En toutes consideration, si j'avais un cancer, je commencerai tres
certainement par tester des voies moins dangereuses que les traitements
lourds de la medecine conventionelle.
Y compris si le délai occasionné réduit significativement les chances de
succès d'une thérapie « conventionnelle » lourde ?
En toutes consideration, si j'avais un cancer, je commencerai tres
certainement par tester des voies moins dangereuses que les traitements
lourds de la medecine conventionelle.
Y compris si le délai occasionné réduit significativement les chances de
succès d'une thérapie « conventionnelle » lourde ?
En toutes consideration, si j'avais un cancer, je commencerai tres
certainement par tester des voies moins dangereuses que les traitements
lourds de la medecine conventionelle.
Y compris si le délai occasionné réduit significativement les chances de
succès d'une thérapie « conventionnelle » lourde ?
C'est évident : tu ne le fais pas. Tu ne remets pas une épaule en
place avec une fracture ouverte de l'humérus... c'est pareil.
C'est évident : tu ne le fais pas. Tu ne remets pas une épaule en
place avec une fracture ouverte de l'humérus... c'est pareil.
C'est évident : tu ne le fais pas. Tu ne remets pas une épaule en
place avec une fracture ouverte de l'humérus... c'est pareil.
Tes critiques ne vont donc pas à l'encontre de la médecine en ce
qu'elle a de scientifique, mais à un phénomène social.
Mes propos vont simplement a l'encontre d'un systeme corrompu, qui l'a
globalement toujours ete et qui a de fortes chances de l'etre encore
un certain temps.
Tes critiques ne vont donc pas à l'encontre de la médecine en ce
qu'elle a de scientifique, mais à un phénomène social.
Mes propos vont simplement a l'encontre d'un systeme corrompu, qui l'a
globalement toujours ete et qui a de fortes chances de l'etre encore
un certain temps.
Tes critiques ne vont donc pas à l'encontre de la médecine en ce
qu'elle a de scientifique, mais à un phénomène social.
Mes propos vont simplement a l'encontre d'un systeme corrompu, qui l'a
globalement toujours ete et qui a de fortes chances de l'etre encore
un certain temps.
Patrice Karatchentzeff , dans le message
, a écrit :C'est évident : tu ne le fais pas. Tu ne remets pas une épaule en
place avec une fracture ouverte de l'humérus... c'est pareil.
C'est bien ce que je pensais. Cependant, j'aimerais que tu précises ce qui
se passe si on le fait quand même.
Question suivante : comment distingues-tu à coup sûr, sans
appareillage, une entorse/luxation d'une fracture ?
Patrice Karatchentzeff , dans le message
<87y7vy3a6s.fsf@belledonne.chartreuse.fr>, a écrit :
C'est évident : tu ne le fais pas. Tu ne remets pas une épaule en
place avec une fracture ouverte de l'humérus... c'est pareil.
C'est bien ce que je pensais. Cependant, j'aimerais que tu précises ce qui
se passe si on le fait quand même.
Question suivante : comment distingues-tu à coup sûr, sans
appareillage, une entorse/luxation d'une fracture ?
Patrice Karatchentzeff , dans le message
, a écrit :C'est évident : tu ne le fais pas. Tu ne remets pas une épaule en
place avec une fracture ouverte de l'humérus... c'est pareil.
C'est bien ce que je pensais. Cependant, j'aimerais que tu précises ce qui
se passe si on le fait quand même.
Question suivante : comment distingues-tu à coup sûr, sans
appareillage, une entorse/luxation d'une fracture ?
Je te vois arriver avec tes gros sabots...
<snip>
Je te vois arriver avec tes gros sabots...
<snip>
Je te vois arriver avec tes gros sabots...
<snip>
Voilà, encore une fois, une belle démonstration de l'ineptie qui
consiste à faire des stats avec des hommes...
Ta démonstration, c'est : la maladie se soigne par la statistique.
Ton exemple sur le cancer est d'ailleurs pathologique : c'est le
meilleur contre-exemple. On tente de soigner avec le raisonnement
suivant (faute de mieux) : on va flinguer un maximum de cellules. Dans
ces cellules, on espère que statistiquement, on en tuera plus de
malades que de saines.
Voilà, encore une fois, une belle démonstration de l'ineptie qui
consiste à faire des stats avec des hommes...
Ta démonstration, c'est : la maladie se soigne par la statistique.
Ton exemple sur le cancer est d'ailleurs pathologique : c'est le
meilleur contre-exemple. On tente de soigner avec le raisonnement
suivant (faute de mieux) : on va flinguer un maximum de cellules. Dans
ces cellules, on espère que statistiquement, on en tuera plus de
malades que de saines.
Voilà, encore une fois, une belle démonstration de l'ineptie qui
consiste à faire des stats avec des hommes...
Ta démonstration, c'est : la maladie se soigne par la statistique.
