jdd wrote:Si le festival des lanternes vous intéresse, cette page est pour vous:
http://www.dodin.org/wiki/pmwiki.php?n=GPS.FestivalDesLanternes2019
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La quantité de lumière en provenance d'une source change en gros comme
le carré de la distance. Si on s'approche et que cela divise la
par 2 (1,4) , la quantité de lumière sera multipliée par 4 (2).
et la surface sur laquelle elle arrive également, l'éclairement sera
inchangé, ce qui est heureux.
La quantité de lumière en provenance d'une source change en gros comme
le carré de la distance. Si on s'approche et que cela divise la
par 2 (1,4) , la quantité de lumière sera multipliée par 4 (2).
et la surface sur laquelle elle arrive également, l'éclairement sera
inchangé, ce qui est heureux.
La quantité de lumière en provenance d'une source change en gros comme
le carré de la distance. Si on s'approche et que cela divise la
par 2 (1,4) , la quantité de lumière sera multipliée par 4 (2).
et la surface sur laquelle elle arrive également, l'éclairement sera
inchangé, ce qui est heureux.
On Thu, 05 Dec 2019 11:47:01 +0100, Pierre Maurette wrote :La quantité de lumière en provenance d'une source change en gros comme
le carré de la distance. Si on s'approche et que cela divise la distance
par 2 (1,4) , la quantité de lumière sera multipliée par 4 (2).
et la surface sur laquelle elle arrive également, l'éclairement sera donc
inchangé, ce qui est heureux.
La source de lumière est l'objet photographié, ici les lanternes chinoise
illuminées de l'intérieur. La surface est l'ouverture de l'objectif. Si
je divise la distance source-surface par 2, la quantité de lumière est
divisée par 4. Pour faire entrer la même lumière, il faut quadrupler la
surface (ouvrir de deux diaphragmes).
On Thu, 05 Dec 2019 11:47:01 +0100, Pierre Maurette wrote :
La quantité de lumière en provenance d'une source change en gros comme
le carré de la distance. Si on s'approche et que cela divise la distance
par 2 (1,4) , la quantité de lumière sera multipliée par 4 (2).
et la surface sur laquelle elle arrive également, l'éclairement sera donc
inchangé, ce qui est heureux.
La source de lumière est l'objet photographié, ici les lanternes chinoise
illuminées de l'intérieur. La surface est l'ouverture de l'objectif. Si
je divise la distance source-surface par 2, la quantité de lumière est
divisée par 4. Pour faire entrer la même lumière, il faut quadrupler la
surface (ouvrir de deux diaphragmes).
On Thu, 05 Dec 2019 11:47:01 +0100, Pierre Maurette wrote :La quantité de lumière en provenance d'une source change en gros comme
le carré de la distance. Si on s'approche et que cela divise la distance
par 2 (1,4) , la quantité de lumière sera multipliée par 4 (2).
et la surface sur laquelle elle arrive également, l'éclairement sera donc
inchangé, ce qui est heureux.
La source de lumière est l'objet photographié, ici les lanternes chinoise
illuminées de l'intérieur. La surface est l'ouverture de l'objectif. Si
je divise la distance source-surface par 2, la quantité de lumière est
divisée par 4. Pour faire entrer la même lumière, il faut quadrupler la
surface (ouvrir de deux diaphragmes).
Bon, il semblerait que tous les 3 vous avez raison (Albert, Efji et
Pierre M.) ! Mais en quoi Paul A. a-t-il tord ?
Bon, il semblerait que tous les 3 vous avez raison (Albert, Efji et
Pierre M.) ! Mais en quoi Paul A. a-t-il tord ?
Bon, il semblerait que tous les 3 vous avez raison (Albert, Efji et
Pierre M.) ! Mais en quoi Paul A. a-t-il tord ?
Paul Aubrin a écrit :En revanche, pour une source ponctuelle (ou petite) la distance a une
importance (loi de Bouguer) : E = I.cosθ / r²
E : éclairement I : intensité lumineuse de la source θ : angle
d'inclinaison de la source et de la surface éclairée r : distance
source surface éclairée
Ok, mais pourquoi cela ne marche pas en photographie ?
Comme tu as pu le constater dans mon exemple très pragmatique, peu
importe la distance, le coin de ma table (source secondaire)
sur les deux photos présentera les mêmes zones de hautes lumières.
