universités de troisième zone comme tu dis, ta place n'est pas
assurée si tu n'en fous pas une rame. Quant au salaire, le prof
d'université en France gagne plus que le prof de troisième zone aux
USA parce que même en troisième zone, il faut être un minimum bon.
En France, il faut avoir la planque (mdc ou pdu), deux ou trois
étudiants à encadrer et quelques heures sup et le tour est joué.
Par ailleurs, le recrutement des profs d'université en France (les
fameux CNU) sont plus du clientélisme ou du copinage qu'un réel
Ouaips, révise tes chiffres et on rediscutera après. Tu n'as pas du
aller souvent dans les universités moyennes des USA.
JKB
universités de troisième zone comme tu dis, ta place n'est pas
assurée si tu n'en fous pas une rame. Quant au salaire, le prof
d'université en France gagne plus que le prof de troisième zone aux
USA parce que même en troisième zone, il faut être un minimum bon.
En France, il faut avoir la planque (mdc ou pdu), deux ou trois
étudiants à encadrer et quelques heures sup et le tour est joué.
Par ailleurs, le recrutement des profs d'université en France (les
fameux CNU) sont plus du clientélisme ou du copinage qu'un réel
Ouaips, révise tes chiffres et on rediscutera après. Tu n'as pas du
aller souvent dans les universités moyennes des USA.
JKB
universités de troisième zone comme tu dis, ta place n'est pas
assurée si tu n'en fous pas une rame. Quant au salaire, le prof
d'université en France gagne plus que le prof de troisième zone aux
USA parce que même en troisième zone, il faut être un minimum bon.
En France, il faut avoir la planque (mdc ou pdu), deux ou trois
étudiants à encadrer et quelques heures sup et le tour est joué.
Par ailleurs, le recrutement des profs d'université en France (les
fameux CNU) sont plus du clientélisme ou du copinage qu'un réel
Ouaips, révise tes chiffres et on rediscutera après. Tu n'as pas du
aller souvent dans les universités moyennes des USA.
JKB
Les profs (récemment, secondaire et supérieur), les impôts (il y a
un mois)... Maintenant, dire que l'EDF, la RATP et la SNCF ne sont
pas des fonctionnaires est un raisonnement de jésuite parce que ce
sont des _services publics_ ou des sociétés ayant obligation de
_service public_ (dont certaines sont largement subventionnées).
JKB
Les profs (récemment, secondaire et supérieur), les impôts (il y a
un mois)... Maintenant, dire que l'EDF, la RATP et la SNCF ne sont
pas des fonctionnaires est un raisonnement de jésuite parce que ce
sont des _services publics_ ou des sociétés ayant obligation de
_service public_ (dont certaines sont largement subventionnées).
JKB
Les profs (récemment, secondaire et supérieur), les impôts (il y a
un mois)... Maintenant, dire que l'EDF, la RATP et la SNCF ne sont
pas des fonctionnaires est un raisonnement de jésuite parce que ce
sont des _services publics_ ou des sociétés ayant obligation de
_service public_ (dont certaines sont largement subventionnées).
JKB
Le 15-04-2006, à propos de
Re: Flexibilité,
Michel Talon écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :JKB wrote:Le 14-04-2006, à propos de
Maintenant, dans tous les avantages de la fonction publique, il y a
aussi l'histoire de la retraite (et du calcul du montant entre les
25 meilleures années dans le privé et les x derniers mois dans le
public [6 de mémoire]). Rien que cela et les fonds de pensions sont
un scandale.
En quoi c'est un scandale si on ne tape pas dans les caisses du privé pour
payer les retraîtes des fonctionnaires?
Alors commence par payer correctement les caisses de retraite.
Les charges des salaires de la fonction publique sont financées par
le secteur privé parce que l'état est son propre garant.
Les charges dans le privé sont grosso modo de 78% le montant du
salaire net (ça varie légèrement en fonction du statut). Regarde le
montant des charges sur ta fiche de paie et le montant de celles qui
sont réellement réglées !...
