«Fendre, ouvrir les mots, les phrases ou les propositions pour en
extraire les énoncés » (Gilles Deleuze). Tordre le matériau pictural,
photographique, musical : le triturer pour en briser les rigidités, les
pesanteurs, les n½uds afin de faire advenir des formes nouvelles,
c'est-à-dire des manières de voir différemment les choses, d'en produire
des visibilités, ces «évidences» propres à chaque époque : telle est la
mission d'un art contemporain.
Aussi, l'½uvre la plus réaliste, réputée la plus ressemblante, est-elle
le produit d'un travail avec le matériau. C'est une invention de formes,
une énonciation plutôt qu'un reflet d'état de choses.
Sa force de vérité, l'½uvre la puise dans ce travail d'énonciation avec
le matériau qui fait advenir des sens et des regards inouïs.
Nécessairement inactuels.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Des "vulgarisateurs" de l'Art, plus ou moins talentueux, il y en a plein, de André Rieu à Doisneau en passant par les magasins de poster.
A te relire, je sais pas si on ne se méprend pas sur la sens de "vulgariser". Il ne s'agit pas de produire des oeuvres plus faciles d'accès pour le grand-public, mais de lui donner des clés d'accès à des oeuvres complexes.
-- pehache ================================= Posté depuis http://blog.saint-elie.com/news
Florent Pessaud wrote:
Des "vulgarisateurs" de l'Art, plus ou moins talentueux, il y en a
plein, de André Rieu à Doisneau en passant par les magasins de poster.
A te relire, je sais pas si on ne se méprend pas sur la sens de
"vulgariser". Il ne s'agit pas de produire des oeuvres plus faciles
d'accès pour le grand-public, mais de lui donner des clés d'accès à des
oeuvres complexes.
--
pehache
================================= Posté depuis http://blog.saint-elie.com/news
Des "vulgarisateurs" de l'Art, plus ou moins talentueux, il y en a plein, de André Rieu à Doisneau en passant par les magasins de poster.
A te relire, je sais pas si on ne se méprend pas sur la sens de "vulgariser". Il ne s'agit pas de produire des oeuvres plus faciles d'accès pour le grand-public, mais de lui donner des clés d'accès à des oeuvres complexes.
-- pehache ================================= Posté depuis http://blog.saint-elie.com/news
Bour-Brown
Florent Pessaud a écrit ( )
qui explique que Zola met en scène une noce qui tourne en eau de boudin pour dénoncer l'académisme de son époque et placer ses petits copains (mais bon, c'est humain).
Non, ce n'est pas ce qui est expliqué. C'est à la limite du contre-sens même
Tiens donc.
En gros, Zola répond, avec plus d'un siècle d'avance, à tes objections :
Zola dénonce l'inaccessibilité de la culture à la foule, dans ce fil on se plaint que l'art contemporain est hermétique au plus grand nombre, j'ai du mal à y voir un antagonisme.
1) Non, l'art, même figuratif, n'est pas accessible pour autant au "vulgum pecus"
Pour des raisons structurelles, c'est-à-dire que les oeuvres ne sont pas inaccessibles par leur essence, mais parce que le peuple n'y a pas accès. Ce ne sont pas ici les oeuvres en elles-mêmes qui sont en cause, mais le système élitiste mis en place entre autres au Louvre par l'Académisme du siècle.
2) Il ne faut pas confondre "figuratif" et "académique", en particulier Zola reprend sensiblement la même distinction que celle que faisait FiLH, qui lui aussi évoquait la peinture (complexe) de la Renaissance par opposition à l'Académisme du XIXè.
Une fois de plus, personne ne remet en cause le fait que tout art est une construction et qu'une oeuvre même figurative regorge de codes et de concepts inaccessibles sans les clés. Je maintiens que les époux Arnolfini de Van Eyck est une oeuvre beaucoup plus intelligible, toute cultures confondues, que le porte-bouteilles de Duchamp.
Bien sûr, je ne peux pas le prouver.
