Si les logiciels Libres sont reconnus d'utilité Public, pourquoi l'Etat
ne s'engagerait-il pas à payer les développeurs qui codent à plein
temps? Ce serait une bon moyen de booster le développement. De plus ce
financement pourrait venir de nos impôts: au lieu de payer une license
d'un logiciel propriétaire plus de 150¤ il serait mieux de donner cet
argent à l'Etat pour financer le développement. On va me traiter de
gauchiste mais je trouve l'idée interessante.
Le Sun, 15 Aug 2004 15:37:54 +0200 après l'an de grâce, inspiré(e) Anonyme écrivait la plume légère :
Bonjour,
Si les logiciels Libres sont reconnus d'utilité Public, pourquoi l'Etat ne s'engagerait-il pas à payer les développeurs qui codent à plein temps? Ce serait une bon moyen de booster le développement. De plus ce financement pourrait venir de nos impôts: au lieu de payer une license d'un logiciel propriétaire plus de 150_ il serait mieux de donner cet argent à l'Etat pour financer le développement. On va me traiter de gauchiste mais je trouve l'idée interessante. Si le logiciel libre devenait dépendant d'une source de revenus :
- cela attirerait toute une palanquée supplémentaire de développeurs sans talents motivés uniquement par l'argent et le carriérisme ; - si le logiciel libre s'appuyait sur une telle source de financement, son tarissement pourrait remettre en cause son existence (c'est pas très durable).
Si tu veux faire de l'argent avec du LL tu peux ; la licence le permet, et ceux qui réussissent aujourd'hui le font car ce sont des entrepreneurs et non des copains de collectivité qui leur assurent une rente de situation (quoique certains "acteurs" du libre ressemblent un peu à ça aujourd'hui).
Enfin, si l'état redistribuait l'argent, à qui veux tu qui le redistribue et sur quels critères ? Financer le LL servirait probablement à faire du capitalisme de copinage financé par l'état et je ne vois pas en quoi cela profiterait au libre en lui même.
cordialement
Julien
Le Sun, 15 Aug 2004 15:37:54 +0200 après l'an de grâce, inspiré(e)
Anonyme <virgile.besson@free.antispam.fr> écrivait la plume
légère :
Bonjour,
Si les logiciels Libres sont reconnus d'utilité Public, pourquoi
l'Etat ne s'engagerait-il pas à payer les développeurs qui codent à
plein temps? Ce serait une bon moyen de booster le développement. De
plus ce financement pourrait venir de nos impôts: au lieu de payer une
license d'un logiciel propriétaire plus de 150_ il serait mieux de
donner cet argent à l'Etat pour financer le développement. On va me
traiter de gauchiste mais je trouve l'idée interessante.
Si le logiciel libre devenait dépendant d'une source de revenus :
- cela attirerait toute une palanquée supplémentaire de
développeurs sans talents motivés uniquement par l'argent et le
carriérisme ;
- si le logiciel libre s'appuyait sur une telle source de financement,
son tarissement pourrait remettre en cause son existence (c'est pas très
durable).
Si tu veux faire de l'argent avec du LL tu peux ; la licence le permet,
et ceux qui réussissent aujourd'hui le font car ce sont des
entrepreneurs et non des copains de collectivité qui leur assurent une
rente de situation (quoique certains "acteurs" du libre ressemblent un
peu à ça aujourd'hui).
Enfin, si l'état redistribuait l'argent, à qui veux tu qui le
redistribue et sur quels critères ? Financer le LL servirait
probablement à faire du capitalisme de copinage financé par l'état et
je ne vois pas en quoi cela profiterait au libre en lui même.
