Attention c'est une info zdnet, troll en perspective ...
Informatique
--> Microsoft s'attaque au format JPeg
Technologie - L'éditeur américain a mis au point le format Windows Media
Photo, pour détrôner le populaire JPeg. Pris en charge dans Vista, il sera
d'ici là disponible pour Windows XP et des systèmes d'exploitation tiers.
http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39352039,00.htm
Ce qui m'inquiète c'est "systèmes d'exploitation tiers". Ils en parle mais
aucune précision. Quelqu'un en aurait ?
Je ne suis pas technicien pointu, mais si m$ parvient à multiplier le taux
de conversion et qu'il partage, c'est bien non ? Ça cache quoi ?
Personnellement, en tant que catholique, ce serait effectivement une démarche que j'envisagerai certainement... Pour moi, étant donnée ma situation géographique, ce serait dans un premier temps Notre Dame de la Salette...
Si le cancer est localisé sur le pancréas, pas la peine de te déplacer inutilement.
N'étant pas catholique, je choisirais le p38 par snobisme.
costaclt
Patrice Karatchentzeff wrote:
Personnellement, en tant que catholique, ce serait effectivement une
démarche que j'envisagerai certainement... Pour moi, étant donnée ma
situation géographique, ce serait dans un premier temps Notre Dame de
la Salette...
Si le cancer est localisé sur le pancréas, pas la peine de te déplacer
inutilement.
N'étant pas catholique, je choisirais le p38 par snobisme.
Personnellement, en tant que catholique, ce serait effectivement une démarche que j'envisagerai certainement... Pour moi, étant donnée ma situation géographique, ce serait dans un premier temps Notre Dame de la Salette...
Si le cancer est localisé sur le pancréas, pas la peine de te déplacer inutilement.
N'étant pas catholique, je choisirais le p38 par snobisme.
costaclt
Patrice Karatchentzeff
Khanh-Dang writes:
Patrice Karatchentzeff wrote:
Je viens de te prouver que *même* prouvée par une (pseudo) démarche scientifique, puisque ce n'est pas dans la logique de la médecine moderne (un ostéo, pouah, c'est diablerie que tout cela !), « on » refuse d'appliquer une méthode qui fonctionne et qui est meilleure...
Le « on refuse » auquel tu te réfères est un phénomène social qui est certainement propre à notre société, pas à la médecine. Ce n'est pas la médecine qui refuse d'appliquer les méthodes mais les médecins, ce qui n'est pas contradictoire avec mon propos.
Tu joues sur les termes... les toubibs font la médecine. La médecine est ce qu'en font les toubibs.
Je viens de te prouver que *même* prouvée par une (pseudo) démarche
scientifique, puisque ce n'est pas dans la logique de la médecine
moderne (un ostéo, pouah, c'est diablerie que tout cela !), « on »
refuse d'appliquer une méthode qui fonctionne et qui est meilleure...
Le « on refuse » auquel tu te réfères est un phénomène social qui est
certainement propre à notre société, pas à la médecine. Ce n'est pas la
médecine qui refuse d'appliquer les méthodes mais les médecins, ce qui
n'est pas contradictoire avec mon propos.
Tu joues sur les termes... les toubibs font la médecine. La médecine
est ce qu'en font les toubibs.
Je viens de te prouver que *même* prouvée par une (pseudo) démarche scientifique, puisque ce n'est pas dans la logique de la médecine moderne (un ostéo, pouah, c'est diablerie que tout cela !), « on » refuse d'appliquer une méthode qui fonctionne et qui est meilleure...
Le « on refuse » auquel tu te réfères est un phénomène social qui est certainement propre à notre société, pas à la médecine. Ce n'est pas la médecine qui refuse d'appliquer les méthodes mais les médecins, ce qui n'est pas contradictoire avec mon propos.
Tu joues sur les termes... les toubibs font la médecine. La médecine est ce qu'en font les toubibs.
En France - au moins -, le patient n'est pas le centre du problème.
Si en France le patient n'est pas respecté, le médecin ne l'est pas plus. Aujourd'hui, le médecin est, au yeux de la population, un métier de service, rien de plus.
La faute à qui ?
Actuellement, un patient va chez le médecin pour obtenir expressément certains médicaments précis ou bien des congés maladie. Et il y a des médecins peu scrupuleux qui en donnent à tout va. D'après les statistiques envoyées par la sécurité sociale à un médecin généraliste, un médecin généraliste du département des Hauts-de-Seine donne en moyenne 1700 jours de congé maladie par an. Je vous passe les détails sur la quantité tout aussi faramineuse de médicaments prescrits.
