence, les suivantes pourront si elles vont à
terme
Pas davantage, non. Seule une décision de Cour de Cassation peut faire
jurisprudence (1).
faut tout t'expliquer toi: elles pourront si elles vont en cass'
mais à
mon avis, le splaignants se dégonfleront avant, augmentant le nombre des
précédents, sans pour autant qu'ils fassent jurisprudence
inciter à la réflexion de la part d'un tiers bien informé ne peut
qu'aider les futurs plaignants éventuels
Ce ne sera une incitation que si cette affaire présage des affaires
futures,
présage? pourquoi pas augures?
... permet de déterminer d'avance les issues des affaires futures.
mais tu l'as dit toi même, le domaine numérique est si mouvant, qu'il
fazut être bien malin pour "déterminer d'avance"
par contre, si je devais défendre, j'invoquerais les jugements usenet
que tu as cités
et toi aussi d'ailleurs , ce fut ton 1er réflexe
i.e. si elle constitue une jurisprudence.
nulle part vu une jurisprudence dans cette histoire
Moi non plus, c'est pourquoi je te demande, encore une fois puisque je
n'ai toujours pas de réponse, en quoi, je cite, "les autres éditeurs/
producteurs peuvent s'accrocher pour le même type de procés, ou alors
la justice ne sera plus la justice", fin de citation.
cf juste au dessus
entre une jurisprudence sur la quelle les juges s'appuient, et un
précédent qui ne créée pas de jurisprudence mais mettra en garde les
prochains il y a plus qu'un fossé
Il n'y a rien entre les deux. Soit un jugement s'impose, soit il ne
s'impose pas.
et le doute qui subisiste?
et le risque d'aller à l'encontre de précédents?
Non. Si cette affaire a une influence sur l'issue des affaires
futures (ce que, je le rappelle, je ne crois pas, du fait qu'elle
n'est "que" un jugement de première instance, fût-il définitif),
c'est une jurisprudence.
par contre le défendeur pourra toujours invoquer ujn précédent, ce qui
suffira à la cour pour se déclarer incompétent pour justeemtn ne pas
créer une jurisprudence à la légère
Sur le coup, je suis maintenant sûr d'en connaître plus en droit que
toi :
ah mais je t'arrete tout de suite, c'est évident, tu t'y connais
infiniment plus que moi,
moi je ne fais que raisonner avec ma tite jugeotte, ma tite expérience,
et ma tite formation déjà lointaine et fugacel'incompétence d'une cour n'est en rien liée à la jurisprudence,
mais aux éléments du litige à elle présenté : domaine du droit, montant
des DI, par exemple.
exact
tu oublies l'incapacité territoriale aussi
mais une cour hésitera à aller à l'inverse de précédents, à moins
qu'elle soit bourrin et peu au fait (donc en rapport avec l'époque)
si le parquet a des instructions formelles de type Hadopi, ça sera
plus dur
Fort heureusement, le parquet n'est pas décisionnaire en justice, et sa
volonté ne s'impose ni aux juges, ni à la loi.
ça c'était surtout "avant" :-))))))))
Et comme le jugement don nous parlons n'est pas une jurisprudence, il
n'étaye pas ton affirmation selon laquelle les plaignants devraient en
être découragés.
ils lisent l'actu eux aussi, et leurs conseils juridiques aussi j'espère
:-)
le nombre de jugements non cassés importe peu,
et n'a pas force de jurisprudence (1). Ce qui compte en jurisprudence,
c'est ce qui est passé par la cassation (idéalement deux fois, mais il
faut vraiment un sérieux problème de droit pour en arriver là).
sur un plan formel , tu as 1 000 fois raison
apparement ceux-ci - Dargaud - a du consulter els précédents
Sur quel fait apparent t'appuies-tu pour affirmer qu'ils ont basé leur
décision sur des précédents ?
ceux que tu as cités, sans aucun doute, y sont pas plus bêtes que toi,
si?
qui ne font pas jurisprudence puisqu'il n'y en a pas, me dis-tu,
Ce qui tue un peu ton hypothèse qu'ils en auraient consultés.
