T'inquiete pas, si l'Etat n'assurait pas ce role, d'autres s'en
chargerait, peut etre en moins bien, peut etre pas.
T'inquiete pas, si l'Etat n'assurait pas ce role, d'autres s'en
chargerait, peut etre en moins bien, peut etre pas.
T'inquiete pas, si l'Etat n'assurait pas ce role, d'autres s'en
chargerait, peut etre en moins bien, peut etre pas.
Ce n'est pas compètement exact (au moins dans l'exemple
fourni). Malheureusement, on n'est pas égal devant la maladie. Tu peux
bouffer une fois dans ta vie des bonbons et perdre tous tes chicots et
d'autres peuvent sucer des glaces toutes leur vie sans connaître une
carie de leur vie...
Ce n'est pas compètement exact (au moins dans l'exemple
fourni). Malheureusement, on n'est pas égal devant la maladie. Tu peux
bouffer une fois dans ta vie des bonbons et perdre tous tes chicots et
d'autres peuvent sucer des glaces toutes leur vie sans connaître une
carie de leur vie...
Ce n'est pas compètement exact (au moins dans l'exemple
fourni). Malheureusement, on n'est pas égal devant la maladie. Tu peux
bouffer une fois dans ta vie des bonbons et perdre tous tes chicots et
d'autres peuvent sucer des glaces toutes leur vie sans connaître une
carie de leur vie...
wrote:T'inquiete pas, si l'Etat n'assurait pas ce role, d'autres s'en
chargerait, peut etre en moins bien, peut etre pas.
Le facteur, chez moi, se plante dans les plis mais alors du genre grave.
Non seulement les voisins font une deuxième tournée à cause des
erreurs, mais en plus, il parvient tout simplement à se tromper de
numéro de rue à une centaine près. Et il laisse le courrier dans un
coin !
Prenons un autre cas. Le ferroutage. C'est l'essentiel du budget de la
SNCF. Les passagers, ça ne représente pas grand-chose. Ils arrivent à
te perdre des wagons entiers ! L'ex SERNAM était un modèle du genre.
c'est sale mais c'est rapide. Et comme personne de toute façon ne s'en
servira jamais. Par contre tout le monde paie...
Je me suis tapé les services de la Mairie. Ah, du grand art aussi. Tu
regardes la courbe d'absentéisme pour grande maladie, c'est pire que
dans un hosto : ils sont tous malades ! Faut aller voir pour le croire.
Sur ce forum plein d'étudiants très savants et très collés à leurs
bécanes, je ne dirais qu'une chose : allez voir sur place ! Ne croyez
personne. Déplacez-vous, trouvez un prétexte quelconque, mais par
pitié allez voir sur place ! Vous n'en reviendrez pas.
stephane@unices.org wrote:
T'inquiete pas, si l'Etat n'assurait pas ce role, d'autres s'en
chargerait, peut etre en moins bien, peut etre pas.
Le facteur, chez moi, se plante dans les plis mais alors du genre grave.
Non seulement les voisins font une deuxième tournée à cause des
erreurs, mais en plus, il parvient tout simplement à se tromper de
numéro de rue à une centaine près. Et il laisse le courrier dans un
coin !
Prenons un autre cas. Le ferroutage. C'est l'essentiel du budget de la
SNCF. Les passagers, ça ne représente pas grand-chose. Ils arrivent à
te perdre des wagons entiers ! L'ex SERNAM était un modèle du genre.
c'est sale mais c'est rapide. Et comme personne de toute façon ne s'en
servira jamais. Par contre tout le monde paie...
Je me suis tapé les services de la Mairie. Ah, du grand art aussi. Tu
regardes la courbe d'absentéisme pour grande maladie, c'est pire que
dans un hosto : ils sont tous malades ! Faut aller voir pour le croire.
Sur ce forum plein d'étudiants très savants et très collés à leurs
bécanes, je ne dirais qu'une chose : allez voir sur place ! Ne croyez
personne. Déplacez-vous, trouvez un prétexte quelconque, mais par
pitié allez voir sur place ! Vous n'en reviendrez pas.
wrote:T'inquiete pas, si l'Etat n'assurait pas ce role, d'autres s'en
chargerait, peut etre en moins bien, peut etre pas.
