Attention c'est une info zdnet, troll en perspective ...
Informatique
--> Microsoft s'attaque au format JPeg
Technologie - L'éditeur américain a mis au point le format Windows Media
Photo, pour détrôner le populaire JPeg. Pris en charge dans Vista, il sera
d'ici là disponible pour Windows XP et des systèmes d'exploitation tiers.
http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39352039,00.htm
Ce qui m'inquiète c'est "systèmes d'exploitation tiers". Ils en parle mais
aucune précision. Quelqu'un en aurait ?
Je ne suis pas technicien pointu, mais si m$ parvient à multiplier le taux
de conversion et qu'il partage, c'est bien non ? Ça cache quoi ?
D'un encore autre côté, il n'y a guère de phénomènes avérés que l'on ne peut expliquer.
Euh, là, c'est faux: il y a plein de phénomènes observables pour lesquels on n'a que des hypothèses. Que ce soit en biologie, en astrophysique, en physique des particules...
Exact, j'ai été assez imprécis sur ma phrase, je parlais de phénomènes
qui seraient totalement inexplicables dans le cadre des connaissances actuelles, c'est-à-dire sans embryon d'hypothèse crédible. Évidemment, il y a des phénomènes dont le cadre théorique reste encore à valider, heureusement, les chercheurs s'emmerderaient sinon :)
-- - De conscience ? Lisa, laisse pas cette petite emmerdeuse te dire ce que tu dois faire. Homer Simpson dans les Simpson, saison 4, épisode 15.
D'un encore autre côté, il n'y a guère de phénomènes avérés que l'on ne
peut expliquer.
Euh, là, c'est faux: il y a plein de phénomènes observables pour
lesquels on n'a que des hypothèses. Que ce soit en biologie, en
astrophysique, en physique des particules...
Exact, j'ai été assez imprécis sur ma phrase, je parlais de phénomènes
qui seraient totalement inexplicables dans le cadre des connaissances
actuelles, c'est-à-dire sans embryon d'hypothèse crédible.
Évidemment, il y a des phénomènes dont le cadre théorique reste encore à
valider, heureusement, les chercheurs s'emmerderaient sinon :)
--
- De conscience ? Lisa, laisse pas cette petite emmerdeuse te dire ce que tu
dois faire.
Homer Simpson dans les Simpson, saison 4, épisode 15.
D'un encore autre côté, il n'y a guère de phénomènes avérés que l'on ne peut expliquer.
Euh, là, c'est faux: il y a plein de phénomènes observables pour lesquels on n'a que des hypothèses. Que ce soit en biologie, en astrophysique, en physique des particules...
Exact, j'ai été assez imprécis sur ma phrase, je parlais de phénomènes
qui seraient totalement inexplicables dans le cadre des connaissances actuelles, c'est-à-dire sans embryon d'hypothèse crédible. Évidemment, il y a des phénomènes dont le cadre théorique reste encore à valider, heureusement, les chercheurs s'emmerderaient sinon :)
-- - De conscience ? Lisa, laisse pas cette petite emmerdeuse te dire ce que tu dois faire. Homer Simpson dans les Simpson, saison 4, épisode 15.
Patrice Karatchentzeff
Fabien Millioz pas beau crans.org> writes:
Khanh-Dang writes:
Les derniers mots de ce que je cite, « ce qu'on croit pourtant acquis », sont révélateurs d'une incompréhension du fonctionnement de la science de la part de « on ». D'une part, en science, on ne « croit » pas. D'autre part, en science, il n'y a rien d'« acquis ».
D'un autre côté, ce que l'on ne peut démontré est souvent occulté...
D'un encore autre côté, il n'y a guère de phénomènes avérés que l'on ne
peut expliquer.
Bof, on ne parle pas de cela... la science en général préfère déclassée ipso-facto certains sujets comme pas scientifique plutôt que dire qu'elle en sait rien en dire (dans l'état de ses connaissances pour les plus prudents).