remplace "précédents" par "cas antérieurs" si tu préfères
exact, et rien ne les empeche de revenir à la charge en une forme
différente, mais dans ce cas ça ne sera plus tourné contre free qui
n'est pas éditeur
comme quoi le simple bon sens solidement appuyé par les textes plus qq
précédents, je ne connais pas meilleure recette d'Oncle Jil S pour
gagner au tribunal (un peu comme la cuisine des mousquetaures quoi)
je n'aurais jamais du me laisser entrainer et dériver dans tes propos,
le retour aux faits m'a permis de bloquer toutes tes dérives :-)
en situation réelle, je suis bcp plus rigoureux,
et mon dossier de
défense en 5 exemplaires est béton, répondant à toute attque, et
induisant le bon sens appuyé par les textes et la jusrisprudence ou de s
précédents récents
l'article
[couic une attaque personnelle] : l'article cite bien une *décision
définitive* en 1ere instance du TGI, il y a donc bien relaxe de free,
puis désistement en appel du plaignant". C'est assez clair : tu
n'avais pas lu cet aspect du jugement initial quand tu as posté, tu
le dis toi- même.
bien sûr que si, mais je me sui slaissé entrainer loin de l'article
avec tes argumants biaisés,
Mes arguments ne sont pas venus avant to post racine, or dès ce post,
tu avais déjà dérivé de l'article que tu citais.le retour à la source était nécesssaire;
Oh oui.
très écolo comme démarche, tu devrais en dicuter avec Alf :-))))
si ma 1ere lecture avait été plus fraiche, je ne me serais jamais
laissé entrainer aussi loin
Tu as donc argumenté sans rester fidèle à ta source, fût-ce selon ton
interprétation de celle-ci.
he oh! je suis pas au boulot moi, là !!!!
Je suis déjà assez sympa pour
accepter de me prendre la tête avec toi pour qu'on parvienne à se
comprendre, je trouve que c'est déjà pas mal
la prochaine fois tu iras te faire voir, non mais
j'ai donc rétabli l'article sur son terrain réel
Non. Tu as ressorti ce que tu voulais de cet article pour soutenir ton
opinion
je t'arrête tout de suite: je n'ai aucune opinion encore moins de
conviction
( les convictions n'ont pour seule espérance de vie que
jsuqu'au jour où elels sont battues en brêche) je cultive juste ma
comprenette, enfin, j'essaie mais c'est fatiguant, comme avec toi,
surtout avec toi, par contre ça oblige à se dérouiller les neurones
ankylosés
que tu tiens à ériger en propos -- et je rappelle que le point que
j'attaque ainsi, c'est le sujet de ton post.
ouaip, pas sympa ça d'ailleurs, tu devrais glisser
tu confonds titre et sujet, c'est indigne de toi
pure diffamation
Rappelle-moi la définition juridique de la diffamation, et en quoi elle
serait ici réalisée.
tu as mal quotté volontairement
l'appel ne serait donc pas suspensif?
Oui, et ?
(pas eu de réponse, tiens)
on va pas remettre ça, je t'ai eu à ton propre piège avec cette
remarque,
ce qui fait de facto que l'article est d'actualité
Mais moi j'ai démontré, et tu as reconnu, cf les propos rappelés supra,
en quoi ton titre était trompeur.
pas trompeur
il n'a pas de sens opposé au sens de l'article
il est éventuellement flatteur, tous les journalistes font ça pour
vendre
Donc pendant cette semaine tu as argumenté sans bien connaître ce dont
tu parlais.
jr ctois décidément que tu ne comprends rien à rien et que tu es un
mauvais juriste: tu j'es arrivé à conclure sur rien du touit,
et ta précosisation enla matière n'a pas été suivie par le plaignant
bref t'es nul
tu veux dirte que depuis la 1ere lecture, tu n'es jamais retourné lire
l'article au moins en 2eme lecture?
L'existence et la confirmation d'un jugement de première instance, ça
n'est pas un détail qui peut se rater en première lecture si celle-ci
est attentive.
moi je ne suis qu'un petit scarabée que tu as entriané très loin de ses
plaines, et qui juste avant de se perdre, s'est dit "screugneugneu ou
est-ce qu'il m'entraine celui-là?"
free a gagné, je n'en démordrai pas
Mais toruve des arguments plus sérieux que les précédents stp
Tes propres aveux suffiront-ils ? :)
tu insinues donc que free a perdu?