Ton exemple sur le cancer est d'ailleurs pathologique : c'est le
meilleur contre-exemple. On tente de soigner avec le raisonnement
suivant (faute de mieux) : on va flinguer un maximum de cellules. Dans
ces cellules, on espère que statistiquement, on en tuera plus de
malades que de saines.
Patrice Karatchentzeff , dans le message
, a écrit :Je te vois arriver avec tes gros sabots...
<snip>
Oui, c'est bien joli tout ce que tu dis, mais au final, quel est ton
argument ? Que les médecins font parfois des erreurs de diagnostique sur
certaines entorses ? Que ces erreurs de diagnostique sont liées à une
certaine faiblesse de leur formation initiale sur un cas particulier ? Tout
ceci est absolument anecdotique. C'est problématique quand on y est
confronté, et il est clair qu'il faut essayer d'y remédier, mais ça ne remet
en cause aucun principe.
Patrice Karatchentzeff , dans le message
<87psha37ls.fsf@belledonne.chartreuse.fr>, a écrit :
Je te vois arriver avec tes gros sabots...
<snip>
Oui, c'est bien joli tout ce que tu dis, mais au final, quel est ton
argument ? Que les médecins font parfois des erreurs de diagnostique sur
certaines entorses ? Que ces erreurs de diagnostique sont liées à une
certaine faiblesse de leur formation initiale sur un cas particulier ? Tout
ceci est absolument anecdotique. C'est problématique quand on y est
confronté, et il est clair qu'il faut essayer d'y remédier, mais ça ne remet
en cause aucun principe.
Patrice Karatchentzeff , dans le message
, a écrit :Je te vois arriver avec tes gros sabots...
<snip>
Oui, c'est bien joli tout ce que tu dis, mais au final, quel est ton
argument ? Que les médecins font parfois des erreurs de diagnostique sur
certaines entorses ? Que ces erreurs de diagnostique sont liées à une
certaine faiblesse de leur formation initiale sur un cas particulier ? Tout
ceci est absolument anecdotique. C'est problématique quand on y est
confronté, et il est clair qu'il faut essayer d'y remédier, mais ça ne remet
en cause aucun principe.
On Thu, 15 Jun 2006 12:05:07 +0200
Patrice Karatchentzeff wrote:Voilà, encore une fois, une belle démonstration de l'ineptie qui
consiste à faire des stats avec des hommes...
OK, tu ne veux pas de stats? Ça implique que tu ne t'intéresses pas à
l'issue du traitement, puisque tu t'interdis de dire « il a de bonnes
chances de s'en tirer ».
Vu comme ça, ta démarche est cohérente: tu refuses les méthodes qui
ont le plus de chances de fonctionner puisque tu ne t'intéresses pas à la
guérison.
Ton paragraphe suivant va aussi dans ce sens: on ne cible pas la
maladie.
À ce compte, il suffit de traiter tout patient pas des doses massives de
Prozac et d'analgésiques. Ça ne changera généralement rien à la maladie;
par contre le patient sera heureux.
Ta démonstration, c'est : la maladie se soigne par la statistique.
Non, c'est: le choix d'une thérapie se base sur des statistiques pour
maximiser la santé et le confort du patient.
Ton exemple sur le cancer est d'ailleurs pathologique : c'est le
meilleur contre-exemple. On tente de soigner avec le raisonnement
suivant (faute de mieux) : on va flinguer un maximum de cellules. Dans
ces cellules, on espère que statistiquement, on en tuera plus de
malades que de saines.
Oui, sur le fond, c'est vrai, mais on utilise des traitements qui
ciblent autant que possible les cellules malades selon certaines
spécificités (on vise notamment les cellules en division active).
On Thu, 15 Jun 2006 12:05:07 +0200
Patrice Karatchentzeff <p.karatchentzeff@free.fr> wrote:
Voilà, encore une fois, une belle démonstration de l'ineptie qui
consiste à faire des stats avec des hommes...
OK, tu ne veux pas de stats? Ça implique que tu ne t'intéresses pas à
l'issue du traitement, puisque tu t'interdis de dire « il a de bonnes
chances de s'en tirer ».
Vu comme ça, ta démarche est cohérente: tu refuses les méthodes qui
ont le plus de chances de fonctionner puisque tu ne t'intéresses pas à la
guérison.
Ton paragraphe suivant va aussi dans ce sens: on ne cible pas la
maladie.
À ce compte, il suffit de traiter tout patient pas des doses massives de
Prozac et d'analgésiques. Ça ne changera généralement rien à la maladie;
par contre le patient sera heureux.
Ta démonstration, c'est : la maladie se soigne par la statistique.
Non, c'est: le choix d'une thérapie se base sur des statistiques pour
maximiser la santé et le confort du patient.
Ton exemple sur le cancer est d'ailleurs pathologique : c'est le
meilleur contre-exemple. On tente de soigner avec le raisonnement
suivant (faute de mieux) : on va flinguer un maximum de cellules. Dans
ces cellules, on espère que statistiquement, on en tuera plus de
malades que de saines.