Le Sun, 15 Aug 2004 15:37:54 +0200 après l'an de grâce, inspiré(e) Anonyme écrivait la plume légère :
Bonjour,
Si les logiciels Libres sont reconnus d'utilité Public, pourquoi l'Etat ne s'engagerait-il pas à payer les développeurs qui codent à plein temps? Ce serait une bon moyen de booster le développement. De plus ce financement pourrait venir de nos impôts: au lieu de payer une license d'un logiciel propriétaire plus de 150_ il serait mieux de donner cet argent à l'Etat pour financer le développement. On va me traiter de gauchiste mais je trouve l'idée interessante. Si le logiciel libre devenait dépendant d'une source de revenus :
- cela attirerait toute une palanquée supplémentaire de développeurs sans talents motivés uniquement par l'argent et le carriérisme ; - si le logiciel libre s'appuyait sur une telle source de financement, son tarissement pourrait remettre en cause son existence (c'est pas très durable).
Si tu veux faire de l'argent avec du LL tu peux ; la licence le permet, et ceux qui réussissent aujourd'hui le font car ce sont des entrepreneurs et non des copains de collectivité qui leur assurent une rente de situation (quoique certains "acteurs" du libre ressemblent un peu à ça aujourd'hui).
Enfin, si l'état redistribuait l'argent, à qui veux tu qui le redistribue et sur quels critères ? Financer le LL servirait probablement à faire du capitalisme de copinage financé par l'état et je ne vois pas en quoi cela profiterait au libre en lui même.
cordialement
Julien
Sam Hocevar
On Sun, 15 Aug 2004 15:37:54 +0200, Anonyme wrote:
Si les logiciels Libres sont reconnus d'utilité Public, pourquoi l'Etat ne s'engagerait-il pas à payer les développeurs qui codent à plein temps?
Parce qu'environ 80% des développeurs qui font du logiciel libre sont des grosses burnes et que les payer ne les fera pas vraiment s'améliorer.
-- Sam.
On Sun, 15 Aug 2004 15:37:54 +0200, Anonyme wrote:
Si les logiciels Libres sont reconnus d'utilité Public, pourquoi l'Etat
ne s'engagerait-il pas à payer les développeurs qui codent à plein
temps?
Parce qu'environ 80% des développeurs qui font du logiciel libre
sont des grosses burnes et que les payer ne les fera pas vraiment
s'améliorer.
On Sun, 15 Aug 2004 16:27:20 +0200, Sam Hocevar wrote:
Parce qu'environ 80% des développeurs qui font du logiciel libre sont des grosses burnes et que les payer ne les fera pas vraiment s'améliorer.
C'est bas, très bas, on dirait une réplique d'un intégriste BSD quand on parle de Debian ...
Anonyme
Si le logiciel libre devenait dépendant d'une source de revenus : - cela attirerait toute une palanquée supplémentaire de développeurs sans talents motivés uniquement par l'argent et le carriérisme ; - si le logiciel libre s'appuyait sur une telle source de financement, son tarissement pourrait remettre en cause son existence (c'est pas très durable).
Je ne parle pas d'une source de financement, les développeurs auraient le statut de fonctionnaire, je ne parle pas de subvention. Et selon moi les fonctionnaires ne sont pas attirés par le carriérisme et l'argent...
Si tu veux faire de l'argent avec du LL tu peux ; la licence le permet, et ceux qui réussissent aujourd'hui le font car ce sont des entrepreneurs et non des copains de collectivité qui leur assurent une rente de situation (quoique certains "acteurs" du libre ressemblent un peu à ça aujourd'hui).
Je pense justement que le financement des logiciels doit être fait par des fonds publics et non privés (ben oui c'est communautaire comme projet). Je connais pas d'entreprise qui agit pour le bien de l'ensemble de la communnauté, le but d'une entreprise est de satisfaire des besoins privés, alors que le rôle de l'état symbolise cette communauté et a le devoir de subvenir à ses besoins.
De plus si tu avais bien lu je ne parle pas de "faire de l'argent", mais de financement.