Fabien Millioz <millioz@spam pas beau crans.org> writes:
Khanh-Dang <khanh-dang@w.fr.invalid> writes:
Les derniers mots de ce que je cite, « ce qu'on croit pourtant acquis
», sont révélateurs d'une incompréhension du fonctionnement de la
science de la part de « on ». D'une part, en science, on ne « croit »
pas. D'autre part, en science, il n'y a rien d'« acquis ».
D'un autre côté, ce que l'on ne peut démontré est souvent occulté...
D'un encore autre côté, il n'y a guère de phénomènes avérés que l'on ne
peut expliquer.
Bof, on ne parle pas de cela... la science en général préfère
déclassée ipso-facto certains sujets comme pas scientifique plutôt que
dire qu'elle en sait rien en dire (dans l'état de ses connaissances
pour les plus prudents).
Les derniers mots de ce que je cite, « ce qu'on croit pourtant acquis », sont révélateurs d'une incompréhension du fonctionnement de la science de la part de « on ». D'une part, en science, on ne « croit » pas. D'autre part, en science, il n'y a rien d'« acquis ».
D'un autre côté, ce que l'on ne peut démontré est souvent occulté...
D'un encore autre côté, il n'y a guère de phénomènes avérés que l'on ne
peut expliquer.
Bof, on ne parle pas de cela... la science en général préfère déclassée ipso-facto certains sujets comme pas scientifique plutôt que dire qu'elle en sait rien en dire (dans l'état de ses connaissances pour les plus prudents).
Bof, on ne parle pas de cela... la science en général préfère déclassée ipso-facto certains sujets comme pas scientifique plutôt que dire qu'elle en sait rien en dire (dans l'état de ses connaissances pour les plus prudents).
Lesquels par exemple ?
-- Vous aussi les amis, chez vous, racontez des mensonges vous verrez ca rapproche. Et à bientôôôôôt ! Bon allez, viens, on va manger du miel. L'ours Maturin.
Bof, on ne parle pas de cela... la science en général préfère
déclassée ipso-facto certains sujets comme pas scientifique plutôt que
dire qu'elle en sait rien en dire (dans l'état de ses connaissances
pour les plus prudents).
Lesquels par exemple ?
--
Vous aussi les amis, chez vous, racontez des mensonges vous verrez ca rapproche.
Et à bientôôôôôt ! Bon allez, viens, on va manger du miel.
L'ours Maturin.
Bof, on ne parle pas de cela... la science en général préfère déclassée ipso-facto certains sujets comme pas scientifique plutôt que dire qu'elle en sait rien en dire (dans l'état de ses connaissances pour les plus prudents).
Lesquels par exemple ?
-- Vous aussi les amis, chez vous, racontez des mensonges vous verrez ca rapproche. Et à bientôôôôôt ! Bon allez, viens, on va manger du miel. L'ours Maturin.
Patrice Karatchentzeff
Fabien Millioz pas beau crans.org> writes:
Bof, on ne parle pas de cela... la science en général préfère déclassée ipso-facto certains sujets comme pas scientifique plutôt que dire qu'elle en sait rien en dire (dans l'état de ses connaissances pour les plus prudents).
Lesquels par exemple ?
Tout ce qui ne se démontre pas ou plutôt ne se quantifie pas... l'influence de l'esprit par exemple (le somatique donc par exemple dans la guérison).
Fabien Millioz <millioz@spam pas beau crans.org> writes:
Bof, on ne parle pas de cela... la science en général préfère
déclassée ipso-facto certains sujets comme pas scientifique plutôt que
dire qu'elle en sait rien en dire (dans l'état de ses connaissances
pour les plus prudents).
Lesquels par exemple ?
Tout ce qui ne se démontre pas ou plutôt ne se quantifie pas...
l'influence de l'esprit par exemple (le somatique donc par exemple
dans la guérison).
Bof, on ne parle pas de cela... la science en général préfère déclassée ipso-facto certains sujets comme pas scientifique plutôt que dire qu'elle en sait rien en dire (dans l'état de ses connaissances pour les plus prudents).
