Et tu ne te pose pas de questions, elle ne s'absente jamais après un bon repas ?
pas du tout. Je l'envie de pouvoir manger sans grossir
Mis à part les < spectacles > spécialisés, on n'y trouve pas beaucoup de < grosses > non plus.
Aretha Franklin, Ella Fitzgerald, Adèle...
jdd
filh
jdanield wrote:
Le 27/12/2012 21:27, FiLH a écrit : > jdanield wrote: > >> Le 27/12/2012 14:36, FiLH a écrit : >> >>> nous voyons comme de femmes qui souffrent seraient peut-être celles de >>> femme heureuses dans un autre endroit sans qu'on se pose la question... >> >> ici les femmes ne sont pas seulement grosses, elles sont malades. >> L'extrême obésité n'est pas juste un problème esthétique > > Mais par contre l'extrême maigreur des manequins qui peuplent nos murs > et nos journaux.... > > FiLH > > là c'est
* voulu
Non. C'est dicté. Et les jeunes femmes se rendent malades pour atteindre cet idéal qui leur permet de bosser.
C'est donc enore pire : dans le cas des femmes de full beauty, ce n'est la faute de personne, alors que dans le cas des modèles anorexiques c'est de la responsabilité de quelques DA un peu trop centrés sur les profits des journaux.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
jdanield <jdd@dodin.org> wrote:
Le 27/12/2012 21:27, FiLH a écrit :
> jdanield <jdd@dodin.org> wrote:
>
>> Le 27/12/2012 14:36, FiLH a écrit :
>>
>>> nous voyons comme de femmes qui souffrent seraient peut-être celles de
>>> femme heureuses dans un autre endroit sans qu'on se pose la question...
>>
>> ici les femmes ne sont pas seulement grosses, elles sont malades.
>> L'extrême obésité n'est pas juste un problème esthétique
>
> Mais par contre l'extrême maigreur des manequins qui peuplent nos murs
> et nos journaux....
>
> FiLH
>
>
là c'est
* voulu
Non. C'est dicté. Et les jeunes femmes se rendent malades pour atteindre
cet idéal qui leur permet de bosser.
C'est donc enore pire : dans le cas des femmes de full beauty, ce n'est
la faute de personne, alors que dans le cas des modèles anorexiques
c'est de la responsabilité de quelques DA un peu trop centrés sur les
profits des journaux.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Le 27/12/2012 21:27, FiLH a écrit : > jdanield wrote: > >> Le 27/12/2012 14:36, FiLH a écrit : >> >>> nous voyons comme de femmes qui souffrent seraient peut-être celles de >>> femme heureuses dans un autre endroit sans qu'on se pose la question... >> >> ici les femmes ne sont pas seulement grosses, elles sont malades. >> L'extrême obésité n'est pas juste un problème esthétique > > Mais par contre l'extrême maigreur des manequins qui peuplent nos murs > et nos journaux.... > > FiLH > > là c'est
* voulu
Non. C'est dicté. Et les jeunes femmes se rendent malades pour atteindre cet idéal qui leur permet de bosser.
C'est donc enore pire : dans le cas des femmes de full beauty, ce n'est la faute de personne, alors que dans le cas des modèles anorexiques c'est de la responsabilité de quelques DA un peu trop centrés sur les profits des journaux.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
jdanield wrote:
si tu regarde le monde du spectacle, les filles n'y sont pas spécialement maigres
Dans le monde de la mode par contre....
Va faire un tour au palais tokyo pendant la quinzaine de la mode c'est édifiant...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
jdanield <jdd@dodin.org> wrote:
si tu regarde le monde du spectacle, les filles n'y sont pas
spécialement maigres
Dans le monde de la mode par contre....
Va faire un tour au palais tokyo pendant la quinzaine de la mode c'est
édifiant...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
si tu regarde le monde du spectacle, les filles n'y sont pas spécialement maigres
Dans le monde de la mode par contre....
