C'est vrai que pour les investissements, c'est moins facile que les impôts
où il « suffit » d'embaucher un bon conseiller fiscal (un ex-agent des
impôts reconverti). De plus, il y a toujours cette parcelle de risque, de
chance (que les « gens riches » vont éluder en investissant dans plusieurs
biens, en diversifiant leurs placements).
que "les pauvres" qui ne sont pas forcément ignorants et imbéciles.
Qui plus est, les pauvres aussi peuvent être chanceux. Auquel cas ils
seront moins pauvres, voire plus pauvres du tout.
Et si on arrêtait de martyriser les portes ouvertes ?
je peux de citer quantité de "gens riches" qui se sont laissés bercés
par des achats "sans risque" dans des endroits huppés, recherchés,
etc, en achetant à des appartements "haut standing" à 20 000 F le M2
(en 1998, 1999, 2000) qu'ils ont péniblement revendus 10 000 F le M2
quand il a fallu ...
Heu, là tu n'es plus vraiment dans le placement à long terme, si ?
À part cela, une décote de 50 % depuis 1998 (je ne sais pas quand ils ont
vendu), je ne suis pas de près le marché immobilier français (et je ne
sais pas non plus le lieu), mais cela ne me paraît pas refléter la
tendance générale... du tout, pour tout dire.
Plutôt que « bercés », n'auraient-ils pas plutôt été « bernés » ?
Antoine Leca wrote:
Les actions ont fait de nettes progrès ces
dernières années, mais auparavant elles ont essuyé de longues années
calamiteuses (les Trente Glorieuses particulièrement).
pas pour tout le monde, heureusement !
peu importe la période, il est toujours possible de faire progresser
ses investissements en bourse à condition de respecter les lois
élémentaires de ce marché.
Oui. Mon grand père m'a appris cela, et la crise de 1929 est très loin
maintenant.
Mais j'ai aussi constaté que lui avait pas mal de mal avant 1984, mais que
ceux qui sont venus ensuite eurent beaucoup plus de facilité.
Est-ce dû *seulement* aux outils informatiques et autres (comme la
désintermédiation) ?
Michel Talon wrote:C'est ce qui s'appelle le déplacement de la plus value depuis les
masses laborieuses vers le capital, n'est-ce pas?
Antoine,
Rendons à César... J'ai remis les auteurs juste devant les citations. Tu
maintiens l'attribution ?tu viens de donner une excellente définition du .... socialisme !
mais oui :
remplaces dans l'équation les termes équivalents, "masses
laborieuses" par "épargnants" et "capital" par "état" ...
??? 8~¿
Antoine
C'est vrai que pour les investissements, c'est moins facile que les impôts
où il « suffit » d'embaucher un bon conseiller fiscal (un ex-agent des
impôts reconverti). De plus, il y a toujours cette parcelle de risque, de
chance (que les « gens riches » vont éluder en investissant dans plusieurs
biens, en diversifiant leurs placements).
que "les pauvres" qui ne sont pas forcément ignorants et imbéciles.
Qui plus est, les pauvres aussi peuvent être chanceux. Auquel cas ils
seront moins pauvres, voire plus pauvres du tout.
Et si on arrêtait de martyriser les portes ouvertes ?
je peux de citer quantité de "gens riches" qui se sont laissés bercés
par des achats "sans risque" dans des endroits huppés, recherchés,
etc, en achetant à des appartements "haut standing" à 20 000 F le M2
(en 1998, 1999, 2000) qu'ils ont péniblement revendus 10 000 F le M2
quand il a fallu ...
Heu, là tu n'es plus vraiment dans le placement à long terme, si ?
À part cela, une décote de 50 % depuis 1998 (je ne sais pas quand ils ont
vendu), je ne suis pas de près le marché immobilier français (et je ne
sais pas non plus le lieu), mais cela ne me paraît pas refléter la
tendance générale... du tout, pour tout dire.