Oui, sur le fond, c'est vrai, mais on utilise des traitements qui
ciblent autant que possible les cellules malades selon certaines
spécificités (on vise notamment les cellules en division active).
On Thu, 15 Jun 2006 12:05:07 +0200
Patrice Karatchentzeff wrote:Voilà, encore une fois, une belle démonstration de l'ineptie qui
consiste à faire des stats avec des hommes...
OK, tu ne veux pas de stats? Ça implique que tu ne t'intéresses pas à
l'issue du traitement, puisque tu t'interdis de dire « il a de bonnes
chances de s'en tirer ».
Vu comme ça, ta démarche est cohérente: tu refuses les méthodes qui
ont le plus de chances de fonctionner puisque tu ne t'intéresses pas à la
guérison.
Ton paragraphe suivant va aussi dans ce sens: on ne cible pas la
maladie.
À ce compte, il suffit de traiter tout patient pas des doses massives de
Prozac et d'analgésiques. Ça ne changera généralement rien à la maladie;
par contre le patient sera heureux.
Ta démonstration, c'est : la maladie se soigne par la statistique.
Non, c'est: le choix d'une thérapie se base sur des statistiques pour
maximiser la santé et le confort du patient.
Ton exemple sur le cancer est d'ailleurs pathologique : c'est le
meilleur contre-exemple. On tente de soigner avec le raisonnement
suivant (faute de mieux) : on va flinguer un maximum de cellules. Dans
ces cellules, on espère que statistiquement, on en tuera plus de
malades que de saines.
Oui, sur le fond, c'est vrai, mais on utilise des traitements qui
ciblent autant que possible les cellules malades selon certaines
spécificités (on vise notamment les cellules en division active).
Je refuse de faire du patient une statistique... cela est totalement
différent. Un client n'est pas une maladie ni une statistique. Cela
n'empêche de faire des stats sur les méthodes et les résultats.
Mais cela ne doit en faire une religion absolue comme c'est le cas.
On traite un patient. C'est l'être humain qui est au centre.
Mais c'est sûr que cela va totalement à l'encontre de la société
actuelle qui voit une masse partout.Vu comme ça, ta démarche est cohérente: tu refuses les méthodes qui
ont le plus de chances de fonctionner puisque tu ne t'intéresses pas à la
guérison.
Non.
Oui, sur le fond, c'est vrai, mais on utilise des traitements qui
ciblent autant que possible les cellules malades selon certaines
spécificités (on vise notamment les cellules en division active).
Oui on progresse et c'est une excellente chose. N'empêche qu'il
faudrait gratter un petit plus en amont aussi mais là encore, ce
serait remettre en cause tant de chose que c'est peine perdue...
Je refuse de faire du patient une statistique... cela est totalement
différent. Un client n'est pas une maladie ni une statistique. Cela
n'empêche de faire des stats sur les méthodes et les résultats.
Mais cela ne doit en faire une religion absolue comme c'est le cas.
On traite un patient. C'est l'être humain qui est au centre.
Mais c'est sûr que cela va totalement à l'encontre de la société
actuelle qui voit une masse partout.
Vu comme ça, ta démarche est cohérente: tu refuses les méthodes qui
ont le plus de chances de fonctionner puisque tu ne t'intéresses pas à la
guérison.
Non.
Oui, sur le fond, c'est vrai, mais on utilise des traitements qui
ciblent autant que possible les cellules malades selon certaines
spécificités (on vise notamment les cellules en division active).
Oui on progresse et c'est une excellente chose. N'empêche qu'il
faudrait gratter un petit plus en amont aussi mais là encore, ce
serait remettre en cause tant de chose que c'est peine perdue...
Je refuse de faire du patient une statistique... cela est totalement
différent. Un client n'est pas une maladie ni une statistique. Cela
n'empêche de faire des stats sur les méthodes et les résultats.
Mais cela ne doit en faire une religion absolue comme c'est le cas.
On traite un patient. C'est l'être humain qui est au centre.
Mais c'est sûr que cela va totalement à l'encontre de la société
actuelle qui voit une masse partout.Vu comme ça, ta démarche est cohérente: tu refuses les méthodes qui
ont le plus de chances de fonctionner puisque tu ne t'intéresses pas à la
guérison.
Non.
Oui, sur le fond, c'est vrai, mais on utilise des traitements qui
ciblent autant que possible les cellules malades selon certaines
spécificités (on vise notamment les cellules en division active).
Oui on progresse et c'est une excellente chose. N'empêche qu'il
faudrait gratter un petit plus en amont aussi mais là encore, ce
serait remettre en cause tant de chose que c'est peine perdue...
Non. Chaque homme malade est *unique* même si sa maladie est commune.
Non. Chaque homme malade est *unique* même si sa maladie est commune.
Non. Chaque homme malade est *unique* même si sa maladie est commune.