3) Tout ce passage de l'Assommoir, ou l'on retrouve en filigrane les critiques émises ici contre "l'Art contemporain abscons" par opposition à un certain bon goût académique, montre bien que cette théorie de "l'art contemporain abscons" est absurde :
Toi, tu dis que les problématiques étant les mêmes, cela montre qu'elles sont absurdes. Moi, je soutiens que les critiques qu'il a faites sont toujours d'actualité, que nous sommes en quelque sorte ses héritiers, et j'y vois plus un parallèle qu'une contradiction.
Florent Pessaud a écrit
(4fa76c70.0409060357.513e0876@posting.google.com )
qui explique que Zola met en scène une noce qui tourne en eau de boudin
pour dénoncer l'académisme de son époque et placer ses petits copains
(mais bon, c'est humain).
Non, ce n'est pas ce qui est expliqué. C'est à la limite du
contre-sens même
Tiens donc.
En gros, Zola répond, avec plus d'un siècle d'avance, à tes
objections :
Zola dénonce l'inaccessibilité de la culture à la foule, dans ce fil on se
plaint que l'art contemporain est hermétique au plus grand nombre, j'ai du
mal à y voir un antagonisme.
1) Non, l'art, même figuratif, n'est pas accessible pour autant au
"vulgum pecus"
Pour des raisons structurelles, c'est-à-dire que les oeuvres ne sont pas
inaccessibles par leur essence, mais parce que le peuple n'y a pas accès. Ce
ne sont pas ici les oeuvres en elles-mêmes qui sont en cause, mais le
système élitiste mis en place entre autres au Louvre par l'Académisme du
siècle.
2) Il ne faut pas confondre "figuratif" et "académique", en
particulier Zola reprend sensiblement la même distinction que celle
que faisait FiLH, qui lui aussi évoquait la peinture (complexe) de la
Renaissance par opposition à l'Académisme du XIXè.
Une fois de plus, personne ne remet en cause le fait que tout art est une
construction et qu'une oeuvre même figurative regorge de codes et de
concepts inaccessibles sans les clés. Je maintiens que les époux Arnolfini
de Van Eyck est une oeuvre beaucoup plus intelligible, toute cultures
confondues, que le porte-bouteilles de Duchamp.
Bien sûr, je ne peux pas le prouver.
3) Tout ce passage de l'Assommoir, ou l'on retrouve en filigrane les
critiques émises ici contre "l'Art contemporain abscons" par
opposition à un certain bon goût académique, montre bien que cette
théorie de "l'art contemporain abscons" est absurde :
Toi, tu dis que les problématiques étant les mêmes, cela montre qu'elles
sont absurdes. Moi, je soutiens que les critiques qu'il a faites sont
toujours d'actualité, que nous sommes en quelque sorte ses héritiers, et j'y
vois plus un parallèle qu'une contradiction.
qui explique que Zola met en scène une noce qui tourne en eau de boudin pour dénoncer l'académisme de son époque et placer ses petits copains (mais bon, c'est humain).
Non, ce n'est pas ce qui est expliqué. C'est à la limite du contre-sens même
Tiens donc.
En gros, Zola répond, avec plus d'un siècle d'avance, à tes objections :
Zola dénonce l'inaccessibilité de la culture à la foule, dans ce fil on se plaint que l'art contemporain est hermétique au plus grand nombre, j'ai du mal à y voir un antagonisme.
1) Non, l'art, même figuratif, n'est pas accessible pour autant au "vulgum pecus"
Pour des raisons structurelles, c'est-à-dire que les oeuvres ne sont pas inaccessibles par leur essence, mais parce que le peuple n'y a pas accès. Ce ne sont pas ici les oeuvres en elles-mêmes qui sont en cause, mais le système élitiste mis en place entre autres au Louvre par l'Académisme du siècle.
2) Il ne faut pas confondre "figuratif" et "académique", en particulier Zola reprend sensiblement la même distinction que celle que faisait FiLH, qui lui aussi évoquait la peinture (complexe) de la Renaissance par opposition à l'Académisme du XIXè.
Une fois de plus, personne ne remet en cause le fait que tout art est une construction et qu'une oeuvre même figurative regorge de codes et de concepts inaccessibles sans les clés. Je maintiens que les époux Arnolfini de Van Eyck est une oeuvre beaucoup plus intelligible, toute cultures confondues, que le porte-bouteilles de Duchamp.
Bien sûr, je ne peux pas le prouver.
