Attention c'est une info zdnet, troll en perspective ...
Informatique
--> Microsoft s'attaque au format JPeg
Technologie - L'éditeur américain a mis au point le format Windows Media
Photo, pour détrôner le populaire JPeg. Pris en charge dans Vista, il sera
d'ici là disponible pour Windows XP et des systèmes d'exploitation tiers.
http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39352039,00.htm
Ce qui m'inquiète c'est "systèmes d'exploitation tiers". Ils en parle mais
aucune précision. Quelqu'un en aurait ?
Je ne suis pas technicien pointu, mais si m$ parvient à multiplier le taux
de conversion et qu'il partage, c'est bien non ? Ça cache quoi ?
En ce qui me concerne, je ne parle pas de solutions alternatives (par opposition à _la_ solution officielle), mais de solutions non-scientifiques. Je veux bien voir une solution non-scientifique qui marche mieux que les autres solutions. Les scientifiques aussi cherchent à voir, et il est raisonnable de penser qu'ils chercheront à la comprendre, et à l'améliorer.
Les scientifiques travaillent pour les labos et les labos travaillent pour les industries pharmaceutiques, ces dernieres travaillent pour les actionnaires et si une solution efficace existe naturellement, tout ce beau monde a un interet tres "financier" a ce que ca ne se sache pas.
Les scientifiques qui travaillent pour la gloire, souvent sont tout simplement decredibilises parce qu'ils emmettent des hypotheses qui vont a contre sens ... du marche.
De ce que je sais, selon le type de cancer, les traitements actuels permettent plutôt d'augmenter le temps qu'il reste au malade à vivre. Donc quels que soient les chiffres, ça ne prouve rien, si ce n'est que personne ne sait guérir de manière générale les cancers.
Mouarf ...
Le traitement a l'AZT aussi ca augmente la duree de vie des malades, ils meurent tous 2 ans apres avoir commence le traitement.
Ca fait de l'AZT un produit miracle qui donne 2 ans d'esperance de vie ou un poison mortel qui ne laisse que 2 ans a vivre ?
-- http://www.unices.org Photos, humour et autres blogueries http://www.pbase.com/stougard/ Pfff, encore des photos
On 2006-06-15, Khanh-Dang <khanh-dang@w.fr.invalid> wrote:
En ce qui me concerne, je ne parle pas de solutions alternatives (par
opposition à _la_ solution officielle), mais de solutions
non-scientifiques. Je veux bien voir une solution non-scientifique qui
marche mieux que les autres solutions. Les scientifiques aussi
cherchent à voir, et il est raisonnable de penser qu'ils chercheront à
la comprendre, et à l'améliorer.
Les scientifiques travaillent pour les labos et les labos travaillent
pour les industries pharmaceutiques, ces dernieres travaillent pour les
actionnaires et si une solution efficace existe naturellement, tout ce
beau monde a un interet tres "financier" a ce que ca ne se sache pas.
Les scientifiques qui travaillent pour la gloire, souvent sont tout
simplement decredibilises parce qu'ils emmettent des hypotheses qui vont
a contre sens ... du marche.
De ce que je sais, selon le type de cancer, les traitements
actuels permettent plutôt d'augmenter le temps qu'il reste au malade à
vivre. Donc quels que soient les chiffres, ça ne prouve rien, si ce
n'est que personne ne sait guérir de manière générale les cancers.
Mouarf ...
Le traitement a l'AZT aussi ca augmente la duree de vie des malades, ils
meurent tous 2 ans apres avoir commence le traitement.
Ca fait de l'AZT un produit miracle qui donne 2 ans d'esperance de vie
ou un poison mortel qui ne laisse que 2 ans a vivre ?
--
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En ce qui me concerne, je ne parle pas de solutions alternatives (par opposition à _la_ solution officielle), mais de solutions non-scientifiques. Je veux bien voir une solution non-scientifique qui marche mieux que les autres solutions. Les scientifiques aussi cherchent à voir, et il est raisonnable de penser qu'ils chercheront à la comprendre, et à l'améliorer.
Les scientifiques travaillent pour les labos et les labos travaillent pour les industries pharmaceutiques, ces dernieres travaillent pour les actionnaires et si une solution efficace existe naturellement, tout ce beau monde a un interet tres "financier" a ce que ca ne se sache pas.