Le facteur, chez moi, se plante dans les plis mais alors du genre grave.
Non seulement les voisins font une deuxième tournée à cause des
erreurs, mais en plus, il parvient tout simplement à se tromper de
numéro de rue à une centaine près. Et il laisse le courrier dans un
coin !
Prenons un autre cas. Le ferroutage. C'est l'essentiel du budget de la
SNCF. Les passagers, ça ne représente pas grand-chose. Ils arrivent à
te perdre des wagons entiers ! L'ex SERNAM était un modèle du genre.
c'est sale mais c'est rapide. Et comme personne de toute façon ne s'en
servira jamais. Par contre tout le monde paie...
Je me suis tapé les services de la Mairie. Ah, du grand art aussi. Tu
regardes la courbe d'absentéisme pour grande maladie, c'est pire que
dans un hosto : ils sont tous malades ! Faut aller voir pour le croire.
Sur ce forum plein d'étudiants très savants et très collés à leurs
bécanes, je ne dirais qu'une chose : allez voir sur place ! Ne croyez
personne. Déplacez-vous, trouvez un prétexte quelconque, mais par
pitié allez voir sur place ! Vous n'en reviendrez pas.
Je m'explique: la poste par
exemple engloutit des sommes considérables dans le maintien de bureaux
de campagne (souvent ouverts toute la journée ou avec des heures
d'ouvertures baroques et changeant d'un jour sur l'autre). Très bien.
Mais pourquoi ne pas avoir des horaires identiques tous les jours ?
Je m'explique: la poste par
exemple engloutit des sommes considérables dans le maintien de bureaux
de campagne (souvent ouverts toute la journée ou avec des heures
d'ouvertures baroques et changeant d'un jour sur l'autre). Très bien.
Mais pourquoi ne pas avoir des horaires identiques tous les jours ?
Je m'explique: la poste par
exemple engloutit des sommes considérables dans le maintien de bureaux
de campagne (souvent ouverts toute la journée ou avec des heures
d'ouvertures baroques et changeant d'un jour sur l'autre). Très bien.
Mais pourquoi ne pas avoir des horaires identiques tous les jours ?
Pour ma part, pauvre troll rouge de confusion, je retourne sous ma roche
où je fais acte de contrition en espérant le pardon de mes fautes.
Pour ma part, pauvre troll rouge de confusion, je retourne sous ma roche
où je fais acte de contrition en espérant le pardon de mes fautes.
Pour ma part, pauvre troll rouge de confusion, je retourne sous ma roche
où je fais acte de contrition en espérant le pardon de mes fautes.
Quitte à tomber dans l'exagération pour fuir ce problème de
l'estimation des responsabilités réelles, je préfère encore une
société qui surtestime le libre-arbitre qu'une société qui pense que
tous ses pairs ne sont que de grands enfants immatures.
Quitte à tomber dans l'exagération pour fuir ce problème de
l'estimation des responsabilités réelles, je préfère encore une
société qui surtestime le libre-arbitre qu'une société qui pense que
tous ses pairs ne sont que de grands enfants immatures.
Quitte à tomber dans l'exagération pour fuir ce problème de
l'estimation des responsabilités réelles, je préfère encore une
société qui surtestime le libre-arbitre qu'une société qui pense que
tous ses pairs ne sont que de grands enfants immatures.
Disons surtout que toi comme moi n'avons pas de boule de cristal, et qu'on
ne peut pas faire de plan sur la comète. SI le système financier
international s'écroule (ce qui est loin d'être impossible vu que c'est
un tas de merde) ton capital, pfuit...
Disons surtout que toi comme moi n'avons pas de boule de cristal, et qu'on
ne peut pas faire de plan sur la comète. SI le système financier
international s'écroule (ce qui est loin d'être impossible vu que c'est
un tas de merde) ton capital, pfuit...
Disons surtout que toi comme moi n'avons pas de boule de cristal, et qu'on
ne peut pas faire de plan sur la comète. SI le système financier
international s'écroule (ce qui est loin d'être impossible vu que c'est
un tas de merde) ton capital, pfuit...
Putain merde, quel ramassis de conneries !
