Attention c'est une info zdnet, troll en perspective ...
Informatique
--> Microsoft s'attaque au format JPeg
Technologie - L'éditeur américain a mis au point le format Windows Media
Photo, pour détrôner le populaire JPeg. Pris en charge dans Vista, il sera
d'ici là disponible pour Windows XP et des systèmes d'exploitation tiers.
http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39352039,00.htm
Ce qui m'inquiète c'est "systèmes d'exploitation tiers". Ils en parle mais
aucune précision. Quelqu'un en aurait ?
Je ne suis pas technicien pointu, mais si m$ parvient à multiplier le taux
de conversion et qu'il partage, c'est bien non ? Ça cache quoi ?
Voilà, tout est dit. On ne peut pas prouver donc on zappe (même si on sait que cela fonctionne chez certain). Tant pis pour le malade : la médecine est le prototype du politiquement correct... le toubib est au centre, intouchable dans son (pseudo)-savoir et le malade n'a qu'à suivre la voie du maître...
Tiens ! ... on est d'accord.
-- http://www.unices.org Photos, humour et autres blogueries http://www.pbase.com/stougard/ Pfff, encore des photos
On 2006-06-15, Patrice Karatchentzeff <p.karatchentzeff@free.fr> wrote:
Voilà, tout est dit. On ne peut pas prouver donc on zappe (même si on
sait que cela fonctionne chez certain). Tant pis pour le malade : la
médecine est le prototype du politiquement correct... le toubib est au
centre, intouchable dans son (pseudo)-savoir et le malade n'a qu'à
suivre la voie du maître...
Tiens ! ... on est d'accord.
--
http://www.unices.org Photos, humour et autres blogueries
http://www.pbase.com/stougard/ Pfff, encore des photos
Voilà, tout est dit. On ne peut pas prouver donc on zappe (même si on sait que cela fonctionne chez certain). Tant pis pour le malade : la médecine est le prototype du politiquement correct... le toubib est au centre, intouchable dans son (pseudo)-savoir et le malade n'a qu'à suivre la voie du maître...
Tiens ! ... on est d'accord.
-- http://www.unices.org Photos, humour et autres blogueries http://www.pbase.com/stougard/ Pfff, encore des photos
Fabien Millioz
Cela joue certainement un peu... mais je ne parle pas que de l'effet placebo qui est un axe de travail... il y en a plein d'autres.
Mais pour cela, il faudra une saine curiosité que les toubibs ont oublié (ou n'ont jamais pensé à intégrer) depuis longtemps...
Quel chirurgien aujourd'hui t'enverrait voir un rebooteux ? Qui ferait suivre un malade cardiaque par un ostéo ?
Tant qu'aucune étude ne prouve que les rebouteux et les ostéos n'ont pas plus d'effet qu'un placebo, je suis bien content que les médecins ne redirigent pas leur patients vers eux.
-- Pfiouh, faut se relire des fois... Vous aussi les amis, chez vous, si vos parents ne sont pas heureux, utilisez la force. Et à bientôôôôôt ! L'ours Maturin.
Cela joue certainement un peu... mais je ne parle pas que de l'effet
placebo qui est un axe de travail... il y en a plein d'autres.
Mais pour cela, il faudra une saine curiosité que les toubibs ont
oublié (ou n'ont jamais pensé à intégrer) depuis longtemps...
Quel chirurgien aujourd'hui t'enverrait voir un rebooteux ? Qui ferait
suivre un malade cardiaque par un ostéo ?
Tant qu'aucune étude ne prouve que les rebouteux et les ostéos n'ont pas
plus d'effet qu'un placebo, je suis bien content que les médecins ne
redirigent pas leur patients vers eux.
--
Pfiouh, faut se relire des fois...
Vous aussi les amis, chez vous, si vos parents ne sont pas heureux, utilisez la
force. Et à bientôôôôôt !
L'ours Maturin.
Cela joue certainement un peu... mais je ne parle pas que de l'effet placebo qui est un axe de travail... il y en a plein d'autres.
Mais pour cela, il faudra une saine curiosité que les toubibs ont oublié (ou n'ont jamais pensé à intégrer) depuis longtemps...
Quel chirurgien aujourd'hui t'enverrait voir un rebooteux ? Qui ferait suivre un malade cardiaque par un ostéo ?
