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Flexibilité

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talon
Un article fort intéressant, et qui défend des positions hétérodoxes
par rapport à la "pensée unique" qui règne au Monde (du coup il faut vraîment
le chercher pour le trouver ...):

http://www.lemonde.fr/web/chat/0,46-0@2-3234,55-759022,0.html

Par exemple:
"
Vouloir flexibiliser en période de croissance molle tout en diminuant les
allocations-chômage, les déficits budgétaires et les prélèvements obligatoires
conduirait à un affaiblissement de la demande intérieure, qui aboutirait à une
baisse des anticipations de profit des entreprises sur lesquelles elles se
basent pour conduire leurs projets d'investissement. L'activité se
ralentirait, l'emploi avec, et le chômage augmenterait.
"


--

Michel TALON

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talon
JKB wrote:
universités de troisième zone comme tu dis, ta place n'est pas
assurée si tu n'en fous pas une rame. Quant au salaire, le prof


Si. Pour te virer il faut que tu violes une étudiante, au minimum.

d'université en France gagne plus que le prof de troisième zone aux
USA parce que même en troisième zone, il faut être un minimum bon.


Facile à dire. L'herbe est toujours plus verte dans le champ du voisin.

En France, il faut avoir la planque (mdc ou pdu), deux ou trois
étudiants à encadrer et quelques heures sup et le tour est joué.


Désolé mais les heures sup ailleurs qu'en info ça ne court pas les rues.

Par ailleurs, le recrutement des profs d'université en France (les
fameux CNU) sont plus du clientélisme ou du copinage qu'un réel


Ben tiens. D'abord ce n'est pas le CNU qui recrute, grace à l'autonomie des
universités, ce sont les commissions de spécialistes locales. Il se trouve que
je fais partie d'une, à Montpellier, et j'ai pu constater que, contrairement à
ce que tu dis, pour une place il y avait une vingtaine de candidats, tous
raisonnablement bons. On a en auditionné 6, qui étaient tous bons, et en
choisir un parmi ces 6 était difficile. Là encore ce sont des ragots de gens
aigris que tu nous sors.

Pour les maths et le CNRS, voici un exemple de la facilité qu'il y a à
obtenir un poste:

http://www.madore.org/~david/weblog/
"
Mathématiques et compétition

Les résultats du concours du CNRS seront probablement connus d'ici un ou deux
jours. Je n'ai que très peu d'espoir pour moi-même (ne serait-ce que parce
que, comme m'a averti un jour mon directeur de thèse : votre thèse ne contient
pas de cohomologie, et donc n'impressionnera jamais les Français), donc je ne
suis pas trop stressé[#], mais cela m'offre l'occasion de réfléchir à ce
système bizarre de recrutement des mathématiciens par concours.

Outre que le nombre de places est ridiculement faible eu égard au nombre de
candidats *(12 places pour autour de 260 candidats)*, je vois au moins deux
problèmes graves à recruter par concours. Le premier, c'est que concours
implique classement et qu'il est impossible de comparer deux candidats, étant
donné qu'ils ne passent pas une épreuve mais présentent un dossier, et que le
jury en est donc réduit à l'absurdité de savoir s'il vaut mieux avoir démontré
le théorème foo ou le théorème bar[#2], sachant qu'en général l'un n'implique
pas trivialement l'autre donc un classement ne correspond pas à un ordre
logique, bref, de faire un tri plus entre les domaines de recherche qu'entre
les candidats. Le second problème, encore plus grave, c'est que c'est
fondamentalement contraire à l'esprit de la recherche, telle que je la
conçois, que de placer les chercheurs dans une situation de compétition
"

suivi de:

"
CNRS, merci d'avoir joué

Ça n'a rien d'une surprise, mais les résultats (encore officieux) du CNRS sont
tombés tout à l'heure, et je ne suis pas admissible (ni classé). Bon, quand on
voit qui d'autre ils n'ont pas classé, on ne peut pas dire que ce soit
déshonorant.
"

Il se trouve que je connais David Madore, qui est ancien élève de l'ENS (Ulm)
où il est rentré dans les premiers, sinon premier, et idem pour l'agrégation.