En regardant les bases de la photométrie je n'ai pas compris grand
chose, mais j'ai quand même appréhendé le fait qu'il y a deux domaines
d'étude pour la diffusion de la lumière et qu'il faut faire le distinguo
entre :
La photométrie énergétique (la loi de Bouguer s'y applique donc)
La photométrie visuelle (qui concerne l'oeil et la photographie)
avec leurs unités propres, le Wat et le Lumen.
Cette approche est-elle plus judicieuse ?
Paul Aubrin a écrit :
En revanche, pour une source ponctuelle (ou petite) la distance a une
importance (loi de Bouguer) : E = I.cosθ / r²
E : éclairement I : intensité lumineuse de la source θ : angle
d'inclinaison de la source et de la surface éclairée r : distance
source surface éclairée
Ok, mais pourquoi cela ne marche pas en photographie ?
Comme tu as pu le constater dans mon exemple très pragmatique, peu
importe la distance, le coin de ma table (source secondaire)
sur les deux photos présentera les mêmes zones de hautes lumières.
En regardant les bases de la photométrie je n'ai pas compris grand
chose, mais j'ai quand même appréhendé le fait qu'il y a deux domaines
d'étude pour la diffusion de la lumière et qu'il faut faire le distinguo
entre :
La photométrie énergétique (la loi de Bouguer s'y applique donc)
La photométrie visuelle (qui concerne l'oeil et la photographie)
avec leurs unités propres, le Wat et le Lumen.
Cette approche est-elle plus judicieuse ?
Paul Aubrin a écrit :En revanche, pour une source ponctuelle (ou petite) la distance a une
importance (loi de Bouguer) : E = I.cosθ / r²
E : éclairement I : intensité lumineuse de la source θ : angle
d'inclinaison de la source et de la surface éclairée r : distance
source surface éclairée
Ok, mais pourquoi cela ne marche pas en photographie ?
Comme tu as pu le constater dans mon exemple très pragmatique, peu
importe la distance, le coin de ma table (source secondaire)
sur les deux photos présentera les mêmes zones de hautes lumières.
En regardant les bases de la photométrie je n'ai pas compris grand
chose, mais j'ai quand même appréhendé le fait qu'il y a deux domaines
d'étude pour la diffusion de la lumière et qu'il faut faire le distinguo
entre :
La photométrie énergétique (la loi de Bouguer s'y applique donc)
La photométrie visuelle (qui concerne l'oeil et la photographie)
avec leurs unités propres, le Wat et le Lumen.
Cette approche est-elle plus judicieuse ?
Cela marche forcément puisque c'est une loi d'optique. Le flux lumineux
envoyé par chaque surface élémentaire d'une scène vers l'objectif est
proportionnel à l'angle solide sous lequel il est vu qui diminue comme le
carré de la distance.
Cela marche forcément puisque c'est une loi d'optique. Le flux lumineux
envoyé par chaque surface élémentaire d'une scène vers l'objectif est
proportionnel à l'angle solide sous lequel il est vu qui diminue comme le
carré de la distance.
Cela marche forcément puisque c'est une loi d'optique. Le flux lumineux
envoyé par chaque surface élémentaire d'une scène vers l'objectif est
proportionnel à l'angle solide sous lequel il est vu qui diminue comme le
carré de la distance.
Paul Aubrin a écrit :En revanche, pour une source ponctuelle (ou petite) la distance a une
importance (loi de Bouguer) : E = I.cosθ / r²
E : éclairement
I : intensité lumineuse de la source
θ : angle d'inclinaison de la source et de la surface éclair ée
r : distance source surface éclairée
Ok, mais pourquoi cela ne marche pas en photographie ?
Comme tu as pu le constater dans mon exemple très
pragmatique, peu importe la distance, le coin de ma table (source seconda ire)
sur les deux photos présentera les mêmes zones de hautes lumi ères.
En regardant les bases de la photométrie je n'ai pas compris
grand chose, mais j'ai quand même appréhendé le fait
qu'il y a deux domaines d'étude pour la diffusion de la lumière
et qu'il faut faire le distinguo entre :
La photométrie énergétique (la loi de Bouguer s'y applique donc)
La photométrie visuelle (qui concerne l'oeil et la photographie)
avec leurs unités propres, le Wat et le Lumen.