JKB
Le 15-04-2006, à propos de
Re: Flexibilité,
Michel Talon écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
JKB <knatschke@koenigsberg.fr> wrote:
Le 14-04-2006, à propos de
Maintenant, dans tous les avantages de la fonction publique, il y a
aussi l'histoire de la retraite (et du calcul du montant entre les
25 meilleures années dans le privé et les x derniers mois dans le
public [6 de mémoire]). Rien que cela et les fonds de pensions sont
un scandale.
En quoi c'est un scandale si on ne tape pas dans les caisses du privé pour
payer les retraîtes des fonctionnaires?
Alors commence par payer correctement les caisses de retraite.
Les charges des salaires de la fonction publique sont financées par
le secteur privé parce que l'état est son propre garant.
Les charges dans le privé sont grosso modo de 78% le montant du
salaire net (ça varie légèrement en fonction du statut). Regarde le
montant des charges sur ta fiche de paie et le montant de celles qui
sont réellement réglées !...
JKB
Le 15-04-2006, à propos de
Re: Flexibilité,
Michel Talon écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :JKB wrote:Le 14-04-2006, à propos de
Maintenant, dans tous les avantages de la fonction publique, il y a
aussi l'histoire de la retraite (et du calcul du montant entre les
25 meilleures années dans le privé et les x derniers mois dans le
public [6 de mémoire]). Rien que cela et les fonds de pensions sont
un scandale.
En quoi c'est un scandale si on ne tape pas dans les caisses du privé pour
payer les retraîtes des fonctionnaires?
Alors commence par payer correctement les caisses de retraite.
Les charges des salaires de la fonction publique sont financées par
le secteur privé parce que l'état est son propre garant.
Les charges dans le privé sont grosso modo de 78% le montant du
salaire net (ça varie légèrement en fonction du statut). Regarde le
montant des charges sur ta fiche de paie et le montant de celles qui
sont réellement réglées !...
JKB
JKB wrote:universités de troisième zone comme tu dis, ta place n'est pas
assurée si tu n'en fous pas une rame. Quant au salaire, le prof
Si. Pour te virer il faut que tu violes une étudiante, au minimum.d'université en France gagne plus que le prof de troisième zone aux
USA parce que même en troisième zone, il faut être un minimum bon.
Facile à dire. L'herbe est toujours plus verte dans le champ du voisin.En France, il faut avoir la planque (mdc ou pdu), deux ou trois
étudiants à encadrer et quelques heures sup et le tour est joué.
Désolé mais les heures sup ailleurs qu'en info ça ne court pas les rues.Par ailleurs, le recrutement des profs d'université en France (les
fameux CNU) sont plus du clientélisme ou du copinage qu'un réel
Ben tiens. D'abord ce n'est pas le CNU qui recrute, grace à l'autonomie des
universités, ce sont les commissions de spécialistes locales. Il se trouve que
je fais partie d'une, à Montpellier, et j'ai pu constater que, contrairement à
ce que tu dis, pour une place il y avait une vingtaine de candidats, tous
raisonnablement bons. On a en auditionné 6, qui étaient tous bons, et en
choisir un parmi ces 6 était difficile. Là encore ce sont des ragots de gens
aigris que tu nous sors.
Pour les maths et le CNRS, voici un exemple de la facilité qu'il y a à
obtenir un poste:
http://www.madore.org/~david/weblog/
"
Mathématiques et compétition
Les résultats du concours du CNRS seront probablement connus d'ici un ou deux
jours. Je n'ai que très peu d'espoir pour moi-même (ne serait-ce que parce
que, comme m'a averti un jour mon directeur de thèse : votre thèse ne contient
pas de cohomologie, et donc n'impressionnera jamais les Français), donc je ne
suis pas trop stressé[#], mais cela m'offre l'occasion de réfléchir à ce
système bizarre de recrutement des mathématiciens par concours.