Plutôt que « bercés », n'auraient-ils pas plutôt été « bernés » ?
Antoine Leca <root@localhost.invalid> wrote:
Les actions ont fait de nettes progrès ces
dernières années, mais auparavant elles ont essuyé de longues années
calamiteuses (les Trente Glorieuses particulièrement).
pas pour tout le monde, heureusement !
peu importe la période, il est toujours possible de faire progresser
ses investissements en bourse à condition de respecter les lois
élémentaires de ce marché.
Oui. Mon grand père m'a appris cela, et la crise de 1929 est très loin
maintenant.
Mais j'ai aussi constaté que lui avait pas mal de mal avant 1984, mais que
ceux qui sont venus ensuite eurent beaucoup plus de facilité.
Est-ce dû *seulement* aux outils informatiques et autres (comme la
désintermédiation) ?
Michel Talon wrote:
C'est ce qui s'appelle le déplacement de la plus value depuis les
masses laborieuses vers le capital, n'est-ce pas?
Antoine,
Rendons à César... J'ai remis les auteurs juste devant les citations. Tu
maintiens l'attribution ?
tu viens de donner une excellente définition du .... socialisme !
mais oui :
remplaces dans l'équation les termes équivalents, "masses
laborieuses" par "épargnants" et "capital" par "état" ...
??? 8~¿
Antoine
C'est vrai que pour les investissements, c'est moins facile que les impôts
où il « suffit » d'embaucher un bon conseiller fiscal (un ex-agent des
impôts reconverti). De plus, il y a toujours cette parcelle de risque, de
chance (que les « gens riches » vont éluder en investissant dans plusieurs
biens, en diversifiant leurs placements).
que "les pauvres" qui ne sont pas forcément ignorants et imbéciles.
Qui plus est, les pauvres aussi peuvent être chanceux. Auquel cas ils
seront moins pauvres, voire plus pauvres du tout.
Et si on arrêtait de martyriser les portes ouvertes ?
je peux de citer quantité de "gens riches" qui se sont laissés bercés
par des achats "sans risque" dans des endroits huppés, recherchés,
etc, en achetant à des appartements "haut standing" à 20 000 F le M2
(en 1998, 1999, 2000) qu'ils ont péniblement revendus 10 000 F le M2
quand il a fallu ...
Heu, là tu n'es plus vraiment dans le placement à long terme, si ?
À part cela, une décote de 50 % depuis 1998 (je ne sais pas quand ils ont
vendu), je ne suis pas de près le marché immobilier français (et je ne
sais pas non plus le lieu), mais cela ne me paraît pas refléter la
tendance générale... du tout, pour tout dire.
Plutôt que « bercés », n'auraient-ils pas plutôt été « bernés » ?
Antoine Leca wrote:
Les actions ont fait de nettes progrès ces
dernières années, mais auparavant elles ont essuyé de longues années
calamiteuses (les Trente Glorieuses particulièrement).
pas pour tout le monde, heureusement !
peu importe la période, il est toujours possible de faire progresser
ses investissements en bourse à condition de respecter les lois
élémentaires de ce marché.
Oui. Mon grand père m'a appris cela, et la crise de 1929 est très loin
maintenant.
Mais j'ai aussi constaté que lui avait pas mal de mal avant 1984, mais que
ceux qui sont venus ensuite eurent beaucoup plus de facilité.
Est-ce dû *seulement* aux outils informatiques et autres (comme la
désintermédiation) ?
Michel Talon wrote:C'est ce qui s'appelle le déplacement de la plus value depuis les
masses laborieuses vers le capital, n'est-ce pas?
Antoine,
Rendons à César... J'ai remis les auteurs juste devant les citations. Tu
maintiens l'attribution ?tu viens de donner une excellente définition du .... socialisme !
mais oui :
remplaces dans l'équation les termes équivalents, "masses
laborieuses" par "épargnants" et "capital" par "état" ...