Va faire un tour au palais tokyo pendant la quinzaine de la mode c'est édifiant...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
René wrote:
A-t-il quelque sentiment pour ses modèles? Sauf pour le savoir faire, probablement pas. Chacun son travail: elles posent, il photographie. Elles sont payées, il vendra. Simple loi du marché.
Vu son interview sur youtube (dont j'ai posté l'url ici), il a rencontré ses premiers modèles dans un environnement militant sur l'accpetation des gros. Donc on peut présumer que ce que tu dis ici est incorrect.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
René <jeanpassetrop@hotmail.com> wrote:
A-t-il quelque sentiment pour ses modèles? Sauf pour le savoir faire,
probablement pas. Chacun son travail: elles posent, il photographie. Elles
sont payées, il vendra. Simple loi du marché.
Vu son interview sur youtube (dont j'ai posté l'url ici), il a rencontré
ses premiers modèles dans un environnement militant sur l'accpetation
des gros.
Donc on peut présumer que ce que tu dis ici est incorrect.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
A-t-il quelque sentiment pour ses modèles? Sauf pour le savoir faire, probablement pas. Chacun son travail: elles posent, il photographie. Elles sont payées, il vendra. Simple loi du marché.
Vu son interview sur youtube (dont j'ai posté l'url ici), il a rencontré ses premiers modèles dans un environnement militant sur l'accpetation des gros. Donc on peut présumer que ce que tu dis ici est incorrect.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
filh
albert wrote:
"FiLH" a écrit : > Mais albert, l'art n'est-il pas la mise en décors de la souffrance du > monde ?
Voila pour moi tout le contraire d'une mise en décor : http://diane-arbus-photography.com/ Dans la photographie du géant il n'y a pas de décor, il y a seulement l'humour et la tragédie, c'est le génie de Diane Arbus d'avoir su photographier sa vie.
Par contre, dans la photographie de l'autre, je ne vois qu'une sordide affaire commerciale, comme dit René. Et à mon tour, Frédéric, je sais faire des rapprochements. Si je cite Diane Arbus (il y en a d'autres), c'est que les sujets sont étrangements similaires à ceux qu'on trouve sur son site, comme si il avait copié ; et cela permet de bien distinguer entre l'art et la médiocrité.
Mais oui mais non :)
Le géant d'Arbus est photographié dans sa famille, tout y est, environnement pauvre, famille attentive. Toutes les photos d'Arbus respirent cet humanisme. (L'expo l'année dernière était sublime soit dit en passant).
Là le propos est différent, et il le dit dans son interview : il s'agit justement de les rendre socialement anonymes. De les dé-marquer de leur quotidien justement.
Effectivement d'en faire des objets - au même titre qu'un photographe de nu usuel - esthétiques. J'emploie ici le mot objet sachant la charge de provocation qu'il contient :) Mais le but de la photo de nu est clairement d'utiliser le corps de l'être humain comme objet d'admiration sans préoccupation pour sa composante sociale ou sa personnalité.
Donc deux propos différents, et je n'en mets pas - personnellement - un au dessus de l'autre.
Après on peut se demander si le fait de détacher ses modèles de leur condition quotidienne est bien ou mal, pour elles, pour nous. Pour prendre un ton un peu provocateur : si on imagine comme on le fait ici que leur quotidien est un quotidien plus ou moins douloureux, est-ce que la photo doit les renvoyer, les épingler à ce quotidien là ? Ou bien est-ce que ce moment entre parenthèse, ce moment où elles deviennent - comme les autres - un objet esthétique n'est pas au contraire un bonheur ? Bien sûr ce « comme les autres » est un paradoxe puique c'est à travers le fait qu'elles sont exceptionnelles (par rapport aux standards du nu et de la représentation humaine actuelle, pas forcément par rapport au quotidien) qu'elles deviennent comme les autres.