Tant qu'aucune étude ne prouve que les rebouteux et les ostéos n'ont pas plus d'effet qu'un placebo, je suis bien content que les médecins ne redirigent pas leur patients vers eux.
-- Pfiouh, faut se relire des fois... Vous aussi les amis, chez vous, si vos parents ne sont pas heureux, utilisez la force. Et à bientôôôôôt ! L'ours Maturin.
Fabien Millioz
Voilà, tout est dit. On ne peut pas prouver donc on zappe (même si on sait que cela fonctionne chez certain). Tant pis pour le malade : la médecine est le prototype du politiquement correct... le toubib est au centre, intouchable dans son (pseudo)-savoir et le malade n'a qu'à suivre la voie du maître...
N'est-ce pas normal de zapper ce qui n'est pas sûr de fonctionner ?
Accessoirement, vous dites que cela marche sur certains, mais cela marche t'il plus qu'un placebo ? Cette dernière question peut être testée par la méthode scientifique, du moins.
Et le malade peut toujours suivre des médecines dites parallèles, s'il n'a pas envie de méthodes éprouvées...
En conclusion, je rectifierai votre troisième phrase par « la médecine est le prototype du scientifiquement correct » : le médecin n'est censé s'autoriser à prescrire que des médicaments et des techniques à l'efficacité avérée (aux magouilles des lobbies près). -- - Je propose une longue et inefficace recherche aux frais du contribuable, bien sûr. Un chercheur de la NASA dans les Simpson, saison 5, épisode 15.
Voilà, tout est dit. On ne peut pas prouver donc on zappe (même si on
sait que cela fonctionne chez certain). Tant pis pour le malade : la
médecine est le prototype du politiquement correct... le toubib est au
centre, intouchable dans son (pseudo)-savoir et le malade n'a qu'à
suivre la voie du maître...
N'est-ce pas normal de zapper ce qui n'est pas sûr de fonctionner ?
Accessoirement, vous dites que cela marche sur certains, mais cela marche
t'il plus qu'un placebo ?
Cette dernière question peut être testée par la méthode scientifique, du
moins.
Et le malade peut toujours suivre des médecines dites parallèles, s'il
n'a pas envie de méthodes éprouvées...
En conclusion, je rectifierai votre troisième phrase par « la médecine
est le prototype du scientifiquement correct » : le médecin n'est censé
s'autoriser à prescrire que des médicaments et des techniques à
l'efficacité avérée (aux magouilles des lobbies près).
--
- Je propose une longue et inefficace recherche aux frais du contribuable, bien
sûr.
Un chercheur de la NASA dans les Simpson, saison 5, épisode 15.
Voilà, tout est dit. On ne peut pas prouver donc on zappe (même si on sait que cela fonctionne chez certain). Tant pis pour le malade : la médecine est le prototype du politiquement correct... le toubib est au centre, intouchable dans son (pseudo)-savoir et le malade n'a qu'à suivre la voie du maître...
N'est-ce pas normal de zapper ce qui n'est pas sûr de fonctionner ?
Accessoirement, vous dites que cela marche sur certains, mais cela marche t'il plus qu'un placebo ? Cette dernière question peut être testée par la méthode scientifique, du moins.
Et le malade peut toujours suivre des médecines dites parallèles, s'il n'a pas envie de méthodes éprouvées...
En conclusion, je rectifierai votre troisième phrase par « la médecine est le prototype du scientifiquement correct » : le médecin n'est censé s'autoriser à prescrire que des médicaments et des techniques à l'efficacité avérée (aux magouilles des lobbies près). -- - Je propose une longue et inefficace recherche aux frais du contribuable, bien sûr. Un chercheur de la NASA dans les Simpson, saison 5, épisode 15.
Khanh-Dang
Patrice Karatchentzeff wrote:
Admettons. Mais le résultat est là. De facto, cela élimine du circuit de la « voie officielle » tout ce qui n'est pas « scientifiquement correct ».
D'accord, mais concrètement, quels problèmes ce phénomène soulève-t-il vraiment pour la médecine (ne parlons pas des problèmes économiques ou sociaux) ?
Tout simplement, on n'inclue pas dans la thérapie ce qui pourrait soigner...
Tu peux prouver que ça soigne, et tu ne peux pas fournir d'étude le prouvant ?