??? 8~¿
Antoine
On 2006-04-21, Michel Talon wrote:Oui, ça s'appelle des élus, ne t'en déplaise, et donc ce qu'ils font, c'est
avec le consentement de la majorité de la population.
Ou t'as vu que c'etait avec le consentement de la majorite de la
population ?
On 2006-04-21, Michel Talon <talon@lpthe.jussieu.fr> wrote:
Oui, ça s'appelle des élus, ne t'en déplaise, et donc ce qu'ils font, c'est
avec le consentement de la majorité de la population.
Ou t'as vu que c'etait avec le consentement de la majorite de la
population ?
On 2006-04-21, Michel Talon wrote:Oui, ça s'appelle des élus, ne t'en déplaise, et donc ce qu'ils font, c'est
avec le consentement de la majorité de la population.
Ou t'as vu que c'etait avec le consentement de la majorite de la
population ?
wrote:On 2006-04-21, Michel Talon wrote:Oui, ça s'appelle des élus, ne t'en déplaise, et donc ce qu'ils font, c'est
avec le consentement de la majorité de la population.
Ou t'as vu que c'etait avec le consentement de la majorite de la
population ?
C'est ça, les élus sont élus par 1% de la population,
les fonctionnaires sont
des vampires qui sucent le sang des masses laborieuses,
et les chefs
d'entreprisent gagnent péniblement 1500 euros par mois.
Quand tu auras fini de
déblatérer toutes ces conneries, peut être on pourra commencer à discuter
sérieusement. Pour le moment ta seule philosophie, c'est tout pour moi, rien
pour les autres.
stephane@unices.org <stephane@unices.org> wrote:
On 2006-04-21, Michel Talon <talon@lpthe.jussieu.fr> wrote:
Oui, ça s'appelle des élus, ne t'en déplaise, et donc ce qu'ils font, c'est
avec le consentement de la majorité de la population.
Ou t'as vu que c'etait avec le consentement de la majorite de la
population ?
C'est ça, les élus sont élus par 1% de la population,
les fonctionnaires sont
des vampires qui sucent le sang des masses laborieuses,
et les chefs
d'entreprisent gagnent péniblement 1500 euros par mois.
Quand tu auras fini de
déblatérer toutes ces conneries, peut être on pourra commencer à discuter
sérieusement. Pour le moment ta seule philosophie, c'est tout pour moi, rien
pour les autres.
wrote:On 2006-04-21, Michel Talon wrote:Oui, ça s'appelle des élus, ne t'en déplaise, et donc ce qu'ils font, c'est
avec le consentement de la majorité de la population.
Ou t'as vu que c'etait avec le consentement de la majorite de la
population ?
C'est ça, les élus sont élus par 1% de la population,
les fonctionnaires sont
des vampires qui sucent le sang des masses laborieuses,
et les chefs
d'entreprisent gagnent péniblement 1500 euros par mois.
Quand tu auras fini de
déblatérer toutes ces conneries, peut être on pourra commencer à discuter
sérieusement. Pour le moment ta seule philosophie, c'est tout pour moi, rien
pour les autres.