Ouais, quand on mange du sucrée on a des caries. Faut expliquer ça aux
enfants en effet.
Putain merde, quel ramassis de conneries !
Ouais, quand on mange du sucrée on a des caries. Faut expliquer ça aux
enfants en effet.
Putain merde, quel ramassis de conneries !
Ouais, quand on mange du sucrée on a des caries. Faut expliquer ça aux
enfants en effet.
Les plaisanteries courtelinesques sur les services publics c'est
rigolo au bar du coin un jaune à la main, mais ça ne fait pas de
bonnes réalités pour baser une politique, selon moi.
Les plaisanteries courtelinesques sur les services publics c'est
rigolo au bar du coin un jaune à la main, mais ça ne fait pas de
bonnes réalités pour baser une politique, selon moi.
Les plaisanteries courtelinesques sur les services publics c'est
rigolo au bar du coin un jaune à la main, mais ça ne fait pas de
bonnes réalités pour baser une politique, selon moi.
sansflotusspam wrote:Michel Talon wrote:
à vous relire, Cher Michel ACHILLE Talon
Je ne saurais contredire un éminent professeur d'économie, je me
contenterais donc de faire mon miel de toutes ces savoureuses remarques.
Quelques commentaires cependant:
Vu de Sirius, mon lieu de naissance, la différence entre Metz sous
administration allemande, et Nancy sous administration française n'est pas
si fondamentale que pour un natif de Pont à Mousson, et je suis désolé de
le dire, les péquenods habitant le reste de la France ont eu le mauvais
goût de parler vulgairement de l'Alsace-Lorraine, et de chanter "vous
n'aurez pas l'Alsace-Lorraine". Le même éloignement profond des contrées
germaniques fait que, comme la plupart des commentateurs
http://ecorev.org/article.php3?id_article'3
j'ai attribué à Bismarck ce qui revenait à un autrichien, j'en suis
confondu.
Evidemment je suis encore plus confondu d'avoir innocemment mélangé les
notions si importantes de valeur et de valeur ajoutée dans ma critique de
l'argument prétendant que "toute valeur est produite par le privé". Il va
de soi que n'étant pas un spécialiste de la sodomisation en plein vol des
diptères, je ne pouvais apprécier à sa juste "valeur" le fait que
l'adjonction modifiait de fond en comble l'argument. Je dois battre ma
coulpe plutôt trois fois qu'une parceque si mon esprit n'avait été
corrompu par mon insondable bêtise, j'aurais du être parfaitement éclairé
par la lecture du profond traîté du "plus grand économiste de France",
l'éminent professeur Raymond Barre, que non seulement je possède dans ma
bibliothèque, mais que de plus j'ai lu 3 ou 4 fois. C'est dire à quel
point j'étais passionné dans ma jeunesse par les questions d'économie, ce
qui m'a permis de venir à bout de ce redoutable traîté qui a même réussi à
endormir son auteur de manière quasi permanente. Le zèle du néophite a
fait que j'ai même complété cette lecture par celle des ouvrages de
Samuelson, qui ont achevé de faire régner le chaos dans mon misérable
esprit. Arrivé à ce point de confusion, j'ai suivi les conseils du
vénérable maître Barre et j'ai lu une bonne dizaine de fois le Schumpeter
pour tenter de redresser ce qui menaçait ruine. Rien n'y a fait je suis
retourné à mes mathématiques, et de loin en loin à l'étude des conditions
de convexité dans le petit livre de Debreu. Mais les ravages de l'âge et
du gâtisme aidant, j'ai fini par commettre un ouvrage qui porte sur de
pures mathématiques au lieu de m'en tenir à une étude sérieuse et posée du
concret.
Bien sûr l'attention au concret aurait du m'avertir que quelques milliers
de gens avisés avaient cotisé à des caisses de prévoyance depuis au moins
le moyen age. Bien sûr on peut trouver des traces de cette noble
activité dans les registres des Lombards. Les Médicis ont cotisé, et déjà
les administrations royales, donnant un exemple funeste, dilapidaient
l'argent de ces nobles caisses. Baignant dans la bouse et les durs travaux
des champs et des pierres, comment des millions de paysans et d'artisans
n'ont-ils pas vu la lumière douce et dorée émanant de ces caisses,
pourquoi ont ils négligé leur devoir de cotisation pendant si longtemps?