Enfin, si l'état redistribuait l'argent, à qui veux tu qui le redistribue et sur quels critères ? Financer le LL servirait probablement à faire du capitalisme de copinage financé par l'état et je ne vois pas en quoi cela profiterait au libre en lui même.
cf plus haut
Et puis cela permettrait de développer des logiciels educatifs par exemple, ce qui manque teriblement sous cette architecture, ce qui est normal étant donné qu'au départ le projet GNU/Linux est fait par des utilisateurs qui avaient besoin de développer des outils dont ils avaient besoins, ils n'avaient certainement pas besoin de créer un clône d'Adibou.
Si le logiciel libre devenait dépendant d'une source de revenus :
- cela attirerait toute une palanquée supplémentaire de
développeurs sans talents motivés uniquement par l'argent et le
carriérisme ;
- si le logiciel libre s'appuyait sur une telle source de financement,
son tarissement pourrait remettre en cause son existence (c'est pas très
durable).
Je ne parle pas d'une source de financement, les développeurs auraient le
statut de fonctionnaire, je ne parle pas de subvention. Et selon moi les
fonctionnaires ne sont pas attirés par le carriérisme et l'argent...
Si tu veux faire de l'argent avec du LL tu peux ; la licence le permet,
et ceux qui réussissent aujourd'hui le font car ce sont des
entrepreneurs et non des copains de collectivité qui leur assurent une
rente de situation (quoique certains "acteurs" du libre ressemblent un
peu à ça aujourd'hui).
Je pense justement que le financement des logiciels doit être fait par
des fonds publics et non privés (ben oui c'est communautaire comme
projet). Je connais pas d'entreprise qui agit pour le bien de l'ensemble
de la communnauté, le but d'une entreprise est de satisfaire des besoins
privés, alors que le rôle de l'état symbolise cette communauté et a le
devoir de subvenir à ses besoins.
De plus si tu avais bien lu je ne parle pas de "faire de l'argent", mais
de financement.
Enfin, si l'état redistribuait l'argent, à qui veux tu qui le
redistribue et sur quels critères ? Financer le LL servirait
probablement à faire du capitalisme de copinage financé par l'état et
je ne vois pas en quoi cela profiterait au libre en lui même.
cf plus haut
Et puis cela permettrait de développer des logiciels educatifs par
exemple, ce qui manque teriblement sous cette architecture, ce qui est
normal étant donné qu'au départ le projet GNU/Linux est fait par des
utilisateurs qui avaient besoin de développer des outils dont ils avaient
besoins, ils n'avaient certainement pas besoin de créer un clône
d'Adibou.
Si le logiciel libre devenait dépendant d'une source de revenus : - cela attirerait toute une palanquée supplémentaire de développeurs sans talents motivés uniquement par l'argent et le carriérisme ; - si le logiciel libre s'appuyait sur une telle source de financement, son tarissement pourrait remettre en cause son existence (c'est pas très durable).
Je ne parle pas d'une source de financement, les développeurs auraient le statut de fonctionnaire, je ne parle pas de subvention. Et selon moi les fonctionnaires ne sont pas attirés par le carriérisme et l'argent...
Si tu veux faire de l'argent avec du LL tu peux ; la licence le permet, et ceux qui réussissent aujourd'hui le font car ce sont des entrepreneurs et non des copains de collectivité qui leur assurent une rente de situation (quoique certains "acteurs" du libre ressemblent un peu à ça aujourd'hui).
Je pense justement que le financement des logiciels doit être fait par des fonds publics et non privés (ben oui c'est communautaire comme projet). Je connais pas d'entreprise qui agit pour le bien de l'ensemble de la communnauté, le but d'une entreprise est de satisfaire des besoins privés, alors que le rôle de l'état symbolise cette communauté et a le devoir de subvenir à ses besoins.
De plus si tu avais bien lu je ne parle pas de "faire de l'argent", mais de financement.