Outre que le nombre de places est ridiculement faible eu égard au nombre de
candidats *(12 places pour autour de 260 candidats)*, je vois au moins deux
problèmes graves à recruter par concours. Le premier, c'est que concours
implique classement et qu'il est impossible de comparer deux candidats, étant
donné qu'ils ne passent pas une épreuve mais présentent un dossier, et que le
jury en est donc réduit à l'absurdité de savoir s'il vaut mieux avoir démontré
le théorème foo ou le théorème bar[#2], sachant qu'en général l'un n'implique
pas trivialement l'autre donc un classement ne correspond pas à un ordre
logique, bref, de faire un tri plus entre les domaines de recherche qu'entre
les candidats. Le second problème, encore plus grave, c'est que c'est
fondamentalement contraire à l'esprit de la recherche, telle que je la
conçois, que de placer les chercheurs dans une situation de compétition
"
suivi de:
"
CNRS, merci d'avoir joué
Ça n'a rien d'une surprise, mais les résultats (encore officieux) du CNRS sont
tombés tout à l'heure, et je ne suis pas admissible (ni classé). Bon, quand on
voit qui d'autre ils n'ont pas classé, on ne peut pas dire que ce soit
déshonorant.
"
Il se trouve que je connais David Madore, qui est ancien élève de l'ENS (Ulm)
où il est rentré dans les premiers, sinon premier, et idem pour l'agrégation.
Ce sont des gens de cette qualité qui n'arrivent pas à décrocher un poste,
alors je pense que le minimum de décence voudrait que des gens qui ne leur
arrivent pas à la semelle cessent les critiques stupides. Tu ne te grandis
certainement pas avec les âneries que tu racontes.
Ouaips, révise tes chiffres et on rediscutera après. Tu n'as pas du
aller souvent dans les universités moyennes des USA.
J'ai eu un professeur de Berkeley, qui est une université du premier rang dans
mon bureau, et je vois trés bien pourquoi il est stupide de tenir des propos
comme les tiens.
JKB
JKB <knatschke@koenigsberg.fr> wrote:
universités de troisième zone comme tu dis, ta place n'est pas
assurée si tu n'en fous pas une rame. Quant au salaire, le prof
Si. Pour te virer il faut que tu violes une étudiante, au minimum.
d'université en France gagne plus que le prof de troisième zone aux
USA parce que même en troisième zone, il faut être un minimum bon.
Facile à dire. L'herbe est toujours plus verte dans le champ du voisin.
En France, il faut avoir la planque (mdc ou pdu), deux ou trois
étudiants à encadrer et quelques heures sup et le tour est joué.
Désolé mais les heures sup ailleurs qu'en info ça ne court pas les rues.
Par ailleurs, le recrutement des profs d'université en France (les
fameux CNU) sont plus du clientélisme ou du copinage qu'un réel
Ben tiens. D'abord ce n'est pas le CNU qui recrute, grace à l'autonomie des
universités, ce sont les commissions de spécialistes locales. Il se trouve que
je fais partie d'une, à Montpellier, et j'ai pu constater que, contrairement à
ce que tu dis, pour une place il y avait une vingtaine de candidats, tous
raisonnablement bons. On a en auditionné 6, qui étaient tous bons, et en
choisir un parmi ces 6 était difficile. Là encore ce sont des ragots de gens
aigris que tu nous sors.
Pour les maths et le CNRS, voici un exemple de la facilité qu'il y a à
obtenir un poste:
http://www.madore.org/~david/weblog/
"
Mathématiques et compétition
Les résultats du concours du CNRS seront probablement connus d'ici un ou deux
jours. Je n'ai que très peu d'espoir pour moi-même (ne serait-ce que parce
que, comme m'a averti un jour mon directeur de thèse : votre thèse ne contient
pas de cohomologie, et donc n'impressionnera jamais les Français), donc je ne
suis pas trop stressé[#], mais cela m'offre l'occasion de réfléchir à ce
système bizarre de recrutement des mathématiciens par concours.
Outre que le nombre de places est ridiculement faible eu égard au nombre de
candidats *(12 places pour autour de 260 candidats)*, je vois au moins deux
problèmes graves à recruter par concours. Le premier, c'est que concours
implique classement et qu'il est impossible de comparer deux candidats, étant
donné qu'ils ne passent pas une épreuve mais présentent un dossier, et que le
jury en est donc réduit à l'absurdité de savoir s'il vaut mieux avoir démontré
le théorème foo ou le théorème bar[#2], sachant qu'en général l'un n'implique
pas trivialement l'autre donc un classement ne correspond pas à un ordre
logique, bref, de faire un tri plus entre les domaines de recherche qu'entre
les candidats. Le second problème, encore plus grave, c'est que c'est
fondamentalement contraire à l'esprit de la recherche, telle que je la
conçois, que de placer les chercheurs dans une situation de compétition
"
suivi de:
"
CNRS, merci d'avoir joué
Ça n'a rien d'une surprise, mais les résultats (encore officieux) du CNRS sont
tombés tout à l'heure, et je ne suis pas admissible (ni classé). Bon, quand on
voit qui d'autre ils n'ont pas classé, on ne peut pas dire que ce soit
déshonorant.