J'étais violemment contre les congés maladies il y a quelques années. Puis je me suis rendu compte que cela est la dernière arme du patient dans bien des cas. Je ne parle évidemment pas des salauds qui abusent du système.
Dans bien des cas, un simple repos - et comme dit ST, avec une remise en cause du mode de vie - permet de faire bien plus de bien qu'un traitement.
Quand on sait (chiffre de mon toubib - de campagne) que la moitié de la clientèle vient pour des maux de dos ou de tête...
Dans ces conditions, c'est-à-dire avec l'existence aussi nombreuse de patients et de médecins peu scrupuleux, comment voudrais-tu que le patient soit au centre du problème ?
Je ne suis pas un politicien mais si je l'étais je ferai certainement les choses suivantes :
1) obliger les toubibs à *tous* assurer une permanence 2) avoir un conseil de l'ordre avec 50% de non toubib 3) chasse sans pitié contre les truandeurs du système (avec remboursement et perte à vie ensuite de la SS)
On pourrait déjà faire un bon nettoyage ainsi..
Ne me dis pas que les caisses d'assurance-maladie ne pourraient pas traquer les contrevenants via l'informatique...
Mais c'est plus facile de ne plus rembourser l'homéopathie « pour faire des économies à la sécu » que de se pencher sur les vrais problèmes.
Ha, la politique, c'est vraiment facile à faire aujourd'hui...
En France - au moins -, le patient n'est pas le centre du problème.
Si en France le patient n'est pas respecté, le médecin ne l'est pas
plus. Aujourd'hui, le médecin est, au yeux de la population, un métier
de service, rien de plus.
La faute à qui ?
Actuellement, un patient va chez le médecin pour obtenir expressément
certains médicaments précis ou bien des congés maladie. Et il y a des
médecins peu scrupuleux qui en donnent à tout va. D'après les
statistiques envoyées par la sécurité sociale à un médecin généraliste,
un médecin généraliste du département des Hauts-de-Seine donne en
moyenne 1700 jours de congé maladie par an. Je vous passe les
détails sur la quantité tout aussi faramineuse de médicaments prescrits.
J'étais violemment contre les congés maladies il y a quelques années.
Puis je me suis rendu compte que cela est la dernière arme du patient
dans bien des cas. Je ne parle évidemment pas des salauds qui abusent
du système.
Dans bien des cas, un simple repos - et comme dit ST, avec une remise
en cause du mode de vie - permet de faire bien plus de bien qu'un
traitement.
Quand on sait (chiffre de mon toubib - de campagne) que la moitié de
la clientèle vient pour des maux de dos ou de tête...
Dans ces conditions, c'est-à-dire avec l'existence aussi nombreuse de
patients et de médecins peu scrupuleux, comment voudrais-tu que le
patient soit au centre du problème ?
Je ne suis pas un politicien mais si je l'étais je ferai certainement
les choses suivantes :
1) obliger les toubibs à *tous* assurer une permanence
2) avoir un conseil de l'ordre avec 50% de non toubib
3) chasse sans pitié contre les truandeurs du système (avec
remboursement et perte à vie ensuite de la SS)
On pourrait déjà faire un bon nettoyage ainsi..
Ne me dis pas que les caisses d'assurance-maladie ne pourraient pas
traquer les contrevenants via l'informatique...
Mais c'est plus facile de ne plus rembourser l'homéopathie « pour
faire des économies à la sécu » que de se pencher sur les vrais
problèmes.
Ha, la politique, c'est vraiment facile à faire aujourd'hui...
En France - au moins -, le patient n'est pas le centre du problème.
Si en France le patient n'est pas respecté, le médecin ne l'est pas plus. Aujourd'hui, le médecin est, au yeux de la population, un métier de service, rien de plus.
La faute à qui ?
Actuellement, un patient va chez le médecin pour obtenir expressément certains médicaments précis ou bien des congés maladie. Et il y a des médecins peu scrupuleux qui en donnent à tout va. D'après les statistiques envoyées par la sécurité sociale à un médecin généraliste, un médecin généraliste du département des Hauts-de-Seine donne en moyenne 1700 jours de congé maladie par an. Je vous passe les détails sur la quantité tout aussi faramineuse de médicaments prescrits.
J'étais violemment contre les congés maladies il y a quelques années. Puis je me suis rendu compte que cela est la dernière arme du patient dans bien des cas. Je ne parle évidemment pas des salauds qui abusent du système.