Enfin, si l'état redistribuait l'argent, à qui veux tu qui le redistribue et sur quels critères ? Financer le LL servirait probablement à faire du capitalisme de copinage financé par l'état et je ne vois pas en quoi cela profiterait au libre en lui même.
cf plus haut
Et puis cela permettrait de développer des logiciels educatifs par exemple, ce qui manque teriblement sous cette architecture, ce qui est normal étant donné qu'au départ le projet GNU/Linux est fait par des utilisateurs qui avaient besoin de développer des outils dont ils avaient besoins, ils n'avaient certainement pas besoin de créer un clône d'Adibou.
Anonyme
Parce qu'environ 80% des développeurs qui font du logiciel libre sont des grosses burnes et que les payer ne les fera pas vraiment s'améliorer.
Quel argument de choc!!! tu prend des cours avec Luc2? tu es son padawan?
Parce qu'environ 80% des développeurs qui font du logiciel libre
sont des grosses burnes et que les payer ne les fera pas vraiment
s'améliorer.
Quel argument de choc!!! tu prend des cours avec Luc2? tu es son padawan?
Parce qu'environ 80% des développeurs qui font du logiciel libre sont des grosses burnes et que les payer ne les fera pas vraiment s'améliorer.
Quel argument de choc!!! tu prend des cours avec Luc2? tu es son padawan?
k
Le Sun, 15 Aug 2004 16:56:52 +0200 après l'an de grâce, inspiré(e) Anonyme écrivait la plume légère :
Je ne parle pas d'une source de financement, les développeurs auraient le statut de fonctionnaire, je ne parle pas de subvention. Et selon moi les fonctionnaires ne sont pas attirés par le carriérisme et l'argent...
Le propre du libre c'est qu'un développeur/contributeur part et arrive quand il veut dans un projet, et aussi qu'il peut développer sans contraintes politiques/chefs. Le prix à payer et de ne pas être payé.
Si tu introduit une hiérarchie de statut c'est plus du logiciel libre. Et ce sera comme du logiciel pas libre.
Le beurre, l'argent du beurre, le Q de la crémière et toussa.
Je pense justement que le financement des logiciels doit être fait par des fonds publics et non privés (ben oui c'est communautaire comme projet). Je connais pas d'entreprise qui agit pour le bien de l'ensemble de la communnauté, le but d'une entreprise est de satisfaire des besoins privés, alors que le rôle de l'état symbolise cette communauté et a le devoir de subvenir à ses besoins.
Le logiciel libre c'est d'abord entreprendre librement. Avec tout ce que cela veut dire, de galère entre autres. Ça permet d'apprendre ; on apprend plus souvent de ses erreurs que de ses réussites.
De plus si tu avais bien lu je ne parle pas de "faire de l'argent", mais de financement.
Tu veux financer sans argent ? Tu veux refourguer quoi ? De l'exta ?
Et puis cela permettrait de développer des logiciels educatifs par exemple, ce qui manque teriblement sous cette architecture, ce qui est normal étant donné qu'au départ le projet GNU/Linux est fait par des utilisateurs qui avaient besoin de développer des outils dont ils avaient besoins, ils n'avaient certainement pas besoin de créer un clône d'Adibou.
!*Les problèmes de rémunération et de codage sont orthogonaux*!
Et je crois pas que l'administration sait dealer du fun.
Jul
Le Sun, 15 Aug 2004 16:56:52 +0200 après l'an de grâce, inspiré(e)
Anonyme <virgile.besson@free.antispam.fr> écrivait la plume
légère :
Je ne parle pas d'une source de financement, les développeurs auraient
le statut de fonctionnaire, je ne parle pas de subvention. Et selon
moi les fonctionnaires ne sont pas attirés par le carriérisme et
l'argent...
Le propre du libre c'est qu'un développeur/contributeur part et
arrive quand il veut dans un projet, et aussi qu'il peut développer sans
contraintes politiques/chefs. Le prix à payer et de ne pas être payé.
Si tu introduit une hiérarchie de statut c'est plus du logiciel libre.
Et ce sera comme du logiciel pas libre.
Le beurre, l'argent du beurre, le Q de la crémière et toussa.