"
Il se trouve que je connais David Madore, qui est ancien élève de l'ENS (Ulm)
où il est rentré dans les premiers, sinon premier, et idem pour l'agrégation.
Ce sont des gens de cette qualité qui n'arrivent pas à décrocher un poste,
alors je pense que le minimum de décence voudrait que des gens qui ne leur
arrivent pas à la semelle cessent les critiques stupides. Tu ne te grandis
certainement pas avec les âneries que tu racontes.
Ouaips, révise tes chiffres et on rediscutera après. Tu n'as pas du
aller souvent dans les universités moyennes des USA.
J'ai eu un professeur de Berkeley, qui est une université du premier rang dans
mon bureau, et je vois trés bien pourquoi il est stupide de tenir des propos
comme les tiens.
JKB
JKB wrote:universités de troisième zone comme tu dis, ta place n'est pas
assurée si tu n'en fous pas une rame. Quant au salaire, le prof
Si. Pour te virer il faut que tu violes une étudiante, au minimum.d'université en France gagne plus que le prof de troisième zone aux
USA parce que même en troisième zone, il faut être un minimum bon.
Facile à dire. L'herbe est toujours plus verte dans le champ du voisin.En France, il faut avoir la planque (mdc ou pdu), deux ou trois
étudiants à encadrer et quelques heures sup et le tour est joué.
Désolé mais les heures sup ailleurs qu'en info ça ne court pas les rues.Par ailleurs, le recrutement des profs d'université en France (les
fameux CNU) sont plus du clientélisme ou du copinage qu'un réel
Ben tiens. D'abord ce n'est pas le CNU qui recrute, grace à l'autonomie des
universités, ce sont les commissions de spécialistes locales. Il se trouve que
je fais partie d'une, à Montpellier, et j'ai pu constater que, contrairement à
ce que tu dis, pour une place il y avait une vingtaine de candidats, tous
raisonnablement bons. On a en auditionné 6, qui étaient tous bons, et en
choisir un parmi ces 6 était difficile. Là encore ce sont des ragots de gens
aigris que tu nous sors.
Pour les maths et le CNRS, voici un exemple de la facilité qu'il y a à
obtenir un poste:
http://www.madore.org/~david/weblog/
"
Mathématiques et compétition
Les résultats du concours du CNRS seront probablement connus d'ici un ou deux
jours. Je n'ai que très peu d'espoir pour moi-même (ne serait-ce que parce
que, comme m'a averti un jour mon directeur de thèse : votre thèse ne contient
pas de cohomologie, et donc n'impressionnera jamais les Français), donc je ne
suis pas trop stressé[#], mais cela m'offre l'occasion de réfléchir à ce
système bizarre de recrutement des mathématiciens par concours.
Outre que le nombre de places est ridiculement faible eu égard au nombre de
candidats *(12 places pour autour de 260 candidats)*, je vois au moins deux
problèmes graves à recruter par concours. Le premier, c'est que concours
implique classement et qu'il est impossible de comparer deux candidats, étant
donné qu'ils ne passent pas une épreuve mais présentent un dossier, et que le
jury en est donc réduit à l'absurdité de savoir s'il vaut mieux avoir démontré
le théorème foo ou le théorème bar[#2], sachant qu'en général l'un n'implique
pas trivialement l'autre donc un classement ne correspond pas à un ordre
logique, bref, de faire un tri plus entre les domaines de recherche qu'entre
les candidats. Le second problème, encore plus grave, c'est que c'est
fondamentalement contraire à l'esprit de la recherche, telle que je la
conçois, que de placer les chercheurs dans une situation de compétition
"
suivi de:
"
CNRS, merci d'avoir joué
Ça n'a rien d'une surprise, mais les résultats (encore officieux) du CNRS sont
tombés tout à l'heure, et je ne suis pas admissible (ni classé). Bon, quand on
voit qui d'autre ils n'ont pas classé, on ne peut pas dire que ce soit
déshonorant.