Les scientifiques qui travaillent pour la gloire, souvent sont tout simplement decredibilises parce qu'ils emmettent des hypotheses qui vont a contre sens ... du marche.
De ce que je sais, selon le type de cancer, les traitements actuels permettent plutôt d'augmenter le temps qu'il reste au malade à vivre. Donc quels que soient les chiffres, ça ne prouve rien, si ce n'est que personne ne sait guérir de manière générale les cancers.
Mouarf ...
Le traitement a l'AZT aussi ca augmente la duree de vie des malades, ils meurent tous 2 ans apres avoir commence le traitement.
Ca fait de l'AZT un produit miracle qui donne 2 ans d'esperance de vie ou un poison mortel qui ne laisse que 2 ans a vivre ?
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stephane
On 2006-06-15, Ploc wrote:
Une maladie, avant de me demander comment la traiter, je commence par me demander comment ne pas l'attraper.
Facile de changer les hypotheses en cours de route...
Je change rien du tout, l'hygiene de vie fait partie de la vie et de la maladie ... et de la medecine.
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On 2006-06-15, Ploc <ploc@clop.invalid> wrote:
Une maladie, avant de me demander comment la traiter, je commence par me
demander comment ne pas l'attraper.
Facile de changer les hypotheses en cours de route...
Je change rien du tout, l'hygiene de vie fait partie de la vie et de la
maladie ... et de la medecine.
--
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Une maladie, avant de me demander comment la traiter, je commence par me demander comment ne pas l'attraper.
Facile de changer les hypotheses en cours de route...
Je change rien du tout, l'hygiene de vie fait partie de la vie et de la maladie ... et de la medecine.
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stephane
On 2006-06-15, Jérémy JUST wrote:
Les dossiers d'autorisation de mise sur le marché sont étudiés sérieusement par une commission indépendante. Pour favoriser l'acceptation, l'industriel croise des dizaines de techniques d'étude de la molécule active, réalise des études cliniques parfaitement carrées. La moindre zone d'ombre entraîne le refus du dossier, ce qui veut généralement dire que le médicament sortira (s'il sort) avec un retard de deux à trois ans, ce qui peut le rendre non rentable (à cause de la durée de vie des brevets).
Mouarf ...
Allez tiens, renseigne-toi sur les produits traitant le SIDA et comment ils ont ete acceptes.
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On 2006-06-15, Jérémy JUST <jeremy_just@netcourrier.com> wrote:
Les dossiers d'autorisation de mise sur le marché sont étudiés
sérieusement par une commission indépendante. Pour favoriser
l'acceptation, l'industriel croise des dizaines de techniques d'étude de
la molécule active, réalise des études cliniques parfaitement carrées.
La moindre zone d'ombre entraîne le refus du dossier, ce qui veut
généralement dire que le médicament sortira (s'il sort) avec un retard de
deux à trois ans, ce qui peut le rendre non rentable (à cause de la
durée de vie des brevets).
Mouarf ...
Allez tiens, renseigne-toi sur les produits traitant le SIDA et comment
ils ont ete acceptes.
--
http://www.unices.org Photos, humour et autres blogueries
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Les dossiers d'autorisation de mise sur le marché sont étudiés sérieusement par une commission indépendante. Pour favoriser l'acceptation, l'industriel croise des dizaines de techniques d'étude de la molécule active, réalise des études cliniques parfaitement carrées. La moindre zone d'ombre entraîne le refus du dossier, ce qui veut généralement dire que le médicament sortira (s'il sort) avec un retard de deux à trois ans, ce qui peut le rendre non rentable (à cause de la durée de vie des brevets).
Mouarf ...
Allez tiens, renseigne-toi sur les produits traitant le SIDA et comment ils ont ete acceptes.
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Patrice Karatchentzeff
(Michel Talon) writes:
[...]
coup. J'espère qu'au vu de ces considérations tu comprendras que ton argument: "je connais des gens chez qui ça marche", a une valeur probante absolument nulle.
Voilà, encore une fois, une belle démonstration de l'ineptie qui consiste à faire des stats avec des hommes...