Cette approche est-elle plus judicieuse ?
Paul Aubrin a écrit :
> En revanche, pour une source ponctuelle (ou petite) la distance a une
> importance (loi de Bouguer) : E = I.cosθ / r²
>
> E : éclairement
> I : intensité lumineuse de la source
> θ : angle d'inclinaison de la source et de la surface éclair ée
> r : distance source surface éclairée
Ok, mais pourquoi cela ne marche pas en photographie ?
Comme tu as pu le constater dans mon exemple très
pragmatique, peu importe la distance, le coin de ma table (source seconda ire)
sur les deux photos présentera les mêmes zones de hautes lumi ères.
En regardant les bases de la photométrie je n'ai pas compris
grand chose, mais j'ai quand même appréhendé le fait
qu'il y a deux domaines d'étude pour la diffusion de la lumière
et qu'il faut faire le distinguo entre :
La photométrie énergétique (la loi de Bouguer s'y applique donc)
La photométrie visuelle (qui concerne l'oeil et la photographie)
avec leurs unités propres, le Wat et le Lumen.
Cette approche est-elle plus judicieuse ?
Paul Aubrin a écrit :En revanche, pour une source ponctuelle (ou petite) la distance a une
importance (loi de Bouguer) : E = I.cosθ / r²
E : éclairement
I : intensité lumineuse de la source
θ : angle d'inclinaison de la source et de la surface éclair ée
r : distance source surface éclairée
Ok, mais pourquoi cela ne marche pas en photographie ?
Comme tu as pu le constater dans mon exemple très
pragmatique, peu importe la distance, le coin de ma table (source seconda ire)
sur les deux photos présentera les mêmes zones de hautes lumi ères.
En regardant les bases de la photométrie je n'ai pas compris
grand chose, mais j'ai quand même appréhendé le fait
qu'il y a deux domaines d'étude pour la diffusion de la lumière
et qu'il faut faire le distinguo entre :
La photométrie énergétique (la loi de Bouguer s'y applique donc)
La photométrie visuelle (qui concerne l'oeil et la photographie)
avec leurs unités propres, le Wat et le Lumen.
Cette approche est-elle plus judicieuse ?
On Fri, 06 Dec 2019 03:43:08 -0800, albert wrote :Paul Aubrin a écrit :En revanche, pour une source ponctuelle (ou petite) la distance a une
importance (loi de Bouguer) : E = I.cosθ / r²
E : éclairement I : intensité lumineuse de la source θ : angle
d'inclinaison de la source et de la surface éclairée r : distance
source surface éclairée
Ok, mais pourquoi cela ne marche pas en photographie ?
Cela marche forcément puisque c'est une loi d'optique. Le flux lumineux
envoyé par chaque surface élémentaire d'une scène vers l'objectif est
proportionnel à l'angle solide sous lequel il est vu qui diminue comme le
carré de la distance.
Mais l'objection de Pierre Maurette est juste : si l'on s'approche d'un
objet lumineux étendu qui recouvre toute la surface de l'image, la
surface photographiée diminue aussi comme le carré de la distance.
J'admets donc volontiers que le critère auquel j'ai pensé ne s'appliquait
pas à la situation en question où la taille des objets lumineux
photographiés occupe à peu près la même surface sur la photographie. Dans
ce cas là, le pré-réglage proposé est légitime.
En revanche dans le cas d'un objet lumineux de surface fixe sur fond
noir, cela serait différent.
Prenons un objectif de focale 28mm ouvrant à f/2,8 son ouverture est
amm soit une surface de 5x5xπx,5mm².
Ω =2 π x (1-cos(θ/2)) = 2π (1-√(1-a²/4d²)) ≈ π.a²/4d²
Avec une ouverture a=0,01m (10mm) et une distance du sujet d=5m on a :
a/2d00 a²/4d²00000
Ω = 3,14.10^⁻6
Avec une distance dm, on a:
a²/4d²@00000
Ω =0,785.10^-6 (le quart de 3,14.10^⁻6).