Lesquels par exemple ?
Tout ce qui ne se démontre pas ou plutôt ne se quantifie pas... l'influence de l'esprit par exemple (le somatique donc par exemple dans la guérison).
Bof, on ne parle pas de cela... la science en général préfère déclassée ipso-facto certains sujets comme pas scientifique plutôt que dire qu'elle en sait rien en dire (dans l'état de ses connaissances pour les plus prudents).
Lesquels par exemple ?
Tout ce qui ne se démontre pas ou plutôt ne se quantifie pas... l'influence de l'esprit par exemple (le somatique donc par exemple dans la guérison).
Le psychosomatique tu veux dire, le somatique étant ce qui concerne uniquement le corps.
Mais à propos d'effets psychosomatiques, il y a tout de même une quantification de certains comportement, notamment par le taux de sécrétion d'hormones qu'ils impliquent. On quantifie l'état de stress grâce au taux d'adrénaline -- ce n'est qu'un modèle --, et on connaît assez bien les effets de l'adrénaline à court et à long terme sur le corps humain. Je pense aussi aux effets de la colère qu'on relie à la production de certaines interleukines dont on sait qu'elles jouent sur le phénomène de cicatrisation.
Bof, on ne parle pas de cela... la science en général préfère
déclassée ipso-facto certains sujets comme pas scientifique plutôt
que dire qu'elle en sait rien en dire (dans l'état de ses
connaissances pour les plus prudents).
Lesquels par exemple ?
Tout ce qui ne se démontre pas ou plutôt ne se quantifie pas...
l'influence de l'esprit par exemple (le somatique donc par exemple
dans la guérison).
Le psychosomatique tu veux dire, le somatique étant ce qui concerne
uniquement le corps.
Mais à propos d'effets psychosomatiques, il y a tout de même une
quantification de certains comportement, notamment par le taux de
sécrétion d'hormones qu'ils impliquent. On quantifie l'état de stress
grâce au taux d'adrénaline -- ce n'est qu'un modèle --, et on connaît
assez bien les effets de l'adrénaline à court et à long terme sur le
corps humain. Je pense aussi aux effets de la colère qu'on relie à la
production de certaines interleukines dont on sait qu'elles jouent sur
le phénomène de cicatrisation.
Bof, on ne parle pas de cela... la science en général préfère déclassée ipso-facto certains sujets comme pas scientifique plutôt que dire qu'elle en sait rien en dire (dans l'état de ses connaissances pour les plus prudents).
Lesquels par exemple ?
Tout ce qui ne se démontre pas ou plutôt ne se quantifie pas... l'influence de l'esprit par exemple (le somatique donc par exemple dans la guérison).
Le psychosomatique tu veux dire, le somatique étant ce qui concerne uniquement le corps.
Mais à propos d'effets psychosomatiques, il y a tout de même une quantification de certains comportement, notamment par le taux de sécrétion d'hormones qu'ils impliquent. On quantifie l'état de stress grâce au taux d'adrénaline -- ce n'est qu'un modèle --, et on connaît assez bien les effets de l'adrénaline à court et à long terme sur le corps humain. Je pense aussi aux effets de la colère qu'on relie à la production de certaines interleukines dont on sait qu'elles jouent sur le phénomène de cicatrisation.
Patrice Karatchentzeff
Khanh-Dang writes:
Patrice Karatchentzeff wrote:
Bof, on ne parle pas de cela... la science en général préfère déclassée ipso-facto certains sujets comme pas scientifique plutôt que dire qu'elle en sait rien en dire (dans l'état de ses connaissances pour les plus prudents).
Lesquels par exemple ?
Tout ce qui ne se démontre pas ou plutôt ne se quantifie pas... l'influence de l'esprit par exemple (le somatique donc par exemple dans la guérison).
Le psychosomatique tu veux dire, le somatique étant ce qui concerne uniquement le corps.
oui, mea culpa ; mon clavier a chourfé.