- la puissance publique :
soit la Ville de Montpellier et son bras armé la Société d'Équipement de la
Région de Montpellier, société d'économie mixte dont le président n'est
autre que le Maire de Mntp, devenu Président de l'Agglomération et
Président du Conseil Régional (Septiman I° pour les intimes),
qui verrouille par prescriptions d'urbanisme et préemption systématique
l'offre de terrains,
- la puissance publique :
soit la Ville de Montpellier et son bras armé la Société d'Équipement de la
Région de Montpellier, société d'économie mixte dont le président n'est
autre que le Maire de Mntp, devenu Président de l'Agglomération et
Président du Conseil Régional (Septiman I° pour les intimes),
qui verrouille par prescriptions d'urbanisme et préemption systématique
l'offre de terrains,
- la puissance publique :
soit la Ville de Montpellier et son bras armé la Société d'Équipement de la
Région de Montpellier, société d'économie mixte dont le président n'est
autre que le Maire de Mntp, devenu Président de l'Agglomération et
Président du Conseil Régional (Septiman I° pour les intimes),
qui verrouille par prescriptions d'urbanisme et préemption systématique
l'offre de terrains,
C'est ça, les élus sont élus par 1% de la population, les fonctionnaires sont
des vampires qui sucent le sang des masses laborieuses, et les chefs
d'entreprisent gagnent péniblement 1500 euros par mois. Quand tu auras fini de
déblatérer toutes ces conneries, peut être on pourra commencer à discuter
sérieusement. Pour le moment ta seule philosophie, c'est tout pour moi, rien
pour les autres.
C'est ça, les élus sont élus par 1% de la population, les fonctionnaires sont
des vampires qui sucent le sang des masses laborieuses, et les chefs
d'entreprisent gagnent péniblement 1500 euros par mois. Quand tu auras fini de
déblatérer toutes ces conneries, peut être on pourra commencer à discuter
sérieusement. Pour le moment ta seule philosophie, c'est tout pour moi, rien
pour les autres.
C'est ça, les élus sont élus par 1% de la population, les fonctionnaires sont
des vampires qui sucent le sang des masses laborieuses, et les chefs
d'entreprisent gagnent péniblement 1500 euros par mois. Quand tu auras fini de
déblatérer toutes ces conneries, peut être on pourra commencer à discuter
sérieusement. Pour le moment ta seule philosophie, c'est tout pour moi, rien
pour les autres.
Cela ne change rien à mon discours. Pourquoi ne pas avoir dans un
village trois heures le matin (toujours les mêmes) et dans un autre,
le bureau ouvert trois heures l'après-midi (toujours les mêmes
horaires), plutôt que des horaires d'ouverture complètement baroques
et dépendant du jour comme par chez moi ?
Ce n'est pas ce que j'ai dit. Pour caricaturer un peu, j'irais même
jusqu'au numerus clausus dans certaines matières parce qu'on sait
dès le niveai bac+2 que certains débouchés sont complètement
bouchés.
Effectivement, le jour où je trouve une assistante de direction
capable d'écrire une lettre sans la truffer de phôtes
d'haurtograffe, je l'engage tout de suite.
Maintenant, il ne faut
pas se voiler la face non plus : que faire de tous ceux qui sortent
d'une université d'histoire pour reprendre l'exemple ?
Cela ne change rien à mon discours. Pourquoi ne pas avoir dans un
village trois heures le matin (toujours les mêmes) et dans un autre,
le bureau ouvert trois heures l'après-midi (toujours les mêmes
horaires), plutôt que des horaires d'ouverture complètement baroques
et dépendant du jour comme par chez moi ?
Ce n'est pas ce que j'ai dit. Pour caricaturer un peu, j'irais même
jusqu'au numerus clausus dans certaines matières parce qu'on sait
dès le niveai bac+2 que certains débouchés sont complètement
bouchés.
Effectivement, le jour où je trouve une assistante de direction
capable d'écrire une lettre sans la truffer de phôtes
d'haurtograffe, je l'engage tout de suite.
Maintenant, il ne faut
pas se voiler la face non plus : que faire de tous ceux qui sortent
d'une université d'histoire pour reprendre l'exemple ?
Cela ne change rien à mon discours. Pourquoi ne pas avoir dans un
village trois heures le matin (toujours les mêmes) et dans un autre,
le bureau ouvert trois heures l'après-midi (toujours les mêmes
horaires), plutôt que des horaires d'ouverture complètement baroques
et dépendant du jour comme par chez moi ?
Ce n'est pas ce que j'ai dit. Pour caricaturer un peu, j'irais même
jusqu'au numerus clausus dans certaines matières parce qu'on sait
dès le niveai bac+2 que certains débouchés sont complètement
bouchés.