j'ai juste eu la bétise de me laisser entrriner dans ta dialectique de
merde, visant à me faire lacher peu à peu mes point d'appui
En gros, tu dis que tu aurais pu avoir raison si je n'avais pas
démontré que tu as tort, et j'ai pu le faire parce que tu n'avais pas
fait tes devoirs
...? je crois que tu es en train de perdre un interlocuteur,
définitivement!
parce qu'avec tous les efforts que j'ai déployé, tandis que tu fais
juste de la dialectique, je crois que je me suis fatigué pour rien
et travaillé la question sur laquelle tu as posté.
quand je rentre chez moi, ce n'est pas pour travailler
une 2eme lecture m'a redonné tous mes points d'appui
Je n'en ai pas vraiment l'impression... Elle ne te sert qu'à te
justifier a postérieri de ton titre. Je veux bien te concéder que, si
l'on considère que ton titre a quelques mois de retard, alors tu as
raison par accident.
l'apple étant suspensif, et que le plaignant vient de se déssiter en
appel ,
le titre est tout à fait d'actualité
il y a qq mois, il aurait
fallu parler au conditionnel, c'est obligatoire
Le jugement est devenu définitif, mais ne met Free à l'abri de rien à
l'avenir, puisque ce n'est pas une jurisprudence.
l'avenir le dira
de toute façon la Loi est en train de changer, en pire!
mais une chose jugée ne peut l'etre à nouveau , sans répondre à
certaines conditions obligatoires
t'es qu'un bourrin, franchement, inutile d'insister
Tu disais quoi, déjà, à propos d'essayer argumenter sur les propos des
gens et non leur personne ?
tu as vu le temps que tu me mobilises?
ça t'épate que ma patience bienveillante s'amenuise?
moi pas
en réalité, il y a bien dans l'article: 1 procés
Non, deux. L'un déjà ancien,
mais non définitif donc sans valeur puisque en suspend pendant l'appel
Sans valeur jurisprudentielle, oui. Et donc ?
donc voilà
moi ça m'suffit
Si la news est "un appel abandonné", pourquoi ton titre n'est-il pas
"un appel abandonné",
je fais ce que je veux
quand il n'y a pas eu de nouveau procès, et que celui que tu appelles
au secours de ton argumentation a été déjà gagné il y a plusieurs mois
?
totalement faux, tant que l'appel n'est pas abouti ou désisté
eh bien je t'invite à relire mes posts avec plus d'attention, je en
peux plus rien pour toi
Si, tu peux : il te suffit de les écrire fidèlement aux faits que tu
rapportes.
je t'ai dit: je fais ce que je veux
de plus , je préfère mon sens de la fidélité à la tienne, dont j'ai eu
un excelent aperçu ces derniers temps
Tu confonds le fait, avéré, que je te contredis avec l'hypotèse,
erronée, que je contredirais l'article ou le jugement, hypothèse dont
je ne vois pas d'où tu las sors puisque tu as certainement lu avec
attention ma toute première réponse dans ce fil. :)
******************* voilà extrait:
................
La seule conclusion qu'on peut tirer de cette info, c'est que le
jugement
de première instance devient définitif, ce qui peut lui donner un poids
légèrement supérieur s'il est évoqué dans d'autres affaires,
....................
(perso, je suis d'accord avec l'analyse du jugement de première instance
: un fournisseur Usenet n'est pas éditeur et, partant, ne dépend
pas de la loi de 1881 mais de la LCEN, qui ne lui fait pas obligation de
surveillance, et si le fournisseur est tenu de retirer promptement les
contenus contrevenants une fois notifié dans les formes, rien ne lui
impose ni ne l'autorise à supprimer des contenus non notifiés, ni a
fortiori de supprimer le vecteur de leur transmission.)
********************* voilà les seules choses interssanrtes que tu as
écrites dans ce fil
Pour qui ne voit ajamais que "une seule bonne stratégie", oui. Pour
ceux qui savent percevoir les stratégies possibles, chacune bonne
pour certaines raison, aucune supérieure aux autres, non.
celle qui est prise par le plaignant ne peux être que la meilleure,
au vu des infos qu'il a en main
sinon il aurait choisi "ta" stratégie que "tu" préconisais
Non. C'est une possible, et il ne sait pas, au moment où il la prend,
si c'est effectivement la meilleure, puisque l'issue n'est jamais
garantie.
Depuis quand une issue est-elle garantie en justice?
Précisément, je dis qu'elle ne l'est pas.
donc a contrario comment pourrait-elle l'étre?