Voilà, tout est dit. On ne peut pas prouver donc on zappe (même si on sait que cela fonctionne chez certain).
Eh bien, puisque tu l'affirmes, prouve que ça soigne au moins chez certains, en m'exhibant des exemples et en montrant que c'est bien ta méthode qui a effectivement soigné les symptômes. Rien que pour me prouver ton affirmation, tu es obligé de suivre une démarche scientifique.
Ça serait trop facile sinon : moi aussi je pourrais faire rebouteux et affirmer que donner des coups de bâton soigne les cancers. La preuve (sic) : certains malades ont eu un cancer, ont survécu, et il s'avère qu'ils ont reçu des coups de bâton. En dehors de toute considération financière, irais-tu sincèrement me consulter si jamais tu as le cancer ?
Admettons. Mais le résultat est là. De facto, cela élimine du
circuit de la « voie officielle » tout ce qui n'est pas «
scientifiquement correct ».
D'accord, mais concrètement, quels problèmes ce phénomène
soulève-t-il vraiment pour la médecine (ne parlons pas des
problèmes économiques ou sociaux) ?
Tout simplement, on n'inclue pas dans la thérapie ce qui pourrait
soigner...
Tu peux prouver que ça soigne, et tu ne peux pas fournir d'étude le
prouvant ?
Voilà, tout est dit. On ne peut pas prouver donc on zappe (même si on
sait que cela fonctionne chez certain).
Eh bien, puisque tu l'affirmes, prouve que ça soigne au moins chez
certains, en m'exhibant des exemples et en montrant que c'est bien ta
méthode qui a effectivement soigné les symptômes. Rien que pour me
prouver ton affirmation, tu es obligé de suivre une démarche
scientifique.
Ça serait trop facile sinon : moi aussi je pourrais faire rebouteux et
affirmer que donner des coups de bâton soigne les cancers. La preuve
(sic) : certains malades ont eu un cancer, ont survécu, et il s'avère
qu'ils ont reçu des coups de bâton. En dehors de toute considération
financière, irais-tu sincèrement me consulter si jamais tu as le
cancer ?
Admettons. Mais le résultat est là. De facto, cela élimine du circuit de la « voie officielle » tout ce qui n'est pas « scientifiquement correct ».
D'accord, mais concrètement, quels problèmes ce phénomène soulève-t-il vraiment pour la médecine (ne parlons pas des problèmes économiques ou sociaux) ?
Tout simplement, on n'inclue pas dans la thérapie ce qui pourrait soigner...
Tu peux prouver que ça soigne, et tu ne peux pas fournir d'étude le prouvant ?
Voilà, tout est dit. On ne peut pas prouver donc on zappe (même si on sait que cela fonctionne chez certain).
Eh bien, puisque tu l'affirmes, prouve que ça soigne au moins chez certains, en m'exhibant des exemples et en montrant que c'est bien ta méthode qui a effectivement soigné les symptômes. Rien que pour me prouver ton affirmation, tu es obligé de suivre une démarche scientifique.
Ça serait trop facile sinon : moi aussi je pourrais faire rebouteux et affirmer que donner des coups de bâton soigne les cancers. La preuve (sic) : certains malades ont eu un cancer, ont survécu, et il s'avère qu'ils ont reçu des coups de bâton. En dehors de toute considération financière, irais-tu sincèrement me consulter si jamais tu as le cancer ?
Patrice Karatchentzeff
Fabien Millioz pas beau crans.org.invalid> writes:
Voilà, tout est dit. On ne peut pas prouver donc on zappe (même si on sait que cela fonctionne chez certain). Tant pis pour le malade : la médecine est le prototype du politiquement correct... le toubib est au centre, intouchable dans son (pseudo)-savoir et le malade n'a qu'à suivre la voie du maître...
N'est-ce pas normal de zapper ce qui n'est pas sûr de fonctionner ?
non, d'autant plus que l'application de la médecine « moderne » n'est jamais que l'application d'un truc approximatif pour arriver aussi au but.
Allez voir un rebouteux ne coûte rien. Faire une chimio est terriblement aggressif.
Je ne dis qu'il faille verser dans le tout médecine de sorcier mais trouver un juste milieu ne peut pas faire de mal... surtout financier puisque le n½ud du problème est là (ce qui prouve combien le malade est au centre des préoccupations).