Dieu seul le sait.
Mais aujourd'hui, la lumière pascale a enfin éclairé mon esprit. Pauvre
troll que j'étais, perdu au royaume de Mordor, j'ai enfin compris que je
faisais
fausse route. Ainsi JKB, ayant découvert l'erreur de sa voie a fait voeu
de pauvreté et d'abstinence, et, renonçant aux viles séductions de la
fonction publique obtient enfin l'honneur suprême de se parer du titre
prestigieux de chef d'entreprise. Ainsi, aéré par l'humour doux comme un
léger zéphyr de "sansflotus", mon âme retrouve enfin le sens de la vérité,
et la révérence qu'elle doit à la grandeur du PRIVE. Peut être la charité
infinie du vrai Dieu pardonnera t'elle mes hérésies, dés à présent je
confesse ma repentance, je reconnais que seul le privé ajoute de la
valeur, tandis que la fonction publique ne saurait qu'en retrancher. Je
maudis pour 20 générations Keynes et
tous ses prestiges, je maudis ces pseudo économistes, Allais, Stoleru qui
ont l'outrecuidance de sortir de polytechnique et encore 10 fois plus
Debreu qui sort de l'école normale supérieure, autant de relaps ayant
forniqué avec les mathématiques au lieu de suivre l'enseignement de la
sainte faculté de sciences économiques. Je voue à une malédiction
éternelle le comité Nobel qui a honteusement décerné le prix Nobel
d'économie à ces suppôts de Satan Allais et Debreu au lieu de couronner le
plus grand économiste de France. Les mathématiques, cette école d'erreurs
et d'illusions ose prétendre qu'une proposition est vraie ou fausse. Bien
loin de là, l'éminent professeur
nous a appris qu'on doit discuter sur 300 pages tous les degrés
intermédiaires à raison de 4 citations par ligne, et qu'il en résulte la
vérité divine que le Franc doit être fort, que le travailleur doit
travailler et le capital rapporter. Tel Saint Michel terrassant le dragon,
il combat victorieusement l'hérésie Keynesienne et renvoie ses disciples
dans les ténèbres extérieures, car "asinus asinum fricat".
Qu'il me soit enfin permis de remercier encore "sansflotus", ce
merveilleux professeur d'économie, qui allant droit au but, éclairé par la
lumière infaillible de son maître, a su immédiatement discerner le germe
de corruption contenu dans l'article qui sert de base à ce fil
http://www.lemonde.fr/web/chat/0,,55-759022,0.html
fruit des oeuvres sataniques d'un économiste de l'OFCE, et le caractériser
en ces termes d'une lumineuse simplicité:
"""
À cette lecture, on ne peut que citer Audiard :
"les cons osent tout, c'est d'ailleurs à ça qu'on les reconnaît"
qu'on (?) complétera utilement avec Edgar Faure :
"L'immobilisme est en marche et rien ne l'arrêtera"
"""
C'est d'ailleurs à la fréquentation des grands auteurs, puits de science,
exemples d'intégrité, parangons de réussites formidables qu'on reconnaît
le vrai professeur, riche d'un enseignement vrai et clair.
Pour ma part, pauvre troll rouge de confusion, je retourne sous ma roche
où je fais acte de contrition en espérant le pardon de mes fautes.
sansflotusspam <sansalain.flotspam@free.fr> wrote:
Michel Talon wrote:
à vous relire, Cher Michel ACHILLE Talon
Je ne saurais contredire un éminent professeur d'économie, je me
contenterais donc de faire mon miel de toutes ces savoureuses remarques.
Quelques commentaires cependant:
Vu de Sirius, mon lieu de naissance, la différence entre Metz sous
administration allemande, et Nancy sous administration française n'est pas
si fondamentale que pour un natif de Pont à Mousson, et je suis désolé de
le dire, les péquenods habitant le reste de la France ont eu le mauvais
goût de parler vulgairement de l'Alsace-Lorraine, et de chanter "vous
n'aurez pas l'Alsace-Lorraine". Le même éloignement profond des contrées
germaniques fait que, comme la plupart des commentateurs
http://ecorev.org/article.php3?id_article'3
j'ai attribué à Bismarck ce qui revenait à un autrichien, j'en suis
confondu.