3) Tout ce passage de l'Assommoir, ou l'on retrouve en filigrane les critiques émises ici contre "l'Art contemporain abscons" par opposition à un certain bon goût académique, montre bien que cette théorie de "l'art contemporain abscons" est absurde :
Toi, tu dis que les problématiques étant les mêmes, cela montre qu'elles sont absurdes. Moi, je soutiens que les critiques qu'il a faites sont toujours d'actualité, que nous sommes en quelque sorte ses héritiers, et j'y vois plus un parallèle qu'une contradiction.
Bour-Brown
Florent Pessaud a écrit ( )
Du temps de Zola, les peintres "abscons" qui font des trucs conceptuels (Seurat...) ou bien du barbouillage (Monet) existaient et étaient critiqués.
Plus tard ce seront kandinsky, Picasso, puis encore un peu après Pollock ou Rothko...
A la fin du XIXème les réticences sont manifestement celles de la bourgeoisie et des Académies. A la fin du XXème c'est tout l'inverse.
Fondamentalement, c'est que les nouvelles formes artistiques (et ici picturales) dérangent forcément toujours.
A partir de cette observation l'art contemporain construit un syllogisme implacable : «ce n'est pas parce que ça dérange que ce n'est pas de l'art» devient «si ça dérange on augmente la probabilité de faire de l'art». On promeut le contre-pied systématique, on encourage les expériences au petit bonheur la chance, bien malin qui peut dire si c'est de l'art, seul le temps en est capable. Et en plus, la démarche est quasiment institutionnelle, je ne compte plus les domaines où le fin du fin est de faire de l'expérimental sans jamais se soucier des conséquence, l'histoire jugera. Affligeant.
D'autre part, faire le tri entre les nouveautés pertinentes et celles vides de sens est difficile à faire dans l'instant. Ce qui, en effet, légitime *partiellement* les critiques de l'art contemporain : il y a des effets de mode, des effets de marché, et l'écrémage n'est pas encore fait.
Qu'est-ce que je disais.
Florent Pessaud a écrit
(4fa76c70.0409060357.513e0876@posting.google.com )
Du temps de Zola, les peintres "abscons" qui font des trucs
conceptuels (Seurat...) ou bien du barbouillage (Monet) existaient et
étaient critiqués.
Plus tard ce seront kandinsky, Picasso, puis encore un peu après
Pollock ou Rothko...
A la fin du XIXème les réticences sont manifestement celles de la
bourgeoisie et des Académies. A la fin du XXème c'est tout l'inverse.
Fondamentalement, c'est que les nouvelles formes artistiques (et ici
picturales) dérangent forcément toujours.
A partir de cette observation l'art contemporain construit un syllogisme
implacable : «ce n'est pas parce que ça dérange que ce n'est pas de l'art»
devient «si ça dérange on augmente la probabilité de faire de l'art». On
promeut le contre-pied systématique, on encourage les expériences au petit
bonheur la chance, bien malin qui peut dire si c'est de l'art, seul le temps
en est capable. Et en plus, la démarche est quasiment institutionnelle, je
ne compte plus les domaines où le fin du fin est de faire de l'expérimental
sans jamais se soucier des conséquence, l'histoire jugera. Affligeant.
D'autre part, faire le tri entre les nouveautés pertinentes et celles
vides de sens est difficile à faire dans l'instant. Ce qui, en effet,
légitime *partiellement* les critiques de l'art contemporain : il y a
des effets de mode, des effets de marché, et l'écrémage n'est pas
encore fait.
Du temps de Zola, les peintres "abscons" qui font des trucs conceptuels (Seurat...) ou bien du barbouillage (Monet) existaient et étaient critiqués.
Plus tard ce seront kandinsky, Picasso, puis encore un peu après Pollock ou Rothko...
A la fin du XIXème les réticences sont manifestement celles de la bourgeoisie et des Académies. A la fin du XXème c'est tout l'inverse.
Fondamentalement, c'est que les nouvelles formes artistiques (et ici picturales) dérangent forcément toujours.