Accessoirement, vous dites que cela marche sur certains, mais cela marche t'il plus qu'un placebo ? Cette dernière question peut être testée par la méthode scientifique, du moins.
non. Comme tu ne sais pas comment un rebouteux soigne, tu ne peux l'étalonner (au moins d'un point de vue scientifique).
Ce n'est pas parce que l'on ne peut pas le prouver que cela ne marche pas... et les cas sont légions là où cela fonctionne...
Et le malade peut toujours suivre des médecines dites parallèles, s'il n'a pas envie de méthodes éprouvées...
démarche en dehors de la voie normale, déconseillée (c'est un euphémisme) par les toubibs eux-mêmes, etc.
En conclusion, je rectifierai votre troisième phrase par « la médecine est le prototype du scientifiquement correct » : le médecin n'est censé s'autoriser à prescrire que des médicaments et des techniques à l'efficacité avérée (aux magouilles des lobbies près).
Ta phrase contient sa propre incohérence... le lobby des pharmaco est déjà une hérésie dans le système de santé actuelle...
Après, les vraies toubibs (les honnêtes ?) peuvent toujours « conseiller » un malade. C'est de toute façon leur premier devoir normalement (ce qu'un grand nombre d'entre eux feraient bien de se souvenir).
Fabien Millioz <millioz@spam pas beau crans.org.invalid> writes:
Voilà, tout est dit. On ne peut pas prouver donc on zappe (même si
on sait que cela fonctionne chez certain). Tant pis pour le
malade : la médecine est le prototype du politiquement correct...
le toubib est au centre, intouchable dans son (pseudo)-savoir et le
malade n'a qu'à suivre la voie du maître...
N'est-ce pas normal de zapper ce qui n'est pas sûr de fonctionner ?
non, d'autant plus que l'application de la médecine « moderne » n'est
jamais que l'application d'un truc approximatif pour arriver aussi au
but.
Allez voir un rebouteux ne coûte rien. Faire une chimio est
terriblement aggressif.
Je ne dis qu'il faille verser dans le tout médecine de sorcier mais
trouver un juste milieu ne peut pas faire de mal... surtout financier
puisque le n½ud du problème est là (ce qui prouve combien le malade
est au centre des préoccupations).
Accessoirement, vous dites que cela marche sur certains, mais cela
marche t'il plus qu'un placebo ? Cette dernière question peut être
testée par la méthode scientifique, du moins.
non. Comme tu ne sais pas comment un rebouteux soigne, tu ne peux
l'étalonner (au moins d'un point de vue scientifique).
Ce n'est pas parce que l'on ne peut pas le prouver que cela ne marche
pas... et les cas sont légions là où cela fonctionne...
Et le malade peut toujours suivre des médecines dites parallèles,
s'il n'a pas envie de méthodes éprouvées...
démarche en dehors de la voie normale, déconseillée (c'est un
euphémisme) par les toubibs eux-mêmes, etc.
En conclusion, je rectifierai votre troisième phrase par « la
médecine est le prototype du scientifiquement correct » : le médecin
n'est censé s'autoriser à prescrire que des médicaments et des
techniques à l'efficacité avérée (aux magouilles des lobbies près).
Ta phrase contient sa propre incohérence... le lobby des pharmaco est
déjà une hérésie dans le système de santé actuelle...
Après, les vraies toubibs (les honnêtes ?) peuvent toujours
« conseiller » un malade. C'est de toute façon leur premier devoir
normalement (ce qu'un grand nombre d'entre eux feraient bien de se
souvenir).
Fabien Millioz pas beau crans.org.invalid> writes:
Voilà, tout est dit. On ne peut pas prouver donc on zappe (même si on sait que cela fonctionne chez certain). Tant pis pour le malade : la médecine est le prototype du politiquement correct... le toubib est au centre, intouchable dans son (pseudo)-savoir et le malade n'a qu'à suivre la voie du maître...
N'est-ce pas normal de zapper ce qui n'est pas sûr de fonctionner ?
non, d'autant plus que l'application de la médecine « moderne » n'est jamais que l'application d'un truc approximatif pour arriver aussi au but.
Allez voir un rebouteux ne coûte rien. Faire une chimio est terriblement aggressif.