Chaque point de la scène envoie un flux lumineux divisé par 1/4 si la
scène est à une distance double. La quantité totale de lumière dépend de
la surface lumineuse totale de la scène. Si elle est uniformément
éclairée alors sa plus grande surface compense l'éloignement. Si la scène
est un objet lumineux de surface fixe entourée d'un fond noir, alors la
luminosité reçue diminue comme le carré de la distance.Comme tu as pu le constater dans mon exemple très pragmatique, peu
importe la distance, le coin de ma table (source secondaire)
sur les deux photos présentera les mêmes zones de hautes lumières.
En regardant les bases de la photométrie je n'ai pas compris grand
chose, mais j'ai quand même appréhendé le fait qu'il y a deux domaines
d'étude pour la diffusion de la lumière et qu'il faut faire le distinguo
entre :
La photométrie énergétique (la loi de Bouguer s'y applique donc)
La photométrie visuelle (qui concerne l'oeil et la photographie)
avec leurs unités propres, le Wat et le Lumen.
Les luminances et éclairements visuels sont corrigés pour tenir compte de
la sensibilité de l'œil (la composition en couleurs de la lumière). Les
éclairement énergétiques sont en W/m².
On Fri, 06 Dec 2019 03:43:08 -0800, albert wrote :
Paul Aubrin a écrit :
En revanche, pour une source ponctuelle (ou petite) la distance a une
importance (loi de Bouguer) : E = I.cosθ / r²
E : éclairement I : intensité lumineuse de la source θ : angle
d'inclinaison de la source et de la surface éclairée r : distance
source surface éclairée
Ok, mais pourquoi cela ne marche pas en photographie ?
Cela marche forcément puisque c'est une loi d'optique. Le flux lumineux
envoyé par chaque surface élémentaire d'une scène vers l'objectif est
proportionnel à l'angle solide sous lequel il est vu qui diminue comme le
carré de la distance.
Mais l'objection de Pierre Maurette est juste : si l'on s'approche d'un
objet lumineux étendu qui recouvre toute la surface de l'image, la
surface photographiée diminue aussi comme le carré de la distance.
J'admets donc volontiers que le critère auquel j'ai pensé ne s'appliquait
pas à la situation en question où la taille des objets lumineux
photographiés occupe à peu près la même surface sur la photographie. Dans
ce cas là, le pré-réglage proposé est légitime.
En revanche dans le cas d'un objet lumineux de surface fixe sur fond
noir, cela serait différent.
Prenons un objectif de focale 28mm ouvrant à f/2,8 son ouverture est
amm soit une surface de 5x5xπx,5mm².
Ω =2 π x (1-cos(θ/2)) = 2π (1-√(1-a²/4d²)) ≈ π.a²/4d²
Avec une ouverture a=0,01m (10mm) et une distance du sujet d=5m on a :
a/2d00 a²/4d²00000
Ω = 3,14.10^⁻6
Avec une distance dm, on a:
a²/4d²@00000
Ω =0,785.10^-6 (le quart de 3,14.10^⁻6).
Chaque point de la scène envoie un flux lumineux divisé par 1/4 si la
scène est à une distance double. La quantité totale de lumière dépend de
la surface lumineuse totale de la scène. Si elle est uniformément
éclairée alors sa plus grande surface compense l'éloignement. Si la scène
est un objet lumineux de surface fixe entourée d'un fond noir, alors la
luminosité reçue diminue comme le carré de la distance.
Comme tu as pu le constater dans mon exemple très pragmatique, peu
importe la distance, le coin de ma table (source secondaire)
sur les deux photos présentera les mêmes zones de hautes lumières.
En regardant les bases de la photométrie je n'ai pas compris grand
chose, mais j'ai quand même appréhendé le fait qu'il y a deux domaines
d'étude pour la diffusion de la lumière et qu'il faut faire le distinguo
entre :
La photométrie énergétique (la loi de Bouguer s'y applique donc)
La photométrie visuelle (qui concerne l'oeil et la photographie)
avec leurs unités propres, le Wat et le Lumen.
Les luminances et éclairements visuels sont corrigés pour tenir compte de
la sensibilité de l'œil (la composition en couleurs de la lumière). Les
éclairement énergétiques sont en W/m².
On Fri, 06 Dec 2019 03:43:08 -0800, albert wrote :Paul Aubrin a écrit :En revanche, pour une source ponctuelle (ou petite) la distance a une
importance (loi de Bouguer) : E = I.cosθ / r²
E : éclairement I : intensité lumineuse de la source θ : angle
d'inclinaison de la source et de la surface éclairée r : distance
source surface éclairée
Ok, mais pourquoi cela ne marche pas en photographie ?