Enfin... j'ai l'impression que de dérangé par les photos, tu as été choqué par ces deux image de St Moritz... n'oublies pas que l'oeuvre n'est pas l'artiste... on peut faire des choses très intéressantes, en étant quelqu'un de totalement imbuvable...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
albert <alphotonospam@wanadoo.fr> wrote:
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit :
> Mais albert, l'art n'est-il pas la mise en décors de la souffrance du
> monde ?
Voila pour moi tout le contraire d'une mise en décor :
http://diane-arbus-photography.com/
Dans la photographie du géant il n'y a pas de décor, il y a seulement
l'humour et la tragédie, c'est le génie de Diane Arbus d'avoir su
photographier sa vie.
Par contre, dans la photographie de l'autre, je ne vois qu'une sordide
affaire commerciale, comme dit René. Et à mon tour, Frédéric, je sais faire
des rapprochements. Si je cite Diane Arbus (il y en a d'autres), c'est que
les sujets sont étrangements similaires à ceux qu'on trouve sur son site,
comme si il avait copié ; et cela permet de bien distinguer entre l'art et
la médiocrité.
Mais oui mais non :)
Le géant d'Arbus est photographié dans sa famille, tout y est,
environnement pauvre, famille attentive. Toutes les photos d'Arbus
respirent cet humanisme. (L'expo l'année dernière était sublime soit dit
en passant).
Là le propos est différent, et il le dit dans son interview : il s'agit
justement de les rendre socialement anonymes. De les dé-marquer de leur
quotidien justement.
Effectivement d'en faire des objets - au même titre qu'un photographe de
nu usuel - esthétiques.
J'emploie ici le mot objet sachant la charge de provocation qu'il
contient :) Mais le but de la photo de nu est clairement d'utiliser le
corps de l'être humain comme objet d'admiration sans préoccupation pour
sa composante sociale ou sa personnalité.
Donc deux propos différents, et je n'en mets pas - personnellement - un
au dessus de l'autre.
Après on peut se demander si le fait de détacher ses modèles de leur
condition quotidienne est bien ou mal, pour elles, pour nous.
Pour prendre un ton un peu provocateur : si on imagine comme on le fait
ici que leur quotidien est un quotidien plus ou moins douloureux, est-ce
que la photo doit les renvoyer, les épingler à ce quotidien là ? Ou bien
est-ce que ce moment entre parenthèse, ce moment où elles deviennent -
comme les autres - un objet esthétique n'est pas au contraire un bonheur
?
Bien sûr ce « comme les autres » est un paradoxe puique c'est à travers
le fait qu'elles sont exceptionnelles (par rapport aux standards du nu
et de la représentation humaine actuelle, pas forcément par rapport au
quotidien) qu'elles deviennent comme les autres.
Enfin... j'ai l'impression que de dérangé par les photos, tu as été
choqué par ces deux image de St Moritz... n'oublies pas que l'oeuvre
n'est pas l'artiste... on peut faire des choses très intéressantes, en
étant quelqu'un de totalement imbuvable...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
"FiLH" a écrit : > Mais albert, l'art n'est-il pas la mise en décors de la souffrance du > monde ?
Voila pour moi tout le contraire d'une mise en décor : http://diane-arbus-photography.com/ Dans la photographie du géant il n'y a pas de décor, il y a seulement l'humour et la tragédie, c'est le génie de Diane Arbus d'avoir su photographier sa vie.
Par contre, dans la photographie de l'autre, je ne vois qu'une sordide affaire commerciale, comme dit René. Et à mon tour, Frédéric, je sais faire des rapprochements. Si je cite Diane Arbus (il y en a d'autres), c'est que les sujets sont étrangements similaires à ceux qu'on trouve sur son site, comme si il avait copié ; et cela permet de bien distinguer entre l'art et la médiocrité.
Mais oui mais non :)
Le géant d'Arbus est photographié dans sa famille, tout y est, environnement pauvre, famille attentive. Toutes les photos d'Arbus respirent cet humanisme. (L'expo l'année dernière était sublime soit dit en passant).