Je ne dis qu'il faille verser dans le tout médecine de sorcier mais trouver un juste milieu ne peut pas faire de mal... surtout financier puisque le n½ud du problème est là (ce qui prouve combien le malade est au centre des préoccupations).
Accessoirement, vous dites que cela marche sur certains, mais cela marche t'il plus qu'un placebo ? Cette dernière question peut être testée par la méthode scientifique, du moins.
non. Comme tu ne sais pas comment un rebouteux soigne, tu ne peux l'étalonner (au moins d'un point de vue scientifique).
Ce n'est pas parce que l'on ne peut pas le prouver que cela ne marche pas... et les cas sont légions là où cela fonctionne...
Et le malade peut toujours suivre des médecines dites parallèles, s'il n'a pas envie de méthodes éprouvées...
démarche en dehors de la voie normale, déconseillée (c'est un euphémisme) par les toubibs eux-mêmes, etc.
En conclusion, je rectifierai votre troisième phrase par « la médecine est le prototype du scientifiquement correct » : le médecin n'est censé s'autoriser à prescrire que des médicaments et des techniques à l'efficacité avérée (aux magouilles des lobbies près).
Ta phrase contient sa propre incohérence... le lobby des pharmaco est déjà une hérésie dans le système de santé actuelle...
Après, les vraies toubibs (les honnêtes ?) peuvent toujours « conseiller » un malade. C'est de toute façon leur premier devoir normalement (ce qu'un grand nombre d'entre eux feraient bien de se souvenir).
Fabien Millioz pas beau crans.org.invalid> writes:
Cela joue certainement un peu... mais je ne parle pas que de l'effet placebo qui est un axe de travail... il y en a plein d'autres.
Mais pour cela, il faudra une saine curiosité que les toubibs ont oublié (ou n'ont jamais pensé à intégrer) depuis longtemps...
Quel chirurgien aujourd'hui t'enverrait voir un rebooteux ? Qui ferait suivre un malade cardiaque par un ostéo ?
Tant qu'aucune étude ne prouve que les rebouteux et les ostéos n'ont pas plus d'effet qu'un placebo, je suis bien content que les médecins ne redirigent pas leur patients vers eux.
Bien. La république des « Lumières » a fait de toi un bon élève.
Fabien Millioz <millioz@spam pas beau crans.org.invalid> writes:
Cela joue certainement un peu... mais je ne parle pas que de l'effet
placebo qui est un axe de travail... il y en a plein d'autres.
Mais pour cela, il faudra une saine curiosité que les toubibs ont
oublié (ou n'ont jamais pensé à intégrer) depuis longtemps...
Quel chirurgien aujourd'hui t'enverrait voir un rebooteux ? Qui ferait
suivre un malade cardiaque par un ostéo ?
Tant qu'aucune étude ne prouve que les rebouteux et les ostéos n'ont pas
plus d'effet qu'un placebo, je suis bien content que les médecins ne
redirigent pas leur patients vers eux.
Bien. La république des « Lumières » a fait de toi un bon élève.
Fabien Millioz pas beau crans.org.invalid> writes:
Cela joue certainement un peu... mais je ne parle pas que de l'effet placebo qui est un axe de travail... il y en a plein d'autres.
Mais pour cela, il faudra une saine curiosité que les toubibs ont oublié (ou n'ont jamais pensé à intégrer) depuis longtemps...
Quel chirurgien aujourd'hui t'enverrait voir un rebooteux ? Qui ferait suivre un malade cardiaque par un ostéo ?
Tant qu'aucune étude ne prouve que les rebouteux et les ostéos n'ont pas plus d'effet qu'un placebo, je suis bien content que les médecins ne redirigent pas leur patients vers eux.
Bien. La république des « Lumières » a fait de toi un bon élève.
Voilà, tout est dit. On ne peut pas prouver donc on zappe (même si on sait que cela fonctionne chez certain). Tant pis pour le malade : la médecine est le prototype du politiquement correct... le toubib est au centre, intouchable dans son (pseudo)-savoir et le malade n'a qu'à suivre la voie du maître...