Dans bien des cas, un simple repos - et comme dit ST, avec une remise en cause du mode de vie - permet de faire bien plus de bien qu'un traitement.
Quand on sait (chiffre de mon toubib - de campagne) que la moitié de la clientèle vient pour des maux de dos ou de tête...
Dans ces conditions, c'est-à-dire avec l'existence aussi nombreuse de patients et de médecins peu scrupuleux, comment voudrais-tu que le patient soit au centre du problème ?
Je ne suis pas un politicien mais si je l'étais je ferai certainement les choses suivantes :
1) obliger les toubibs à *tous* assurer une permanence 2) avoir un conseil de l'ordre avec 50% de non toubib 3) chasse sans pitié contre les truandeurs du système (avec remboursement et perte à vie ensuite de la SS)
On pourrait déjà faire un bon nettoyage ainsi..
Ne me dis pas que les caisses d'assurance-maladie ne pourraient pas traquer les contrevenants via l'informatique...
Mais c'est plus facile de ne plus rembourser l'homéopathie « pour faire des économies à la sécu » que de se pencher sur les vrais problèmes.
Ha, la politique, c'est vraiment facile à faire aujourd'hui...
Patrice Karatchentzeff , dans le message , a écrit :
Tout le monde connaît les entorses ? Un cas classique est l'entorse de la cheville... dans 99%, il s'agit d'une entorse frontale (celle où le tibia « sort » de la cheville). C'est extrêmement douloureux mais c'est très simple à soigner : il y a un geste simple pour replacer le tibia... c'est même à la portée d'un secouriste...
À titre de curiosité, quel est l'effet de cette manoeuvre dans le cas où la blessure n'est pas une entorse, mais, par exemple, une fracture ?
Accessoirement, j'ai l'impression que tu dis entorse là où tu devrais dire luxation. Une entorse se caractérise par l'absence de « déplacement durable des surfaces articulaires » (TLF).
Patrice Karatchentzeff , dans le message
<87fyi66de3.fsf@belledonne.chartreuse.fr>, a écrit :
Tout le monde connaît les entorses ? Un cas classique est l'entorse de
la cheville... dans 99%, il s'agit d'une entorse frontale (celle où le
tibia « sort » de la cheville). C'est extrêmement douloureux mais
c'est très simple à soigner : il y a un geste simple pour replacer le
tibia... c'est même à la portée d'un secouriste...
À titre de curiosité, quel est l'effet de cette manoeuvre dans le cas où la
blessure n'est pas une entorse, mais, par exemple, une fracture ?
Accessoirement, j'ai l'impression que tu dis entorse là où tu devrais dire
luxation. Une entorse se caractérise par l'absence de « déplacement durable
des surfaces articulaires » (TLF).
Patrice Karatchentzeff , dans le message , a écrit :
Tout le monde connaît les entorses ? Un cas classique est l'entorse de la cheville... dans 99%, il s'agit d'une entorse frontale (celle où le tibia « sort » de la cheville). C'est extrêmement douloureux mais c'est très simple à soigner : il y a un geste simple pour replacer le tibia... c'est même à la portée d'un secouriste...
À titre de curiosité, quel est l'effet de cette manoeuvre dans le cas où la blessure n'est pas une entorse, mais, par exemple, une fracture ?
Accessoirement, j'ai l'impression que tu dis entorse là où tu devrais dire luxation. Une entorse se caractérise par l'absence de « déplacement durable des surfaces articulaires » (TLF).
Nicolas George
"" , dans le message , a écrit :
En toutes consideration, si j'avais un cancer, je commencerai tres certainement par tester des voies moins dangereuses que les traitements lourds de la medecine conventionelle.
Y compris si le délai occasionné réduit significativement les chances de succès d'une thérapie « conventionnelle » lourde ?
"stephane@unices.org" , dans le message
<6mh7m3-t53.ln1@macos.unices.org>, a écrit :
En toutes consideration, si j'avais un cancer, je commencerai tres
certainement par tester des voies moins dangereuses que les traitements
lourds de la medecine conventionelle.
Y compris si le délai occasionné réduit significativement les chances de
succès d'une thérapie « conventionnelle » lourde ?
En toutes consideration, si j'avais un cancer, je commencerai tres certainement par tester des voies moins dangereuses que les traitements lourds de la medecine conventionelle.
Y compris si le délai occasionné réduit significativement les chances de succès d'une thérapie « conventionnelle » lourde ?