Evidemment je suis encore plus confondu d'avoir innocemment mélangé les
notions si importantes de valeur et de valeur ajoutée dans ma critique de
l'argument prétendant que "toute valeur est produite par le privé". Il va
de soi que n'étant pas un spécialiste de la sodomisation en plein vol des
diptères, je ne pouvais apprécier à sa juste "valeur" le fait que
l'adjonction modifiait de fond en comble l'argument. Je dois battre ma
coulpe plutôt trois fois qu'une parceque si mon esprit n'avait été
corrompu par mon insondable bêtise, j'aurais du être parfaitement éclairé
par la lecture du profond traîté du "plus grand économiste de France",
l'éminent professeur Raymond Barre, que non seulement je possède dans ma
bibliothèque, mais que de plus j'ai lu 3 ou 4 fois. C'est dire à quel
point j'étais passionné dans ma jeunesse par les questions d'économie, ce
qui m'a permis de venir à bout de ce redoutable traîté qui a même réussi à
endormir son auteur de manière quasi permanente. Le zèle du néophite a
fait que j'ai même complété cette lecture par celle des ouvrages de
Samuelson, qui ont achevé de faire régner le chaos dans mon misérable
esprit. Arrivé à ce point de confusion, j'ai suivi les conseils du
vénérable maître Barre et j'ai lu une bonne dizaine de fois le Schumpeter
pour tenter de redresser ce qui menaçait ruine. Rien n'y a fait je suis
retourné à mes mathématiques, et de loin en loin à l'étude des conditions
de convexité dans le petit livre de Debreu. Mais les ravages de l'âge et
du gâtisme aidant, j'ai fini par commettre un ouvrage qui porte sur de
pures mathématiques au lieu de m'en tenir à une étude sérieuse et posée du
concret.
Bien sûr l'attention au concret aurait du m'avertir que quelques milliers
de gens avisés avaient cotisé à des caisses de prévoyance depuis au moins
le moyen age. Bien sûr on peut trouver des traces de cette noble
activité dans les registres des Lombards. Les Médicis ont cotisé, et déjà
les administrations royales, donnant un exemple funeste, dilapidaient
l'argent de ces nobles caisses. Baignant dans la bouse et les durs travaux
des champs et des pierres, comment des millions de paysans et d'artisans
n'ont-ils pas vu la lumière douce et dorée émanant de ces caisses,
pourquoi ont ils négligé leur devoir de cotisation pendant si longtemps?
Dieu seul le sait.
Mais aujourd'hui, la lumière pascale a enfin éclairé mon esprit. Pauvre
troll que j'étais, perdu au royaume de Mordor, j'ai enfin compris que je
faisais
fausse route. Ainsi JKB, ayant découvert l'erreur de sa voie a fait voeu
de pauvreté et d'abstinence, et, renonçant aux viles séductions de la
fonction publique obtient enfin l'honneur suprême de se parer du titre
prestigieux de chef d'entreprise. Ainsi, aéré par l'humour doux comme un
léger zéphyr de "sansflotus", mon âme retrouve enfin le sens de la vérité,
et la révérence qu'elle doit à la grandeur du PRIVE. Peut être la charité
infinie du vrai Dieu pardonnera t'elle mes hérésies, dés à présent je
confesse ma repentance, je reconnais que seul le privé ajoute de la
valeur, tandis que la fonction publique ne saurait qu'en retrancher. Je
maudis pour 20 générations Keynes et
tous ses prestiges, je maudis ces pseudo économistes, Allais, Stoleru qui
ont l'outrecuidance de sortir de polytechnique et encore 10 fois plus
Debreu qui sort de l'école normale supérieure, autant de relaps ayant
forniqué avec les mathématiques au lieu de suivre l'enseignement de la
sainte faculté de sciences économiques. Je voue à une malédiction
éternelle le comité Nobel qui a honteusement décerné le prix Nobel
d'économie à ces suppôts de Satan Allais et Debreu au lieu de couronner le
plus grand économiste de France. Les mathématiques, cette école d'erreurs
et d'illusions ose prétendre qu'une proposition est vraie ou fausse. Bien
loin de là, l'éminent professeur
nous a appris qu'on doit discuter sur 300 pages tous les degrés
intermédiaires à raison de 4 citations par ligne, et qu'il en résulte la
vérité divine que le Franc doit être fort, que le travailleur doit
travailler et le capital rapporter. Tel Saint Michel terrassant le dragon,
il combat victorieusement l'hérésie Keynesienne et renvoie ses disciples
dans les ténèbres extérieures, car "asinus asinum fricat".