J'ai l'impression que tu n'as pas saisi que tout est statistique dans la plupart des "sciences". Les mathématiques et la physique avec leurs lois absolues sont un très mauvais modèle pour le reste de la connaissance scientifique et donnent une vision complètement déformée de ce qui fait le quotidien des autres chercheurs scientifiques. Donc pour te donner un exemple, je lisais l'autre jour que d'aprés une étude statistique récente, le taux de mortalité à 5 ans aprés cancer du sein était de l'ordre de: - 12% sans chimiothérapie - 10% avec une chimiothérapie standard - 8% avec une chimiothérapie standard + un nouveau traîtement. Qu'est-ce que tu peux lire dans ces chiffres? D'abord et avant tout, qu'il n'y a pas de certitude et uniquement un résultat statistique. Pour un malade déterminé, un résultat statistique ça lui est à peu prés aussi pertinent que la couleur de sa première chemise vu qu'il peut se trouver au hasard dans n'importe quelle catégorie. Et deuxièmement que les impacts des traîtements ont un effet statistique extrêmement faible. Le rôle des médecins est d'apprécier selon le cas les avantages et les inconvénients, si ça vaut le coup. J'espère qu'au vu de ces considérations tu comprendras que ton argument: "je connais des gens chez qui ça marche", a une valeur probante absolument nulle.
Voilà, tout est dit. On ne peut pas prouver donc on zappe (même si on
sait que cela fonctionne chez certain). Tant pis pour le malade : la
médecine est le prototype du politiquement correct... le toubib est au
centre, intouchable dans son (pseudo)-savoir et le malade n'a qu'à
suivre la voie du maître...
J'ai l'impression que tu n'as pas saisi que tout est statistique dans la
plupart des "sciences". Les mathématiques et la physique avec leurs lois
absolues sont un très mauvais modèle pour le reste de la connaissance
scientifique et donnent une vision complètement déformée de ce qui fait le
quotidien des autres chercheurs scientifiques. Donc pour te donner un exemple,
je lisais l'autre jour que d'aprés une étude statistique récente, le taux de
mortalité à 5 ans aprés cancer du sein était de l'ordre de:
- 12% sans chimiothérapie
- 10% avec une chimiothérapie standard
- 8% avec une chimiothérapie standard + un nouveau traîtement.
Qu'est-ce que tu peux lire dans ces chiffres? D'abord et avant tout, qu'il n'y
a pas de certitude et uniquement un résultat statistique. Pour un malade
déterminé, un résultat statistique ça lui est à peu prés aussi pertinent que
la couleur de sa première chemise vu qu'il peut se trouver au hasard dans
n'importe quelle catégorie. Et deuxièmement que les impacts des traîtements
ont un effet statistique extrêmement faible. Le rôle des médecins est
d'apprécier selon le cas les avantages et les inconvénients, si ça vaut le
coup. J'espère qu'au vu de ces considérations tu comprendras que ton argument:
"je connais des gens chez qui ça marche", a une valeur probante absolument
nulle.
Voilà, tout est dit. On ne peut pas prouver donc on zappe (même si on sait que cela fonctionne chez certain). Tant pis pour le malade : la médecine est le prototype du politiquement correct... le toubib est au centre, intouchable dans son (pseudo)-savoir et le malade n'a qu'à suivre la voie du maître...
J'ai l'impression que tu n'as pas saisi que tout est statistique dans la plupart des "sciences". Les mathématiques et la physique avec leurs lois absolues sont un très mauvais modèle pour le reste de la connaissance scientifique et donnent une vision complètement déformée de ce qui fait le quotidien des autres chercheurs scientifiques. Donc pour te donner un exemple, je lisais l'autre jour que d'aprés une étude statistique récente, le taux de mortalité à 5 ans aprés cancer du sein était de l'ordre de: - 12% sans chimiothérapie - 10% avec une chimiothérapie standard - 8% avec une chimiothérapie standard + un nouveau traîtement. Qu'est-ce que tu peux lire dans ces chiffres? D'abord et avant tout, qu'il n'y a pas de certitude et uniquement un résultat statistique. Pour un malade déterminé, un résultat statistique ça lui est à peu prés aussi pertinent que la couleur de sa première chemise vu qu'il peut se trouver au hasard dans n'importe quelle catégorie. Et deuxièmement que les impacts des traîtements ont un effet statistique extrêmement faible. Le rôle des médecins est d'apprécier selon le cas les avantages et les inconvénients, si ça vaut le coup. J'espère qu'au vu de ces considérations tu comprendras que ton argument: "je connais des gens chez qui ça marche", a une valeur probante absolument nulle.