Je pense justement que le financement des logiciels doit être fait par
des fonds publics et non privés (ben oui c'est communautaire comme
projet). Je connais pas d'entreprise qui agit pour le bien de
l'ensemble de la communnauté, le but d'une entreprise est de
satisfaire des besoins privés, alors que le rôle de l'état symbolise
cette communauté et a le devoir de subvenir à ses besoins.
Le logiciel libre c'est d'abord entreprendre librement. Avec tout ce que
cela veut dire, de galère entre autres. Ça permet d'apprendre ; on
apprend plus souvent de ses erreurs que de ses réussites.
De plus si tu avais bien lu je ne parle pas de "faire de l'argent",
mais de financement.
Tu veux financer sans argent ? Tu veux refourguer quoi ? De l'exta ?
Et puis cela permettrait de développer des logiciels educatifs par
exemple, ce qui manque teriblement sous cette architecture, ce qui est
normal étant donné qu'au départ le projet GNU/Linux est fait par des
utilisateurs qui avaient besoin de développer des outils dont ils
avaient besoins, ils n'avaient certainement pas besoin de créer un
clône d'Adibou.
!*Les problèmes de rémunération et de codage sont orthogonaux*!
Le Sun, 15 Aug 2004 16:56:52 +0200 après l'an de grâce, inspiré(e) Anonyme écrivait la plume légère :
Je ne parle pas d'une source de financement, les développeurs auraient le statut de fonctionnaire, je ne parle pas de subvention. Et selon moi les fonctionnaires ne sont pas attirés par le carriérisme et l'argent...
Le propre du libre c'est qu'un développeur/contributeur part et arrive quand il veut dans un projet, et aussi qu'il peut développer sans contraintes politiques/chefs. Le prix à payer et de ne pas être payé.
Si tu introduit une hiérarchie de statut c'est plus du logiciel libre. Et ce sera comme du logiciel pas libre.
Le beurre, l'argent du beurre, le Q de la crémière et toussa.
Je pense justement que le financement des logiciels doit être fait par des fonds publics et non privés (ben oui c'est communautaire comme projet). Je connais pas d'entreprise qui agit pour le bien de l'ensemble de la communnauté, le but d'une entreprise est de satisfaire des besoins privés, alors que le rôle de l'état symbolise cette communauté et a le devoir de subvenir à ses besoins.
Le logiciel libre c'est d'abord entreprendre librement. Avec tout ce que cela veut dire, de galère entre autres. Ça permet d'apprendre ; on apprend plus souvent de ses erreurs que de ses réussites.
De plus si tu avais bien lu je ne parle pas de "faire de l'argent", mais de financement.
Tu veux financer sans argent ? Tu veux refourguer quoi ? De l'exta ?
Et puis cela permettrait de développer des logiciels educatifs par exemple, ce qui manque teriblement sous cette architecture, ce qui est normal étant donné qu'au départ le projet GNU/Linux est fait par des utilisateurs qui avaient besoin de développer des outils dont ils avaient besoins, ils n'avaient certainement pas besoin de créer un clône d'Adibou.
!*Les problèmes de rémunération et de codage sont orthogonaux*!
Et je crois pas que l'administration sait dealer du fun.
Jul
nico
k wrote:
Si tu introduit une hiérarchie de statut c'est plus du logiciel libre. Et ce sera comme du logiciel pas libre. Le beurre, l'argent du beurre, le Q de la crémière et toussa. Tu veux financer sans argent ? Tu veux refourguer quoi ? De l'exta ?
si une administration à besoin d'un logiciel spécifique, je ne vois aucun problème à ce qu'elle finance une équipe d'informaticens pour le faire.
l'open source lui permettrait de gagner du temps, du fait de l'existence de bibliothèque. Elle n'a qu'à fournir son soft avec la même licence.
de même les médecins (exemple) ont d'énormes coût en matière de licence logicielle. Si chacun d'eux versaient une cotisation de 10 euros, cela suffirait à financer une équipe de dévelloppeurs qui pourraient implémenter une solution adaptée à leurs besoins, en opensource. A terme, cela réduirait leurs coûts. Par ailleurs, vu qu'il y a des médecins partout dans le monde, un tel soft pourrait être amélioré par d'autres pays...
et je pense que l'on pourrait parler également des logiciels de gestion de bibliothèque, de gestion de stocks.... de l'armée, de l'éducation...