Ce sont des gens de cette qualité qui n'arrivent pas à décrocher un poste,
alors je pense que le minimum de décence voudrait que des gens qui ne leur
arrivent pas à la semelle cessent les critiques stupides. Tu ne te grandis
certainement pas avec les âneries que tu racontes.


Ouaips, révise tes chiffres et on rediscutera après. Tu n'as pas du
aller souvent dans les universités moyennes des USA.



J'ai eu un professeur de Berkeley, qui est une université du premier rang dans
mon bureau, et je vois trés bien pourquoi il est stupide de tenir des propos
comme les tiens.


JKB


--

Michel TALON

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talon
JKB wrote:

Les profs (récemment, secondaire et supérieur), les impôts (il y a


Où est-ce que les profs du supérieur ont fait grève? Tu veux parler des
étudiants, sans doute ...

un mois)... Maintenant, dire que l'EDF, la RATP et la SNCF ne sont
pas des fonctionnaires est un raisonnement de jésuite parce que ce
sont des _services publics_ ou des sociétés ayant obligation de
_service public_ (dont certaines sont largement subventionnées).


Oui, mais leur personnel a un statut de droit privé, ce qui leur permet
justement d'avoir fréquemment un salaire considérablement supérieur, des
horaires considérablement allégés, etc. Or c'est bien le statut des personnels
qui te pose problème, pas le statut de la société.



JKB


--

Michel TALON

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talon
JKB wrote:
Le 15-04-2006, à propos de
Re: Flexibilité,
Michel Talon écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB wrote:
Le 14-04-2006, à propos de
Maintenant, dans tous les avantages de la fonction publique, il y a
aussi l'histoire de la retraite (et du calcul du montant entre les
25 meilleures années dans le privé et les x derniers mois dans le
public [6 de mémoire]). Rien que cela et les fonds de pensions sont
un scandale.


En quoi c'est un scandale si on ne tape pas dans les caisses du privé pour
payer les retraîtes des fonctionnaires?


Alors commence par payer correctement les caisses de retraite.
Les charges des salaires de la fonction publique sont financées par
le secteur privé parce que l'état est son propre garant.


L'état paye les retraîtes des fonctionnaires sur sa propre caisse, la même
qui sert à payer les fonctionnaires en activité, et non pas sur la caisse de
retraîte du privé. Comment il répartit ses prélèvements et ses versements
entre les actifs et les retraîtés est totalement indifférent aux gens du privé
et ne devrait les concerner en rien, si ce n'est leur jalousie consubstantielle.
Les salaires et les retraîtes des fonctionnaires sont payés par les impôts.
Les impôts sont prélevés sur tout le monde, les fonctionnaires aussi bien que
les gens du privé aussi bien que les retraîtés, que les consommateurs.
Je suis désolé mais la production des gens du privé n'a aucune valeur
supplémentaire que celle des gens du public, rien ne te permet de dire
que les salaires du public sont payés par le boulot du privé. Le privé a
largement autant d'inefficacités, de dépenses somptuaires, de PDG qui
s'empiffrent des sommes phénoménales, de coulage du bas en haut de l'échelle.


Les charges dans le privé sont grosso modo de 78% le montant du
salaire net (ça varie légèrement en fonction du statut). Regarde le
montant des charges sur ta fiche de paie et le montant de celles qui
sont réellement réglées !...


Et regardes surtout pourquoi les caisses du privé sont dans le rouge, pourquoi
les actifs cotisent toujours plus: parceque des catégories entières
de gens qui n'ont jamais voulu cotiser, en particulier les artisans, paysans
et autres petits commerçants à la Stéphane ont tout d'un coup bénéficié de la
manne au frais des autres. Et ne parlons pas des 100 000 "intermittents du
spectacle" et autres du même genre. Ce ne sont pas les fonctionnaires qui
parasitent les caisses de retraîte du privé, contrairement à la propagande
éhontée de ceux qui sont justement les bénéficiaires gratis.