Effectivement, le jour où je trouve une assistante de direction
capable d'écrire une lettre sans la truffer de phôtes
d'haurtograffe, je l'engage tout de suite.
Maintenant, il ne faut
pas se voiler la face non plus : que faire de tous ceux qui sortent
d'une université d'histoire pour reprendre l'exemple ?
On 2006-04-20, Michel Talon wrote:Tu veux que je t'envoie une photo du port de Capbreton? Je dois en avoir une
sur mon PC. Il est bourré jusqu'à la gueule de bateaux qui appartiennent à
tous les patrons de PME du coin. Un seul? je suis trop vieux en effet pour
entendre des conneries comme ça.
D'abord t'en sais rien, t'as pas les actes de propriete.
On 2006-04-20, Michel Talon <talon@lpthe.jussieu.fr> wrote:
Tu veux que je t'envoie une photo du port de Capbreton? Je dois en avoir une
sur mon PC. Il est bourré jusqu'à la gueule de bateaux qui appartiennent à
tous les patrons de PME du coin. Un seul? je suis trop vieux en effet pour
entendre des conneries comme ça.
D'abord t'en sais rien, t'as pas les actes de propriete.
On 2006-04-20, Michel Talon wrote:Tu veux que je t'envoie une photo du port de Capbreton? Je dois en avoir une
sur mon PC. Il est bourré jusqu'à la gueule de bateaux qui appartiennent à
tous les patrons de PME du coin. Un seul? je suis trop vieux en effet pour
entendre des conneries comme ça.
D'abord t'en sais rien, t'as pas les actes de propriete.
Antoine Leca wrote:je peux de citer quantité de "gens riches" qui se sont laissés
bercés par des achats "sans risque" dans des endroits huppés,
recherchés,
etc, en achetant à des appartements "haut standing" à 20 000 F le M2
(en 1998, 1999, 2000) qu'ils ont péniblement revendus 10 000 F le M2
quand il a fallu ...
Heu, là tu n'es plus vraiment dans le placement à long terme, si ?
c'est bien la difficulté du genre ; en principe, l'achat d'un bien
immeuble c'est par nature du long terme. mais il y a les
circonstances de la vie, mutation professionnelle, bouleversement de
la cellule familiale, opportunité imprévue, etc, et là on se retrouve
dans le très court terme
rappelons que "ce n'était pas cher" au regard des prix parisiens
je suis persuadé (opinion personnelle) que l'investissement dans les
entreprises cotées est devenu beaucoup plus clair et plus sain depuis
que les petits épargnants sont beaucoup plus nombreux (environ 2 000
000 en 1980, 8 000 000 en 2004),
Antoine Leca wrote:
je peux de citer quantité de "gens riches" qui se sont laissés
bercés par des achats "sans risque" dans des endroits huppés,
recherchés,
etc, en achetant à des appartements "haut standing" à 20 000 F le M2
(en 1998, 1999, 2000) qu'ils ont péniblement revendus 10 000 F le M2
quand il a fallu ...
Heu, là tu n'es plus vraiment dans le placement à long terme, si ?
c'est bien la difficulté du genre ; en principe, l'achat d'un bien
immeuble c'est par nature du long terme. mais il y a les
circonstances de la vie, mutation professionnelle, bouleversement de
la cellule familiale, opportunité imprévue, etc, et là on se retrouve
dans le très court terme
rappelons que "ce n'était pas cher" au regard des prix parisiens
je suis persuadé (opinion personnelle) que l'investissement dans les
entreprises cotées est devenu beaucoup plus clair et plus sain depuis
que les petits épargnants sont beaucoup plus nombreux (environ 2 000
000 en 1980, 8 000 000 en 2004),
Antoine Leca wrote:je peux de citer quantité de "gens riches" qui se sont laissés
bercés par des achats "sans risque" dans des endroits huppés,
recherchés,
etc, en achetant à des appartements "haut standing" à 20 000 F le M2
(en 1998, 1999, 2000) qu'ils ont péniblement revendus 10 000 F le M2
quand il a fallu ...