A partir de cette observation l'art contemporain construit un syllogisme implacable : «ce n'est pas parce que ça dérange que ce n'est pas de l'art» devient «si ça dérange on augmente la probabilité de faire de l'art». On promeut le contre-pied systématique, on encourage les expériences au petit bonheur la chance, bien malin qui peut dire si c'est de l'art, seul le temps en est capable. Et en plus, la démarche est quasiment institutionnelle, je ne compte plus les domaines où le fin du fin est de faire de l'expérimental sans jamais se soucier des conséquence, l'histoire jugera. Affligeant.
D'autre part, faire le tri entre les nouveautés pertinentes et celles vides de sens est difficile à faire dans l'instant. Ce qui, en effet, légitime *partiellement* les critiques de l'art contemporain : il y a des effets de mode, des effets de marché, et l'écrémage n'est pas encore fait.
Qu'est-ce que je disais.
Bour-Brown
Florent Pessaud a écrit ( )
Et puis, flûte, par essence, l'Art contemporain (au sens de celui qui se produit aujourd'hui, la, maintenant) n'est pas destiné à toucher le grand public.
C'est bien ce qu'on lui reproche.
Florent Pessaud <florentpessaud@hotmail.com> a écrit
( 4fa76c70.0409060412.34f49bd8@posting.google.com )
Et puis, flûte, par essence, l'Art contemporain (au sens de celui qui
se produit aujourd'hui, la, maintenant) n'est pas destiné à toucher le
grand public.
Et puis, flûte, par essence, l'Art contemporain (au sens de celui qui se produit aujourd'hui, la, maintenant) n'est pas destiné à toucher le grand public.
C'est bien ce qu'on lui reproche.
filh
Bour-Brown wrote:
Florent Pessaud a écrit ( )
Et puis, flûte, par essence, l'Art contemporain (au sens de celui qui se produit aujourd'hui, la, maintenant) n'est pas destiné à toucher le grand public.
C'est bien ce qu'on lui reproche.
Finalement tu reproches à l'expérimentation d'être expérimentale.
Et le bleu ça gènes pas trop qu'il soit bleu ?
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Bour-Brown <Bour-Brown@wanadoo.fr> wrote:
Florent Pessaud <florentpessaud@hotmail.com> a écrit
( 4fa76c70.0409060412.34f49bd8@posting.google.com )
Et puis, flûte, par essence, l'Art contemporain (au sens de celui qui
se produit aujourd'hui, la, maintenant) n'est pas destiné à toucher le
grand public.
C'est bien ce qu'on lui reproche.
Finalement tu reproches à l'expérimentation d'être expérimentale.
Et le bleu ça gènes pas trop qu'il soit bleu ?
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Et puis, flûte, par essence, l'Art contemporain (au sens de celui qui se produit aujourd'hui, la, maintenant) n'est pas destiné à toucher le grand public.
C'est bien ce qu'on lui reproche.
Finalement tu reproches à l'expérimentation d'être expérimentale.
Et le bleu ça gènes pas trop qu'il soit bleu ?
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
pehache wrote:
FiLH wrote:
Cela ne m'empêche pas de te demander de prouver ton assertion.
Mais par exemple, en photo que penser du principe des tirages numérotés en séries limitées ? C'est tout de même un comble: on a là un procédé qui permet d'obtenir des originaux en (plus ou moins) "grand" nombre, et on limite artificiellement ce nombre...
Quel rapport avec notre citation ? Aucun.
Le rapport est avec le marché de l'art, justement.
La citation parle de l'invention de la forme. Pas du marché de l'art. Donc pas justement.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
pehache <pehache_bidon@hotmail.com> wrote:
FiLH wrote:
Cela ne m'empêche pas de te demander de prouver ton assertion.
Mais par exemple, en photo que penser du principe des tirages numérotés en
séries limitées ? C'est tout de même un comble: on a là un procédé qui
permet d'obtenir des originaux en (plus ou moins) "grand" nombre, et on
limite artificiellement ce nombre...
Quel rapport avec notre citation ? Aucun.
Le rapport est avec le marché de l'art, justement.
La citation parle de l'invention de la forme. Pas du marché de l'art.
Donc pas justement.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Cela ne m'empêche pas de te demander de prouver ton assertion.
Mais par exemple, en photo que penser du principe des tirages numérotés en séries limitées ? C'est tout de même un comble: on a là un procédé qui permet d'obtenir des originaux en (plus ou moins) "grand" nombre, et on limite artificiellement ce nombre...