JKB


--

Michel TALON



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Bibop
Le Sat, 15 Apr 2006 13:29:40 +0000, Michel Talon a écrit :

JKB wrote:
universités de troisième zone comme tu dis, ta place n'est pas
assurée si tu n'en fous pas une rame. Quant au salaire, le prof


Si. Pour te virer il faut que tu violes une étudiante, au minimum.

d'université en France gagne plus que le prof de troisième zone aux
USA parce que même en troisième zone, il faut être un minimum bon.


Facile à dire. L'herbe est toujours plus verte dans le champ du voisin.

En France, il faut avoir la planque (mdc ou pdu), deux ou trois
étudiants à encadrer et quelques heures sup et le tour est joué.


Désolé mais les heures sup ailleurs qu'en info ça ne court pas les rues.

Par ailleurs, le recrutement des profs d'université en France (les
fameux CNU) sont plus du clientélisme ou du copinage qu'un réel


Ben tiens. D'abord ce n'est pas le CNU qui recrute, grace à l'autonomie des
universités, ce sont les commissions de spécialistes locales. Il se trouve que
je fais partie d'une, à Montpellier, et j'ai pu constater que, contrairement à
ce que tu dis, pour une place il y avait une vingtaine de candidats, tous
raisonnablement bons. On a en auditionné 6, qui étaient tous bons, et en
choisir un parmi ces 6 était difficile. Là encore ce sont des ragots de gens
aigris que tu nous sors.

Pour les maths et le CNRS, voici un exemple de la facilité qu'il y a à
obtenir un poste:

http://www.madore.org/~david/weblog/
"
Mathématiques et compétition

Les résultats du concours du CNRS seront probablement connus d'ici un ou deux
jours. Je n'ai que très peu d'espoir pour moi-même (ne serait-ce que parce
que, comme m'a averti un jour mon directeur de thèse : votre thèse ne contient
pas de cohomologie, et donc n'impressionnera jamais les Français), donc je ne
suis pas trop stressé[#], mais cela m'offre l'occasion de réfléchir à ce
système bizarre de recrutement des mathématiciens par concours.

Outre que le nombre de places est ridiculement faible eu égard au nombre de
candidats *(12 places pour autour de 260 candidats)*, je vois au moins deux
problèmes graves à recruter par concours. Le premier, c'est que concours
implique classement et qu'il est impossible de comparer deux candidats, étant
donné qu'ils ne passent pas une épreuve mais présentent un dossier, et que le
jury en est donc réduit à l'absurdité de savoir s'il vaut mieux avoir démontré
le théorème foo ou le théorème bar[#2], sachant qu'en général l'un n'implique
pas trivialement l'autre donc un classement ne correspond pas à un ordre
logique, bref, de faire un tri plus entre les domaines de recherche qu'entre
les candidats. Le second problème, encore plus grave, c'est que c'est
fondamentalement contraire à l'esprit de la recherche, telle que je la
conçois, que de placer les chercheurs dans une situation de compétition
"

suivi de:

"
CNRS, merci d'avoir joué

Ça n'a rien d'une surprise, mais les résultats (encore officieux) du CNRS sont
tombés tout à l'heure, et je ne suis pas admissible (ni classé). Bon, quand on
voit qui d'autre ils n'ont pas classé, on ne peut pas dire que ce soit
déshonorant.
"

Il se trouve que je connais David Madore, qui est ancien élève de l'ENS (Ulm)
où il est rentré dans les premiers, sinon premier, et idem pour l'agrégation.