"
Il se trouve que je connais David Madore, qui est ancien élève de l'ENS (Ulm)
où il est rentré dans les premiers, sinon premier, et idem pour l'agrégation.
Ce sont des gens de cette qualité qui n'arrivent pas à décrocher un poste,
alors je pense que le minimum de décence voudrait que des gens qui ne leur
arrivent pas à la semelle cessent les critiques stupides. Tu ne te grandis
certainement pas avec les âneries que tu racontes.
Ouaips, révise tes chiffres et on rediscutera après. Tu n'as pas du
aller souvent dans les universités moyennes des USA.
J'ai eu un professeur de Berkeley, qui est une université du premier rang dans
mon bureau, et je vois trés bien pourquoi il est stupide de tenir des propos
comme les tiens.
JKB
Oui, ce n'est pas la première fois que j'entends des choses ahurissantes
venant de l'INSEE sur ce newsgroup. Moi je te cite des chiffres précis,
Une fois de plus tu étales ton immense culture scolaire, moi j'ai cité les
salaires d'enseignats, et l'INSE cite des "salaires moyens". Le fait que les
deux ne concordent pas ne prouve absolument rien sinon ton immense crassitude.
Oui, ce n'est pas la première fois que j'entends des choses ahurissantes
venant de l'INSEE sur ce newsgroup. Moi je te cite des chiffres précis,
Une fois de plus tu étales ton immense culture scolaire, moi j'ai cité les
salaires d'enseignats, et l'INSE cite des "salaires moyens". Le fait que les
deux ne concordent pas ne prouve absolument rien sinon ton immense crassitude.
Oui, ce n'est pas la première fois que j'entends des choses ahurissantes
venant de l'INSEE sur ce newsgroup. Moi je te cite des chiffres précis,
Une fois de plus tu étales ton immense culture scolaire, moi j'ai cité les
salaires d'enseignats, et l'INSE cite des "salaires moyens". Le fait que les
deux ne concordent pas ne prouve absolument rien sinon ton immense crassitude.
Les profs (récemment, secondaire et supérieur), les impôts (il y a
Où est-ce que les profs du supérieur ont fait grève? Tu veux parler des
étudiants, sans doute ...
Oui, mais leur personnel a un statut de droit privé, ce qui leur permet
justement d'avoir fréquemment un salaire considérablement supérieur, des
horaires considérablement allégés, etc. Or c'est bien le statut des personnels
qui te pose problème, pas le statut de la société.
Les profs (récemment, secondaire et supérieur), les impôts (il y a
Où est-ce que les profs du supérieur ont fait grève? Tu veux parler des
étudiants, sans doute ...
Oui, mais leur personnel a un statut de droit privé, ce qui leur permet
justement d'avoir fréquemment un salaire considérablement supérieur, des
horaires considérablement allégés, etc. Or c'est bien le statut des personnels
qui te pose problème, pas le statut de la société.
Les profs (récemment, secondaire et supérieur), les impôts (il y a
Où est-ce que les profs du supérieur ont fait grève? Tu veux parler des
étudiants, sans doute ...
Oui, mais leur personnel a un statut de droit privé, ce qui leur permet
justement d'avoir fréquemment un salaire considérablement supérieur, des
horaires considérablement allégés, etc. Or c'est bien le statut des personnels
qui te pose problème, pas le statut de la société.
que les salaires du public sont payés par le boulot du privé. Le privé a
largement autant d'inefficacités, de dépenses somptuaires, de PDG qui
s'empiffrent des sommes phénoménales, de coulage du bas en haut de l'échelle.
Et regardes surtout pourquoi les caisses du privé sont dans le rouge, pourquoi
les actifs cotisent toujours plus: parceque des catégories entières
de gens qui n'ont jamais voulu cotiser, en particulier les artisans, paysans
et autres petits commerçants à la Stéphane ont tout d'un coup bénéficié de la
manne au frais des autres. Et ne parlons pas des 100 000 "intermittents du
spectacle" et autres du même genre. Ce ne sont pas les fonctionnaires qui
parasitent les caisses de retraîte du privé, contrairement à la propagande
éhontée de ceux qui sont justement les bénéficiaires gratis.
que les salaires du public sont payés par le boulot du privé. Le privé a
largement autant d'inefficacités, de dépenses somptuaires, de PDG qui
s'empiffrent des sommes phénoménales, de coulage du bas en haut de l'échelle.