PK
--
Michel TALON
Khanh-Dang
"" wrote:
Voilà, tout est dit. On ne peut pas prouver donc on zappe (même si on sait que cela fonctionne chez certain). Tant pis pour le malade : la médecine est le prototype du politiquement correct... le toubib est au centre, intouchable dans son (pseudo)-savoir et le malade n'a qu'à suivre la voie du maître...
Tiens ! ... on est d'accord.
Il y a tout de même une différence fondamentale entre ce que la médecine moderne est (devrait être, si tu veux), et sa réalisation pratique. Si Patrice et toi voulez parler du médecin en tant qu'être social, je veux bien. Mais incarner la médecine par les médecins et montrer les défauts des médecins pour mettre à mal la médecine en tant que discipline est un argument fallacieux.
Pour l'instant, vous n'avez aucun argument pouvant montrer que la médecine moderne, par sa démarche scientifique n'est pas le moyen le plus efficace de soigner un malade. Et vous aurez du mal à utiliser des arguments de logique, base de la démarche scientifique, pour mettre à bas une médecine en ce qu'elle a de scientifique. De manière duale, vous aurez du mal à montrer les qualités d'une médecine non-scientifique en utilisant des arguments de logique.
Voilà, tout est dit. On ne peut pas prouver donc on zappe (même si
on sait que cela fonctionne chez certain). Tant pis pour le
malade : la médecine est le prototype du politiquement correct...
le toubib est au centre, intouchable dans son (pseudo)-savoir et le
malade n'a qu'à suivre la voie du maître...
Tiens ! ... on est d'accord.
Il y a tout de même une différence fondamentale entre ce que la
médecine moderne est (devrait être, si tu veux), et sa réalisation
pratique. Si Patrice et toi voulez parler du médecin en tant qu'être
social, je veux bien. Mais incarner la médecine par les médecins et
montrer les défauts des médecins pour mettre à mal la médecine en tant
que discipline est un argument fallacieux.
Pour l'instant, vous n'avez aucun argument pouvant montrer que la
médecine moderne, par sa démarche scientifique n'est pas le moyen le
plus efficace de soigner un malade. Et vous aurez du mal à utiliser des
arguments de logique, base de la démarche scientifique, pour mettre à
bas une médecine en ce qu'elle a de scientifique. De manière duale,
vous aurez du mal à montrer les qualités d'une médecine
non-scientifique en utilisant des arguments de logique.
Voilà, tout est dit. On ne peut pas prouver donc on zappe (même si on sait que cela fonctionne chez certain). Tant pis pour le malade : la médecine est le prototype du politiquement correct... le toubib est au centre, intouchable dans son (pseudo)-savoir et le malade n'a qu'à suivre la voie du maître...
Tiens ! ... on est d'accord.
Il y a tout de même une différence fondamentale entre ce que la médecine moderne est (devrait être, si tu veux), et sa réalisation pratique. Si Patrice et toi voulez parler du médecin en tant qu'être social, je veux bien. Mais incarner la médecine par les médecins et montrer les défauts des médecins pour mettre à mal la médecine en tant que discipline est un argument fallacieux.
Pour l'instant, vous n'avez aucun argument pouvant montrer que la médecine moderne, par sa démarche scientifique n'est pas le moyen le plus efficace de soigner un malade. Et vous aurez du mal à utiliser des arguments de logique, base de la démarche scientifique, pour mettre à bas une médecine en ce qu'elle a de scientifique. De manière duale, vous aurez du mal à montrer les qualités d'une médecine non-scientifique en utilisant des arguments de logique.
Ploc
wrote:
On 2006-06-15, Patrice Karatchentzeff wrote:
Voilà, tout est dit. On ne peut pas prouver donc on zappe (même si on sait que cela fonctionne chez certain). Tant pis pour le malade : la médecine est le prototype du politiquement correct... le toubib est au centre, intouchable dans son (pseudo)-savoir et le malade n'a qu'à suivre la voie du maître...
Tiens ! ... on est d'accord.