Ce sont des gens de cette qualité qui n'arrivent pas à décrocher un poste,
alors je pense que le minimum de décence voudrait que des gens qui ne leur
arrivent pas à la semelle cessent les critiques stupides. Tu ne te grandis
certainement pas avec les âneries que tu racontes.


Ouaips, révise tes chiffres et on rediscutera après. Tu n'as pas du
aller souvent dans les universités moyennes des USA.



J'ai eu un professeur de Berkeley, qui est une université du premier rang dans
mon bureau, et je vois trés bien pourquoi il est stupide de tenir des propos
comme les tiens.


JKB




ouhla, si David n'a pas été reçu,
c'est comme si tu me disais que Stephen Hawkings a été recalé !


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stephane
Oui, ce n'est pas la première fois que j'entends des choses ahurissantes
venant de l'INSEE sur ce newsgroup. Moi je te cite des chiffres précis,



Une fois de plus tu étales ton immense culture scolaire, moi j'ai cité les
salaires d'enseignats, et l'INSE cite des "salaires moyens". Le fait que les
deux ne concordent pas ne prouve absolument rien sinon ton immense crassitude.


Relis ta phrase Michel, je l'ai laisse pour que tu te rendes bien compte
de tes enormites.


--
http://www.unices.org Photos, humour et autres blogueries



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stephane
On 2006-04-15, Michel Talon wrote:
Les profs (récemment, secondaire et supérieur), les impôts (il y a
Où est-ce que les profs du supérieur ont fait grève? Tu veux parler des

étudiants, sans doute ...


Ben la, faut dire aussi que ca va etre tres tres dur de trouver une
bonne raison.

Oui, mais leur personnel a un statut de droit privé, ce qui leur permet
justement d'avoir fréquemment un salaire considérablement supérieur, des
horaires considérablement allégés, etc. Or c'est bien le statut des personnels
qui te pose problème, pas le statut de la société.


T'as pas l'impression d'etre un tout petit peu de mauvaise foi.

On va resumer, pour que tout le monde comprenne, la vision
prive/publique selon Michel Talon :

- Fonctionnaire : prof,
- Salarie du prive : employe de la SNCF ou d'EDF.

Je commence a comprendre pourquoi tu penses que les gens du prives sont
mieux lottis.

Michel, il y a une vie en France, tu sais ? t'as pas oublie ? tu sais
des gens qui ne sont ni dans des grands groupes plus ou moins soutenus
par l'Etat ni profs, il y a des PME, des TPE, des usines et plein
d'autres choses ou les gens gagnent moins que les assimiles
fonctionnaires que tu consideres comme salaries du prive.


--
http://www.unices.org Photos, humour et autres blogueries


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stephane
On 2006-04-15, Michel Talon wrote:

que les salaires du public sont payés par le boulot du privé. Le privé a
largement autant d'inefficacités, de dépenses somptuaires, de PDG qui
s'empiffrent des sommes phénoménales, de coulage du bas en haut de l'échelle.


Pour mieux comprendre Michel, il ne faut pas oublier qu'il comprend par
prive : EDF, SNCF ou France Telecom et qu'il n'inclue absolument pas les 80%
restants de la population.

Parce qu'un PDG de PME qui s'empriffre une somme phenomenale, ca doit
bien faire 20 ans que ca existe plus. Au mieux, il en existe qui
gagnent bien leur vie.

Et regardes surtout pourquoi les caisses du privé sont dans le rouge, pourquoi
les actifs cotisent toujours plus: parceque des catégories entières
de gens qui n'ont jamais voulu cotiser, en particulier les artisans, paysans
et autres petits commerçants à la Stéphane ont tout d'un coup bénéficié de la
manne au frais des autres. Et ne parlons pas des 100 000 "intermittents du
spectacle" et autres du même genre. Ce ne sont pas les fonctionnaires qui
parasitent les caisses de retraîte du privé, contrairement à la propagande
éhontée de ceux qui sont justement les bénéficiaires gratis.