Mais à propos d'effets psychosomatiques, il y a tout de même une quantification de certains comportement, notamment par le taux de sécrétion d'hormones qu'ils impliquent. On quantifie l'état de stress grâce au taux d'adrénaline -- ce n'est qu'un modèle --, et on connaît assez bien les effets de l'adrénaline à court et à long terme sur le corps humain. Je pense aussi aux effets de la colère qu'on relie à la production de certaines interleukines dont on sait qu'elles jouent sur le phénomène de cicatrisation.
Voilà, tout est dit : sur le psychosomatique, tu es allé droit à la quantification pour tenter d'expliquer le phénomène ; rien sur la guérison en dehors de cela si ce n'est que cela peut marcher mais aucun toubib/scientifique ne s'engagera sur cette voie...
Bof, on ne parle pas de cela... la science en général préfère
déclassée ipso-facto certains sujets comme pas scientifique plutôt
que dire qu'elle en sait rien en dire (dans l'état de ses
connaissances pour les plus prudents).
Lesquels par exemple ?
Tout ce qui ne se démontre pas ou plutôt ne se quantifie pas...
l'influence de l'esprit par exemple (le somatique donc par exemple
dans la guérison).
Le psychosomatique tu veux dire, le somatique étant ce qui concerne
uniquement le corps.
oui, mea culpa ; mon clavier a chourfé.
Mais à propos d'effets psychosomatiques, il y a tout de même une
quantification de certains comportement, notamment par le taux de
sécrétion d'hormones qu'ils impliquent. On quantifie l'état de stress
grâce au taux d'adrénaline -- ce n'est qu'un modèle --, et on connaît
assez bien les effets de l'adrénaline à court et à long terme sur le
corps humain. Je pense aussi aux effets de la colère qu'on relie à la
production de certaines interleukines dont on sait qu'elles jouent sur
le phénomène de cicatrisation.
Voilà, tout est dit : sur le psychosomatique, tu es allé droit à la
quantification pour tenter d'expliquer le phénomène ; rien sur la
guérison en dehors de cela si ce n'est que cela peut marcher mais
aucun toubib/scientifique ne s'engagera sur cette voie...
Bof, on ne parle pas de cela... la science en général préfère déclassée ipso-facto certains sujets comme pas scientifique plutôt que dire qu'elle en sait rien en dire (dans l'état de ses connaissances pour les plus prudents).
Lesquels par exemple ?
Tout ce qui ne se démontre pas ou plutôt ne se quantifie pas... l'influence de l'esprit par exemple (le somatique donc par exemple dans la guérison).
Le psychosomatique tu veux dire, le somatique étant ce qui concerne uniquement le corps.
oui, mea culpa ; mon clavier a chourfé.
Mais à propos d'effets psychosomatiques, il y a tout de même une quantification de certains comportement, notamment par le taux de sécrétion d'hormones qu'ils impliquent. On quantifie l'état de stress grâce au taux d'adrénaline -- ce n'est qu'un modèle --, et on connaît assez bien les effets de l'adrénaline à court et à long terme sur le corps humain. Je pense aussi aux effets de la colère qu'on relie à la production de certaines interleukines dont on sait qu'elles jouent sur le phénomène de cicatrisation.
Voilà, tout est dit : sur le psychosomatique, tu es allé droit à la quantification pour tenter d'expliquer le phénomène ; rien sur la guérison en dehors de cela si ce n'est que cela peut marcher mais aucun toubib/scientifique ne s'engagera sur cette voie...
On Tue, 13 Jun 2006 09:13:47 +0200 Patrice Karatchentzeff wrote:
Tout ce qui ne se démontre pas ou plutôt ne se quantifie pas... l'influence de l'esprit par exemple (le somatique donc par exemple dans la guérison).
Psychosomatique.
Bien sûr que si, c'est pris en compte. Ça l'est d'ailleurs dans toutes les études de médicaments en phase clinique (sauf quand l'éthique l'interdit), puisqu'on compare tous les médicaments à un placebo, en double aveugle. Il est acquis que le placebo a un effet, et on cherche à distinguer l'effet propre de la drogue de cet effet psychosomatique.