Qu'il me soit enfin permis de remercier encore "sansflotus", ce
merveilleux professeur d'économie, qui allant droit au but, éclairé par la
lumière infaillible de son maître, a su immédiatement discerner le germe
de corruption contenu dans l'article qui sert de base à ce fil
http://www.lemonde.fr/web/chat/0,46-0@2-3234,55-759022,0.html
fruit des oeuvres sataniques d'un économiste de l'OFCE, et le caractériser
en ces termes d'une lumineuse simplicité:
"""
À cette lecture, on ne peut que citer Audiard :
"les cons osent tout, c'est d'ailleurs à ça qu'on les reconnaît"
qu'on (?) complétera utilement avec Edgar Faure :
"L'immobilisme est en marche et rien ne l'arrêtera"
"""
C'est d'ailleurs à la fréquentation des grands auteurs, puits de science,
exemples d'intégrité, parangons de réussites formidables qu'on reconnaît
le vrai professeur, riche d'un enseignement vrai et clair.
Pour ma part, pauvre troll rouge de confusion, je retourne sous ma roche
où je fais acte de contrition en espérant le pardon de mes fautes.
sansflotusspam wrote:Michel Talon wrote:
à vous relire, Cher Michel ACHILLE Talon
Je ne saurais contredire un éminent professeur d'économie, je me
contenterais donc de faire mon miel de toutes ces savoureuses remarques.
Quelques commentaires cependant:
Vu de Sirius, mon lieu de naissance, la différence entre Metz sous
administration allemande, et Nancy sous administration française n'est pas
si fondamentale que pour un natif de Pont à Mousson, et je suis désolé de
le dire, les péquenods habitant le reste de la France ont eu le mauvais
goût de parler vulgairement de l'Alsace-Lorraine, et de chanter "vous
n'aurez pas l'Alsace-Lorraine". Le même éloignement profond des contrées
germaniques fait que, comme la plupart des commentateurs
http://ecorev.org/article.php3?id_article'3
j'ai attribué à Bismarck ce qui revenait à un autrichien, j'en suis
confondu.
Evidemment je suis encore plus confondu d'avoir innocemment mélangé les
notions si importantes de valeur et de valeur ajoutée dans ma critique de
l'argument prétendant que "toute valeur est produite par le privé". Il va
de soi que n'étant pas un spécialiste de la sodomisation en plein vol des
diptères, je ne pouvais apprécier à sa juste "valeur" le fait que
l'adjonction modifiait de fond en comble l'argument. Je dois battre ma
coulpe plutôt trois fois qu'une parceque si mon esprit n'avait été
corrompu par mon insondable bêtise, j'aurais du être parfaitement éclairé
par la lecture du profond traîté du "plus grand économiste de France",
l'éminent professeur Raymond Barre, que non seulement je possède dans ma
bibliothèque, mais que de plus j'ai lu 3 ou 4 fois. C'est dire à quel
point j'étais passionné dans ma jeunesse par les questions d'économie, ce
qui m'a permis de venir à bout de ce redoutable traîté qui a même réussi à
endormir son auteur de manière quasi permanente. Le zèle du néophite a
fait que j'ai même complété cette lecture par celle des ouvrages de
Samuelson, qui ont achevé de faire régner le chaos dans mon misérable
esprit. Arrivé à ce point de confusion, j'ai suivi les conseils du
vénérable maître Barre et j'ai lu une bonne dizaine de fois le Schumpeter
pour tenter de redresser ce qui menaçait ruine. Rien n'y a fait je suis
retourné à mes mathématiques, et de loin en loin à l'étude des conditions
de convexité dans le petit livre de Debreu. Mais les ravages de l'âge et
du gâtisme aidant, j'ai fini par commettre un ouvrage qui porte sur de
pures mathématiques au lieu de m'en tenir à une étude sérieuse et posée du
concret.