Un malade, c'est un homme, ce n'est pas une maladie ; on cherche à vaincre la maladie pour guérir un homme mais c'est l'homme au centre du problème (du moins, quand on n'est pas une machine à soigner - et je ne connais pas tant que cela de toubibs qui n'en sont pas).
Ta démonstration, c'est : la maladie se soigne par la statistique.
Non. Chaque homme malade est *unique* même si sa maladie est commune. C'est en personnalisant le traitement (ce qu'est obligé de faire un toubib d'ailleurs en tentant d'adapter un traitement générique) parce que l'homme est unique que l'on pourra progresser. Pas en le traitant de cobaye.
Ton exemple sur le cancer est d'ailleurs pathologique : c'est le meilleur contre-exemple. On tente de soigner avec le raisonnement suivant (faute de mieux) : on va flinguer un maximum de cellules. Dans ces cellules, on espère que statistiquement, on en tuera plus de malades que de saines. Et à la fin, si le pauvre gars survit, on aura gagné.
Je ne mets pas en cause le procédé : parfois, cela marche aussi et il faut bien faire quelque chose. Je reproche la méthode générale, c'est tout.
Tu veux un autre exemple ? le SAMU. 9 fois sur 10, je vois une équipe médicale arrivée sur un blessé. Pas de bonjour, pas de présentation, rien. L'urgence justifie-t-il cela ? (si la personne est consciente bien sûr).
En France - au moins -, le patient n'est pas le centre du problème.
coup. J'espère qu'au vu de ces considérations tu comprendras que ton
argument: "je connais des gens chez qui ça marche", a une valeur
probante absolument nulle.
Voilà, encore une fois, une belle démonstration de l'ineptie qui
consiste à faire des stats avec des hommes...
Un malade, c'est un homme, ce n'est pas une maladie ; on cherche à
vaincre la maladie pour guérir un homme mais c'est l'homme au centre
du problème (du moins, quand on n'est pas une machine à soigner - et
je ne connais pas tant que cela de toubibs qui n'en sont pas).
Ta démonstration, c'est : la maladie se soigne par la statistique.
Non. Chaque homme malade est *unique* même si sa maladie est commune.
C'est en personnalisant le traitement (ce qu'est obligé de faire un
toubib d'ailleurs en tentant d'adapter un traitement générique) parce
que l'homme est unique que l'on pourra progresser. Pas en le traitant
de cobaye.
Ton exemple sur le cancer est d'ailleurs pathologique : c'est le
meilleur contre-exemple. On tente de soigner avec le raisonnement
suivant (faute de mieux) : on va flinguer un maximum de cellules. Dans
ces cellules, on espère que statistiquement, on en tuera plus de
malades que de saines. Et à la fin, si le pauvre gars survit, on aura
gagné.
Je ne mets pas en cause le procédé : parfois, cela marche aussi et il
faut bien faire quelque chose. Je reproche la méthode générale, c'est
tout.
Tu veux un autre exemple ? le SAMU. 9 fois sur 10, je vois une équipe
médicale arrivée sur un blessé. Pas de bonjour, pas de présentation,
rien. L'urgence justifie-t-il cela ? (si la personne est consciente
bien sûr).
En France - au moins -, le patient n'est pas le centre du problème.
coup. J'espère qu'au vu de ces considérations tu comprendras que ton argument: "je connais des gens chez qui ça marche", a une valeur probante absolument nulle.
Voilà, encore une fois, une belle démonstration de l'ineptie qui consiste à faire des stats avec des hommes...
Un malade, c'est un homme, ce n'est pas une maladie ; on cherche à vaincre la maladie pour guérir un homme mais c'est l'homme au centre du problème (du moins, quand on n'est pas une machine à soigner - et je ne connais pas tant que cela de toubibs qui n'en sont pas).
Ta démonstration, c'est : la maladie se soigne par la statistique.
Non. Chaque homme malade est *unique* même si sa maladie est commune. C'est en personnalisant le traitement (ce qu'est obligé de faire un toubib d'ailleurs en tentant d'adapter un traitement générique) parce que l'homme est unique que l'on pourra progresser. Pas en le traitant de cobaye.
Ton exemple sur le cancer est d'ailleurs pathologique : c'est le meilleur contre-exemple. On tente de soigner avec le raisonnement suivant (faute de mieux) : on va flinguer un maximum de cellules. Dans ces cellules, on espère que statistiquement, on en tuera plus de malades que de saines. Et à la fin, si le pauvre gars survit, on aura gagné.