Là le propos est différent, et il le dit dans son interview : il s'agit justement de les rendre socialement anonymes. De les dé-marquer de leur quotidien justement.
Effectivement d'en faire des objets - au même titre qu'un photographe de nu usuel - esthétiques. J'emploie ici le mot objet sachant la charge de provocation qu'il contient :) Mais le but de la photo de nu est clairement d'utiliser le corps de l'être humain comme objet d'admiration sans préoccupation pour sa composante sociale ou sa personnalité.
Donc deux propos différents, et je n'en mets pas - personnellement - un au dessus de l'autre.
Après on peut se demander si le fait de détacher ses modèles de leur condition quotidienne est bien ou mal, pour elles, pour nous. Pour prendre un ton un peu provocateur : si on imagine comme on le fait ici que leur quotidien est un quotidien plus ou moins douloureux, est-ce que la photo doit les renvoyer, les épingler à ce quotidien là ? Ou bien est-ce que ce moment entre parenthèse, ce moment où elles deviennent - comme les autres - un objet esthétique n'est pas au contraire un bonheur ? Bien sûr ce « comme les autres » est un paradoxe puique c'est à travers le fait qu'elles sont exceptionnelles (par rapport aux standards du nu et de la représentation humaine actuelle, pas forcément par rapport au quotidien) qu'elles deviennent comme les autres.
Enfin... j'ai l'impression que de dérangé par les photos, tu as été choqué par ces deux image de St Moritz... n'oublies pas que l'oeuvre n'est pas l'artiste... on peut faire des choses très intéressantes, en étant quelqu'un de totalement imbuvable...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
£g
"jdanield" a écrit dans le message de news: kbjqog$bv7$
Le 28/12/2012 08:47, £g a écrit :
Et tu ne te pose pas de questions, elle ne s'absente jamais après un bon repas ?
pas du tout. Je l'envie de pouvoir manger sans grossir
Mis à part les < spectacles > spécialisés, on n'y trouve pas beaucoup de < grosses > non plus.
Aretha Franklin, Ella Fitzgerald, Adèle...
{|);-) nous n'avons pas la même définition de < spectacle > Aller voir/écouter Aretha et autres Ella, si c'est un spectacle, ce n'est pas à mon sens un < spectacle > au sens de la vue de beauté < esthétique >, Ella irait peut être chanter au moulin rouge, mais pas défiler ni danser.
Une autre définition sur laquelle il faudrait se mettre d'accord avant de s'étriper {|);-) est : la maigreur commence où et être gros(se) à partir de quel poids/taille.
Quel est l'âge de ta fille, ne répond pas, ce n'est pas nécessaire et cela ne nous regardent pas, mais elle aura certainement tout le temps de rattraper les kilos qu'elle ne prend pas pour le moment.
-- £g
"jdanield" <jdd@dodin.org> a écrit dans le message de news:
kbjqog$bv7$1@dont-email.me...
Le 28/12/2012 08:47, £g a écrit :
Et tu ne te pose pas de questions, elle ne s'absente jamais après un
bon
repas ?
pas du tout. Je l'envie de pouvoir manger sans grossir
Mis à part les < spectacles > spécialisés, on n'y trouve pas beaucoup
de
< grosses > non plus.
Aretha Franklin, Ella Fitzgerald, Adèle...
{|);-) nous n'avons pas la même définition de < spectacle > Aller
voir/écouter Aretha et autres Ella, si c'est un spectacle, ce n'est pas
à mon sens un < spectacle > au sens de la vue de beauté < esthétique >,
Ella irait peut être chanter au moulin rouge, mais pas défiler ni
danser.
Une autre définition sur laquelle il faudrait se mettre d'accord avant
de s'étriper {|);-) est : la maigreur commence où et être gros(se) à
partir de quel poids/taille.