Heu, là tu n'es plus vraiment dans le placement à long terme, si ?
c'est bien la difficulté du genre ; en principe, l'achat d'un bien
immeuble c'est par nature du long terme. mais il y a les
circonstances de la vie, mutation professionnelle, bouleversement de
la cellule familiale, opportunité imprévue, etc, et là on se retrouve
dans le très court terme
rappelons que "ce n'était pas cher" au regard des prix parisiens
je suis persuadé (opinion personnelle) que l'investissement dans les
entreprises cotées est devenu beaucoup plus clair et plus sain depuis
que les petits épargnants sont beaucoup plus nombreux (environ 2 000
000 en 1980, 8 000 000 en 2004),
sansflotusspam wrote:
- la puissance publique :
soit la Ville de Montpellier et son bras armé la Société d'Équipement de
la Région de Montpellier, société d'économie mixte dont le président
n'est autre que le Maire de Mntp, devenu Président de l'Agglomération et
Président du Conseil Régional (Septiman I° pour les intimes),
qui verrouille par prescriptions d'urbanisme et préemption systématique
l'offre de terrains,
Là encore Georges Frêche a été régulièrement réélu depuis trés longtemps,
donc ce qu'il fait rencontre l'assentiment de la population. Montpellier
était la ville la plus endormie du monde, alors qu'elle fait preuve
maintenant d'un fort dynamisme. Pour obtenir ce résultat il a utilisé des
méthodes discutables peut être, en tout cas des moyens de contrainte pour
obliger les gens à bouger et ça a marché. C'est pas que je le trouve
sympathique, loin de là, mais bon, c'est un professeur d'économie et il a
réussi.
sansflotusspam <sansalain.flotspam@free.fr> wrote:
- la puissance publique :
soit la Ville de Montpellier et son bras armé la Société d'Équipement de
la Région de Montpellier, société d'économie mixte dont le président
n'est autre que le Maire de Mntp, devenu Président de l'Agglomération et
Président du Conseil Régional (Septiman I° pour les intimes),
qui verrouille par prescriptions d'urbanisme et préemption systématique
l'offre de terrains,
Là encore Georges Frêche a été régulièrement réélu depuis trés longtemps,
donc ce qu'il fait rencontre l'assentiment de la population. Montpellier
était la ville la plus endormie du monde, alors qu'elle fait preuve
maintenant d'un fort dynamisme. Pour obtenir ce résultat il a utilisé des
méthodes discutables peut être, en tout cas des moyens de contrainte pour
obliger les gens à bouger et ça a marché. C'est pas que je le trouve
sympathique, loin de là, mais bon, c'est un professeur d'économie et il a
réussi.
sansflotusspam wrote:
- la puissance publique :
soit la Ville de Montpellier et son bras armé la Société d'Équipement de
la Région de Montpellier, société d'économie mixte dont le président
n'est autre que le Maire de Mntp, devenu Président de l'Agglomération et
Président du Conseil Régional (Septiman I° pour les intimes),
qui verrouille par prescriptions d'urbanisme et préemption systématique
l'offre de terrains,
Là encore Georges Frêche a été régulièrement réélu depuis trés longtemps,
donc ce qu'il fait rencontre l'assentiment de la population. Montpellier
était la ville la plus endormie du monde, alors qu'elle fait preuve
maintenant d'un fort dynamisme. Pour obtenir ce résultat il a utilisé des
méthodes discutables peut être, en tout cas des moyens de contrainte pour
obliger les gens à bouger et ça a marché. C'est pas que je le trouve
sympathique, loin de là, mais bon, c'est un professeur d'économie et il a
réussi.