Nicolas George
"" , dans le message , a écrit :
Mais ca inclue aussi une responsabilisation de ma facon de vivre et qui intervient avant que je sois malade : ne pas fumer, ne pas boire (ou dans des quantites raisonnables), dormir de facon reguliere, ne pas mener d'activites irresponsables ou dangereuses avec son corp est une premiere voie vers la non-maladie.
C'est bien gentil, et tout à fait vrai, mais ça ne tend absolument pas à prouver ta thèse : qu'une bonne hygiène de vie réduit les risques de maladies graves, ça a été amplement prouvé par des études rigoureuses.
Ce n'est pas comme les médecins disaient : allez, picole et fume tant que tu veux, un coup de chimio et il n'y paraîtra plus, hein.
"stephane@unices.org" , dans le message
<f7k7m3-b73.ln1@macos.unices.org>, a écrit :
Mais ca inclue aussi une responsabilisation de ma facon de vivre et qui
intervient avant que je sois malade : ne pas fumer, ne pas boire (ou
dans des quantites raisonnables), dormir de facon reguliere, ne pas
mener d'activites irresponsables ou dangereuses avec son corp est une
premiere voie vers la non-maladie.
C'est bien gentil, et tout à fait vrai, mais ça ne tend absolument pas à
prouver ta thèse : qu'une bonne hygiène de vie réduit les risques de
maladies graves, ça a été amplement prouvé par des études rigoureuses.
Ce n'est pas comme les médecins disaient : allez, picole et fume tant que tu
veux, un coup de chimio et il n'y paraîtra plus, hein.
Mais ca inclue aussi une responsabilisation de ma facon de vivre et qui intervient avant que je sois malade : ne pas fumer, ne pas boire (ou dans des quantites raisonnables), dormir de facon reguliere, ne pas mener d'activites irresponsables ou dangereuses avec son corp est une premiere voie vers la non-maladie.
C'est bien gentil, et tout à fait vrai, mais ça ne tend absolument pas à prouver ta thèse : qu'une bonne hygiène de vie réduit les risques de maladies graves, ça a été amplement prouvé par des études rigoureuses.
Ce n'est pas comme les médecins disaient : allez, picole et fume tant que tu veux, un coup de chimio et il n'y paraîtra plus, hein.
Patrice Karatchentzeff
none <""tg"@(none)"> writes:
Patrice Karatchentzeff wrote:
Personnellement, en tant que catholique, ce serait effectivement une démarche que j'envisagerai certainement... Pour moi, étant donnée ma situation géographique, ce serait dans un premier temps Notre Dame de la Salette...
Si le cancer est localisé sur le pancréas, pas la peine de te déplacer inutilement.
N'étant pas catholique, je choisirais le p38 par snobisme.
Vu le peu de p38 en circulation, c'est vraiment du snobisme... tu prends n'importe quelle pétoire pour la chasse : en plus, cela donne du travail à la femme de ménage¹...
PK
¹ : qui sont en l'occurence souvent les pompiers...
Personnellement, en tant que catholique, ce serait effectivement une
démarche que j'envisagerai certainement... Pour moi, étant donnée ma
situation géographique, ce serait dans un premier temps Notre Dame de
la Salette...
Si le cancer est localisé sur le pancréas, pas la peine de te déplacer
inutilement.
N'étant pas catholique, je choisirais le p38 par snobisme.
Vu le peu de p38 en circulation, c'est vraiment du snobisme... tu
prends n'importe quelle pétoire pour la chasse : en plus, cela donne
du travail à la femme de ménage¹...
PK
¹ : qui sont en l'occurence souvent les pompiers...
Personnellement, en tant que catholique, ce serait effectivement une démarche que j'envisagerai certainement... Pour moi, étant donnée ma situation géographique, ce serait dans un premier temps Notre Dame de la Salette...
Si le cancer est localisé sur le pancréas, pas la peine de te déplacer inutilement.
N'étant pas catholique, je choisirais le p38 par snobisme.
Vu le peu de p38 en circulation, c'est vraiment du snobisme... tu prends n'importe quelle pétoire pour la chasse : en plus, cela donne du travail à la femme de ménage¹...
PK
¹ : qui sont en l'occurence souvent les pompiers...
À titre de curiosité, quel est l'effet de cette manoeuvre dans le cas où la blessure n'est pas une entorse, mais, par exemple, une fracture ?
C'est évident : tu ne le fais pas. Tu ne remets pas une épaule en place avec une fracture ouverte de l'humérus... c'est pareil.