Quel est l'âge de ta fille, ne répond pas, ce n'est pas nécessaire et
cela ne nous regardent pas, mais elle aura certainement tout le temps de
rattraper les kilos qu'elle ne prend pas pour le
moment.
"jdanield" a écrit dans le message de news: kbjqog$bv7$
Le 28/12/2012 08:47, £g a écrit :
Et tu ne te pose pas de questions, elle ne s'absente jamais après un bon repas ?
pas du tout. Je l'envie de pouvoir manger sans grossir
Mis à part les < spectacles > spécialisés, on n'y trouve pas beaucoup de < grosses > non plus.
Aretha Franklin, Ella Fitzgerald, Adèle...
{|);-) nous n'avons pas la même définition de < spectacle > Aller voir/écouter Aretha et autres Ella, si c'est un spectacle, ce n'est pas à mon sens un < spectacle > au sens de la vue de beauté < esthétique >, Ella irait peut être chanter au moulin rouge, mais pas défiler ni danser.
Une autre définition sur laquelle il faudrait se mettre d'accord avant de s'étriper {|);-) est : la maigreur commence où et être gros(se) à partir de quel poids/taille.
Quel est l'âge de ta fille, ne répond pas, ce n'est pas nécessaire et cela ne nous regardent pas, mais elle aura certainement tout le temps de rattraper les kilos qu'elle ne prend pas pour le moment.
-- £g
jdanield
Le 28/12/2012 12:35, £g a écrit :
{|);-) nous n'avons pas la même définition de < spectacle > Aller voir/écouter Aretha et autres Ella, si c'est un spectacle, ce n'est pas à mon sens un < spectacle > au sens de la vue de beauté < esthétique >, Ella irait peut être chanter au moulin rouge, mais pas défiler ni danser.
pour toi, spectacle c'est forcément "spectacle du corps"? Théatre, chanson, cinéma, pour toi ce n'est pas du spectacle?
évidemment, si pour toi spectacle c'est défilé de mode... encore que même là ca ne passe plus
Une autre définition sur laquelle il faudrait se mettre d'accord avant de s'étriper {|);-) est : la maigreur commence où et être gros(se) à partir de quel poids/taille.
http://www.imc.fr/ :-)
Quel est l'âge de ta fille, ne répond pas, ce n'est pas nécessaire et cela ne nous regardent pas, mais elle aura certainement tout le temps de rattraper les kilos qu'elle ne prend pas pour le moment.
mais pourquoi? chacun a son poids "de forme", d'autres passent leur temps à maigrir ou à grossir (naturellement).
Il faut commencer à se poser des questions quand la santé est en jeu, encore faut-il se méfier des abus de "normalité".
Pour autant, pour revenir au sujet, à partir d'un certain poids être trop gros ou trop maigre devient réellement une maladie et on en meurt (le mannequin qui avait fait des photos pour dénoncer l’extrême maigreur a fini par en mourir!).
le "choc de l'image" peut être parfois utile pour faire réfléchir (en témoigne ce fil :-)
jdd
Le 28/12/2012 12:35, £g a écrit :
{|);-) nous n'avons pas la même définition de < spectacle > Aller
voir/écouter Aretha et autres Ella, si c'est un spectacle, ce n'est pas
à mon sens un < spectacle > au sens de la vue de beauté < esthétique >,
Ella irait peut être chanter au moulin rouge, mais pas défiler ni
danser.
pour toi, spectacle c'est forcément "spectacle du corps"? Théatre,
chanson, cinéma, pour toi ce n'est pas du spectacle?
évidemment, si pour toi spectacle c'est défilé de mode... encore que
même là ca ne passe plus
Une autre définition sur laquelle il faudrait se mettre d'accord avant
de s'étriper {|);-) est : la maigreur commence où et être gros(se) à
partir de quel poids/taille.
http://www.imc.fr/ :-)
Quel est l'âge de ta fille, ne répond pas, ce n'est pas nécessaire et
cela ne nous regardent pas, mais elle aura certainement tout le temps de
rattraper les kilos qu'elle ne prend pas pour le
moment.
mais pourquoi? chacun a son poids "de forme", d'autres passent leur
temps à maigrir ou à grossir (naturellement).