Bien sûr l'attention au concret aurait du m'avertir que quelques milliers
de gens avisés avaient cotisé à des caisses de prévoyance depuis au moins
le moyen age. Bien sûr on peut trouver des traces de cette noble
activité dans les registres des Lombards. Les Médicis ont cotisé, et déjà
les administrations royales, donnant un exemple funeste, dilapidaient
l'argent de ces nobles caisses. Baignant dans la bouse et les durs travaux
des champs et des pierres, comment des millions de paysans et d'artisans
n'ont-ils pas vu la lumière douce et dorée émanant de ces caisses,
pourquoi ont ils négligé leur devoir de cotisation pendant si longtemps?
Dieu seul le sait.
Mais aujourd'hui, la lumière pascale a enfin éclairé mon esprit. Pauvre
troll que j'étais, perdu au royaume de Mordor, j'ai enfin compris que je
faisais
fausse route. Ainsi JKB, ayant découvert l'erreur de sa voie a fait voeu
de pauvreté et d'abstinence, et, renonçant aux viles séductions de la
fonction publique obtient enfin l'honneur suprême de se parer du titre
prestigieux de chef d'entreprise. Ainsi, aéré par l'humour doux comme un
léger zéphyr de "sansflotus", mon âme retrouve enfin le sens de la vérité,
et la révérence qu'elle doit à la grandeur du PRIVE. Peut être la charité
infinie du vrai Dieu pardonnera t'elle mes hérésies, dés à présent je
confesse ma repentance, je reconnais que seul le privé ajoute de la
valeur, tandis que la fonction publique ne saurait qu'en retrancher. Je
maudis pour 20 générations Keynes et
tous ses prestiges, je maudis ces pseudo économistes, Allais, Stoleru qui
ont l'outrecuidance de sortir de polytechnique et encore 10 fois plus
Debreu qui sort de l'école normale supérieure, autant de relaps ayant
forniqué avec les mathématiques au lieu de suivre l'enseignement de la
sainte faculté de sciences économiques. Je voue à une malédiction
éternelle le comité Nobel qui a honteusement décerné le prix Nobel
d'économie à ces suppôts de Satan Allais et Debreu au lieu de couronner le
plus grand économiste de France. Les mathématiques, cette école d'erreurs
et d'illusions ose prétendre qu'une proposition est vraie ou fausse. Bien
loin de là, l'éminent professeur
nous a appris qu'on doit discuter sur 300 pages tous les degrés
intermédiaires à raison de 4 citations par ligne, et qu'il en résulte la
vérité divine que le Franc doit être fort, que le travailleur doit
travailler et le capital rapporter. Tel Saint Michel terrassant le dragon,
il combat victorieusement l'hérésie Keynesienne et renvoie ses disciples
dans les ténèbres extérieures, car "asinus asinum fricat".
Qu'il me soit enfin permis de remercier encore "sansflotus", ce
merveilleux professeur d'économie, qui allant droit au but, éclairé par la
lumière infaillible de son maître, a su immédiatement discerner le germe
de corruption contenu dans l'article qui sert de base à ce fil
http://www.lemonde.fr/web/chat/0,,55-759022,0.html
fruit des oeuvres sataniques d'un économiste de l'OFCE, et le caractériser
en ces termes d'une lumineuse simplicité:
"""
À cette lecture, on ne peut que citer Audiard :
"les cons osent tout, c'est d'ailleurs à ça qu'on les reconnaît"
qu'on (?) complétera utilement avec Edgar Faure :
"L'immobilisme est en marche et rien ne l'arrêtera"
"""
C'est d'ailleurs à la fréquentation des grands auteurs, puits de science,
exemples d'intégrité, parangons de réussites formidables qu'on reconnaît
le vrai professeur, riche d'un enseignement vrai et clair.
Pour ma part, pauvre troll rouge de confusion, je retourne sous ma roche
où je fais acte de contrition en espérant le pardon de mes fautes.