Accessoirement, j'ai l'impression que tu dis entorse là où tu devrais dire luxation. Une entorse se caractérise par l'absence de « déplacement durable des surfaces articulaires » (TLF).
tout est dans la définition de « durable ». Dans le langage populaire, on ne fait pas de différence entre entorse et luxation. Mais tu as raison sinon... sauf que les toubibs appellent entorse une luxation pour la cheville. Rien n'est simple :)
Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> writes:
[...]
À titre de curiosité, quel est l'effet de cette manoeuvre dans le cas où la
blessure n'est pas une entorse, mais, par exemple, une fracture ?
C'est évident : tu ne le fais pas. Tu ne remets pas une épaule en
place avec une fracture ouverte de l'humérus... c'est pareil.
Accessoirement, j'ai l'impression que tu dis entorse là où tu devrais dire
luxation. Une entorse se caractérise par l'absence de « déplacement durable
des surfaces articulaires » (TLF).
tout est dans la définition de « durable ». Dans le langage populaire,
on ne fait pas de différence entre entorse et luxation. Mais tu as
raison sinon... sauf que les toubibs appellent entorse une luxation
pour la cheville. Rien n'est simple :)
À titre de curiosité, quel est l'effet de cette manoeuvre dans le cas où la blessure n'est pas une entorse, mais, par exemple, une fracture ?
C'est évident : tu ne le fais pas. Tu ne remets pas une épaule en place avec une fracture ouverte de l'humérus... c'est pareil.
Accessoirement, j'ai l'impression que tu dis entorse là où tu devrais dire luxation. Une entorse se caractérise par l'absence de « déplacement durable des surfaces articulaires » (TLF).
tout est dans la définition de « durable ». Dans le langage populaire, on ne fait pas de différence entre entorse et luxation. Mais tu as raison sinon... sauf que les toubibs appellent entorse une luxation pour la cheville. Rien n'est simple :)
En toutes consideration, si j'avais un cancer, je commencerai tres certainement par tester des voies moins dangereuses que les traitements lourds de la medecine conventionelle.
Y compris si le délai occasionné réduit significativement les chances de succès d'une thérapie « conventionnelle » lourde ?
Si t'en es là, Lourdes n'est plus que ta dernière chance effectivement.
Nicolas George <nicolas$george@salle-s.org> writes:
"stephane@unices.org" , dans le message
<6mh7m3-t53.ln1@macos.unices.org>, a écrit :
En toutes consideration, si j'avais un cancer, je commencerai tres
certainement par tester des voies moins dangereuses que les traitements
lourds de la medecine conventionelle.
Y compris si le délai occasionné réduit significativement les chances de
succès d'une thérapie « conventionnelle » lourde ?
Si t'en es là, Lourdes n'est plus que ta dernière chance
effectivement.
En toutes consideration, si j'avais un cancer, je commencerai tres certainement par tester des voies moins dangereuses que les traitements lourds de la medecine conventionelle.
Y compris si le délai occasionné réduit significativement les chances de succès d'une thérapie « conventionnelle » lourde ?
Si t'en es là, Lourdes n'est plus que ta dernière chance effectivement.
Tes critiques ne vont donc pas à l'encontre de la médecine en ce qu'elle a de scientifique, mais à un phénomène social.
Mes propos vont simplement a l'encontre d'un systeme corrompu, qui l'a globalement toujours ete et qui a de fortes chances de l'etre encore un certain temps.
-- http://www.unices.org Photos, humour et autres blogueries http://www.pbase.com/stougard/ Pfff, encore des photos
On 2006-06-15, Khanh-Dang <khanh-dang@w.fr.invalid> wrote:
Tes critiques ne vont donc pas à l'encontre de la médecine en ce
qu'elle a de scientifique, mais à un phénomène social.
Mes propos vont simplement a l'encontre d'un systeme corrompu, qui l'a
globalement toujours ete et qui a de fortes chances de l'etre encore un
certain temps.
--
http://www.unices.org Photos, humour et autres blogueries
http://www.pbase.com/stougard/ Pfff, encore des photos
Tes critiques ne vont donc pas à l'encontre de la médecine en ce qu'elle a de scientifique, mais à un phénomène social.
Mes propos vont simplement a l'encontre d'un systeme corrompu, qui l'a globalement toujours ete et qui a de fortes chances de l'etre encore un certain temps.
-- http://www.unices.org Photos, humour et autres blogueries http://www.pbase.com/stougard/ Pfff, encore des photos