En news:44489d04$0$5224$, sansflotusspam va escriure:Antoine Leca wrote:je peux de citer quantité de "gens riches" qui se sont laissés
bercés par des achats "sans risque" dans des endroits huppés,
recherchés,
etc, en achetant à des appartements "haut standing" à 20 000 F le M2
(en 1998, 1999, 2000) qu'ils ont péniblement revendus 10 000 F le M2
quand il a fallu ...
Heu, là tu n'es plus vraiment dans le placement à long terme, si ?
c'est bien la difficulté du genre ; en principe, l'achat d'un bien
immeuble c'est par nature du long terme. mais il y a les
circonstances de la vie, mutation professionnelle, bouleversement de
la cellule familiale, opportunité imprévue, etc, et là on se retrouve
dans le très court terme
Pas d'accord. Si tu places pour le long terme, tu ne peux PAS prendre en
considération une sortie imprévue à court terme dans le rendement de ton
placement.
Par exemple, si tu regardes les placements financiers purs, pour empêcher
les spéculateurs de profiter des avantages proposées pour les dispositifs
de retraite pasr capitalisation, il y a des règles de remboursement des
réductions d'impôts de tout poil si le placement n'est pas conservé x
années (je ne rentre pas dans les détails). Maintenant, si en comparant
des placements à long terme, quelqu'un vient me dire que le financier ce
n'est pas valable parce que c'est taxé à 47 % (cas d'une sortie à moins de
deux ans), je vais penser que l'on se moque de moi.
<15.000 voire 22.000 ou 26.000 F/m²>rappelons que "ce n'était pas cher" au regard des prix parisiens
? Tu parles de Paris VIIe (et alentours), ou alors je suis tombé du lit ?
En première ceinture ouest (là où il y a des programmes), il y avait à
l'époque une barrière psychologique _forte_ à 20.000 F/m². Seul Neuilly ou
le centre de Paris passait facilement au-dessus.
Alors tes prix montpelliérains sont effectivement « pas chers » en regard
des prix de Neuilly ou du centre de Paris (mais là du coup j'ai du mal à
croire au transfert), ou sinon ils sont... du même ordre de grandeur.
je suis persuadé (opinion personnelle) que l'investissement dans les
entreprises cotées est devenu beaucoup plus clair et plus sain depuis
que les petits épargnants sont beaucoup plus nombreux (environ 2 000
000 en 1980, 8 000 000 en 2004),
Euh... ce phénomène est exactement la conséquence de la «
désintermédiation » (le fait de ne plus être obligé de passer par la
corporation des agents de change, en simplifiant).
Antoine
En news:44489d04$0$5224$626a54ce@news.free.fr, sansflotusspam va escriure:
Antoine Leca wrote:
je peux de citer quantité de "gens riches" qui se sont laissés
bercés par des achats "sans risque" dans des endroits huppés,
recherchés,
etc, en achetant à des appartements "haut standing" à 20 000 F le M2
(en 1998, 1999, 2000) qu'ils ont péniblement revendus 10 000 F le M2
quand il a fallu ...
Heu, là tu n'es plus vraiment dans le placement à long terme, si ?
c'est bien la difficulté du genre ; en principe, l'achat d'un bien
immeuble c'est par nature du long terme. mais il y a les
circonstances de la vie, mutation professionnelle, bouleversement de
la cellule familiale, opportunité imprévue, etc, et là on se retrouve
dans le très court terme
Pas d'accord. Si tu places pour le long terme, tu ne peux PAS prendre en
considération une sortie imprévue à court terme dans le rendement de ton
placement.
Par exemple, si tu regardes les placements financiers purs, pour empêcher
les spéculateurs de profiter des avantages proposées pour les dispositifs
de retraite pasr capitalisation, il y a des règles de remboursement des
réductions d'impôts de tout poil si le placement n'est pas conservé x
années (je ne rentre pas dans les détails). Maintenant, si en comparant
des placements à long terme, quelqu'un vient me dire que le financier ce
n'est pas valable parce que c'est taxé à 47 % (cas d'une sortie à moins de
deux ans), je vais penser que l'on se moque de moi.