Bien sur, le client n'est qu'une pauvre victime. Et s'il va voir ailleurs parce que son medecin lui a donne de l'homeopathie ou un traitement alternatif, c'est bien fait pour ce dernier qui n'avait qu'a se plier a la norme? Evidemment, je ne parle pas des gens qui vont voir sciemment un medecin parce qu'il est ouvert a l'homeopathie.
stephane@unices.org wrote:
On 2006-06-15, Patrice Karatchentzeff <p.karatchentzeff@free.fr> wrote:
Voilà, tout est dit. On ne peut pas prouver donc on zappe (même si on
sait que cela fonctionne chez certain). Tant pis pour le malade : la
médecine est le prototype du politiquement correct... le toubib est au
centre, intouchable dans son (pseudo)-savoir et le malade n'a qu'à
suivre la voie du maître...
Tiens ! ... on est d'accord.
Bien sur, le client n'est qu'une pauvre victime. Et s'il va voir
ailleurs parce que son medecin lui a donne de l'homeopathie ou un
traitement alternatif, c'est bien fait pour ce dernier qui n'avait qu'a
se plier a la norme?
Evidemment, je ne parle pas des gens qui vont voir sciemment un medecin
parce qu'il est ouvert a l'homeopathie.
Voilà, tout est dit. On ne peut pas prouver donc on zappe (même si on sait que cela fonctionne chez certain). Tant pis pour le malade : la médecine est le prototype du politiquement correct... le toubib est au centre, intouchable dans son (pseudo)-savoir et le malade n'a qu'à suivre la voie du maître...
Tiens ! ... on est d'accord.
Bien sur, le client n'est qu'une pauvre victime. Et s'il va voir ailleurs parce que son medecin lui a donne de l'homeopathie ou un traitement alternatif, c'est bien fait pour ce dernier qui n'avait qu'a se plier a la norme? Evidemment, je ne parle pas des gens qui vont voir sciemment un medecin parce qu'il est ouvert a l'homeopathie.
stephane
On 2006-06-15, Fabien Millioz wrote:
Tant qu'aucune étude ne prouve que les rebouteux et les ostéos n'ont pas plus d'effet qu'un placebo, je suis bien content que les médecins ne redirigent pas leur patients vers eux.
Mais qui finance les dites etudes au fait ?
C'est un peu comme si on ne se fiait qu'aux etudes de Microsoft, de SUN ou d'IBM en fait. On peut ainsi considerer sur des valeurs abstraites que quelqu'un est serieux ou pas (apres tout, entre Microsoft et le barbu de la FSF, il y a pas photo) et accepter de se faire bourrer le crane pour pas un rond.
Rien a faire, sortir de la medecine conventionelle pour aller vers une medecine intelligente c'est comme quitter Windows pour utiliser Linux, ca necessite l'usage du cerveau.
-- http://www.unices.org Photos, humour et autres blogueries http://www.pbase.com/stougard/ Pfff, encore des photos
On 2006-06-15, Fabien Millioz <millioz@spam> wrote:
Tant qu'aucune étude ne prouve que les rebouteux et les ostéos n'ont pas
plus d'effet qu'un placebo, je suis bien content que les médecins ne
redirigent pas leur patients vers eux.
Mais qui finance les dites etudes au fait ?
C'est un peu comme si on ne se fiait qu'aux etudes de Microsoft, de SUN
ou d'IBM en fait. On peut ainsi considerer sur des valeurs abstraites
que quelqu'un est serieux ou pas (apres tout, entre Microsoft et le
barbu de la FSF, il y a pas photo) et accepter de se faire bourrer le
crane pour pas un rond.
Rien a faire, sortir de la medecine conventionelle pour aller vers une
medecine intelligente c'est comme quitter Windows pour utiliser Linux,
ca necessite l'usage du cerveau.
--
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Tant qu'aucune étude ne prouve que les rebouteux et les ostéos n'ont pas plus d'effet qu'un placebo, je suis bien content que les médecins ne redirigent pas leur patients vers eux.
Mais qui finance les dites etudes au fait ?
C'est un peu comme si on ne se fiait qu'aux etudes de Microsoft, de SUN ou d'IBM en fait. On peut ainsi considerer sur des valeurs abstraites que quelqu'un est serieux ou pas (apres tout, entre Microsoft et le barbu de la FSF, il y a pas photo) et accepter de se faire bourrer le crane pour pas un rond.
Rien a faire, sortir de la medecine conventionelle pour aller vers une medecine intelligente c'est comme quitter Windows pour utiliser Linux, ca necessite l'usage du cerveau.
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