Euh, un artisan paye 55% de sa marge nette en CS en tous genres, qu'il
le veuille ou non. Et si il le fait pas, il est dans une situation
illegale et nombre de mes copains ont fait de la taule pour ca.

En fait, je suis pas surpris par ton discourd, il demontre surtout que
tu n'as pas la moindre idee de ce qui se passe dehors et que tu n'en as
qu'une vision tres theorique. Ce qui m'inquiete plus, c'est que la
plupart des dirigeants ont la meme vision que toi. Celle de la
supposition, de l'idee recue et surtout de l'incompetence notoire a
comprendre la realite.


--
http://www.unices.org Photos, humour et autres blogueries

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Emmanuel Florac
Le Sat, 15 Apr 2006 15:50:01 +0200, Bibop a écrit :



ouhla, si David n'a pas été reçu,
c'est comme si tu me disais que Stephen Hawkings a été recalé !


Si tu pouvais éviter de citer 100 lignes pour 2 de réponse...

--
Quidquid latine dictum sit, altum sonatur

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Emmanuel Florac
Le Sat, 15 Apr 2006 11:12:48 +0000, JKB a écrit :


Conclusion : la connerie est trop souvent subventionnée (au passage on
trouve trop souvent dans la fonction publique des gens qui sont inaptes
à travailler dans le privé. Il y a de la réforme à faire...).


Non, il y a des inaptes dans toutes les grosses structures, il y en a
autant chez Total qu'à la poste.

--
Le travail est la malédiction des classes qui boivent.
O. Wilde.

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talon
wrote:
Oui, ce n'est pas la première fois que j'entends des choses ahurissantes
venant de l'INSEE sur ce newsgroup. Moi je te cite des chiffres précis,



Une fois de plus tu étales ton immense culture scolaire, moi j'ai cité les
salaires d'enseignats, et l'INSE cite des "salaires moyens". Le fait que les
deux ne concordent pas ne prouve absolument rien sinon ton immense crassitude.


Relis ta phrase Michel, je l'ai laisse pour que tu te rendes bien compte
de tes enormites.



Je ne dis aucune énormité. Je dis que le salaire de fin de carrière d'un prof
agrégé est de 3000 euros, j'en sais quelquue chose il suffit que je regarde
mon barême. Je sais qu'un prof capétien ou un jeune chercheur gagne 2000
euros. Ce sont des chiffres concrets absolument certains. Mais ce ne sont pas
des "salaires moyens de la fonction publique". Donc ce n'est pas
contradictoire formellement avec le chiffre qu'annonce l'INSEE. Celà étant,
je sais aussi qu'il y a de trés nombreux fonctionnaires de catégorie B et C
et non pas de catégorie A comme les profs qui donc, censément gagnent moins.
Donc je suis quand même perplexe quend je vois ce chiffre de l'INSEE. Quand
je vois un chiffre qui est contraire à tout ce qui me paraît raisonnable, la
première des choses que je demande, c'est des preuves. Autrement dit c'est pas
parceque c'est écrit à l'INSEE que c'est forcément vrai, ou que c'est
forcément assorti de toutes les précautions nécessaires. Il y a beaucoup
d'articles scientifiques qui sont *faux* je ne vois pas pourquoi il n'y aurait
pas des travaux de l'INSEE qui sont faux, même si je n'en ai aucune preuve.
L'autre jour on a entendu que l'INSEE a "démontré" que telle décision
économique n'avait entraîné aucun effet, là encore contrairement à toute
logique. Il est possible que ce soit vrai, il est possible que les ingénieurs
de l'INSEE aient rédigé leur article au café du coin entre deux billards.
L'INSEE prétend bien qu'il n'y a pas eu d'inflation en France ces dernières
années, voilà une affirmation de l'INSEE dont tout le monde peut constater
à quel point elle est grossièrement fausse et ridicule. Les gens de l'INSEE
eux sont sous les ordres de leurs chefs.






--

Michel TALON