-- back to the trees !!! roy lewis
k wrote:
Si tu introduit une hiérarchie de statut c'est plus du logiciel libre.
Et ce sera comme du logiciel pas libre.
Le beurre, l'argent du beurre, le Q de la crémière et toussa.
Tu veux financer sans argent ? Tu veux refourguer quoi ? De l'exta ?
si une administration à besoin d'un logiciel spécifique, je ne vois aucun
problème à ce qu'elle finance une équipe d'informaticens pour le faire.
l'open source lui permettrait de gagner du temps, du fait de l'existence de
bibliothèque. Elle n'a qu'à fournir son soft avec la même licence.
de même les médecins (exemple) ont d'énormes coût en matière de licence
logicielle. Si chacun d'eux versaient une cotisation de 10 euros, cela
suffirait à financer une équipe de dévelloppeurs qui pourraient implémenter
une solution adaptée à leurs besoins, en opensource. A terme, cela
réduirait leurs coûts. Par ailleurs, vu qu'il y a des médecins partout dans
le monde, un tel soft pourrait être amélioré par d'autres pays...
et je pense que l'on pourrait parler également des logiciels de gestion de
bibliothèque, de gestion de stocks.... de l'armée, de l'éducation...
Si tu introduit une hiérarchie de statut c'est plus du logiciel libre. Et ce sera comme du logiciel pas libre. Le beurre, l'argent du beurre, le Q de la crémière et toussa. Tu veux financer sans argent ? Tu veux refourguer quoi ? De l'exta ?
si une administration à besoin d'un logiciel spécifique, je ne vois aucun problème à ce qu'elle finance une équipe d'informaticens pour le faire.
l'open source lui permettrait de gagner du temps, du fait de l'existence de bibliothèque. Elle n'a qu'à fournir son soft avec la même licence.
de même les médecins (exemple) ont d'énormes coût en matière de licence logicielle. Si chacun d'eux versaient une cotisation de 10 euros, cela suffirait à financer une équipe de dévelloppeurs qui pourraient implémenter une solution adaptée à leurs besoins, en opensource. A terme, cela réduirait leurs coûts. Par ailleurs, vu qu'il y a des médecins partout dans le monde, un tel soft pourrait être amélioré par d'autres pays...
et je pense que l'on pourrait parler également des logiciels de gestion de bibliothèque, de gestion de stocks.... de l'armée, de l'éducation...
-- back to the trees !!! roy lewis
nico
Anonyme wrote:
Quel argument de choc!!! tu prend des cours avec Luc2? tu es son padawan?
je sais pas s'il assure, mais il approche la perfection du lucisme.
-- back to the trees !!! roy lewis
Anonyme wrote:
Quel argument de choc!!! tu prend des cours avec Luc2? tu es son padawan?
je sais pas s'il assure, mais il approche la perfection du lucisme.
Quel argument de choc!!! tu prend des cours avec Luc2? tu es son padawan?
je sais pas s'il assure, mais il approche la perfection du lucisme.
-- back to the trees !!! roy lewis
Anonyme
Le propre du libre c'est qu'un développeur/contributeur part et arrive quand il veut dans un projet, et aussi qu'il peut développer sans contraintes politiques/chefs. Le prix à payer et de ne pas être payé.
eux non le porpre du LL ce sont les quattre libertés fondamentales...