Je ne mets pas en cause le procédé : parfois, cela marche aussi et il faut bien faire quelque chose. Je reproche la méthode générale, c'est tout.
Tu veux un autre exemple ? le SAMU. 9 fois sur 10, je vois une équipe médicale arrivée sur un blessé. Pas de bonjour, pas de présentation, rien. L'urgence justifie-t-il cela ? (si la personne est consciente bien sûr).
En France - au moins -, le patient n'est pas le centre du problème.
Les specialistes de la Chine se sont donnes rendez-vous sur le forum. J'en parlerai a ma copine (elle est chinoise), ca lui fera plaisir de savoir que son peuple a "une hygiene de vie irreprochable".
Puis c'est vrai que j'ai une impression que le fog de Pekin etait irreprochablement hygienique a ma derniere visite.
C'est marrant, j'annonce que je raconte n'importe quoi, et tu en arrives à prendre ce n'importe quoi pour une affirmation sérieuse.
Les specialistes de la Chine se sont donnes rendez-vous sur le forum.
J'en parlerai a ma copine (elle est chinoise), ca lui fera plaisir de
savoir que son peuple a "une hygiene de vie irreprochable".
Puis c'est vrai que j'ai une impression que le fog de Pekin etait
irreprochablement hygienique a ma derniere visite.
C'est marrant, j'annonce que je raconte n'importe quoi, et tu en
arrives à prendre ce n'importe quoi pour une affirmation sérieuse.
Les specialistes de la Chine se sont donnes rendez-vous sur le forum. J'en parlerai a ma copine (elle est chinoise), ca lui fera plaisir de savoir que son peuple a "une hygiene de vie irreprochable".
Puis c'est vrai que j'ai une impression que le fog de Pekin etait irreprochablement hygienique a ma derniere visite.
C'est marrant, j'annonce que je raconte n'importe quoi, et tu en arrives à prendre ce n'importe quoi pour une affirmation sérieuse.
Khanh-Dang
Patrice Karatchentzeff wrote:
Je viens de te prouver que *même* prouvée par une (pseudo) démarche scientifique, puisque ce n'est pas dans la logique de la médecine moderne (un ostéo, pouah, c'est diablerie que tout cela !), « on » refuse d'appliquer une méthode qui fonctionne et qui est meilleure...
Le « on refuse » auquel tu te réfères est un phénomène social qui est certainement propre à notre société, pas à la médecine. Ce n'est pas la médecine qui refuse d'appliquer les méthodes mais les médecins, ce qui n'est pas contradictoire avec mon propos.
Je viens de te prouver que *même* prouvée par une (pseudo) démarche
scientifique, puisque ce n'est pas dans la logique de la médecine
moderne (un ostéo, pouah, c'est diablerie que tout cela !), « on »
refuse d'appliquer une méthode qui fonctionne et qui est meilleure...
Le « on refuse » auquel tu te réfères est un phénomène social qui est
certainement propre à notre société, pas à la médecine. Ce n'est pas la
médecine qui refuse d'appliquer les méthodes mais les médecins, ce qui
n'est pas contradictoire avec mon propos.
Je viens de te prouver que *même* prouvée par une (pseudo) démarche scientifique, puisque ce n'est pas dans la logique de la médecine moderne (un ostéo, pouah, c'est diablerie que tout cela !), « on » refuse d'appliquer une méthode qui fonctionne et qui est meilleure...
Le « on refuse » auquel tu te réfères est un phénomène social qui est certainement propre à notre société, pas à la médecine. Ce n'est pas la médecine qui refuse d'appliquer les méthodes mais les médecins, ce qui n'est pas contradictoire avec mon propos.
Khanh-Dang
"" wrote:
Les scientifiques travaillent pour les labos et les labos travaillent pour les industries pharmaceutiques, ces dernieres travaillent pour les actionnaires et si une solution efficace existe naturellement, tout ce beau monde a un interet tres "financier" a ce que ca ne se sache pas.
Les scientifiques qui travaillent pour la gloire, souvent sont tout simplement decredibilises parce qu'ils emmettent des hypotheses qui vont a contre sens ... du marche.