<15.000 voire 22.000 ou 26.000 F/m²>
rappelons que "ce n'était pas cher" au regard des prix parisiens
? Tu parles de Paris VIIe (et alentours), ou alors je suis tombé du lit ?
En première ceinture ouest (là où il y a des programmes), il y avait à
l'époque une barrière psychologique _forte_ à 20.000 F/m². Seul Neuilly ou
le centre de Paris passait facilement au-dessus.
Alors tes prix montpelliérains sont effectivement « pas chers » en regard
des prix de Neuilly ou du centre de Paris (mais là du coup j'ai du mal à
croire au transfert), ou sinon ils sont... du même ordre de grandeur.
je suis persuadé (opinion personnelle) que l'investissement dans les
entreprises cotées est devenu beaucoup plus clair et plus sain depuis
que les petits épargnants sont beaucoup plus nombreux (environ 2 000
000 en 1980, 8 000 000 en 2004),
Euh... ce phénomène est exactement la conséquence de la «
désintermédiation » (le fait de ne plus être obligé de passer par la
corporation des agents de change, en simplifiant).
Antoine
En news:44489d04$0$5224$, sansflotusspam va escriure:Antoine Leca wrote:je peux de citer quantité de "gens riches" qui se sont laissés
bercés par des achats "sans risque" dans des endroits huppés,
recherchés,
etc, en achetant à des appartements "haut standing" à 20 000 F le M2
(en 1998, 1999, 2000) qu'ils ont péniblement revendus 10 000 F le M2
quand il a fallu ...
Heu, là tu n'es plus vraiment dans le placement à long terme, si ?
c'est bien la difficulté du genre ; en principe, l'achat d'un bien
immeuble c'est par nature du long terme. mais il y a les
circonstances de la vie, mutation professionnelle, bouleversement de
la cellule familiale, opportunité imprévue, etc, et là on se retrouve
dans le très court terme
Pas d'accord. Si tu places pour le long terme, tu ne peux PAS prendre en
considération une sortie imprévue à court terme dans le rendement de ton
placement.
Par exemple, si tu regardes les placements financiers purs, pour empêcher
les spéculateurs de profiter des avantages proposées pour les dispositifs
de retraite pasr capitalisation, il y a des règles de remboursement des
réductions d'impôts de tout poil si le placement n'est pas conservé x
années (je ne rentre pas dans les détails). Maintenant, si en comparant
des placements à long terme, quelqu'un vient me dire que le financier ce
n'est pas valable parce que c'est taxé à 47 % (cas d'une sortie à moins de
deux ans), je vais penser que l'on se moque de moi.
<15.000 voire 22.000 ou 26.000 F/m²>rappelons que "ce n'était pas cher" au regard des prix parisiens
? Tu parles de Paris VIIe (et alentours), ou alors je suis tombé du lit ?
En première ceinture ouest (là où il y a des programmes), il y avait à
l'époque une barrière psychologique _forte_ à 20.000 F/m². Seul Neuilly ou
le centre de Paris passait facilement au-dessus.
Alors tes prix montpelliérains sont effectivement « pas chers » en regard
des prix de Neuilly ou du centre de Paris (mais là du coup j'ai du mal à
croire au transfert), ou sinon ils sont... du même ordre de grandeur.
je suis persuadé (opinion personnelle) que l'investissement dans les
entreprises cotées est devenu beaucoup plus clair et plus sain depuis
que les petits épargnants sont beaucoup plus nombreux (environ 2 000
000 en 1980, 8 000 000 en 2004),
Euh... ce phénomène est exactement la conséquence de la «
désintermédiation » (le fait de ne plus être obligé de passer par la
corporation des agents de change, en simplifiant).
Antoine