Dans quel contecxte?
Prononcer des tautologies c'est:
"En rhétorique, une tautologie est surtout signe de vacuité du sens
et/ou de non pertinence des prémisses explicites ou implicites." en pur
Aribault dans le texte
Cependant, je vois que nous partageaons la même appréciation de cet
artifice rhétorique :
oh? On partage quelque chose toi et moi?
Bon, je reprends mon sérieux car la phrase suivante le mérite, qui
parle des avocats...qui font miroiter à leurs clients des résultats certains
Aucun avocat ne fait miroiter à son client des résultats certains.
C'est même un de ces domaines dans lequel l'obligation de résultat est
explicitement exclue, du fait même du domaine, où pour simplifier une
partie sur deux doit perdre par définition.
ce qui vient à l'encontre de tes affirmations que certains éléments
pourraient induire la victoire certaine
Et tu dis toujours mal, car tu classes toujours les solutions possibles
selon une relation d'ordre qui classerait toujours une solution comme
meilleure ou pire que l'autre, quand chaque solution a des avantages et
des inconvznients, qui empêche un tel classement linéaire simplste.
je suis juste réaliste, dans ce cas
si le client a pris cette décision c'est que la meilleure
libre à toi de tirer des plans sur la comète
donc pas de jurisprudence, mais 4 précédents, ça constitue un début
sérieux de tendance
Non, ça constitue un signe de la façon qu'ont les juges de première
instance d'analyser la loi, rien de plus.
2 précédents
la meilleure est celle qui résulte au final, et certainement pas celle
du début abandonnée ensuite
c'est visible, donc évident
Cf ma remarque sur l'éventail des possibles et l'absence d'échelle de
décision simple.
alors que c'est toi qui utilises le terme "déterminant"
ceic dit, ça ne fait pas de mall de se dérouiller un peu la cervelle,
et reprendre des mécanismes de raisonnements appris dans le supérieur
en cours de droit
Si tu parles de ta propre formation, là ça devient inquiétant. Je ne
sais pas ce qu'on apprend en fac de droit,
où as tu vu celà?
mais à en juger par tes erreurs, ou
on n'enseigne rien, ou tu as tout oublié, ou tu n'es pas passé par une
formation de droit.
tout dépend ce qu'on entend par "formation"
Néanmoins, craignant que nous ne dérivision vers des attaques
personnelles ou des discussions sur les attaques personnelles, je
recentre aussitôt : cite-moi un propos de moi où je *conseille* une
stratégie aux éditeurs.
voici:
Cependant, AMA -- et là je rejoins et développe un point d'argumentation
de Jil S -- si tactiquement, dans cette espèce, les éditeurs avaient un
intérêt à laisser tomber, stratégiquement en revanche, ils en avaient à
poursuivre le plus longtemps possible : ils augmentaient leurs chances
d'épuiser l'adversaire, et en multipliant les jugements de fond
(première instance, deuxième instance, re-deuxième instance après
cassation) ils multipliaient leurs chances de voir naître une décision
en leur faveur. Ce ne serait pas la première fois qu'un jugement est
renversé, surtout dans un domaine mouvant comme le "droit d'auteur
numérique".
Dargaud peut remettre le couvert en changeant
de forme, en en prenant une plus intelligente, par exemple
Impossible, tu l'as dit toi-même, ils n'avaient le choix que d'attaquer
Free et d'options que de poursuivre ou s'arrêter... ou bien est-ce que,
finalement, l'éventail des possibles serait aussi large que j'ai dit,
et celui des critères de choix aussi complexe ?
conclusion tout à fait nébuleuse, qui te ressemble fort bien
ceic dit, ça ne fait pas de mall de se dérouiller un peu la cervelle,
et reprendre des mécanismes de raisonnements appris dans le supérieur
en cours de droit
Si tu parles de ta propre formation, là ça devient inquiétant. Je ne
sais pas ce qu'on apprend en fac de droit,
où as tu vu celà?
mais à en juger par tes erreurs, ou
on n'enseigne rien, ou tu as tout oublié, ou tu n'es pas passé par une
formation de droit.
tout dépend ce qu'on entend par "formation"
Néanmoins, craignant que nous ne dérivision vers des attaques
personnelles ou des discussions sur les attaques personnelles, je
recentre aussitôt : cite-moi un propos de moi où je *conseille* une
stratégie aux éditeurs.