Tes critiques ne vont donc pas à l'encontre de la médecine en ce qu'elle a de scientifique, mais à un phénomène social.
Les scientifiques travaillent pour les labos et les labos travaillent
pour les industries pharmaceutiques, ces dernieres travaillent pour
les actionnaires et si une solution efficace existe naturellement,
tout ce beau monde a un interet tres "financier" a ce que ca ne se
sache pas.
Les scientifiques qui travaillent pour la gloire, souvent sont tout
simplement decredibilises parce qu'ils emmettent des hypotheses qui
vont a contre sens ... du marche.
Tes critiques ne vont donc pas à l'encontre de la médecine en ce
qu'elle a de scientifique, mais à un phénomène social.
Les scientifiques travaillent pour les labos et les labos travaillent pour les industries pharmaceutiques, ces dernieres travaillent pour les actionnaires et si une solution efficace existe naturellement, tout ce beau monde a un interet tres "financier" a ce que ca ne se sache pas.
Les scientifiques qui travaillent pour la gloire, souvent sont tout simplement decredibilises parce qu'ils emmettent des hypotheses qui vont a contre sens ... du marche.
Tes critiques ne vont donc pas à l'encontre de la médecine en ce qu'elle a de scientifique, mais à un phénomène social.
Khanh-Dang
Patrice Karatchentzeff wrote:
En France - au moins -, le patient n'est pas le centre du problème.
Si en France le patient n'est pas respecté, le médecin ne l'est pas plus. Aujourd'hui, le médecin est, au yeux de la population, un métier de service, rien de plus.
Actuellement, un patient va chez le médecin pour obtenir expressément certains médicaments précis ou bien des congés maladie. Et il y a des médecins peu scrupuleux qui en donnent à tout va. D'après les statistiques envoyées par la sécurité sociale à un médecin généraliste, un médecin généraliste du département des Hauts-de-Seine donne en moyenne 1700 jours de congé maladie par an. Je vous passe les détails sur la quantité tout aussi faramineuse de médicaments prescrits.
Dans ces conditions, c'est-à-dire avec l'existence aussi nombreuse de patients et de médecins peu scrupuleux, comment voudrais-tu que le patient soit au centre du problème ?
En France - au moins -, le patient n'est pas le centre du problème.
Si en France le patient n'est pas respecté, le médecin ne l'est pas
plus. Aujourd'hui, le médecin est, au yeux de la population, un métier
de service, rien de plus.
Actuellement, un patient va chez le médecin pour obtenir expressément
certains médicaments précis ou bien des congés maladie. Et il y a des
médecins peu scrupuleux qui en donnent à tout va. D'après les
statistiques envoyées par la sécurité sociale à un médecin généraliste,
un médecin généraliste du département des Hauts-de-Seine donne en
moyenne 1700 jours de congé maladie par an. Je vous passe les
détails sur la quantité tout aussi faramineuse de médicaments prescrits.
Dans ces conditions, c'est-à-dire avec l'existence aussi nombreuse de
patients et de médecins peu scrupuleux, comment voudrais-tu que le
patient soit au centre du problème ?
En France - au moins -, le patient n'est pas le centre du problème.
Si en France le patient n'est pas respecté, le médecin ne l'est pas plus. Aujourd'hui, le médecin est, au yeux de la population, un métier de service, rien de plus.
Actuellement, un patient va chez le médecin pour obtenir expressément certains médicaments précis ou bien des congés maladie. Et il y a des médecins peu scrupuleux qui en donnent à tout va. D'après les statistiques envoyées par la sécurité sociale à un médecin généraliste, un médecin généraliste du département des Hauts-de-Seine donne en moyenne 1700 jours de congé maladie par an. Je vous passe les détails sur la quantité tout aussi faramineuse de médicaments prescrits.
Dans ces conditions, c'est-à-dire avec l'existence aussi nombreuse de patients et de médecins peu scrupuleux, comment voudrais-tu que le patient soit au centre du problème ?
Patrice Karatchentzeff
"" writes:
On 2006-06-15, Ploc wrote:
Une maladie, avant de me demander comment la traiter, je commence par me demander comment ne pas l'attraper.
Facile de changer les hypotheses en cours de route...
Je change rien du tout, l'hygiene de vie fait partie de la vie et de la maladie ... et de la medecine.