Cela marche forcément puisque c'est une loi d'optique. Le flux lumineux
envoyé par chaque surface élémentaire d'une scène vers l'objectif est
proportionnel à l'angle solide sous lequel il est vu qui diminue comme le
carré de la distance.
Mais l'objection de Pierre Maurette est juste : si l'on s'approche d'un
objet lumineux étendu qui recouvre toute la surface de l'image, la
surface photographiée diminue aussi comme le carré de la distance.
J'admets donc volontiers que le critère auquel j'ai pensé ne s'appliquait
pas à la situation en question où la taille des objets lumineux
photographiés occupe à peu près la même surface sur la photographie. Dans
ce cas là, le pré-réglage proposé est légitime.
En revanche dans le cas d'un objet lumineux de surface fixe sur fond
noir, cela serait différent.
Prenons un objectif de focale 28mm ouvrant à f/2,8 son ouverture est
amm soit une surface de 5x5xπx,5mm².
Ω =2 π x (1-cos(θ/2)) = 2π (1-√(1-a²/4d²)) ≈ π.a²/4d²
Avec une ouverture a=0,01m (10mm) et une distance du sujet d=5m on a :
a/2d00 a²/4d²00000
Ω = 3,14.10^⁻6
Avec une distance dm, on a:
a²/4d²@00000
Ω =0,785.10^-6 (le quart de 3,14.10^⁻6).
Chaque point de la scène envoie un flux lumineux divisé par 1/4 si la
scène est à une distance double. La quantité totale de lumière dépend de
la surface lumineuse totale de la scène. Si elle est uniformément
éclairée alors sa plus grande surface compense l'éloignement. Si la scène
est un objet lumineux de surface fixe entourée d'un fond noir, alors la
luminosité reçue diminue comme le carré de la distance.Comme tu as pu le constater dans mon exemple très pragmatique, peu
importe la distance, le coin de ma table (source secondaire)
sur les deux photos présentera les mêmes zones de hautes lumières.
En regardant les bases de la photométrie je n'ai pas compris grand
chose, mais j'ai quand même appréhendé le fait qu'il y a deux domaines
d'étude pour la diffusion de la lumière et qu'il faut faire le distinguo
entre :
La photométrie énergétique (la loi de Bouguer s'y applique donc)
La photométrie visuelle (qui concerne l'oeil et la photographie)
avec leurs unités propres, le Wat et le Lumen.
Les luminances et éclairements visuels sont corrigés pour tenir compte de
la sensibilité de l'œil (la composition en couleurs de la lumière). Les
éclairement énergétiques sont en W/m².
On 06/12/2019 15:28, Paul Aubrin wrote:Cela marche forcément puisque c'est une loi d'optique. Le flux lumineux
envoyé par chaque surface élémentaire d'une scène vers l'objectif est
proportionnel à l'angle solide sous lequel il est vu qui diminue comme le
carré de la distance.
Mais non. C'est incroyable d'être aveuglé (sic) par des notions
scientifiques mal digérées alors que l'expérience quotidienne dit
exactement le contraire : quand on photographie un objet on ne change
pas de diaphragme chaque fois qu'on fait un pas en avant ou un pas en
arrière !
La réponse à ce problème cornélien :
"Le flux lumineux envoyé par chaque surface élémentaire d'une scène vers
l'objectif est proportionnel à l'angle solide sous lequel il est vu qui
diminue comme le carré de la distance."
Ce n'est pas vraiment ça. Considérons une petite surface donnée,
éclairée par une source donnée. Elle réfléchit un certain flux lumineux
donné. Ce flux diminue en effet avec le carré de la distance entre
l'objet et l'observateur, mais - miracle! - l'angle sous lequel
l'observateur voir la surface diminue aussi et la surface occupée par
l'image sur la rétine de l'observateur décroit aussi avec le carré de la
distance. Et donc tout va bien :)
On 06/12/2019 15:28, Paul Aubrin wrote:
> Cela marche forcément puisque c'est une loi d'optique. Le flux lumineux
> envoyé par chaque surface élémentaire d'une scène vers l'objectif est
> proportionnel à l'angle solide sous lequel il est vu qui diminue comme le
> carré de la distance.