Quel rapport avec notre citation ? Aucun.
Le rapport est avec le marché de l'art, justement.
La citation parle de l'invention de la forme. Pas du marché de l'art. Donc pas justement.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
jpw wrote:
"FiLH" a écrit
Il me semble même que la quantité de discussion que fait naître ce sujet montre que l'art n'est pas une discipline imbécile, loin de là.
bof celà est peut être simplement dû au nombre élevé d'imbéciles qui se prennent pour des artistes....
C'est vrai que quand Kant pond l'esthétique c'est un imbécille
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
jpw <toto@toto.com> wrote:
"FiLH" <filh@filh.org> a écrit
Il me semble même que la quantité de discussion que fait naître ce
sujet montre que l'art n'est pas une discipline imbécile, loin de là.
bof celà est peut être simplement dû au nombre élevé d'imbéciles qui
se prennent pour des artistes....
C'est vrai que quand Kant pond l'esthétique c'est un imbécille
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Il me semble même que la quantité de discussion que fait naître ce sujet montre que l'art n'est pas une discipline imbécile, loin de là.
bof celà est peut être simplement dû au nombre élevé d'imbéciles qui se prennent pour des artistes....
C'est vrai que quand Kant pond l'esthétique c'est un imbécille
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
FiLH wrote:
jpw wrote:
"FiLH" a écrit
Il me semble même que la quantité de discussion que fait naître ce sujet montre que l'art n'est pas une discipline imbécile, loin de là.
bof celà est peut être simplement dû au nombre élevé d'imbéciles qui se prennent pour des artistes....
C'est vrai que quand Kant pond l'esthétique c'est un imbécille
Hegel pas Kant
Pff...
FiLH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
FiLH <filh@filh.orgie> wrote:
jpw <toto@toto.com> wrote:
"FiLH" <filh@filh.org> a écrit
Il me semble même que la quantité de discussion que fait naître ce
sujet montre que l'art n'est pas une discipline imbécile, loin de là.
bof celà est peut être simplement dû au nombre élevé d'imbéciles qui
se prennent pour des artistes....
C'est vrai que quand Kant pond l'esthétique c'est un imbécille
Hegel pas Kant
Pff...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Il me semble même que la quantité de discussion que fait naître ce sujet montre que l'art n'est pas une discipline imbécile, loin de là.
bof celà est peut être simplement dû au nombre élevé d'imbéciles qui se prennent pour des artistes....
C'est vrai que quand Kant pond l'esthétique c'est un imbécille
Hegel pas Kant
Pff...
FiLH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
jpw
"FiLH" a écrit
C'est vrai que quand Kant pond l'esthétique c'est un imbécille
je n'en n'ai pas la moindre idée pourquoi is tu ça ??
pour faire ton malin ??
jpw
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit
C'est vrai que quand Kant pond l'esthétique c'est un imbécille
je n'en n'ai pas la moindre idée
pourquoi is tu ça ??
C'est vrai que quand Kant pond l'esthétique c'est un imbécille
je n'en n'ai pas la moindre idée pourquoi is tu ça ??
pour faire ton malin ??
jpw
filh
jpw wrote:
"FiLH" a écrit
C'est vrai que quand Kant pond l'esthétique c'est un imbécille
je n'en n'ai pas la moindre idée pourquoi is tu ça ??
pour faire ton malin ??
C'est pas parce que tu ne sais pas que je fais mon malin.
T'as la prétention d'être la mesure de ce que je dis ?
FiLH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
jpw <toto@toto.com> wrote:
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit
C'est vrai que quand Kant pond l'esthétique c'est un imbécille
je n'en n'ai pas la moindre idée
pourquoi is tu ça ??
pour faire ton malin ??
C'est pas parce que tu ne sais pas que je fais mon malin.
T'as la prétention d'être la mesure de ce que je dis ?
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
C'est vrai que quand Kant pond l'esthétique c'est un imbécille
je n'en n'ai pas la moindre idée pourquoi is tu ça ??
pour faire ton malin ??
C'est pas parce que tu ne sais pas que je fais mon malin.
T'as la prétention d'être la mesure de ce que je dis ?
FiLH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org