voici:
Cependant, AMA -- et là je rejoins et développe un point d'argumentation
de Jil S -- si tactiquement, dans cette espèce, les éditeurs avaient un
intérêt à laisser tomber, stratégiquement en revanche, ils en avaient à
poursuivre le plus longtemps possible : ils augmentaient leurs chances
d'épuiser l'adversaire, et en multipliant les jugements de fond
(première instance, deuxième instance, re-deuxième instance après
cassation) ils multipliaient leurs chances de voir naître une décision
en leur faveur. Ce ne serait pas la première fois qu'un jugement est
renversé, surtout dans un domaine mouvant comme le "droit d'auteur
numérique".
Dargaud peut remettre le couvert en changeant
de forme, en en prenant une plus intelligente, par exemple
Impossible, tu l'as dit toi-même, ils n'avaient le choix que d'attaquer
Free et d'options que de poursuivre ou s'arrêter... ou bien est-ce que,
finalement, l'éventail des possibles serait aussi large que j'ai dit,
et celui des critères de choix aussi complexe ?
conclusion tout à fait nébuleuse, qui te ressemble fort bien
ceic dit, ça ne fait pas de mall de se dérouiller un peu la cervelle,
et reprendre des mécanismes de raisonnements appris dans le supérieur
en cours de droit
Si tu parles de ta propre formation, là ça devient inquiétant. Je ne
sais pas ce qu'on apprend en fac de droit,
où as tu vu celà?
mais à en juger par tes erreurs, ou
on n'enseigne rien, ou tu as tout oublié, ou tu n'es pas passé par une
formation de droit.
tout dépend ce qu'on entend par "formation"
Néanmoins, craignant que nous ne dérivision vers des attaques
personnelles ou des discussions sur les attaques personnelles, je
recentre aussitôt : cite-moi un propos de moi où je *conseille* une
stratégie aux éditeurs.
voici:
Cependant, AMA -- et là je rejoins et développe un point d'argumentation
de Jil S -- si tactiquement, dans cette espèce, les éditeurs avaient un
intérêt à laisser tomber, stratégiquement en revanche, ils en avaient à
poursuivre le plus longtemps possible : ils augmentaient leurs chances
d'épuiser l'adversaire, et en multipliant les jugements de fond
(première instance, deuxième instance, re-deuxième instance après
cassation) ils multipliaient leurs chances de voir naître une décision
en leur faveur. Ce ne serait pas la première fois qu'un jugement est
renversé, surtout dans un domaine mouvant comme le "droit d'auteur
numérique".
Dargaud peut remettre le couvert en changeant
de forme, en en prenant une plus intelligente, par exemple
Impossible, tu l'as dit toi-même, ils n'avaient le choix que d'attaquer
Free et d'options que de poursuivre ou s'arrêter... ou bien est-ce que,
finalement, l'éventail des possibles serait aussi large que j'ai dit,
et celui des critères de choix aussi complexe ?
conclusion tout à fait nébuleuse, qui te ressemble fort bien
> Votre démonstration est brillante ; je n'aurais pas fait mieux, à défaut
d'avoir fait aussi bien ;)
Bonne après-midi.
> Votre démonstration est brillante ; je n'aurais pas fait mieux, à défaut
d'avoir fait aussi bien ;)
Bonne après-midi.
> Votre démonstration est brillante ; je n'aurais pas fait mieux, à défaut
d'avoir fait aussi bien ;)
Bonne après-midi.
Votre démonstration est brillante ; je n'aurais pas fait mieux, à
défaut d'avoir fait aussi bien ;)
Bonne après-midi.
Brillant effectivement, ceci-dit à la décharge de Jil S, il a été induit
en erreur par un message de février d'un responsable juridique de free à
ce sujet et qui avait parlé de jurisprudence. A l'époque j'avais déjà
été étonné qu'on puisse parler de jurisprudence avec un jugement de 1ère
instance.
Votre démonstration est brillante ; je n'aurais pas fait mieux, à
défaut d'avoir fait aussi bien ;)
Bonne après-midi.
Brillant effectivement, ceci-dit à la décharge de Jil S, il a été induit
en erreur par un message de février d'un responsable juridique de free à
ce sujet et qui avait parlé de jurisprudence. A l'époque j'avais déjà
été étonné qu'on puisse parler de jurisprudence avec un jugement de 1ère
instance.