Et regardes surtout pourquoi les caisses du privé sont dans le rouge, pourquoi
les actifs cotisent toujours plus: parceque des catégories entières
de gens qui n'ont jamais voulu cotiser, en particulier les artisans, paysans
et autres petits commerçants à la Stéphane ont tout d'un coup bénéficié de la
manne au frais des autres. Et ne parlons pas des 100 000 "intermittents du
spectacle" et autres du même genre. Ce ne sont pas les fonctionnaires qui
parasitent les caisses de retraîte du privé, contrairement à la propagande
éhontée de ceux qui sont justement les bénéficiaires gratis.
que les salaires du public sont payés par le boulot du privé. Le privé a
largement autant d'inefficacités, de dépenses somptuaires, de PDG qui
s'empiffrent des sommes phénoménales, de coulage du bas en haut de l'échelle.
Et regardes surtout pourquoi les caisses du privé sont dans le rouge, pourquoi
les actifs cotisent toujours plus: parceque des catégories entières
de gens qui n'ont jamais voulu cotiser, en particulier les artisans, paysans
et autres petits commerçants à la Stéphane ont tout d'un coup bénéficié de la
manne au frais des autres. Et ne parlons pas des 100 000 "intermittents du
spectacle" et autres du même genre. Ce ne sont pas les fonctionnaires qui
parasitent les caisses de retraîte du privé, contrairement à la propagande
éhontée de ceux qui sont justement les bénéficiaires gratis.
ouhla, si David n'a pas été reçu,
c'est comme si tu me disais que Stephen Hawkings a été recalé !
ouhla, si David n'a pas été reçu,
c'est comme si tu me disais que Stephen Hawkings a été recalé !
ouhla, si David n'a pas été reçu,
c'est comme si tu me disais que Stephen Hawkings a été recalé !
Conclusion : la connerie est trop souvent subventionnée (au passage on
trouve trop souvent dans la fonction publique des gens qui sont inaptes
à travailler dans le privé. Il y a de la réforme à faire...).
Conclusion : la connerie est trop souvent subventionnée (au passage on
trouve trop souvent dans la fonction publique des gens qui sont inaptes
à travailler dans le privé. Il y a de la réforme à faire...).
Conclusion : la connerie est trop souvent subventionnée (au passage on
trouve trop souvent dans la fonction publique des gens qui sont inaptes
à travailler dans le privé. Il y a de la réforme à faire...).
Oui, ce n'est pas la première fois que j'entends des choses ahurissantes
venant de l'INSEE sur ce newsgroup. Moi je te cite des chiffres précis,
Une fois de plus tu étales ton immense culture scolaire, moi j'ai cité les
salaires d'enseignats, et l'INSE cite des "salaires moyens". Le fait que les
deux ne concordent pas ne prouve absolument rien sinon ton immense crassitude.
Relis ta phrase Michel, je l'ai laisse pour que tu te rendes bien compte
de tes enormites.
Oui, ce n'est pas la première fois que j'entends des choses ahurissantes
venant de l'INSEE sur ce newsgroup. Moi je te cite des chiffres précis,
Une fois de plus tu étales ton immense culture scolaire, moi j'ai cité les
salaires d'enseignats, et l'INSE cite des "salaires moyens". Le fait que les
deux ne concordent pas ne prouve absolument rien sinon ton immense crassitude.
Relis ta phrase Michel, je l'ai laisse pour que tu te rendes bien compte
de tes enormites.
Oui, ce n'est pas la première fois que j'entends des choses ahurissantes
venant de l'INSEE sur ce newsgroup. Moi je te cite des chiffres précis,
Une fois de plus tu étales ton immense culture scolaire, moi j'ai cité les
salaires d'enseignats, et l'INSE cite des "salaires moyens". Le fait que les
deux ne concordent pas ne prouve absolument rien sinon ton immense crassitude.
Relis ta phrase Michel, je l'ai laisse pour que tu te rendes bien compte
de tes enormites.