Il faut commencer à se poser des questions quand la santé est en jeu,
encore faut-il se méfier des abus de "normalité".
Pour autant, pour revenir au sujet, à partir d'un certain poids être
trop gros ou trop maigre devient réellement une maladie et on en meurt
(le mannequin qui avait fait des photos pour dénoncer l’extrême
maigreur a fini par en mourir!).
le "choc de l'image" peut être parfois utile pour faire réfléchir (en
témoigne ce fil :-)
{|);-) nous n'avons pas la même définition de < spectacle > Aller voir/écouter Aretha et autres Ella, si c'est un spectacle, ce n'est pas à mon sens un < spectacle > au sens de la vue de beauté < esthétique >, Ella irait peut être chanter au moulin rouge, mais pas défiler ni danser.
pour toi, spectacle c'est forcément "spectacle du corps"? Théatre, chanson, cinéma, pour toi ce n'est pas du spectacle?
évidemment, si pour toi spectacle c'est défilé de mode... encore que même là ca ne passe plus
Une autre définition sur laquelle il faudrait se mettre d'accord avant de s'étriper {|);-) est : la maigreur commence où et être gros(se) à partir de quel poids/taille.
http://www.imc.fr/ :-)
Quel est l'âge de ta fille, ne répond pas, ce n'est pas nécessaire et cela ne nous regardent pas, mais elle aura certainement tout le temps de rattraper les kilos qu'elle ne prend pas pour le moment.
mais pourquoi? chacun a son poids "de forme", d'autres passent leur temps à maigrir ou à grossir (naturellement).
Il faut commencer à se poser des questions quand la santé est en jeu, encore faut-il se méfier des abus de "normalité".
Pour autant, pour revenir au sujet, à partir d'un certain poids être trop gros ou trop maigre devient réellement une maladie et on en meurt (le mannequin qui avait fait des photos pour dénoncer l’extrême maigreur a fini par en mourir!).
le "choc de l'image" peut être parfois utile pour faire réfléchir (en témoigne ce fil :-)
jdd
Stephane Legras-Decussy
Le 28/12/2012 08:42, jdanield a écrit :
il n'en reste pas moins que *toutes* les publicités allongent les jambes des modèles femmes.
certe
si tu regarde le monde du spectacle, les filles n'y sont pas spécialement maigres
par exemple si tu regardes l'election de miss france dernièrement, elles sont toutes clonées identiques avec le même corps trop maigre (à mon gout hein)
Le 28/12/2012 08:42, jdanield a écrit :
il n'en reste pas moins que *toutes* les
publicités allongent les jambes des modèles femmes.
certe
si tu regarde le monde du spectacle, les filles n'y sont pas
spécialement maigres
par exemple si tu regardes l'election de miss france dernièrement, elles
sont toutes clonées identiques avec le même corps trop maigre (à mon
gout hein)
il n'en reste pas moins que *toutes* les publicités allongent les jambes des modèles femmes.
certe
si tu regarde le monde du spectacle, les filles n'y sont pas spécialement maigres
par exemple si tu regardes l'election de miss france dernièrement, elles sont toutes clonées identiques avec le même corps trop maigre (à mon gout hein)
Stephane Legras-Decussy
Le 28/12/2012 09:24, Erwan David a écrit :
Pour danser, faut du muscle, tout simplement…
on peut être très musclée et très maigre, voir les filles qui font de l'athletisme d'endurance ... horrible (à mon goût hein)
Le 28/12/2012 09:24, Erwan David a écrit :
Pour danser, faut du muscle, tout simplement…
on peut être très musclée et très maigre, voir les filles qui font
de l'athletisme d'endurance ... horrible (à mon goût hein)