Si tu introduit une hiérarchie de statut c'est plus du logiciel libre. Et ce sera comme du logiciel pas libre.
rapport avec la choucroute? tu parlais tout à l'heure que ceux qui réussissent ce sont les entreprenneurs, les entreprises quoi, hors un salarié n'est pas libre d'arriver dans un projet, de partir etc... tu te contredis.
Le beurre, l'argent du beurre, le Q de la crémière et toussa.
et puis le papier de l'emballage
Le logiciel libre c'est d'abord entreprendre librement. Avec tout ce que cela veut dire, de galère entre autres. Ça permet d'apprendre ; on apprend plus souvent de ses erreurs que de ses réussites.
on entreprend toujours selon des besoins, tu ne crée pas un logiciel qui ne sert à rien, surtout si c'est dans le privé.
Tu veux financer sans argent ? Tu veux refourguer quoi ? De l'exta ?
Et les impôts ça sert à quoi?
Et je crois pas que l'administration sait dealer du fun.
tu ne crois pas, tu avance ça mais tu n'en sais rien.
Le propre du libre c'est qu'un développeur/contributeur part et
arrive quand il veut dans un projet, et aussi qu'il peut développer sans
contraintes politiques/chefs. Le prix à payer et de ne pas être payé.
eux non le porpre du LL ce sont les quattre libertés fondamentales...
Si tu introduit une hiérarchie de statut c'est plus du logiciel libre.
Et ce sera comme du logiciel pas libre.
rapport avec la choucroute? tu parlais tout à l'heure que ceux qui
réussissent ce sont les entreprenneurs, les entreprises quoi, hors un
salarié n'est pas libre d'arriver dans un projet, de partir etc... tu te
contredis.
Le beurre, l'argent du beurre, le Q de la crémière et toussa.
et puis le papier de l'emballage
Le logiciel libre c'est d'abord entreprendre librement. Avec tout ce que
cela veut dire, de galère entre autres. Ça permet d'apprendre ; on
apprend plus souvent de ses erreurs que de ses réussites.
on entreprend toujours selon des besoins, tu ne crée pas un logiciel qui
ne sert à rien, surtout si c'est dans le privé.
Tu veux financer sans argent ? Tu veux refourguer quoi ? De l'exta ?
Et les impôts ça sert à quoi?
Et je crois pas que l'administration sait dealer du fun.
tu ne crois pas, tu avance ça mais tu n'en sais rien.
Le propre du libre c'est qu'un développeur/contributeur part et arrive quand il veut dans un projet, et aussi qu'il peut développer sans contraintes politiques/chefs. Le prix à payer et de ne pas être payé.
eux non le porpre du LL ce sont les quattre libertés fondamentales...
Si tu introduit une hiérarchie de statut c'est plus du logiciel libre. Et ce sera comme du logiciel pas libre.
rapport avec la choucroute? tu parlais tout à l'heure que ceux qui réussissent ce sont les entreprenneurs, les entreprises quoi, hors un salarié n'est pas libre d'arriver dans un projet, de partir etc... tu te contredis.
Le beurre, l'argent du beurre, le Q de la crémière et toussa.
et puis le papier de l'emballage
Le logiciel libre c'est d'abord entreprendre librement. Avec tout ce que cela veut dire, de galère entre autres. Ça permet d'apprendre ; on apprend plus souvent de ses erreurs que de ses réussites.
on entreprend toujours selon des besoins, tu ne crée pas un logiciel qui ne sert à rien, surtout si c'est dans le privé.
Tu veux financer sans argent ? Tu veux refourguer quoi ? De l'exta ?
Et les impôts ça sert à quoi?
Et je crois pas que l'administration sait dealer du fun.
tu ne crois pas, tu avance ça mais tu n'en sais rien.
nico
Anonyme wrote:
k : (...) tu ne crois pas, tu avance ça mais tu n'en sais rien.
je crains que k soit un lucdeuziste...
-- back to the trees !!! roy lewis
Anonyme wrote:
k : (...)
tu ne crois pas, tu avance ça mais tu n'en sais rien.