Si tu cherches « psychosomatic » sur PubMed, tu verras qu'il existe des journaux entiers dont le thème central est l'interaction psychê/soma. http://www.journals.elsevierhealth.com/periodicals/psr/home http://www.psychosomaticmedicine.org/
-- Jérémy JUST
On Tue, 13 Jun 2006 09:13:47 +0200
Patrice Karatchentzeff <p.karatchentzeff@free.fr> wrote:
Tout ce qui ne se démontre pas ou plutôt ne se quantifie pas...
l'influence de l'esprit par exemple (le somatique donc par exemple
dans la guérison).
Psychosomatique.
Bien sûr que si, c'est pris en compte. Ça l'est d'ailleurs dans toutes
les études de médicaments en phase clinique (sauf quand l'éthique
l'interdit), puisqu'on compare tous les médicaments à un placebo, en
double aveugle.
Il est acquis que le placebo a un effet, et on cherche à distinguer
l'effet propre de la drogue de cet effet psychosomatique.
Si tu cherches « psychosomatic » sur PubMed, tu verras qu'il existe
des journaux entiers dont le thème central est l'interaction psychê/soma.
http://www.journals.elsevierhealth.com/periodicals/psr/home
http://www.psychosomaticmedicine.org/
On Tue, 13 Jun 2006 09:13:47 +0200 Patrice Karatchentzeff wrote:
Tout ce qui ne se démontre pas ou plutôt ne se quantifie pas... l'influence de l'esprit par exemple (le somatique donc par exemple dans la guérison).
Psychosomatique.
Bien sûr que si, c'est pris en compte. Ça l'est d'ailleurs dans toutes les études de médicaments en phase clinique (sauf quand l'éthique l'interdit), puisqu'on compare tous les médicaments à un placebo, en double aveugle. Il est acquis que le placebo a un effet, et on cherche à distinguer l'effet propre de la drogue de cet effet psychosomatique.
Si tu cherches « psychosomatic » sur PubMed, tu verras qu'il existe des journaux entiers dont le thème central est l'interaction psychê/soma. http://www.journals.elsevierhealth.com/periodicals/psr/home http://www.psychosomaticmedicine.org/
-- Jérémy JUST
none
Patrice Karatchentzeff wrote:
Tout ce qui ne se démontre pas ou plutôt ne se quantifie pas... l'influence de l'esprit par exemple (le somatique donc par exemple dans la guérison).
O. Wilde : "Mon dieu, occupez-vous des maux corporels, les maux de l'esprit, je m'en charge !".
Wilde et déjà l'encapsulation de plaisanteries
costaclt
Patrice Karatchentzeff wrote:
Tout ce qui ne se démontre pas ou plutôt ne se quantifie pas...
l'influence de l'esprit par exemple (le somatique donc par exemple
dans la guérison).
O. Wilde : "Mon dieu, occupez-vous des maux corporels, les maux de
l'esprit, je m'en charge !".
Tout ce qui ne se démontre pas ou plutôt ne se quantifie pas... l'influence de l'esprit par exemple (le somatique donc par exemple dans la guérison).
O. Wilde : "Mon dieu, occupez-vous des maux corporels, les maux de l'esprit, je m'en charge !".
Wilde et déjà l'encapsulation de plaisanteries
costaclt
Patrice Karatchentzeff
Jérémy JUST writes:
On Tue, 13 Jun 2006 09:13:47 +0200 Patrice Karatchentzeff wrote:
Tout ce qui ne se démontre pas ou plutôt ne se quantifie pas... l'influence de l'esprit par exemple (le somatique donc par exemple dans la guérison).
Psychosomatique.
Bien sûr que si, c'est pris en compte. Ça l'est d'ailleurs dans toutes les études de médicaments en phase clinique (sauf quand l'éthique l'interdit), puisqu'on compare tous les médicaments à un placebo, en double aveugle. Il est acquis que le placebo a un effet, et on cherche à distinguer l'effet propre de la drogue de cet effet psychosomatique.