On Thu, 15 Jun 2006 09:55:16 +0200 Patrice Karatchentzeff wrote:
N'est-ce pas normal de zapper ce qui n'est pas sûr de fonctionner ? non
La prochaine fois que tu es malade, en plus d'aller voir un médecin, envoie-moi un chèque de 130 euros et j'essaierai de faire quelque chose pour toi. C'est pas sûr que ça marche, mais ça ne te fera aucun mal.
Quelle est ta réputation ? Montre-moi quelqu'un qui a les mêmes symptômes que moi et que tu as guéri et on en reparlera.
Sinon, je t'appelerai le maraboot Jérémy et tu auras la concurrence de tous les marabouts africains spécialiste de la carte de visite...
[...]
Il ne s'agit pas d'« étalonner », mais de distinguer son effet du hasard.
Ha, le hasard... puissant mot pour désigner son ignorance...
L'étape suivante est le miracle (les toubibs de Lourdes ont d'ailleurs une expression géniale pour ne pas appeler cela un miracles... c'est beau la médecine... dommage que je ne me souvienne plus de l'expression).
Si le rebouteux n'est pas plus efficace que le hasard, autant attendre que le hasard agisse, non?
Si le rebouteux n'est pas efficace, il ne faut pas aller le voir. Comme le charc^Wchirurgien de service qui opère pour un oui ou pour un non (mais surtout pour un gros chèque).
On Thu, 15 Jun 2006 09:55:16 +0200
Patrice Karatchentzeff <p.karatchentzeff@free.fr> wrote:
N'est-ce pas normal de zapper ce qui n'est pas sûr de fonctionner ?
non
La prochaine fois que tu es malade, en plus d'aller voir un médecin,
envoie-moi un chèque de 130 euros et j'essaierai de faire quelque chose
pour toi.
C'est pas sûr que ça marche, mais ça ne te fera aucun mal.
Quelle est ta réputation ? Montre-moi quelqu'un qui a les mêmes
symptômes que moi et que tu as guéri et on en reparlera.
Sinon, je t'appelerai le maraboot Jérémy et tu auras la concurrence de
tous les marabouts africains spécialiste de la carte de visite...
[...]
Il ne s'agit pas d'« étalonner », mais de distinguer son effet du
hasard.
Ha, le hasard... puissant mot pour désigner son ignorance...
L'étape suivante est le miracle (les toubibs de Lourdes ont d'ailleurs
une expression géniale pour ne pas appeler cela un miracles... c'est
beau la médecine... dommage que je ne me souvienne plus de l'expression).
Si le rebouteux n'est pas plus efficace que le hasard, autant attendre
que le hasard agisse, non?
Si le rebouteux n'est pas efficace, il ne faut pas aller le voir.
Comme le charc^Wchirurgien de service qui opère pour un oui ou pour un
non (mais surtout pour un gros chèque).
On Thu, 15 Jun 2006 09:55:16 +0200 Patrice Karatchentzeff wrote:
N'est-ce pas normal de zapper ce qui n'est pas sûr de fonctionner ? non
La prochaine fois que tu es malade, en plus d'aller voir un médecin, envoie-moi un chèque de 130 euros et j'essaierai de faire quelque chose pour toi. C'est pas sûr que ça marche, mais ça ne te fera aucun mal.
Quelle est ta réputation ? Montre-moi quelqu'un qui a les mêmes symptômes que moi et que tu as guéri et on en reparlera.
Sinon, je t'appelerai le maraboot Jérémy et tu auras la concurrence de tous les marabouts africains spécialiste de la carte de visite...
[...]
Il ne s'agit pas d'« étalonner », mais de distinguer son effet du hasard.
Ha, le hasard... puissant mot pour désigner son ignorance...
L'étape suivante est le miracle (les toubibs de Lourdes ont d'ailleurs une expression géniale pour ne pas appeler cela un miracles... c'est beau la médecine... dommage que je ne me souvienne plus de l'expression).
Si le rebouteux n'est pas plus efficace que le hasard, autant attendre que le hasard agisse, non?
Si le rebouteux n'est pas efficace, il ne faut pas aller le voir. Comme le charc^Wchirurgien de service qui opère pour un oui ou pour un non (mais surtout pour un gros chèque).