Mais non. C'est incroyable d'être aveuglé (sic) par des notions
scientifiques mal digérées alors que l'expérience quotidienne dit
exactement le contraire : quand on photographie un objet on ne change
pas de diaphragme chaque fois qu'on fait un pas en avant ou un pas en
arrière !
La réponse à ce problème cornélien :
"Le flux lumineux envoyé par chaque surface élémentaire d'une scène vers
l'objectif est proportionnel à l'angle solide sous lequel il est vu qui
diminue comme le carré de la distance."
Ce n'est pas vraiment ça. Considérons une petite surface donnée,
éclairée par une source donnée. Elle réfléchit un certain flux lumineux
donné. Ce flux diminue en effet avec le carré de la distance entre
l'objet et l'observateur, mais - miracle! - l'angle sous lequel
l'observateur voir la surface diminue aussi et la surface occupée par
l'image sur la rétine de l'observateur décroit aussi avec le carré de la
distance. Et donc tout va bien :)
On 06/12/2019 15:28, Paul Aubrin wrote:Cela marche forcément puisque c'est une loi d'optique. Le flux lumineux
envoyé par chaque surface élémentaire d'une scène vers l'objectif est
proportionnel à l'angle solide sous lequel il est vu qui diminue comme le
carré de la distance.
Mais non. C'est incroyable d'être aveuglé (sic) par des notions
scientifiques mal digérées alors que l'expérience quotidienne dit
exactement le contraire : quand on photographie un objet on ne change
pas de diaphragme chaque fois qu'on fait un pas en avant ou un pas en
arrière !
La réponse à ce problème cornélien :
"Le flux lumineux envoyé par chaque surface élémentaire d'une scène vers
l'objectif est proportionnel à l'angle solide sous lequel il est vu qui
diminue comme le carré de la distance."
Ce n'est pas vraiment ça. Considérons une petite surface donnée,
éclairée par une source donnée. Elle réfléchit un certain flux lumineux
donné. Ce flux diminue en effet avec le carré de la distance entre
l'objet et l'observateur, mais - miracle! - l'angle sous lequel
l'observateur voir la surface diminue aussi et la surface occupée par
l'image sur la rétine de l'observateur décroit aussi avec le carré de la
distance. Et donc tout va bien :)
La réponse à ce problème cornélien :
"Le flux lumineux envoyé par chaque surface élémentaire d'une scène vers
l'objectif est proportionnel à l'angle solide sous lequel il est vu qui
diminue comme le carré de la distance."
Ce n'est pas vraiment ça.
Considérons une petite surface donnée,
éclairée par une source donnée. Elle réfléchit un certain flux lumineux
donné. Ce flux diminue en effet avec le carré de la distance entre
l'objet et l'observateur, mais - miracle! - l'angle sous lequel
l'observateur voir la surface diminue aussi et la surface occupée par
l'image sur la rétine de l'observateur décroit aussi avec le carré de la
distance. Et donc tout va bien
La réponse à ce problème cornélien :
"Le flux lumineux envoyé par chaque surface élémentaire d'une scène vers
l'objectif est proportionnel à l'angle solide sous lequel il est vu qui
diminue comme le carré de la distance."
Ce n'est pas vraiment ça.
Considérons une petite surface donnée,
éclairée par une source donnée. Elle réfléchit un certain flux lumineux
donné. Ce flux diminue en effet avec le carré de la distance entre
l'objet et l'observateur, mais - miracle! - l'angle sous lequel
l'observateur voir la surface diminue aussi et la surface occupée par
l'image sur la rétine de l'observateur décroit aussi avec le carré de la
distance. Et donc tout va bien
La réponse à ce problème cornélien :
"Le flux lumineux envoyé par chaque surface élémentaire d'une scène vers
l'objectif est proportionnel à l'angle solide sous lequel il est vu qui
diminue comme le carré de la distance."
Ce n'est pas vraiment ça.
Considérons une petite surface donnée,
éclairée par une source donnée. Elle réfléchit un certain flux lumineux
donné. Ce flux diminue en effet avec le carré de la distance entre
l'objet et l'observateur, mais - miracle! - l'angle sous lequel
l'observateur voir la surface diminue aussi et la surface occupée par
l'image sur la rétine de l'observateur décroit aussi avec le carré de la
distance. Et donc tout va bien