J'ai pris le premier exemple qui me passait par la tête : si tu veux un autre exemple dans le même cadre, prends les rebouteux...
On Tue, 13 Jun 2006 09:13:47 +0200
Patrice Karatchentzeff <p.karatchentzeff@free.fr> wrote:
Tout ce qui ne se démontre pas ou plutôt ne se quantifie pas...
l'influence de l'esprit par exemple (le somatique donc par exemple
dans la guérison).
Psychosomatique.
Bien sûr que si, c'est pris en compte. Ça l'est d'ailleurs dans toutes
les études de médicaments en phase clinique (sauf quand l'éthique
l'interdit), puisqu'on compare tous les médicaments à un placebo, en
double aveugle.
Il est acquis que le placebo a un effet, et on cherche à distinguer
l'effet propre de la drogue de cet effet psychosomatique.
J'ai pris le premier exemple qui me passait par la tête : si tu veux
un autre exemple dans le même cadre, prends les rebouteux...
On Tue, 13 Jun 2006 09:13:47 +0200 Patrice Karatchentzeff wrote:
Tout ce qui ne se démontre pas ou plutôt ne se quantifie pas... l'influence de l'esprit par exemple (le somatique donc par exemple dans la guérison).
Psychosomatique.
Bien sûr que si, c'est pris en compte. Ça l'est d'ailleurs dans toutes les études de médicaments en phase clinique (sauf quand l'éthique l'interdit), puisqu'on compare tous les médicaments à un placebo, en double aveugle. Il est acquis que le placebo a un effet, et on cherche à distinguer l'effet propre de la drogue de cet effet psychosomatique.
J'ai pris le premier exemple qui me passait par la tête : si tu veux un autre exemple dans le même cadre, prends les rebouteux...
On Tue, 13 Jun 2006 22:06:54 +0200 Patrice Karatchentzeff wrote:
J'ai pris le premier exemple qui me passait par la tête : si tu veux un autre exemple dans le même cadre, prends les rebouteux...
Je préfère prendre le cas de l'homéopathie, pour laquelle j'ai déjà lu des rapports de recherche sérieux dans les années 90.
Bilan desdits rapports: les homéopathes ont systématiquement refusé de mettre au point des protocoles permettant l'exploitation statistique des résultats. Pour résumer l'idée sous-entendue dans les prétextes, « analyser scientifiquement les résultats est contraire à la doctrine de l'homéopathie ».
Que veux-tu faire dans ce cas?
-- Jérémy JUST
On Tue, 13 Jun 2006 22:06:54 +0200
Patrice Karatchentzeff <p.karatchentzeff@free.fr> wrote:
J'ai pris le premier exemple qui me passait par la tête : si tu veux
un autre exemple dans le même cadre, prends les rebouteux...
Je préfère prendre le cas de l'homéopathie, pour laquelle j'ai déjà lu
des rapports de recherche sérieux dans les années 90.
Bilan desdits rapports: les homéopathes ont systématiquement refusé de
mettre au point des protocoles permettant l'exploitation statistique des
résultats.
Pour résumer l'idée sous-entendue dans les prétextes, « analyser
scientifiquement les résultats est contraire à la doctrine de
l'homéopathie ».
On Tue, 13 Jun 2006 22:06:54 +0200 Patrice Karatchentzeff wrote:
J'ai pris le premier exemple qui me passait par la tête : si tu veux un autre exemple dans le même cadre, prends les rebouteux...
Je préfère prendre le cas de l'homéopathie, pour laquelle j'ai déjà lu des rapports de recherche sérieux dans les années 90.
Bilan desdits rapports: les homéopathes ont systématiquement refusé de mettre au point des protocoles permettant l'exploitation statistique des résultats. Pour résumer l'idée sous-entendue dans les prétextes, « analyser scientifiquement les résultats est contraire à la doctrine de l'homéopathie ».