Votre démonstration est brillante ; je n'aurais pas fait mieux, à
défaut d'avoir fait aussi bien ;)
Bonne après-midi.
Brillant effectivement, ceci-dit à la décharge de Jil S, il a été induit
en erreur par un message de février d'un responsable juridique de free à
ce sujet et qui avait parlé de jurisprudence. A l'époque j'avais déjà
été étonné qu'on puisse parler de jurisprudence avec un jugement de 1ère
instance.
Votre démonstration est brillante ; je n'aurais pas fait mieux, à défaut
d'avoir fait aussi bien ;)
Bonne après-midi.
Brillant effectivement, ceci-dit à la décharge de Jil S, il a été induit en
erreur par un message de février d'un responsable juridique de free à ce
sujet et qui avait parlé de jurisprudence. A l'époque j'avais déjà été étonné
qu'on puisse parler de jurisprudence avec un jugement de 1ère instance.
Votre démonstration est brillante ; je n'aurais pas fait mieux, à défaut
d'avoir fait aussi bien ;)
Bonne après-midi.
Brillant effectivement, ceci-dit à la décharge de Jil S, il a été induit en
erreur par un message de février d'un responsable juridique de free à ce
sujet et qui avait parlé de jurisprudence. A l'époque j'avais déjà été étonné
qu'on puisse parler de jurisprudence avec un jugement de 1ère instance.
Votre démonstration est brillante ; je n'aurais pas fait mieux, à défaut
d'avoir fait aussi bien ;)
Bonne après-midi.
Brillant effectivement, ceci-dit à la décharge de Jil S, il a été induit en
erreur par un message de février d'un responsable juridique de free à ce
sujet et qui avait parlé de jurisprudence. A l'époque j'avais déjà été étonné
qu'on puisse parler de jurisprudence avec un jugement de 1ère instance.
effectivement il vaut mieux parler de précédents, qui sont loin de tous
constituer jurisprudence
effectivement il vaut mieux parler de précédents, qui sont loin de tous
constituer jurisprudence
effectivement il vaut mieux parler de précédents, qui sont loin de tous
constituer jurisprudence
Le Tue, 24 Jun 2008 17:03:07 +0200, Jil S a écrit :effectivement il vaut mieux parler de précédents, qui sont loin de tous
constituer jurisprudence
Et qui n'ont aucun poids.
Le Tue, 24 Jun 2008 17:03:07 +0200, Jil S a écrit :
effectivement il vaut mieux parler de précédents, qui sont loin de tous
constituer jurisprudence
Et qui n'ont aucun poids.
Le Tue, 24 Jun 2008 17:03:07 +0200, Jil S a écrit :effectivement il vaut mieux parler de précédents, qui sont loin de tous
constituer jurisprudence
Et qui n'ont aucun poids.
> Salut Petit Poucet, ça va?
effectivement il vaut mieux parler de précédents, qui sont loin de tous
constituer jurisprudence
> Salut Petit Poucet, ça va?
effectivement il vaut mieux parler de précédents, qui sont loin de tous
constituer jurisprudence
> Salut Petit Poucet, ça va?
effectivement il vaut mieux parler de précédents, qui sont loin de tous
constituer jurisprudence
Albert ARIBAUD a écrit :Le Tue, 24 Jun 2008 17:03:07 +0200, Jil S a écrit :effectivement il vaut mieux parler de précédents, qui sont loin de
tous constituer jurisprudence
Et qui n'ont aucun poids.
sauf s'ils viennent à constituer jurisprudence, par exemple en allant
jusqu'en cass' :-)
Albert ARIBAUD a écrit :
Le Tue, 24 Jun 2008 17:03:07 +0200, Jil S a écrit :
effectivement il vaut mieux parler de précédents, qui sont loin de
tous constituer jurisprudence
Et qui n'ont aucun poids.
sauf s'ils viennent à constituer jurisprudence, par exemple en allant
jusqu'en cass' :-)
Albert ARIBAUD a écrit :Le Tue, 24 Jun 2008 17:03:07 +0200, Jil S a écrit :effectivement il vaut mieux parler de précédents, qui sont loin de
tous constituer jurisprudence
Et qui n'ont aucun poids.
sauf s'ils viennent à constituer jurisprudence, par exemple en allant
jusqu'en cass' :-)